#narcotrafiquant
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pasan los años y yo seguiré sin ver breaking bad porque nada me resulta menos interesante que ver a un pelado y su coqui argento yanqui flashear sophisticated narcotrafique
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Blue Angels MC
Le Blue Angels Motorcycle Club (BAMC ou Blue Gang) est un gang international de motards hors la loi formé en Glasgow, Ecosse en 1963. Le Blue Angels MC est le plus ancien club de motards hors la loi d'Europe et l'un des clubs les plus grands et les plus puissants du Royaume-Uni. Le club a des chapitres en Ecosse, Angleterre, Belgique et Espagne. Les Blue Angels ont été liés à crime organisé, et ont été désignés gangs de motards criminels par le Police fédérale de Belgique. Les Blue Angels ont commencé à s'associer avec des clubs de motards en Angleterre dans les années 1970, formant une alliance avec le Road Rats MC de Londres, et rivalisant avec les Anglais Hells Angels. L'Ecosse reste l'un des rares pays d'Europe sans chapitre Hells Angels. Les membres potentiels des Blue Angels doivent être nommés par deux membres du club et peuvent être élus dans le club par d'autres membres après avoir purgé une période de temps en tant que « prospect ». Les Blue Angels n'autorisent pas les toxicomanes en tant que membres. Le club compte six chapitres en Écosse, quatre dans le nord de l'Angleterre, sept en Belgique et deux en Espagne. (source : wikipédia) A York, les BAMC ont vu le jour sous la houlette de deux fondateurs : le neveu d’un des fondas du MC originel à Glasgow, et son meilleur ami. Leurs entrepôts sont sur les terres agricoles de leur trésorier actuel : Clayton Lockwood (prélien disponible), et ce depuis plus d’une décennie. L’activité principale du club est le trafic de stupéfiants (notamment culture de cannabis ) et d’armes. Concernant les stups, ce sont bien souvent les prospects qui sont chargés de la revente, sous surveillance des membres attitrés. Les transactions d’armes sont réservées aux membres les plus aguerris du club. Plus récemment, le MC a de nouveau été endeuillé par l'assassinat de leur vice président, Jaimie MacLaren. C'est son fils également, Rob, qui a pris la relève de son père. Ce meurtre a eu lieu juste après un différent avec un réseau de narcotrafiquants qui cherche à s'implanter à York.
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Narcotrafic : les mesures chocs que ces deux sénateurs proposent à Retailleau
Capture d’écran Ce week-end de la Toussaint 2024 restera-t-il comme celui de la prise de conscience, du « point de bascule », selon les mots du ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, venu à Rennes constater les dégâts et le désarroi de quartiers contrôlés par les narcotrafiquants ? Les jours qui s’achèvent ont en effet été marqués par des fusillades, d’ordinaire constatées à Marseille ou…
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COP16 sur la biodiversité en Colombie : comment les hippopotames de Pablo Escobar perturbent les écosystèmes locaux
Le célèbre narcotrafiquant Pablo Escobar a importé des hippopotames en Colombie au début des années 1980. Quarante ans plus tard, leur multiplication sème le chaos.
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Marseille : La DZ Mafia « sent la fin venir », assure un ex-narcotrafiquant
Emile Diaz, dit Milou, est à 81 ans une des dernières figures de l’ancienne génération de narcos marseillais. Pour « 20 Minutes », il analyse la vidéo de démenti de la DZ Mafia sur les derniers meurtres dans la cité phocéenne — À lire sur www.20minutes.fr/societe/4114916-20241010-marseille-dz-mafia-sent-fin-venir-assure-ex-narcotrafiquant
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MARDI 17 SEPTEMBRE 2024 (Billet 2 / 3)
« EMILA PEREZ » (2h 10)
Un film de Jacques Audiard, avec Zoe Saldana, Karla Sofia Gascon, Selena Gomez…
Nous l’avons vu hier en milieu d’après-midi. Nous avions longtemps hésité, à tel point que nous n’y sommes pas allés à sa sortie.
Et puis nous avons lu la critique d’Éric Neuhoff dans le Figaro et puis, lorsque nous étions en Grèce, des ami(e)s nous ont dit qu’ils l’avaient beaucoup apprécié et puis, rentrant de vacances, très curieux, nous avons craqué.
Evidemment nous avons lu (plutôt JM d’ailleurs) tout ce qui a été écrit sur ce Prix du Jury et Prix d’Interprétation pour toutes les actrices au dernier Festival de Cannes. Par contre, pas une seule critique ne mentionnait la qualité des chansons (paroles, musiques)… et c’est précisément cette alternance d’une fluidité incroyable entre les parties « traditionnelles » (même si chez Audiard, rien n’est vraiment traditionnel) et les parties traitées façon « comédie musicale » qui ont fait que nous sommes rentrés très rapidement dans le « parti-pris » du réalisateur. Vous le savez peut-être, c’est la chanteuse Camille qui a écrit tous les textes et qui a co-composé les musiques. Chapeau ! Même pour les 3 chansons qu’on entend durant le défilement du très long générique (nous quittons la salle quand sont cités à la toute fin les noms des laboratoires techniques qui ont traité le film) ! Quant aux « Passantes », sur un poème d’Antoine Pol mis en musique par Georges Brassens et traduit en espagnol, qu’on entend lors de la scène finale, elle semble avoir été tout spécialement composée pour le film. Une petite merveille d’émotion.
Les actrices sont excellentes, mention très spéciale (même si ce n’est pas sur elle qu’ont convergé tous les projecteurs, « air du temps » oblige…) à l’avocate interprétée par Zoe Saldana. RE-MAR-QUABLE !!!
Marina donne à « Emilia Perez » ❤️❤️❤️,5 et JM, ❤️❤️❤️❤️,5 sur 5 (un demi-point supplémentaire par rapport au 4 auquel il avait pensé en quittant la salle à cause de la qualité des musiques).
Que vous vouliez ou pas voir ce film, ou même si vous l’avez déjà vu, ne manquez pas de lire la critique ci-dessous. Comme d’habitude, Eric Neuhoff, qu’on soit on non d’accord avec lui, écrit très, très bien.
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Jacques Audiard réalise une semi-comédie musicale chez les narcotrafiquants qui évite le ridicule grâce à une vitalité communicative, une mise en scène fluide, un sens du mélodrame et de la rédemption.
Allons bon. Si maintenant les narcotrafiquants veulent devenir des femmes, c’est vraiment à y perdre son latin. On ne peut donc plus se fier à personne. Manitas (Karla Sofia Gascon), redoutable chef de cartel mexicain, a du sang sur les mains. De son côté, Rita (Zoe Saldana), solide avocate, a des états d’âme. Elle en a assez que le cabinet qui l’emploie se soucie davantage de blanchir des coupables que d’obtenir la justice. Cette bonne grosse odeur de corruption commence à l’indisposer. Il était temps. Sa frustration transpire sur l’écran. Rita est une boule de nerfs, un concentré de rage contenue. On sent la grenade prête à exploser. Un coup de fil tombe à pic.
Au bout du téléphone, une voix caverneuse, d’outre-tombe, lui propose un rendez-vous. Elle accepte. Devant un kiosque à journaux, on la kidnappe, lui met une cagoule sur le crâne. À l’arrière d’un SUV, Manitas lui fait une drôle de proposition. Le dangereux gangster à la peau luisante, aux dents métalliques comme des pare-chocs de voiture américaine, rêve de changer de sexe. La transition a débuté. Il s’agit maintenant de dénicher le chirurgien adéquat. L’argent n’est pas un problème. Banco. Tel est le moyen d’échapper à la pauvreté. Un seul impératif : discrétion de rigueur.
L’épouse et les enfants de Manitas ne doivent pas être au courant. Il passera pour mort. Sa famille se réfugiera en Suisse. Le médecin sera israélien. L’opération comporte ses risques (la pomme d’Adam constitue un point délicat). Elle réussit. Manitas se transforme en Emilia Pérez (Karla Sofia Gascon). Il faut le voir répéter son nouveau nom avec une incrédulité mêlée d’émotion qui rappelle celle d’Antoine Doinel prononçant « Fabienne Tabard » à l’infini devant son miroir dans « Baisers volés ». La métamorphose ne s’arrête pas là. En quittant son ancien genre, l’héroïne acquiert une bonté inédite, se consacre à une organisation caritative venant en aide aux mères de disparus (certains étant des victimes de Manitas). Son passé criminel est soudain rayé des cadres.
L’argument, pour improbable qu’il soit, chante et enchante. Jacques Audiard se lance avec brio dans une semi-comédie musicale dont les numéros démarrent souvent par des chuchotements avant d’éclater en refrains intimes ou tambourinants. Le risque du ridicule n’était pas impossible. Le réalisateur l’évite, grâce à une vitalité communicative, une mise en scène fluide (sans jeu de mots), un sens du mélodrame et de la rédemption. Les morceaux commentent l’action, dans un mélange original de Martin Scorsese et de Jacques Demy.
« Emilia Pérez », le dixième film de Jacques Audiard, doit énormément à ses actrices, qui ont reçu le Prix d’Interprétation Féminine au dernier Festival de Cannes. Et en particulier à Karla Sofia Gascon, qui a connu dans la vie un itinéraire identique. Elle emporte tout sur son passage, glisse de la menace sourde à la fragilité frémissante, explose comme une vague sur la côte du Pacifique. Le final coupe le souffle, avec cette procession dans les rues au son des « Passantes » de Brassens version tacos. On sort de là en claquant des doigts, un peu scié, le regard rempli de couleurs, des questions plein la tête. Maintenant, une chose est sûre : « les mafieux sont des femmes comme les autres ».
(Source : Eric Neuhoff, critique cinéma au Figaro et « Au masque et la plume »)
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Banque offshore à Kassa et prêt de 2 milliards USD : le RPG s’interroge sur le silence du FMI et de la Banque mondiale
Le gouvernement guinéen, représenté par le ministre de l’Économie et des Finances, Mourana Soumah, a signé, le 16 août 2024 un mémorandum d’entente avec le Consortium SEESEA. Cet accord prévoyait la création d’une banque offshore sur l’île de Kassa ainsi qu’un prêt de 2 milliards de dollars à taux zéro. Cependant, seulement quatre jours plus tard, le 20 août, l’État a résilié le mémorandum en raison d’une violation de l’article 9, qui interdisait toute communication sur l’accord sans l’approbation préalable des deux parties. La résiliation a été provoquée par la publication d’informations dans la presse guinéenne. Le ministre Soumah a alors déclaré le contrat nul et a demandé au consortium de retirer toutes les communications à ce sujet.
Le sujet a également été abordé lors de l’assemblée générale du 31 août 2024 de l’ancien parti au pouvoir. Marc Yombouno, ancien ministre du Commerce, a exprimé des préoccupations sur le contrat, en particulier en ce qui concerne la criminalité financière. Il a souligné que la création d’une banque offshore à Kassa pourrait entraîner des risques importants, tels que la fuite de capitaux et des activités criminelles.
“Dans la convention sur le prêt de 2 milliards sans intérêt que le ministre de l’Économie et des Finances a signée avec une société chinoise, il est question de créer une banque offshore à Kassa. Une telle banque, construite sur un territoire qui n’appartient pas à la Guinée, pourrait bénéficier de nombreux avantages fiscaux et de contrôle. Ce genre de banques existe dans des endroits où la transparence est minimale et où il est difficile de vérifier l’origine des fonds. Cela pourrait entraîner des risques de fuite de capitaux et attirer des criminels et des narcotrafiquants”, a-t-il expliqué.
Interrogé par le Conseil national de la transition (CNT) lors de l’adoption du budget pluriannuel 2025-2027, le ministre de l’Économie a précisé que le contrat avait été conclu à la demande du Premier ministre Bah Oury, dans le but de rechercher des financements pour la construction d’infrastructures. Yombouno a critiqué le contrat en le comparant à l’accord cadre signé avec la Chine pour 20 milliards de dollars, affirmant que l’accord avec le Consortium SEESEA semblait suspect et a été annulé après seulement quatre jours.
“Le ministre a annulé le contrat après que les informations aient fuité dans les médias. Cela montre un manque de transparence et de diligence. Alors que nous obtenons légalement 20 milliards de dollars, d’autres tentent d’en obtenir 2 milliards de manière douteuse. Nous nous interrogeons sur la réaction du FMI, de la Banque Mondiale et de la CRIEF, qui devraient se prononcer sur ce sujet”, a-t-il ajouté.
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Entre narcotrafiquants et agents pénitentiaires, le "tabou" de la corruption en prison
Frank Bou-Hassira : http://dlvr.it/T7h2lc
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DROGUE : LA FRANCE SUBMERGÉE ET DÉSARMÉE ? MAJ 28 05 24
PRÉCÉDENTE PUBLICATION DE METAHODOS – LES ENTRETIENS DE LA MÉTHODE DES CITÉS ENTIÈRES CONTRÔLÉES PAR LES NARCOTRAFIQUANTS http://metahodos.fr/2024/05/20/des-trafiquants-de-drogue-controlent-des-cites-entieres/ MISE À JOUR 28 05 24 ARTICLE – Derrière le meurtre d’un livreur de drogue à Aubagne, la méthode du “clan Amra” Par Laurent Valdiguié. 27/05/2024 MARIANNE Homme le plus recherché de…
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Argentine : Des narcotrafiquants menacent Angel Di Maria de mort
Rosario Central, le club qui a vu Angel Di Maria débuter sa carrière, a rejeté « catégoriquement les faits de notoriété publique, dans lesquels des menaces ont été enregistrées à l’encontre d’un joueur de football reconnu de notre académie de jeunes ». L’équipe s’est dit aussi « lésée, endommagée et blessée parce que ce type d’actions violentes menace directement l’économie et le succès sportif…
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Arrestation du narcotrafiquant Félix Bingui: l'interview intégrale du maire de Marseille, Benoît Payan
http://dlvr.it/T3sS6d
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"Enquête d'action - Douanes : unités de choc contre les narcotrafiquants" sur W9 vendredi 9 février 2024
http://dlvr.it/T2QY7R
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CHAMPS FERTILES
Griselda
Netflix
La dangereuse patronne
Des narcotrafiquants
Des trafics en tous genres
C'est l'Espagne du franquisme
Qui déJenner
Samedi 27 janvier 2024
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Ne manquez pas « Escobar » sur PlayVOD
Découvrez « Escobar », le film sur le célèbre narcotrafiquant colombien, disponible dès maintenant sur PlayVOD. Ce biopic tendu et captivant vous tiendra en haleine jusqu'à la fin.
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Maroc : Les révélations choc d'un narcotrafiquant
Le Maroc est actuellement ébranlé par un scandale majeur impliquant un réseau international de trafic de drogue. Cette affaire a mené à l'arrestation d'environ vingt personnes, y compris des membres des forces de l'ordre, des acteurs du monde des affaires, un notaire, un promoteur touristique, et surtout deux figures centrales : Saïd Naciri et Abdenbi Bioui. #saidnaciri #abdenbibioui #révélations #maroc #scandale
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