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#mollesse
e642 · 22 days
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C'est bientôt la rentrée et comme je suis dans un gouffre sans fond de désespoir et de mollesse, je vais dresser une liste de choses qu'il faut que je fasse avant l'entrée en 2025, dans l'ordre chronologique (bon ya des trucs qui sont pas faciles à situer donc je vais voir où les mettre):
- Tout bien refaire mes fiches d'organisation et trier mon ordinateur (mon côté psychorigide revient au galop après 3 mois de déchéance)
- Rappeler tous les cons qui veulent pas répondre à mes demande de stages (ça fait bcp d'appels pour quelqu'un qui déteste appeler même ses parents, son mec ou ses potes, d'ailleurs ça fait qq années que j'ai instauré un safe word d'appel, si quelqu'un m'envoie un message où il y a écrit "courgette" c'est que l'appel est important et mérite que je le prenne, mais si c'est pas une urgence vitale en général ça m'énerve)
- Avoir mon permis (je suis à 2 ans de conduite, 2000€ de dépensé, des litres de larmes et de mascara, il est temps que ça cesse ce calvaire)
- Donner mon sang tous les deux mois et donc prendre rdv prochainement en septembre (faut que je reprenne du poids du coup parce qu'à 43kg je doute de survivre même si j'ai pu montrer une certaine résistance à la perte de sang dans mes années mutilation)
- Prendre rdv chez le médecin (que je comprenne pourquoi j'ai envie de vomir tout le temps, pourquoi j'ai mal aux reins, pourquoi je suis fatiguée, pourquoi je saigne pas pendant 2 mois puis après 6L en 2 jours et un petit test IST pour voir s'il reste une once de respect de mon mec à mon égard)
- Trouver un stage (par pitié acceptez-moi en stage que je ne sois pas obligée de demander les EHPAD, jme sens déjà bien trop en fin de vie pour faire un stage en soins palliatifs)
- Essayer d'instaurer des repas variés, à intervalles réguliers et un petit dej solide (non parce que c plus possible de manger un bout de salade par jour quand je suis stressée)
- Diminuer le RedBull (passer de 1/j à 1 tous les deux jours, on en est à ce stade d'addiction oui)
- Essayer de diminuer la clope (pas de volonté réelle pour le moment donc ça m'étonnerait)
- Faire du Yoga 1x par jour ou tous les deux jours et peut-être reprendre la course, ou m'inscrire à l'escalade (par contre 250€ une licence, pour ce prix, j'espère que le massage des mollets est inclus)
- Manquer le moins de cours possible et essayer de maintenir un 13.5 de moyenne, c'est le dernier semestre faut se bouger le fion
- Aller au cinéma au moins 2 fois par mois au.pire et 1 fois par semaine au mieux (pour maintenir la culture cinématographique que je Fake depuis des mois)
- Me séparer de mon copain (à moins d'un miracle et d'une prise de conscience rapide et profonde, ça me paraît malheureusement inévitable, ce qui veut dire me préparer à une rupture...)
- M'inscrire dans une association (parce que c'est intéressant mais surtout parce que je vais pouvoir dire dans mes lettres aux masters "eh regardez jsuis peut-être une merde en cours mais j'aide les enfants qui se font harceler a l'école prenez moi")
- Restée moins confinée dans mon appartement (aller respirer, marcher, chier, peu importe mais dehors, comme ça ça réduit les moments de vide et de grattage compulsif)
Bon déjà ce sera pas mal ça en vrai, je rajouterai bien trouver une manière de me faire de l'argent facilement mais à moins de dealer, ça me paraît pas très faisable, après pas vu pas pris comme on dit hm
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voletsclos · 2 months
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Tentative de description. De quand le sang afflue. Comme si le trajet du sang était en lui-même déjà un plaisir. Je le sens venir, venir du corps, du cœur, par à-coups. Il vient s’emprisonner là. Dans la mollesse, il vient, et enfle la chair. La chair, la tige bouge, bouge en dehors de toute volonté, et s’érige progressivement. Le sang bat dans ma bite. Les veines dans lesquelles il circule se montrent, saillantes. Ça bat, ça bat. Et tout devient dur, de plus en plus dur. Le gland, rouge, montre son renflement, la peau glisse un peu dessus, prépuce dévoilant le lisse et le luisant.
Je serre la base de ma bite. Fort. Ma bite est un réseau de veines où tout fourmille.
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peut-etre · 4 months
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Heureuse une à deux fois par mois 
Il vient titubant pour arracher mon corps 
Celui de la serpentante maîtresse servante 
Le matin à quatre ou cinq heures deux jours sur trente 
Je stipule des énoncés factices 
Je stipule pisseuse 
Et mon corps de la mort me manque 
Son regard effaré contre mes yeux malades 
Ça n’est arrivé qu’une fois 
Il a couru ailleurs il revient titubant 
Il ne parle que par la négation 
Le reste je dors je tente ce qu’on appelle : la détente 
Le reste je ne sais plus où il dort 
Il a jeté la première pierre et ça s’endure 
Ah le travail 
Servitude douloureuse 
Puissance plus encore 
Dort-il seul encore au moins 
Le reste je compte les comprimés que j’accumule 
Quatre petits pois dans mon assiette et 
Une feuille de laitue 
Je serpente 
J’attends à peine 
Je digère 
Ça n’est pas l’urgence il n’y a plus d’urgence 
Le texte alarme n’existe pas 
Vous ne remarquerez rien 
Mon langage s’amenuise peu à peu 
Mes pensées devenues pragmatiques 
On me dit quand j’en parle : c’est gravissime 
Mais je n’aime d’autre mollesse que la mienne 
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« Il y a une idée totalement fausse sur les bourgeois ( démocrates, c'est la même chose ), celle d'une éternelle mollesse liés à leur horreur de l'idée du risque physique et intellectuel de leur appareil. En réalité, quand ils se sentent vraiment en danger ils passent à un état de férocité sans limites et se déchaînent dans les pires excès avec une bonne conscience absolue qui repose sur le sentiment profond qu'ils sont du coté de la raison et du coeur, ou du moins de la morale [...] »
Dominique Venner
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dykeboi · 3 months
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Francis Ponge, Le Parti pris des choses
Le Pain
La surface du pain est merveilleuse d'abord à cause de cette impression quasi panoramique qu'elle donne: comme si l'on avait à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes.
Ainsi donc une masse amorphe en train d'éructer fut glissée pour nous dans le four stellaire, où durcissant elle s'est façonnée en vallées, crêtes, ondulations, crevasses... Et tous ces plans dès lors si nettement articulés, ces dalles minces où la lumière avec application couche ses feux, sans un regard pour la mollesse o ignoble sous-jacente.
Ce lâche et froid sous-sol que l'on nomme la mie a son tissu pareil à celui des éponges: feuilles ou fleurs y sont comme des sœurs siamoises soudées par tous les coudes à la fois. Lorsque le pain rassit ces fleurs fanent et se rétrécissent: elles se détachent alors les unes des autres, et la masse en devient friable...
Mais brisons-la: car le pain doit être dans notre bouche moins objet de respect que de consommation.
The Bread
The surface of bread is marvelous from the start with this quasi-panoramic impression it gives: as if one had on hand the Alps, the Taurus, or the chain of the Andes.
Thus an amorphous mass in the process of belching was slipped into the stellar oven for us, where hardening it fashioned valleys, craters, undulations, crevices... And all these planes from there are so clearly articulated, these thin slices where the light applies and lays down its glows, without regards for the underlying ignoble weakness.
The loose and cold subsoil we call the crumb has tissue like that of sponges: leaves or flowers there are like Siamese twins, welded by all the elbows at once. While the bread rises these flowers fade and shrink themselves: they detatch from one another, and the mass becomes friable...
But let's break there: because bread must be in our mouth less an object of respect than of consumption.
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gaboushkabzbz · 5 months
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Ces temps ci je fuis la facilité
L’amour aisé ne m’intéresse pas
Me réfugier dans le désespoir
C’est oublier de lutter
C’est choisir la complaisance
Se laisser mourir à petits feux
C’est la mollesse de l’esprit
Bien trop pour moi
Je dois rattraper le temps
Éviter de dormir
Dépasser les limites
Du limpide possible
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aurevoirmonty · 8 months
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"[…] comme c’était le cas chez les Grecs, la religion fait consister le sens de la vie dans le bonheur terrestre, dans la force et dans la beauté, on considère alors comme étant le bon art celui qui exprime la joie et l’énergie de la vie, et, comme étant le mauvais art, celui qui exprime des sentiments de mollesse ou de dépression."
Léon Tolstoï, Qu’est-ce que l’art ? (1898)
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iloveragatha · 11 months
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TRINKET, BRINKET, BRISKET, BRACELET, ON-SET, CONCERT, MINI-SKIRT, KURT (cobain) KURB (or curb?) SUBURB, SUBMARINE, LIMOSENE, LUMINISCENT, ADJACENT, PRESENT, PRETENTIOUS, LUMINOUS, OMINOUS, MINUS, ROYALE-HIGHNESS, DRESS, POSSESS, MOLLESS, MOLE, HOLE, SCROLL, CASSEROLE, CASSANOVA, BOSCIOLA, CAROLLA, PAROLLA, PARADE, THE SHADE, FADE, FAME, SHAME, CAME, COME, SOME, RUMM, CHUM, CHAN, FAN, LAND, SAND, PLAN, RAGEDDY-ANNE, RAGATHA!! >W< hehe..
SUMTIMEZ I CANT SPELL THEM ALL BUT ITS 12:53 AM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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est-ce · 1 year
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la page pénétrante le Compteur du temps l'île de Mollesse la perche tendue la géographie s'y oppose l'analyse des intentions la chute des épaules le 3 accords et la vérité le la voix suffit.
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jloisse · 2 years
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"Tout le nerf de Satan réside dans la mollesse des chrétiens."
Saint Pie X
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alexar60 · 2 years
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Transylvanie express (51)
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Épisodes précédents
Poussé par un léger vent, la fenêtre de ma chambre s’ouvrit doucement et sans bruit. Elle entra dans le plus profond des silences. Ses pieds nus effleurèrent le sol ; elle ne marchait pas, elle volait presque. Puis, elle s’arrêta pour me regarder. J’étais allongé sur le dos, les bras collés au corps. Je dormais profondément. Dès lors, elle avança sur le côté du lit et s’étendit en entrant sous la couverture, sans me réveiller. Elle continuait de me regarder. Ses doigts frôlèrent mon épaule glissant ensuite sur ma poitrine dessinant le contour de mes aréoles. Après, d’un geste délicat, elle appuya sa main contre mon cœur afin de l’écouter battre. L’excitation envahit son esprit lorsqu’elle entendit qu’il s’emballait.
Ludmilla continuait de me presser fortement. Ses cheveux sentaient bon et je fermai les yeux m’imaginant avec elle sur une ile, entourés d’orangers et de plantations de vanilles. Ses mains s’enfoncèrent dans ma chemise caressant les poignets d’amour, avant de remonter le long de mon dos. En peu de temps, elle réussit à me défaire de mon seul vêtement. Nous nous retrouvâmes dénudés au milieu d’une forêt angoissante.
Sa bouche approcha délicatement de mon oreille. Elle murmura quelques mots que je n’entendis pas. Toutefois, ils eurent un effet sur mon inconscient puisque je me détendis brusquement, étirant mon corps comme un chat fait avant de se rendormir. Toujours sans faire de bruit, elle frotta sa jambe gauche contre les mienne avant d’embrasser le lobe de mon oreille.
-          Tu m’as manquée, répéta la jeune femme.
Ses lèvres inondèrent mon visage de baisers et de caresses. Ludmilla m’embrassait sans arrêt et je ne pus l’empêcher de se jeter dans mes bras, enlaçant ses jambes autour de ma taille. Je ne répondis pas à ses mots, préférant caresser son corps redevenu jeune et doux. Nous ne faisions qu’un au milieu de cette forêt sauvage. Nous irradions, dispersant doucement le brouillard impénétrable.
Le froid s’invita dans la chambre, apporté par un courant d’air qui ne me réveilla pas. Elle se laissa glisser pour me chevaucher. Dès lors, je sentis la froideur de sa peau parcourir mon être. Elle me glaçait jusqu’au sang, jusqu’au cœur. Mais je ne me réveillai toujours pas. Les paupières closes, l’esprit ailleurs, je ne réagis pas à ses embrassades, ni à sa façon de me toucher.
-          J’ai eu peur pour toi, dit-elle.
Nos langues se chatouillaient. mes mains soutenaient ses fesses rondes et fermes. Les siennes sculptaient mon visage. Nous étions passionnés, nous étions en pleine extase, et personne ne pouvait nous en sortir. Pas même les démons ni les dieux.
Elle pencha sa poitrine contre la mienne. Elle huma mon cou, mordilla une seconde fois le lobe de mon oreille avant de se relever. Son visage demeurait caché par l’obscurité de la chambre. J’avais froid mais elle trouva le moyen de me réchauffer. Elle laissa ses doigts longs parcourir mon entre-jambe et sans se soucier de la mollesse de mon sexe, elle l’introduit dans son vagin.
Un rayon de soleil pénétra la cime des arbres. Il nous éclaira comme il éclairerait les héros d’un roman d’amour. Ludmilla posa ses pieds sur un tapis de mousse puis me regarda avec un large sourire. Ses dents étaient belles et alignées. Son visage brillait faisant ressortir les pupilles marron de ses yeux. Elle était belle avec ses cheveux soyeux qui voltigeaient alors qu’il n’y avait aucun vent.
Un léger râle sortit de sa bouche. Elle leva la tête tout en faisant des va-et-vient sur mon sexe. Il grossissait de plus en plus. Il se dressait en elle, dans la partie la plus chaude de son corps. Elle posa les mains sur mon torse puis commença à le torturer en le griffant. Je saignai mais la douleur ne me réveilla pas.
-          Il est temps de partir, dit-Ludmilla.
Elle prit ma main et me guida, nous éloignant encore plus de la voie ferrée. Nous nous dirigeâmes entre les arbres fleuris. A ma grande surprise, le rayon de soleil continuait d’éclairer notre amour. Nous étions Adam et Eve visitant le Paradis. Je n’osai lui demander où elle m’emmenait. Qu’importe, j’irai jusqu’au bout du monde avec elle, j’irai en enfer.
Soudain, son buste tomba en avant. Ses seins devinrent lourds et oppressèrent mes poumons. Ma respiration devint difficile. Elle sifflait, je suffoquai lentement. Toutefois, je restai toujours endormi sur mon lit, et elle sur moi. Son souffle glaçait la peau de ma gorge pendant qu’une langue longue et pointue cherchait sa partie la plus tendre. J’étais à sa merci, elle savait que c’était le bon moment.
Ludmilla lâcha ma main lorsqu’elle ralentit. Elle souriait toujours. Elle me regarda la dépasser. Le rayon disparut en même temps, remplacé immédiatement une brume imposante. Dès lors, je marchai sur les feuilles qui venaient juste de tomber. Je tournai la tête pour voir si elle m’accompagnait. Mais à mon grand étonnement, elle avait disparu.
L’angoisse monta en flèche dans mon esprit. Elle se balançait en cadence sur mon ventre. Elle jouissait de moi et voulait encore plus. Elle ouvrit la bouche et mordit ma gorge. Ses crocs aiguisés s’enfoncèrent dans mon larynx. Je sentis mon sang jaillir, Je l’entendais sucer goulument le liquide rouge. Je sentis mon souffle partir, je ne pouvais plus respirer. Je ne pouvais plus bouger.
Il fit brutalement froid. L’air devint irrespirable au point de m’étouffer. Je tenais mon cou, me sentant mal. Je cherchai de l’air, un peu de vent, un peu d’oxygène. Et Ludmilla réapparut. Elle me dévisageait souriante, immobile, insensible à mon malheur. Elle m’observait et comprenant qu’elle ne ferait rien pour m’aider, je me mis à courir…à m’éloigner d’elle.
Son corps pesait de plus en plus lourd, ses mains retenaient ma tête par les cheveux. Elle buvait toujours, me vidant de toutes substances vitales. Bien qu’endormi, je gardai la bouche ouverte essayant de respirer mais l’air n’entrait plus dans mes poumons. Elle remua ses cuisses. Elle savait que j’allais jouir. Aussitôt, elle releva la tête pour profiter de cet instant en m’offrant un peu de répit. Elle ne voulait pas encore me tuer.
Je ne suis pas allé bien loin. Ludmilla me rattrapa en un clin d’œil, comme le rêve rattrape la réalité. Elle riait, me suivant de prêt. Je faillis m’écrouler mais elle me retint, reniflant en même temps ma peau. Elle murmura que je sentais bon. Par contre, son odeur n’était plus celle de la vanille et de la fleur d’oranger mais celle de la mort et du souffre. Elle ouvrit la bouche, montrant une dentition irrégulière de dents jaunes et aiguisée. D’un geste brutal, elle croqua mon cou  là où passe la carotide. Pendant ce temps, ses mains caressaient ma poitrine. Elle buvait sans chercher à me garder en vie. Elle buvait et je ne pouvais l’empêcher. J’étais perdu aussi bien dans mon sommeil que sur mon lit. Ludmilla était partout et elle me tuait en buvant mon sang.
Prisonnier entre ses bras, je me laissai partir lorsqu’elle releva encore la tête pour hurler. Quelque-chose venait de piquer ma poitrine. Cependant, je réussis à ouvrir les yeux. Un succube se tenait sur moi. L’obscurité m’empêchait de voir son apparence réelle, en dehors de ses yeux rouge et flamboyant. Elle hurla, se releva. Grâce au reflet de la lune, j’aperçus une forme brillante comme du métal sortir de sa poitrine. Elle se précipita vers la fenêtre. Une silhouette se dessina à côté de la porte entrouverte de ma chambre. Je reconnus Klaus Möller. Il avait peur mais il était intervenu pour me sauver la vie.
-          C’était écrit dans le livre, cria-t-il.
Je me relevai, mis la main sur ma gorge pour constater que je ne saignai plus. Toutefois, j’avais encore mal au ventre. J’appuyai ma main pour soulager la douleur et découvris qu’elle devint rapidement humide. Dans son sauvetage, Her Möller avait enfoncé la lame du couteau si profondément qu’elle m’avait blessé.
-          Je suis confus, ajouta-t-il en découvrant ma main ensanglanté. Pardonnez-moi !
Dehors, le succube n’hurlait plus.
Alex@r60 – janvier 2023
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voletsclos · 2 months
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Décrire la sensation d’un sexe dans ma bouche.
Décrire la sensation d’un sexe dans ma bouche.
La mollesse d’un sexe dans ma bouche.
Ma langue léchant la bouche d’un sexe.
Décrire la sensation d’un sexe sous ma langue.
Le mou et le dur. Le dedans.
Décrire la sensation d’un sexe dans ma bouche.
Le jus, le mouillé hors de ma bouche et dans ma bouche.
Décrire la sensation d’un sexe pour ma bouche.
Ma langue et la fente et tout.
Décrire la sensation d’un sexe pour ma bouche.
Décrire…
Les mots sont si faibles. Pour décrire la sensation d’un sexe dans ma bouche.
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clochardscelestes · 2 years
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Mollesse De Vivre (Reprise).
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raisongardee · 1 year
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La vie bonne est prise en tenaille entre deux excès contraires. Une des plus habiles ruses du malin consiste à tout réduire à la fausse alternative entre la contrainte frontale par durcissement du jeu (coagula) et la corruption par dissolution des points d’appui (solve). Il est effectivement tout aussi difficile de sculpter une pièce d’acier qu’un bois mouillé, deux états qui mettent également en échec les transformations en lesquelles consistent pourtant culture et civilisation. Le dur et le mou condamnent l’humanité à son état naturel, entre des opposés dont les inlassables disputes donnent par ailleurs l’illusion du choix et de la diversité.
D’un point de vue psychologique et social, les individus sont pris entre la nécessité de "construire" leur vie et celle d’en "profiter", entre dureté de l’effort et mollesse des plaisirs, se hissant rarement au-dessus de la double aliénation du travail et des loisirs. Nous voyons aussi que certains s’affairent à entretenir un système dont d’autres savent profiter. Mais qu’un afféré le jour soit jouisseur la nuit, ou bien que la population des laborieux soit totalement séparée de celle des assistés, jamais la civilisation ne peut fleurir sur le terreau d’une telle société.
En politique, les partis sont ceux de l’économie du marché (droite) et du progressisme social (gauche). La vie des idées est ainsi enserrée entre les questions d’argent et les questions de mœurs, deux pôles complémentaires d’un libéralisme qui ne répond en revanche jamais à celle du bien commun. Entre la pression rigide du rendement et la révolution des modes de vie, la société est à la fois pétrifiée et dissoute, prise en otage entre un appareil de production qui l’exploite et une déconstruction qui la noie.
Il ne peut y avoir de civilisation sans idées du beau, du vrai et du bien, seules capables de dépasser les tensions binaires qui nous enferment aujourd’hui. Or tout semble au contraire se dresser contre les traditions esthétiques, académiques et morales qui ont pourtant soutenu les mondes précédents, et que notre humanité est aussi la première à considérer comme "retour aux heures les plus sombres". 
La normativité républicaine, qui détourne également ce mot de son intention originelle, enferme toute vie dans le tourbillon de l’activité économique et de l’émancipation sociétale, double spirale qui a la force contraignante d’un siphon auquel seul un point d’appui extérieur permettrait de résister. Le travail et le loisir, la production et la distraction, font alors voir leur puissante complicité en durcissant le jeu et noyant le poisson, serrant et amollissant pour toujours asservir dans la diversité apparente d’une fausse alternative. Le beau consiste en une incessante célébration de l’utile et de la jouissance. Le vrai est ce qui soutient le double impératif de l’efficacité et de l’émancipation. Le bien n’y est jamais envisagé autrement qu’en termes de prospérité matérielle et de progrès moral. Tel un empoisonneur, notre temps utilise le prestige du beau, du vrai et du bien pour les détourner à son profit. C’est ainsi que le goût pactise de plus en plus ouvertement avec la vulgarité, que la vérité découle du “consensus scientifique” et de la fantaisie de chacun, et que la morale ne vise qu’à garantir l’intérêt individuel et la permissivité des mœurs. 
Le recul historique met assez bien en contraste ce qu’une société peut avoir de beau, de vrai et de bien. Or en 1878, Léon Bloy attribuait déjà à son siècle "l’insolence d’un fils de laquais devenu grand seigneur par substitution, et qui se donne les airs de mépriser ses anciens maîtres". Il semble que le nôtre n’ait pas mieux grandi.
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Aujourd'hui, il n'y a plus la grâce. Tout est forcé. Et, si l'on va jusqu’à la fin, il faut s'effacer, subir la solitude, la mollesse, le défaitisme, renoncer. Moi, je ne veux pas renoncer. Je ne suis pas encore mort. C'est juste que cette époque ne permet plus la joie. Est-ce qu'il y a encore des choses qui peuvent nous procurer du plaisir? Dans la société dans laquelle on est, il n'y en a quasiment plus, alors que le monde en est plein.
De la guerre, Bertand Bonello (2008).
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tournevole · 1 year
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Le pain. La surface du pain est merveilleuse d'abord à cause de cette impression quasi panoramique qu'elle donne : comme si l'on avait à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes. Ainsi donc une masse amorphe en train d'éructer fut glissée pour nous dans le four stellaire, où durcissant elle s'est façonnée en vallées, crêtes, ondulations, crevasses... Et tous ces plans dès lors si nettement articulés, ces dalles minces où la lumière avec application couche ses feux, - sans un regard pour la mollesse ignoble sous-jacente. Ce lâche et froid sous-sol que l'on nomme la mie a son tissu pareil à celui des éponges : feuilles ou fleurs y sont comme des sœurs siamoises soudées par tous les coudes à la fois. Lorsque le pain rassit ces fleurs fanent et se rétrécissent : elles se détachent alors les unes des autres, et la masse en devient friable... Mais brisons-la : car le pain doit être dans notre bouche moins objet de respect que de consommation. « Le Pain », Le parti pris des choses, Francis Ponge, 1942
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