#montée de la tourette
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philoursmars · 2 years ago
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Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 53800 photos (environ !)
2011. Marseille à Noël.
- les 3 premières : le Vieux-Port
- le Fort Saint-Nicolas
- Saint-Laurent: “Le Montreur d’Oursons” face à Notre-Dame de la Garde
- vers la Montée de la Touratte
- Boulevard Charles-Livon
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noblockbusters · 5 years ago
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TOP FILMS 2019: 20 films
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1/ PARASITE.  Bong Joon-ho
De film en film, le coréen s’affirme comme le plus grand raconteur d’histoire de son époque. A la fois auteurisant et grand public, politique et burlesque, gore et esthétique, Parasite est un film comme les américains ne savent (ne peuvent, ne veulent) plus en faire. Succès critique et public mérité et encourageant ! 
2/ MARRIAGE STORY  Noah Baumbach
Réalisateur culte depuis Les Berkman se Séparent et Frances Ha, Baumbach doit cependant lui aussi se réfugier sur Netflix pour sortir ses films. Après Roma en 2018, l’opérateur prouve qu’on peut lui faire confiance pour créer encore du cinéma noble et délicat. Le duo Driver/Johansson est fascinant, le récit de leur séparation filmé avec justesse et force. Du grand art. 
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3/ MIDSOMMAR.   Ari Aster
En 2 films le réalisateur américain s’impose dans la cour des grands avec 2 expériences dont on ne ressort pas indemne. Midsommar, sur un sujet casse gueule (et qui rappelle The Wicker Man) reste longtemps dans les esprits et prouve que l’on peut encore surprendre et fasciner à Hollywood en 2019. La version de 3h sortie en Blu Ray en remet une couche. On attend la suite avec impatience. 
4/ Il ETAIT UNE FOIS A HOLLYWOOD.    Quentin Tarantino
Hollywood justement, dont l’un de ses fervents admirateurs se plait à réécrire l’histoire avec son talent de conteur hors-pair. Depuis Les 8 Salopards, son cinéma est moins pop, plus adulte et l’on ne peut pas penser une seconde qu’il arrêtera après le prochain. S’il est depuis 25 ans l’un des réalisateurs les plus fascinants, il dirige ici de main de maitre les 2 derniers géants d’Hollywood: Di Caprio et Pitt. La concurrence est très loin derrière. 
5/ BORDER    Ali Abbasi
Un des plus gros chocs visuels et sensoriels de cette année. Border mélange les genres, contes de fées, thriller, fantastique et film naturaliste avec une force et une grâce qui vous poursuivent longtemps. Un hymne à la différence et une réflexion sur notre rapport à la nature. Inspiré par une nouvelle de John Lindqvist, qui avait écrit Morse...
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6/ THE LIGHTHOUSE    Robert Eggers
Après la claque The Witch, Eggers continue et creuse le sillon d’un cinéma horrifique, tordu et sans concession. Noir et blanc, format carré et bande son obsédante pour une descente (ou une montée) vers la folie, magnifiquement mise en scène. Pattinson confirme son statut de nouveau grand, Dafoe est toujours parfait dans un conte gothique qui cherche la lumière et tangue comme une chanson des Pogues. 
7/ SORRY TO BOTHER YOU.   Boots Riley
Une petite claque par le leader du groupe rap The Coup. Le film dynamite la mondialisation et le racisme ordinaire dans une charge punk et pop contre l’exploitation humaine et la blanchisation de la société américaine. On pense à Gondry, Spike Jonze, Idiocracy ou à l’Arme Fatale...Jouissif et culte. 
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8/ AD ASTRA    James Gray
On aime tellement James Gray qu'on lui pardonne ici les facilités du scénario, parce qu’on se laisse quand même emporter dans son trip SF, élégant et fragile.    Au-delà de certains passages un peu légers (donc curieux de la part de son réal), Gray film Brad Pitt comme jamais, tout en retenue, donnant là une 2e interprétation majeure sur l’année...Le cinéma moderne américain a besoin de James Gray et de son classicisme. 
9/ LE TRAITRE      Marco Bellocchio
On attendait plus grand chose du vieux Bellocchio, et plus grand chose aussi du film de mafia italienne depuis que Gomorra (le film et la série) avait redistribué les cartes ( Suburra, Piranhas, A Ciambra, Les Ames Noires...). Mais le film remet au coeur de l’actualité l’histoire du juge Falcone et d’un traitre qui su renverser la Pieuvre en bravant l’Omerta. Grande performance de Pierfranceso Favino. 
10/ JOKER     Todd Philips
Un film qui divise autant les critiques et forcément intéressant. Au-delà des débats sur ses propos soi-disants nauséabonds , le film dérange surtout parce qu’il met en avant un pauvre type largué, prêt à tout pour se faire remarquer, dans un pays où l’accès aux armes est un jeu d’enfants, et dans une société où les laissés pour compte se réveillent. La figure du clown est brillante, le jeu de Phoenix captivant et il ressort de cette expérience quelque chose de désespéré et fortement actuel. Que Batman et DC soit dans les parages importe finalement assez peu, que le public ait adhéré à un film aussi noir et éloigné des codes du film Marvel plus que rassurant. Pour plein de raisons, Joker est un film important. 
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11/ SPIDER-MAN NEW GENERATION.  P.Ramsey & B.Persichetti
Si les reboot en tous genres et les films DC/Marvel ne m’intéressent plus vraiment depuis Logan, la claque reçue ici est proportionnelle à mon désintérêt pour le genre ! Ou comment dynamiter, dynamiser et redonner de l’intérêt à une franchise réchauffée ? En injectant des persos peu mis en avant (latinos et blacks), plusieurs super héros, une musique pop et rap, et mille idées d’animations à la minute, mélangeant les styles avec bonheur et intelligence. Du divertissement 4 étoiles, qui ne prend pas les spectateurs pour des cons. 
12/ EL REINO.  Rodrigo Sorogoyen
Après le magistral Que Dios Nos Perdone, le réal espagnol rebondit avec cette affaire de corruption au sein de la classe politique espagnole, bien malade. Ou comment suivre un ripou tout le long du film sans le rendre attachant. Une prouesse filmée caméra à l’épaule, de loin, comme pour mieux faire monter ce sentiment d’oppression et de paranoïa permanente. 
13/ COMPANEROS.  Alvaro Rechner 
Un autre film (Uruguay/ Espagne), porté par Antonio de la Torre. Le film revient sur les années 70 et la torture des opposants politiques en Uruguay. On y suit le parcours de 3 d’entre eux, enfermés pendant 12 ans...Fort et captivant, à rapprocher de Buenos Aires 77...
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14/ TRAINE SUR LE BITUME.       S.Craig Zahler
Réalisateur culte depuis Bone Tomahawk, Zahler poursuit son parcours discret, tous ses films sortant en DVD chez nous. Auteur, scénariste, compositeur, il signe un cinéma personnel et percutant, posant le décor pendant la première heure avant de faire basculer ses histoires dans une déflagration de violence crue et inédite. Ici une histoire de braquage foireux et d’âmes brisées, portée par un Mel Gibson ténébreux à souhait et un Vince Vaughn déjà à l’oeuvre dans Section 99. Un film froid, implacable et hors-normes qui a tout pour devenir culte. 
15/ UNE VIE CACHEE.   Terrence Malick 
Parce qu’on espérait un éclair après les exercices de styles et les purges précédentes, parce qu’il y a souvent plus de cinéma dans un plan de Malick que dans tous les derniers Marvel, parce que cet homme reste un des plus grands filmeurs de la nature, parce que sur 3h il y en a au moins 2 de magnifiques...Oui, c’est répétitif, oui c’est trop long, mais Malick est revenu déjà à quelque chose qu’il semblait avoir perdu depuis la Ligne Rouge : faire un film, pas juste une succession de plans, fussent-ils réussis...
16/ THE OLD MAN & THE GUN.   David Lowery
Après Ghost Story, le réal américain change de style et embarque Robert Redford dans un film touchant et gracile qui confirme la facilité du réalisateur pour raconter des histoires sensibles et à fleur de peau. Redford, en braqueur sénile, tiré d’une histoire vraie, assume son âge, se revoie à la grande époque de The Chase et signe là une des ses dernières apparitions. 
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17/ BROOKLYN AFFAIRS.   Edward Norton
Norton aura mis 20 ans à faire son film, dans la grande tradition du film noir américain. Mais là où De Palma (Le Dahlia Noir) ou Ben Affleck ( Live By Night), se sont plantés en beauté, il tire un film sérieux et personnel, porté par une bande son jazz du meilleur effet. On y entend aussi Thom Yorke. Norton joue également le rôle principal, un privé atteint du Syndrome de la Tourette, et Dieu si l’on n’a pas l’habitude de voir de tels personnages au cinéma. Mention spéciale à Alec Baldwin en méchant de service contrôlant  les biens immobiliers de la ville. Belle réussite. 
18/ MARWEN.       Robert Zemeckis
Grand faiseur d’images et amoureux des effets techniques novateurs (Roger Rabbit), Zemeckis adapte la vie de Mark Hogancamp, amnésique depuis une agression qui recrée chez lui une ville de la 2e guerre mondiale qu’il peuple de jouets et de poupées...Porté par une technologie incroyable et un Steve Carrell rarement aussi touchant, le film aborde des sujets éprouvants (le nazisme, les agressions homophobes, la maladie mentale...) dans un divertissement adulte qui ne pouvait décemment guère plaire au grand public...
19/ UN GRAND VOYAGE VERS LA NUIT.    Bi Gan
A 30 ans, le cinéaste chinois signe son 2e film, et une prouesse visuelle impressionnante. Après une première heure esthétiquement incroyable, le film bascule dans un plan séquence d’1 heure, en 3D...Réflexion sur les rêves, les souvenirs, l’amour et le cinéma, le film de Bi Gan ne laisse pas insensible et confire la naissance d’une grand réalisateur dans une année forte pour le cinéma chinois ( Le Lac aux oies sauvages, Le Eternels, So Long My Son, Face à la nuit, An Elephant Sitting Still...)
20/ MEURS MONSTRE MEURS.  Alejandro Fadel
Le cinéma argentin a souvent donné de merveilleux ovnis, mais celui-ci aura pu en dérouter certains. Entre polar et film fantastique ( on n’est pas loin du mexicain Amat Escalante et sa Région Sauvage). On n’y parle de femmes décapitées, de sexualité, de voix intérieures...Un film curieux et déstabilisant, mais qui marque les esprits. Sans la fin grotesque, le film aurait pu espérer mieux en terme de classement...
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lignes2frappe · 7 years ago
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DRAKE, SA CARRIÈRE EST INCROYABLE
Alors que vient de sortir « VIEWS », l’album le plus attendu de l’année, portrait d’une icône qui n’a pas encore fêté ses 30 ans…
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Où Aubrey Drake Graham s’arrêtera-t-il ? Depuis la sortie de sa mixtape coming out So Far Gone en 2009, son level de popularité ne cesse de croître. À l’image des grands méchants de Dragon Ball qui mutent d’épisode en épisode, chaque nouveau projet consacre un peu plus encore sa montée en puissance.
Sauf que contrairement à Cell, Freezer & Co, Drake est un mec sympa, limite gentil garçon. Un trait de caractère tout sauf anodin dans une époque où les mâles dominants de l’ancien monde sont poussés un à un vers la sortie par une nouvelle génération plus portée sur le cool et l’onctuosité de la life.
Plus Curry (Stephen) que Kobe (Bryant), il n’en demeure pas moins tout aussi talentueux qu’ambitieux. Il se pourrait même que l’histoire n’en soit qu’à ses débuts.
Loin de se résumer à une succession de chiffres de ventes et de vues Youtube, le natif de Toronto redéfinit à lui tout seul les canons de la rap star moderne. Là où un Kendrick Lamar aussi virtuose soit-il demeure cantonné à son sujet, le Champagne Papi déborde et s’impose comme un phénomène culturel.
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Made in Canada
Le pari n’était pourtant pas gagné, tant le CV de celui qui ado jouait dans la très rose bonbon série Degrassi regorge de lacunes et de sujets de moqueries.
De son sens du style pas toujours très consistant, en passant par sa gestuelle parfois un peu trop personnelle ou sa batterie d’expressions faciales « aquouardes » à souhait, l’auto-proclamé 6 God se débrouille toujours pour tirer à son avantage l’océan de paradoxes sur lequel il surfe.
Objet de fascination permanent (au sens où il provoque l’admiration autant que le rejet), il n’a jamais oublié le précieux conseil donné par Lil Wayne lors de sa signature sur son label YMCMB : « Keep it Canadian ! »
Ou autrement dit : « Rappe sur ce que tu veux. Rappe sur ta série télé, rappe sur les meufs. Ne commence pas à rapper sur tuer des gens. Rappe sur ce que tu connais. »
Dans le désordre cela donne Drizzy qui recroise son ex dans une chanson sur deux, Drizzy qui balance ses gimmicks façon syndrome de la Tourette, Drizzy qui se fait friendzoner par Rihanna à chaque feat, Drizzy qui vole la vedette au gros Rick Ross sur ses singles, Drizzy qui défie Reggie Miller au ping-pong, Drizzy qui propulse vers les sommets les ventes de pulls de Noël moches, Drizzy qui fait danser Donald Trump…
Crédibilité de rue, ghostwriting, fragilité, il remise à lui tout seul au placard 30 ans de postures rapologiques à coup de scansions yolo qui tâchent et autres élans émo à mi-chemin entre le 2Pac première mouture et le journal intime d’une midinette diabolo menthe.
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Le prochain roi de la Pop ?
Né d’une mère caucasienne institutrice et d’un père noir musicien passé par la case prison divorcés lorsqu’il avait 5 ans, Drake tient plus d’un Michael Jackson ou d’un Prince que du « blanc d’œuf mal ssé-ca. »
Transcendant les classes sociales et les barrières raciales, sa plasticité est telle qu’il trouve un écho chez tous types de publics. Sérieux en 2016 qui d’autre que lui peut réciter des passages de la Torah tout en balançant du N-word à foison dans ses textes ?
Au-delà-de l’aspect musical, tous ses tubes se veulent un doux mélange de premier et de second degré, de candeur et de marketing, d’authenticité et de mise en scène.
On ne louera ainsi jamais assez la maestria de morceaux comme Started from the Bottom (qui fait croire à tous les gosses de classe moyenne qu’ils vivent la vida loca), Hot Line Bling (qui décomplexe tous les mecs accoudés au bar quand résonnent les premières notes du mix kiz et bachata), Marvin’s Room (qui déculpabilise d’appeler éméché son ex au milieu de la nuit) ou Know Yourself (qui dépeint Toronto comme la ville la plus introspective d’Amérique Nord).
Drizzy c’est le rap jeu façon bulles de jacuzzi et barbe à papa.
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« Je sais tout. Tout ce qui a été dit sur moi. »
Pur produit du siècle 21, Drake comprend mieux que personne les mécanismes qui régissent les internets (#SouviensToiLétéDernierMeekMill), n‘hésitant pas lui-même à nourrir sciemment la hype.
Si l’on ne peut pas présumer de la qualité de ces Vues du Six, elles seront à n’en point douter l’objet d’une myriade de gifs, memes et détournements qui alimenteront de longues semaines durant les fils d’actualité des réseaux sociaux.
Le plus grand rappeur actuel est-il en passe de devenir la plus grande pop star de demain ? Réponse ce vendredi 29 avril.
Article initialement publié le 29 Avril 2016
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confinopost-blog · 5 years ago
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Merci FaFa :
“tu l'a vu passé? c''est drole😂”.
OU COMMENT PRENDRE LE TEMPS DE RIRE...
JOURNAL DE CONFINEMENT
JOUR 1
Mercredi 18 mars. Premier jour à quatre à la maison. Journée ensoleillée, les enfants ont pu profiter du jardin. Pas encore de nouvelles de la maîtresse, j'imagine qu'il faut le temps de s'organiser. Ce midi, apéritif en famille, jeux l'après-midi ; Mathilde avait fait un gâteau au chocolat pour le goûter. Petit air de vacances !
JOUR 2
Jeudi 19 mars. Première tonte de l'année ! J'adore l'odeur de l'herbe coupée. Les arbres sont en bourgeons, les tulipes sortent de terre, les premiers jours de printemps sont toujours agréables ! Foot avec les enfants qui ont fini par se disputer, comme toujours. La vie s'organise tranquillement.
JOUR 3
Vendredi 20 mars. Les premiers devoirs sont tombés pour Mathis : révisions sur les divisions. Surtout rester calme... Léa fait des dessins pour papa et maman. Trop mignon.
JOUR 5
Dimanche 22 mars. Le jardin est au carré, on dirait Versailles ! Comme quoi il y a toujours du bon à prendre ! Mathilde a les mains dans la farine la moitié du temps : gare aux kilos en trop ! Léa a épuisé la moitié du stock de pages blanches, c'est moche pour la planète. Côté divisions, on rame...
JOUR 7
Mercredi 25 mars. Si Mathis me demande encore une fois ce qu'est un dividende, je lui fais manger son cahier ! Léa a enfoncé toutes les pointes de feutres et chouine à longueur de journée. Mathilde s'est lancée dans la confection d'un gâteau roumain à la purée de marrons et aux pruneaux. Est-ce vraiment une bonne idée ? Le temps commence à sembler long.
JOUR 10
Samedi 28 mars. Je crois que mon fils est con, j'ai abandonné la division. On a une semaine de retard sur le travail envoyé par la maîtresse. J'ai vomi le gâteau aux marrons.
JOUR 11
Dimanche 29 mars. La caisse à outil est nickel, j'ai rangé mes clefs plates par ordre de grandeur, les marteaux par ordre croissant de poids. J'ai trié tout ce qui pouvait se trier dans la maison : clous, vis, boutons, punaises (par couleurs), slips.. Je commence à voir flou.
JOUR 14
Mercredi 1er avril. On continue sur le passé simple. La décence m'oblige à me taire. ..
JOUR 15 Je rédige une lettre à l'attention du pape pour faire canoniser la maîtresse de mon fils. J'ai envie d'écouter Céline Dion en passant l'aspirateur dans le garage. Je crois que ça va pas le faire.
JOUR 16
Vendredi 3 avril. « Les enfants prenâmes le goûter sur la terrasse ». Bon c'est fois-ci c'est clair, Mathis n'aura pas non plus le prix Nobel de littérature... J'ai envie d'épouser sa maîtresse...je crois que je commence à délirer... Léa regarde la télé H 24. Mathilde a commencé une pièce montée à cinq étages. Je le sens pas trop. J'ai déjà pris cinq kilos...
JOUR 17
Samedi 4 avril. Je crois que j'ai chopé un Gilles de la Tourette avec ce putain de passé simple de merde ! La pièce montée s'est cassé la gueule. J'ai des hallucinations, les dessins de ma fille me parlent !
JOUR 18
Dimanche 5 avril. Pour la première fois de ma vie, j'ai prié Dieu...
JOUR 19
J'ai bouffé la page du livre de conjugaison. Problème réglé...
JOUR 20
Passé la journée à chercher le chien, on l'a perdu !
JOUR 21
Merde, c'est vrai, on n'a pas de chien ! J'attaque ma cinquième bière de la journée. Léa ressemble à un lapin qui aurait attrapé la Myxomatose.
JOUR 30
36 mars. Je suis sûr d'avoir vu passer la maîtresse de Mathis dans la pâture derrière chez nous : elle promenait son Bescherelle en laisse. Je vais reprendre un ricard …
JOUR 31
J'ai les dents qui grattent, je transpire des yeux. Je me rends compte que mon slip est à l'envers. Comme je le porte au-dessus mon pyjama, j'ai l'air encore plus con.
JOUR 32
An 3020 après ma belle-mère. Plus de farine dans les magasins, Mathilde est prostrée sur une chaise dans la cuisine, elle fait la conversation au four. Mathis essaye de diviser le passé simple. Léa bave devant la télévision. Les stocks de Ricard sont épuisés. Au secours...
JOUR 40
37 avril 2028. Oh putain on a remonté le temps ! Il se passe des trucs bizarres... Il y a une dame dans ma cuisine qui pleure en regardant le four, je ne sais pas du tout qui c'est. Et cette petite assise dans le coin qui regarde en ricanant, elle me file je jetons. De toute façon je ne sais plus comment je m'appelle. Je ne sais même plus pourquoi j'écris. C'est la fin...
JOUR 50
Il s'est passé quelque chose. Il y a des gens partout, on entend « c'est fini ! », « C'est fini ! », « Plus de confinement ! ». Je ne sais pas ce qu'il se passe. Je sors pour voir. Je m'y reprends à trois fois avant de savoir enfin passer la baie vitrée. Je respire à pleins poumons. Je tombe dans les pommes. Direction les urgences.
JOUR 60
Vendredi 15 mai. Reprise du travail depuis une semaine. Mathilde, Mathis et Léa vont bien. La vie a repris son cours normal, si ce n'est que j'ai du cholestérol, du diabète, des troubles de la personnalité (mon double ne parle qu'au passé simple et cherche à diviser tout ce qu'il peut, c'est un peu pénible...) Mais bon nous en sommes sortis vivants ! Rendez-vous demain chez la psy, 15h30...
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thestreetart13-blog · 5 years ago
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Humour confinement (auteur inconnu)
JOURNAL DE CONFINEMENT
JOUR 1
Mercredi 18 mars. Premier jour à quatre à la maison. Journée ensoleillée, les enfants ont pu profiter du jardin. Pas encore de nouvelles de la maîtresse, j’imagine qu’il faut le temps de s’organiser. Ce midi, apéritif en famille, jeux l’après-midi ; Mathilde avait fait un gâteau au chocolat pour le goûter. Petit air de vacances !
JOUR 2
Jeudi 19 mars. Première tonte de l’année ! J’adore l’odeur de l’herbe coupée. Les arbres sont en bourgeons, les tulipes sortent de terre, les premiers jours de printemps sont toujours agréables ! Foot avec les enfants qui ont fini par se disputer, comme toujours. La vie s’organise tranquillement.
JOUR 3
Vendredi 20 mars. Les premiers devoirs sont tombés pour Mathis : révisions sur les divisions. Surtout rester calme... Léa fait des dessins pour papa et maman. Trop mignon.
JOUR 5
Dimanche 22 mars. Le jardin est au carré, on dirait Versailles ! Comme quoi il y a toujours du bon à prendre ! Mathilde a les mains dans la farine la moitié du temps : gare aux kilos en trop ! Léa a épuisé la moitié du stock de pages blanches, c’est moche pour la planète. Côté divisions, on rame...
JOUR 7
Mercredi 25 mars. Si Mathis me demande encore une fois ce qu’est un dividende, je lui fais manger son cahier ! Léa a enfoncé toutes les pointes de feutres et chouine à longueur de journée. Mathilde s’est lancée dans la confection d’un gâteau roumain à la purée de marrons et aux pruneaux. Est-ce vraiment une bonne idée ? Le temps commence à sembler long.
JOUR 10
Samedi 28 mars. Je crois que mon fils est con, j’ai abandonné la division. On a une semaine de retard sur le travail envoyé par la maîtresse. J’ai vomi le gâteau aux marrons.
JOUR 11
Dimanche 29 mars. La caisse à outil est nickel, j’ai rangé mes clefs plates par ordre de grandeur, les marteaux par ordre croissant de poids. J’ai trié tout ce qui pouvait se trier dans la maison : clous, vis, boutons, punaises (par couleurs), slips.. Je commence à voir flou.
JOUR 14
Mercredi 1er avril. On continue sur le passé simple. La décence m’oblige à me taire. ..
JOUR 15 Je rédige une lettre à l’attention du pape pour faire canoniser la maîtresse de mon fils. J’ai envie d’écouter Céline Dion en passant l’aspirateur dans le garage. Je crois que ça va pas le faire.
JOUR 16
Vendredi 3 avril. « Les enfants prenâmes le goûter sur la terrasse ». Bon c’est fois-ci c’est clair, Mathis n’aura pas non plus le prix Nobel de littérature... J’ai envie d’épouser sa maîtresse...je crois que je commence à délirer... Léa regarde la télé H 24. Mathilde a commencé une pièce montée à cinq étages. Je le sens pas trop. J’ai déjà pris cinq kilos...
JOUR 17
Samedi 4 avril. Je crois que j’ai chopé un Gilles de la Tourette avec ce putain de passé simple de merde ! La pièce montée s’est cassé la gueule. J’ai des hallucinations, les dessins de ma fille me parlent !
JOUR 18
Dimanche 5 avril. Pour la première fois de ma vie, j’ai prié Dieu...
JOUR 19
J’ai bouffé la page du livre de conjugaison. Problème réglé...
JOUR 20
Passé la journée à chercher le chien, on l’a perdu !
JOUR 21
Merde, c’est vrai, on n’a pas de chien ! J’attaque ma cinquième bière de la journée. Léa ressemble à un lapin qui aurait attrapé la Myxomatose.
JOUR 30
36 mars. Je suis sûr d’avoir vu passer la maîtresse de Mathis dans la pâture derrière chez nous : elle promenait son Bescherelle en laisse. Je vais reprendre un ricard …
JOUR 31
J’ai les dents qui grattent, je transpire des yeux. Je me rends compte que mon slip est à l’envers. Comme je le porte au-dessus mon pyjama, j’ai l’air encore plus con.
JOUR 32
An 3020 après ma belle-mère. Plus de farine dans les magasins, Mathilde est prostrée sur une chaise dans la cuisine, elle fait la conversation au four. Mathis essaye de diviser le passé simple. Léa bave devant la télévision. Les stocks de Ricard sont épuisés. Au secours...
JOUR 40
37 avril 2028. Oh putain on a remonté le temps ! Il se passe des trucs bizarres... Il y a une dame dans ma cuisine qui pleure en regardant le four, je ne sais pas du tout qui c’est. Et cette petite assise dans le coin qui regarde en ricanant, elle me file je jetons. De toute façon je ne sais plus comment je m’appelle. Je ne sais même plus pourquoi j’écris. C’est la fin...
JOUR 50
Il s’est passé quelque chose. Il y a des gens partout, on entend « c’est fini ! », « C’est fini ! », « Plus de confinement ! ». Je ne sais pas ce qu’il se passe. Je sors pour voir. Je m’y reprends à trois fois avant de savoir enfin passer la baie vitrée. Je respire à pleins poumons. Je tombe dans les pommes. Direction les urgences.
JOUR 60
Vendredi 15 mai. Reprise du travail depuis une semaine. Mathilde, Mathis et Léa vont bien. La vie a repris son cours normal, si ce n’est que j’ai du cholestérol, du diabète, des troubles de la personnalité (mon double ne parle qu’au passé simple et cherche à diviser tout ce qu’il peut, c’est un peu pénible...) Mais bon nous en sommes sortis vivants ! Rendez-vous demain chez la psy, 15h30...
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doyoufrench · 5 years ago
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Confinement 😀
Bon courage et surtout bonne santé à tous ! Auteur : inconnu.
JOURNAL DE CONFINEMENT
JOUR 1
Mercredi 18 mars. Premier jour à quatre à la maison. Journée ensoleillée, les enfants ont pu profiter du jardin. Pas encore de nouvelles de la maîtresse, j'imagine qu'il faut le temps de s'organiser. Ce midi, apéritif en famille, jeux l'après-midi ; Mathilde avait fait un gâteau au chocolat pour le goûter. Petit air de vacances !
JOUR 2
Jeudi 19 mars. Première tonte de l'année ! J'adore l'odeur de l'herbe coupée. Les arbres sont en bourgeons, les tulipes sortent de terre, les premiers jours de printemps sont toujours agréables ! Foot avec les enfants qui ont fini par se disputer, comme toujours. La vie s'organise tranquillement.
JOUR 3
Vendredi 20 mars. Les premiers devoirs sont tombés pour Mathis : révisions sur les divisions. Surtout rester calme... Léa fait des dessins pour papa et maman. Trop mignon.
JOUR 5
Dimanche 22 mars. Le jardin est au carré, on dirait Versailles ! Comme quoi il y a toujours du bon à prendre ! Mathilde a les mains dans la farine la moitié du temps : gare aux kilos en trop ! Léa a épuisé la moitié du stock de pages blanches, c'est moche pour la planète. Côté divisions, on rame...
JOUR 7
Mercredi 25 mars. Si Mathis me demande encore une fois ce qu'est un dividende, je lui fais manger son cahier ! Léa a enfoncé toutes les pointes de feutres et chouine à longueur de journée. Mathilde s'est lancée dans la confection d'un gâteau roumain à la purée de marrons et aux pruneaux. Est-ce vraiment une bonne idée ? Le temps commence à sembler long.
JOUR 10
Samedi 28 mars. Je crois que mon fils est con, j'ai abandonné la division. On a une semaine de retard sur le travail envoyé par la maîtresse. J'ai vomi le gâteau aux marrons.
JOUR 11
Dimanche 29 mars. La caisse à outil est nickel, j'ai rangé mes clefs plates par ordre de grandeur, les marteaux par ordre croissant de poids. J'ai trié tout ce qui pouvait se trier dans la maison : clous, vis, boutons, punaises (par couleurs), slips.. Je commence à voir flou.
JOUR 14
Mercredi 1er avril. On continue sur le passé simple. La décence m'oblige à me taire. ..
JOUR 15 Je rédige une lettre à l'attention du pape pour faire canoniser la maîtresse de mon fils. J'ai envie d'écouter Céline Dion en passant l'aspirateur dans le garage. Je crois que ça va pas le faire.
JOUR 16
Vendredi 3 avril. « Les enfants prenâmes le goûter sur la terrasse ». Bon c'est fois-ci c'est clair, Mathis n'aura pas non plus le prix Nobel de littérature... J'ai envie d'épouser sa maîtresse...je crois que je commence à délirer... Léa regarde la télé H 24. Mathilde a commencé une pièce montée à cinq étages. Je le sens pas trop. J'ai déjà pris cinq kilos...
JOUR 17
Samedi 4 avril. Je crois que j'ai chopé un Gilles de la Tourette avec ce putain de passé simple de merde ! La pièce montée s'est cassé la gueule. J'ai des hallucinations, les dessins de ma fille me parlent !
JOUR 18
Dimanche 5 avril. Pour la première fois de ma vie, j'ai prié Dieu...
JOUR 19
J'ai bouffé la page du livre de conjugaison. Problème réglé...
JOUR 20
Passé la journée à chercher le chien, on l'a perdu !
JOUR 21
Merde, c'est vrai, on n'a pas de chien ! J'attaque ma cinquième bière de la journée. Léa ressemble à un lapin qui aurait attrapé la Myxomatose.
JOUR 30
36 mars. Je suis sûr d'avoir vu passer la maîtresse de Mathis dans la pâture derrière chez nous : elle promenait son Bescherelle en laisse. Je vais reprendre un ricard …
JOUR 31
J'ai les dents qui grattent, je transpire des yeux. Je me rends compte que mon slip est à l'envers. Comme je le porte au-dessus mon pyjama, j'ai l'air encore plus con.
JOUR 32
An 3020 après ma belle-mère. Plus de farine dans les magasins, Mathilde est prostrée sur une chaise dans la cuisine, elle fait la conversation au four. Mathis essaye de diviser le passé simple. Léa bave devant la télévision. Les stocks de Ricard sont épuisés. Au secours...
JOUR 40
37 avril 2028. Oh putain on a remonté le temps ! Il se passe des trucs bizarres... Il y a une dame dans ma cuisine qui pleure en regardant le four, je ne sais pas du tout qui c'est. Et cette petite assise dans le coin qui regarde en ricanant, elle me file je jetons. De toute façon je ne sais plus comment je m'appelle. Je ne sais même plus pourquoi j'écris. C'est la fin...
JOUR 50
Il s'est passé quelque chose. Il y a des gens partout, on entend « c'est fini ! », « C'est fini ! », « Plus de confinement ! ». Je ne sais pas ce qu'il se passe. Je sors pour voir. Je m'y reprends à trois fois avant de savoir enfin passer la baie vitrée. Je respire à pleins poumons. Je tombe dans les pommes. Direction les urgences.
JOUR 60
Vendredi 15 mai. Reprise du travail depuis une semaine. Mathilde, Mathis et Léa vont bien. La vie a repris son cours normal, si ce n'est que j'ai du cholestérol, du diabète, des troubles de la personnalité (mon double ne parle qu'au passé simple et cherche à diviser tout ce qu'il peut, c'est un peu pénible...) Mais bon nous en sommes sortis vivants ! Rendez-vous demain chez la psy, 15h30...
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opieste · 6 years ago
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Jeudi 5 juillet 2018 Les Ferres Malaussene 25 km
Lever dès potron-minet, nous partimes au point du jour, et pendant les premières heures la chaleur fut supportable, mais dès le début de la montée vers Tourette du Château, il fit bien chaud, et les derniers raidillons furent l'occasion pour Éric d'apprendre à ses dépens que faire 3 jours de suite 25 km et 1500 m de dénivelé avec 20 kg sur le dos, par une trentaine de degré, peut engendrer des malaises, même avec un chapeau. Je lui rappelai que la mairie d'Opio nous a envoyé un courrier nous demandant s'il fallait nous inclure dans les personnes à surveiller en cas de canicule, on aurait dû dire oui.
Bref la suggestion de mon dévoué Google lui rendit la vie: "L' Auberge du Mont Vial, à 17 mn à pied, peut vous plaire!" Elle nous a plu, l'accueil est chaleureux, la nourriture abondante, le cuisinier sicilien, et les raviolis maison, fait selon les prescriptions de la nonna sur son lit de mort: " Mi promesso, non le fa mai con la machina !", délicieux à tomber. Mais regardez bien sur la photo, le médicament choisit par le malade du jour...
Sitôt de retour sur l'épouvantable sentier du col du Mont Vial, l'orage arriva, la pluie redoubla, on mit les capes, on persevera un peu, on s'abrita sous un secourable garage, on reprit espoir et la route au premier rayon du soleil revenu, et sitôt au col, on redescendit de l'autre côté, accompagné par un troupeau de chèvres et un horrible Patou. Malaussene était 1000 m plus bas, ça nous a occupé la fin de l'après midi.
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Et la carte
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