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#musique en albanais rap
chansondealbanaise · 4 years
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The Way to Boost Your Songs To Artists
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There needs to be considered a trick that'll show just how to market your music into artists signed to significant labels, right? Just how can you sell music to your favourite recording musicians?
Every song writer is where you reside. You've written several songs and do not desire them in a drawer for ever. You are convinced at least a couple of are strikes or album cuts. You may readily hear your favourite musicians doing them.
Your issue: you are uncertain ways exactly to receive your music discovered by the"right people"; those who is able to"take action" together.
There are two key techniques to advertise music.
Definitely, the probably music practitioner to obey your song is through a song writer. Most chanson de albanaise publishers nowadays do not release sheet music, their firm has evolved. Most today be the agents for music and song writers. Their occupation entails adding music for their own company roster afterward boosting them.
If satisfactorily impressed with work perhaps they'll provide you exactly what numbers to a growth agreement: a staff writer standing giving you a salary in exchange for a reduction of your own prospective royalties.
I know what you are thinking,"However, I really don't desire to fool up with a middle person, I'd like The Headless Guitar Godz to list my own song, that is my favourite group! Along with their lead singer, Jimmy Heavierthantheheaviestmetal could be your better singer on the planet, period. I would like him to cut back my song dude, I am aware that it's going to likely be an enormous!"
Regrettably, for those who don't have any history of strikes and also you also are not Jimmy Heavierthantheheaviestmetal's cousin or companion, it'll soon be very, very tricky to find anybody while in the Headless Guitar Godz or anybody even remotely connected together to listen, aside from list your own song.
Do not they desire hit songs? Yesbut when they do not already compose their very own ?
They understand their timing is a lot better reviewing songs in a writer's catalogue they don't really wish to risk a suit in an amateur song writer should they truly are rightly or wrongly accused of subliminal or blatant song thieving. It might cost them almost too much to shield themselves at a frivolous litigation since it's in one single that's merit. This is exactly why your principal task is to find song publishers that print from the genre(s) you write inside.
Still another potential route to receive your music to the ideal people is your song trick sheet.
Songwriter's tip sheets have been published nowadays via e mail or onto a blog plus so they list actions preparing to list that who are searching for songs. The touch point is ordinarily the artist's manufacturer. The downfall of hint sheets will be cost, together with many good sheets which print valid, usable guidelines running a few hundred dollars each year. It can be safer to pay attention to your own song writing and let your new music writer invest from sheets.
There are additional potential avenues to song fostering success I will cope with at another article, but mathematically song publishers, tip sheets and trick blogs certainly are a newcomer songwriter's probably approach to this significant moment.
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revuedepresse30 · 6 years
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Rencontre avec Di-Meh, celui qui tire le rap suisse vers le haut
La première impression à l'écoute de ton nouvel EP, FCS2, c'est qu'il semble grandement taillé pour le live, là où tu as fait ta réputation... C'est la scène qui inspire ton travail studio ?
J'ai fait ça au feeling, mais beaucoup de morceaux ont été créés en live, directement, c'est vrai. Comme Chanel, par exemple. Focus aussi, je l'avais fait sur scène avant de l'enregistrer. Mais le studio peut aussi inspirer la scène, ça marche dans les deux sens.
Actuellement, tu es en tournée avec les deux autres rappeurs suisses du moment, Slimka et Makala. Vous faites tous trois partie du crew Super Wak Clique, que tu as rejoint alors que tu avais déjà une certaine notoriété...
Oui, Makala venait tout juste de débarquer, mais moi, j'avais déjà fait pas mal de featurings avec des Français, des Belges... Caballero, Nepal, j'avais invité pleins de gens sur mes projets comme Sopico, Fixpen Sill,ou Josman. C'est grâce à la 75e Session que j'ai pu faire mes premiers projets officiels. C'est avec toutes ces connexions que je me suis fait un nom à l'époque.
C'était indispensable selon toi que les rappeurs suisses forment un crew, s'entre-aident ?
Déjà, ces gars sont tous mes potes depuis l'enfance. Genève, c'est petit, on se connaît tous. On voulait s'allier pour élever la ville. C'était difficile de trouver des gens motivés d'autant qu'à Genève, les mecs rappent, mais ça reste un hobbie. Nous, on s'est dits qu'on allait faire une clique, et qu'on allait tous être à 100% dedans. Super Wak Clique, ça n'est pas que du rap, c'est un état d'esprit. Se surpasser, vaincre le regard des gens, être sans complexe...
Tu as lancé ta propre ligne de cannabis légal… C’est quoi ce délire ?
En Suisse, on a déjà cette culture de coffee shops, cette culture squat etc. Du coup, il y a une grande tolérance pour tout ce qui tourne autour de la weed. Même les flics sont chill. Ça n’est pas comme en France, où tu peux finir en garde-à-vue pour un joint. A Genève, c’est toléré, mais ça va prendre un peu plus de temps pour être légalisé. Et on a la vente libre de CBD (Le cannabidiol, considéré comme une plante médicinale relaxante mais non psychotrope, ndlr), on peut aussi avoir quelques plans chez soi légalement, pour la consommation personnelle. Quand le CBD est arrivé, on s’est dit qu’on allait marquer le coup, faire bader les Français (rires). Qu’ils se disent : "Putain, c’est qui ce gars, il se prend pour Snoop Dogg ou quoi ?" Ça s’appelle CBD420, on a fait une série Di-Meh Edition avec 0,3 % de THC seulement, et environ 25 % de CBD. En gros, le THC, c’est dans la tête, et le CBD, c’est dans le corps. Tu fumes du CBD, t’es pas fonce-dé. T’as les muscles qui se détendent, t’es bien.
Pourtant, vu de France, on a parfois l’impression que la Suisse est un pays avec un climat social un peu tendu, avec beaucoup de racisme, un peu comme ici, notamment depuis le vote contre la construction de minarets en 2009…
Je trouve que le climat est dix fois plus puant en France. Cent fois plus puant, même. A Genève, il y a deux-cent-soixante origines différentes pour une zone métropolitaine de 450 000 habitants. Faut le faire. J’ai grandi avec des Dominicains, des Kosovars, des Albanais, que des réfugiés politiques. Des Somaliens aussi, des Erythréens… Quand je vois comment les Somaliens sont traités ici, à Gare du Nord, j’hallucine. Vous ne savez même pas qui ils sont, ce qu’ils ont vécu, d’où ils viennent. Moi, je vais leur parler, ils hallucinent. Personne ne le fait. Mon cousin est Marocain-Malaisien, je connais un Mexicain-Algérien, un Colombien-Marocain, des Ouzbeks, des Turques, des Pakistanais… On n’a pas ce délire communautaire. L’autre jour j’étais avec un pote, il reçoit un appel. Il raccroche et me dit : "Mec, toute ma famille en Somalie est morte." On connaît tout ça, on vit dedans. Nos darons, pareil. Cette histoire de vote contre les minarets, c’était juste du buzz politique, ça ne reflète pas du tout notre mentalité. La Suisse est attachée à son image conservatrice, mais n’a jamais négligé l’immigration.
Dans ce nouvel EP, tu parles énormément de ta famille, on a même l’impression que dans les textes, tu te sens redevable. C’est le succès que tu as acquis qui te donnes ce sentiment ?
Je constate que mes parents ont fait beaucoup de sacrifices pour nous ramener en Suisse. Mon père est Algérien, ma mère est Marocaine. Ils sont arrivés sans papier, j’étais donc sans-papier jusqu’à mes deux ans. Mon père a dû payer un mariage au black, j’avais un nom italien jusqu’à mes deux ou trois ans. Puis, il a été renvoyé au bled, je ne l’ai pas vu jusqu’à mes cinq ans. Ma tante appelait l’avocat qui lui a dit : "Ok, traduisez une lettre de votre neveu dans laquelle il dit qu’il veut revoir son père." Elle l’a fait, elle a envoyé la lettre à Berne, aux autorités compétentes, et ils ont donné un Visa à mon père. Cette année, ma tante m’a montré cette fameuse lettre, j’étais assez grand. J’ai donc pris conscience de tout ça, et ça se ressent dans mon projet.
A quoi ressemblait le rap à Genève que tu y a grandi ?
Ca rappait dur. Le premier gros groupe de rap suisse, c'était Sens Unik (formé en 1987). C'était un peu le groupe cliché, l'équivalent de Benny B chez les Belges. Et puis l'underground s'est installé. A Genève, il y avait énormément de squats, et toute la culture qui va avec. Cet esprit marginal de l'époque, de la fin des années 1990, a engendré pas mal de groupes. Les P'tits Boss, qu'on a même retrouvés sur l'une des premières mixtapes de Cut Killer, et Double Pact... C'était la première brèche entre le rap suisse et le rap français, mais ils n'ont pas persisté. Et puis nos grands ont suivi, comme Marékage Streetz. Ils avaient fait un classique, ils étaient connus jusqu'à Paris. Ils ont fait le taff, ils étaient forts, mais ça n'a pas duré.
Il y a une grosse culture du beatmaking en Suisse, non ?
Carrément. Mamadi Samoura, aka M.A.M., a fait des prods pour 50 Cent alors qu'il avait vingt piges. Il était à New York etc. On a une grosse culture allemande, on aime les bails électroniques, les ingé-sons prennent ça au sérieux depuis longtemps. On a aussi Yvan Peacemaker, qui a fait beaucoup d'instrus pour Danny Dan, Kery James, Booba, Rohff... A Zurich, certains ont bossé avec A$AP Rocky, Kendrick Lamar, pleins d'autres.
Tu viens du skate il me semble...
C'est grâce au skate que je fais du rap. Ce sont mes grands du skate qui m'ont fait écouter du bon rap. Il y avait beaucoup de tournois, je me déplaçais beaucoup, et je me suis dit que j'allais faire la même chose dans le rap, que j'allais faire beaucoup d'aller-retours entre Paris et Genève, aller dans des clashs, des tournois d'impro... J'ai fait deuxième de Suisse en impro. J'ai transféré le skate au rap, notamment le côté vagabondage. Ces moments où tu te retrouves dans une ville comme Tours, que tu ne connais pas, où tu dors chez un pote, tu fais des sons avec des gars...
Le rap et le skate semblent être deux cultures qui se sont rapprochées en France ces dernières années… Pas mal de rappeurs comme Roméo Elvis, que tu invites en featuring pour le titre Ride, ou Lomepal, ont cette double culture...
Lomepal, je l’ai connu grâce au rap, mais aussi grâce au skate. J’avais 15 ou 16 ans, et j’avais été invité à son tout premier concert parisien par Alpha Wann, que je connaissais. On s’est rencontrés, et il est venu à Genève. On a fait du skate, on a fait un son qui s’appelle Zombieland. C’était la nouvelle brèche entre Paris et Genève. Il était dans le même état d’esprit que moi : voyager, faire du skate, faire du son…
Il y a pas mal de rappeurs de ta génération qui peuvent sembler assez hermétiques à l’histoire du rap et du hip-hop. Mais ça n’est pas ton cas, au contraire.
J’ai une culture du hip-hop énervée. Vraiment énervée. Dans le rap français, tu me passer Les Chroniques de Mars, les mixtapes Sad Hill, Les Chroniques du 75, Nubi Sale, Joe Lucazz… Je me suis pris toutes les écoles du rap français, et toutes les écoles du rap cainri. Quand j’étais petit, j’ai du beaucoup me démarquer. A 14 ans, j’avais déjà vu le Wu-Tang trois ou quatre fois. J’étais dans cette idée de provoquer le destin. Je rappais au culot, devant des grands noms comme Evidence ou Brother Ali. Je voulais prouver qu’en Suisse, on avait des skills, et que les barrières de la langue pouvaient tomber.
Toi qui est un mélomane érudit, qu’est-ce que tu écoutes en ce moment ?
J’écoute Wizkid, un chanteur nigérian. Je suis très axé sur la musique du monde. Les rappeurs latinos, brésiliens, portugais… Avant le rap français, c’est ça pour moi. J’ai un pote brésilien, Matue, qui a percé dans son pays. Je l’ai rencontré à Berlin, on a fait du skate ensemble, il n'était personne à l’époque. Il est rentré, et bim, 27 millions de vues. Il y a un collectif brésilien à Genève qui fait du baile funk, Ozadya, je les ai connectés ensemble. Ca s’envoie des instrus maintenant. J’écoute aussi un rappeur marocain qui vit à Barcelone, Khaled. Très chaud.
Sortir un projet tous les 10 mai, ça ne peut pas être un handicap parfois ? Une pression ?
Ca a toujours été un handicap. Mais un bon handicap. Les deadlines, ça m’aide. Chaque année, je veux me renouveler, et c’est une date qui me tient à cœur depuis que j’ai sorti mes premiers projets, à 12 ou 13 ans. J’en ai 22 aujourd’hui. Cette année, on m’a dit : "Sors pas ton projet le 10 mai, mec. Il y a la Coupe de Monde, le Ramadan qui arrive… Tu vas être paralysé sur les réseaux." Je m’en fous.
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