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Point de basculement climatique Cartoon de Peter Kuper Les modèles climatiques ne peuvent pas expliquer l’énorme anomalie thermique de 2023 – nous pourrions être en territoire inconnu Article de Gavin Schmidt paru dans Nature le 19 Mars 2024
Le réchauffement planétaire dépassera les 2,5 °C, préviennent les experts du climat
Oubliez l’optimisme des leaders politiques qui répètent que le réchauffement planétaire peut encore être limité à un seuil viable. L’inaction climatique et l’influence du lobby des énergies fossiles nous ont placés irrémédiablement sur la trajectoire d’un dérèglement catastrophique pour l’avenir de l’humanité. Le Devoir 8 mai 2024
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Dans les champs de Flandre - Inondations Epinglé par Johan de Moor
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Notre fédéralisme a des ratés ! " Le vrai problème c’est que les différents niveaux de pouvoirs compétents en matière de climat se parlent à peine. Même pour se défendre face au tribunal, ils ne parviennent pas à se mettre d’accord. La Belgique est un bric-à-brac invraisemblable. Nos institutions sont bordéliques, chaotiques " «Une des raisons principales expliquant l’insuffisance récurrente de notre politique climatique est la coopération caduque entre les régions et l’État. Est-ce que le climat est une question plus difficile pour un pays fédéral que pour un pays unitaire ? Pas nécessairement. Prenons l’exemple de l’Allemagne. Mais là-bas, la hiérarchie entre les niveaux est beaucoup plus claire. Il est écrit dans la constitution allemande que Bundesrecht bricht Landesrecht. Le niveau fédéral prévaut sur les Länder. La constitution belge, au contraire, n’oblige qu’à un fédéralisme de coopération. Mais quoique gravé dans le marbre, malgré les multiples remontrances européennes, malgré la demande toujours plus forte des citoyens appelant à une coordination sérieuse des efforts : il n’en est rien. La raison en est toute simple : notre constitution actuelle date d’une époque où la conscience d’une grande crise planétaire existait à peine. Elle n’a pas été écrite sur mesure d’une crise climatique.
David Van Reybrouck
L'Affaire climat revient en deuxième session : les enjeux du procès
Devant la cour d'appel de Bruxelles, des plaignants demandent à la justice d'imposer des objectifs climatiques plus ambitieux aux gouvernements des Régions et du fédéral. La plainte de l'ASBL Affaire climat fait écho aux revendications des manifestants pour le climat de 2019.
Affaire climat, acte deux. Le gouvernement fédéral et ceux des trois Régions se retrouvent ce jeudi 14 septembre 2023 devant la cour d'appel de Bruxelles, pour la réédition du procès qui, le 17 juin 2021, a débouché sur la condamnation des autorités belges pour défaut d'action climatique. Après un cheminement de plusieurs années, le procès en première instance s'était conclu sur un jugement sévère. A l'époque, cependant, le tribunal n'avait pas intégralement suivi les plaignants de l'ASBL Affaire climat (Klimaatzaak) soutenus par près de 60.000 co-demandeurs. Les plaignants demandaient en effet que la Justice impose à la Belgique des objectifs plus sévères de réduction d'émissions de gaz à effet de serre. A leur grande déception, les juges ont estimé qu'en prononçant une telle injonction, ils risquaient de porter atteinte au principe de la séparation des pouvoirs entre le politique et le judiciaire. Cette issue mi-figue mi-raisin a motivé l'appel introduit à Bruxelles.
Le premier procès belge sur le climat va donc être repris à la base. Dans leur jugement de 2021, les juges de Première instance avaient conclu que les autorités belges, tous niveaux de pouvoir confondus, « ne se comportaient pas comme des autorités normalement prudentes et diligentes ». Estimant en outre que l'insuffisance de leurs politiques climatiques portait « atteinte aux droits fondamentaux » des plaignants, notamment, les articles 2 [le droit de toute personne à la vie, NDLR] et 8 [droit au respect de sa vie privée et familiale et de son domicile] de la Convention européenne des droits de l'homme.»
Le procès en appel comportera dix audiences jusqu'au 6 octobre 2023. Dans leur argumentation, les avocats de l'Affaire climat demanderont à la Cour d'ordonner la réduction des émissions de gaz à effet de serre de 61 % à l'horizon 2030 (par rapport à 1990), annonce l'ASBL.
Ils ne manqueront pas d'arguments. Depuis le dernier procès, les choses n'ont pas grandement évolué en Belgique sur le plan politique. Si Bruxelles et la Wallonie se sont dotées de plans climat un brin plus ambitieux, la Flandre est restée en retrait. Et les premières tentatives pour boucler un plan national énergie-climat amélioré ont échoué suites aux divergences entre le gouvernement flamand et les autres niveaux de pouvoir.
En revanche, les inondations catastrophiques qui ont frappé l'est de la Belgique, à l'été 2021 apportent plus que de l'eau au moulin de la partie demanderesse. Celle-ci s'appuiera également sur le dernier rapport du GIEC, publié après la fin du procès en première instance et qui, selon l'Affaire climat, « montre que les risques climatiques ont été sous-estimés dans les rapports précédents et qu'ils deviendront de plus en plus difficiles à gérer ». Et il lui suffira de piocher dans l'été dernier pour trouver des exemples d'événements climatiques extrêmes.
« La transition, c'est plus que la simple atténuation des dommages, écrit Serge De Gheldere, le président de l'Affaire climat, dans une tribune au Standaard. Nous visons la prospérité et le bien-être : des villes vivantes et vertes, de l'air pur, des logements confortables, et un encouragement à, l'innovation et à l'emploi local. Moins de stress lié à la circulation. Et en réduisant notre dépendance aux combustibles fossiles importés, nous ne soutenons plus des régimes tels que celui de Poutine. L'action climatique est une opportunité en or pour le monde politique s'il veut améliorer notre société et laisser une trace positive dans l'histoire. Cela doit être un point central pour les prochaines élections en 2024 ».
A ce stade, le fédéral, la Wallonie et la Région bruxelloise approuvent l'objectif d'une réduction de 55 % des émissions de la Belgique en 2030 par rapport à 1990 (-47 % pour les émissions non-industrielles). La Flandre refuse cet objectif (Zuhal Demir, N-VA) . Pour l'Affaire climat, la demande de réduction de -61 % est considérée « par des climatologues indépendants comme le plancher absolu à atteindre nécessairement pour un pays comme la Belgique ».
MICHEL DE MUELENAERE Dans Le Soir
"La politique climatique belge est éclatée" Me Carole Billiet, avocate de l'ASBL Affaire Climat, a évoqué, vendredi devant la cour d'appel de Bruxelles, la nécessité de mettre en place en Belgique une politique climatique cohérente et efficace. "Or, il faut travailler ensemble pour mener une politique climatique performante. Le premier juge avait souligné cette nécessité dans son jugement de juin 2021 en parlant de 'saine et loyale coopération'", a rappelé l'avocate. Celle-ci a dit "plaider pour une coopération intra-belge afin de valoriser le potentiel d'aller plus loin", ajoutant que "le prix de ce cloisonnement est une perte de potentiel d'action dont nous avons urgemment besoin". RTBF
La Belgique jugée en appel pour sa politique climatique négligente
Si rien ne change, si les autorités ne prennent pas la problématique du réchauffement climatique à bras-le-corps, on se dirige vers une série de points de basculement ne permettant plus de retour en arrière avec, notamment, des conséquences sur l'intégrité et la viabilité du territoire belge. Où il sera question d'inondations de plus en plus fréquentes ou de répercussions sur la santé des citoyens avec des impacts financiers et budgétaires. Dans L'Echo
Klimaatzaak L'affaire climat Comme en 2019, le problème climatique pèsera sur le comportement électoral des Belges en juin 2024 !
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Une Marche pour le climat. Et après ?
Le réchauffement climatique arrive en tête des préoccupations des experts partout dans le monde, ressort-il du 9ème “Future Risks Report” de l’assureur Axa publié lundi. L’an dernier, le risque cyber était en tête chez les experts américains, tandis que la pandémie occupait la tête en Asie. Pour classifier les risques, Axa a interrogé 4500 experts des risques issus de 58 pays ainsi que 20 000 personnes de 15 pays. C’est la première fois que le réchauffement climatique fait l’unanimité chez les experts. Les risques géopolitiques arrivent en deuxième position, suivis par le cyber. Conséquence indirecte des tensions géopolitiques: les risques liés à l’énergie occupent désormais la quatrième place, alors qu’ils n’étaient que 17ème l’an dernier. (AFP)
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COP 65 et demi
Voilà que se profile la COP 65 et demi. Pour la première fois, elle se réunit dans l’espace. Il faut dire qu’il n’y a plus beaucoup de villes sur terre capables d’accueillir la grand-messe du climat. Après soixante-cinq COP organisées aux quatre coins de la planète, au cours desquels les mêmes participants ont répété les mêmes discours, est née l’idée de regarder les questions climatiques d’en haut. En contemplant l’ex-planète bleue (devenue orange), on espère que les dirigeants politiques éprouveront un électro-choc salutaire. Qui permettra enfin de sauver ce qui peut encore l’être. Pas grand-chose pour être honnête. L’étendue des dégâts, je ne vous dis pas. Vous pleureriez toutes les larmes de votre corps si la sècheresse n’avait pas supprimé les glandes lacrymales chez les nouveau-nés depuis trois générations. En contrepartie, on observe que certains naissent avec des palmes. Les lois de Darwin sont impitoyables…
L’humanité sur le point de retourner à la mer d’où elle est sortie jadis ? Après tout, les cétacés avaient déjà abandonné la terre ferme pour retourner aux océans et ils nous disent en être assez satisfaits. Faut parfois voir le verre à moitié plein…
Pour la première fois, c’est la Belgique qui joue l’hôte de la COP, ou plutôt ce qu’il reste de notre pays, qui tient tout entier dans l’immense station spatiale Brol, lancée juste avant que le signal de Botrange, qui était devenu notre capitale au fur et à mesure de la montée des eaux, soit à son tour couvert par la mer.
La mise sur pied de la conférence a été un sacré casse-tête. Lors de son lancement, Brol a été soigneusement divisé entre les trois ex-régions (la communauté allemande a eu droit à un placard mais avec hublot). Pas moyen de s’accorder sur le lieu des réunions plénières. Les Flamands exigeaient qu’elles se tiennent dans leur somptueux auditoire sous peine de larguer les modules wallons et bruxellois – qui sont alimentés, il est vrai, par les Flamands. Les négociations risquant de prendre plus de temps que le réchauffement climatique, la vieille Greta Thunberg, toujours vaillante malgré la disparition de la Scandinavie, a fini par taper du poing sur la table. Quand elle a lancé, ses petites lèvres serrées, « How dare you ? » en dardant son regard de feu, tout le monde a obtempéré.
Après, ça a été le chaos. Chaque continent, chaque pays, exigeant d’être sauvé en priorité.
« L’Afrique avant la France, vous rigolez ? » s’est exclamé le président Justin-Léon Zemmour jr, aussitôt expulsé à l’unanimité du vaisseau spatial.
On a fini par signer un compromis. En redescendant sur terre, on lancerait sur les eaux un navire, sorte d’Arche de Noé, où prendraient place deux citoyens et citoyennes par pays.
La Flandre exige deux places pour elle seule, dit le président flamand avant d’être à son tour jeté dans l’espace.
Alain Berenboom, écrivain
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La fracture climatique Les partis wallons quasi tous favorables à la loi climat , blocage côté flamand. A lire l'éditorial de Frédéric Rohart dans L'Echo
Urgence climatique ? Wacht een beetje [...] Majoritairement, la Flandre politique bloque toute avancée dans la lutte contre le réchauffement climatique, alors que le mouvement est parti du nord du pays. Les formations réticentes sont aussi assez proches des milieux patronaux, frileux face à des réglementations trop strictes ou rapides. Mais surtout, cette loi climat " impose " l’indispensable concertation entre les Régions où l’une d’entre elle ne peut tout bloquer… ce que fait la Flandre depuis plusieurs années. En Flandre, l’urgence du défi climatique passe visiblement après des intérêts particuliers et communautaires. L’autonomie de la Flandre n’a pour eux pas de prix. Philippe Walkowiak 5 février 2019
“Opvallend hoe de framing van de klimaatdiscussie verschilt in Vlaanderen en Wallonië. De architectuur van de argumentatie toont een verschillende ideologische sociologie. Is dus wel dergelijk een politieke discussie. “ Eric Corijn, prof VUB Le problème climatique pèsera sur le comportement électoral des Belges Citoyens - citoyennes, souvenez-vous en lors les élections de mai 2019 !
#LoiClimat#youthforclimate#riseforclimate#ecorealisme#elections2019#flandre#montéesdeseaux#urgenceclimatique
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Changement climatique. Le sort ultime de la ville.
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