#merci à mon prof; j'ai fait beaucoup de traduction
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oh good news for those of us who only saw the english version of the french union call for testimony, or who don't speak french:
when in english they said quackity "half-heartedly" acknowledged things, in the french version the word they used was "demi-mot". having consulted a few dictionaries i THINK it's not a direct translation or at least not a wholly accurate one. from what i'm seeing, "reconnaître à demi-mot" roughly means "to admit indirectly". translation of "demi-mot" directly seems to be something like "implicitly" or "without spelling things out".
i've linked the sources where i found the translations for any english speakers who want to double check and please, any native french speaker who disagrees PLEASE tell me if you have a different translation than was provided, or have insight on the connotation!!
"half-heartedly" implies a lack of personal or emotional investment which i think got a lot of us on the defensive (certainly raised my eyebrow) but i think that's just an imperfect translation. from what i'm seeing, 'demi-mot' doesn't have those same connotations.
(incidentally, putting 'reconnaître à demi-mot' into google translate does produce 'to acknowledge half-heartedly'; no shade, to be clear, considering they're a FRENCH union i wouldn't blame them if they had to use online translation tools, and 'demi-mot' is hard to translate, at least for me)
both english and french versions of the call are linked in this post
ADDITION FROM THE REPLIES:
@selemina : "French speaker here, you are very right! In this context, it could mean "he recognized, without saying so explicitly [...]". Or it is a notion of not enough being said on a subject. There is a layer of secrecy to something said 'à demi-mot', which often implies dishonesty. Applied to this context, I think the union is suspicious of Quackity's latest declaration (probably from seeing many dishonest people in charge before) but still reporting the facts." (THANK YOU!!)
#qsmp#qsmp discourse#merci à mon prof; j'ai fait beaucoup de traduction#je suis prête à trouver des mots difficiles >:)#je ne peux pas parler français mais je peux traduire des mots individuels#sorry francophones lol#sept ans mais je ne sais rien mdr#i thought about asking for correction by french speakers in french but then the phrasing got too complicated and i chickened out#i would be SO EMBARRASSED IF I FUCKED UP#i know native french exist on this website now ;w; ça me fait peur#this post is a mess i'm so nervous to post this lmfao
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Holà !Plusieurs questions, si tu as le temps bien sûr : 1) j'ai du mal à organiser mon travail en philo (je suis en HK) j'essaie de tout lire mais ça ne mène à rien car je ne retiens rien et je ne sais ps faire le lien entre textes et sujet de disserte (étrangement ça n'arrive qu'en philo) 2) il y a assez longtemps tu as dit que tu faisais des "semaines de telle matière" pour réviser, tu pourrais expliciter davantage ce que tu faisais sans prendre de retard par rapport aux autres cours ? Merci !
Salut ! Ça va être une longue réponse en deux parties !
1)
En philo, je travaillais en séparant en deux, d’un côté ma connaissance des textes d’auteurs (savoir qui a dit quoi, qui était d’accord ou pas d’accord avec qui, finalement un peu d’histoire de la philosophie), et de l’autre côté ma compréhension des notions (les couples de notions à opposer, les termes proches mais à distinguer, etc, ce qui peut paraître un peu plus ‘universel’ : tel mot fait référence à tel concept plus ou moins pour tout le monde, même si ça arrive de temps en temps qu’un même terme veuille dire des choses différentes d’un auteur à l’autre).
Pour cette première partie, j’étais beaucoup avantagée par le fait que notre prof nous donnait énormément de polycopiés d’extraits de textes qu’elle avait elle-même sélectionnés et découpés, ce qui fait qu’on était déjà sûrs que c’était des extraits dont on allait pouvoir se servir, que c’était des textes plus ou moins majeurs, et que ça allait avoir un rapport avec le cours. Du coup, je n’ai lu quasiment aucune œuvre complète en philo. Si ton ou ta prof fait ça, c’est génial, et dans ce cas là je te conseille simplement de ficher tous ces extraits (ou s’il y en a trop, le plus d’extraits possible en les numérotant pour les retrouver facilement), ce qui te créera une banque de références. Voici une image du carnet de références que j’avais en philo.
Les extraits résumés ici devaient faire entre 2 et 10 pages, donc tu vois dans mes résumés que le but était d’être vraiment très très concise pour pouvoir y revenir rapidement. Tu peux voir dans la marge le numéro du polycopié de ma prof où apparaissaient ces textes (la numérotation était hyper importante parce que je n’ai pas fiché dans l’ordre chronologique des distributions des polys dans l’année, il y a toujours des priorités et des urgences qui arrivent, qui font qu’on doit faire des choses dans le ‘désordre’). Et dans le titre, la référence la plus précise possible (cf pour l’extrait de Weber, avec le titre de l’ouvrage et le titre du chapitre). Surlignés en violet sont les passages vraiment importants, et soulignées en vert sont les citations exactes que j’ai juste recopiées du texte pour pouvoir idéalement les mémoriser par coeur. J’ai une cinquantaine de ces petites pages de fiches d’extraits, c’était vraiment hyper pratique et ça m’a permis d’avoir une idée d’ensemble et c’est en faisant ce travail que j’apprenais le contenu des textes.
Si ton ou ta prof de philo ne vous fournit pas vraiment de textes sélectionnés, j’ai peur de ne pas pouvoir te conseiller mieux que ça, parce que j’étais moi-même un peu débordée par la philo avant de tomber sur cette prof et ses polys bénis… Mais rien ne t’empêche d’aller voir et de réclamer une bibliographie plus précise, réduite au strict minimum des choses essentielles, normalement c’est justement le métier du prof de vous prémâcher ce travail-là. Si vraiment tu n’as aucune indication et qu’on ne te conseille que des œuvres complètes (impossible de tout lire), fais peut-être ce travail de fichage avec les intros et les conclusions, ou sélectionne un chapitre par ouvrage qui te semble vraiment en lien avec le cours.
Ensuite pour la seconde partie que j’ai mentionnée, avec les notions, je faisais des trucs comme ça :
Surlignées en violet, les notions, qui ont été désignées explicitement par la prof comme des notions importantes, qui peuvent par exemple apparaître dans la formulation d’un sujet, et qui apparaissent pour la plupart dans des dictionnaires de notions philosophiques. En dessous au crayon à papier : une petite explication de la notion dans le cas où j’en ai besoin. Et plein de flèches, de trucs entourés, encadrés, etc, pour voir les liens entre ces notions. Enfin, surlignés en jaune, les noms des philosophes concernés par ces notions (et je peux ensuite retrouver plus précisément ce qu’ils disent sur ces notions dans mon carnet de références). C’est le fait d’éparpiller les noms de ces philosophes en petit dans ces schémas qui me permet de faire le lien entre les textes lus et les notions qu’on trouve dans les sujets. Pour moi c’est ce travail là qui est primordial parce que tu peux le faire sans avoir beaucoup de références mais en travaillant principalement avec le dictionnaire des notions (voire avec un dictionnaire normal même si tu ne vas pas aller bien loin) et en faisant preuve de bon sens, ce qui est souvent le premier critère en philo.
Il faut que tu identifies toutes les notions majeures qui se rapportent au thème de l’année, ou (mieux) au chapitre du cours que tu es en train de réviser, et que tu arrives à les faire dialoguer entre elles (exemple ici en haut à droite de la page, l’intentionnalité définie par Husserl s’oppose à (VS) la res cogitans de Descartes, car l’une est une façon d’être au monde, tandis que l’autre est une chose, qui existe en l’homme indépendamment du monde). Si tu as bien fait ce travail, dans le sujet de disserte tu auras des notions qui apparaissaient à un endroit ou à un autre sur ton schéma, et donc tu sauras rapporter les notions du sujet à a) d’autres qui leur sont proches b) d’autres qui leur sont opposées c) des philosophes qui ont travaillé dessus.
(Je précise que tout ça est schématique et que c’est seulement un outil pour apprendre. Au moment de restituer il faut rétablir la complexité et la nuance de ce que tu as pu lire, mais tu ne pourras rien restituer si tu n’as rien retenu, et pour retenir on a souvent besoin de simplifier.)
Malheureusement si tu n’as pas de conseils assez précis quant aux choses à lire, et que tu n’arrives pas du tout à comprendre la façon dont les notions du programme s’articulent, il faut envisager l’hypothèse que ton ou ta prof ne fasse pas très très bien son travail, et éventuellement envisager de demander le cours de tes camarades d’une autre classe, ou bien de chercher des ouvrages de semi-vulgarisation qui pourront t’offrir les clarifications de notions et les pistes de bibliographie que le cours est censé fournir. Avant d’employer ces grands remèdes, n’hésite surtout pas à lire les définitions des notions dans le dictionnaire philosophique de ta bibliothèque et à poser des questions en cours : « J’ai lu que [notion A] se définissait de telle façon, et j’ai du mal à comprendre où se place [philosophe X] par rapport à ça ? Est-ce que quand il utilise [notion B] ça veut dire la même chose ? » etc. D’autre part je précise que moi j’ai développé des méthodes qui m’allaient à partir de ma situation de départ, et la façon dont les cours de mes profs étaient organisés faisaient partie de ma situation de départ, donc n’hésitez pas à vous inventer vos propres méthodes de révision en fonction de ce qu’on vous donne !
2)
Pour la division des révisions, je parlais spécifiquement de la khâgne, parce que c’était vraiment dans l’optique du concours. J’ai déjà dû en parler de façon assez détaillée mais en khâgne le travail se divisait pour moi de cette façon : d’un côté les devoirs à court et moyen terme, c’est-à-dire les choses à rendre, les trucs à réviser pour une interrogation (et non pas un concours blanc), les trucs de grammaire, les préparations de colle, etc ; et d’un autre côté, l’apprentissage à long terme pour le concours, c’est-à-dire simplement emmagasiner assez de choses pour pouvoir traiter n’importe quel sujet de disserte qui peut tomber aux écrits. Au fur et à mesure que ma khâgne avançait (et ne parlons pas de ma khûbe), j’étais de plus en plus focalisée sur le concours et sur ce que j’avais besoin de faire pour y arriver, ce qui fait que j’avais l’impression que le côté 2, que je considérais plus important, était parfois ‘parasité’ par le côté 1 : j’aurais bien aimé passer l’aprèm à apprendre un maximum de dates en histoire, mais j’avais cette traduction à rendre pour mercredi, ou cette interro de vocabulaire à réviser.
Mais le côté 1 ne doit pas être négligé, sinon c’est ça qui te ferait prendre du retard sur les autres matières : les profs donnent des devoirs, il faut les faire, et les traductions et les interros etc servent d’entraînement au long de l’année, ce qui est aussi important. C’est juste que dans une séance de travail, je faisais les choses du côté 1 en premier pour en être ‘débarrassée’, puis j’employais le reste de l’après-midi à travailler sur le côté 2, c’est-à-dire en gros à lire et ficher des choses et à les apprendre. C’est ça qui prend le plus de temps, mais c’est ça qui paraît le plus ‘productif’ parce que c’est ça qui t’arme pour les dissertes des écrits. Mais c’est aussi la partie du travail qu’on ne peut faire qu’une fois que le reste, ce qui est à faire à court terme, est fini et rendu.
Du coup quand je disais que je faisais des semaines par matière, je ne parlais que du côté 2, c’est-à-dire que pendant une semaine, à chaque fois que j’arrivais à la bibli, je faisais mes devoirs, dans toutes les matières, et une fois que j’avais fini je passais tout le reste de mes après-midis à lire et à ficher de la philo, en vue du prochain concours blanc. La semaine suivante, à chaque fois que j’arrivais à la bibli, je faisais aussi mes devoirs du moment dans toutes les matières, mais je passais tous le reste de mes après-midi à lire et à ficher de l’histoire. Etc etc. Et comme chaque concours blanc était séparé du précédent par un peu plus de six semaines, ça me faisait à chaque fois une semaine de vrai apprentissage par matière, ou un peu plus.
Mais je précise aussi que je n’ai pas fait ça tout au long de ma prépa et que plein de choses ont changé au fur et à mesure, c’est juste que c’est la méthode que j’ai adoptée vers la fin de ma prépa, quand j’avais une vitesse de croisière, ce qui fait qu’elle m’a paru être la plus efficace et la plus tranquille. Voici le début de mon agenda de khâgne, avec encadrées en orange les semaines de concours blanc, encadrées en vert les semaines de vacances, et écrites en diagonales les matières de la semaine. Mais tu vois que j’ai ajouté en plus des autres trucs de travail d’autres matières pendant certains jours de certaines semaines (tu peux voir que tous les premiers dimanches du mois je m’étais noté de faire des résumés de textes de philo, peu importe la matière de la semaine où ça tombait) (mais j’avoue que je le faisais rarement à ce moment là).
J’espère que c’était un peu plus clair !
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@papillonnement a dit :
Sérieux, un prof ?! :o C'est génial ça ! Moi aussi je suis en cours de russe depuis le début de l'année, mais on est que 5... J'ai vu que tu avais fait un tour, et oh, merci, c'est la première fois que quelqu'un parcoure mon blog !! ♥ Et merci :D Tu es chouette tout autant ! J'ai en fait commencé le russe depuis peu ; août dernier, je crois. Et toi ? Je ne suis qu'au lycée, et non, même si j'aimerais bien, il n'est pas anglophone... Mais toi, en ce moment tu fais quoi ?
Oh que c’est super ! T’as de la chance de pouvoir suivre un cours de russe au lycée...il y a beaucoup de langues étrangères à ton lycée ? (pas seulement l’anglais, l’allemand comme d’habitude...)
Так я тоже в школе но я учусь в чистом укоре) et c pas TOUT !! Mon prof elle parle aussi français :D alors il y a pas mal de mots russes pour lesquels j'ai du mal à penser à une traduction anglaise ;) par example, на самом деле, pour moi, me fait toujours penser à “en fait”, pas “actually” ;)
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