#muy temprano pa esto
Explore tagged Tumblr posts
kazzykatt · 2 years ago
Text
increíble que mi amor por 8 personas me mantenga atrapado en ese server. no quiero dejarles pero ctm se vuelve dificil aguantar tanta mamada xd
2 notes · View notes
anotherhumaninthisworld · 4 days ago
Note
He estado investigando sobre María Antonieta y tengo algunas preguntas que me gustaría aclarar. He oído que ella solicitó la intervención de potencias extranjeras para invadir Francia durante la Revolución, pero en las biografías que he leído, esto se menciona brevemente o no se aborda en absoluto. ¿Conoce alguna fuente primaria que lo confirme? También leí que, inicialmente, María Antonieta se opuso a cualquier intervención militar. ¿Qué razones pudo haber tenido para cambiar de opinión? ¿Lo hizo con el consentimiento del rey? Esto parece contradecir sus declaraciones de que no quería ningún derramamiento de sangre. Además, en su juicio y testamento, el rey afirmó que no había causado ningún derramamiento de sangre ni daño. ¿Eran conscientes de las implicaciones de sus decisiones y del impacto que podrían tener en el pueblo francés?
En siguiendo Lettres de Louis XVI: correspondance inédite, discours, maximes, pensées, observations etc (1862) vemos que el rey initialemente tiene una actitud vacilante hacia la idea de utilisar la violencia para impedir la revolutión. El 7 septiembre 1789, escribe una carta à su hermano el Conde de Artois, que emigró después de la toma de la Bastilla. Louis le dice de volver à la Francia y descarta sus cargos que debió usar una intervención militar para reprimir la revuelta: ”Je pourrois donner le signal du combat; mais quel combat horrible, et quelle victoire plus horrible encore ! […] J’aurais donné, il est vrai, le signal du carnage, et des milliers de Français auraient été immolés… […] Je ne suis pas responsable du sang versé; je n’ai point ordonné ni meurtre; j’ai sauvé ma famille, mes amis, tout mon peuple.” Una mes más tarde, 5 octubre 1789, cuando las mujeres de Paris estan a las puertas de Versailles exigiendo que vaya a la capital con ellas el rey, escribe otra carta al conde de Estaing que quiere ”que je prenne un parti violent, que j’emploie une légitime défense, ou que je m’éloigne de Versailles.” Louis protesta de esto: ”La fuite me perdrait totalement, et la guerre civile en serait le funestre résultat. Me défendre, il faudrait verser le sang des Français; mon cœur ne peut se familiariser avec cette affreuse idée.”
En siguiendo Correspondance inédite de Marie Antoinette (1864) podemos ver que ella no era muy feliz de los días de 14 julio y 5 octubre 1789, pero inicialmente parece aceptarlos, o a menos tenir la voluntad de capear el temporal. En una carta del 26 febrero 1790 a su hermano Leopoldo II Marie dice: ”Voilà, mon cher frère, notre affreuse situation. On veut à côté de moi l’accepter nettement et l’on pense que l’orage passera, Dieu le veuille!” Diez meses después, el 27 diciembre 1790, rechaza la invitación del mismo hermano de ir a su terra natal — ”pardonnez moi, je vous en conjure, si je continue à me refuser à votre conseil de quitter. […] Mon devoir est de rester où la Providence m’a placée, et d’opposer mon corps, s’il le faut, aux poignards des assassins qui voudroient arriver jusqu’au roi.” También rechaza las tentativas de los príncipes extranjeros de mobilizar contra la Francia en una carta del 20 enero 1791 — ”j’ai été avertie que les princes levoient dans l’empire des légions, ce n’est point de notre aveu, et cela ne peut servir qu’à nous compromettre et à arrêter nos projets, qu’il est bien essentiel qu’ils ne sachent qu’au moment même et pas avant,” y en una carta para el Conde de Artois del 20 marzo 1791 le dice de también capear el temporal en lugar de hacer la guerra — ”d’après les bruits sur les démarches de M. le prince de Condé, nous vous conjurons de ne pas livrer à des projets dont la réussite est au moins douteuse, et qui vous exposeroient sans nous servir.”
Pero muy temprano también hay prueba de que la reina tiene la voluntad de escapar de Paris y buscar protección de los revolutiónarios en una provincia. En una carta para Leopoldo del 7 julio 1790 describe un encuantro que ha tenido lugar entre Mirabeau, ella y el rey, y ha sido sobre el plan de cambiar el status quo — ”La première condition du plan est notre éloignement avec toute notre famille hors de Paris, non pas à l’étranger, mais en France. […] Ce projet est trop grave pour ne pas demander une prudence extrême et un secret absolu.” Ese plan continua después el deceso de Mirabeau. Nueve días después su funeral, 14 abril 1791, Marie-Antoinette escribe una carta para el conde de Mercy (diplomático al servicio del Imperio Romano Germánico). Allí encontramos este plan de fuga, pero también, por la primera vez en la correspondencia, una reina con ganas de contactar otras potencias europeas para ayudar a su familia y impedir la revolutión. Pero insiste que lo que quiere no es una invasión de la Francia:
Si nous pouvons parvenir à sortir de Paris et arriver dans une ville forte, et que nous réclamions, de là, les secours de l’empereur sur nos frontières, pouvons nous y compter, oui ou non? Sans cette assurance préalable, il n’y a rien à entreprendre ici; mais pour m’expliquer encore plus clairement, nous ne demandons ni ne demanderons à aucune puissance (à moins d’un pressant) de faire entrer de leurs troupes sur leurs frontières bordant la France, en assez grand nombre pour servir de soutien et de ralliement à tous les gens bien intentionnés et mécontents qui voudroient nous rejoindre, mais qui par l’éloignement ou d’autres causes ne pourroient pas arriver jusqu’à nous. La Suisse et la Sardaigne sont très bien disposées, mais elles ne peuvent rien sans l’accord des grandes puissances. Vous savez la réponse de l’Espagne; je l’ai mandée à mon frère par le courrier même qui passait pour aller à Vienne, il m’a répondu le 14 mars par la même occasion et pas un mot sur l’Espagne, ce qui fait que l’ambassadeur m’ayant demandé avec empressement la réponse, je n’ai pu lui rien dire: cela est d’autant plus fâcheux que si sa cour n’est pas de bonne foi, elle saisira le prétexte de l’indifference de l’empereur pour ne rien faire, et si elle est bien intentionnée, sa lenteur naturelle ne sera que prolongée par le silence de Vienne. […] Je crois comme vous qu’il serait bien fait de s’assurer de cette puissance (l’Angleterre) et obtenir au moins la neutralité de cette cour.
El ”día de las dagas” el 18 abril 1791 convence el rey y la reina de poner en acción el plan de fuga, dos días después Marie-Antoinette revela en una carta para su hermano que ”nous nous sommes rencontrés, le roy et moi, dans la même pensée qu’il fallait en finir avec un pareil état de choses, et prendre le parti dont nous vous avons parlé. Attendez vous donc à quelque soudain voyage, tout va être préparé…” Dos semanas después, 6 mayo 1791, habla de escapar a Montmédy y de solicitar diez o doce mil soldados austriacos en una carta para el conde de Mercy:
Quant aux troupes, les dix ou douce mille Autrichiens que nous demandons à Luxembourg, Arlon et Virton, disponibles d’abord que nous les réclamerions, je conçois très bien toutes les répugnances politiques que l’empereur aurait à faire entrer ses troupes en France de sa propre volonté, et combien cela pourrait exposer ses états, vis à vis de ses ennemis personnels; mais réclamés par son beau-frère, son allié, dont la vie, l’existence et l’honneur sont en danger, je crois le cas très différent.
Cuando huyen de Paris durante la noche de 20 junio 1791 la familia, deja atrás el manifesto Déclaration du Roi adressée à tous les Français, à sa sortie de Paris. Allí el rey declara que su intention con la fuga es ”recuperar su libertad y seguridad junto a su familia.” Pero podemos imaginar que si hubieran tenido éxito con reunirse con los soldados extranjeros, algo más grande y grave habría ocurrido… También podemos preguntarnos si esto habría ocurrido sin ningún derramamiento de sangre…
Después el fallido escape, el rey y la reina continúan rechazar la idea de haciendo algo sobre la situación las emigrantas y los hermanos del rey — sera demasiado peligroso (Marie-Antoinette habla de esto en cartas del 21 augusto 1791 para el conde de Mercy y del 3 septiembre 1791 para Leopoldo II, Louis en una carta para el príncipe de Condé del 15 augusto 1791). Sin embargo, ningún de ellos abandonan la idea de buscar ayuda de las potencias extranjeras, ahora parecen ver esto como la única manera de se salven de la revolutión. En una carta para su cuñada Marie-Louise (la esposa de Leopoldo II) del 3 diciembre 1791 Marie-Antoinette dice: 
Dès le mois de juillet j’ai demandé, j’ai conjuré l’emp[ereu]r de s’occuper de nos affaires, j’avais donné dès lors à mon frère un plan pour rassembler un congrès armé, où toutes les puissances de réuniront; les forces qui auroient accompagné ce congrès seraient restées derrière pour en imposer et en même temps éviter les malheurs que l’apparition d’une armée étrangère aurait occasionnés dans l’interieur du royaume. […] il faut au dehors une force imposante, et qui ne peut être motivée sans danger, que par un congrès armé qui, retenant les princes d’un côté, en impose aux factions de l’autre, et donne aux gens modérés de tous les côtes un moyen de force et un point de réunion. 
(También habla de ese plan en cartas del 16 augusto, 3 septembrio, 2 noviembre, 6 diciembre, 7 diciembre 1791 y del 16 enero 1792. Los países que menciona son Austria, Rusia, España, Dinamerca y Suécia). 
El mismo mes, diciembre 1791, Louis también escribe una carta al rey de Prusia, presentarle a esta información y rogarle de mantenerla en secreto: 
Je viens de m’adresser à l’empereur [Leopold II], à l’impératrice de Russie, aux rois d’Espagne et de Suède, et je leur présente l’idée d’un congrès des principales puissances de l’Europe, appuyé d’une force armée, comme la meilleure mesure pour arrêter ici les factieux, donner les moyens d’établir un ordre de choses plus désirable, et empêcher que le mal qui nous travaille, puisse gagner les autres États de l’Europe.
Pero exactemente lo que ese congreso va hacer no es muy claro para mí. Porqúe todavía el rey y la reina parecen oponerse a utilisar la violencia. En una carta de 2 noviembre 1791 Marie-Antoinette dice a su hermano Leopoldo II que ”je suis loin de songer à recourir à des moyens violents, la violence ferait périr par la violence, c’est la pensée de toutes mes lettres, et voilà pourquoi j’avais tant insisté pour un congrès.” Y en una carta del 7 diciembre 1791 escribe: ”que l'emp[ereur] et les autres puissances veuillent réellement nous aider en s'approchant avec des forces imposantes de la frontière, sans franchir le territoire du royaume.” En un memorándum del 3 septembrio 1791 la reina dice: ”Le roy ne veut ni la guerre civile seule , ni la guerre civile avec la guerre étrangère. […] Les moyens dépendent de lui, de ses négociations avec les puissances qui s'unissent à lui pour délivrer l'Europe du danger qui menace le pouvoir de tous les souverains, la constitution de tous les gouvernements et le repos de tous les États. Il ne faut point de guerre civile. Il ne faut point, s'il est possible, de guerre étrangère.Il faut donc que ce soient les puissances unies dont les demandes amènent les changements utiles, et qui présentent des forces convenables au soutien de leurs demandes.”
Así, en siguiendo las correspondencias personales de Louis XVI y Marie-Antoinette, parece que lo que querían no era un ataque a gran escala contra la Francia, pero ”solo” una amenaza de esto… 
0 notes
themikcreature · 9 days ago
Text
16/01/25
Bueno, bien dije ayer un par de cositas... Y quería hacer más posts pero la verdad que ya m iba a sentir yuki, noma sin novia y sin diario q m lea el futuro
Sooo...
Ayer como bien dije tuve q regresar a clases, un examen de mierda m esperaba y saque 6 pq iba preparando pa mates y de repente me sacaron komunikasion así q m jodi pero la profe m dijo q no pasaba nada q komunikasion iba a darme lata... Así q mejor m preparo pa esa jlada
Anyways inmediatamente salí d mis clases me fui a esperar a mi bistec pq todavía no llegaba
Tumblr media
Y por primera vez en mucho tiempo, llegué temprano a una hangout (usualmente el llega media hora antes que yo pq vive lejitos y llega y me tiene q esperar otra media hora pa q yo llegue, y ahora el se tardo un milenio pa llegar)
Así q sin razón aparente me puse a escuchar hyperpop en medio de la plaza, sin audífonos aunque si los llevaba... Y me compré un mazapán
Tumblr media
Casual todo normal... Mi brodi llegó y nos fuimonos, anduvimos haciendo cualquier pendejada, caminando por ahí hasta q se hizo d noche y quemamos parte de mi tarea, una lata de Arizona, una bolsa de chetos y dos chetos... Solo para ver que pasaba
Tumblr media
A la lata le metimos alcohol y la pise, esa mrd se veía increíble en persona, y de repente pise mal y por poquito me vuelvo ghost rider pq ya saben, cuando pisas una lata se te atora en el pie... Y esa madre estaba caliente y literalmente ardiendo, la suela de mi teni valió un poco mierda pero todo genial y no me pasó nada
Tumblr media
Después de eso, me acordé que no había comido en todo el día y mi bro m invito takos
Tumblr media
Así q si, ahí estábamos en medio de un puente todo grafiteado comiendo takos, a todo esto, estás son screenshots que saque de videos chiquitos que tomamos pq tngo sindrom de influencer JAJAJA
Ah pero como no, antes de comer eso nos pasamos por un parque y nos tomamos la típica foto de bff
Tumblr media
Ah y también nos tomamos esta
Tumblr media
A la cual lit le dije q pusiera pose freestyler pa q se vieran las patas aestetik
Y sinceramente poco más, sinceramente me divertí demasiado pero hay cosas que son muy innecesarias de mencionar o muy pequeñas esa cena en medio del puente m ayudo a sanar algunas memorias malas que tenía ese lugar y como no les puedo contar de todo lo que hablamos no les puedo describir lo piola que chismiamos y platicamos...
Y ya está eso fue todo xddd estuvo repiola
Chathatsallbaaaaiiii
0 notes
17gramos · 2 months ago
Text
JUEVES 28 DE NOVIEMBRE DEL 2024
tengo un tuto de la putamare y eso que estos últimos días he dormido bien. me tiene preocupao la charla TED pero pico brígido mano, ya fue.
llegó mi viejo muy prepotente de la reunión diciéndome que capaz repetía y ya hablé con todo el mundo y no, claramente no. él debería fijo hacerse ortear o dejar que lo baleen. he tenido demasiados problemas con él desde que está en la casa por la licencia. no lo soporto. cada día de espera a la independencia total pesa más.
aparte de eso, en el colegio todo piola. ya se siente como los capítulos se van cerrando por fin.
la camiona de historia nos puso un 6,5 pq genuinamente así fue como se le paró el hoyo, no hay otra explicación. aparte que no estaba muy segura de nuestra evaluación y que no nos molestásemos. vieja maraca; en el electivo no nos tocó presentar pero capaz mañana si vamos y no tengo tarjetas, pero bueno, algo haré en la mañana xd; en filosofía le truqueé unas décimas a basti así que ahora, en una de las notas, en vez de un 6,2 tengo un 6,6 así que pretty good; en religión grabaron un tiktok pa' la cuenta del curso y avanzamos en una tarjeta pero no hice ni mierda así que el finde veré, creo; y ya para lenguaje, la vieja nos llevó a la sala de tecno de atrás, pq ahora se obsesionó con ella, e hicimos una guía papa de vocabulario. a sopa le dio la wea como siempre y me fui antes.
tuve psico. le dije de espaciar las sesiones y todo bien. en una me llamó mi viejo y discutimos otra vez. le dije que si se podía esperar 15 mins a terminar la sesión porque estaba en el living y no puedo desconectar la compu esta sin que se apague. se enojó conmigo otra vez pero esperó. luego yo me fui.
salí a caminar sumando lo de la mañana a mercado central. disfruté más la música que escuché, sobre todo al ébano, y me sentí mejor, con menos alergia que ayer.
hablé con val por lo de la asistencia; entablé charla con alguien de tinder, esta vez si likeé gringos; le hablé feo al pino y luego me sentí mal; saludé a la abbey de beso sin querer; le mandé soli al alex por la cuenta de dumps pq si ya está en mi tuiter ya hay confianza pa' que vea mis dumps; hablé con la cata afterclass; conversé con el leo que me cae muy bien; el david se río de mi ppt; el profe george anda rari y creo que mi psicóloga me odia ajajaj.
mañana es mejor, espero. tengo preu y no quiero ir como siempre. tengo que, tho. es la última clase, y como mi papá piensa que voy al cumple del arturo, tengo más plazo para llegar a la casa y así no me banco a los sapingos de mis hermanos.
pienso salir temprano mañana aunque no sé que tan conveniente podría serlo con el tema charla ted. espero que sí me den las ganas.
el sábado iré a ver al arturo, avanzaré lo más que pueda en lo que me queda y el domingo a tomar por saco.
estos días tengo más ganas de descansar que nunca. de borrarme unos díitas más, pero está tan complicado.
no aguanto el momento de volver a la playa.
estoy chato del colegio, de mi viejo, de sopa.
es una verga gigante todo a veces. me gustaría trasmutar parte de mi calma a esas cosas tan verga pero son tan externas que solo me queda mamármelas.
mañana quiero llegar a ver una película pq ahora ya no puedo. el finde quiero esparcirme más y el lunes pesarme triunfante.
vamos a ver cómo sale.
0 notes
moshetv-dvtymm2022 · 1 year ago
Text
Se acabo, pero la vida sigue
Tumblr media
Ok, no se como puedo explicar todo eso, ya que es algo muy reciente, tengo demasiadas emociones, pero tratare de explicarlo
La verdad, nunca creí que iba a llegar esto, pero ahora mi mayor temor se hizo realidad, oficialmente Aranxa y yo hemos terminado, y por ende, toda las futuros proyectos que ya tenia planeado sobre todo, serán cancelados, el personaje será removido y no se de que hare con los videos que están en mi canal sobre todo eso, quizás los borre, quizás los oculte, los privatice, o quizás mejor no los hago nada y los dejo ahí como si nada, eso ya lo veré después
Lo se, se que es demasiado triste todo eso y nadie se esperaba eso, ya que ustedes lo veían como una relación muy bonita que no lo veían posible terminar, y los entiendo, yo jamás creí que esto iba a llegar, pero al final llego y justo cuando menos los esperaba, lo peor es que no quería hacer eso, pero aun que no me gustaba, tuve que dejarlo ir
Pero, porque? Acaso la relación ya no funciono? No, de hecho la relación funcionaba bastante bien, pero entonces, que paso? Lamento decir esto, pero es un tema muy personal y preferimos mejor no decirlo, así que por favor, respeten nuestra privacidad, hay cosas que es preferible mejor no decirlo al publico, pero de una vez aclaro, aclaramos nuestros asuntos y terminamos en muy buenos términos, así que entre nosotros estamos bien, así que, les pediría de favor que no le tiren hate a ella, en su lugar, respeten nuestras decisiones, déjala en paz y dejarlo así, aun que no les gusten
Ahora, se que en estos momentos estarán muy preocupados por mi y los entiendo, y les agradezco mucho por preocuparse por mi, pero en estos momentos ya estoy un poco mejor, todavía un poquito triste por eso, pero al menos ya mas calmado, así que descuiden, estoy casi bien, pero descuiden, no porque haya pasado eso, no quiere decir que voy a cambiar, al contrario, seguiré igual, ya que a pesar de todo, es mejor ya no llorar por lo que paso y es mejor concentrarnos en donde estamos y en lo que va a venir, se que será difícil, pero no imposible, las cosas no son pa' siempre, las cosas llegan cuando menos te lo esperabas, y mas cuando uno no quiere, no por algo existe algo que se llama "problemas de fuerza mayor" y es algo que todos nos enfrentaremos tarde o temprano, aun que nosotros no queramos, pero se que al final, todo valió la pena, podemos recodarlo con cariño, pero la vida sigue y no hay que quedarnos atrás, hay que seguir adelante, nunca me rendiré, pero no todo es triste, ya que de las cosas malas, vienen las cosas buenas y se uno me esta esta esperando mas adelante, uno mejor y con todo lo que aprendí, lo aplicare pa' lo que viene después
Y así con esta noticia muy agridulce, finalizo mi año #19 y se cierra un capitulo mas, pa' luego empezar a escribir uno nuevo
Muchas gracias por todo! ✌️
0 notes
Text
Tercera junta.
Jueves el señorito tenía día libre, sin embargo eso no impidió que se despertara temprano y comenzara a enviarme material hot al chat. Yo estaba hablando con mis compañeras mientras mantenía una acalorada conversacióm con él.
Día viernes, fui al trabajo como un día cualquiera, no habían juntas acordadas, sin embargo vi que llegó en auto y comencé a cranear la forma de utilizar eso a mi favor.
El día fue estresante, yo andaba muy tensa, y pensé que si Enrique accedía a la petición que le haría de juntarnos post pega, se me relajaría el cuerpo, pero como no tenía certezas de que me funcionara, tuve que apelar a la buena voluntad y generosidad de mi compañera para que me convidara yerba, yo quería destensar los músculos y andar más feliz.
En efecto, me volé y me sentía livianita, cantando a todo pulmón alguna música, y le escribí a Enrique, él contestó que la idea le era tentadora.
Al salir del trabajo le pregunté si iba o no la junta, y me dice "yo te llevo", a mí no me pareció del todo buena la idea, ya que no quiero que me vean salir del trabajo con él muy seguido, ya que la gente comenzará a sospechar o por lo bajo a inventar rumores, pero fui a firmar el libro, vi que nadie estaba cerca y me subí a su auto, él al esperarme conversaba con su hermano y delante de él me pregunta "¿pa' dónde es que vamos?" yo me cohibí porque se supondría que la mentirita para este tipo de caso es que él va al cemtro comercial que queda a metros de mi casa y aprovecha de dejarme "cerca" y sentí que nos delataba de esa manera.
Al llegar a mi casa, yo sabía bien lo que quería, lo conduje a mi habitación, él se recostó en mi cama y se puso a disposición, comencé a besar su cuello, su boca, nos devorábamos, nuestra pasión es mucha y mi cuerpo comienza a dar señales, me mojo casi al instante. Él comienza a acariciarme bajo la polera, desabrocha mi brasier, me besa, me muerde, me excita. Yo desabrocho su cinturón y su pantalón, comienzo una felación y escucho sus jadeos, me excitan más aún, cuando paro en mis trabajos orales, él me posiciona para penetrarme, Oh dios, que bueno es en lo que hace, lo da todo, me folla como los dioses, ambos nos fuimos al mismo tiempo, descansamos y me dice "creo que comienzo a sentir cosas por ti" y yo le digo "fuera de aquí" aunque sea en broma no me es conveniente jugar así.
Vamos por el segundo round, comienzo haciendo sexo oral, lo lamo, chupo, succiono, bajo para darle un beso negro que veo tiene buena recepción, voy a buscar un juguete, el cual él me quita y comienza a usarlo en mí, un dildo vibrador, usa las manos, el vibrador, mientras yo me alimento de su miembro, luego comienzo a perder la cordura, sea lo que sea que está haciendo allí abajo es muy placentero y está muy bien hecho... sentí que me fui.
Me subí de todas maneras encima de él y comencé a cabalgar, él me sujetaba del cuello, me cachetea y yo me entrego al placer de mis fetiches, pero qué cosa más rica, luego me deja en cuatro, se pone un preservativo y me penetra el culo y yo no doy más de placer, esto está intenso y quiero más, sentía que me iba a desplomar cusndo sale de mí, se saca el preservativo y vuelve a ingresar por mi vagina, me masturba, me muerde la espalda y yo entregadísima a él, volvemos a irnos al unísono.
1 note · View note
louisonrisas · 2 years ago
Text
sueños lucidos (otra vez)
Estábamos en una clase de backrooms, te encontrabas tú y otras amigas. Era un backrooms de un parque de diversiones, íbamos a una serie de juegos entre ellos era el de los carros chocones nos divertíamos, parecía como si ya hubiera pasado algo de tiempo pero tal vez no el suficiente era consciente de alguna manera que ya había pasado el deadline pero por alguna "extraña" razón coincidíamos, nos hablamos con precaución y suavidad aunque de alguna manera creo que volvíamos a sentir esa incomodidad.
Miraste hacía la otra habitación que se podía observar una casa vieja pero elegante, tenía un candelabro sillas de manera con un el plástico medio quitar, mencionabas que era casa de alguien que no recuerdo el nombre.
"Esta muy bonita verdad" dijiste con ese tono de voz tierno.
Yo no decía nada, sólo observaba.
Ibas a meterte a buscar a la propietaria de la casa, la encontrabas era una amiga de la prepa, yo nunca la había visto pero todos parecían conocerla de ahí. Yo decidí irme no sé porque pero no lo soportaba, entraba a otra habitación diferente a los demás y entraba a una tipo cocina de madera toda color verde había una mujer esbelta alta con el cabello largo y vestido negro, me sentaba en la mesa y volteaba y me daba un platillo creo que era sopa, era una mujer muy bella.
"Tu eres amiga de él verdad?"
Deducía que era su mamá.
"Sí." le sonreía mientras tomaba la sopa con la cuchara.
Después entraba a mi habitación normal y veía como suelo ver mi ventana me acercaba a ella y veía como todos estaban conversando con ella en la plaza. No sé porque pero me empezaron a dar celos, no soportaba el hecho de que me hubieran dejado por ella. Recibía una llamada de mi amiga preguntándome porque no venía
"Oh ya sabes que soy muy celosa"
Re��mos y me colgó.
Después veía que se iban a la casa de V.
Después pasaron una serie de eventos en los que íbamos a una agencia de carros y veía personas "conocidas" todos estaban en cúbicos, por alguna razón mis novios trabajaban ahí entonces con todos los veía y los saludaba de beso, pero creo que D me vio con uno y se enojo. Jajaj esa parte del sueño es divertida y desastrosa.
El ultimo escenario era la última era una especie de exposición no sabía que era pero había mucha gente.
Yo me sentaba a mero atrás con Fer. Adelante estabas tu con familia.
Su mamá me miraba de lado, y de frente estabas tú.
"¿No es muy temprano para que te sientes con nosotros?" señalabas la silla de alado.
Yo hacía un desdén y levantaba la ceja.
"Tú sugeriste que me sentará, yo no."
Hizo una mueca y se volteó para sentarse.
Jajaja le cerré el osik.
Cada quién estaba en su asiento, veía como D se sentaba en las sillas de enfrente con sus amigos.
"Tengo ganas de cagarla bien machin." le dije a Fer.
"¿Qué estás esperando?"
Veía como empezabas hacer eso con los ojos, viéndome "disimuladamente" pero todo lo que hacías era ser más evidente y obvio.
Su mamá veía la situación de lejos, podía leer sus pensamientos en alto al decir "Otra vez estos pendejos". También podía ver como esperabas a tu amiga a que se sentase o viniera pero nunca apareció, sólo era tu desesperación por no estar solo.
Antes de que tu mamá me fuera hablar para intervenir la pequeña guerra fría que estabamos teniendo. Yo me levanté, se iluminaron tus ojos al pensar que me iría a sentar contigo.
La sonrisa se les cayó, cuando pasé de largo y me fui a sentar a lado de D, abranzandolo y dandole un beso.
Y después de eso se volvió un bucle entre esa escena, en donde yo me pararaba e iba con D algunas veces pensaba en como arreglar el hecho que me vio con otro pero sabía que me perdonaría, en otra donde podía ver tu reacción sorprendido y con el corazón roto, otra donde Fer se reía, otra donde leía los pensamientos de tu mamá una y otra vez, pero nunca pude escuchar alguna palabra que saliera de ti, eras el único del que no tenía control.
Sabía que era un sueño lúcido ya que despertaba ahí después quería volver a dormir para repetir la escena o continuarla.
Ya te trabaste me dije a mi misma cuando despertaba, pero quería seguir soñando eso, aunque sabía que ya estaba en otra realidad.
Tal vez era mi yo que no quería dejarte de ver.
06/06/23
0 notes
agato-asmodeus · 2 years ago
Text
Tumblr media
.⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀【 Ruptura 】
⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀#A012 | #AcontRuptura | #NCAsmodeus | #HumanAgato • 1192 palabras
//Junio sería un mes de giras para GERTENA, por tanto, en mayo, la banda estaba en la etapa de ensayos y pequeñas presentaciones//.
//Agato continuaba con su extraño comportamiento, incluso sus compañeros y su staff llegaron a pensar que podría ser bipolar, o tener algún otro síndrome. Para fortuna de todos, en los últimos días, la agresividad del vocalista había disminuído; aún así no dejaban de tener precauciones con él//.
//Ese día, muy temprano, Agato había tomado su bicicleta para acudir al ensayo como cualquier otro día. Vestía su típica ropa oscura, cubrebocas del mismo color y sus lentes para la vista//.
//Tomó la misma ruta de siempre, no sin antes haber pasado a comprar un café y haberse detenido a acariciar a su amigo gatuno que vivía por ahí cerca//.
//Se detuvo en un cruce peatonal, esperaba a que la poca gente cruzara la calle, cuando sintió una luz cegadora que hizo cerrara sus ojos. Al abrirlos y recuperar la vista, pensó que quizá más adelante un automóvil había sido el causante de tal destello y, sin darle más importancia, siguió su camino en bici, no sin antes ver como algunas personas se le quedaban mirando, algunas con una sonrisa en el rostro, entre emocionados y sorprendidos al mismo tiempo//.
//Finalmente llegó al estudio, no era uno muy conocido ni tampoco muy grande. Estacionó su bicicleta en el típico lugar y entró al edificio//.
Buenos días //saludó como siempre al poco personal que se encontraba ahí a esas horas, estas no respondieron, en cambio tenían una expresión de sorpresa. Agato no sabía qué pasaba, así que solo inclinó su cabeza y continuó por el pasillo para llegar a donde sus colegas le esperarían//.
Buen día, chicos //dejó su mochila sobre el piso, se quitó la chamarra, el cubrebocas y fue al centro del salón para empezar el ensayo, pero ninguno de sus compañeros se acercaba, en cambio se le quedaron viendo estupefactos//. ¿Por qué todo mundo se me queda viendo ahora? Desde hace rato que venía para acá pasa lo mismo ¿Qué sucede? ¿Tengo algo en la cara?
//En ese momento, todos se pusieron de pie e hicieron una gran reverencia ante su vocalista para saludarlo y darle la bienvenida al estudio, como si fuera un completo extraño, incluso uno de ellos mencionó que era todo un honor tenerle ahí. Agato pensó que era una broma, ya que últimamente sus colegas se habían distanciado un poco debido a su mal genio, y creyó que era una manera de volverse a acercar a ellos//.
Gracias chicos, pero no es para tanto. Por favor, ¿podemos ensayar? 
¿Ensayar? ¿Acaso tendremos algún tipo de colaboración juntos? //pregunt�� Nao, emocionado y confundido hacia los demás//.
No, no lo sé. Nadie nos mencionó nada al respecto //dijo otro de ellos, mientras Agato no entendía nada de lo que pasaba//.
Oigan, ya es suficiente de esto, hay mucho que ensa… //decía Agato, cuando alguien irrumpió en el salón corriendo y gritando con incredulidad//.
¡¿Es ci-ci-cierto que él está aquí?! //era el manager, alguien había ido a contarle quién estaba de visita en la disquera y este había salido corriendo a comprobar que los rumores eran ciertos, y lo comprobó cuando lo miró ahí de pie frente a él. En seguida, el manager hizo una gran reverencia ante Agato y, con voz firme, agradeció su visita. Aunque aún nadie sabía por qué él estaba de visita justo ahí. 
Es un honor su visita a nuestro lugar de trabajo, Hyde san //hizo nuevamente otra reverencia//.
“¿Qué?” //Agato pensó que había escuchado mal, ¿acaso había dicho “Hyde”?// No, esperen un momento, yo… //se dio vuelta para ver cómo habían ya varias personas reunidas fuera del salón, tratando de mirar a la celebridad por la ventanilla//.
//Finalmente su mirada distraída se topó con el espejo del salón, fue ahí que puso la misma expresión que todos tuvieron al verlo. Parpadeó varias veces sin dejar de mirar su reflejo, paso a paso se fue acercando hasta que tocó el espejo con una de sus manos para luego llevarla a su rostro//.
“¿Qué… qué significa esto? ¿Soy yo? ¿Es un sueño? ¿Qué sucede?”
//En cuanto se dio cuenta que aquello era real, empezó a entender por qué en la calle algunas personas le miraban, incluso por qué de pronto le costó algo de trabajo manejar su bicicleta, sintió que el asiento de pronto le quedaba un tanto alto, incluso su pantalón y sus mangas estaban más largas, claro, su estatura había disminuído//.
“Hyde san”
“Hyde san”
//Empezó a escuchar y su mente regresó a la realidad. El manager, y otras personas, le llamaban haciéndole varias preguntas, sobre todo a qué debían su visita en una disquera poco conocida//.
Yo… //no sabía qué decir, su cabeza daba mil vueltas y sólo quería huir de ahí, así que solo hizo una reverencia y corrió hacia la salida sin detenerse a dar explicaciones, sin embargo, cuando salió del edificio para tomar su vehículo e irse a casa, afuera ya se encontraban algunas personas esperando poder ver al cantante, el rumor había llegado ya lejos, incluso algunos medios iban llegando a cubrir la inesperada y sorpresiva nota//.
//Sin embargo, antes de que sucediera algo en ese lugar, llegó una camioneta de donde bajaron algunos hombres más altos que él, le abrieron camino y lo guiaron hasta dentro del vehículo para ponerse en marcha y alejarse de ese lugar//.
En cuanto escuchamos la noticia vinimos lo antes posible por ti ¿En qué estabas pensando? ¿Qué hacías metido ahí? //una pregunta tras otra recibía el vocalista, quien seguía anonadado de lo que estaba pasando. ¿Qué había pasado? ¿Por qué tenía la apariencia de ese cantante famoso? ¿Será que la otra persona tenía ahora su apariencia? ¿Y dónde estaba ahora?//
Solo quiero ir a casa //fue lo único que dijo antes de caer dormido, tal vez tantas emociones le hicieron agotarse//.
//Cuando despertó, creyó que había sido un sueño, pero se desmintió al ver que la habitación donde estaba no era la de su pequeña casa, al contrario, la habitación era enorme y llena de lujos, unos que en su vida él podría tener//.
//Salió de la habitación en silencio, todo era tan ajeno y extraordinario, Agato estaba fascinado con tantas cosas, pero al mismo tiempo deseaba salir de ahí sin ser visto, pero al tratar de buscar la salida, empezó a sonar un teléfono, el vocalista se asustó y trató de encontrarlo entre sus ropas, ya que el sonido venía de ahí// ���Este no es mi teléfono” //En seguida respondió y reconoció la voz, era la misma persona que había ido por él y ahora le preguntaba si ya estaba descansado//.
« Que bueno que estás despierto. Tuve que darte otro teléfono, el tuyo no lo llevabas contigo, así que mientras usa este. Por hoy descansa y recupérate, mañana retomamos las actividades. »
//Se despidió y colgó//.
“Mi*rda” //fue lo único que pudo pensar””.
Tengo que comunicarme con alguien, ¿Satsuki? No, él estaba ahí en el ensayo y dudo que me crea. ¡Maldición! ¡¿Quién me va a creer?! //se dejó caer a un sofá que estaba cerca, algo debía ocurrírsele//.
0 notes
war-m-blue · 2 years ago
Note
claramente nada es para siempre y tener la idea de que asi es, es una wea utopica a cagar y a pesar de ser consciente de ello no se deja de lado que igual en cierto punto es penca lo efímero y frágil que puede ser todo
que paja jwjsj como que has dicho weas tan reales en todo el sentido de la palabra que en cierto punto da rabia que asi sean pero coincido caleta.
Respecto a eso de pensar mucho en la muerte como que si me ha pasado caleta pero por mi parte no lo había pensado de esa forma y justamente se debe a vivencias distintas, por mi lado como que una parte en el fondo de mi, me mantiene la empatía a quien me rodea de cerca y el miedo al actuar, pero en su momento si planee así como la manera mas accesible de pasar esa linea pero como que no sé, siempre hay algo que te arrastra de vuelta y te hace darte cuenta que no todo es tan mal como parece pero no deja aparte el que eventualmente te sigas sintiendo de la misma forma y llegues a lo mismo, algo ciclico por asi decirlo, entonces por como he vivido no lo habia pensando como tu, eso dejar de sentir, creo en lo personal que en la vida he sentido lo suficiente, probablemente haya mucho mas pero como ciegamente me da la sensación de que no dista mucho de lo que ya he vivido, a pesar de que en ese sentido me sienta mas calmo actualmente como que tarde o temprano golpea la puerta esa wea y es como no se, denso. Igual me da para pensar lo que dices tu la vdd.
Por otra parte, igual se veía mucho reflejado eso que dices, como que siempre fue como una apariencia fria en lo que respecta a los sentimientos pero me daba la sensación de que no era tan así en el fondo y de hecho como que esa wea me hizo persistir en tu vida en algún punto de los años que compartimos, me intrigaba demasiado al punto de parecerme interesante, onda querer escarbar en esa personalidad, a pesar de que aveces lo veia como demasiado para mi, como que tu existencia me intrigaba y me movía pero a la vez era como imponente pa mi de alguna forma, era raro dkdmdkdmd no hay más detalles de eso. y a pesar de que llegué a sentir por ti, como que en base a tu persona en su momento tampoco vi necesario expresar lo que sentia y si no me equivoco, nunca lo hice de hecho a pesar de que quise, aun asi trate de reflejarlo en la forma en que me comunicaba con vo, jeiter. Pero es loco que seas consciente de ello, llama la atención, es bueno y bacan que existan esas intenciones de cambiar el switch, que haya llegado esa no se, suerte de epifanía en torno a pensamientos relativos a la muerte, es brutal pero bacan a la vez.
como chucha llegamos a esto, es como interesante la conversa pero me pesa mucho igual pq hay cosas muy reales a las que les intenté hacer el quite en su momento pero, aquí estás tu hablándolo como con una vista muy aterrizada, justificadamente aterrizada pero con la que concuerdo caleta, es loco. Cómo ta la chiki, la mini y la kitty oh, que me tenis aki leyendo cosas densas ª kskwndmd
pero y no te resulta extraño que se repita?, volver a sentirte de la misma manera?, pq no romper con el ciclo?, para pensar señores, hay que darle valor a nuestra existencia, y por supuesto, no invalidar lo que sientes.
personalmente, creo que he descubierto muchas cosas sobre mi y lo que siento y he aprendido harto, sobre todo en marzo jfjfj, no era meme el haber llorado 29 días de marzo, hago catarsis todos los días, como nunca me he permitido el sentirme mal y puta que ha sido doloroso, pero era totalmente necesario, voy a conectar este msj a cómo viste tu mi manera de ser, me hace mucho sentido la vdd y me apena pq es algo que me da rabia de mi, haber tomado esa postura, fue una decisión inconsciente producto de muchas weas que ocurrieron en mi infancia y que también repliqué, y que hoy es algo que me incomoda, que no me gusta y que estoy queriendo cambiar, por eso hablar y expresar las cosas que se sienten con más personas es super bueno y es algo que igual estoy entendiendo, nunca comuniqué nada, a nadie, siempre me guardé todas mis weas y eso me llevó a donde estoy ahora :D dkdk, pero eso, no sé si tenís cosas guardadas que no hay contao, expresao, hablao, pero no sé, igual quiero que sepai que aquí igual tenís un lado seguro pa hablar, mgtaría en vdd, leerte/escucharte, ta mal hacerle el quite a las weas, hay que hacerse cargo compañero. mirar las cosas desde otra perspectiva tb apaña harto.
mgtan las weas densas la vdd, losiemto, pero dejo la invitación ahí
0 notes
alvarobley-blog · 2 years ago
Text
Oscar Castro
En el 2016 se publicó la antología 7 Veces Lucero, por la editorial Los Libros de la Mujer Rota. En ella, se recopilaron 7 nuevas versiones del cuento “Lucero”, del autor chileno Óscar Castro.
Una de esas versiones fue escrita por mí y la presento es la que sigue en estas líneas: 
Me subí a la micro. Me puse a escuchar música. Se subió una señora con el pelo teñido, con bolsas, mirándome con ganas de ocupar el asiento. O sea, después de subirse, pasó la tarjeta, caminó hasta donde estaba yo y me empezó a mirar con ganas de ocupar el asiento. Igual lo hacía bien, era piola, miraba un poco y después cuando yo la miraba de vuelta, ella miraba pa la ventana o pa otro lado, haciéndose la que no quiere molestar. Pero igual suspira, se queja. Pensé que igual ella se merecía más el asiento que yo. Es una cosa de merecimientos, no de quién paga más, como la mayoría de las cosas. Yo soy dueño del asiento, pero no lo vendo, sino que determino si es que yo me lo merezco más que ella. Y el merecimiento, para mí, en estos casos, se basa en una sola cosa: quién está más cansado. Ante esto, hago una suposición que me determina a mí, como joven buen mozo y esbelto que soy, en una persona que se cansa menos que las señoras. Que las señoras que seguramente tienen hijos, quizás nietos, que trabajan todo el día, que varias noches al mes duermen mal y que se despiertan temprano. Entonces, en un acto de bondad, pero más que de bondad, de justicia, me paro y le doy el asiento. Se lo doy, porque yo soy el dueño. Me paro y le pregunto ¿Señora?, mirándola a ella y después mirando el asiento. Ella me dice gracias y se sienta, poniendo sus bolsas encima de sus piernas y descansando un poco. Da un último suspiro, que es el paso de la incomodidad física hacia el descanso del cuerpo.
Después de esto, pienso en las repercusiones que puede tener mi acción. La señora, tarde o temprano, va a tener, con señores y otras señoras, una conversación del tipo qué atroz la sociedad en la que vivimos hoy en día o, en su defecto, qué mala está la juventud. Uno de estos dos temas va a ser acompañado con té, café, galletas y algún pastel preparado por la más hacendosa del grupo de amigas. Ahí, en ése contexto, la señora va a decir Mira, fíjate que a mí, y ya es más de una vez que me ha pasado, un cabro me dio el asiento en la micro. No todos son malos. Eso va a pasar. Y también va a pasar que algunas señoras, que van a estar conversando ahí con ella, no van a poder creer que haya alguien, joven, que haya hecho algo mínimamente bueno. Pero ella va a insistir: En serio, y no es primera vez que me pasa.
Estoy en la micro, previsualizando conversaciones de señoras y señores ajenos, cuando se sube una mina. Una mina que puede ser una loca. Una loca que conozco, que me cae bien. En verdá no solo yo la conozco, sino que nos conocemos, porque ella también me conoce. Eventualmente nos podríamos enamorar, pero eso no pasaría todavía. Primero tenemos que conocernos, porque solo hemos hablado un par de veces. Todavía no nos tenemos en Facebook, por ejemplo. Además creo que todavía no se da cuenta de lo buen mozo y esbelto que soy. Entonces falta todavía para el enamoramiento. Yo me quiero enamorar, pero no sé si ella querrá. Y la micro, así como está, media llena, se da como ocasión para hablar. Obviamente no es el mejor lugar, todo está muy sobrio, muy incómodo, muy polvoriento. Pero como la oportunidad está, es real, hay que resolverla de alguna manera. Me puse a pensar, apurado, sobre de qué podemos hablar, para concretar mis ganas de enamorarla.
Nos saludamos. Yo le dije hola, ¿cómo estai?, y ella sólo me dijo hola y me dio un beso en el cachete. Pero de esos que son cachete con cachete, sus labios apuntando hacia cualquier lado menos mi cara. Le pregunté por qué estaba arriba de la micro. Me dijo que iba a clases. Sin que me preguntara, yo le dije qué buena, que yo también iba a clases. Pa seguir la conversación le pregunté clases de qué tenía. No me respondió nada, sólo me miró con cara de deja de preguntar cosas porque ya me cansé de responder preguntas, me subo a una micro para moverme, no para que gente hermosa como tú me llene de preguntas.
Decidí contarle sobre un cuento que me leí. Es un cuento de Óscar Castro. Me dijo que no había leído nada de él. Le dije que es el que escribió La Vida Simplemente. Me dijo que buena, pero que no había leído La Vida Simplemente, porque, como me dijo antes, no ha leído nada de él. Pensé que ella estaba siendo un poco pesada conmigo. Me podría unir al grupo de señoras que pelan a los jóvenes. Yo diría que una me trató mal. Pésimo. Intentó decirme estúpido y preguntón. Pero, peor aún, ni siquiera me lo dijo.
Le dije que el cuento se trataba de un señor que tenía que matar a su caballo. Que era una situación límite, no le quedaba otra opción, pero que tuvo que hacerlo. Él amaba su caballo, pero aún así lo mató. Ella me dijo que qué pena, mientras veía su celular y tecleaba cosas. Le pregunté qué haría ella ante una situación así, si tuviera que deshacerse de algo que ama. Me dijo, tecleando su celular, que se desharía de él nomás, porque, como dije en el enunciado de la pregunta, a ella no le quedaría otra opción. Ahí caché que mi pregunta era muy estúpida.
Pensando qué hacer, me bajé de la micro. Me deshice de mí mismo ahí. Ya no existí más en esa micro. Pensé que podría haberle preguntado a la señora que cuándo se iban a juntar a comentar lo mala que estaba la juventud. O la sociedad actual o lo que quieran putear. Yo estaría feliz ahí, puteando a esa loca. Comiendo galletitas y pastelitos. Tomando tecito. Pero no. Solo estaba en la mitad de una calle inútil, esperando que de nuevo pase la micro, porque no me debería haber bajado ahí. Igual podría caminar hasta el metro, está como a 10 cuadras. Lo voy a pensar.
0 notes
kazzykatt · 3 years ago
Text
WEY NOOOO ESTO ES MAS TRISTE
Tumblr media
o sea está bien bonito pero duele 😭💖💖
@kazzykatt había hecho esto antes de fijarme que ya tu habías subido un final canon pero de todas maneras t lo dejo x acá 💃💅
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
32 notes · View notes
crecimiento-espiritual · 3 years ago
Text
FECHA
01/07/2022 0:00:00
Esas no son penas
ORACIÓN INICIAL
Amado Dios ya que mi vida en la tierra es pasajera, permíteme aprovechar al máximo cada día, permíteme ser ejemplo de fe, de amor y de esperanza a mi generación. Que mi vida inspire a otros a seguirte sin reservas. Amén.
LEE LA PALABRA DE DIOS
“Conforme a mi anhelo y esperanza de que en nada seré avergonzado; antes bien con toda confianza, como siempre, ahora también será magnificado Cristo en mi cuerpo, o por vida o por muerte. Porque para mí el vivir es Cristo, y el morir es ganancia. Mas si el vivir en la carne resulta para mí en beneficio de la obra, no sé entonces qué escoger. Porque de ambas cosas estoy puesto en estrecho, teniendo deseo de partir y estar con Cristo, lo cual es muchísimo mejor” Filipenses 1:20–23.
REFLEXIÓN
Pablo se encontraba preso injustamente en Roma cuando escribió estos versículos. Como cristiano había experimentado muchas dificultades: hambre, sed, frío, desnudez, azotes, enfermedad, traiciones y un largo etcétera (2 Co 11: 24-27). Sin embargo, Pablo miró más allá de sus circunstancias, se aferró a su esperanza que era Cristo y siguió adelante sin importar las consecuencias. La prisión fue la oportunidad que tuvo para llevar el evangelio a todo el mundo conocido y catapultar a los creyentes a que, con más valentía, vivieran el evangelio y lo compartieran. Pablo murió, pero su tenacidad y su valor de llevar el mensaje de la cruz siguen inspirando a cristianos en el mundo entero.
Las dificultades y la muerte, tarde o temprano llegarán; podemos ver obstáculos o podemos ver oportunidades para glorificar el nombre de Cristo, cualquiera que sean nuestras circunstancias. La vida es muy corta (y en perspectiva es muchísimo mejor estar con Cristo); así que, mientras podamos y sigamos en esta tierra, inspiremos a quienes vienen tras nosotros a vivir una vida sin reservas, sirviéndole a Dios y a nuestra generación con pasión, con amor, con fe y con esperanza.
“Esas no son penas pa' un soldado como yo, soy de las que combato cinco minutos después de muerta” Homenaje a Ángela Hernández. 1990-2022.
ALABANZA
youtube
7 notes · View notes
universallybattacogoth · 3 years ago
Text
Ey jajajaja, funny story, estoy escuchando acurrucar a las 4:26 de la madrugada y tipo ajá insomnio y todo eso porque como no tengo horario pa levantarme o cosas así pues me quedo hasta muy tarde y resulta que cada que escucho acurrucar me acuerdo de ti, de Xiomara jaja, la verdad no sé qué hacer en estos momentos, la vida se siente tan vacía, tipo no se qué putas me pasa con todo pero siempre tiene que haber un problema conmigo, ya sea que la vida va muy rápido o que va muy lento porque ya quiero ser mayor de edad y así hacer muchas más cosas, pero en estos momentos mi problema es que me siento vacío y si si, lo se, lo de sentirme vacío es mi problema y no puedo esperar a llenarlo con el amor o la compañía o la atención de alguien porque así no funciona porque lo he tratado demasiado y ajá, ehhh a ver qué más? Ah si, eso de dejarle de hablar a las personas todavía lo digo haciendo jaja, creo que en parte me siento vacío por esa falta de interés en todo, esa pereza que siempre he tenido de hacer todo, me asusta mucho eso, me asusta porque las cosas que más me gustaban hacer ya sea cocinar o simplemente escuchar musica que eran de mis cosas favoritas ya no les encuentro la gracia y es díficil despertar en la mañana a simplemente ver lo mismo en mi celular, pasar de instagram a tik tok y después a YouTube para terminar viendo alguna serie en Netflix a la cual no le voy a poner atención y posiblemente deje a la mitad por lo mismo de que no le encuentro la gracia, cuando algo me gusta y verdaderamente me interesa solo soy capaz de dejarlo porque sé que tarde o temprano me voy a aburrir así que prefiero extrañar lo desde que lo tengo a pasar por todo el proceso de aburrirme con eso. Siempre me decías que querías saber un poquito más de mi, pues esto es un poquito de mi y si.
7 notes · View notes
spartina-waifu · 3 years ago
Text
like, ok im probably projecting, but i wish i had a fraction of her tenacity! her confidence! her readiness to just keep on fucking going even if its scary!
now i want to reread the books because i NEED to know exactly what she's doing all the time at all points in the story, fuck
something that drives me absolutely mad, and don't get me wrong this isn't an attack on the book or anything, but like what was it like for Clover to learn how to be a wild rabbit? TT.TT i think about the details of this all the fucking time
Clover is just so special to me cuz she chose like a whole new way of life, she wasnt even used to eating above ground and there was plenty to be scared of but she! did! the! damn! thing! and jumped at the first opportunity for a change anyway
everyone else moved to a new warren yeah but they were born wild, miss clover girl went from hutch rabbit to wild rabbit, i just know she had a time of it!!! she's amazing! and I love her!
13 notes · View notes
graciasbalan · 3 years ago
Text
CHISMÓGRAFO
INSTRUCCIONES DEL CIBERCHISMOGRAFO:
 SI FUISTE ETIQUETADO, TIENES QUE RESPONDER Y ETIQUETAR A OTRAS SIETE PERSONAS.
LA IDEA DE ESTO ES QUE CONOSCAS UNPOCO MAS DE TUS AMIGOS. NO SABES LO QUE VAS A APRENDER DE CADA UNO DE ELLOS.
PROHIBIDO MENTIR
1. ¿QUÉ HORA ES?: - 15:43pm
2. ¿TÚ NOMBRE?: - Ahí está mi nombre, hijo de tu perra madre, está escrito ahí arribita, en mi puto nombre de usuario. Pendejo. 
3. ¿CUÁNTOS AÑOS TIENES?: - 24
4. ¿ESTUVISTE ENAMORAD@ ANTES?: -  A ti qué te importa. Pero sí, ahí anduve como pendejo atrás de un güey durante seis años. Yo iba a donde al Isidro se le antojara porque estaba bien enamorado de él. Hasta que se le antojó morirse el otro día y ya no pude ir atrás de él.
 5. ¿ESTÁS ENAMORAD@ AHORA?: - Cómo voy a estar enamorado ahorita, si te estoy diciendo que Isidro fue el amor de mi vida y lo acabo de enterrar hace una semana. Si no he podido sentirme cercano a otro que no sea él, si no hay otro futuro mas que el  que él inventó, ¿tú crees que voy a andar enamorándome de otro cabrón?
6. ¿ARTISTA FAVORITO?: - El Isidro y yo nos quedábamos noches enteras oyendo a Víctor Jara y a León Chávez y a Violeta Parra. Me gustan mucho esos tres. Isidro me los mostró, me enseñó su música y me enseñó a tocar la guitarra. Dice Martiniano que en la montaña, revolucionario todo es ahí, que anda clandestina una mariposa, y su responsable es un colebrí. Allá de andar el Isidro.
 7. ¿CANCIÓN FAVORITA?: - Antes de que Isidro me enseñara esa música, yo tenía un disco de Gorillaz. Como a los dieciséis o diecisiete años. A veces, cuando cogíamos, yo lo ponía en el estereo. A Isidro también le gustaba. Cantaba a veces. Me ayudó a aprenderme On Melancholy Hill en acústico y se la canté. Se la cantaba casi siempre, después de coger. Él me decía Plastic Bitch. Yo creo que mi canción favorita sí es On Melancholy Hill. Creo que me pega muy hondo acá en el pecho. Cuando suena el silbido, el tutú tutu tutútu, me imagino que voy en un catre que flota en el océano, pero no me mareo ni me mojo, nomás ando acurrucado con el Isidro y nos vamos alejando por el mar, en silencio. Lejos de la ciudad y de los problemas carnales de quién tiene más comida, de quiénes se mueren de hambre. Nos alejamos y suena up on mellancholy hill there's a plastic tree, are you here with me?
8. ¿AMASTE TANTO A ALGUIEN COMO PARA LLORAR? - Lloré un chingo de veces con el Isidro. Lloré de todo, de amor y de dolor y de enojo y de puta soledad. Sobre todo de soledad, yo creo. Lloré también en todos lados.
9. ¿FUMAS?: - Había dejado el tabaco, hasta la semana pasada. Me he chingado unas cuatro cajetillas en estos días, yo creo. La mota esa sí nunca la dejé de fumar. Aunque luego ahí dicen que las drogas son antirrevolucionarias, que porque son una herramienta de control y no te dejan estar preparado pa la lucha. Y estoy de acuerdo, creo, pero parte de la revolución debe ser la libertad de ponerse tan pacheco que ya todo se oiga como un zumbido y las luces se barran cuando muevas la cabeza. Es de los vicios que no me ha podido quitar, junto con la cocacola
10. ¿COMIDA FAVORITA?: - El mole dulce, definitivamente mi comida favorita es el mole dulce. Me hace pensar en fiesta, en festejo de quince años o en bautizo o en boda. Yo odiaba, odio, al matrimonio, por ser institución contrarrevolucionaria, por ser herramienta de control. Pero creo que todavía a veces, medio modorro cuando me acabo de levantar, pienso "ojalá y pudiéramos casarnos los jºt0s", pensaba esas veces que si me casaba con el Isidro, nos podíamos ir a sembrar a algún lado, a poner una escuela popular, a fumar mota juntos, encuerados en la cama, y que me escuche cantarle melancholy hill.
11. CANCIÓN QUE ESTÁS ESCUCHANDO EN ESTOS MOMENTOS: - Nada, ya no hay música. Puritito silencio.
12. ¿TE GUSTA ALGUIEN?: - Te acabo de decir que se me murió el amor de mi vida hace una semana. ¿Cómo me va a andar gustando alguien? Y de todos modos ¿a quién conozco yo? No tengo ningún compa, todos eran amigos de Isidro, no creo que con ninguno pueda entablar una conversación que no gire en torno a él. Creo que estoy tan solo como he estado los últimos cinco años, pero ahora es más evidente.
13. PELÍCULA FAVORITA: - La boda de mi mejor amigo, yo creo. Otro gusto contrarrevolucionario, quizá de ahí salió la idea tan fija de casarme. Pero ¿sabes qué? no fue nomás eso, y yo no fui el único que quería casarse. El mismo Isidro me dijo una noche de marihuaniza y cogedera, me dijo "Ámonos, tú y yo" y le pregunté que pa dónde y me dijo "Creo que en Puerto Vallarta si nos dejan casarnos" y se quedó en silencio un rato "Y si no, igual podemos agarrar un terreno, creo que tengo guardado suficiente para comprar un terrenito, para sembrar, poner una tiendita, hacernos viejos ahí" yo no sé por qué le hice caso, si bien que yo sabía que ese güey hablaba nomás por hablar, pero se sentía bonito escucharlo, y le siguió "nosotros ya hicimos mucho por la lucha popular, mucho más que lo que cualquiera de estos pendejos puede decir, tú y yo ya deberíamos poder irnos sin culpa" pero no era cierto, el güey sentía un placer doloroso en estar ahí, en echarnos en cara a todos que le estaba entregando su vida al movimiento. 
14. ¿ÚLTIMA VISITA AL HOSPITAL?: - Le apreté la herida del balazo al Isidro y así me lo llevé en los asientos de atrás del carro del Fede. Yo iba gritándoles que les valiera verga si lo encontraban, que el amor de mi vida se estaba desangrando y que teníamos que tratarlo en un hospital. Llegando allá fue la última vez que lo vi con vida, lo metieron en una camilla y nos lo entregaron en una bolsa. En el carro me veía con sus ojotes como de perro, vidriosos y tiernos, y yo le pregunté qué tienes Isidro, qué pasó, y él como que quería hablar pero no hablaba, nomás me veía y se le llenaban los ojos de todas las lágrimas del mundo.
15. ¿DÓNDE TE VES EN 15 AÑOS?: - No me veo, ya dije. Isidro se llevó el futuro. Se llevó todos los futuros posibles. Se llevo todos los futuros que me platicaba. Por acá que pase un tren de pasajeros, para que la gente pueda ir a trabajar, y quitar el pavimento de acá, que no sea para coches, que sean árboles. El estacionamiento de aquí de Plaza Fórum podría usarse para enseñar mecánica, carpintería, construcción, cosas de esas, y arriba enseñar a leer, escribir, sumar, restar, interpretar lo que se lee. El estacionamiento de hasta arriba puede servir para enseñar cultivo. Nomás se murió y todos esos futuros se me revelaron como imposibles. En 15 años no me veo. O quizá sí. Junto a Isidro, matando canallas con nuestro cañón del futuro.
16. ¿TIENES MASCOTAS?: - No. Ando apenas llegando a la ciudad. No sé si me quede. Pero me gustaría un perro. Cuántas ganas tengo de un perro.
Mentí hace algunos puntos. Sí escucho música todavía, pero me avergüenza. Me avergüenza el sonido de la música sin él, se siente irrespetuoso y horrible. Pero escucho a Silvio, Silvio diciendo "Aquí se queda la clara, la entrañable transparencia, de tu querida presencia, comandante Che Guevara". Aquí se queda la entrañable transparencia de los ojos de Isidro. 
17. ¿QUÉ CAMBIARÍAS DE TU VIDA?: - Si pudiera elegir mi vida, estaría atendiendo una tienda de abarrotes lejos de aquí, atendería a un morrito que me pediría un gansito, o una cocacola, aunque sea antirrevolucionario, y entonces pensaría "hoy voy a cerrar temprano" y bajaría la cortina de metal y pondría el candado y me metería a la casa y me encontraría con Isidro en el comedor, haciendo panfletos para algo, yo creo que para un curso de escritura o algo, y yo me sentaría con él, y luego nos pondríamos a ver una película y quién sabe cómo pero acabaríamos encuerados, en el piso, yo metiéndole los dedos y él con sus ojos de ternura de siempre, mirándome. Estaríamos casados. Luego de unos años, tendríamos un morrito. O una morrita. Adoptada. Y nos veríamos más viejos. Y seguiríamos viendo películas románticas, y luego, junto a una fogata acamparíamos con nuestra hija y él cantaría con su guitarra, cantaría Si no creyera en la locura... y yo luego, ya que ella esté dormida, cantaría, muy cerquita mi cuerpo del de él, you can't get what you want, but you can get me...
18. ¿QUÉ FOBIA TIENES?: - Las ratas 
19. ¿ALGO QUE QUIERAS DECIRLE A LA PERSONA QUE TE ETIQUETÓ?: - Mateo, de mis sobrinos eres el que menos veo, ¿cuántos años tienes? ¿13? ¿14? ¿Cómo te acordaste de mí para etiquetarme en esta mamada? Ni te has de acordar. O chance y sí, y pensaste que esto me ayudaría a distraerme.
20. ¿ODIAS A ALGUIEN?: - Isidro
21. ¿QUIÉN TE GUSTARÍA QUE RESPONDIERA A ESTO?: - Eh, no sé, a quien se le de la gana, pero quiero cambiar mi respuesta de arriba. No odio a Isidro. Nunca podría odiar a Isidro. Lo seguí a todos lados durante seis años, y mis mejores recuerdos son encuerado junto a él, hasta el culo de pachecos, abrazados. Aunque el güey me pendejeara cada que podía, para quedar bien con el resto del partido, y aunque se cogiera a quien se le pusiera enfrente, porque la monogamia es herramienta de control de estado, y aunque su risa de cuando lo enfrentaba calara tan hondo. No odio a Isidro. No sé si odio a alguien.
22. ¿QUÉ LE DIRÍAS A ALGUIEN Y NO TE ANIMAS? No sé, we. Pero también quiero corregir otra respuesta donde no dije la verdad. No estoy escuchando a Silvio Rodríguez. Ando escuchando a Gorillaz, pero ni siquiera ando escuchando On Melancholy Hill, no sé por qué siento que todo lo que haga, que todo lo que piense, debe ser para Isidro. Siento que se lo debo. ¿No le di acaso mucho en vida como para seguirle regalando todo ahora muerto?
23. ¿COLOR PREFERIDO?: - El amarillo
24. ¿LIBRO FAVORITO?: - Yo digo que Los Días Terrenales. Isidro me enseñó a José Revueltas, aunque a él, justamente ese libro, no le gustaba tanto
.25. ¿QUÉ HACES CUANDO ESTÁS ABURRID@?: - No sé. Todavía no lo descubro. No sé quién soy cuando no está él, y ahora ya nunca va a estar.
26. ¿CÓMO TE DICEN TUS AMIGOS?: - ...
27. ¿EL PEOR SENTIMIENTO DEL MUNDO?: - Es terrible la soledad, pero darse cuenta, dimensionar cuánto tiempo lleva esa soledad contigo, creo que es lo peor. Reconocer la soledad y luego reconocerse a uno mismo en medio de esa soledad, notar cuánto te has alejado de la compañía, los kilómetros y kilómetros que hay de desierto entre tú y los demás, y preguntarte cómo es que llegaste tan lejos, cómo te permitiste caminar solitario por el páramo durante tanto tiempo
28. ¿EL MEJOR SENTIMIENTO DEL MUNDO? El de estar en un catre que se aleja por el océano y estar solo, sin nadie abrazándote, sin tener a nadie a quién cantarle. Y el sol cae en tu piel y el agua guarda silencio y sabes que no te encontrarán, sabes que nadie se va a acordar de que te fuiste. Y puedes mirar el cielo y cantar para ti "You can´t get what you want but you can get me...", y luego que se te nuble la vista de tan pacheco.
29. ¿QUIERES A ALGUIEN?: - Sinceramente no lo sé.
30. ¿QUÉ HORA ES? 18:56 p.m.
31. ¿QUÉ PIENSAS? Pienso en lo difícil que es volver al mundo. Pienso en que no sé si quiero volver o no al movimiento. Pienso que hace mucho que no entraba a esta cuenta de facebook y que no reconozco a la mitad de la gente que tengo agregada. Pienso ahora que Mateo se equivoc��, estaba etiquetando a mis amigos y me puso a mí por accidente y yo de pendejo me puse a llenar un chismógrafo como si tuviera 15 años. Pienso en el miedo que me da admitir que es un alivio que Isidro esté muerto.
8 notes · View notes
koelnpoetry · 3 years ago
Text
Te pienso temprano, sola, mirando al mar
Tus poses en mi cama
Yo las recuerdo
Y si ella me besaba
Paraba el tiempo
Se te da muy bien
Llevarme donde no me lleva nadie
Da, pero otra vez
Que no te falte ni un solo detalle
Se me da tan bien
Que hasta debajo'el agua esto te arde
Ven, cállate y ven
Que pa' nosotras nunca se hace tarde...
Paula Cendejas - Nosotras (Contragolpe, 2021)
2 notes · View notes