#notes de synthèse
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Les Modes : revue mensuelle illustrée des arts décoratifs appliqués à la femme, no. 163, juillet 1914, Paris. "Lettre sur la mode: La silhouette actuelle et l'attitude-tango." Francis de Miomandre. Bibliothèque nationale de France
English translation by Google Translate (and edited for relative clarity).
Ma chère amie,
Vous me demandez mon avis sur la mode actuelle, comme ça, simplement?… Voilà bien une idée de femme!… Comme si Fou pouvait professer une opinion sur un pareil sujet, si ondoyant! Tout ce que peut faire un homme de goût, c'est d'admirer ses contemporaines qui passent, et de respecter cet effort martyrisant qu'elles t'imposent pour diversifier à l'infini leur séduisante figure. Je sais que cet effort n'est pas toujours heureux. Mais n'allez pas en incriminer la mode, qui n'y est pour rien. Il y a deux sortes de femmes, celles qui ont du goût… et les autres. Ces dernières ont le génie d'élire parmi les accoutrements du jour celui précisément qui les rendra ridicules.
Il arrive un moment où nous ne remarquons plus combien sont gracieuses les femmes de goût qui portent encore les choses à la mode le mois dernier, mais nous n'avons plus d'yeux que pour leurs malheureuses imitatrices. C'est à ce moment-là qu'une mode est démodée. Il faut la changer.
La question de changer ne se pose pas pour la mode actuelle, puisque sa caractéristique est d'etre au contraire en perpétuelle évolution. Une évolution! que dis-je? un vertige… On n'a pas le temps s'y reconnaitre… Il semble que toutes les les pays soient conviés à nous fournir des motifs d'inspiration sans cesse renouvelés. Et c'est la Perse et bientôt l'Inde, et c'est la Grèce, la Grèce de M. Pierre Loüys, la Grèce à demi orientale d'Alexandrie, et c'est la Turquie et demain ce sera la Chine. Et puis après, on remontera dans le moyen âge. On pillera les musées. La mode actuelle? Ah! bien quinaud celui qui essaierait de s'en moquer! Car il n'aurait pas plutôt achevé sa petite diatribe, si vaine ! que déjà on pourrait lui répondre: « Mais, Monsieur, vous datez, vous vous raillez d'une très vieille chose. Ce que vous trouvez ridicule, il y a au moins quinze jours que nous en avons assez nous-mêmes… » Consultez les caricatures des journaux amusants, et vous serez édifiée. La mode actuelle, qui a le désavantage de coûter très cher à celles qui veulent la suivre, et de les ahurir un peu, a au moins la supériorité d'échapper au ridicule. Elle court si vite!…
Et cependant, me direz-vous, elle existe. On s'habille, que diable ! A vous d'extraire de tout cela la ligne générale, je ne sais pas moi, la synthèse…
Je veux bien. Voyons. Cherchons ensemble. Est-ce la tunique ? Mais non, puisque la bonne moitié des toilettes ne comporte pas de tunique. Est-ce la cape? La cape donne une jolie silhouette, mais que de femmes restent fidèles à des manteaux d'une tout autre forme, et cependant demeurent très dans le train! La note serait-elle donnée par le chapeau? Je veux bien, mais alors lequel? Le petit, le grand, le plat, le large, l'immense, le rond, le roulé en cornet, le lourd ou l'aérien?… Ne cherchez pas plus avant et reconnaissez avec moi que ce qui caractérise la mode actuelle n'est pas tant une ligne plus ou moins souple et gracieuse du vêtement qu'une attitude de la femme qui porte ce vêtement, cette attitude molle, hanchée, abandonnée, douce, passive, un peu veule et que, pour tout dire, j'appellerai l'attitude-tango.
On a souvent dit: « Le ventre s'est beaucoup porté cette année. » Quelle impropriété fâcheuse d'expression! Vous le savez bien, vous qui vous habillez à ravir et vous tenez de même, qu'il n'a jamais été question de ventre, mais qu'il a été énormément question de tango. Or, dans l'exercice de cette danse charmante, et qui, malgré de retentissantes interdictions ecclésiastiques, n'est pas près de disparaître, on se trouve fort souvent le bras en l'air et le talon relevé, portant tout le poids du corps sur un seul côté, ce qui donne aussitôt aux dames un petit air langoureux et vide, une attitude molle et déjetée.
A force de s'adonner à cette danse, nos élégantes ont pris l'habitude de se tenir ainsi dans toutes les autres circonstances de la vie. Et c'est en tanguant qu'elles entrent dans un salon, qu'elles y prennent le thé, qu'elles écoutent les hommes d'esprit, qu'elles regagnent leur automobile, qu'elles essaient leurs robes, qu'elles attendent la balle au tennis, enfin qu'elles vivent.
Rappelez-vous comment elles étaient il y a seulement trois ans. Droites, fières, faisant valoir le moindre pouce de leur taille, et minces, si minces ! C'étaient des Florentines, des reines, d'inaccessibles idoles. Le tango a changé tout cela. Le tango les a humanisées, assouplies, le tango les a brisées.
Il y a même là un profond mystère. Car, enfin, le corset, lui, n'a rien abdiqué de son inflexible nature. Il a beau porter des noms de nixes et d'ondines, de fées, de magiciennes ou de déesses, tout ce qu'on peut dire c'est qu'il commence un peu moins haut pour finir beaucoup plus bas. Et certains ressemblent davantage à des culottes baleinées qu'à des corsets proprement dits. Mais le fait est que cet instrument n'a de suave que le nom et qu'il se compose toujours d'un buse rigide comme un principe, d'agrafes solides comme des crampons et de fanons qui rompent parfois, mais ne plient sous aucun prétexte. Comment une femme aussi farouchement maintenue peut-elle trouver le moyen de se pencher avec une langueur si délicieuse? Comment arrive-t-elle à donner l'impression de n'être, en dessous, couverte que de linons impondérables et de souples batistes? Énigme, vous dis-je. Enigme de courage et d'héroïsme. La femme d'aujourd'hui est cent fois plus étonnante que le jeune Spartiate qui souriait tandis qu'il était dévoré par son renard. Cet adolescent, en effet, personne ne lui demandait dé remuer. Mais la femme à la mode, non seulement elle sourit, mais encore elle va et vient, elle penche le buste à droite et à gauche, elle marche, elle danse, cependant qu'un appareil ingénieux et terrible lui froisse les côtes, lui comprime le ventre, lui lacère les jambes, lui meurtrit les genoux. Que lui importe ? Un sourire d'extase illuminant sa figure enivrée, elle s'avance, désarticulée et engageante, suivant toutes les règles de l'attitude, qui lui donne son grand cachet de chic, de l'attitude-tango.
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My dear friend,
You ask me my opinion on current fashion, just like that?… That's a woman's idea!… As if Fou could profess an opinion on such a subject, so undulating! All a man of taste can do is admire his passing contemporaries, and respect this tormenting effort that they impose on you to infinitely diversify their seductive figure. I know that this effort is not always successful. But don't blame fashion, which has nothing to do with it. There are two kinds of women, those who have taste… and those who don't. The latter have the genius to choose from among the outfits of the day precisely the one that will make them look ridiculous.
There comes a time when we no longer notice how graceful the women of taste are who still wear fashionable things last month, but we only have eyes for their unfortunate imitators. That’s when a fashion goes out of fashion. It needs to be changed.
The question of changing does not arise for current fashion, since its characteristic is, on the contrary, to be in perpetual evolution. An evolution! what did I say? a dizziness… We don't have time to relate… It seems that all countries are invited to provide us with constantly renewed sources of inspiration. And it is Persia and soon India, and it is Greece, the Greece of Mr. Pierre Loüys, the semi-eastern Greece of Alexandria, and it is Turkey and tomorrow it will be China. And then afterwards, we will go back to the Middle Ages. We will loot the museums. Current fashion? Ah! very stupid anyone who tries to make fun of it! Because he would not have sooner finished his little diatribe, so vain! that one could already reply to him: “But, Sir, you are dating, you are making fun of a very old thing. What you find ridiculous, we have had enough of it ourselves for at least a fortnight…" Look at the caricatures in the amusing newspapers, and you will be edified. Current fashion, which has the disadvantage of being very expensive for those who want to follow it, and of bewildering them a little, at least has the superiority of escaping ridicule. She runs so fast!…
And yet, you will tell me, it exists. Let's get dressed, damn it! It's up to you to extract the general line from all this, I don't know, the synthesis…
I don't mind. Let's see. Let's search together. Is it the tunic? But no, since a good half of the toilets do not have a tunic. Is it the cape? The cape gives a pretty silhouette, but how many women remain faithful to coats of a completely different shape, and yet remain very in tune! Would the score be given by the hat? I'm willing, but which one? The small, the large, the flat, the wide, the immense, the round, the rolled into a cone, the heavy or the airy?… Look no further and agree with me that what characterizes current fashion is not so much a more or less supple and graceful line of the garment as an attitude of the woman who wears this garment, this soft, hip, abandoned, gentle, passive, a little spineless attitude and which, to tell the truth, I'll call it attitude-tango.
It has often been said: “The stomach has worn a lot this year." What an unfortunate impropriety of expression! You know well, you who dress beautifully and carry yourself the same, that it was never a question of stomach, but that it was very much a question of tango. Now, in the exercise of this charming dance, which, despite resounding ecclesiastical prohibitions, is not about to disappear, one very often finds oneself with one's arm in the air and one's heel raised, carrying the entire weight of one's body, on one side only, which immediately gives the ladies a little languorous and empty air, a limp and lopsided attitude.
By devoting themselves to this dance, our elegant ladies have gotten into the habit of holding themselves like this in all other circumstances of life. And it is while swaying that they enter a salon, that they take tea there, that they listen to men of wit, that they return to their car, that they try on their dresses, that they wait the tennis ball, finally let them live.
Remember how they were just three years ago. Straight, proud, showing off every inch of their waist, and thin, so thin! They were Florentines, queens, inaccessible idols. Tango changed all that. Tango humanized them, softened them, tango broke them.
There is even a deep mystery there. Because, finally, the corset has not abdicated any of its inflexible nature. It may bear the names of nixes and undines, fairies, magicians or goddesses, all we can say is that it starts a little lower and ends much lower. And some look more like boned panties than actual corsets. But the fact is that this instrument is sweet only in name and that it always consists of a nozzle as rigid as a principle, of solid staples like crampons and of baleen which sometimes break, but do not bend under any circumstances. Pretext. How can such a fiercely held woman find a way to bend over with such delicious languor? How does it manage to give the impression of being, underneath, covered only with imponderable lawns and soft cambric? Enigma, I tell you. Riddle of courage and heroism. The woman of today is a hundred times more astonishing than the young Spartan who smiled as he was devoured by his fox. This teenager, in fact, no one asked him to move. But the fashionable woman not only smiles, but also comes and goes, she leans her bust to the right and to the left, she walks, she dances, while an ingenious and terrible device crumples her ribs, compresses her stomach, lacerates his legs, bruises his knees. What does it matter to him? A smile of ecstasy illuminating her intoxicated face, she advances, disjointed and engaging, following all the rules of attitude, which gives her her great stamp of chic, of the tango attitude.
#Les Modes#20th century#1910s#1914#periodical#fashion#fashion plate#color#illustration#essay#bibliothèque nationale de france#dress#Francis de Miomandre#july color plates
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Ma dernière note de synthèse était très bonne du coup je stresse à l'idée de faire moins bien.
Ma dernière note au questionnaire était très nulle, du coup je stresse parce qu'il faut que je fasse beaucoup mieux .
Oskour.
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Philosophie, dialectique, psychanalyse
Pour peu que nous considérions le terme de perversion dans son acception originelle de détournement, de déviation d’une tendance par rapport à son but dit "naturel", nous partirons du «déni de la dimension du sujet à proprement parler», pour opposer:
• aux philosophies "perverses" car elles font l'apologie de l'individu compris comme un être corporel, vivant, allant de soi, incarné dans un "monde" conçu comme le lieu "naturel" de son inscription (un monde dans lequel il entretient des rapports avec les autres)…
• la philosophie authentique, qui est celle de l'hystérique, celle inaugurée par Socrate, dont la caractéristique principale est de partir d'emblée d'un sujet travaillé intérieurement par son «manque-à-être», un sujet divisé par la question de savoir:
1/ ce qu'il est pour le désir de l'Autre et
2/ ce que l'Autre semble attendre de lui ;
un sujet véritablement sujet, assujetti donc, ne pouvant se concevoir a priori que dans le retrait subjectif, une radicale extériorité par rapport à la prétendue réalité dite "objective".
Ainsi, l’homme, l’être, l’individu, la personne, le da-sein, le sujet… ce sont des mots qui chacun définissent un certain horizon de sens. Et de non-sens.
• Dans la tradition philosophique pré-lacanienne, ce qui s’appelle sujet (cf L’herméneutique du sujet de Foucault) n’est pas en soi sexualisé, la "sexualisation" c’est quelque chose qui se passe au niveau empirique, contingent, pour cette pensée, il y aurait ainsi d’abord un sujet, et ensuite interviendrait sa sexualisation…
• Dans la théorie psychanalytique, c’est l’inverse, c’est la sexuation (la coupure) qui est la condition formelle a priori de la constitution d’un sujet, raison (entre autres) pour laquelle le sujet de l’inconscient, le sujet de la psychanalyse, est toujours a priori un sujet divisé, un sujet clivé, un sujet barré, inconsistant, qui se note $ (S barré).
Le $ujet c'est tout le contraire d'un individu, puisque l'indivision est le contraire de la division.
Le sujet de l'inconscient, qui n'est autre que le sujet du Cogito cartésien, non transparent à lui-même, comme l'a démontré Lacan, est rigoureusement exogène à l'univers des statistiques, et n'a rien à voir avec les élucubrations universitaires pseudo-égalitaristes abstraites des Gender Studies ou des études de marché. «La science est une idéologie de la suppression du sujet» note Lacan…
Le sujet de l'inconscient ne parle pas "directement", mais ça parle de lui dans le strict cadre de l'énonciation productrice d'un énoncé, et c'est seulement par là qu'il s'appréhende, notamment par la médiation du psychanalyste capable d’en entendre quelque chose dans une écoute dite "analytique", ce qui implique le recours à la dialectique.
La dialectique consiste à repérer le point commun dans ce qui constitue a priori les oppositions dans leur apparence inconciliable.
Dans le cas du jugement esthétique (par exemple: qu’est-ce que le Beau?), nous avons:
- le premier temps (thèse) qui est celui du jugement dogmatique: ce qui est beau, c’est ce que je connais déjà comme objet que je trouve beau
- dans un deuxième temps (antithèse), je me rends compte que c’est la culture spécifique du sujet qui prédétermine ce qui est beau pour lui, et j’en arrive donc au jugement sceptique qui aboutit au relativisme culturel: tout se vaut, il n’y a pas de beau en soi, chacun sa vérité…
- le troisième temps (synthèse) permet de poser le problème de manière différente, le jugement dialectique permet de saisir le point commun entre les deux temps précédents: dans les deux cas, le beau semble dépendre de quelque chose d’externe au sujet, cependant si je ressens un plaisir esthétique, ce n’est pas dans l’objet extérieur qu’il s’agit de chercher les critères décisifs du beau, mais bien chez le sujet lui-même.
Or s’il y a plaisir (esthétique) c’est qu’il y aura eu un désir (subversion du sujet et dialectique du désir), si j’ai du plaisir à boire, c’est que j’aurai eu soif, le plaisir de boire présuppose la soif (sauf pour les boit-sans-soif...) car nous dit Spinoza, nous ne désirons pas une chose parce qu’elle est belle mais nous trouvons des choses belles parce que nous les désirons.
La synthèse au plan dialectique intègre donc les deux propositions qui précèdent (thèse et antithèse) et reprend la position de l’antithèse mais en lui faisant faire un pas de plus, le pas décisif, qui consiste à réintégrer le sujet de l’énonciation dans son énoncé.
Le problème s’en trouve déplacé et ne se pose plus de la même manière, la question ne peut plus se poser comme «qu’est-ce que le Beau» mais: «qu’est-ce que, toi, tu appelles le Beau?»
C’est la manière de questionner propre à Socrate qui fait passer la question du plan objectif «qu’est ce qu’une chose?» au plan du sujet «qu’appelles-tu, toi, cette chose?», rappelant que ce sont toujours à des mots que nous avons affaire a priori, et que chaque sujet est à considérer dans sa singularité absolue.
Voilà pourquoi Lacan considère Socrate comme le premier psychanalyste («l’hystérie géniale de Socrate») et Hegel comme «le plus sublime des hystériques»...
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KUNTARI + MAQ / OTOS ++ SARAH TERRAL + NICOLAS DEBADE
BONJOUR / BONSOIR / / HELLOOO)))
MARDI LE 26.11
Le Non_Jazz
KUNTARI id MAQ + OTOS arg / fr SARAH TERRAL fr NICOLAS DEBADE fr
OLYMPIC CAFÉ 20 rue Léon 75018 M° Château Rouge
20:00 portes 20:45 ACTION!
P.A.F. 6€ KUNTARI id Duo de " primal-core " ( néologisme conçu par le leader et l'initiateur du projet Tesla Manaf), originaire de Bandung en Indonésie.
Leur musique s'inspire autant de sons de la nature ( avec une prédilection particulière pour les cris d'accouplement d'animaux sauvages - y compris ceux de gigantesques créatures imaginaires ) que de rythmiques et de textures des musiques balinaises et / ou chinoises traditionnelles.
Guitare / batterie / instruments traditionnels / électronique ou encore cornet ou trompette ( joués avec une technique non-orthodoxe appliquée aux embouchures ), produisent des textures et des climats sombres et soutenus, tissant la bande-son d'un mystérieux rituel, se déroulant dans une ambiance moite et onirique.
Le groupe a collaboré notamment avec entre autres, Keiji Haino, Fuyuki Yamakawa, Rully Shabara, Arthur Hnatek, Morgue Vanguard, Jonas Engel, Luigi Monteanni, Yuji Ishihara and Yasushi Yoshida.
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MAQ + OTOS arg / fr Duo inédit et transatlantique. Macarena Aguilar Tau ( aka MAQ) - qui vit et travaille à Buenos Aires - est artiste sonore, chef d'orchestre, compositrice et productrice dont le travail se concentre sur l'expérimentation combinant éléments acoustiques, électroacoustiques et électroniques.
Elle compose de la musique pour des ensembles instrumentaux, bandes-son ( musique et / ou sound design ) pour films, podcasts, pièces de théâtre, installations, dispositifs de réalité virtuelle et se produit aussi - solo ou en collaboration avec d'autres - sur scène en réalisant des performances électroniques en direct.
OTOS est une nouvelle facette du travail de la violoncelliste / contrebassiste / compositrice-improvisatrice Félicie Bazelaire.
Avec ce nouveau projet, elle a développé un dispositif électro-acoustique lui permettant d’improviser à partir de ses propres sons de contrebasse préalablement enregistrés.
Elle envisage ce jeu musical comme une extension polyphonique de son instrument et peut ainsi créer des paysages sonores où rythmiques organiques et harmonies flottantes cohabitent.
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SARAH TERRAL fr Un des multiples projets de Clément Vercelletto ( Orgue Agnès, Kaumwald, Engoulevent ), ici à la synthèse modulaire.
" Habitué à façonner des sons fourmillants, qu’ils soient organiques ou technoïdes, on le retrouve ici face à une approche minimaliste et épurée. Chaque séquence, chaque note est posée dans un espace évanescent et impalpable. Les modulations électroniques sont précises et l’histoire que nous raconte le musicien est limpide et sans fioritures. " ( Instants Chavirés )
NICOLAS DEBADE fr Que ce soit pour ses compositions ou ses lives ( " à base d’oscillateurs, pédales d’effets, synthés et feedbacks, puisant dans la matière noire et toutes autres sources d’intérêt pour les musiques obscures et énergiques" ), ses influences se situent autant du côté des musiques improvisées que des pionniers électroacoustiques, des bruitistes et expérimentateurs en tout genre.
Musicien, compositeur, chercheur. A fait partie du duo de noise marseillais Ohmodron,et a par ailleurs pu se produire en solo ou a participé à d'autres groupes.
Après des années passées à Marseille à côtoyer les scènes conventionnelles ou interlopes, après des études de piano en conservatoire et dans le son, jusqu’à un doctorat en sciences de l’art et sociologie, il rejoint fin 2019 l’équipe du GRM.
Fly - Jo L'Indien
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Histoire du planning familial, de Malthus à la constitutionnalisation de l’avortement
Marion Sigaut, historienne, nous retrace l’historique du planning familial en France dont les origines sont américaines. Partant des idées de Malthus, nous passons par l’entre-deux-guerres avec les années folles en France, Margaret Sanger aux États-Unis avec l’International Planned Parenthood Federation ; la loi française de 1920 qui réprimait la provocation à l’avortement et la propagande anticonceptionnelle ; le Conseil supérieur de la natalité, puis le code de la famille, l’allocation de salaire unique, etc.
Ce panorama dépeint l’héritage U. S. d’Alfred Kinsey dans les directives de l’OMS pour l’éducation mondialisée des enfants ; l’entreprise de démolition des allocations familiales françaises par Pierre Mendès France ; l’influence d’auteurs comme Betty Frieman (U. S. A.) dans “l’émancipation” des femmes. ; le passage de l’allocation familiale à l’allocation de garde et la promulgation des crèches ; l’avènement du concept de paternalisme, puis de patriarcat ; la propagande démographique servant à faire accepter la dénatalité ; la mise au point de la pilule par des grandes fortunes américaines (fondations Rockefeller, Ford et McCormick), ainsi que sa défense militante en France via Marie-Andrée Lagroua Weill-Hallé et Évelyne Sullerot ; l’affaire des époux Bac qui a servi de tremplin à la mise en place du programme du Planning Familial, puis à l’abolition de la loi de 1920 et à l’élaboration de la loi Neuwirth qui promeut l’information sur les moyens de contraception dans le but de lutter contre l’avortement ; les glissements du sens des concepts [fenêtre d’Overton] tels que les “bébés non désirés” qui deviennent des “bébés encombrants”, puis des “bébés surnuméraires” ; l’opposition de Maurice Thorez (communiste, PCF) au programme du Planning Familial ; le militantisme de certains Protestants, de Sionistes, de certaines loges maçonniques ; l’échec de la pilule auprès des masses populaires, mais la réussite de la légalisation sur l’avortement ; l’aboutissement au contraire de ce qui était annoncé : peu de contraception, mais davantage d’avortements ; etc.
Enfin, la présentation du programme du Dr Richard Day annoncé lors d’une conférence en 1969 à la Pittsburgh Pediatric Society devant un parterre de professionnels de la santé. Programme dénoncé une vingtaine d’année plus tard, en 1988, par le Dr Lawrence Donegan dans un entretien accordé à la journaliste Randy Engel.
‣ Chaîne Youtube « Marion Sigaut », « De Malthus à l’Avortement », pub. 6 avr. 2024, (sans espace) https :// www . Youtube . Com / watch ? v=262LAgGLbBs (cons. 6 avr. 2024). ‣ Notes personnelles complètes au sujet de cette conférence (trop conséquentes pour pouvoir les publier via un post sur ce blog). – Pierre-Hector_Notes_Marion-Sigaut_Planning-familial.pdf ��
Rem. 1 : Il serait intéressant de mettre cette conférence instructive et éclairante en parallèle de la notion de sacrifice, collectivement et individuellement, notion reliée à celles de la castration, de l’amputation, de l’impuissance, de la perte, du deuil, des rapports de pouvoir, des peurs ancestrales face aux éléments naturels, du bouc émissaire, etc. – Synthèse succincte sur la notion de sacrifice au sein du catholicisme. – Chaîne Youtube « Le Verbe Haut », « [CONFÉRENCE] Alain Pascal et Sylvain Durain "Le sacrifice humain VS Sacrifice divin" », pub. 28 mai 2023, https://www.youtube.com/watch?v=l8zTWRO9s1c (cons. 16 avr. 2024).
Rem. 2 : À mettre aussi en parallèle de l’interview de Pierre Hillard par le Media 4-4-2, « Révolution française, géopolitique et mystique », pub. 4 avr. 2024 (18). – Media 4-4-2, « Révolution française, géopolitique et mystique », pub. 4 avr. 2024, https://www.tumblr.com/pierre-hector/747037981668474880/r%C3%A9volution-fran%C3%A7aise-g%C3%A9opolitique-et-mystique?source=share
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#histoire#marion sigaut#planning familial#malthus#pilule#avortement#émancipation#patriarcat#sacrifice#planned parenthood
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Les meilleures applications de prise de notes avec IA pour organiser l'information
Dans le monde numérique d’aujourd’hui, où tout va très vite, rester organisé et gérer efficacement l’information est plus important que jamais. Que vous soyez étudiant avec plusieurs matières à gérer, professionnel assistant à de nombreuses réunions, ou penseur créatif générant constamment de nouvelles idées, disposer du bon outil de prise de notes peut faire une grande différence. C’est là qu’interviennent les meilleures applications de prise de notes avec intelligence artificielle. Ces outils innovants ne se contentent pas de capturer des informations, ils les organisent, les résument et les rendent accessibles sans effort. Grâce à l’intégration de l’IA dans les applications de prise de notes, la gestion de vos pensées, recherches et tâches devient plus intelligente et plus efficace.

Les applications de prise de notes propulsées par l’IA se distinguent par leurs fonctionnalités avancées telles que la transcription automatique, le classement intelligent, la synthèse de contenu et la reconnaissance vocale. Ces fonctions permettent aux utilisateurs de convertir le contenu oral en notes écrites, de classer les informations selon leur contexte, et de mettre en évidence les points clés sans intervention manuelle. Le résultat est un flux de travail simplifié où l’information est toujours accessible et organisée de manière logique. Pour les étudiants, ces applications peuvent transcrire des cours en temps réel, garantissant qu’aucun détail important ne soit oublié. Pour les professionnels, elles permettent d’enregistrer des réunions, d’en extraire les points essentiels, et même de programmer des rappels pour les actions à suivre, économisant ainsi temps et énergie.
Parmi les applications de prise de notes avec IA les plus populaires, des noms comme Otter.ai, Notion, Evernote et Microsoft OneNote se démarquent souvent. Otter.ai excelle dans la transcription vocale et la collaboration, ce qui en fait un choix de premier plan pour les équipes et les particuliers. Notion combine prise de notes et gestion de projets, avec des modèles et options de personnalisation qui répondent aux besoins personnels et professionnels. Evernote reste un favori grâce à sa synchronisation fluide entre plusieurs plateformes et à sa recherche assistée par IA. Microsoft OneNote, quant à lui, s’intègre parfaitement à l’écosystème Microsoft, ce qui en fait une solution idéale pour les utilisateurs de cet environnement. Ces applications utilisent des algorithmes d’IA pour organiser intuitivement le contenu, suggérer des notes connexes et prioriser les tâches importantes en fonction des habitudes d’utilisation.
L’un des grands avantages des applications de prise de notes avec IA est leur capacité à apprendre de vos habitudes. Au fil du temps, l’IA s’adapte à vos préférences, offre de meilleures suggestions, complète vos notes automatiquement et fournit même des données pertinentes provenant d’anciennes entrées. Cette assistance intelligente transforme la façon de prendre et gérer des notes, en passant d’un texte statique à une expérience plus dynamique et interactive. De plus, la plupart de ces applications offrent un stockage dans le cloud, garantissant que vos données sont toujours sauvegardées et accessibles sur plusieurs appareils.
La sécurité et la confidentialité sont également des priorités pour les meilleures applications de prise de notes avec IA. Les développeurs intègrent de plus en plus des mesures de protection des données et un chiffrement de bout en bout pour sécuriser les informations sensibles des utilisateurs. Que vous gériez un journal personnel, des stratégies commerciales ou des recherches académiques, ces applications sont conçues pour garantir la confidentialité tout en offrant des fonctionnalités de pointe.
À mesure que la technologie de l’IA continue d’évoluer, l’avenir de la prise de notes deviendra encore plus personnalisé et intuitif. Les utilisateurs peuvent s’attendre à plus d’automatisation, une meilleure compréhension contextuelle et une intégration fluide avec d’autres outils de productivité. Le choix de la meilleure application de prise de notes avec IA dépend des besoins de chacun, mais une chose est sûre : intégrer l’IA dans votre routine de prise de notes change la donne pour organiser l’information efficacement et garder une longueur d’avance dans votre vie personnelle et professionnelle.
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Il y’a quelques semaines de ça, quand j’ai vu l’invitation de NousToustes à tenir un stand à leur soirée post-manif, dans le village des asso, au Ground Control; j’ai répondu présente de suite. J’étais la première. J’ai été mise en relation avec le groupe local Paris Nord dans les 5min et puis silence radio.
J’ai laissé un peu de temps passé. Proposé à moitié en blaguant à moitié « pitié ne me laisse pas seule » à deux de mes camarades militant•es et puis, on m’a indiqué qu’une quatrième personne voulait en être et c’est comme ça que j’ai constitué le groupe de coordination à base de : tout le monde va bien ? On imprime quoi ? On parle de quoi ? Quelles campagnes mettre en avant ? Doit-on revoir notre pitch ? De quoi avez vous besoin ? Comment vous sentez vous dans la foule ? On veut des stickers pas vrai ? Qui s’en charge ? Et nos flyers ? Ou les trouve-t-on ? Qui s’y rend ? Etc etc
On est en autogestion mais entre celleux qui n’ont que peu de temps 🙋🏻♀️ et les autres, faut quand même donner quelques directions et faire des points d’étape (que je rédige dans les transports 🤦🏻♀️).
Dans mon groupe, y’a mon binôme sur qui a un esprit de synthèse hors pair. Il a mis toutes mes notes/tâches à faire dans un tableau et on voit tout de suite ce qui nous reste sur les bras. A savoir, beaucoup de choses. Et bien sûr, comme le temps file à toute vitesse et militant•e n’est pas notre activité principale … la soirée dont on parle est déjà dans 8 jours HAHAHAHA.
On a donc un we pour tout boucler. En mode Chill. Parce qu’on est des gens comme ça. A rire beaucoup. Dès qu’on se retrouve en présence, à distance, en asynchrone. Chacun•e a son propre rythme et les choses avancent doucement. Construire des relations n’est pas facile. Dans la vie perso, pro, sociale mais dans le militantisme, il faut une sacrée dose de confiance. Et pour le moment, mon cercle est tout petit.
J’étais vraiment fatiguée ce soir. Et puis, échanger et rire sur l’organisation de cette soirée m’a redonné la pêche, de la joie et raviver cette croyance qu’on ne fait pas tout ça pour rien. Qu’on est pas seul•e. Qu’on sera de plus en plus nombreuxses à vouloir faire basculer les sociétés vers plus de justice sociale dans un monde plus respectueux du vivant sur terres, en mers et dans les airs.
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3. Transmission générationnelle
Quelques semaines plus tard, nous nous retrouvions ensemble, Grand-père et moi, dans son atelier. Je bullais en fin de journée en repensant au regard de Viktor. Il semblait curieux, inquiet et à la fois soucieux. Quelque chose d’ancien semblait avoir titillé son esprit. J’avais rencontré Viktor quelques jours plus tôt en prétextant une visite de courtoisie auprès du professeur Heimerdinger, en profitant pour poser des questions techniques sur certains de mes propres travaux en cours. _ J’ai déjà vu ce dont Singed était capable. Il étudiait la régénération et son laboratoire était complexe. Je ne dirais pas qu’il s’agit d’un fou. Simplement, sa morale, son éthique, peuvent déranger. _ Et c’est grâce à sa trouvaille toute aussi originale que mon grand-père espère le motiver à changer de camp. _ Il semblerait. S’il est lié à l’incident de la mort des habitants de la Ville Basse dans l’ancien hangar, alors cela veut dire que ses expériences pourraient être manipulées et utilisées à des fins… Terribles… Nous avions parlé dans l’intimité de la réserve. Viktor était appuyé sur un carton tandis que je me tenais debout, la main sur la hanche. Nous avions échangé un regard pétillant lié à l’excitation de l’enquête. Puis, d'un commun accord silencieux, nous étions ressorti pour poursuivre notre journée. Dans l’atelier lorsque nous surgîmes, la jeune assistante nous dévisagea et me jaugea du regard. Interloquée par son air interdit, je l’observais avant de partir, le regard perçant de mes yeux opales : elle s'était précipitée vers Viktor pour l’assister dans son travail, le regard admiratif mais discret. J’avais l'œil pour repérer ces choses là. Viktor quant à lui, n’avait rien relevé. Et ce désintérêt, cette désinvolture, avait quelque chose de très envoûtant.
Toujours est-il que les paroles de Viktor résonnaient en moi lorsque j'étais penchée sur la table de travail de Grand-père. J’essayais de scanner du regard certaines feuilles volantes, certaines notes, pour essayer d’y déceler une information. Aussi, estimant que notre relation était de confiance, je sondais un peu le vieil homme retournant la clepsydre de liquide violet, qui, il y a quelques années, me fascinait tant. _ Tu connais Singed Grand-père ? J’avais lâché ça dans la pièce et la phrase semblait presque en suspens dans les airs. Grand-père releva la tête de son ouvrage et haussa ses sourcils broussailleux. _ Il est à l’origine du Shimmer, de certaines de ces drogues qui circulent. Mais ce n’est pas le seul, il ne faut pas croire. Beaucoup profitent de travaux existants pour créer des substances de synthèse. En observant le liquide violet couler lentement dans le mélange de la clepsydre, celle-ci sembla presque briller tellement l’idée me frappa comme l’éclair. Ce liquide violet… _ S’en est. Dis-je alors presque machinalement, l’air éteinte. _ Comment ?! _ Ces clepsydre. Certaines contiennent du Shimmer je me trompe ? _ Aika… À quoi penses-tu ? _ Je pense que tu me caches des choses… Nos regards semblables se croisèrent alors et un tressaillement dans la moustache trahi Grand-père qui ne voulait pas me mentir. _ Je travaille effectivement sur certaines choses. Mais pas dans le but de fournir les gens en quoi que ce soit, ça non. Je… cherche à comprendre comment il travaille. Je suis parvenu, à l’aide de certaines des machines que nous avons ici, à manipuler cette matière pour en faire autre chose. Il sortit alors la fameuse fiole qui semblait contenu du jus de fruit : clair, orangé, optimiste. Je suis parvenu à ce résultat très infime. Il est plus dur à produire, nécessite une base de Shimmer mais le résultat est beaucoup moins dangereux et à risque pour les gens. Et j’ai pensé qu’en la lui présentant… Corin serait… Apte à m'écouter. _ Vous vous connaissez ? _ Depuis toujours. Et… Grand-père baissa la tête, soucieux. Je posai alors machinalement ma main sur son épaule, en soutien. _ J’ai compris… Je sais. Pas besoin de te justifier. Cette histoire avait commencé il y a si longtemps. Grand-père me conta alors l’histoire de la famille Reveck. Semblable à ce qu’il me racontait lorsque j'étais plus jeune, il précisa le drame qui les avait touchés.
Leur fille, Orianna, la maladie, la mort de cette dernière. La déchéance de sa femme et le désespoir de Corin pour trouver une solution, une solution à l'état de mort de sa fille, qui l’avait plongé dans un chagrin inconsolable. Seul mon grand-père à l'époque, avait été une source de réconfort. Lui aussi avait perdu quelqu’un, sa femme. Il élevait seul sa fille et s'était attaché à Corin et son chagrin, au point d’en tomber amoureux. Je ne pouvais lui expliquer à quel point cette histoire d’amour était triste et déjà sans issue selon moi, tant il en parlait avec du cœur et une sincérité presque candide. Cependant, quand Corin compris qu’il pouvait travailler sur la régénération humaine pour aider sa fille, ses méthodes furent controversées, jugées anormales. Son talent d’alchimiste d'avoir d’égal que son manque de limites. Corin Reveck lassa place à Singed, qui sévissait dans l’ombre, allant se terrer dans les bas-fonds de Zaun pour faire ses expériences. Grand-père l’avait perdu. Le cercueil de verre que j’avais aperçu, des années auparavant, avait été la preuve pour lui que Singed était toujours aussi déterminé et selon lui, il profitait sûrement des affaires politiques et de convoitise du moment dans son but personnel. Le mal des uns fait le terrain de jeu des autres…
Les années qui suivirent, je me concentrai alors sur ses recherches. Bien sûr en apparence, je poursuivis mon travail à l’atelier d’horlogerie, mais je m’étais plongée dans une recherche intense du Shimmer, ses alternatives sans cruauté et des recherches de Grand-père. Le temps passait pour lui et il accusait son coup, mais était aussi tellement en forme et plein d’entrain qu’il supportait l'impatience de ne pas voir avancer nos projets aussi vite que possible.
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Analyse de Sécurité et Fiabilité
Produit par l'équipe de rédaction
**Synthèse produite par l'équipe de rédaction** : Le site analysé a une note nulle sur les avis. Il est basé aux États-Unis, créé en 2024 et expire en 2024. Aucune adresse physique n'est disponible. Le site utilise le protocole HTTPS, mais n'a pas de présence sur les réseaux sociaux. Son avis de fiabilité est mitigé avec une notation de 54/100 pour la pratique du dropshipping. Plus de 120 critères ont été pris en compte pour évaluer la sécurité et la fiabilité du site, et les informations ci-dessus ne sont qu'un aperçu.
Date de création du nom de domaine
01/02/2024
Cette information a été obtenue depuis les registres publiques de noms de domaines : le Whois. La date de création du nom de domaine correspond à l'âge du dépôt de ce dernier. Certains sites peuvent indiquer la date de création de leur entreprise ou communiquer une information erronée.
Dernière mise à jour du nom de domaine
21/03/2024
Cette information fait état des derniers changements effectués sur le nom de domaine du site. Une modification récente peut inciter à la vigilance.
Date d'expiration du nom de domaine
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Une réservation longue du nom de domaine indique une volonté de pérennité des propriétaires du site.
Popularité du site
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L'indicateur de popularité d'un site est un indice calculé sur la base de plusieurs métriques proposées par différents services calculant la popularité des sites de façons différentes. Nous nous basons sur les chiffres fournis par plusieurs fournisseurs de cette métrique pour calculer notre propre indice de popularité.
Adresse physique
Si le site internet est lié à un magasin physique alors les recours, en cas de non livraison ou de non satisfaction, sont simplifiés.
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Technologie utilisée
Cette analyse peut permettre de détecter des technologies suspectes.
Certificat de protection du site - SSL
Le SSL est un certificat qui protège les sites web contre les escroqueries par hameçonnage, les violations de données et de nombreuses autres menaces. Le SSL permet une connexion cryptée.
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- a été grippée toute la semaine
- n'a pas révisé la méthode de la note de synthèse
- arrive à l'examen blanc avec 30 minutes de retard (s'est trompée d'horaires)
-> rends quand même sa copie pile à l'heure , quasi terminée, longue de 6 pages 🔥🔥🔥🔥 (la chaotic girl que je suis est de retour)
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Philosophie, dialectique et psychanalyse
Pour peu que nous considérions le terme de perversion dans son acception originelle de détournement, de déviation d’une tendance par rapport à son but dit "naturel", nous partirons du «déni de la dimension du sujet à proprement parler», pour opposer:
• aux philosophies "perverses" car elles font l'apologie de l'individu compris comme un être corporel, vivant, allant de soi, incarné dans un "monde" conçu comme le lieu "naturel" de son inscription (un monde dans lequel il entretient des rapports avec les autres)…
• la philosophie authentique, qui est celle de l'hystérique, celle inaugurée par Socrate, dont la caractéristique principale est de partir d'emblée d'un sujet travaillé intérieurement par son «manque-à-être», un sujet divisé par la question de savoir:
1/ ce qu'il est pour le désir de l'Autre et
2/ ce que l'Autre semble attendre de lui ;
un sujet véritablement sujet, assujetti donc, ne pouvant se concevoir a priori que dans le retrait subjectif, une radicale extériorité par rapport à la prétendue réalité dite "objective".
Ainsi, l’homme, l’être, l’individu, la personne, le da-sein, le sujet… ce sont des mots qui chacun définissent un certain horizon de sens. Et de non-sens.
• Dans la tradition philosophique pré-lacanienne, ce qui s’appelle sujet (cf L’herméneutique du sujet de Foucault) n’est pas en soi sexualisé, la "sexualisation" c’est quelque chose qui se passe au niveau empirique, contingent, pour cette pensée, il y aurait ainsi d’abord un sujet, et ensuite interviendrait sa sexualisation…
• Dans la théorie psychanalytique, c’est l’inverse, c’est la sexuation (la coupure) qui est la condition formelle a priori de la constitution d’un sujet, raison (entre autres) pour laquelle le sujet de l’inconscient, le sujet de la psychanalyse, est toujours a priori un sujet divisé, un sujet clivé, un sujet barré, inconsistant, qui se note $ (S barré).
Le $ujet c'est tout le contraire d'un individu, puisque l'indivision est le contraire de la division.
Le sujet de l'inconscient, qui n'est autre que le sujet du Cogito cartésien, non transparent à lui-même, comme l'a démontré Lacan, est rigoureusement exogène à l'univers des statistiques, et n'a rien à voir avec les élucubrations universitaires pseudo-égalitaristes abstraites des Gender Studies ou des études de marché. «La science est une idéologie de la suppression du sujet» note Lacan…
Le sujet de l'inconscient ne parle pas "directement", mais ça parle de lui dans le strict cadre de l'énonciation productrice d'un énoncé, et c'est seulement par là qu'il s'appréhende, notamment par la médiation du psychanalyste capable d’en entendre quelque chose dans une écoute dite "analytique", ce qui implique le recours à la dialectique.
La dialectique consiste à repérer le point commun dans ce qui constitue a priori les oppositions dans leur apparence inconciliable.
Dans le cas du jugement esthétique (par exemple: qu’est-ce que le Beau?), nous avons:
- le premier temps (thèse) qui est celui du jugement dogmatique: ce qui est beau, c’est ce que je connais déjà comme objet que je trouve beau
- dans un deuxième temps (antithèse), je me rends compte que c’est la culture spécifique du sujet qui prédétermine ce qui est beau pour lui, et j’en arrive donc au jugement sceptique qui aboutit au relativisme culturel: tout se vaut, il n’y a pas de beau en soi, chacun sa vérité…
- le troisième temps (synthèse) permet de poser le problème de manière différente, le jugement dialectique permet de saisir le point commun entre les deux temps précédents: dans les deux cas, le beau semble dépendre de quelque chose d’externe au sujet, cependant si je ressens un plaisir esthétique, ce n’est pas dans l’objet extérieur qu’il s’agit de chercher les critères décisifs du beau, mais bien chez le sujet lui-même.
Or s’il y a plaisir (esthétique) c’est qu’il y aura eu un désir (subversion du sujet et dialectique du désir), si j’ai du plaisir à boire, c’est que j’aurai eu soif, le plaisir de boire présuppose la soif (sauf pour les boit-sans-soif...) car nous dit Spinoza, nous ne désirons pas une chose parce qu’elle est belle mais nous trouvons des choses belles parce que nous les désirons.
La synthèse au plan dialectique intègre donc les deux propositions qui précèdent (thèse et antithèse) et reprend la position de l’antithèse mais en lui faisant faire un pas de plus, le pas décisif, qui consiste à réintégrer le sujet de l’énonciation dans son énoncé.
Le problème s’en trouve déplacé et ne se pose plus de la même manière, la question ne peut plus se poser comme «qu’est-ce que le Beau» mais: «qu’est-ce que, toi, tu appelles le Beau?»
C’est la manière de questionner propre à Socrate qui fait passer la question du plan objectif «qu’est ce qu’une chose?» au plan du sujet «qu’appelles-tu, toi, cette chose?», rappelant que ce sont toujours à des mots que nous avons affaire a priori, et que chaque sujet est à considérer dans sa singularité absolue.
Voilà pourquoi Lacan considère Socrate comme le premier psychanalyste («l’hystérie géniale de Socrate») et Hegel comme «le plus sublime des hystériques»...
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Note de synthèse de la visite au Centre Hospitalier Philippe Senghor
Le ministre de la Santé et de l’Action Sociale a récemment effectué une visite au Centre Hospitalier Philippe Senghor. Cette visite avait pour objectif d’évaluer les conditions de travail du personnel de santé, d’inspecter l’état des infrastructures et d’écouter les préoccupations des patients et des soignants. . Les bâtiments montrent des signes de vétusté et nécessitent des travaux de…
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MAX EILBACHER + ARNICA MONTANA + TURNER WILLIAMS JR. + SARA LEHAD
LUNDI LE 17 MARS
ATTENTION / New place ( to be )
LA CANTINE PAS SI LOIN - ARTAGON 34 rue Cartier Bresson / Pantin M° Aubervilliers- Pantin-Quatre Chemins
Et ATTENTION on va commencer un peu plus tôt que d'habitude car on doit terminer les lives aux alentours de 22H30
19:00 portes 19:36 ACTION!
P.A.F. " Participation libre " / 6€ néanmoins - ou plus si vous pouvez - souhaitable
MERCI de prévoir du cash pour la P.A.F. ainsi que pour le merch. No CB pour cela / en revanche CB OK pour la buvette!
=================== MAX EILBACHER us baltimore / berlin Artiste intermedia dont la pratique du sonore s’inspire tout autant des musiques électroacoustique et concrète européennes que de la performance sonore d’avant-garde américaine. Dressant des ponts entre ces diverses influences sans en reprendre les codes, il crée des systèmes dans lesquels la synthèse sonore et les logiciels de calculs intensifs génèrent des motifs rythmiques et des timbres complexes, organisés in fine par une intuition compositionnelle.
Dans sa démarche il tente de réconcilier l’expérience de l’instant et la représentation d’un résultat prémédité. Il a étudié l’informatique musicale et le cinéma tout en étant actif dans la scène DIY underground US à travers des groupes comme le trio SEF III ( performance - collage sonore / poésie sonore / dada avec Alex Moskos + Duncan Moore qui honorèrent de leur présence / performance un Non_Jazz il y a environ sept ans ) et l'avant-rock combo Horse Lords ( où il officie à la basse ) qui offre une réponse moderne à la tradition minimaliste en proposant une musique de trance basée sur l’intonation juste.
Que ce soit dans Horse Lords ou dans son travail en solo, Eilbacher explore constamment les fonctions de la structure et du rythme, et s’attache à capturer l’insaisissable instant de la perception de la forme.
youtube
https://www.youtube.com/watch?v=-TbSRuz0blU ARNICA MONTANA fr marseille soft noise/harsh ambient
Arnica Montana explore de fond en comble la synthèse à travers ses instruments électroniques post-industriels faits main. Il s’agit de laisser les synthés jouer pour eux-mêmes, en leur créant des terrains propices au génératif et au chaos, composés d’un écosystème de résonances, de modulations et de déphasages, un terrain de jeu pour l’électricité, le personnage principal de ce projet.
Pour les humain.es, c’est une musique médicinale, un intense massage pour le cerveau. https://www.instagram.com/arnica._.montana/
TURNER WILLIAMS JR. us alabama / marseille Musicien et dessinateur prolifique : on retrouve le même genre d'énergie débordante et de style foisonnant aussi bien dans sa pratique graphique que sonore.
Il compose / improvise avec un shahi baaja : instrument à cordes pincées indien de la famille des cithares, ressemblant à une épinette des Vosges ou à un dulcimer) : il s’agit d’une version électrifiée et légèrement modifiée du bulbul tarang indien , dotée d'un clavier de 2 octaves et demie chromatiques, avec toutes les altérations, soit 30 notes au total.
Shahi baaja ( littéralement : (« instrument royal » ) est composé de deux cordes mélodiques ( " chanterelles " ) accordées en la (l’une grave, l’autre aigüe), de trois cordes bourdons (mi, la, mi aigu), montées sur un chevalet de type "jivari" (comme sur le Sitar indien) mais aussi de 10 cordes sympathiques ( qui vibrent en résonance ) . Il se caractérise par l’absence de caisse de résonance ( c'est un " solid body " donc), l’ajout de micros ( et d’une sortie jack ) ainsi que des touches de machine à écrire faisant office de clavier sur les deux chanterelles.
Répandu dans les avatars contemporains des musiques traditionnelles asiatiques - on en rencontre une version au Pakistan ou en Afghanistan (sous le nom Benju) ou encore au Japon (sous le nom Taisho Koto).- on le retrouve occasionnellement ailleurs ( rock prog, electro, fusion... ) : ainsi on a pu l'entendre ponctuellement chez Beck p.ex. ou Rapoon,ou plus amplement, joué par Michael Flower de Vibracathedral Orchestra dans son duo avec Chris Corsano.
Turner Williams Jr. en propose une approche et une maîtrise tout à fait personnelles.
youtube
https://www.youtube.com/watch?v=fVB4ZuYt9-I
SARA LEHAD fr / dz pantin Artiste-chercheuse en musique et en philosophie. Née en 1995 à Alger, elle vit et travaille à Paris. Actuellement en thèse de recherche-création à l'université Paris 8 (Musidanse/C.ET.I) sous la codirection du musicologue Makis Solomos et de la philosophe Ninon Grangé, elle est également diplômée du conservatoire départemental de Pantin en composition électroacoustique.
Ses performances de consistent à interagir avec le feedback produit par l’insertion de la sortie d’une table de mixage à son entrée. Ce signal parcourt un chemin de pédales d’effets et rencontre des enregistrements de voix stockés dans un échantillonneur granulaire, perturbant ainsi le signal audio initial. Une écoute incarnée est mise en œuvre et convoque le corps dans une relation ventriloque avec la machine. https://www.youtube.com/watch?v=x-MrPEXhY-c https://www.youtube.com/watch?v=yBFf_lJichw
Fly - Jo L'Indien
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Développer son anglais technique pour les ingénieurs et scientifiques

La maîtrise de l'anglais technique permet de communiquer et de faire valoir ses compétences dans un contexte mondial interconnecté. Les revues spécialisées, les conférences scientifiques ou les documents savants sont aujourd'hui majoritairement élaborés en anglais : c'est la langue la plus utilisée pour les relations étrangères, les interactions commerciales ou professionnelles. Développer son anglais technique pour les ingénieurs et les scientifiques représente donc une nécessité incontournable pour tout professionnel soucieux de s'exprimer clairement et de prospérer dans un environnement internationalisé. Les formations à l'anglais technique s'adressent à des publics maîtrisant déjà la base de la langue, mais qui souhaitent se spécialiser dans un domaine particulier. L'anglais technique et scientifique, un impératif professionnel Anglais technique de l'industrie, du marketing, de la logistique, de la médecine, de la finance, de l'informatique… Tous ces domaines requièrent des connaissances lexicales et syntaxiques spécifiques. Cette langue technique ne se rapporte donc pas qu'à un secteur, elle se spécialise. À l'oral ou à l'écrit, investir son temps dans cet apprentissage peut s'avérer nécessaire pour évoluer dans sa carrière et communiquer correctement avec les collaborateurs ou les clients. C'est souvent lors des études que cet impératif se manifeste, car l'usage d'un anglais de base se révèle, en fin de compte, insuffisant. Rédiger des synthèses, présenter oralement une recherche, prendre des notes, accéder à l'information scientifique, tout cela réclame un niveau suffisant pour progresser dans ses études, professionnellement ou collaborer. L'anglais, le langage de la recherche La recherche en sciences et les projets d'ingénierie sont étroitement liés à la capacité de publier et de communiquer ses travaux. Les plateformes qui diffusent le fruit de ces recherches et revues s'expriment en anglais de manière claire et précise. C'est ainsi que les ingénieurs et scientifiques collaborent et partagent leurs travaux permettant alors l'évolution et le progrès de leur secteur d'activité. Quels que soient la pédagogie ou les procédés utilisés, les enseignants doivent donc définir de façon précise les besoins lexicaux et les compétences syntaxiques du secteur désigné. Par ailleurs, ce langage technique exclut son empreinte culturelle. Un même mot désigne la même chose partout dans le monde afin d'éviter tout malentendu. Cette langue se veut universelle, précise et indépendante des traditions et des politiques. Un langage international et opérationnel L'anglais technique ne s'apprend pas à l'école communale. C'est plus tard qu'il intervient dans les formations aux côtés des matières techniques et scientifiques, à l'université ou dans les écoles d'ingénieurs : il demeure souvent le parent pauvre de l'enseignement supérieur. Alors, avec l'entrée dans la vie professionnelle et la pratique, il est fréquent de constater le manque de lexique et d'aisance, ce qui implique un renforcement nécessaire de ces connaissances linguistiques. Le formateur ou le concepteur de la méthode, par conséquent, doit évaluer l'ensemble des savoirs à transmettre grâce à son excellente compréhension du milieu : rencontre avec des professionnels, connaissance des outils (par exemple, les logiciels informatiques ou les revues), les savoir-faire des ingénieurs ou des scientifiques… Le but étant de construire des compétences opérationnelles qui pourront être efficacement et rapidement mises en œuvre par l'apprenant en adéquation avec ses ambitions professionnelles. Les façons de développer son anglais technique pour les ingénieurs et scientifiques Apprendre l'anglais spécifique en autodidacte ou avec des enseignants ne s'improvise pas. En solo, cela requiert une discipline, des efforts réguliers et une base solide de la langue. Pas de rythme et d'horaires imposés, l'élève est maître de son enseignement. Cependant, cet entraînement, difficile et solitaire n'est encadré par aucun professeur expérimenté : aucune évaluation formative ne permet d'apporter les rectifications nécessaires à ce programme parfois incomplet. Alors, la meilleure façon demeure une formation avec des enseignants qualifiés tels que ceux d'Explora Langues, qui accompagnent l'étudiant tout au long de son parcours et structurent les connaissances à acquérir. En présentiel ou en visio, l'interaction entre l'apprenant et le professeur est un pilier fondamental d'une bonne didactique. Ce dernier intervient du point de vue pédagogique, certes, mais également en termes d'organisation de l'apprentissage et de la motivation, afin de garantir une bonne maîtrise de la langue. Ainsi, développer son anglais technique pour les ingénieurs et les scientifiques est un processus qui allie formation structurée, autonome ou avec des professeurs, avec de la pratique quotidienne. En s'engageant dans ce parcours d'apprentissage, les ingénieurs et les scientifiques renforcent leur position dans des environnements professionnels de plus en plus internationalisés. Dans cette optique, nous avons développé une approche de l'enseignement des langues propres à un usage spécialisé en divers domaines avec des cours en centre à Nice ou en visio, assurés par des formateurs certifiés. Car à chaque métier, son langage ! Read the full article
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