Tumgik
#musique libre de droit
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mynocopyrightmusic · 2 years
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Ton Regard Me Trouble
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ernestinee · 17 days
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T'façons c'est pas compliqué les bases pour améliorer sa santé c'est bien dormir, manger équilibré et bouger. Au moins s'étirer.
Ça fait deux variables sur lesquelles j'ai la possibilité d'agir. Le sommeil j'ai abandonné.
Puis il reste le côté chiant de la santé. Quand il faut agir sur le plan médical. J'ai aussi abandonné l'idée de retourner un jour en gynécologie et en cardiologie. J'ai une sorte de dérèglement depuis deux mois, je ne sais pas d'où il vient mais je sens que mon fonctionnement a changé. C'est difficile à définir. Ça n'a pas l'air "grave", c'est juste différent.
Puis la santé mentale. Ça fait des mois que je n'ai plus écrit dans mon carnet, simplement parce que je ne suis jamais seule dans cette maison. Il y a eu les congés scolaires et autant ça me fait du bien d'avoir + de temps le matin, autant nerveusement ça m'épuise. Il faut penser aux repas plusieurs fois par jour, aux loisirs, conduire l'ado à gauche et à droite, dépenser des sous pendant que je n'en gagne pas, profiter du temps libre pour faire des trucs et bosser, parce que les congés scolaires c'est pour l'ado, pas pour moi. Ça me manque d'écrire, écrire sur les plantes, les saisons, les observations, les couleurs, décrire des lumières, des moments, les liens que je tisse entre le hasard et le voulu, des souvenirs. Il y avait une jolie brume qui montait hier soir, la première brume de septembre, et la lune était très fine, le ciel encore un peu coloré, et ce ne sera pas écrit dans mon carnet. Écrire est à peu près le seul truc qui m'aide à ne pas devenir cinglée entre ces murs. Avec la musique. Là je me nécrose. C'est chouette cette idée de cocher des cases mais il me faudrait une matinée sans case à cocher, à un moment où je suis seule.
Bon j'ai commencé en disant que c'est pas compliqué et en fait c'est compliqué.
Allez. Étirements, marche, écriture et arrêter le sucre rapide.
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olympic-paris · 5 days
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saga: Soumission & Domination 274
Espagne - 2 soirées chaudes(2013)
Juan nous emmène (PH, Ernesto et moi) sur la plage à l'heure où les Gogos des boites la parcourent à la recherche de clients à appâter.
Par 3 ou 4, dans leurs maillots blancs portés bas sur les hanches, tirés vers le sable par des sexes lourds, musclés comme sur des publicités pour protéines et bien sûr, tout bronzés, ils sont rapidement le point de mire de toute l'étendue de sable.
Nous jouons les indifférents mais le carré que nous faisons, avec nos petits culs musclés serrés dans nos maillots à la taille calculée au plus juste, attire leurs regards. Ils dévient vers nous et je vois se pencher au dessus de nous le plus beau gosse du groupe, tout sourire, dévoilant deux rangées de dents blanches. Il nous apostrophe en anglais nous proposant des entrées pour la soirée qui vient. Mes trois collègues se retournent et matent leur petit groupe. Comme on tarde à répondre, un des autres s'accroupi à nos cotés et ajoute que, pour nous, ils pourraient aller jusqu'à nous offrir  les boissons toute la nuit.
Comme il nous voit encore hésiter, il m'attrape le poignet et clipse son bracelet " tout compris ". Quand Ernesto leur demande le dress-code, ils nous répondent que nos maillots seront bien suffisants, les kpotes et le gel sont fournis en libre service. On leur garde un flyer et comme nous leur promettons d'y venir, ils bouclent le reste de mon groupe.
Nous rentrons à la villa, tout contents. Nous racontons l'invitation à nos mecs et que nous avons même décrochés le sésame conso. Ils rigolent, comme si nous n'avions pas les moyens de payer. Je leur dis que c'était une question de principe. Hervé dit reconnaitre là ma façon de me vendre au plus offrant. C'est dit gentiment et je ne le prends pas comme une insulte. Sauf avec mes quatre amours (Marc, PH, Ernesto et Emma), je n'ai aucun scrupule à faire payer très cher mes services.
Le reste de l'après midi, nous préparons nos corps à la débauche du soir. Epilations et rasages, muscu et, pour mettre en valeur nos corps déjà bien bronzés, petits massages au lait après soleil. La pose des cockrings met en avant nos " atouts " et l'emballage du tout dans nos maillots ES de la collection 2013 complète notre attractivité. J'en prête un en caoutchouc à Juan. Son petit paquet prend tout de suite meilleur allure dans son Aussiebum. Quand nous nous présentons à Marc et Hervé, nous avons droit à des sifflements approbateurs. Dans notre dos, nous parviennent ceux de Paco. C'est rien mais ça nous mets tous les 4 en joie. Ils nous disent qu'ils viendront aussi à la soirée pour pouvoir nous surveiller un peu. Marc appelle Paco et lui dit qu'il devra nous accompagner pour surveiller son Juan et  ajoute que c'est lui qui offre.
Quand nous arrivons à la boite, nos " laisser- passer " font leur effet auprès du physionomiste et les euros agités par Marc assurent leurs entrées.
La musique est trop forte et il est quasi impossible de s'entendre parler. Par contre la population n'est constituée que des plus beaux gosses de la station balnéaire. Physiquement ils paraissent tous entre 16 et 30/35 ans. Si nous tirons notre épingle du jeu, nous ne sommes pas les seuls beaux-gosses de la soirée. Ça évite d'attraper le melon !
Je me fais draguer par un mec dans les 25-30 ans parmi les plus musclés avec un maillot bien rempli, même s'il bande un peu déjà. Il n'y a pas été par 4 chemins. Ses mains sur mes fesses, il me plaque tout contre lui pour que je sente bien son " intérêt " pour moi grandir. Je pose mes mains sur ses pecs. Il les contracte pour m'en mettre plein la vue. Ok, ils sont bien épais, tout comme la barre que je sens se développer contre ma hanche. Il va vite mais nous avons toute la nuit devant nous. Je l'entraine vers le bar et me commande une bière. Le mec annule ma demande et me dit m'offrir du champagne. Le serveur qui a vu mon poignet, me fait signe d'accepter. Il sort une bouteille de champagne français que l'autre règle avec un billet de 500€ tout neuf sorti de son slip. Je prends une coupe alors qu'il s'enfile le reste de la bouteille. Je me dis alors que ce plan ne va pas tarder à me filer entre les doigts ! L'alcool et le sexe c'est rarement compatible. Pour le moment il reste bien raide. Alors que je sirote la coupe, je jette un coup d'oeil pour voir où sont mes amis. Marc entreprend un p'tit mec tout mignon alors qu'Hervé s'approche d'une copie conforme d'Ernesto. On se refait pas !
Quand je reviens à mon " cas ", la bouteille est vidée mais pas d'effets visible sur le comportement du mec. Il bande toujours, son élocution est nette et le regard bien clair. Nous nous déplaçons sur la piste et sautons avec tous les autres au rythme de la musique. Il me colle un peu trop. Je lui dis qu'il est pas mal mais que j'ai pas encore fait mon choix. Ça le dégrise, je pense qu'il avait cru que c'était du tout cuit et qu'il m'en avait mis plein la vue avec sa grosse coupure. Du coup il me lâche et s'attaque à une autre proie. Je retourne au bar et le mec qui nous avait servi me dit que si je continu sur le même rythme, je serais invité toute la durée de mon séjour. Il est étonné quand je dis que cela ne m'intéresse pas. Je sens alors contre mes fesses se plaquer une grosse bite et des mains sur mes hanches qui la compresse. Je me retourne c'est le mec de tout à l'heure. Il commande une 2ème bouteille et comme je proteste, il me dit de laisser faire, que cela ne l'empêchera pas de bander.  Avant qu'il la finisse, je l'entraine dans les WC. Ils sont déjà bien occupé mais il déniche le dernier m² de libre et me colle au mur avant de me rouler un patin. Contrairement à ce que craignait, sa bouche est fraiche et sa langue agile. Entre deux pelles, il me dit qu'il m'avait remarqué dès mon entrée dans la boite, que mon corps musclé et huilé l'avait attiré et que quand il avait eu mon cul sous ses mains, il s'était dit que j'étais pour lui. Je le remercie de tant de compliment et pousse un peu pour voir jusqu'où il serait capable d'aller. Comme nous parlons espagnol depuis le début, je lui fais croire que je suis sans travail. Il me propose aussitôt de m'aider un peu. Je fais semblant d'hésiter, lui dit que je ne suis pas vénal et que j'ai jamais fait ça. Il me dit me croire mais reste très pressant contre mon bassin. Finalement il me propose de sortir de la boite et de finir la soirée chez lui. Comme il me plait bien, je lui dis que c'est d'accord mais que je dois prévenir un copain d'où je serais. Nous nous approchons d'Ernesto (autant prendre le plus massif pour l'impressionner un peu) et alors que je lui dis que j'accompagne ce monsieur à son hôtel, ce dernier lui donne son nom et l'adresse. C'est à deux pas de la boite et nous passons l'accueil sans autre remarque qu'un clin d'oeil appuyé du standardiste.
Il occupe une suite assez grande. Le lit King-size n'attend que nos ébats. Je me jette dessus et le mec me rejoint. Il me caresse, prenant un temps infini pour parcourir le moindre cm² de ma peau découverte. Sa langue remplace ses mains. C'est assez bon. Arrivé au bord de mon maillot, il finit de dénouer le lacet et pousse le rebord sous mes couilles. Quand il voit mon cockring en or, il me questionne sur qui me l'a offert. Là, j'invente un " service " rendu à un prince arabe. Je le vois avaler l'imposture et ça lui rappelle qu'il m'avait attiré financièrement. Il se relève et va chercher dans le coffre au fond du placard, un paquet d'Euro. Il en détache quelques billets et les pose sur la table basse sous le cendrier en verre. Il en compte 5 de 200, me regarde et en ajoute 2 autres avant de me demander si c'est suffisant. Je fais l'impressionné. J'ouvre de grands yeux en lui demandant ce qu'il fait. Quand il me dit être Trader, je lui dis en riant qu'il aurait pu arrondir. Il me regarde à nouveau ajoute 3 billets et me dit que je vais devoir quand même les mériter. Alors que j'avais remonté mon maillot, je fais quelques déhanchements avant de le retirer en lui tournant le dos et en me penchant pour bien mettre mon cul devant ses yeux. Je sens aussitôt ses deux mains se poser sur mes fesses et il me dit de ne plus bouger. Je me laisse guider. Il pousse sur mes chevilles pour me faire comprendre d'écarter les pieds. Je sens alors sa bouche se poser sur ma peau et sa langue sinuer sur ma fesse droite jusqu'à se poser sur ma rondelle. C'est un pro du léchage de cul. Il me travaille la rondelle un bon momentµ. Il me fait me poser sur le lit le cul en l'air et les épaules sur le matelas. Il fait ça trop bien. Limite qu'il me ferait jouir avec sa langue ! De temps en temps il aspire mes boules dans sa bouche pour les faire rouler sur sa langue. Je bande à en avoir mal. Quand il me lâche, j'ai la rondelle ouverte à trois doigts ! A mon tour de jouer. Il est debout et je caresse son corps. Mes mains s'attardent sur ses muscles qu'il bande les uns après les autres. A genoux devant lui, je lui retire son boxer de bain déformé par son excitation. J'avais bien estimé. Se dresse devant mes yeux un sexe d'environ 22cm bien épais, dans les 6,5. Blanc par rapport au reste de son corps bien bronzé, circoncise, sa bite est bien droite légèrement courbée vers le bas. Son gland rose vif est aussi gros que ses boules. Ces dernières, rasées, pendent bas en dessous, au moins à 5/6cm. Je ne me dégonfle pas et lui prouve que là aussi il a bien investi son argent.
Je me penche en avant et doucement m'enfile sa bite dans la gorge ne m'arrêtant que quand mes dents se sont posées sur son pubis. J'ai senti que ça lui faisait de l'effet alors qu'il avait du mal à rester debout ! Je recule, respire un bon coup et remets ça. Là, ses mains sur ma tête accompagnent ma plongée. Il est impressionné. Je l'entends se dire en anglais qu'il s'est trouvé une sacrée bonne pute. Je fais semblant de ne pas comprendre, ça pourra me servir plus tard.
En attendant il apprécie au plus haut point l'hébergement de son gros gland dans ma gorge. Je le laisse mener ses coups de reins. J'ai l'impression qu'il cherche à voir combien de temps je peux tenir en apnée car il reste de plus en plus longtemps tout au fond de ma gorge, ses mains maintenant ma tête contre lui. Comme j'ai une bonne expérience de cette pratique et une bonne cage thoracique, il prend sont pied à me malmener un peu. Ses propos virent coté " salope " et " chienne ", " bouche à bite " et " pute " reviennent souvent dans sa bouche.
Il se retire avant de juter. Il me repousse et me regarde fixement. Sans m'inquiéter, je m'interroge sur ses motivations. Il me demande alors de tourner doucement devant lui, pour se repaitre de mon physique. Il me demande quels sports je fais et ne s'étonne pas quand je lui dis faire beaucoup de muscu. Lui me dit qu'il passe 1h2/2 par jours à la salle. Je m'émerveille et ajoute que cela lui fait un corps superbe. Il boit mes paroles comme du miel ! J'ai l'impression qu'il jouit d'un égo surdimensionné ! Il me le prouve aussitôt en prenant des poses faisant ressortir ses différents groupes musculaires. Ok je dois admettre qu'il à toutes les raisons d'être fier de lui. Son corps est harmonieusement très musclé et sa bite de 22cm ne parait pas ridicule pour autant.
En Espagnol il me demande comment je le trouve. Je continu sur le mode " mon dieu qu'il est beau ". Je m'approche et caresse son corps. Il ne demandait que cela, trouver un jeune mec à impressionner. Il me quitte soudain et fouille dans son coffre et ajoute une liasse de billets à ceux déjà sur la table basse. Il me dit qu'avec la prime qu'il s'était fait cette année, il pouvait me couvrir de billet qu'il lui en resterait encore suffisamment. J'aime ce genre de propos.
Il revient vers moi, me caresse et pousse ses doigts entre mes fesses. Comme il me trouve resserré, il me pousse sur le lit et me demande de prendre mes jambes sous les genoux pour relever mon cul et écarter mes fesses. Il se couche alors et ventouse ma rondelle. Sa langue refait merveille. Il salive un max et je laisse mon sphincter se déplisser. Il fait entrer sa langue et lèche les 2/3 premiers cm de mon ampoule anale. C'est bon surtout qu'il salive beaucoup et pousse cette dernières dans mon trou.
Je ne me branle pas car ça me ferait juter direct. J'ai perdu la notion du temps quand je le sens se redresser, passer son torse entre mes cuisses et m'écrasant, me donne sa langue à téter. Bien que lubrifié et préparé, je sens son gland chercher ma porte arrière. Pas de Kpote, je serre mon anneau et il bloque. Ça le surprend. Je lui glisse dans l'oreille que je suis une pute mais de celles qui se font prendre avec Kpote. Il fouille sous son oreiller et s'équipe rapidement. Je me détends et le laisse entrer. Pour lui donner plus de plaisir et en prendre aussi ma part, je maîtrise sa vitesse de pénétration en variant ma pression anale. Quand il arrive à coller son bassin à mes fesses, il a l'air d'avoir gravi l'Everest ! Je continu mon jeu de jeune impressionné. Je lui dis " c'est trop bon ", " je ne me suis jamais pris une bite aussi belle " et il me croit !
Il s'agenouille et ses mains me prennent les hanches pour initier s'enculage.
Je fais le fier mais il est réellement bon à ce petit jeu.
Il me baise comme une reine. J'ai l'impression quand même de visiter tout le Kamasoutra. Régulièrement il change nos positions. J'ai beau pulser de ma rondelle, il tient le choc grave. Je suis plus d'une fois à la limite de juter mais il s'en aperçoit et cesse alors tout mouvement le temps que la pression redescende.
Pendant ces moments là, il m'embrasse et nos langues se battent entre elles.
Il me baise comme ça pendant presque 2h avant d'exploser dans sa kpote. Nous sommes alors assis tous les deux, moi planté sur sa queue bien sûr. Il me fait sauter dessus, ses mains sous mes aisselles me soulevant aussi facilement que si j'étais une poupée gonflable. Au moment où il jouit, il pousse sur mes épaules pour se planter encore plus loin en moi. je me laisse aller à juter à mon tour et lui en fout des litres, jusque dans les cheveux.
Je bascule sur le coté et m'éloigne avant qu'il ne débande. Je tâte ma rondelle, il l'a bien élargie le salaud ! À lui tout seul il me l'a défoncée comme lors des touzes maison où je me fais sauter par une bonne demi-douzaine de mecs dont Eric !
Sur le dos, il me demande si je serais encore libre durant la semaine. J'hésite puis lui réponds que non. Il me demande alors si je n'aurais pas quelques amis qui pourraient le dépanner comme je venais de le faire.
Je glisse jusqu'à la table basse et m'empare des billets et les compte. Il y en avait pour 2 000 avant qu'il ne fasse le rajout. Là maintenant j'en compte 10 de 500 en plus. Même si le jour se lève, se faire 7 000 € en une nuit et avec un seul mec, je ne crois pas avoir jamais gagné cela moi-même.
Je lui demande s'il sera aussi généreux. Il me répond que si mes amis sont aussi bons que moi, ce sera oui.  Je cogite vite et pense que mes deux Escorts lutteurs Espagnols feraient bien son affaire. Je lui prends son numéro de portable et lui promet de le rappeler avant midi.
Quand je rentre à la villa, j'apporte des churros frais trouvés sur le chemin. Ils dorment tous. Je pose mon salaire sur la table de chevet et m'endors aux cotés de mon PH et de Marc.
Jardinier
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roger taylor x french reader - fluff (sassy roger)
hi I wanted to post a snippet from a fanfiction we're writing on Queen with my best friend. but it's in french. (2205 words)
let me know if you'd be interested in me translating my work. :)
FR : pour ceux qui parlent français, j'avais envie de poster un extrait d'une longue fanfic qu'on écrit avec ma meilleure amie. Roger rencontre Jane pour la deuxième fois avant leur concert. (2205 mots)
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On se mit en route tout en appréciant le silence entre nous. Le truc avec Mac, c'est qu'on avait pas toujours besoin de se parler, on était pas gênées par le silence, il nous faisait du bien, surtout quand on passait beaucoup de temps ensemble. Après une dizaine de minutes, nous arrivions dans le quartier universitaire où nous croisâmes pleins d'étudiants marchant dans la même direction que nous. Le tumulte autour de nous, la musique qu'on entendait du bar, les gens qui parlaient dans un brouhaha , tout ça fit monter en moi une certaine excitation. On s'engouffrait dans le couloir étroit placardé d'affiches pour des fêtes et autres événements qui prenaient place sur le campus. Je croisais quelques personnes que je connaissais de vue et je leur fis signe avant de rentrer dans la salle d'où la musique provenait. À ma grande surprise, la scène était vide des musiciens de la veille. Je reconnaissais leurs instruments, surtout la batterie avec le sourire dessiné dessus, mais la musique provenait de hauts-parleurs.
Le pub universitaire n'était pas particulièrement rempli, il était encore un peu tôt. Molly m'entraîna jusqu'au bar où elle commanda deux bières qu'on trinqua ensemble. Accoudée au bar, une fille que je ne connaissais pas s'approcha d'elle et elle commencèrent à discuter. Je jetai un coup d'œil à la scène, puis dans la salle, mais aucun musicien en vue, pas celui que je recherchais en tout cas. Je posai ma main sur le bras de Molly pour lui faire comprendre que je m'éclipsais sans l'interrompre dans sa discussion et partis avec ma pinte en main.
Je présumais qu'ils ne devaient pas être bien loin et j'entendais une certaine agitation dans le couloir. En sortant, toujours aucune trace d'eux alors je m'approchai d'une des filles que j'avais croisée plus tôt.
- Est-ce que tu aurais vu le groupe, par hasard ? lui souris-je.
La fille aux cheveux châtains me répondit qu'ils trainaient souvent à l'arrière du pub, tout en me pointant une sortie au bout du couloir. Je la remerciais et me mis en route vers la sortie. J'entendais déjà des voix provenant de l'extérieur. Je pris une gorgée dans ma bière amère et poussai la lourde porte en bois qui me fit atterrir dehors où quelques personnes étaient en train de fumer et discuter sous les étoiles. Il ne me fallut pas longtemps pour trouver celui que je recherchais ; une tignasse blonde accoudée sur le capot d'un van, en train de lui-même fumer. Il discutait avec, je présumais, les deux autres membres du groupe.
Je m'avançais sans trop y réfléchir vers eux tout en prenant quelques gorgées. Ils étaient tous les trois en pleine discussion sur leurs chansons lorsque j'arrivai à leur hauteur. Sans m'attarder plus longtemps, je m'approchais du type debout, tout en posant ma main sur son bras, je levai la tête pour regarder le grand brun.
- Excuse-moi, tu n'en aurais pas une pour moi ? lui dis-je en pointant la cigarette à ses lèvres.
Il acquiesça gentiment et sortit son paquet pour m'en tendre une que je pris avec ma main de libre pendant que le guitariste continuait de parler avec animosité. Cigarette en bouche, bière dans ma main droite, je tenais la cigarette entre mes doigts pendant que le chanteur sortit son briquet pour en allumer le bout. Il bloquait le vent avec sa main pour que la flamme cesse de s'éteindre. Pendant ce court instant où il était pleinement concentré sur ma cigarette, mon regard dévia sur ma droite et je croisais les yeux de Roger, qui était déjà en train de m'observer. Accoudé sur le van, il expirait la fumée de sa bouche tout en maintenant le contact visuel, et ce fut moi qui le brisai lorsque le briquet s'éteignit et qu'en inspirant je ressente le tabac remplir mes poumons. Alors, je reportai mon attention sur le chanteur.
- Merci pour la cigarette, dis-je en expirant la fumée avant de me détourner d'eux, sentant toujours un regard brûler sur moi.
Je marchais avec l'intention de rentrer à l'intérieur, mais je ne pus m'empêcher de sourire lorsque j'entendis une voix derrière moi accompagnée de pas qui me rattrapaient.
- Excuse-moi, dit-il alors que je me retournais vers lui.
J'inspirais un coup sur le tabac et nos yeux se rencontrèrent une seconde fois. Il avait le même regard mystérieux et intrigué qu'il m'avait lancé à peine quelques secondes plus tôt. Je me rendais compte que c'était la première fois que je l'avais vraiment en face de moi. Il n'était pas très grand, on faisait sûrement la même taille mais je portais des talons aujourd'hui, cependant ça n'enlevait absolument rien à son charme. J'étais surprise de voir que sa chemise était boutonnée de façon conventionnelle. Ça me rappelait la veille et la façon dont il était assis sur la chaise à côté de moi, comme si elle lui appartenait, comme si le pub entier lui appartenait. Évidement, je n'avais pas oublié ses cheveux blonds qui lui arrivaient jusqu'aux épaules, la première chose que j'ai recherchée dans la foule aujourd'hui.
- Tu es bien rentrée chez toi hier ? me tira-t-il de mes pensées.
Je fronçais désormais les sourcils tout en esquissant un léger sourire, pas certaine de la raison pour laquelle il me posait cette question.
- Je crois bien, oui.
- Tu crois ? à son tour de hausser un sourcil. J'ai dû te supplier de prendre un taxi car tu ne voulais pas rentrer, ria-t-il sans méchanceté.
D'un coup, la chaleur me monta aux joues, je me sentis gênée et mes souvenirs s'éclaircirent enfin. Le pub fermait, on avait trainé longtemps. Je refusais de partir et c'est lui qui m'avait trouvé le taxi. Je n'aimais pas être aussi ivre, surtout quand je me rendais ridicule devant des inconnus. Je baissais les yeux et riais de gêne, ne sachant pas comment me comporter après avoir appris qu'il m'avait vue dans un état pareil.
- Désolée, j'étais venue avec une amie, mais on s'est perdues de vue, puis on a discuté et je n'ai pas vu le nombre de verres que j'ai-
- Hey, c'est rien, t'as pas à t'inquiéter, dit-il en posant sa main sur mon épaule pour me rassurer. Ça nous arrive à tous.
Je ressentais la chaleur de sa main sur celle-ci de longues secondes après qu'il l'ait retirée.
- Tu as quand même décidé de revenir ce soir, fit-il en souriant, incapable de garder son sérieux.
Il détendit immédiatement l'atmosphère et je me laissais aller à rire tout en relevant mes yeux vers le batteur.
- Merci en tout cas. Mais ne crois pas que je suis revenue pour toi, j'accompagne mon amie.
Il fit mine de regarder autour de moi.
- Tu parles de l'amie imaginaire d'hier soir ?
Il semblait amusé par ma mine à moitié agacée. J'eus un petit sourire en coin, lui aussi. Il rit un instant à peine et amena sa cigarette à ses lèvres.
- Je ne me rappelle pas que tu m'aies dit ton nom.
Pas un mensonge, puisqu'effectivement, je ne me souvenais pas l'avoir entendu me le dire.
- Alors, ça, ça m'étonne pas, ria-t-il, cette fois-ci plus fort.
Je le jaugeais du regard pendant quelques secondes. Il avait vraiment un beau sourire, mais je n'allais pas me laisser attendrir comme ça. Ne voulant pas réagir à sa moquerie, je tournai les talons pour marcher en direction de la porte. Je l'entendis marmonner, ce qui me fit bien rigoler et avant que je ne l'entende arriver, il me rattrapa et se posta devant moi, me bloquant le chemin et me tendant sa main.
- Roger Taylor.
- Enchantée Roger, lui répondis-je en serrant sa main. Jane Stonem.
Il hocha la tête, satisfait de ma réponse et lâcha ma main. On se regarda un instant, un instant où nos yeux étaient encore une fois braqués dans ceux de l'autre.
Du coin de l'œil, j'aperçus Brian arriver à notre hauteur et tapoter sur l'épaule de Roger pour lui faire signe que ça allait être à eux de jouer. Celui-ci lui répondit qu'il allait arriver.
- J'imagine que tu as mieux à faire que de venir nous écouter, alors.
- Si tu me vois dans le pub, c'est qu'on m'y a forcée.
Un autre rictus apparut sur son visage. Il me sourit une dernière fois avant de se retourner et de s'engouffrer à l'intérieur, en bousculant quelques personnes qui tentaient de rentrer. Je me souris à moi-même en pensant à l'échange étrange qu'on venait d'avoir en tirant une dernière fois sur ma cigarette. J'aperçus, au-dessus de ma tête, le ciel parsemé d'étoiles et j'écrasai le mégot sous mon pied pour rentrer à l'intérieur.
J'avais fini ma bière et je déambulais dans les couloirs avec une question en tête : où était Molly ? Mais je ne vis que quelques personnes accoudées au mur placardé d'affiches. La foule qui y était précédemment avait dû se réfugier à l'intérieur car, alors que je me rapprochais de l'embrasure de la porte, j'entendis des applaudissements, sifflements et encouragements, et l'instant d'après, le bruit de percussions qui résonnaient et une mélodie à la guitare électrique. En rentrant dans la salle tamisée, tous étaient tournés vers la petite scène, le son de la musique devint plus claire à mes oreilles. C'était une musique entraînante, mais pas agressive, qui jouait. Je fis balayer mon regard à travers le pub à la recherche de ma colocataire, mais elle n'était ni au bar, là où je l'avais laissée précédemment, ni dans la foule à priori. 
Appuyée contre l'embrasure de la porte, mon regard continuait à balayer l'endroit jusqu'à ce que je m'attarde sur le groupe sur scène. Je remarquais évidemment le guitariste et le bassiste qui étaient debout, mais mon regard était attiré par le batteur. Bien qu'il était en retrait, c'était sa présence qui était la plus remarquable. C'était lui qui menait la danse en réalité, le chef d'orchestre, celui qui dictait le rythme. Ça lui donnait beaucoup de charisme. En plus de ça, je remarquais la façon dont sa concentration se traduisait dans ses expressions faciales. Il avait l'air parfaitement à l'aise avec son instrument, mais il se mordait parfois la lèvre inférieure. Je le voyais froncer les sourcils tandis que le rythme de la musique s'accélérait, d'une part car il se concentrait, mais aussi par plaisir. Il vivait la musique jusque dans ses expressions. Il était encore plus séduisant lorsqu'il jouait.
Soudain, alors que j'étais en train de le fixer depuis quelques longues secondes, il tourna sa visage et posa son regard sur moi. Le fait que j'étais en train de le regarder le fit sûrement sourire car je remarquais un rictus prendre forme au coin de ses lèvres. Il avait l'air satisfait et reporta son attention sur sa batterie tout en lançant quelques regards aux musiciens et à la foule tandis que la musique se terminait. Le blond tapa une dernière fois sur son instrument et lança sa baguette en l'air avec sa main droite.
Après les applaudissements de la foule, je le vis faire un signe de tête au guitariste comme pour donner un signal et une musique qu'ils avaient interprétée hier se mit à jouer. Le rythme donnait envie de bouger et j'aperçus la foule se détendre et commencer à danser. Je voulais me joindre au public alors j'ai retiré ma veste pour la déposer sur une des chaises à ma droite, là où j'avais déjà laissé mon verre vide.
Je me frayais désormais un chemin entre les gens, voulant me rapprocher de ceux qui dansaient déjà afin de les rejoindre. La musique résonnait plus fort et le public au devant de la scène bougeait sur le rythme de la batterie. L'idée que c'était Roger qui contrôlait la cadence à laquelle nos corps bougeaient me donna envie de lui jeter un coup d'œil. Ma surprise fut plus grande lorsque je me rendais compte qu'il était déjà en train de m'observer, alors que j'étais en contre-bas de la scène, en train de laisser aller mon corps. Je soutins son regard tout en bougeant légèrement la tête. Son expression n'était plus joueuse, ni la mienne d'ailleurs. Il n'y avait pas l'ombre d'un sourire, juste une intensité dans son regard qui me rendait fébrile, bien que je continuais à le regarder comme si j'étais hypnotisée. Je fus la première à briser cet échange de regards en fermant les yeux, me laissant entrainer par la musique. Je sentais la chaleur des corps qui se bousculaient autour de moi et qui me donnaient encore plus envie de bouger. En rouvrant les yeux, son regard brûlait toujours sur moi, mais il le redirigea bien vite sur son instrument, tout en entre-ouvrant légèrement la bouche. La mélodie arriva à sa fin et mon corps, toujours bercé par la musique, ralentissait sa danse.
- Merci à tous d'être là ce soir ! dit le chanteur. Nous avons Brian May à la guitare, Roger Taylor à la batterie, et moi-même, Tim Staffel, à la basse !
Les cris et applaudissements furent francs. Je me souvins à l'instant que je n'avais toujours pas retrouvé Molly et je jetai un coup d'œil derrière moi. Je l'aperçus en train d'applaudir près du bar, un peu en retrait. Contente de la voir, je souris et me mis à marcher en sa direction, mais je jetai tout de même un dernier coup d'œil vers la scène, d'où Roger me regardait.
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zorosnavigator · 3 months
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autres infos sur le film , - je suis un peu moins enthousiaste qu'au début, je dois l'avouer, (mais faisons quand même un post dessus)
les infos viennent de wiki donc ça a peut-être changé un peu -- j'en doute.🥲
tout d'abord, le film sera destiné à un jeune public...(10/12 ans) donc, probablement que ce jeune public n'aura pas forcément lu toutes les bd...
Le film n'est pas canon, car il reprend l’histoire du cycle 1 en la modifiant. Le film est voulu comme étant une autre vision, une adaptation libre de la série.
et pourtant
il venait juste d'écrire plus haut: [Contrairement à celui-ci - le dessin animé qui n'existe pas ahem- , l'esprit devrait être moins enfantin et plus proche de la BD. ]
'Les Légendaires sont les personnages principaux du film. On les suivra après les événements de l'Accident Jovénia et avant ceux du cycle d'Anathos. Le film introduira d'anciens personnages secondaires, aux côtés de personnages inédits.
donc. les chara design qui nous ont fait aimé la série, (je ne dis pas que tout était parfait hein), les aventures, les backstories, le déroulement de la bd, nope, on peu oublier. 🫠
( ouais. en tant que fan qui a lu cette série de mes 8 ans jusqu'à mon entrée au lycée je suis un tout petit peu dégoutée...enfin.passons. au moins, Darkhell est toujours le grand méchant j'imagine...ses fans seront contents )
concept art aquatique qui apparemment ne sera pas dans le film
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et à droite, concept art montrant des dirigeables à Oroban
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Ville de Karakis
concept art des nos héros...AHEM Shimy GRYF QU'EST-CE QU'ILS T'ONT FAIT WTF; je sais qu'ils ne sont pas définitifs mais aaah bah si Danaël c'est pas loin, l'image 3D si dessous provient du site du festival d'Annecy donc, Danaël, c'est...fini. (je ne sais pas encore pour Jadina, mais j'imagine qu'elle va ressembler à peu près à ça aussi....)
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au moins Cécile Corbel pour nous donner du baume au coeur, composera la musique du film
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amandineandre · 3 months
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Lecture au CIPM 15. 06. 2024 à 16h
Je suis invitée par Patrick Beurard-Valdoye à lire au centre international de poésie à Marseille.
Titre du texte lu: Treize mille fois dix mondes tombent et renaissent.
Présentation:
Je vais secouer un de mes textes pour que tombe un monde, pour que meurt un monde pour que naisse un monde. Tout est enregistré dans l'espace, le son du big bang, le cri du premier homme, le cri de la dernière femme, les poèmes non écrits de Jack Spicer, ma correspondance avec Patrick Beurard-Valdoye, mes livres théoriques. J'écris toujours sous hypnose pour échapper à la succube langue straight. Tous mes rêves sont codés pour rester une ressource libre de droit.
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Extrait:
Ce soir Amandine sera un personnage poétique comme un autre et si elle se présente sous sa forme humaine, elle n'en reste pas moins imaginaire et fictive. C'est une manière pour elle de jouer et d'expérimenter plein de choses comme la vie.
Ce poème a des personnages et beaucoup de problèmes qu'il faut redistribuer. Le poème décrit tout ce n'a eu pas lieu afin de fonctionner comme un projecteur et ainsi transformer le réel. 
Le réel est composé d'ondes c'est pourquoi pour communiquer avec lui il faut jouer de la musique et dormir.
Le réel peut être un texte morcelé, prendre diverses apparences, modifier le rythme de ses apparitions. Il peut être tout cela. Il peut ne pas être tout cela. Je peux moi aussi être tout cela car tout objet poétique est à la fois une balle de tennis et à la fois une vague. Il rebondit partout et en même temps. Il cesse d'être et tout et pas tout lorsqu'on le regarde et le mesure.
Je suis donc comme un cylindre, parfois je me comporte comme un cercle, parfois je me comporte comme un rectangle. Ce qui prouve bien que le poème est aussi un objet quantique, comme moi.
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raphraconte · 1 year
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2023年09月02日 Agatha Christie au Japon
Il y a deux ans, j'écoutais l'intégralité des albums d'un musicien japonais nommé Tatsuro Yamashita. Il est connu en partie pour avoir composé des chansons pour de nombreuses publicités et de nombreux dramas pour la télévision japonaise. Les albums qui sortaient à partir des années 2000 étaient majoritairement des compilations des différentes musiques qu'il avait composées pour les programmes de l'époque.
Et une musique que j'avais beaucoup appréciée provenait de l'album "Sonorite" sorti en 2005 qui s'appelait "Lucky Girl Hanataba Wo".
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Malheureusement, je ne peux la partager ici car elle n'est pas sur Spotify et on ne peut poster des musiques dont on n'a pas les droits sur Tumblr... La musique est disponible sur YouTube, mais il ne s'agit pas de vidéos officielles et elles disparaissent aussi vite qu'elles apparaissent.
Cependant, je me suis rendu compte bien plus tard que cette musique avait été composée pour un anime qui adaptait les romans d'Agatha Christie, avec Hercule Poirot et Miss Marple. J'ai fini de le regarder aujourd'hui, et je veux vous en parler un petit peu !
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Sorti en 2004, c'est un dessin animé produit par OLM, un studio d'animation japonais qui a notamment travaillé sur... Pokémon ! Quant au compositeur, il s'agit de Toshiyuki Watanabe, qui a travaillé par le passé sur l'orchestration des musiques du jeu vidéo Shenmue...
Autant dire que Tatsuro Yamashita + Pokémon + Agatha Christie + Shenmue c'est un combo qui je dois l'admettre m'a rendu super curieux de regarder cet anime, surtout que je n'avais jamais lu aucun roman d'Agatha Christie auparavant.
Il s'agit d'une adaptation un peu libre de différents romans d'Agatha Christie qui avaient soit Poirot soit Marple comme personnage principal. Mais dans cet anime, les deux personnages vivent dans le même univers ! Cependant ils ne se croisent jamais, car les épisodes étant des adaptations des romans, l'histoire reste fidèle (même si simplifiée je suppose). Pour faire le pont entre les deux, un personnage a été inventé de toute pièce: Mabel ! Elle est la fille du neveu de Marple, tandis qu'elle sert aussi d'assistante à Poirot ! Elle est aussi accompagnée de son Pokémon... enfin de son canard de compagnie Oliver.
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Le principe est simple: un meurtre, une fortune détournée ? Poirot ou Marple est sur le coup ! Comme les histoires suivent souvent la même structure, ça commençait à tourner un peu en rond vers la fin, mais c'était tout de même très sympa ! Hercule Poirot agit comme s'il avait toujours une longueur d'avance sur le scénario, ce qui rend les moments où il est plus vulnérable vraiment trépidants.
Comme Mabel a été rajoutée comme fil conducteur, on sent qu'ils ont dû faire en sorte de lui donner des trouvailles importantes pour qu'elle soit utile aux différentes histoires. Cependant, elle apporte aussi une progression (en tant qu'apprentie auprès de Poirot) qui est la bienvenue dans une série qui se contente d'adapter des histoires qui n'ont pas vraiment de lien entre elles.
J'ai d'ailleurs été surpris de deux choses: tout d'abord, certaines musiques dans la bande-son du dessin animé référencent les génériques d'ouverture et de fermeture créés par Tatsuro Yamashita ! On ne peut pas dire que ça arrive souvent... Enfin, les personnages importants sont ré-introduits à chaque épisode, avec leur comédien/comédienne de doublage ! C'est également très rare, on dirait une série télévisée classique où le nom des acteurs est constamment montré. Comme on peut techniquement regarder les épisodes dans n'importe quel ordre (sauf ceux qui sont découpés en partie), c'est une bonne idée pour s'assurer que chaque épisode peut être le premier (même si les premiers épisodes sont écrits dans un but introductif).
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L'anime n'est malheureusement jamais sorti en dehors du Japon, je l'ai donc regardé avec des sous-titres anglais créés par des fans sur Internet. Si vous voulez entrainer votre anglais (ou votre japonais) et que les sous-titres ne vous dérangent pas, vous pouvez regarder les épisodes sur YouTube avec le lien ci-dessous:
Vous pourrez ainsi découvrir les versions courtes des musiques de Tatsuro Yamashita !
Qui sait, peut-être que je finirai par lire un des romans originaux un de ces jours...
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jezatalks · 1 year
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Un des trucs qui me motive en ce moment, c'est apprendre à maîtriser mon logiciel de montage.
Dans le processus, j'ai fait un truc pas très légal qui est : télécharger un film obscur de mon enfance (sur youtube) en mp3, en extraire UNE ost car je la trouve chouette, et la mettre dans ma bibliothèque de son.
Sinon vous inquiétez pas, à part ça, j'ai découvert Dova-syndrome qui est une mine d'or de bgm libre de droits + les musiques gratuites sur la bibliothèque youtube.
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swedesinstockholm · 11 months
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27 octobre
hier soir à la konschthal je me suis fait une nouvelle fan que je trouvais adorable, elle avait des taches de rousseur discrètes et elle portait une robe-tunique à capuche en lamé argenté qui brillait de mille feux par dessus son pantalon et quand je lisais elle se mettait tout près de moi pour bien m'entendre, elle souriait en m'écoutant et parfois elle réagissait à voix haute. à la fin elle m'a dit qu'elle était désolée mais qu'elle pouvait pas s'en empêcher. avant d'oser me parler elle m'a regardée pendant un moment en me souriant. à l'open mic plus tard j'ai lu marrons glacés pour la première fois et une version non chantée de ma chanson de saturne accompagnée par les musiciens. je crois que je préfère la version non chantée. je meurs d'envie de la poser sur du synthé. j'ai noté que j'étais la seule à avoir eu droit à une acclamation vocale, avec les musiciens, validation validation validation. aimez-moi aimez-moi aimez-moi. mais en regardant les musiciens jouer, en voyant l'engouement qu'ils suscitaient, je me disais que vraiment, aucun artiste n'a de chance face aux musiciens. zéro chance. non pas que ce soit une compétition, ou même qu'il y ait un intérêt à les comparer, mais la musique est la magie ultime de la vie sur terre, ou de l'univers je sais pas, et les musiciens détiennent un pouvoir que nul autre ne possède, c'est tout.
à la fin de la soirée j'étais assise par terre sur un coussin avec la tête allongée sur le rebord de la fenêtre pour me laisser bercer par le musicien qui jouait de l'oud et du violon quand c. m'a fait signe de le rejoindre sur un banc où il discutait avec une fille, il m'a dit t'étais toute seule là-bas... comme si c'était triste, et puis il s'est levé et il m'a laissée seule avec la fille qui, il s'avérait, travaillait DANS UN STUDIO D'ANIMATION. j'ai sauté sur l'occasion pour lui parler de mon scénario et elle m'a donné plein de conseils (quels studios contacter pour la 2D, les rencontrer pour discuter avant de leur envoyer le scénario pour voir où je mets les pieds, bien leur dire que je suis luxembourgeoise parce que ça aide, aller aux journées de l'animation du lux film fest en mars pour rencontrer les gens qui comptent et OSER).
voilà je me suis forcée à commencer par les trucs positifs mais: derrière le micro je sentais que je me faisais engloutir par la timidité de nouveau. la danseuse argentine de bruxelles m'avait dit que ma timidité faisait partie de ma performance, que j'en jouais et que ça marchait à fond, mais là je sentais que j'avais aucun contrôle dessus, je me faisais manger. j'ai dit mon texte comme je voulais le dire, ma diction et mon rythme sont bons, et j'ai aucune gêne à leur parler de masturbation cryptée et de ce qui se passe entre mes cuisses, mais physiquement je suis pas à l'aise, pas libre, je reste rigide, j'arrive pas à regarder les gens et à la fin je disparais très vite de la scène comme si j'avais honte, comme si je méritais pas les applaudissements, encore cette histoire de je le mérite pas.
maman est venue me chercher parce qu'elle voulait entendre l'oud, encore une fois les musiciens l'emportent sur l'écriture, elle voulait voir l'oud mais pas moi sa propre fille, et puis dans la voiture la conversation a glissé vers Le Gros Truc Qui Cloche et je me suis de nouveau dit que j'arriverai à rien tant que je me serai pas réglée, parce que je prends toute la place, je suis occupée par ce truc, ce mystère, cette chose qui me dérègle depuis que j'ai à peu près dix ans, et ça m'empêche de me concentrer sur autre chose. comme les autres par exemple. hier soir j'ai participé à l'atelier d'écriture de c. sans vraiment y participer et je gribouillais des trous sur ma feuille en écoutant les musiciens et j'ai commencé à écrire un texte sur un trou, UN TROU, tous mes textes parlent du trou, d'une manière ou d'une autre, parce qu'il aspire tout, c'est un trou noir. je suis occupée par un trou noir.
29 octobre
hier à bruxelles j'étais censée aller à une lecture d'ariana reines avec une femme de 45 ans qui avait répondu à mon appel sur ig et elle avait l'air vraiment super cool, elle devait aller à la manif pour la palestine avant et je devais la rejoindre à la librairie, mais un peu après six heures je lui ai envoyé un message enroulée dans le plaid sur le lit de m. en train d'écouter le nouvel album de taylor swift pour lui dire que je pouvais pas venir parce que je commençais à avoir des crampes et elle a dit ah zut et je m'en voulais tellement, mais 1. c'était au dessus de mes forces de prendre le bus pour traverser la ville et puis de rentrer seule la nuit alors que je le fais tout le temps puisque je suis tout le temps seule, mais là je savais que j'avais aussi la possibilité de passer tranquillement la soirée au resto avec maman et m. et j'ai pas su résister, et puis 2. j'étais un peu intimidée par elle et j'avais peur de pas savoir quoi dire et de passer pour une idiote inculte. à chaque fois que je fais un truc comme ça, que je me défile, je me dis que j'arriverai jamais à me construire un réseau social si je continue à choisir le confort à chaque fois, mais c'est pas vrai, je choisis pas le confort à chaque fois.
toujours est-il que je suis allée manger des tapas avec maman et m. et en rentrant j'ai commencé à avoir DES CRAMPES et ça a fait qu'empirer jusqu'à ce que ça devienne grave comme les crampes des shiitakes et j'étais là allongée sur mon matelas par terre à souffrir le martyre avec les ronflements de maman et de m. qui se croisaient au dessus de moi à me dire que c'était le karma, peut être même que c'est ariana reines elle-même qui m'a punie, elle est très ésotérique. à savoir que mes mensonges à la con viendraient une fois de plus tout gâcher j'aurais tout aussi bien pu rester à la maison et ainsi m'éviter l'ennui abyssal de ce matin pendant qu'elles montaient les nouvelles étagères de m., je m'ennuyais tellement que j'ai crée un compte ig pour y mettre toutes mes photos bizarres et rigolotes de la cuisine et ça m'a obsédée toute la journée. r. m'a demandé qui se cachait derrière ce compte et quand il a compris que c'était moi il a dit que ça le rendait encore plus drôle.
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https://www.starkprod.com/post/nouvel-album-%E3%82%81%E3%81%84%E3%81%9D%E3%81%86-relaxation-151-libre-de-droit-sacem-style-asie
Nouvel album めいそう relaxation 151 libre de droit Sacem style Asie maintenant disponible !
CHRISTOPHE THAËRON - COMPOSITEUR PRODUCTEUR MUSIQUE LIBRE DE DROIT SANS REDEVANCE SACEM STARK PRODUCTION Fixe: 09 54 17 49 51 Port: 06 12 70 39 36 Mail: [email protected] WWW.STARKPROD.COM
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mynocopyrightmusic · 2 years
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Gioachino Rossini - La Danza [No copyright Classical Music]
Gioachino Rossini – La Danza [No copyright Classical Music]
International Free Music Gioachino Rossini – La Danza [No copyright Classical Music] International free Music en streaming Soutenez nos artistes en écoutant leurs productions musicales sur les différentes plateformes de streaming. Vous pouvez directement télécharger le titre en MP3 sur notre site ou qualité HD sur soundcloud Téléchargement Soutenez nos artistes en écoutant leurs productions…
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alain-keler · 1 year
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Mercredi 21 juin 2023.
Fête de la musique, place Saint-Georges. Petit oubli. Un orchestre et une femme qui danse devant mon café préféré, ou tout au moins celui ou je donne mes rendez-vous.
 Cette photo aurait dû paraître jeudi dernier, le journal d’un photographe étant quotidien, et pas un hebdo comme le journal du dimanche. 
  Pourquoi je mentionne le JDD ? Parce que le nouveau propriétaire du groupe Vivendi, Vincent Bolloré a nommé à la tête de la rédaction Geoffroy Lejeune, ancien rédacteur en chef du très droitier (voire extrême droite) magazine Valeurs Actuelles. 
  Comme l’écrit dans son éditorial daté d’aujourd’hui le journal le Monde « Un journal est un écosystème fragile qui tire sa crédibilité non pas d’une objectivité qui lui sera toujours contestée, mais de sa capacité à chercher une cohérence éditoriale à l’abri des influences extérieures. Lorsque le projet consiste à figer les rapports de force au sein d’une rédaction pour jouer un camp politique contre un autre, l’information menace à tout moment de basculer dans les polémiques stériles, les vérités alternatives et une propagande qui sont aux antipodes de l’information. Pour le JDD le risque d’un tel basculement est bien réel »…
   Valeurs actuelles sous la rédaction en chef de Geoffroy Lejeune a soutenu pendant la campagne présidentielle Eric Zemmour, l’homme qui a osé dire que sous Pétain les juifs français de la zone dite libre (Vichy) ne furent pas déportés dans les camps de la mort.*
  Je reprends encore l’éditorial du Monde : Les « « unes » de valeurs Actuelles ciblant la mafia Soros, en référence au milliardaire philanthrope juif Georges Soros, et le récit de sept pages « « Obono l’Africaine » dans lequel l’élue de la France insoumise est dépeinte en esclave avec un collier en fer au cou**. 
 Un homme, fut-il milliardaire comme Vincent Bolloré ne doit pas pouvoir influencer l’opinion publique avec les journaux, magazines, radios et chaines de télévision qu’il possède, ou est sur le point de posséder. Nous avons un très bon exemple de ce qu’et la presse dans un pays comme le Russie, où les journalistes opposants ont dû s’exiler pour faire leur métier.
  Vous avez bien compris que ce qui n’est pas le cas du Journal d’un photographe, indépendant et fier de l’être.
Tout ceci valait bien une parution avec une semaine de retard !
* Deux grands- mères, un grand père, une sœur de ma mère âgée de treize ans, une sœur et un frère de mon père, tous juifs français ne revinrent jamais des camps de l’indicible…
** Le directeur de la rédaction et un journaliste furent condamnés pour « injure à caractère raciste ».
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zaragozajj · 2 years
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Texte DJALAL AL-DIN RUMI Montage ,
voix off Zaragoza Juan José
Musique libre de droits Sappheiros - Embrace
Images , vidéos PIXABAY, reportages divers
Es-tu un étranger ici,
Pourquoi pleures-tu, Ô rossignol?
Es-tu exténué, es-tu perdu, ?
Pourquoi pleures-tu, Ô rossignol?
Es-tu passé par-dessus le sommet des montagnes couvertes de neige?
As-tu survolé les rivières profondes?
T’es-tu séparé de ta maison?
Pourquoi pleures-tu, Ô rossignol?
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mysadecstasy · 2 years
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C’est une errance. Une pluie de questions sans réponse au cœur d’un désert sans horizon. Je n’aime pas raconter des histoires. Je préfère la peinture, les couleurs et le mouvement, la musique et la chair. Je préfère que ça transpire et ne mène nulle part. Je veux décrire le sang et la brillance de ton regard. Décrire les ventres noués et les attentes insolubles sous le porche mitraillé par une pluie drue dans la nuit enchevêtrée de lumières blêmes. Je veux embrasser le ciel, je n’ai rien à dire je ne sais que ressentir.
C’est une errance, une déviance, un va et vient de l’âme, une dévotion à l’Éternel. Une errance douce amère sur les eaux saumâtres des fleuves qui meurent en mer. Qui se répandent et se désagrègent dans l’infinie pureté de l’océan. Vague après vague, en combien de temps une goutte parcourt elle les océans ? Errance sous les falaises laiteuses comme ta peau, marcher le long de la grève entre les bateaux échoués à marée basse. Mouettes rieuses et galets blancs. Marcher et revenir. Le retour paraît toujours plus court. La découverte rallonge le temps. Sous les falaises coiffées d’herbe grasse. Soleil couchant par delà les vagues écumeuses. Blanches comme un linceul.
C’est une errance, éternel recommencement, ta main dans la mienne nous allons boire du vin dans une petite auberge de briques rouges. Un grand magnolia en fleur sur nos têtes égarées. Le temps arrêté. Je te bois, je me perds en songe dans tes yeux hurlants. Seule nourriture ou presque. Admirer ton existence et accueillir ton étreinte comme une bénédiction. Chaque soir, dans le noir qui m’effraie tant, tes doigts pianotent sur mon dos. C’est la dernière extase.
C’est une errance, le vrai voyage. Ne se fixer que très peu de points de repères, avancer avec son cœur, ne pas trop spéculer sur les voies impénétrables. Être humble. Ne pas s’éparpiller en rêves mais embrasser l’instant comme une félicité. Et repartir nu, les poches vides, l’amour à sec, le cœur essoré, tout donner et encore plus. Telle est la mélodie de mon cœur écharpé. Toujours battant. Qui n’attend rien mais déguste la vie par petits bouts. Note après note jusqu’au final enragé. Après la grande escalade c’est un soleil rougeoyant comme les enfers qui nous éblouit. Sur ta peau rosée par l’effort il scintille de mille feux. Nous le regardons se noyer derrière les montagnes voluptueuses au loin. Lumière dorée, reflets majestueux, sur une traîne de nuage s’imprime un rose angélique. La nuit enserre la lumière il faut se hâter. Tes pas dans mes pas. L’émerveillement intouchable. À la nuit tombée les étoiles s’allument une à une. Nous n’avons pas compté le temps.
C’est une errance, un émerveillement de chaque instant. Tout doit aller plus vite. À cette époque du tout maintenant et tout de suite, les plus belles choses gardent leur pureté virginale. L’amour se construit lentement, pierre par pierre on bâtit sa pyramide. La nature va toujours au même rythme et les jours n’ont pas rallongé. Vouloir aller trop vite c’est oublier le bonheur et le plaisir qu’offre le fait de surmonter difficultés et souffrance, travail et échecs. L’expérience ne s’achète pas et c’est elle qui nous façonne. C’est elle qui nous façonne dans notre touchante balbutiante errance. Ne pas savoir quel chemin prendre est un don du ciel. Avoir le droit de se tromper est une chance. Et on ne peut rien réussir d’autre que de voir sourire ceux qu’on aime.
Ta main dans la mienne sous la voûte criblée du ciel. J’erre encore. J’errerai toujours dans ce labyrinthe schizophrénique. Entre horreurs et merveilles. Silence glaçant quand la musique s’arrête. Plaisir indicible quand sous un soleil cinglant je plonge mon corps entier dans des fontaines de marbre. Dans une torpeur soudaine mille souvenirs m’envahissent. Les odeurs, les textures remontent à mon âme. On pourra tout me voler sauf mes souvenirs et mon désir d’abandon à l’instant présent. Mi acteur, mi marionnette, qu’est-ce que le libre arbitre ? Sans penser je vogue sur un bout de bois sur la mer infinie des possibles. Je vogue le sourire aux lèvres jusqu’à l’inéluctable noyade.
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msieur-jeremy · 9 days
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