#mimera
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Estoy aprendiendo a quererme y a ponerme en primer plano por mimera vez...
Quien se ama a sí mismo, sabe despedirse sin mirar atrás.
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🔵 #Economía EVALÚAN COBRAR MÁS IMPUESTOS A MIMERAS
El ministro de Economía Pedro Francke, mencionó que evalúa cobrar un impuesto adicional a las mineras con grandes ganancias.
Destacó el precio que registró este año el cobre, el cual ha estado por encima de los 4 dólares por libra....
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Metallica, el trash metal que nació para quedarse.
http://newsgdl.com/2020/10/28/metallica-el-trash-metal-que-nacio-para-quedarse/
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Conclusion volet théorique
En conclusion, ma recherche sur la dépendance affective m’a amené à plusieurs éléments. D’abord, la dépendance affective est un trouble d’ordre mentale dans lequel l’être ne se voit qu’à travers les yeux d’une seule personne, son estime personnelle dépend de cet autre être. Il est donc impossible pour le dépendant de se construire en tant que personne à part entière. Ce trouble mène à des relations (autant amoureuse que familiale ou d’amitié) toxique où les deux personnes ne sont pas bien. Du côté du dépendant il ne se sent jamais assez aimé, il s’inquiète toujours de ne pas plaire à l’être et veut se donner corps et âme à la personne, et de l’autre côté l’autre personne se sent généralement confuse, inconfortable et étouffé. Je me suis premièrement attardé sur la phrase « ne se voir uniquement dans les yeux de l’autre », j’ai donc voulu faire en sorte qu’une seule personne puisse regarder l’œuvre à la fois de là j’ai essayé de transformé les caractéristiques d’une relation où quelqu’un possède une dépendance affective en éléments métaphoriques physiquement exploitable dans mon œuvre.
Mon intention est de faire une installation qui comprendrait une boîte et des tentacules incluant les médiums de la peinture et la sculpture majoritairement. La boîte sera à côté d’un coin de pièce et n’aura qu’une ouverture où on peut observer à l’intérieur de celle-ci, le spectateur devra donc se faufiler dans le coin de la pièce pour pouvoir voire l’intérieur de la boîte. Des tentacules « sortiront du mur » dans ce coin contraignant l’endroit destiné au spectateur. Ces choix artistiques ont pour but de mettre le spectateur à la place de quelqu’un qui est dans une relation (amitié ou amoureuse) où l’autre personne est dépendant affectif envers lui. Le spectateur restreint au coin se sentira inconfortable, étouffé. Dans l’installation l’œuvre serait la personne dépendante affective, envers le spectateur.
À l’intérieur de la boîte, au fond, sera une peinture d’une femme dans une position vulnérable, ayant un regard très émotif dirigé dans les yeux du spectateur. Son corps ne sera pas complet et une de ses mains sera porté vers le spectateur tentant de l’atteindre. Le corps incomplet tient parce que les gens qui possède se trouble se retrouve dans l’impossibilité de se créé en tant que personne. Du sol de la boîte sortira les tentacules qui pointeront aussi vers le public. Le fond sera gris noir et mimera une tempête. Le but d’isolé cet élément est de souligné un des aspects de la dépendance affective, le fait que l’être souffrant de ce trouble ne se voit qu’à travers les yeux de l’être aimé. Les dimensions seront plus petites que l’échelle humaine pour souligné la vulnérabilité du sujet.
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Inspiré par un pétage de câble sur .txt
Mais fermez vos putains de gueules
Vous suivez tous le même chemin
Tu sucerais pour te sentir moins seul
Et c’est dans ta face qu’on retrouvera ma main
Me parle pas de ta non conformité,
quand tu bois ton Coca au KFC ,
Me parle pas de ton social succès,
enculé, t’as juste 1000 amis sur FB
J’ai déboulé dans un monde de copies
et si j’avais su… Putain jme serais enfui
Et si jamais jvivais ici mes dernières heures
Autant balancer ce que j’ai dans le crâne et sur le coeur
Non ?
Tes putains de cheveux bleus ne te sortiront pas de la norme,
Comme tes faux traits, pâle, et mornes ,
Forge toi par toi même
au lieu de suivre cette foule d’exemples sans thèmes
Sombre connard, ton peu de culture te mènera nulle part ,
N’en sois pas fier et descends de ton putain de char,
Par rapport aux autres tu n’as rien de plus
Tu n’es qu’une autre place prise en plus dans le bus
Fils de lâche, ton courage n’existe qu’autour des tiens
Et encore même avec eux, t’assumes presque rien
Tu n’es qu’un autre chien qui aboies
Celui qu’on voudrait abandonner dans les bois
Mais sale pute, tu penses pouvoir vivre sans selfies ?
Sache qu’à chaque flash ta beauté dépéris
Ton corps , ton visage ont perdus toutes réelles traces
Elles ne brilleront plus sous le maquillage espèce de connasse
Enfoirés de sensibles, on ne peut plus rien dire sans vous choquer
faudrait voir à grandir et à s’endurcir
Ce qui me tue, c’est cette putain de fragilité
A chaque mot polémique faut réagir !
Racisme, Trump,PD, Femen, Kippa, Migrant
Tant de mots et d’ordres d’aboiements,
Laisses les gens avoir une opinion
et si t’es contre, énonce juste ta ptite raison
Au lieu de tes pseudo débats débiles
Et tes manifestations stériles
En attendant que l’Homme sache parler
Au lieu de ne dire que des paroles rapportées
Et ne pense pas t’en sortir le jour ou je vais péter un cable
Tu te formeras sous ma main toi qui est si maléable
Si l’enfer c’est les cons on s’y retrouvera
tu mimeras les mouvements dictés par mes doigts
Pas de dépaysement
Toi et tes potes vous le faites tout le temps
Je ne supporte plus la religion
Tous parti dans le délire à profusion
Si Dieu pouvait écrire son propre bouquin
Il ne vous tendrait surement pas la main
Vu toutes les conneries que vous faites �� son nom
ça lui a donné envie de se jeter du haut d’un pont
Parti sans féliciter ceux qui ont crié son nom le plus fort
Ou ceux qui auront fait le plus de morts
Et nous voilà dans un monde sans dieu, sans valeur , mais avec religion et ‘honneur’, c’est affligeant
Je ne veux plus parler d’eux, je ne veux plus voir ces gens
Alors je resterai avec les miens
loin des idées de ce que pourrait être un lendemain
Florian Chinaski
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Photo
Voici les détails de chaque objet avec les différentes textures qui serviront aux différents éléments. L’oreiller reprend la texture molle et fissurée (qui mimera le plissé de la taie), tandis que l’arrondi du charbon poncé reproduira la forme de la tasse et que les coupes droites reproduiront le vocabulaire formel des télécommandes.
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Déroute et des routes
Cela m’a frappé, comme ça d’un coup un soir, une contusion dans l’hémisphère droit, une confusion dans celui de gauche, sonné, c’est ainsi que font les idées quand elles vous percutent. Cela m’a paru comme une évidence, demain, je reprendrai la route, je quitterai la ville en voiture, automatique sur l’autoroute, j’irai droit à travers les champs de bitume, le souffle de Borée dans le dos à travers l’orée des bois, j’accélérerai comme si j’échappais à mon passé, à cette ombre, cette absence de lumière qui me poursuit depuis des années déjà, comme si ces 15 ans dans ces rues n’avaient pas existé, que je n’étais pas arrivé un jour neuf et innocent, plein d’espoir et de sottise dans le quartier, à sourire aux inconnus et à chercher mes semblables, comme si je n’avais jamais été bafoué, insulté ou moqué. Mes sièges passagers seront vides, sans compagnon de déroute, je serai libre comme l’air.
Je partirai, sans ceinture, sans attaches, sans bagages, je ne sais pas où j’irai, la musique continuera de résonner dans les boîtes trop remplies d’êtres creux, les gens ne cesseront de hurler dans les métros trop pleins, les mendiants de mendier, les solitaires subsisteront, ceux qui resteront feront l’amour, d’autres baiseront, d’aucuns vivront et d’autres mourront mais je ne serai plus là, je ne laisserai aucun vide. “Dans les rues de la ville il y a mon amour. Peu importe où il va dans le temps divisé. Il n'est plus mon amour, chacun peut lui parler. Il ne se souvient plus; qui au juste l'aima et l'éclaire de loin pour qu'il ne tombe pas?”, je me réciterai le poème, ânonnant cette élégie élogieuse aux gens que j’ai aimé et qui ne sont plus. Je le conjuguerai au pluriel en n’oubliant pas que les mots amour, orgue et délice deviennent féminins lorsqu’ils/elles sont multiples, c’est ce que veut la grammaire, c’est ce que disait ma grand-mère. Personne ne se souviendra de moi, la musique passera à la radio au fil du chemin parcouru et je me sentirai bien, j’aurai oublié tout cela et je me serai oublié.
À 120 kilomètres par heures sur l’autoroute, je filerai à travers les routes de France, dans les Alpes désertes fleurir le mausolée de granit désolé de souvenirs oubliés, de jeunesses perdues, de regrets oblitérés. Et face à moi se mêleront les ancolies aux narcisses et à mes pensées comme souvent dans le passé. Je me souviendrai de l’herbier de mon enfance, des constellations apprises puis oubliées, je me rappellerai quand ma mère me disait, tu verras tout ira bien. Je penserai aux nuits froides sous la tente, à mes bouquins au milieu des bouquetins, aux randonnées sans fin où personne ne m’attendait, aux marmottes alarmées qui sifflaient paniquées. Je retournerai aux sources des torrents glacés qui vous font la gorge froide et le cœur chaud, les miroitements du soleil sur les remous de l’eau agitée, lucioles diurnes. Je remangerai les fraises sauvages et me remémorerai mes racines perdues dans des villages de pierre oubliés où plus personne ne m’attendra, où plus rien ne m’entendra ni ne m’atteindra.
Je m’arrêterai chez lui, face à la bicoque perdue au fond de cette vallée et nous nous embrasserons comme si tout ça ne s’était jamais passé ou que cela était du passé. Ou alors je resterai à la porte, il mimera n’être pas là et je renaîtrai quand même devant cette maison close si connue par d’autres printemps. Je lui laisserai une lettre, enfin plusieurs, ils appellent cela un mot, enfin neuf, neufs mots pour être neuf, " je t’ai aimé il y a longtemps, merci”.
Gorgé de courage et de nonchalance, je reprendrai la route et ferai chemin jusqu’à l’appartement maudit, je n’aurai plus les clefs, je n’aurai plus les mots mais pourtant j’y passerai, je sonnerai trois fois, trois fois comme autrefois. Il saura alors que c’est moi, il ouvrira ou se taira. Je dirai voilà, je suis ce secret, je suis cette honte que tu avais, je suis cette saleté sur ta paternité. J’abandonnerai sur le palier ce qu’il me reste de lui, ces lunettes et une montre cassée.
Je reprendrai la route et je roulerai, roulerai jusqu’à la mer, jusqu’aux rouleaux de l’océan déchaîné, je m’arrêterai pour vomir plus d’une fois, j’ai toujours été malade en voiture, a fortiori en pensant au passé. Je tituberai dans les sables émouvants jusqu’à m'abrutir dans les courants comme un aboutissement et enfin me maintenir à flot, quand j’étais enfant je pensais que j’étais une sirène. La mer et l’anonymat me caresseront doucement, là-bas je n’étais rien aux yeux de personne, ici je ne serai personne aux yeux de rien.
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Merida and Hiccup
by mimera
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viria replied to your photo: it’s a-me! grisselle! I felt like posting a selfie...
YOU. ARE. SO. BEAUTIFUL. gods you’re gorgeous *_____*
erenjaega replied to your photo: it’s a-me! grisselle! I felt like posting a selfie...
wtf youre really pretty
princessesoupir replied to your photo: it’s a-me! grisselle! I felt like posting a selfie...
youre so pretty omg
ahaha thank you :>> but do you see how much eyeliner I was wearing?? trust me I look hella rough 99% when I don't have to leave the house
mimera replied to your photo: it’s a-me! grisselle! I felt like posting a selfie...
You are so pretty! *o* and you look exactly like the character on your profile picture on your tumblr!
thank you....but it is a lie...I wish my eyebrows were that thick and dark..they are not, I am a fraud..and I have been ever since I discovered that you could darken them with a makeup pencil....they don't even naturally arch :'(
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heY WHAT ARE YOU DOING HERE
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Original by the lovely Mimera Colour by me
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