#mur gris et blanc salon
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roleplayerstips · 1 year ago
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Paris Contemporary Living Room
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Example of a large trendy open concept light wood floor and brown floor living room library design with white walls and no fireplace
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pitite-xena · 6 months ago
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Je vous montre l'avancée des travaux dans mon appart parce que je viens de passer deux semaines dessus et franchement je suis assez fière du résultat!
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Mon salon, qui a la base était tout blanc moche. Enfin déjà j'aime pas quand c'est tout blanc, je trouve que ça fait hôpital mais en plus là les murs sont en planches genre palette ???? Qui fait ça ? Mais je suis contente avec mon bordeaux ça donne un côté chaleureux. Et de l'autre côté c'est gris à paillettes donc forcément je suis contente.
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La chambre de Noiraude. Qui a la base était blanche et bleue. Maintenant on est dans une ambiance princesse, j'adore.
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Ma chambre. Après 6 appartements à écouter mon papa, j'ose enfin me faire plaisir et foutre du noir sur mon mur. J'en ai chier de fou avec le noir qui dégoulinait toujours sur le rouge, j'ai fait des tâches partout sur le parquet mais ça y est j'ai réussi et je kiffe de fou.
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Le gros chantier, la salle de bain. Mon papa s'est arraché les cheveux dessus pendant une semaine et demie pour virer le sol hideux et remplacer la baignoire. Puis devant l'ampleur du truc j'ai fait appel à des ouvriers. Ils devraient finir demain, j'ai hâte de voir les photos une fois terminé !
Il me restera le couloir à repeindre et la chambre de Flocon à retoucher un peu à base de mur de peinture ardoise et de drapeaux pirates. Ensuite va falloir tout aménager. Ça m'épuise d'avance mais au final, on va être bien. ❤️
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skylleramber · 8 months ago
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« Le mystère de BlackHeaven » (chapitre gratuit)
BlackHeaven 1920
-« votre maison est bientôt terminée monsieur Otis. »
-« merci cher ami, BlackHeaven sera le paradis sur terre » pensa Monsieur Otis d'un air rêveur.
La construction de Blackheaven commença en 1918, dans l'état du Wisconsin dans la charmante ville de Madison, Monsieur Otis, riche homme d'affaire détenant un domaine pétrolier qui lui permettait de brasser énormément d'argent, décida en cadeau pour sa femme et sa fille, de faire construire une somptueuse demeure, époustouflante, imposante et isolée du reste du monde, entourée par la verdure des arbres, possédant un lac aux abord de son futur foyer.
BlackHeaven sera un havre de paix où se reposer, où ils pourront se ressourcer et construire leur vie future à l'abri des regards indiscrets, éloignés de la ville, du brouhaha ambiant, de la pollution et de la foule, une nouvelle vie sereine, loin de l'agitation de la ville.
Elle représente la consécration de toute une vie, un rêve qui devient réalité, fini les déménagements sans fin, les appartements et les pentahouses d'hôtel, fini les changements de ville, à Blackheaven, la famille Otis pourra enfin poser leurs valises définitivement, dans leur magnifique demeure construite Pierre par pierre, par la sueur des employés qui s'affairent au travail jour et nuit pour terminer BlackHeaven dans les temps, le plus gros chantier d'une vie mais aussi le meilleur.
2 mois plus tard...
- Monsieur Otis : « Mes chers amis, mes chers associés et ma merveilleuse famille, c'est avec un grand honneur et une grande satisfaction, que j'inaugure avec vous, la fin de construction de ma nouvelle demeure que j'ai baptisé « BlackHeaven »... il se tourna vers sa femme et sa fille... ma tendre épouse et ma merveilleuse fille, je vous présente votre cadeau » dit-il en faisant un signe
de la main aux artisans pour qu'ils retirent la grande bâche qui enveloppe BlackHeaven.
Les invités rest��rent bouche-bée ainsi que sa femme et sa fille, devant eux, un somptueux manoir imposant de style victorien, composée de deux tours cylindrique de chaque côtés avec une girouette qui s'agite au gré du vent, de pierre apparente avec une façade de couleur terracotta, de plusieurs étages tellement haut qu'on penserait qu'elle touche le ciel, constitué d'une magnifique véranda étalé sur tout l'arrière de Blackheaven, une allée de gravier blanc et de rosier est parsemer jusqu'à l'entrée du foyer, une serre de plante exotique et un jardin couvert de fleur jongent l'arrière de la maison, au fond de ce sublime jardin, se cache un petit escalier qui mène directement au lac de BlackHeaven, d'une superficie de 5km, une immensité bleutée donne un spectacle époustouflant pour les yeux, BlackHeaven est immense, elle est le paradis sur terre.
Le paysage est à couper le souffle, et BlackHeaven par sa splendeur, surplombe cette beauté, tous se dirigèrent à l'intérieur, la découverte est de mise, arriver dans le vestibule, les invités levèrent les yeux au plafond qui est orné d'un grand lustre en cristal est qui englobe, un sublime escalier en verre droit au rambarde doré, qui une fois arrivé au palier, comporte deux autres escaliers de chaque côté en verre aussi permettant l'accès au premier étage,sur le côté droit du vestibule, un magnifique salon d'une superficie de 40 mètre carré,
composé d'un canapé en velours gris, d'une méridienne grise, d'une table basse sculptée en forme de corbeau, composé d'un grand tapis en peau de chèvre,une cheminée en marbre blanc, une table à manger en verre avec un support argenté, on peut y manger à 15, et une décoration florale qui imprègne les murs, il est tout simplement resplendissant, c'est un plaisir pour les yeux, une porte reliant le salon à la véranda a été installée sur l'un des côtés.
Sur le côté gauche, se trouve un boudoir destiné aux femmes, un petit lieu de
détente et de sérénité, elle a été appelé « la pièce rose », madame Otis adorant la couleur rose, son mari a veillé à ce que son espace personnel soit d'une perfection en tout point, papier rose avec des roses imprimée dessus, meuble rose, méridienne rose et un majestueux bouquet de rose rouge et rose rose orne la pièce, le boudoir est attenant au bureau de monsieur Otis, qui lui pour
sa part, a préféré un style chasse, avec un vieux bureau en chêne, ses fusils de chasses enfermer dans une vitrine et ses trophée accrocher au mur, des têtes d'animaux empaillés qu'il a exterminé victorieusement.
Tout le monde est subjugué et impressionné par la prestance de cette demeure, elle représente le rêve, mais chaque rêve à des parties sombres, qui reste inexploré pour les Otis, ils l'apprendront très vite à leurs dépens.
1 mois plus tard...
BlackHeaven resplendit et les Otis aussi, 1 mois passé au paradis sur terre, un flottement de bonheur est dans l'air, la vie paraît tellement plus simple lorsque l'on est isolé du monde.
Monsieur Otis passe son temps en déplacement pour son travail, il ne profite peu de BlackHeaven, madame Otis et sa fille Adélaïde quand à elles, profite pleinement de leur sanctuaire, Adélaïde aime son nouveau lycée, elle s'est très vite adaptée à sa nouvelle vie et à ses nouveaux amis, chaque jours elle part à vélo, à travers champs, les champs de blé qui lui caresse les jambes, les odeurs des arbres et de la nature, les rayons du soleil qui illuminent son visage, la brise qui lui effleure sa peau, les cheveux dans le vent avec se sentiment de liberté, d'insouciance et d'invincibilité, une volonté de cueillir le monde et de découvrir ses merveilles cachés, il est si bien d'être jeune et belle, de penser que l'avenir est devant nous.
Adélaïde aime sa nouvelle vie, elle aime sa jeunesse et sa beauté, elle aime croquer la vie à pleine dent du haut de ses 1m70 et de ses 17 printemps, elle est d'une beauté rare, de magnifiques cheveux roux long et ondulés naturellement, des yeux émeraude en amande qui lui donne un regard de biche, et un superbe corps filiforme, elle attire les autres à elle, sa beauté étincelante, sa gentillesse, sa bonté et sa bienveillance, toutes ses qualités font d'elle, une jeune femme exceptionnelle et aimer de tous.
La vie devant soi, on pense toujours que l'on a la vie devant soi, Adélaïde pense à sa vie futur, à ses futurs projets, à concrétiser ses rêves, car des rêves, elle a plein la tête, ils la font voyager dans des univers différents, et dans chacun d'entre-eux, elle explore chaque parties de son esprit, chacune de ses pensées et de ses désirs, elle fait de ses univers un endroit unique, modeler à son image et à sa vision de la vie.
Allongée sur le ponton, au bord du lac de BlackHeaven, les pieds jouant dans l'eau, Adélaïde laisse son esprit vagabonder au gré du vent, fermant les yeux pour savourer cet instant parfait, elle ne se rend pas compte qu'elle est observée.
« Dans quel monde t'emmènes la rêverie du jour » dit l'homme.
Adélaïde ouvrit les yeux au son de cette voix, elle se releva avec un sourire éblouissant dévoilant ses belles dents blanches et sauta dans les bras de cet homme mystère qui n'est pas si mystérieux que cela pour elle.
Adélaïde : « Père, vous êtes enfin de retour parmi nous » dit-elle en resserrant son étreinte autour de la taille de monsieur Otis
Monsieur Otis : « Oui ma chère fille, c'est un bonheur de rentrer chez soi et de retrouver sa famille » dit-il en embrasant sa fille sur le haut de sa tête
Adélaïde : « Restez-vous longtemps père ? Où allez-vous encore m'abandonnée? » Dit-elle en levant son visage vers son père en faisant la moue
Monsieur Otis : « je ne compte pas repartir de sitôt, je suis désolé pour mes absences et que tu puisses avoir le sentiment d'être abandonnée, mais travailler dur, c'est pour avoir une belle vie, tu le comprendras assez vite ma chérie » dit-il avec un sourire.
Adélaïde rendit son sourire à son père, elle aime ses moments de complicité avec son père, ils se font rare à cause des absences de monsieur Otis, cela l'attriste de voir peu son père même si elle comprend ses motivations, elle sait que même si ça ne l'enchante guère de pas être auprès de sa famille aussi souvent que possible, il fait de son mieux pour être le plus présent possible pour eux, Adélaïde ne doute pas de l'amour de son père à son égard, et leur relation reste toujours aussi forte, remplie de douceur.
Monsieur Otis : « Que dirais-tu de rentrer à la maison maintenant ? Madame Anderson a préparé une excellente collation » dit-il avec gourmandise
Adélaïde rigola et s'empressa de rétorquer à son père « vous êtes un gros gourmand père, votre gourmandise vous perdra » dit-elle avec un air de malice
Monsieur Otis : « Peut-on vraiment résister au délicieux entremets de madame Anderson ? Se serait un sacrilège de ne pas y goûter » dit-il en rigolant ce qui fit rire Adélaïde.
Ils partirent en direction de Blackheaven, coller l'un contre l'autre, en rattrapant le temps perdue, on pouvait les entendre rire sur plusieurs mètres, ses éclats de rire lui avait tellement manquer, son père lui avait tellement manqué, elle comptait profiter de chaque seconde passait avec lui, avant qu'il reparte une fois de plus et qu'il l'a laisse derrière lui une fois encore avec sa solitude.
15 jours plus tard...
Les Otis profitent de leurs retrouvailles, il est si rare que monsieur Otis reste aussi longtemps près d'elles, le bonheur plane partout sur Blackheaven et aux alentours, Adélaïde passe la plupart de son temps avec son père dès qu'elle rentre du lycée, ils vont à la p��che dans le lac, font des parties de chasse qui n'est pas l'amusement préféré d'Adélaïde, elle n'aime pas la brutalité animale mais étant la passion de son père, elle l'accompagne pour lui faire plaisir et partager un moment privilégié avec lui, elle l'initie à l'art de la peinture, du clavecin et du théâtre, toutes ses choses dans lesquelles Adélaïde excelle et qui la passionne particulièrement, son père découvre une partie de son univers, il est très enjoué par les leçons de sa fille et l'intensité qu'elle met dans ses œuvres.
Lors de la représentation des talents des élèves organiser par le lycée, Adélaïde dédia un morceau de musique classique à son père, de son compositeur favoris Frédérique Chopin, « le prélude op.28 no.20 in C minor » qu'elle exécuta avec émotion, subtilité et élégance, l'assistance la regarda émerveillé et monsieur Otis eu un sentiment de fierté lui gonflé le cœur, il était fière de sa fille, c'était elle son paradis sur terre.
Pour célébrer le succès de la représentation et celui de sa fille, monsieur Otis
invita toute sa petite famille dans un restaurant prestigieux pour que cette soirée soit inoubliable et qu'elle finisse en apothéose.
Une fois le retour à BlackHeaven, des étoiles pleins les yeux, les Otis montèrent se coucher, Adélaïde embrassa tendrement ses parents et s'empressa d'être regagner sa chambre, sa chambre de princesse composé d'un lit en fer forgé blanc avec un encadrement en forme de cœur, un rideau au dessus du lit qui tombe sur chaque côté pour crée un voilage léger, une coiffeuse au motif cœur avec un plateau en verre et une chaise rembourrer à la plume d'oie, une commode blanche avec des gravures coeur sur chaque côté, un grand tapis un forme de cœur au centre de la pièce à la laine douce, un papier peint blanc avec des motifs en cœur doré, et une console où est posé un bouquet de lys blanche qui embaume la pièce, Adélaïde croit en l'amour plus que tout, le cœur représente pour elle, l'âme entre deux personnes unis dans un seul cœur, elle rêve de tomber amoureuse, elle est amoureuse de l'idée même de l'amour, elle aimerait sentir son cœur battre à se rompre, sentir se tourbillon et se déchaînement de passion, ressentir l'intensité des sentiments qui unissent deux personnes quand elles font qu'une, elle en rêve, elle le désir, mais elle sait que chaque chose viendra au moment venue et que pour l'instant ce n'est pas son tour.
En rentrant dans sa chambre et en refermant la porte, Adélaïde constate qu'il y a quelque chose d'étrange, sa fenêtre est grande ouverte, elle était fermer pourtant, quelques traces de terre couvrent le sol, elle fait le tour de la pièce, tout est intacte, rien à bouger, mais pourtant elle ressent un sentiment de malaise, elle était persuadée qu'elle avait fermer sa fenêtre, elle resta inerte quelques secondes, et pensa qu'elle avait certainement oubliée de la fermer et que la terre trouvée provient sans doute des petits pots de fleurs disposés sur sa fenêtre, qui se serait retrouvée au sol par la force du vent, elle la referma, se met en chemise de nuit et passa un dernier coup de brosse dans ses cheveux, la journée fut longue, la soirée aussi, il est temps de rejoindre Morphée et son
monde de rêve, elle s'allongea dans son lit, regarda le plafond en repensant à cette délicieuse soirée, elle aimerait que se soit ainsi pour toujours, ses yeux se ferma remplie d'espoir, de rêve, de lendemain sans fin, mais demain sera une nouvelle journée remplie de promesse, rien n'est moins sûr.
Le lendemain...
Monsieur et madame Otis déjeunent sous la véranda, monsieur Otis lisant les actualités et madame Otis parlant à son mari qui l'écoute peu.
Madame Otis: « Aaron, as-tu entendu ce que je t'ai dis ? » dit-elle exaspérée en baissant le journal de son mari avec sa main
Monsieur Otis: « Désolé Anna, j'ai été absorber par cet article, que disais-tu,
Chère Épouse » dit-il neutre
Madame Otis: « je te disais que je trouve cela particulièrement bizarre qu'Adélaïde ne soit pas encore descendu, est-elle malade ? » dit-elle avec inquiétude.
Monsieur Otis: « la journée et la soirée d'hier ont été longues et éprouvantes, peut-être a-t-elle besoin de plus de repos, ne t'inquiète pas Anna, notre fille vas bien » dit-il d'un ton rassurant en caressant la main de son épouse
Madame Otis: « ce n'est pas dans ses habitudes... dit-elle à son mari avant de
se tourner vers madame Anderson... Avez-vous vu Adélaïde, madame Anderson, est-elle levée ? » Demanda-t-elle
Madame Anderson : « non madame Otis, je n'ai pas encore vu mademoiselle aujourd'hui, dois-je mettre son déjeuner de côté » demanda-t-elle
Madame Otis fit un oui de la tête, se tourne vers son mari en le fixant avec son regard vert persan, monsieur Otis lève la tête est compris que sa femme attend qu'il aille voir sa fille pour la lever du lit, sans un mot, il quitta la table en trainant des pieds et en pensant que sa femme s'inquiète toujours pour pas grand chose, il monta les escaliers d'un pas nonchalant et se dirige vers la chambre de sa fille, il frappa à la porte une première fois, aucune réponse, il toqua une secondes fois aucune réponse, étrange que sa fille ne réponde pas, il s'exclama « Adélaïde, es-tu réveillée ma chérie? », aucune réponse,
il continua par dire « je rentre ma chérie couvre toi », il entra dans sa chambre est resta stupéfait sur le palier.
Monsieur Otis déballa l'escalier à toute à allure, courra sur la véranda et se mit à hurler sur sa femme.
Monsieur Otis: « ANNA OÙ EST NOTRE FILLE, OÙ EST ADÉLAÏDE ? » Vocifère-t- il
Est-ce réellement un oublie cette fenêtre ouverte ? Une nouvelle journée pleine de promesse, mais certains d'entre eux, la promesse peut devenir un enfer constitué de la même question en boucle, où est Adélaïde ? Un secret bien gardé par Blackheaven, qui est la seule à connaître la vérité.
Lien Amazon——->>> https://www.amazon.fr/gp/aw/d/B0CFCYR1MV/ref=tmm_pap_swatch_0?ie=UTF8&dib_tag=se&dib=eyJ2IjoiMSJ9.1XODf_QN_eqdVn9-or7E0Rc-9LwIOPfOZg2soBclQVJ3NNDUV9eJckE9ECdK-nG24mQ-MiyxEHP3Wr4qHycwh1eizzPOgxlMP2NHXI8p2OaiaQVO5k__kpY7GQuDWQJSRP_2p_wdH9NrtaXDIH1Wn5aUcDnDgZAfO04q63MGAxmw_fmrz7qd2qArLU-jimg-.isHJqhT8uUYzxN9kEc7Um3JKEmk5fo_FzTbFXOt0z3Q&qid=1709639496&sr=8-3&fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR2K14y5N3ytGHdEHFREJff_jyOG7_Y6LIfn1fib792PVs3MD3xL0NuNVSs_aem_Aen75KW9ziA9XkCjNoYo0fh9b0FxSb5YYFLbzvFYT9M1qqXkr82IYevQdt4E-t4LCH5k42Vsv8dq482OY0Itjgsj
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omagazineparis · 9 months ago
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Décoration Bimago : une décoration aux mille couleurs !
Vous souhaitez donner de la couleur à votre intérieur ? Votre décoration n’est pas adaptée et manque un peu de peps ? Optez donc pour une entreprise qui fera de votre habitat un environnement joliment décoré ! Pour cela, Bimago vous propose des œuvres uniques pour égayer votre intérieur. Les papiers peints Cette galerie de Bimago est très riche en couleurs allant de la décoration classique à celle plus moderne. Tout d'abord, les papiers peints contiennent une large palette d’œuvres avec, par exemple, des motifs naturels, des paysages de bord de mer, des cartes du monde ou des villes. Certains en format 3D donneront un effet visuel original à votre pièce. Les papiers peints géométriques sont, quant à eux, plus dans l’univers abstrait. Ils sont adaptés à un environnement plutôt moderne. La géométrie sous toutes ses formes y est représentée alliée à un gris simple et classique ou à un dégradé multicolore. En fin de compte, tous les papiers peints fabriqués chez Bimago sont composés de fliseline et sont très économiques ! De grande qualité et résistants à l’eau, ils habilleront parfaitement les murs de votre salon ou de votre chambre à coucher. Stickers et compagnie ! La collection de stickers muraux de chez Bimago est idéale pour décorer une chambre d’enfant, par exemple. Des personnages féériques aux animaux, votre bambin aura son univers bien à lui ! En couleurs, en noir et blanc, tous les stickers sont autocollants et faciles à fixer. Vous pouvez choisir de coller votre sticker au mur, sur un miroir ou même sur un meuble que vous souhaitez embellir. Les posters peuvent être choisis pour votre décoration de cuisine ou de salle de bain avec des citations ou un paysage maritime. Il y en aura pour tous les goûts, même pour les styles vintage et street art ! De même, les affiches que Bimago met en vente représentent des animaux, des citations en français ou en anglais et inspirantes pour votre quotidien. Les affiches à messages sont très à la mode. Elles participent à une décoration sobre de votre habitation. Craquez aussi pour les cartes du monde à gratter ou les panneaux en liège. Succombez aux tableaux acryliques aux motifs exceptionnels de chez Bimago ! Quoi qu'il en soit, chaque décoration est présentée en plusieurs tailles pour s’accorder parfaitement à votre intérieur. Avec une œuvre sur-mesure livrée avec une notice de montage, choisissez l’originalité avec Bimago ! À lire également : Décorer votre maison c'est notre mission Read the full article
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laurartcreations · 11 months ago
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La couleur orange en décoration d'intérieur
Selon la philosophie Feng Shui, la couleur orange (yang) symbolise l'amitié, la sagesse et l'énergie rayonnante. Cette couleur chaude apporte de la joie et de l'enthousiasme. C'est notamment pour cette raison qu'elle est préconisée dans les pièces à vivre. Toutefois, avec parcimonie ou dans des tons plus clairs, l'orange peut parfaitement s'accorder avec la décoration d'une autre pièce (chambre, salle de bain, cuisine, etc...). Combinée avec d'autres couleurs, l'orange peut créer différentes atmosphères, à savoir : l'ambiance cosy, le style bohème, moderne ou 70's.
L'ambiance cosy :
Si vous aimez les teintes automnales ou l'esprit "été indien", l'orange sera parfait pour faire vivre votre pièce en lui offrant une atmosphère cosy. Pour les murs, vous pouvez opter pour un orange rappelant l'été indien (ex. : orange tangerine, abricot, ...). Si vous désirez une pièce aux tons plus doux, choisissez des nuances d'orange plus sobres (ex. : saumon, pêche, ...). Et si vous préférez accentuer l'effet automnal optez pour des teintes plus sombres (ex. : cuivre, orange tanné, ...). Selon vos envies, vous pouvez peindre l'intégralité de la pièce ou seulement quelques pans de murs. De même, n'hésitez pas à ajouter quelques formes circulaires et arrondies pour habiller vos murs. En ce qui concerne les assises d'un salon par exemple, optez pour un canapé et des fauteuils moelleux invitant à la détente. Notez que la couleur terracotta s'accorde parfaitement au orange et complimente d'autant plus l'atmosphère cosy. Pour les meubles, optez pour des matériaux naturels, tel que le bois, et pour des formes arrondies. Habillez votre pièce selon vos goûts. Notez que les textiles jouent un rôle important pour créer une décoration d'intérieur cosy. Choisissez des coussins, des couvertures, des tapis, des rideaux, ... aux teintes chaudes ou neutres selon le degré de sobriété que vous souhaitez. Vous pouvez également optez pour du textile aux imprimés graphiques ou floraux si vous désirez ajouter un côté un peu plus ethnique. Et pour la décoration, laissez vous tenter par des bougies, des luminaires sobres, des tableaux de nature ou abstraits, des plantes, des statuettes, ...
Le style bohème :
De manière générale, pour créer une ambiance bohème dans un intérieur, il faut opter pour une palette de couleurs chaudes. Ainsi, l'orange est parfaitement adéquat. Vous pouvez l'associer à d'autres coloris (rouge, ocre, jaune moutarde, marron, terracotta, ...). Pour les murs vous pouvez opter pour une teinte d'orange claire ou pâle. Sinon, vous pouvez également peindre vos murs dans des tons beiges et y ajouter quelques touches d'orange, des motifs graphiques, ... Pour habiller vos murs, n'hésitez pas à ajouter des éléments : tissages en macramé, plantes suspendues, miroirs en rotin, tableaux abstraits dans la même palette de couleur, ... Que ce soit sur les murs ou au sol, vous pouvez ajouter vos souvenirs de vacances pour donner une touche ethnique à votre intérieur ! En ce qui concerne les meubles, optez pour des matières naturelles (ex. : bois, rotin, jonc, osier, ...). Et ajoutez y des décorations oranges (ex. : vases, luminaires, pots, nappes, ...) ainsi que des textiles dans les mêmes tons (ex. : couvertures, draps, coussins, assises, ...). Et pour parfaire votre décoration, habillez d'autant plus votre pièce avec des décorations au sol. Un large choix s'offre à vous : plantes dans un pot orange, pampa, tapis en jonc, panier en rotin, pouf en fibres naturelles ou en tissu orange, ...
Le style moderne :
L'orange s'invite de plus en plus dans nos intérieurs pour décorer des pièces au style moderne. Pour les murs vous pouvez le combiner à des tons gris, beiges ou blancs, en optant pour des lignes/formes graphiques ou en choisissant de peindre un pan de mur (orange en couleur dominante ou vice-versa). Sinon, vous pouvez donner un certain cachet à votre pièce en combinant le noir à l'orange ! Cette combinaison offrira une atmosphère contemporaine à votre intérieur ! Au choix, vous pouvez opter pour une dominance de noir ou à l'inverse, d'orange. Si vous peignez vos murs en noirs (ou quelques pans de murs) ajoutez-y des décorations murales oranges (ex. : luminaires, tableaux, miroirs, ...). Et vice-versa, si vos murs sont oranges, ajoutez-y des décorations murales noires. Notez que dans ce paragraphe je vais prendre l'exemple de la combinaison du noir et du orange. Si vous désirez opter pour une autre couleur à associer au orange, remplacez les décorations noires que je vais mentionner avec votre couleur et ses nuances. Pour la décoration, jouez avec ce contraste. Si vos murs ont une dominance noire, optez pour des meubles, textiles, décorations, ... aux tons oranges. Et à l'inverse, si vos murs ont une dominance orange, optez pour des meubles, textiles et décorations aux tons noirs ! Pour parfaire votre décoration moderne voici quelques exemples : décoration minimaliste en métal, set de tableaux abstraits, lustres ou luminaires minimalistes, plantes (ex. : kentia, ficus, cactus, calathea, ...), miroirs minimalistes, tapis, coussins et textiles modernes, ...
Ambiance 70's :
Si vous aimez le style des années 70, l'orange est une des couleurs phares ! Les autres couleurs associées à ce style sont les suivantes : jaune moutarde, vert bouteille, terracotta, marron. Si vous combinez la couleur orange à l'une de ces couleurs (ou à plusieurs d'entre elles), en optant pour des décorations et des meubles adéquats, vous obtiendrez une ambiance inspirées des seventies. Pour les murs, n'hésitez pas à créer des formes graphiques, un style flower power, funky, voire psychédélique ! Tous les imprimés sont permis, alors amusez vous avec les formes ! Peignez vos murs en orange en optant pour d'autres couleurs indiquées précédemment afin de créer vos formes, ou vice-versa. Ce qui est génial avec cette déco s'inspirant de l'Art Deco et du Pop Art, c'est qu'elle met de la couleur à notre intérieur et une dose d'originalité qui marque les esprits ! Notez que les meubles arrondis sont à privilégier, rappelant ceux qui ont marqués cette époque. Optez pour des tables oranges rondes, des poufs ronds et des tabourets "tam tam" assortis. Ajoutez un fauteuil oeuf ou en boule dans les mêmes tons. Optez pour des chaises et des canapés aux formes arrondies. Pour une chambre, si la pièce et ses dimensions vous le permettent, prenez un lit rond, sinon aux formes arrondies. Pour parfaire cette décoration 70's ajoutez des lustres tout en rondeurs, des rideaux et des tapis aux motifs divers et variés (pouvant rappeler ceux de vos murs), des lampes champignons telle que la lampe Nesso, des vases ronds, des plantes comme la monstera, ... Notez que le matériel phare de la déco seventies est le plastique. Néanmoins, il y a d'autres matériaux rappelant cette tendance, tel que le rotin, l'inox, le cuir et le velours.
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vava1701 · 1 year ago
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Description basique du lieu
Tables 19 tables en bois, pieds en métal 2 tables rectangles de 8 7 tables rondes de 2-3 1 table haute rectangle de 2 3 tables hautes rondes de 2 1 bar de 4 Chaises en bois pour les tables basses Tabourets en métal pour tables hautes sauf barre ou ils sont en bois
Déco Tableaux Art Déco 6 plantes hautes avec des grandes feuilles dans des gros pots gris Tapisserie rose démodée mais hypnotisante Autres murs gris taupe Sol blanc gris moche dure Ambiance cosy assez ‘salon de thé’ au milieu d’un cadre industriel (toit noir moche avec des carrés d’isolation pendus) Lumières en lignes d’ampoules + lustres ‘globe’ en verre Cadre des fenêtres noir Bas des murs en bois jaune 3 colonnes dont 1 dallée hexagonale, et les deux autres blanches rondes
Cuisine buffet pâtisserie (tartes muffin éclairs brownie…) en haut, puis yaourt bircher, salades et café industriel au milieu, et sandwich ( wrap, panini et sandwich) en bas de la vitrine avec sauces salade, puis plat chaud du jour (cassolette de pâtes) dans un cadre de verre qui les tient au chaud, puis dessert du jour (tartes…) et affiche des galettes maison salées, puis viennoiseries (pains au chocolat, croissants, tresses, cookies…) dans des paniers tressés, puis cage en bois de fruits (pommes bananes oranges), puis caisses pour ranger les tasses jaunes, puis machine à café et petits plateaux, puis étagères à barres de chocolat et chewing gum, puis caisse avec affiche des prix et lecteurs cartes et camipro, puis petite table avec le sucre, le chocolat en poudre, thés, gel hydroalcoolique, cuillères Plus loin, 2 racks à plateaux, avec toujours au moins 1 plateau pour poser les tasses au moins, Et à coté un frigo à boissons avec des jus de pommes, des swhepps et mate en haut, Des jus d’orange pèche et ananas en dessous, De l’eau en dessous Du coca en dessous (autant de coca que d’eau??) Des focus water, volvic aromatisé, nestea peach et citron en dessous, 1 coca 1 vilvil aromatisé et 2 mate en dessous (pas la place ailleurs?)
A l’arrière de la cuisine, la plaque pour faire des crêpes, la machine pour griller les paninis et une étagère en hauteur au mur
Etude du lieu assise à une table au centre pour voir les gens arriver
Population particulièrement féminine pour l’EPFL ( pas représentatif) mais de tout
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lesformationsdelouis · 1 year ago
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my--wonderland · 2 years ago
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Dette.
Tinworth, 30 août 2002. Le village de Tinworth, partagé entre la magie des sorciers et la conformité des Moldus, semblait encore endormi ce matin-là. Le soleil levant illuminait les rues pavées, la végétation et les petites maisons classiques et individuelles de ce quartier tranquille et encore peu éveillé. Le numéro 16 d'une petite ruelle au nom effacé par les années paraissait plus animé que les autres. Petite maison aux murs blancs et gris, aux tuiles rouges usées et un peu branlantes, elle appartenait depuis une quinzaine d'années à Sibylle Trelawney, une femme que ses voisins, qu'ils soient Moldus et sorciers, qualifiaient tous de folle. Femme étrange et prétendant posséder le don de voyance, Sibylle portait toujours un châle sur ses cheveux bruns, tandis que ses bras débordaient de colliers et de bagues. Ses yeux, d'une étrange couleur marécageuse, étaient agrandis par ses lunettes rondes et proéminentes. Personne ne la connaissait vraiment, mais quelques voisins bien informés savaient qu'elle avait une fille, et un mari qui l'avait quittée. Le sens de ce dernier mot partageait les curieux : s'étaient-ils séparés, ou Aaron était-il mort ? Seules les Trelawney avaient la réponse.
Dans sa chambre, la petite Amara entrouvrit les stores, laissant la lumière du jour pénétrer dans la maison. Ses yeux chocolat clignèrent plusieurs fois, aveuglés par le soleil estival. Ces matins étaient les plus difficiles ; s'éveillant de ses songes, la petite fille croyait que tout allait bien, avant que le ciel lui tombe à nouveau sur la tête.
La petite brune sortit de sa chambre et se rendit à la cuisine, pour préparer son petit-déjeuner. Avant, c'était ses parents qui s'en occupaient, mais il fallait bien que quelqu'un le fasse désormais. Amara passa devant un miroir, accroché dans le couloir. Un vieux miroir défraîchi qui lui renvoyait l'image d'une fillette vulnérable, désespérément seule, en quête de repères. Ses traits fins étaient attristés, ses yeux vides. La fillette se demanda à qui elle ressemblait. Son corps portait la marque de sa mère et de son père à la fois. Son âme, elle, était également un mélange. Sauf que les traces laissées s'apparentaient à des cicatrices.
Car tout avait changé, tout ce qu'Amara connaissait et chérissait. La complicité de ses parents, les balades à vélo dans la forêt, les démonstration de magie de son père et celles de divination de sa mère. Les câlins, les marques de tendresse. Elle aurait tout donné pour une étreinte avec son père. Pour que ses bras chauds l'enlacent à nouveau. Pour sentir une nouvelle fois son odeur cannelée. Mais cela lui était impossible. Aaron était parti, parti dans un ailleurs où elle ne pouvait le rejoindre. Enfin, si, elle le pouvait... Amara l'avait envisagé une fois. Mais s'y refusait. Elle resterait pour sa mère. Pour Sibylle qui voyait des présages de mort dans une chaussette trouée, mais qui n'avait rien vu venir, même pas le funeste accident qui avait coûté la vie à son époux.
Amara se détourna du miroir, et continua de marcher à pas de loup dans le couloir. Passant devant le salon, elle entendit un bruit, et fit lentement volte-face. Dans le séjour où régnait le désordre, avachi sur le canapé bleu roi, sa mère marmonnait, dans un état de semi-conscience. Une bouteille de whisky Pur-Feu était encore dans sa main, et quatre identiques jonchaient le sol, toutes vides et l'une d'elles brisées.
Sous les yeux de sa fille, qu'elle n'avait pas encore remarquée, Sibylle reprit une nouvelle lampée de whisky, avant de sombrer, sa boisson lui échappant des mains et se répandant sur le sofa. Se mordant la lèvre, le regard triste et lointain, Amara avança doucement vers elle. Elle l'observa quelques instants. Ses cheveux, sales et désordonnés, étaient vagueument maintenus par une espèce de turban. Des bijoux et des châles ornaient ses bras et son cou. Ses lunettes rondes lui tombaient presque du nez, et de fortes effluves d'alcool émanaient de chaque pore de sa peau livide.
Hésitant toujours, la petite fille se pencha sur sa mère et enfouit sa tête dans son cou. Quelques larmes lui échappèrent et coulèrent le long de ses joues, puis elle s'écarta. Sibylle grommela le prénom d'Aaron, ce qui ne fit que pleurer Amara davantage. S'essuyant les yeux, elle recula en ne cessant de regarder sa mère, coquille vide recroquevillée sur le canapé, évoluant dans un monde qui n'appartenait qu'à elle. Un monde parfumé au whisky Pur-Feu. Incapable désormais de s'occuper de sa fille, de l'aimer et de la protéger comme avant. Et Amara se sentait chargée d'un devoir envers sa mère. Quelque chose qu'elle devait à Sibylle, à Aaron. Elle devait protéger sa mère comme son père ne pouvait plus le faire. La seule certitude qui la maintenait debout, alors que son monde s'était effondré.
Car tout avait changé…
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lampeseteclairage1 · 2 years ago
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Lampe de plafond mur noir
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Si vous cherchez à apporter une touche d'élégance et de modernité à votre espace intérieur, une lampe de plafond/mur noir pourrait être exactement ce que vous recherchez. Avec leur design épuré et leur finition noire mate, ces luminaires peuvent ajouter une ambiance sophistiquée à n'importe quelle pièce. Dans cet article, nous allons examiner de plus près les avantages des lampes de plafond/mur noires, comment les intégrer dans votre décoration intérieure, et ce qu'il faut prendre en compte avant d'en acheter une.
Avantages des lampes de plafond/mur noires
Polyvalence : Les lampes de plafond/mur noires peuvent s'intégrer dans tous les types de décoration, qu'il s'agisse d'un style minimaliste, industriel, scandinave ou même bohème. Elles peuvent ajouter une touche de sophistication à une pièce, sans être trop audacieuses ou écrasantes.
Durabilité : La finition noire mate des luminaires est résistante aux rayures et facile à nettoyer, ce qui en fait un choix pratique pour les espaces à fort trafic.
Économie d'énergie : Les lampes de plafond/mur LED noires sont plus économes en énergie que les ampoules traditionnelles, ce qui peut vous aider à économiser de l'argent sur votre facture d'électricité.
Ambiance : Les lampes de plafond/mur noires peuvent ajouter une ambiance chaleureuse et intime à votre espace intérieur, en particulier lorsqu'elles sont utilisées avec des variateurs d'intensité.
Comment intégrer une lampe de plafond/mur noire dans votre décoration intérieure
Choisissez le bon emplacement : Les lampes de plafond/mur noires fonctionnent bien dans les espaces où vous souhaitez créer une ambiance chaleureuse et intime, comme les salons, les chambres à coucher et les salles de bain. Elles peuvent également être utilisées pour éclairer les couloirs, les cages d'escalier et les entrées.
Combinez les textures : Pour ajouter de la dimension à votre décoration intérieure, essayez de combiner des lampes de plafond/mur noires avec des textures différentes, comme des tapis en laine, des coussins en velours et des draps en coton. Cela peut créer une ambiance chaleureuse et accueillante.
Jouez avec les contrastes : Les lampes de plafond/mur noires peuvent être associées à des couleurs contrastées, comme le blanc, le gris clair ou le beige, pour créer un contraste saisissant. Les murs blancs peuvent être une toile de fond parfaite pour les lampes noires.
Considérations avant l'achat d'une lampe de plafond/mur noire
Taille : La taille de la lampe que vous choisissez doit être proportionnelle à la taille de la pièce. Les lampes de plafond/mur trop grandes ou trop petites peuvent sembler disproportionnées et écrasantes.
Style : Le style de la lampe que vous choisissez doit être cohérent avec le reste de votre décoration intérieure. Si vous avez
une décoration minimaliste, une lampe de plafond/mur noire épurée et simple peut être un excellent choix. Si vous avez une décoration plus élaborée, vous pouvez opter pour une lampe de plafond/mur noire avec des détails plus complexes ou des matériaux plus luxueux.
Éclairage : Avant d'acheter une lampe de plafond/mur noire, réfléchissez à l'objectif de l'éclairage dans votre pièce. Si vous cherchez à créer une ambiance intime, vous pouvez choisir une lampe de plafond/mur avec un variateur d'intensité. Si vous avez besoin d'un éclairage fonctionnel, vous pouvez choisir une lampe de plafond/mur avec une lumière blanche et vive.
Conclusion
Les lampes de plafond/mur noires peuvent être un ajout élégant et sophistiqué à n'importe quelle décoration intérieure. Elles sont polyvalentes, durables, économes en énergie et peuvent ajouter une ambiance chaleureuse et intime à une pièce. Avant d'acheter une lampe de plafond/mur noire, réfléchissez à la taille, au style et à l'objectif de l'éclairage dans votre pièce.
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athenenoctua9 · 3 years ago
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Je suis en train de réfléchir à la déco de mon appart. Mon salon a un long mur gris, le reste est blanc et le sol (qui n'est pas très joli) est gris également.
J'ai une table en chêne clair avec des chaises en bois dépareillées. Je suis plutôt contente de mon coin salle à manger.
Je cherche comment égayer tout ça. Je vois souvent les gens acheter des coussins jaunes etc... ça marche bien sauf que je suis pas très fan de cette couleur.
J'avais pensé à la couleur terracotta sinon. Le gris de mon mur est assez foncé tout de même. Ou bien des couleurs pastels ? Est-ce que ça irait ?
Je suis en pleine réflexion et je suis preneuse de conseils
Il faut aussi que j'achète quelques petites plantes pour y rajouter de la vie et du vert.
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mysadecstasy · 3 years ago
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Épistolaire VI : Dioné & Zeus
Ma tendre Dioné,
Saccadé et indifférent le train a quitté la gare pour se perdre derrière la plaine jaune et brulante de juillet. Ne reste sur le quai que mon chagrin et une chaleur collante. Je ne peux m’extirper de rien, mes pieds sont vissés dans mes bottines, elles-mêmes clouées sur le quai. Je vais mourir ici, Dioné. Sur ce banc froid. Avant les bancs étaient en bois et on pouvait s’y allonger, c’était plus confortable. Mais ça c’était avant, quand tout était plus confortable, quand les fruits n’étaient pas encore mûrs, que la sève montait lentement dans les veines de l’abricotier de notre propriété. Le paysage est sourd et pourtant il me fixe comme si j’étais un voleur, un assassin. Ici nous avons élimé notre amour jusqu’à le réduire en lambeaux. Reste un écheveau indémêlable de sentiments, une mélasse infâme de gris et de sang. De sourires et de pleurs, d’amour et de rancœur, de sexe et de trahison. De tout. Notre amour a pris toutes les formes et quand il s’est mis à crier à l’aide on l’a pris pour Cassandre. On n’y croyait pas. Comment cela aurait pu arriver ? Et tout s’est fini. Salement. Dans la haine. Tu dis que non, que non tu n’as pas de haine, mais tu en es partie plein le ventre et crois-moi cette haine sera ton fiel et elle te dévorera de l’intérieur. Tu ferais mieux de me pardonner et de pardonner à notre amour. Il faut pardonner aux morts, ce n’est pas leur faute. Où tout cela s’est-il perdu semblais-tu hurler en faisant tes affaires ? Dans le fil des jours, dans l’âpreté de l’éternel recommencement. Dans des baisers oubliés, des œillets fanés dans le vase du salon. Le temps est un silencieux assassin, il tranche des gorges au ralenti. On peut oublier d’arroser les fleurs une fois, deux fois même mais après ça devient trop. On prend de mauvaises habitudes et tout finit par crever. Et c’est trop tard vois-tu. La nature sait faire mais elle ne sait pas refaire, alors attention à ne rien défaire. Ma pauvre Dioné, toi si colossale dans ta droiture et ta clarté, tu sembles pourtant n’avoir toujours rien compris…
L’amour meurt comme ça ! Un couperet. On peut trouver mille raisons elles ne sont que symptomatiques car quand un amour est fort et en verve comme un chêne bicentenaire ce ne sont pas trois coups de hache qui peuvent l’ébranler. L’amour meurt avant d’être mort. Il pactise avec le diable et se tranche la gorge d’abord en secret pour renaître et rêver de mieux, alors on accourt et on voit le sang qui gicle partout et c’est le grand procès. Qui tenait le couteau, qui n’a pas surveillé, qui faisait la sieste, n’importe quoi, c’est un simulacre digne des purges Staliniennes. Les deux amants sont renvoyés dos à dos et c’est terminé. Parfois l’un des deux part en courant, l’autre reste prostré, il n’y pas de règle que celle qu’ils restent à jamais dos à dos. Entre eux ce voile de mort. Cet odeur sourde et âcre d’amour mort. Devant moi c’est la falaise immense et aimantée. Toi tu as pris le train moi je suis au bord du gouffre. Toi tu veux reconstruire, te reconstruire comme tu me hurlais, mais tu n’as rien que de la rancœur, ça ne se soigne pas, ça s’avale. Ça s’avale et ça se digère. Après peut-être tu te retrouveras dans toute ta splendeur. Crois-moi c’est un moindre mal, car moi je voudrais reconstruire sur les ruines mais on n’élève pas des murs tout seul, sans parler de la charpente. Connais-tu un bon charpentier, Dioné, c’est pour bâtir un royaume, comme le premier mais en mieux. Tu pourras venir. Il y aura ton trône et sous le drap blanc ton odeur fauve et le sang bleu noir sur tes seins laiteux que je mordrai à pleine bouche. Alors dans une splendeur maligne nous ferons l’amour les fenêtres ouvertes sur l’air brulant de l’été au son des cigales. Comme deux sauvages. Comme le temps retrouvé.
J’en rêve entre deux sanglots. Te serrer dans mes bras. Que mes je t’aime résonnent de nouveau dans ton cœur et ton corps. Je rêve d’un impossible. De ressusciter un mort. Le secouer jusqu’à ce qu’il ouvre des yeux blancs crevés et alors tout lâcher d’effroi. C’est une fulgurance. Place à l’horreur, elle est bien là, purulente, et chaude comme des entrailles. Que vais-je faire de tous ces jours maintenant, il doit en rester un paquet… trouver le diable, ce sera ma raison d’être, ma raison pour lui vendre ma raison et mon âme afin d’obtenir la vie éternelle. Expier longtemps pour débuter, comme Sisyphe sauf que je romprai le sort. Je serai plus fort que tout. L’éternité glissera alors sur moi dans son voile opalin et torturé et je le retrouverai. Je le retrouverai notre amour, j’irai aux enfers tel Orphée, charmeur et ravageur et je remonterai notre amour fragile comme une pousse. Alors j’en prendrai soin comme d’un pommier d’or jusqu’à ce que ses branches touchent le ciel et ses fruits brillent de mille feux. À tout ça tu ne pourras pas résister. Tu me reviendras et à nouveau nous pourrons attendre la mort au calme en contemplant nos oliviers en camisole et ces ceps de vignes agonisants torturés comme des suppliciés. J’en rêve mais en attendant je dois vivre chaque jour jusqu’à cette apothéose, les boire aussi amers soient-il car la route est bien longue encore il me semble. A chaque minute ton train s’éloigne et éloigne ton cœur du mien. A chaque minute je m’enfonce dans une noirceur plus épaisse et tout sens s’étiole. Mais j’ai l’espoir d’un jour retrouver le fil d’or et de le saisir aussi délicatement que possible.
J’espère que cette lettre te trouvera apaisée et belle comme le jour,
Prends-ton temps,
Ton bien aimé Zeus.
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reservoirprod6play · 4 years ago
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Emission du 13/01/2021
Sophie Ferjani
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Savonnerie Marseillaise
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Mobilier et décoration
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Cloison blanche – Ref 3663602101727
https://www.castorama.fr/cloison-3-en-1-geom-axioma-blanche/3663602101727_CAFR.prd
Meuble sous vasque – Ref 8003964549105
https://www.castorama.fr/meuble-sous-vasque-a-suspendre-focus-blanc/8003964549105_CAFR.prd
Robinet vasque – Ref 3663602663287        
https://www.castorama.fr/mitigeur-pour-vasque-a-manette-unique-carre-goodhome-pazar/3663602663287_CAFR.prd
Rail porte coulissante- Ref 3663602776093
https://www.castorama.fr/systeme-coulissant-oleni-pour-porte-en-bois/3663602776093_CAFR.prd
Vasque             - Ref 3663602954682          
https://www.castorama.fr/vasque-a-poser-carree-ceramique-blanche-goodhome-hendra/3663602954682_CAFR.prd?rrec=true#icamp=recs
Evier cuisine – Ref 3663602901211
https://www.castorama.fr/evier-en-granit-noir-1-bac-a-encastrer-drexler/3663602901211_CAFR.prd?rrec=true#icamp=recs
Porte coulissante cuisine – Ref 3663602125129      
https://www.castorama.fr/porte-coulissante-atelier-blanc-83-cm/3663602125129_CAFR.prd
Robinet cuisine - Ref 3663602930983          
https://www.castorama.fr/mitigeur-de-cuisine-noir-katiki/3663602930983_CAFR.prd
Hotte à encastrer – Ref 3663602842712      
https://www.castorama.fr/groupe-a-encastrer-60-cm-inox-clcys60/3663602842712_CAFR.prd
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Petit mobilier, luminaires, vaisselle et décoration:
Véritable référence de l’art de vivre à la française, Côté Table apporte style et élégance à la décoration d’intérieur en alliant tradition et modernité. Son association subtile de matières nobles sur des collections raffinées qui subliment le style français : art de la table, objets déco, textile, luminaires, meubles… En ville, à la campagne ou en bord de mer, l’esprit Côté Table à la douceur chic est au rendez-vous.
Facebook : https://www.facebook.com/cotetableofficiel
Instagram : https://www.instagram.com/cotetableofficiel/
 Moule à cake Ingrid (réf 34765) – grès – 22 x 11,5 x H7cm – 22,95
Plat à four Ingrid (réf 34766) – grès – 33,5 x 22,5 x H5,5cm – 32,50€
Vase Ormea (réf 35029) – verre – D19 x H30cm – 52,50€
Vase Ormea (réf 35039) – fer – D38 x H27cm – 105€
Vase Ormea (réf 35057) – verre et laiton – 25 x 7 x H18cm – 47,50€
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Depuis plus de 50 ans, SEMA Design s’impose comme un acteur incontournable du marché de la décoration. Forte de son bureau de création intégré, la marque anticipe et créé les styles de ses collections en proposant sans cesse des nouveautés dans l’air du temps. Ambiances, couleurs et matières sont travaillées par ses équipes pour offrir des créations uniques, ludiques aux motifs toujours plus originaux. La marque continue d’affirmer ses ambitions en proposant une déco urbaine et tendance. Vaisselle, luminaire, textile, meuble et autres accessoires sont autant d’objets qui égayent le quotidien
 Bols Ekume (réf 71224) – grès – 30cl – 8,30€ l’un
Tasses Ekume (réf 71228) – grès – 30cl – 7,50€ l’une
Assiette Ekume (réf 71335) – grès – D27cm – 21,40€
Assiette Ekume (réf 71336) – grès – D20,5cm – 13,35€
Lampe d’ambiance Champart (réf 73198) – fer - D35 x H41cm – 90€
Housse de coussin Velvet doré (réf 73345) – velours polyester et coton – 45 x 45cm – 22,90€
Housse de coussin Velvet doré (réf 73350) – velours polyester et coton – 45 x 45cm – 22,90€
Set de table Boho (réf 73502) – jonc de mer – D35cm – 7,95€
Jeté Coton (réf 73932) – coton – 170 x 130cm – 24,95€
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Société COREP créateur et fabricant d'abat-jour et de luminaires décoratifs. Fabricant d'abat-jour français à Bègles près de Bordeaux (33) Vous pouvez retrouver nos produits dans la plupart des magasins de bricolage.
PENNSY Ref 5258                
Suspension conique bi-matière en coton et cannage. Dimensions : H.22cm - Ø44cm - E27 / 100W. Couleur : pétrole. Prix Public : 49,90€
VELVET D38 Ref 5262                    
Suspension forme conique bi-matière velours et coton. Dimensions : H.18m - Ø38cm - E27 / 100W.
Couleur : marine. Prix Public : 39,90€
VELVET D44 Ref 5263                    
Suspension forme conique bi-matière velours et coton. Dimensions : H.21cm - D.44 - E27 / 100W.
Couleur : marine. Prix Public : 65,90€
MALLORCA  Ref 5267                    
Suspension empilement conique en coton et raphia. Dimensions : H.21cm - D.38cm - E27 / 100W. Couleur : anthracite. Prix Public : 49,90€
TABLETT Ref  91784                      
Applique tablette en métal peint. Tête pivotante. Equipée d’un port USB pour recharge smartphone. Tirette et câble textile constrasté. Idéale en chevet de lit.
Dimensions : H.26cm - L.30cm - P25cm - E14 / 40W.
Couleur : blanc. Prix Public : 59,90€
KOTAO Ref 91636                
Plafonnier 1L avec abat-jour forme coupole en rotin tressé. Equipé d’un pavillon en métal peint adaptable DCL. Dimensions : Ø50cm - H.11cm - E27 / 60W.
Couleur : noir. Prix Public : 59,90€
CANCUN Ref 91855            
Applique en cordes naturelles tressées. Dimensions : H.23cm - L.20cm - P.10cm - E14 / 60W.
Couleur : naturel. Prix Public : 25,00€
MENORCA Ref 91868                  
Applique bi-matière, coton et raphia naturel. Deux positions possibles pour l’abat-jour. Dimensions : H.20cm - L.20,5cm - P.10cm - E14 / 40W.
Couleur : blanc / raphia. Prix Public : 29,90€
SWANN Ref S0027              
Applique 1L base ronde en métal forme col de cygne. Abat-jour en verre opale. Dimensions : H.16,5cm - L.13cm - P. 21cm - E14 / 40W.
Couleur : noir. Prix Public : 19,90€
WENDY Ref 91814              
Objet lumineux LED en verre. Base ronde décoration ampoule. Dimensions : H.21cm - D.10cm.
Couleur : bleu. Prix Public : 13€
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DEMENAGEURS
1, avenue Alphand 94160 Saint Mandé
Tél : 01 43 74 11 70 – E-mail : [email protected]
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Fabricant indépendant français de peintures bâtiment depuis 1936.
Gammes de peintures intérieures, extérieures, biosourcées et dépolluantes.
Nos magasins : http://www.unikalo.com/contact.php?lang=fr
Instagram: https://www.instagram.com/peinturesunikalo/
 Dans l’émission :
Haut des murs de la salle de bain: Gris clair UNIK 101-1 A mat
Porte d’entrée + tout le mur qui la contient + le plafond jusqu’au salon sur 3m60 en bleu nuit UNIK 143-6C mat lessivable
Contour de l’ouverture entre salon et chambre enfant + mur au dos du canapé salon + retour sur 40cm en bleu UNIK 144-3 C mat (on laisse un blanc tournant de 7cm tout autour)
Mur du fond du salon face a ce mur bleu en gris clair UNIK 101-1 A mat
Mur du fond de la chambre enfant dans le prolongement du salon en D-038 SAULE mat
1 rectangle 3m2 environ en D-039 LICHEN mat
O2mat : le mat absolu
Pour une finition mate parfaite & durable
Peinture mate à base de résine acrylique et d’agent polyuréthanne en phase aqueuse
En intérieur pour la décoration de finition haut de gamme des supports usuels du bâtiment préparées soigneusement.
Certifiée NF Environnement en blanc et teintes
 O2 lak mat velouté:
Peinture laque d’aspect mat velouté à base de résines acrylique et polyuréthanne en phase aqueuse.
En intérieur pour la décoration soignée et la protection longue durée des boiseries et métaux,
Certifiée Zone verte Excell
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Mise à la teinte des peinture Unikalo
Au service des professionnels, collectivités et particuliers.
Nous distribuons une gamme complète de produits professionnels, pour les travaux de décoration et de  finition du bâtiment.
Les entreprises générale de bâtiment, de peinture générale, de revêtements de sols, les ravaleurs façadiers,  les décorateurs, les collectivités, les studios TV, vidéo, photo, cinéma, les théâtres, l’évènementiel… et les particuliers, composent l’étendue de notre clientèle.
Pour l’émission Maison à Vendre nous faisons la mise à la teinte des peintures Unikalo.
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Le sol cocooning avec un envers GFT en fibres recyclées à partir de bouteilles plastiques (plus de 50% du produit)  qui apporte les bénéfices en termes de :
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Des décors tendance et élégants pour des univers contemporains et naturels....
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Fabricant d'envergure mondiale de solutions auto-adhésives
15 rue du Bois des Saints Pères
77176 Savigny le Temple, France
Tel: +33 1 64 87 82 30
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Enduits avant peinture et enduits de décoration pour les professionnels et les particuliers:
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Le collage reste élastique dans le temps et résiste aux chocs et vibrations.
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Très utile lors de la réalisation de joints par recouvrement, rattrapage de décollements aux joints (même sur supports non absorbants), réalisation de retours d’angle en mur ou plafond, pose de ga-lons et frises décoratives.
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• Joint silicone pour utilisation en intérieur
• Permet de faire des joints d'étanchéité entre plan de travail et évier mais aussi entre lavabo et tour de baignoire
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omagazineparis · 9 months ago
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Décoration Bimago : une décoration aux mille couleurs !
Vous souhaitez donner de la couleur à votre intérieur ? Votre décoration n’est pas adaptée et manque un peu de peps ? Optez donc pour une entreprise qui fera de votre habitat un environnement joliment décoré ! Pour cela, Bimago vous propose des œuvres uniques pour égayer votre intérieur. Les papiers peints Cette galerie de Bimago est très riche en couleurs allant de la décoration classique à celle plus moderne. Tout d'abord, les papiers peints contiennent une large palette d’œuvres avec, par exemple, des motifs naturels, des paysages de bord de mer, des cartes du monde ou des villes. Certains en format 3D donneront un effet visuel original à votre pièce. Les papiers peints géométriques sont, quant à eux, plus dans l’univers abstrait. Ils sont adaptés à un environnement plutôt moderne. La géométrie sous toutes ses formes y est représentée alliée à un gris simple et classique ou à un dégradé multicolore. En fin de compte, tous les papiers peints fabriqués chez Bimago sont composés de fliseline et sont très économiques ! De grande qualité et résistants à l’eau, ils habilleront parfaitement les murs de votre salon ou de votre chambre à coucher. Stickers et compagnie ! La collection de stickers muraux de chez Bimago est idéale pour décorer une chambre d’enfant, par exemple. Des personnages féériques aux animaux, votre bambin aura son univers bien à lui ! En couleurs, en noir et blanc, tous les stickers sont autocollants et faciles à fixer. Vous pouvez choisir de coller votre sticker au mur, sur un miroir ou même sur un meuble que vous souhaitez embellir. Les posters peuvent être choisis pour votre décoration de cuisine ou de salle de bain avec des citations ou un paysage maritime. Il y en aura pour tous les goûts, même pour les styles vintage et street art ! De même, les affiches que Bimago met en vente représentent des animaux, des citations en français ou en anglais et inspirantes pour votre quotidien. Les affiches à messages sont très à la mode. Elles participent à une décoration sobre de votre habitation. Craquez aussi pour les cartes du monde à gratter ou les panneaux en liège. Succombez aux tableaux acryliques aux motifs exceptionnels de chez Bimago ! Quoi qu'il en soit, chaque décoration est présentée en plusieurs tailles pour s’accorder parfaitement à votre intérieur. Avec une œuvre sur-mesure livrée avec une notice de montage, choisissez l’originalité avec Bimago ! À lire également : Décorer votre maison c'est notre mission Read the full article
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lamesangebleue-blog · 5 years ago
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Shadow Warrior
Les ordinateurs sont arrivés vers l’an 2000.
On nous a livré un jour un ordinateur Compaq, avec un grand écran blanc équipé d’une large molette et une tour blanche ornée d’un bouton d’allumage vert d’eau. L’ordinateur a été installé d’abord dans la chambre des parents, mais maman ne supportant plus les bruits du jeu de tank de papa, iPanzer’44, et il a finalement été déplacé au salon. “Jawohl Herr Kommandant”. Pendant environ cinq ans, aucun de nous n’a vu dans cette grosse boite blanche d’autre utilité que de faire des dessins sur microsoft paint, et de faire grossir ses effectifs d’hoplites sur Age of Empires. Charles, un peu plus aventureux, avait mis la main sur un First Person Shooter à gros pixel, Shadow Warrior. Après deux mois de frags intenses menés en cachette de Papa et maman, on lui a retiré son jeu. Maman l’avait tout d’abord trouvé de plus en plus pâle, et avait découvert avec inquiétude qu’il était sujet à des spasmes de tremblements de plus en plus fréquents. A partir de ce jour-là, et durant toute mon enfance, il y a eu comme un tabou autour de Shadow Warrior. Il parait que le jeu avait été interdit dans le monde à la suite de crises répétées chez les joueurs les plus sensibles, et que Charles possédait un des rares exemplaires encore sur le circuit. Des paquets d'hémoglobine rouge-brun presque coagulés qui jaillissaient en jeyser, aux insectes arachnoïdes qui courraient sur le sol pour se jeter soudainement à votre gorge, on disait que gameplay n'avait été conçu que dans un seul objectif: choquer profondément le gamer. Le studio avait cherché dès 1997 à avertir le monde : la pop culture serait plus trash. C'était une nouvelle ère.
Je relis dans ma mémoire l'épisode Shadow Warrior à l'évocation du site Rotten.com. Mes grands cousins germains, que j'ai toujours trouvé particulièrement lents et benêts, nous en avaient parlé un jour, alors que nous déjeunions ensemble à l'occasion de je ne sais quelle cérémonie de profession de foi. C'était le plus agé d'entre eux, Jean-Philippe, qui avait jugé amusant d'évoquer à ses petits cousins de 8 ans l'existence d'un site accessible par n'importe qui, et qui diffuse des photos de corps humains en décomposition, de cadavres grillés dans des transformateurs électriques, de membres atrophiés purulents. Pour jeter un œil, il n'y avait qu'à taper "rotten.com" dans la barre URL. D'un seul coup, l'ordinateur élargissait son potentiel, il n'était plus seulement question de mettre le feu aux murailles assyriennes, ou de dessiner des copies tremblantes d'Achille Talon sur paint, il était désormais question de voyeurisme, de péché, de douleur. Il était question du mal. Je n'ai jamais mis les pieds sur Rotten.com, de la même manière que je n'ai jamais cherché à regarder "Two girls One cup", la fameuse vidéo pornographique dans laquelle deux filles mangent leurs excréments. Je suis trop sensible aux images.
Quoiqu'il en soit Charles avait annoncé la couleur, il était de ceux qui pouvait s'enferrer dans des parties de FPS à rallonge, et jusqu'au petit matin. De manière inattendue, la relève de Shadow Warrior allait venir d'Hélène, notre grande sœur première de classe, et grande lectrice du magazine Je Bouquine. Le hors-série Aventure de l'été 1999 s'intéressait "au pays des Elfes et des Dragons". Il comportait sous son blister une démo d'un jeu de RPG qui allait changer notre enfance: Baldur's Gate. Nous avions fébrilement passé l'été 1999 a regarder cette pochette de CD-ROM (elle mettait aux prises un guerrier en armure à un gigantesque monstre à corne), en espérant qu'il serait compatible avec le système d'exploitation Windows 95 de notre ordinateur resté à Paris.
Les grandes thématiques de notre éducation couvraient jusqu'alors un spectre large et varié, allant des tableaux de Bonnard, aux chants de la légion étrangère en passant par le rugby, Star Wars et Leonard Cohen, mais on nous avait rien dit sur l'Heroic Fantasy. Le retour rue Spontini a été un émerveillement. La pochette cartonnée annonçait en lettres celtiques "En cadeau : 20h de jeu" mais nous avons probablement passé 15 fois 20h à refaire éternellement la même portion de l'histoire, qui commençait dans l'auberge de Winslow, jusqu'à la lisière de la forêt de Bois-Manteau. C'est après avoir tenté toutes les variantes possibles dans nos interactions avec les rodeurs et les magiciens croisés tout au long de la quête, que nous nous lassâmes petit à petit de notre démo de Baldur's Gate. Pour prolonger le plaisir, Charles qui n'avait jamais vraiment lu autre chose qu'un vague Chair de Poule demanda pour son anniversaire les trois livres du Seigneur des Anneaux. Il les lut aussi sec, puis il lut Bilbon le Hobbit, et enfin tous les autres recueils de nouvelles de Tolkien aux jolies couvertures ornées de dragons et de mages. Par chance, Peter Jackson préparait à ce moment-là son adaptation cinématographique du Seigneur des Anneaux, qui sortit en 2001. En un sens, Charles vécu quasiment cinq ans non-stop dans un monde d'elfes. Il s'identifiait naturellement plutôt à Aragorn, et j'écopais du terne Légolas.
Autour de 2004 nous passâmes sur Windows XP. Notre ordinateur n'était plus blanc, il était noir, c'était un DELL. En cadeau nous reçûmes deux lecteurs mp3 de 64mb, c’est-à-dire qu'on pouvait y charger l'équivalent de 12 morceaux. Le jour de l'arrivée de l'ordinateur, Charles installa Counter Strike.
Cela faisait une ou deux années qu'on trainait autour du mythique FPS (first person shooter). Le déclencheur avait sans aucun doute été la kermesse de notre collège, où Hélène avaient été admise vers 1998 grâce à ses bonnes notes, et où Charles et moi fîmes progressivement notre entrée grâce aux bonnes note de notre soeur. Tous les ans au milieu du mois de juin, l'école se transformait en gigantesque centre de stands de pêche à la ligne, en étalage de bonbons, en magasin de bricoles. De la sixième à la terminale, chaque classe prenait la responsabilité d'une activité, tandis que les petits faisaient tourner les chamboule-tout ou les rase-ballon, les plus grands investissaient la salle de technologie pour la transformer en unité de jeu en réseau, branchée sur Counter Strike 1.5. Le week-end tournait en continue sur une seule map: cs_mansion. Maman nous donnait des coupons de jeu qu'elle nous imaginait dépenser aux grand air avec des camarades de classe pleins d'énergie, mais nous passions nos week-end encagoulés, avec une AK-47, à tenter de libérer des otages dans une maison en parpaings, tristement isolée au bout d'un jardin sec et entourée de murs gris. La salle de techno était une entre recluse et qui sentait la transpiration, elle était connue des initiés seulement et il me semblait que Charles y régnait en maître. Dès l'année de première, il prit le contrôle de l'activité jeux en réseaux lors de la kermesse. Devant son pseudo de joueurs il inscrivit "Miasme BTC", le nom de sa team, bâtie en collaboration avec ses deux copains de lycée Baudoin et Tancrède qui était en somme la combinaison d'un mot qu'ils venaient d'apprendre en cours de biologie, et de leurs trois initiales. Charles était le plus gros fraggeur de la salle. Au beau milieu du samedi je déboulais en salle de techno, mon cher frère m'apercevant de loin, me faisait passer devant la queue des collégiens, probablement tous interdits de jeux vidéos chez eux, comme c'est l'habitude dans les familles bourgeoises de l'ouest parisien, et qui venaient jusqu'à ce coin reculé de l'école, dans un couloir désert du 3ème étage en cachette des parents. Charles virait un petit et m'installait derrière un ordinateur pour deux ou trois heures. Le soir à la maison, quand maman nous demandait comment la journée s'était passée, je répondais que j'avais surtout donné un coup de main à Charles pour son stand. Alors elle faisait rouler ses yeux dans une fausse impression de colère, papa disait "ça va péter!" en imitant la voix enregistrée du jeu qu'il avait souvent entendue quand Charles jouait et qui retentit au moment où le joueur balance une grenade. Hélène, qui était en pleine période emo avait passé sa journée de kermesse dieu sait où, probablement avec ses amies emo. Généralement, Charles ne venait pas à la messe le lendemain, il se rendait directement au 3ème étage avec Tancrède et Baudin. 
Nous passâmes notre Noël 2013 au Hameau, chez mes grands-parents. Pour emmerder papa, et pour faire plaisir à maman, j'ai toujours dit détester cette grande maison bourgeoise sans charme. L'ameublement n'y était ni beau, ni précieux, ni pratique, avec ses sièges recouverts d'une tapisserie jaune criarde, ses commodes massives, ses pendules empire aux dorures grossières et aux thématiques antiques sans surprise. Sur la commode du fond seulement, il y avait un point de repère rassurant: une bonbonnière chinoises pleines de sucreries à la violette achetées chez Auchan. "Daddy" et "Granny" avaient fait tendre sur tous les murs un tissu gris-vert qui tenait l'ensemble dans un mouvement esthétique que j'estimais assez bancal. Enfin, j'étais gêné par cette impression de propreté maniaque, la collection de plumeaux, les boules de naphtalines dans les armoires vides des chambres, cette odeur de savon noir qui polissait les carreaux marrons qui couvraient tout le rez de chaussée. Les chambres de la maison était nettes, les draps se trouvaient recouverts d'un dessus de lit fleuri, sans un coussin pour déborder, sans un mouton de poussière pour dépasser. Elles donnaient l'impression d'être là pour la forme, en attendant d'être occupée le temps d'un week-end par une famille de passage. D'ailleurs maman se demandait bien ce que ses beaux-parents étaient allé faire à s'enterrer comme ça dans la Sarthe, le trou du cul de la France, eux qui avaient toujours vécu à Paris, se foutre à la campagne comme ça, près du Mans, où ils ne connaissaient personne… Incompréhensible… Il devait y avoir une théorie derrière, un plan scientifique, un diagnostic froid, tout droit sorti du cerveau de son beau-père médecin. La posologie était simple: 6 mois dans la Sarthe, 6 mois à Nice. Il ne connaissaient personne non plus à Nice.
Autrefois la campagne avait dû y être belle c'est certain, mais depuis quelques années, elle était barrée de voies rapides, lézardées de bretelles d'autoroutes, et envahie de giratoires. Il fallait maintenant prendre la voiture pour espérer trouver un coin de promenade encore à peu près préservé. La Zone d'activité Le Mans Nord rejoignait maintenant Neuville à plus de 20km, et s'arrêtait maintenant à 2km du Hameau. Elle s'était tellement étendue durant les dernières années qu'on finissait la plupart du temps par rester à la maison, et la grande sortie du week-end consistait désormais à faire le tour des enseignes : Auchan, Toy's R Us, Decathlon… Nous ramenions de nos virées des trophées variés: mini-saucissons aux noix, Pringles paprika, figurines Action Man, filets de badminton, jeux de croquet… Cette maison ennuyeuse trouvait une nouvelle vie avec la ZAC. Pour mes grands-parents, finies les parties de belottes puisqu'on pouvait maintenant aller au cinéma voir la dernière comédie française, finies les tristes omelettes du dîner, puisqu'on pouvait déguster des wild wings au Buffalo Grill, finies les rillettes du paysan de Neuville puisque le rayon apéritif de chez Auchan était grand comme la Sarthe.
Charles avait réussi à mettre la main sur une vieille Nintendo 64, avec 3 manettes, et 8 jeux, que nous installâmes dans la cuisine du Hameau. Avec les années, papa et maman devenaient de plus en plus coulants avec leurs grands principes sur les consoles de jeux. Ils nous trouvaient globalement raisonnables.
Dans ce coin de campagne française, il n’y avait en tout et pour tout qu’une seule véritable balade, qui longeait un chemin boueux sur un ou deux petits kilomètres. Elle passait devant un gros platane qui faisait s’extasier papa et devant une grosse maison cossue qui avait fait dire à notre grand-père “si tu l’achètes, je te tue”. Cette phrase-là avait marquée maman au point qu’elle nous l’avait répétée, à nous trois, ses petits enfants chéris. Cette phrase, elle nous l’avait dite sur le ton de la confidence, comme quand on s’adresse à un ami, à une oreille alliée qui opine du chef avant même que la révélation ne soit faite. Je devais avoir 10 ans mais j’avais été troublé par cette menace d’un père à son fils, alors même que toute l’éducation de maman était dans la douceur et l’amour sans condition. Cet épisode avait achevé de rendre irréconciliable cette différence profonde avec mes grands parents bizarres et leur campagne désolée. A cet âge deux questions ont commencé à m’agiter: mon grand-père, qui était cet homme? Et plus profondément encore, mais qui est papa?
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projet-europa-prequels · 5 years ago
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Préquels : Spécial Noël : Partie 2
Suite des préquels de Noël, (première partie ici) avec maintenant : Dan, Adia, Myriam, Martin, Maël et Marina.  (si vous avez un doute sur quoi que ce soit, n’hésitez surtout pas à aller regarder dans les pages Personnages & Relations qui sont là pour ça). (encore pas de musique pour cause de capricieux tumblr) TW : Famille toxique / suggestion de TCAs / suggestion de dépression / veuvage / complexe sur l’intelligence / gens de droite / relations entre sœurs conflictuelles / mention de divorce
Dan finissait de mettre la table. La soirée de Noël l’angoissait un peu. Il aimait beaucoup sa famille, mais c’était toujours flippant de revoir ses cousins biens mieux que lui, son oncle et sa grand mère qui allaient lui faire mille remarques passives agressives, et sa mère qui allait lui supplier de sourire avec elle même une moue forcée. Il s’attendait déjà à certain lot de remarques. Son oncle allait demander si il allait bientôt ramener une copine et il était évidemment hors de question de lui répondre qu’il était bloqué sur son ami d’enfance depuis qu’il était en Ce2. Sa grand mère allait asséner à ses parents des “mais vous le nourrissez bien, au moins ? Il est tout maigre.”. Génial. Il avait eut la remarque contraire la moitié de son enfance et de son adolescence mais ça faisait trois Noël qu’elle répétait les mêmes choses, comme son poids s’était stabilisé. Il devait se saper aussi, et merde, c’était vraiment une source d’angoisse, encore une fois. Déjà parce que ses seuls trucs habillés étaient près du corps et qu’il détestait ça, et que sinon tout le monde allait lui dire qu’il ne savait pas choisir de fringues de fêtes. Quelle prise de tête. Il fixa la crèche, remettant en place l’âne en plastique tombé par les courants d’air. Voir ça le rendait un peu nostalgique. Petit, il avait fait la crèche plusieurs fois avec Martin, qui même si il était athé avait trouvé particulièrement drôle de placer des figurines en plastique dans une petite niche aménagée. Martin… Il avait envie de lui offrir un cadeau cette année en revenant en cours, mais il n’arrêtait pas de changer d’avis. Rien n’était encore assez bien. Ou peut être juste que Martin était trop bien pour tout. Il sentit une main glacée sur son épaule et eut un mouvement de recul. Sa mère, en robe blanche et maquillée en dorée lui souriait, l’air encore affairée. 
“Désolé si ce soir c’est encore un peu le même cirque avec Mamie et tonton… Tu sais bien comment ils sont.”
Dan haussa les épaules et fit un demi sourire. Il commença à avoir l’habitude. 
“Tu sais… j’ai réagis un peu à chaud avant hier, je comprenais pas trop. Mais à propos de notre discussion…”
Oh non, non, non. Si seulement elle avait pu oublier. Dan voulait juste qu’elle ne reparle plus jamais de leur échange durant lequel il avait fait un coming out peu assuré. 
“Je veux que tu saches que je tiens à toi, d’accord. Et que en vrai, ça me regarde pas, le plus important c’est que tu sois heureux. Et je serais contente que tu ramènes une fille ou un garçon à maison. Ça changera rien, d’accord ?”
Une sensation de soulagement envahit Daniel. Il avait eut tellement peur quand elle avait commencé à en parler, mais si c’était pour lui dire ça, ça valait clairement le coup. Sa mère l’enlaça et il répondit à son embrassade. Ça faisait du bien, qu’elle sache. Il ne risquait pas de ramener grand monde pour l’instant, et surtout pas son “meilleur ami” hétéro, mais au moins, il n’avait plus l’impression de lui mentir à moitié. Ce Noël avait au moins quelques bons points. 
“Maman rentrera vers 7h ce matin, on offrira les cadeaux à midi comme vous êtes grands toi et Naïm, d’accord ?”
Adia avait grimacé, alors qu’elle aidait son père à finir de nettoyer la maison de fond en combles. Oui, c’était logique, Dima travaillait comme chirurgienne, elle n’allait pas laisser une hernie discale ou une appendicite en plan car elle voulait aller boire du champagne en famille. Mais bon, c’était frustrant, de passer Noël en décalé, et de faire une demie fête le soir même sans sa mère. Alors qu’elle râlait silencieusement, son grand frère rentra, engoncé dans son manteau et les bras pleins de sacs de courses, suivit d’Hugo, son petit ami, lui aussi très chargé. 
“Eh bah quand je vous demande de faire les courses, vous vous moquez pas de moi, les garçons”
Elle et son père était venus leur prêter main forte au couple, tentant de tout faire tenir dans le frigo. Alors que le couple sa taquinait, Adia faisait tout pour retarder ce qu’elle savait qu’elle devrait faire après. Elle n’avait pas envie de se confronter à ça. 
“Adia… Tu penses que tu pourras aller chercher Mamie, après ? Elle dois encore dormir dans sa chambre.”
Et voilà. Son frère vient à la rescousse aussitôt. 
“Je peux y aller, sinon ? Ça fait longtemps que j’ai pas vu Mamie.”
Merci Naïm, pensa Adia, et échangeant avec ce dernier un sourire tristement complice. C’était dur de se confronter pour elle à la détresse de sa grand mère, surtout qu’habitant encore ici, elle la voyait presque tout les jours. L’aïeule était déjà malheureuse avant d’être veuve, et la tragédie n’avait rien arrangé. Adia ne savait jamais comment se comporter face à elle, et n’en ressortait qu’avec une culpabilité tenace et une impression d’impuissance. Et elle se sentait si éloignée. C’était une impression réellement troublante, comme un mur de silence et d’incompréhension. 
Heureusement, elle avait un chouette grand frère, se dit elle en rangeant le crémant. Là dessus, elle avait toute la chance du monde. 
“C’est sûr que ce sera pas les mêmes cadeaux que l’an dernier…”
La voix d’Anne était douce et presque railleuse, mais Myriam préférait ça à tout ce qu’elle avait pu vivre avant. L’adolescente sourit et leva les yeux au ciel, avant de sortir une petite bûche glacée du frigidaire. C’était si étrangement calme pour un Noël. Pas de frères, sœurs, cousins pour mettre une certaine animation. Pas de déballage indécent de fric. Pas d’oncle aux pompes à un prix indécent. Tout était dans le petit salon d’Anne, dont la plante verte mourante avait été décorée de boules rouges et dorées, ainsi que d’une guirlande lumineuse clignotante. Myriam ferma les yeux une seconde, s'imprégnant des odeurs de bouffe et du fond musical doux. C’était son premier Noël sans réflexions de droite. Mais aussi son premier Noël sans ses parents. Sans Isaure et Médéric. Ne pas regretter, juste profiter. C’était Noël après tout. Elle s’assit en silence à côté d’Anne sur le canapé gris. Sa tante lui tendit un verre de vin blanc. Elle avait appris à en boire avec ses parents. Ce n’était plus le même calibre, mais elle appréciait ce genre d’alcool plus facilement que la plupart des adolescents de son âge. Alors qu’elle trinquait, elle pensa à la chance d’avoir pu partir. D’avoir eut cet échappatoire. D’avoir quelqu’un qui l’aimait et qui était prête à l’aider comme ça. Des larmes montèrent à ses yeux gris. Son regard sévère s’embua et elle déposa le verre pour prendre Anne dans ses bras. 
“Merci… vraiment.”
Elle renifla bruyamment contre le dos de sa tante, étalant son fard à paupière bordeaux alors qu’elle s’essuyait les yeux. C’était puissant, c’était encore une nouvelle étape. Une nouvelle de ce nouveau départ. 
Martin était debout sur la jetée, son appareil photo à la main. Il était tôt le matin, la brume enveloppait l’océan, mais pour l’adolescent c’était le temps idéal pour tester son cadeau de Noël, un FE2. Martin sentit le froid engourdir ses doigts minces alors qu’il soufflait dessus. Il adorait cette ambiance. Tout était désert, calme, avec une mélancolie et une douceur palpable. Presque impossible de discerner quoi que ce soit à quelque mètres, ce qui pouvait être chouette pour structurer ses photos. Il avança prudemment, le clapotis des vagues comme seul bruit environnant. Il fallait mieux qu’il profites des vacances pour faire ça, avec le Bac de français, il savait qu’il devrait turbiner. C’était tellement frustrant de voir la plupart de ses potes autour de lui ne pas en foutre une et s’en sortir quand même sans trop de problèmes. Mais pour lui c’était différent. Pourquoi il avait autant du mal ? Si au moins quelque chose compensait, mais non, il était aussi mal en point face aux relations sociales que face à des examens. Et ça, depuis toujours. Et il en avait toujours eut honte. Est ce que personne ne lui disait, mais qu’en vrai ils le considéraient tous comme stupide ? Ca ne l’aurait même pas étonné. Il ne leur aurait pas donné tort. Martin soupira, laissant échapper un peu de buée. Au moins ce matin, il avait l’océan pour lui. Autant en profiter. 
“C’est Marina qui t’as mis ce genre de trucs en tête, hein ? J’ai rien contre cette gamine, mais elle a pas à te monter contre nous.”
Maël était allongé sur son lit. Oui c’était Marina, bien sûr que c’était Marina. Heureusement qu’il y avait Marina pour lui avoir montré une autre vision des choses. Et en même temps évidemment que ses parents prenait ça personnellement. Il n’avait pas trop su quoi leur répondre, se contentant d'acquiescer un peu fébrile. Génial, maintenant ses parents aussi allaient le prendre pour un idéaliste stupide, allait faire pleins de réflexions là dessus, et le reste de la famille allait suivre. Maël était fatigué d’avance pour le repas du midi qui allait arriver, et sur les débats politiques que ça allait mettre sur la table. Sa tante allait surement parler des “vilains casseurs”, et rapidement, toute sa famille serait au courant qu’il avait une opinion aux antipodes des leurs. Et là, il avait clairement pas envie de se battre en longs débats, notamment avec sa famille. Surtout avec sa famille. 
“Maël, Nathalie est arrivée.”
Le répit était fini.
Marina fulminait. Le repas du 25 décembre venait de se clore et elle avait fusillé des yeux Ange. Ange, était le nouveau copain de sa sœur, qui avait tenue à ce qu’il soit invité au repas du lendemain du réveillon. La mère de Marina avait accepté, et tout le monde en était là. Alors qu’à leur habitude, après avoir passé un réveillon chez leur père et leur famille paternelle, les deux sœurs profitaient de leur mère pour les fête, le repas fut froid et gênant. Comment Denise avait pu dégoter un mec pareil ? Il était… de droite. Il était clairement de droite. Elle s’en était doutée quand elle l’avait croisé la première fois, quelques semaines avant (c’est vrai, en même temps, qui attache des chemises sur ses épaules ?), mais là. C’était le pompon. Des remarques sur les chômeurs, sur les SDFs et sur les pauvres patrons qu’on voulait trop cadrer. Elle avait sentit ses doigts se resserrer sur ses couverts, s’empêchant d’enfoncer sa fourchette dans le globe oculaire de son “beau frère”. Ce qu’il était con. Elle avait tenu tout le repas, essayant d’apprécier tant bien que mal le poulet rôtie aux haricots verts de sa mère, mais à fin, ce fut trop. Avant même le dessert, elle fit un sourire forcé et dit poliment : 
“Je penses que je vais sortir de table.”
Dans le couloir, elle avait entendu sa mère dit à son gendre que leurs idées politiques étaient très différentes, et que ça pouvait être compliqué de parler de ça à table. Elle était restée d’un calme Olympien que Marina lui enviait. Si elle avait ouvert sa bouche là dessus, elle aurait tout bonnement incendié le petit ami de sa sœur. Alors qu’allongée sur son lit, elle faisait craquer ses phalanges, elle entendit toquer. 
“Oui ? C’est qui ?
- C’est Denise.”
Merde. Elle allait lui faire la morale pour ne pas être restée tout le repas. Fallait pas sortir avec un facho, ce n’était pas sa faute, à elle, si il était aussi difficile de se retenir de lui en coller une. 
“Marina… Je sais que c’est compliqué pour toi de parler avec Ange, mais… s’il te plaît, est ce que tu pourrais redescendre, au moins un peu ?
- Effectivement, c’est compliqué de ne pas répondre à toutes les conneries qu’il débite”, siffla Marina entre ses dents.
Denise lui lança un regard sévère. Génial. Elle n’avait pas le droit de critiquer son sacro saint petit copain, maintenant ?
“Écoutes, c’est Noël. J’aime vraiment Ange, et il a promit qu’il ne parlerais plus politique avec vous maintenant.
- C’est un peu tard, maintenant. Tu aurais pas pu briefer ton droitard pour qu’il évite d’aborder ce genre de sujets dans une maison de gauchos comme ici ? Il voulait, quoi, nous tester ?”
Le regard de Denise n’était plus sévère, il était brûlant. 
“Mais merde, Marina, tu pourrais faire un effort ! J’amènes juste mon copain à la maison, et il faut forcément que tu en fasse une affaire politique !
- C’est lui qui a commencé à en parler ! Je peux pas faire semblant de rien avoir entendu ! Et vraiment, je suis désolé, oui, ça va être compliqué pour moi.
- Ce que tu peux être extrême.”
Les mots étaient tombés, et avaient pris à la gorge Marina. Alors voilà comment était devenue sa sœur. Elle s’était bien rendue compte que Denise changeait, qu’elle s’éloignait de ses idéaux politiques… mais à ce point ? Est ce qu’elle avait juste préféré ignorer ces changements, qu’elle avait fermé les yeux, et que maintenant un véritable fossé les séparait. Dur à dire. Elle devait en avoir le cœur net.
“Est ce que… tu penses comme lui ?
- Pas exactement. Enfin, c’est compliqué, j’ai pas envie d’en parler.”
Ça voulait dire oui dans la bouche de Denise. Marina eut envie de pleurer. Sa soeurette, sa Denise, était devenue comme ça. Merde. Comment elle avait pu se mentir tout ce temps ? Parce que ça semblait improbable ? Est ce que ça l’était tant que ça ? Les questions se bousculaient dans la petite tête de la jeune femme. Elle n’avait jamais été tant fusionnelle avec Denise, mais… c’était quand même sa sœur, et sa seule sœur. Quand leurs parents s’étaient séparés, elles s’étaient raccrochées l’une à l’autre. Denise lui avait donné des conseils sur l’école, la lecture, les règles, et des manières à la con de draguer les garçons. Marina avait le sentiment d’être profondément trahie, et surtout, que plus rien ne serait comme avant entre elles. C’est comme si sa sœur de toujours était devenue une étrangère, de part ce changement. Elle eut envie de s’écrouler et de pleurer face à cette perte insidieuse, mais Marina ravala seulement ses larmes et suivit Denise dans le salon. Cet effort serait le dernier, plus jamais elle ne s’amuserait à parler sans reproches à Ange. 
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fabslaveblog-blog · 6 years ago
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Première Rencontre avec MASTERDIDIER (peut être mon futur MAITRE) 
smoverlimit.tumblr.com
Depuis longtemps, j’ai toujours eu un goût prononcé pour les relations D/s et l’univers du bdsm …..En 20ans, j’ai su prendre le temps de le découvrir et désiré graduellement plus. 
Pour des raisons diverses, les relations se sont toujours stoppées la ou le jeu pouvait devenir intéressant (mariage, déménagement, AVC)…Ou bien s’éteindre comme des feux de paille faute d’être en phase ou pouvoir s’apporter plus 
Cependant, dans mes recherches, il m’est arrivé fréquemment de me trouver nez à nez avec le profil d’un certain MASTERDIDIER qui avait l’air de savoir de quoi il avait envie en terme de domination….
Epluchant toutes ses références, sa personnalité n’a rien à envier à l’univers des films SM« discipline4boys » 
Lassais des plans « petit joueurs » et petite rigolade, je désirai depuis un temps quelque chose de plus fort, transcendant, aussi je pris contact avec lui…
D’abord, la conversation s’est bien engager…Puis, je reçu le message suivant: 
« Je crois que je n’aurai aucun feeling avec toi » 
Bizarrement, un an après, je réitérai ma candidature… 
Cette fois, son intérêt a celle-ci à abouti…Apres quelques « appel moi now batard ! »sur le mois afin de s’échanger quelques renseignements utiles…Il me convoqua pour une séance test. 
Je ne me suis pas laissé démonté si proche du but, même si cela m’a valu un nœud au ventre de me rendre chez lui, à cause de l’appréhension d’expériences nouvelles, voulu et consentie…
Je ne lui ai pas caché mes attentes, limites, ainsi que ma novicité…Mais, mon désir était de vraiment mettre la barre plus haute avec un MAITRE de sa trempe…Il n’y avait pour moi aucune ambiguïté sur le BOSS que j’allai rencontrer….Je savais parfaitement que ce n’était pas du genre à rigoler avec les petites natures, fantasmeurs ou autres pseudo bâtard qui ne sont rien d’autres au final que des trous à bite faisant une énorme confusion entre lopage en partouze et le larbin sous merde propriété et jouet d’un MAITRE impartial qui à tout droit sur lui et son corp pour son seul plaisir….
 Ainsi, je me suis pointais sur le lieu de rendez vous, « une centrale électrique »ou je devais le rejoindre pour le suivre jusqu'à sa demeure….Je me suis déjà tiré à la dernière minute via un bon coup d’accélérateur , mais, étrangement je l’ai suivi jusqu'à destination 
Sur place, de suite j’eus droit à :
« Reste ou tu es batard ! »  
Je ne bougeai plus, et il ouvrit lui-même la portière contrôler si ma tenue était en règle conformément aux injonctions tantôt données…. 
La, je fis d’entrée ma première grosse bourde, elle fera très certainement rire ses autres slaves que je nomme ici MONSIEUR, ou MESSIEURS (me sentant inférieur à eux qui sont mieux dressés et plus endurant que moi) car, involontairement, j’ai osé croisé son regard droit dans les yeux…..
Je peux Vous dire que j’ai été de suite mis au parfum que si cela se reproduisait, il me démontera la gueule directe…Ainsi , ça m’a coupé toutes envies de recommencer au point même d’en arrivé à oublier immédiatement ses traits à peine appercu…Ca commençait bien pour mon matricule 
Sans ménagement il me mit un énorme collier cuir ainsi qu’une laisse de fer, et me sortitde la voiture…Je prenais grand soin que de regarder ses rangers et son treillis gris et blanc….
Il me plaqua contre le mur de la maison, releva ma tête et me demanda d’ouvrir ma gueule dans laquelle il cracha un mollard
Je ressens encore la pression du jet, sa douceur et son goût…J’en arrive encore à m’en délecter par le souvenir…Puis :  
« A poil bâtard ! » 
-Cette fois impossible de reculer, de renoncer, et très excité de devenir sa sous- merde, être exploité de fond en comble le temps d’un test …..Quel honneur !, et quelle chance !, ça j’en étais très conscients …
Mon corps et tout mon être frétillait  de savoir comment j’allai être avilie, larbiné, utilisé , traité….Si bien que j’arrivai plus a savoir si c’était de froid d’être nu comme un ver dehors ou de façon nerveuse tant je perdais tout contrôle , identité…. 
Il me fit entrer et mettre face au mur de son garage, jambe écartées…Ses mains ont commencées à me palper aux travers de ses mitaines de cuir….J’ai senti son doux contact dans mon dos, tandis qu’il me menottait les mains…
Je ne lui opposait aucune résistance…il me parlait doucement :
« As-tu peur ? »
« Dis moi ce que tu as dans la tête ? Sois honnête, je veux tout savoir » 
Que lui répondre ?….Si j’avais les mots nécessaire et explicite pour le lui dire, exprimer, que ferai-je chez lui à désirer ce type de relation, cette art de vivre ? 
« Je suis ravie de m’offrir à Vous et me sens à.. » 
Pas le temps de finir mes élucubrations que
« Ca je sais bâtard ! Sors moi autre chose, tu me l’as déjà dit ! » 
Puis, plus doux
« J’aime que mes slaves soient intelligent, savent se montrer original »
 L’originalité ce n’est pas ce qui manque dans ma vie de tous les jours, mais devant autant de fermeté et de spontanéité, saurai-je tenir partie de cette contrainte ? Bien, qu’effectivement, je ressens déjà le désir de lui apporter beaucoup de satisfaction, conscients des conséquences à subir…..  
C’est d’ailleurs ce qui allait très vite se vérifier….
Je sentis son poids se décoller de mon dos et ses mains détacher les mousquetons qui retenaient mes poignets
« putain Bâtard carte ! ca doit toujours être écarté ! Toujours ! » 
En effet, j’avais resserré mes jambes…Malgré moi… 
« On va entrer chez moi ! Ouvre la porte ! » 
J’ouvris la porte, et m’engagea dans sa demeure, a peine eus –je fais un pas à l’intérieur qu’il me ramena derrière lui
« Jamais passer devant le Maître ! Jamais ! , tu ouvres et tu me suis »
 A l’intérieur, la température était plus douce, et je me sentis déjà plus à l’aise pour entamer cette première séance
Il m’amena jusqu’au salon, ou il me fit mettre a genoux jambes écartées…..Face à moi, une grande baie vitrée qui offrait à ma vue , un décor familier….Le jardin, la terrasse notamment que j’avais aperçu sur les photos mis en ligne sur les sites Internet ou Maître avait un compte
Le sachant select, j’étais comme honoré d’avoir retenu son attention et passer de l’autre côté du miroir…Du virtuel, vivre le réel…..Délicieuse sensation…. 
Puis, vint un premier coup sur le dos, suivi d’un second
« Tu es endurant à la douleur ? Aimes-tu souffrir ? » 
En toute honnêteté, j’ai répondu que non, bien qu’ayant déjà recu la fessée modérée via divers accessoires 
« Tu aimes le poppers ? Tu as des problèmes de santé ? Ici, je ne veux pas d’accident, alors soit honnête » 
Je sentais bien qu’il avait un fort charisme , mais , cette façon de soucier avec un côté rassurant, me mettait de plus en plus en confiance….Comme si je devinais le velours abritant une poigne de fer….Mon diagnostic s’avéré juste…. 
Après m’avoir gazé doucement, la matraque s’abattit plusieurs fois sur mon dos….Au début , il me demanda si ça allait, et si j’en voulais encore…..Ce à quoi , et bien sur parce que c’était dans l’ordre du supportable , je répondis :
« OUI, Maître »
« Alors pourquoi ne le demandes-tu pas, batard ? »
« Encore MAITRE » 
Un nouveau coup , une attente
« Encore MAITRE » 
Un coup plus fort que les autres 
« Encore MAITRE » 
Cette fois :
« COMBIEN ! »
« 5Maitre »
Ca peut sembler petit joueur, mais pourquoi s’aventurer a en demander plus que de raison lorsque l’on a peu d’expérience et d’endurance a cette pratique ? La voloté et la motivation ne sont pas raisons suffisantes en cette quête  
« Compte ! » 
Paf, un coup tomba
« UN »
Supportable 
Paf !
« deux »
Un coup plus fort 
PAF
« trois »
Cette fois , c’etait du sérieux 
PAF
« quatre »
J’appréhendai tant le 5eme que Maître a senti ma crispation 
« Je fais ce que je veux de ton corps, il est ma propriété, alors donne le –moi Bâtard ! » 
ET paf ! Je reçu le dernier coup de cette série de matraque 
La sensation ressentie reste inexplicable, je n’ai pas été malmené , je peux avouer que j’ai même éprouvé un certain plaisir a sentir Vôtre ascendance Maître sur l’offrande de ma personne . 
Après un calme, dont je ne me souviens plus de la durée, car le temps prend toute autre mesure dans ces situation….Vous m’avez fait approchez de Vous, a genoux , têtes posée sur Vôtre entrejambe, je me sentais à la place qui convient, Vous respirez encore et encore sans modération pour Vous apprivoiser……
En cette instant, je suis pleinement entré dans le jeu , viser Vôtre satisfaction, Vôtre plaisir…..J’espère avoir été suffisament éloquent lorsque de ma langue, j’ai été pris par lenvie de vénérer Vos mitaines de cuir, Vos doigts …Cette infâme matraque a laquelle j’ai goûté tantôt et qui devenait un  véritable objet de dressage duquel j’aurai plutôt tout à craindre à l’avenir en cas de désobéissance ou mauvaise conduite…. 
Vous m’avez laissé suffisamment de temps pour me délecter de ce moment, et je Vous en suis grés MAITRE, même si ,le plus juste serait d’écrire : 
-         Vous avez su pleinement savourer le plaisir d’avoir un bâtard motivé à Vos pieds capable de Vous apporter une quelconque satisfaction et un commencement de plaisir…..-          
M’égarerai-je de penser que Vous avez réellement apprécié MAITRE ? Vous dont que je devine fin gourmet aux désirs d’être véritablement surpris….. 
Pour des raisons MAITRE que Vous m’avez signifiées, je vais y aller plus directement 
J’ai aimé me donner a Vous pour recevoir le ceinturon, son claquement dans la cuisine m’a excité, et je dois avouer que par rapport aux autres accessoires utilisé, j’aurai pu VOUS endemander encore plus… 
J’ai adoré me retrouvé nu dehors, faire le tour du propriétaire avant que Vous ne me mettiez aux labeurs, ce contact de la terre et de la pluie sur moi….Etre abandonné aux travaux, avant sans que je m’y attende vous reveniez me motiver cette fois au fouet
Egalement, j’étais à ma place lorsque illico presto, vous me faisiez venir aux pieds soit pour ramasser une pierre, soit pour uriner ou bien être châtier
Oui, mon érection en était la preuve la preuve….car J’ai compris que Vous saviez bien faire usage d’un batard MAITRE
Même si peu habitué aux fouets, pour l’apprécier pleinement, il était mérité de Vous voir arriver d’un pas décidé pour le faire claquer sur ma viande pour avoir oublier de ramasser une herbe….La brulure de celui-ci et Vôtre suprématie me motive davantage
Votre autorité et sévérité était largement justifiée Maître
 Tout en léchant vos pieds et entendant votre conversation avec Monsieur Votre slave numéro 1, j’ai ressenti que l’excitation  montait lorsque Vous m’évoquiez à lui …..Et je trouve même tout a fait normal queVos slaves puissent avoir le mot à dire  ou avis à donner , me concernant….
Les travaux forcés et la salle des tortures méritent que j'en touche mots...  En effet, l'ambiance de votre remise est en adéquation quant à l'usage que Vous en faite, l'odeur, la luminosité, l'atmosphère qui y règne ….J'ai d'abord cru en y entrant que nous irions chercher quelques outils indispensable pour la suite des évènements…… Mais, je compris vite lorsque vous m'avez attaché et expliquer sa vocation que Vous alliez Vous amusez un peu avec Vôtre nouveau joujou…bien que je l’aurai plus cru avec Vôtre nouvelle pièce juste à côté…En effet, j’ai pensé à un moment après y être entré que la porte allait se refermer derrière moi, et qu’elle ferait office de cellule d’isolement ou qu’a Votre aise Vous pourriez Vous divertir à Votre guise….
La chaîne était une nouveauté pour moi, son contact lourd et appuyé était une épreuve….Mais Vous avez bien dosé les temps dans lesquels je pouvait me serrer contre Vous, et les sévices Maître Quant au travail forcé, il s’est imposé à moi beaucoup plus divertissant que si je l’avais fait seulement pour bosser…Bien sur, , la qualité servi est la même, mais le fait d’être sous Votre surveillance, exigences, et ordres changent la donne C’est une chance qu’il n’ait pas fait beau temps, Je déplore ne pas avoir vu dans Vos yeux le plaisir dont Vous pouviez en tant que Maître,Vous délecter et jubilé de me voir nu , jardinant…Au bon gré de Votre volonté…Je n’aurai pour rien au monde voulu que s’interrompre ce sentiment, d’humiliation , d’appartenance et d’exploitation au contraire….Je l’aurai même exécuter fer aux pieds et enchaîner si cela aurait pu Vous faire plaisir…..Les temps ou Vous m’aviez abandonné seul au labeur, je Vous imaginez assis sur la chaise , contrôlant la qualité de mon travail Ce fut un moment clefs de ce test ou j’ai ressenti le désir de soumission encore plus fortement et agréablement que je ne me l’imaginais Maître…Et je souhaite vivement le ressentir à nouveau , même si je ne saurai peut être jamais quelle jouissance cela Vous donne….Apres tout, l’important a mes yeux de sous race, c’est de faire en sorte qu’elle existe et soit forte car rien n’est trop beau pour mérité l’intérêt du Maitre
fabslave
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