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#mannequinnat
fashionweekdecunlhat · 8 months
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CR : Fashion MEET du 19 janvier 2024
Reporting by zaza ! merci <3
Tour de présentation des présent·es
Emmanuelle, Manue c’est plus court : Je vais très bien j’ai passé une semaine super mais j’aime pas la neige. Clairon : J’adore dessiner sur les cacahuètes. Globalement ça va, c’est ma première réunion fashion week. J’aime plus la neige, ça me saoule. Joey : Je suis très fatigué et content d’avoir mangé des chips au vinaigre. Première réunion fashion week. Cécile : ça va ! C’est ma deuxième réunion mais un peu déçue de ne pas avoir fait la semaine de couture. Louis : ça va très bien mais un peu fatigué. Je n’ai pas pu être là cette semaine, c’est ma deuxième réunion mais je n’ai rien cousu. Catherine : J’ai été toute la semaine aux Faidides mais c’est ma première réunion. Marianne : J’ai passé la semaine aux Faidides, c’était agréable et je tresse de la ficelle bleue pour faire une robe. Myriam : J’ai fait deux jours à faire des trucs avec du papier peint. C’est ma première réu fashion week. Noélie : Je suis un peu en furie, il faut que je me calme. J’ai été un peu aux Faidides. Joelle : 1er réunion mais j’ai passé la semaine aux Faidides. J’ai raté ce que j’ai fait mais j’espère faire mieux. Zaza : Je n’ai rien cousu et ne suis pas sûre d’en faire. Par contre, je prévois de faire une conférence. C’est ma première réu. Hélène : Je suis de loin avec beaucoup d’excitation et 1e réunion pour humer la créativité. Thelma : humhummhuhihimm pffffrrriouuuu
Manue nous fait le compte-rendu de la 1er réunion de la Maison Mère
La maison mère gère l’orga générale et est composée de : Marcus, Paul, Lucie (Grande aux ailes), Léa (Auzelles), Zoé G, Manue 
Le dimanche 10 novembre est la date choisie pour le défilé de la fashion week (le 11 novembre est férié) + possibilité d’événements en amont.
Public visé : environ 500 personnes, ça sera peut-être beaucoup moins ou beaucoup plus ! Pour référence, le défilé rural à Blada, a accueilli plus de 450 personnes et tout le monde n’a pas pu rentrer (voir le pdocast sur le défilé rutal).
Le lieu doit être une grande salle, l'organisation simple et efficace. Une base de qualité qui met en valeur les créations et les maisons de couture. Le gymnase de Cunlhat est l'option retenue pour l'évènement. Possibilité de mettre de la moquette rouge au sol, et utiliser les grands rideaux pour couper la salle en deux. Attention à gérer l’interdiction de consommation des boissons/alimentation dans la salle principale. Le repas sera sans doute fait par le collectif EnSol => collectif ensemble et solidaire qui fait des repas aux profits de personnes exilées.
17 maisons de couture ont été évoquées = on peut imaginer 10 minutes par maison = 3h de défilé. Cela pourrait se passer de 17h à 20h suivi d’une fête (costumée bien sur !). Organisation et passages à recalibrer une semaine avant en fonction des participations réelles.
Partenariats possibles :
Le Bief pourrait être un soutien technique
La médiathèque de cunlhat est très déjà très investie et propose des livres sur le sujet. Envie de faire des conférences également, possibilité d’y faire celle de Zaza sur le bon gout !
Il faudra faire de la comm bientôt pour ouvrir à d’autres maisons de couture = comm prévue en février puis à la rentrée pour communiquer sur la fashion week en elle-même.
Plein de gens disent : « J’ai plein de trucs si ça vous intéresse » donc il y a un tableau de petites annonces pour mettre en lien les personnes qui donnent/qui cherchent »
Tour des projets et idées du moment :
Une agence de mannequinnat : contacter Célien pour vous manifester et qu'on prenne vos mensurations : [email protected]
Clairon et Emmy : la Maison bouffon·ne  Défilés à partir de tas de costumes. Toujours une personne qui défile avec les autres qui cherchent à ajouter des éléments à leur costume en direct + maquillage. Environ 10 personnes peuvent participer. Cela peut être le tour de chauffe de certain·es mannequins Possibilité de défiler pour d’autres personnes ensuite.
Noélie : la melting pot Elle n’a pas autant de texture qu’elle voudrait pour faire un truc « animal » mais finalement elle serait intéressée par la Maison récup. "J’avais plein d’idée et c’est retombé, un peu dans le flou pour le moment."
Manue : les choses magiques Les mythologies, les monstres, les forces magiques, les étoiles, etc. Elle fait un kimono avec ces tatouages des choses qu’elle aime bien dans sa vie. Elle a aussi cousu un pyjama, avec un chapeau ou masque. Elle a fait une cape cousue avec des constellations d’étoiles (c’est très long !). Envie de faire des chasubles à accrocher à la taille et très ornementés. Idée de vêtements de cérémonie. Manue accueille des petites mains qui pourraient l’aider (de coudre des boutons à plus compliqué)
Catherine : sauvetage d'une tente à la poubelle Pendant les vacances, elle a trouvé une tente et se lance dans la Maison Récup. Influence : Gorp core (vêtements de la montagne porté en ville). Cette semaine, elle a commencé une robe en toile de tente + une capuche avec une autre partie de la tente + doublure avec un duvet + projet de robe de soirée en plus avec la tente. Si on trouve d’autres tentes, lui faire passer ?
Marianne : le tressage au doigt (de pied) Robe en ficelles de paysan crochetée au doigt + blouson en bâche d’enrubannage rose (si on a un plan récup lui dire !). Autre projet : robe simple en lin avec un masque plume/graine/poil/lichen. Récupérer des k-way et mettre des têtes d’animaux en sérigraphie pour les cyclistes. Trouver le plan pour faire des impressions réfléchissantes ou des coutures en tissus réfléchissants. Possibilité de récupérer des vêtements techniques (pompiers ou autre) et récupérer les parties réfléchissantes
[Puis on a parlé des cerfs zombies qui commencent à atteindre le mooooooooonde.]
Joey : la réflexion en cours Au début de la réflexion sur ses envies. Envie de créer mais ne sait pas quoi. Je suis chaud pour aider aussi pour créer des choses (peut-être petite main pour Manue). Intérêt pour l’idée de contraste : se cacher/se montrer.
[À ce sujet : Carolane et Victor se demande s’il y aura des reveals ? ]
Joëlle : Paco(tille) Rabanne Robe en récup type Paco Rabanne en CD. Comment les percer ? Pointe chaude ? Lui donner nos vieux CD (Michel Sardou vivement conseillé).
Arthur : les sous-vêtements de la terre Idée à plusieurs de faire les sous-vêtements de la terre. Peut-être autour des ateliers couture des Lococotiers (les mercredi de 16h à 18h) + avec Léa D. => à organiser ! Ou bien sur l’idée de la chèvre de monsieur sequin.
INFOS : le carnaval d’Ambert le 6 avril et celui de Cunlhat peuvent être un des lieux pour aller présenter ses costumes.
Question d’Arthur : est-ce que c’est intéressant de creuser la possibilité d’avoir des conférences sur la production textile ? Il a un contact d’un groupe de personnes qui a réfléchi à cette question ; voir avec des historien·nes sur les luttes sociales liées au textile. Dominique Cardon, historienne et scientifique de la matière et a fait des recherches sur la teinture végétale et thésarde sur la draperie au Moyen Age (filière de la laine), question du lien entre « naturel et écologique (ou pas) ! » Question du défraiement pour ces conférences ?
Conférence par Zaza : la construction du goût Elle propose une conférence sur la construction du goût. Le bon goût existe-t-il ? En partenariat avec la médiathèque de Cunlhat. Peut aider la maison mère si besoin : à voir lors des prochaines réunions si besoin qu’elle rejoigne la maison mère. Possibilité de participer à l’animation publique du jour J aussi si besoin.
Amande et Ella : idées de mise en corps des mannequins pour les défilés
Cécile : la SMF (sans maison fixe) Le truc de la maison, ça lui fait peur en raison de sa présence discontinue. D’autres personnes n’ont pas le temps donc demande la possibilité de faire une maison fourre-tout ou de se coller dans d’autres maisons. La réponse est oui, possibilité de s’ajouter à une maison en cours en fonction de sa création. Envie de fluo et de bleu roi !
[On se dit : « La cohérence, c’est l’incohérence »]
Louis : Bici Social Crew (Lieu-Dit à Clermont) Envie de faire des choses, des discussions sont en cours. Envie de reporter les vêtements (lors de performances par ex.) ou encore par des teams de prévention qui sont présentes en soirée pour discuter consentement ou autre. Envie d’être identifié·es en faisant partie de ce groupe là mais en étant un peu grimmé·es.
Lika et Cécile Elles vont se voir une fois par mois. Elles cherchent des sacs plastiques de couleurs, filets d’oignons.
La suite ?
Potentielles sorties dans des musées ? Musée du costume à Moulins, musée du textile à Clermont, musée d’art et d’industrie à Sté selon les expos, St Jean du Gard – expo sur les vers à Soie. Proposer et se tenir au jus en fonction des envies !
Prochaine résidence de couture et cie : semaine du 22 avril 
On pourrait faire comme la dernière, du lundi 22 au dimanche 28 pour permettre à certains de se libérer le weekend ! On sera encore aux faidides parce qu'il y fait bon vivre et qu'on a de la place (et qu'ils nous ont confirmé la dispo à ces dates)
Bisou bon’nuit !
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devenirmilliardaire · 3 years
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Quand drogue, sexe et alcool infestent le milieu de mannequinat https://tinyurl.com/yzmjjz48 Chez les différentes personnes interrog... #Alcool #dangers #Drogue #Homosexualité #Lesbianisme #mannequinnat #people #Sexe
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sportskafunel · 3 years
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Quand drogue, sexe et alcool infestent le milieu de mannequinat https://tinyurl.com/ydnrezcy Chez les différentes personnes interrog... #Alcool #dangers #Drogue #Homosexualité #Lesbianisme #mannequinnat #people #Sexe
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buzzkafunel · 3 years
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Quand drogue, sexe et alcool infestent le milieu de mannequinat https://tinyurl.com/ygqx4b4f Chez les différentes personnes interrog... #Alcool #dangers #Drogue #Homosexualité #Lesbianisme #mannequinnat #people #Sexe
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kafunel · 3 years
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Quand drogue, sexe et alcool infestent le milieu de mannequinat https://tinyurl.com/yg5e2gh6 Chez les différentes personnes interrog... #Alcool #dangers #Drogue #Homosexualité #Lesbianisme #mannequinnat #people #Sexe
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vyragosa · 4 years
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C'est si étrange de parler et lire en français sur internet j'ai pas du tout l'habitude fan du concept (sinon l'idée d'overblot vil couvert des pieds à la tête alors que son job c'est le mannequinnat donc une certaine exposition du corps? le symbolisme de lui qui voudrait être reconnu pour autre chose que son apparence mais qui est tellement habitué qu'il ne sait pas comment faire pour? Ouch)
MOI NON PLUS LOL j’ai dû mal je dis que des gros mots je parle trop mal -_-
ah je souffre là, je souffre....bcp d’artistes le dessine avec un voile de veuve éploré et le pire c’est que je suis totalement d’accord avec l’esthétique c’est vraiment ça c’est terrible?  en deuil de quelque chose de plus grand
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songedunenuitdete · 7 years
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Top School T1 : L'école des top de Toni Brandao
[Chronique de Littlepadfoot] Mon avis sur Top School T1 : L'école des top de Toni Brandao : Un roman jeunesse qui se déroule dans une école de mannequinat prestigieuse, j'ai bien aimé ce roman mais j'en attends plus du deuxième tome qui sort au mois de juin chez Hachette.
:star: Top School T1 : L’école des top de Toni Brandao
Nombre de pages :  300 pages Editeur :  Hachette Romans Date de sortie :  22 mars 2017 Collection :  Bloom Langue :  Français ISBN-10:  2012035000 ISBN-13:  978-2012035003 Prix Editeur :  14,90€ Disponible sur Liseuse : Oui
Son résumé :
Aujourd’hui, c’est le grand jour ! Deux mille adolescents et adolescentes concourent pour intégrer Top School, la…
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Shoot in studio with Matthieu Jos and produced by MAJE Production
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cyrilaventures · 6 years
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🇷🇺 Jour 6, défilé sur Nevski prospekt et stations de métro Le Dvorok, une sorte de faisselle séchée, est le fromage à tout faire de nos amis les russes. C’est moyen bon, carrément dégueux quand il est pris avec de la confiture au petit déjeuner. Ça m’apprendra à vouloir tout goûter. La ballade au marché de la rue Sadavaïya, l’autre nom du rendez du mauvais goût, me permet de comprendre où les russes s’approvisionnent en teeshirts à tête d’ours, tigres, bergers allemands et autres animaux méchants. Je comprends aussi pourquoi la moitié de la ville ressemble à une armée de figurants prêts à tourner dans un film des années 80. Et comme l’autre moitié de la ville est en formation mannequinnat, ça ne laisse pas beaucoup place pour les normcores. Et pour nous rappeler qu’en matière de fringues ils ont toujours eu un certain sens de la déconne, on assiste au défilé de l’avenue Nevski qui retrace 315 piges de looks improbables du pays. Outfits de policiers y compris. Le tout mis en musique par l’harmonie municipale de St Peterbourg, vos applaudissements. Après avoir écouté tous les audioguides de la ville, nous sommes heureux de remettre la palme de plomb à l’audioguide de la cathédrale St Isaac. Enregistré la veille du suicide du comédien dans une salle de bain avec un micro de caisse de supermarché. Bravo à toute l’équipe technique pour cet exploit de médiocrité. On ne s’arrêtera malheureusement pas au killfish discount bar avec sa 1ère pinte à 200 roubles, sa 2ieme à 150, sa 3ième à 100 et sa 4ième à 50 (80cts d’euro). On peut pas tout faire en vacances avec sa mère. Les dessous de St Petersbourg valent leur coup d’oeil, parait-il. Nous nous engouffrons donc dans la station Sadovaya pour parcourir la ligne rouge, construite dès 1940. Nous descendons pendant 2 longues minutes un premier escalator puis un deuxième de 2 autres minutes encore plus longues. A l’arrivée de chaque escalier roulant se trouve une femme dans une guérite dont le seul métier semble d’attendre un maigre salaire. À 71 mètres de profondeur, le hall de quais est énorme, à vue de nez je dirais 2 fois la gare de Seclin. La chevauchée électrique de l’après-midi va nous en foutre plein les mirettes. Et vas y que je te fous du marbre dans toutes les stations, et viens que je te colle des lustres en cristal sur le plafond. T’en as pas assez ? Bim, mosaïque géante dans le fond de la station. Pas de panneau publicitaire, pas de musique, un garde à vous au service de la beauté. Note pour plus tard : je deconseille vivement le photobombing de selfie russe, l’humour ne fait pas partie de la panoplie de base du citoyen russe. Avec un peu de recul, ça se comprend un peu. Juste après le restaurant au dessert à l’aubergine vanillé et juste avant le feu d’artifice qui clôturera nos vacances et ce weekend anniversaire de la ville, nous posons nos lourdes jambes dans un bar rococco à 2 pas de l’Ermitage. Une vodka miel poivre à 1,10€ dans le gosier, nos yeux s’écarquillent devant la Tv du bar qui diffuse la vidéo de surveillance de la rue qui l’espace d’une quelques secondes laisse filer un scooter de livraison de pizza en willing. Mais que cette ville est folle.
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raynalmarion · 7 years
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Bonjour guys ! Le glas des vacances d’été a sonné. Voyages pour les chanceux, petits jobs pour d’autres, ou combinaison des deux. Farniente sur un transat dans le jardin ou à la plage, vous n’avez pas d’excuse pour laisser fermé ce livre que vous avez acheté il y a des mois de cela, celui que vous vous dites “Je le lirais bientôt, quand j’aurais le temps”. Ce moment est arrivé. Si en revanche vous ne savez pas vers quels ouvrages vous tourner, je vous en propose cinq de nature différente, de sorte qu’il y en ai pour tous les goûts. Enfin presque, il ne s’agit que de romans. Je n’apprécie ni les mangas ni les BD, pardon donc si vous aimez ça car ce n’est pas ici que vous trouverez ce que vous cherchez. Quoique… Après tout, c’est bien de s’essayer à de nouveaux genres, qui sait, vous trouverez peut-être un livre qui vous plait ?
-“L’Étranger” d’Albert Camus : 
  Résumé : ” Meursault est condamné à mort. Sur une plage algérienne, il a tué un Arabe. À cause du soleil, dira-t-il, parce qu’il faisait chaud. On n’en tirera rien d’autre. Rien ne le fera plus réagir : ni l’annonce de sa condamnation, ni la mort de sa mère, ni les paroles du prêtre avant la fin. Comme si, sur cette plage, il avait soudain eu la révélation de l’universelle équivalence du tout et du rien. La conscience de n’être sur la terre qu’en sursis, d’une mort qui, quoi qu’il arrive, arrivera, sans espoir de salut. Et comment être autre chose qu’indifférent à tout après ça ? Étranger sur la terre, étranger à lui-même, Meursault le bien nommé pose les questions qui deviendront un leitmotiv dans l’œuvre de Camus. ”
Mon avis : J’ai lu ce livre pour la première fois en classe de première. Nous l’avons étudié pendant plusieurs semaines, ce qui d’ordinaire de barbe. Pas cette fois. J’ai aimé ce livre car il m’a bouleversée. L’absurdité de l’existence, son absence de sens, l’indifférence du personnage principal… Camus utilise des phrases simples, dénuées de fioritures, et pourtant profondes. C’est une lecture existentialiste mais pas moraliste. Chacun trouve ses réponses, il n’y a pas de règle à suivre pour vivre sa vie.
-“Eat Pray Love” d’Elizabeth Gilbert : 
  Résumé : ” A trente et un ans, Elizabeth Gilbert possède tout ce dont une Américaine ambitieuse peut rêver : un mari dévoué, une belle maison, une carrière prometteuse. Elle devrait nager dans le bonheur, pourtant elle est rongée par l’angoisse, le doute, l’insatisfaction.
S’ensuivent un divorce, une dépression et une liaison désastreuse qui la laissent exsangue et encore plus désemparée. Elle décide de tout plaquer pour partir seule à travers le monde. À elle de se construire la vie qu’elle s’est choisie.
En Italie, elle goûte aux délices de la dolce vita et prend les “douze kilos les plus heureux de sa vie”, en Inde, ashram et rigueur ascétique l’aident à discipliner son esprit (lever à 4 heures du matin, méditation et nettoyage des sols ) et en Indonésie, elle cherche à réconcilier son corps et son âme pour trouver l’équilibre qu’on appelle le bonheur.
Elizabeth Gilbert nous invite à un voyage vers l’inconnu joyeux et émouvant, libérée des mascarades et faux-semblants. À travers une mosaïque d’émotions et d’expériences culturelles, elle a su conquérir le cœur de millions de lectrices qui ont aimé pleurer et rire avec elle. Et qui rêvent de changer de vie, elles aussi. ”
Mon avis : J’ai rédigé un article sur ce livre que je vous invite à lire ici : https://marionraynal.wordpress.com/2016/09/13/eat-pray-love-article-traduit-en-francais/
-“Bianca” de Loulou Robert : 
  Résumé : ” Parce qu’elle devrait manger davantage et n’aurait pas dû s’ouvrir les veines à un si jeune âge, Bianca est admise dans l’unité psychiatrique pour adolescents de sa ville natale. Bianca ne s’élève pas contre cette décision. Elle ne se révolte pas. Même si elle ne voit pas en quoi le fait d’être enfermée et soumise à de multiples interdits peut atténuer la souffrance qui la détruit, Bianca se tait, obéit et regarde. Elle observe le monde chaotique qui l’entoure. Tous, médecins, soignants, patients et familles ont l’air si fragiles, si démunis. Aucun remède ne semble exister, aucune lumière ne paraît capable d’éclairer ce lieu opaque où Bianca a le sentiment effrayant de s’être enfermée toute seule. Et pourtant… La vie est là. Les sensations, les émotions, les visages, les événements, les affrontements, les pulsions, les sentiments vous cernent et vous travaillent au corps. On peut croire qu’on ne sait plus vivre, on vit tout de même. Et Bianca observe avec une attention scrupuleuse ce flot de vie inexorable qui, sans qu’elle n’y puisse rien, l’envahit, la ranime et la submerge. Avec une retenue rare et une lucidité tranquille, Loulou Robert retrace le déroulé de cette traversée singulière. ”
 Mon avis : Pour ceux qui ne le savent pas, je souffre de TCA, à savoir l’anorexie. J’ai également posté un article sur le sujet mais ce n’est pas la question ici. J’ai adoré ce livre car il est vrai. Ayant vécu des choses similaires que l’héroïne ( je précise qu’en revanche je n’ai jamais cherché à me suicider, je parle du rapport similaire à la nourriture, pas autre chose ), j’aurais difficilement mieux relater la réalité que Loulou. J’ai avalé ce roman en quelques soirées, il se lit très facilement. Les mots sont crus, ceux d’une ado en colère et paumée, qui veut mourir mais aussi vivre. Une ado qui malgré tout survit à la vie. J’ai eu la chance de rencontrer Loulou Robert au salon du livre de Villeneuve-sur-Lot en mai dernier. Elle est très simple, et timide. On ne croirait pas car elle est passée à la TV et fait du mannequinnat, mais pourtant je vous assure qu’elle n’est pas à l’aise en face d’objectifs et d’un public. Sa fragilité était touchante, on sent à quel point elle s’est inspirée de son vécu pour écrire “Bianca“. Néanmoins, la faiblesse est loin d’être au centre de l’histoire, la force l’emporte.
-“Une chambre à soi“de Virginia Woolf : 
  This is an undated photo of British author Virginia Woolf. (AP Photo)
Résumé : ” Dans un style mêlant évocation, irritation et ironie, Virginia Woolf détaille les conditions matérielles limitant l’accès des femmes à l’écriture : interdiction pour les femmes de voyager seules pour s’ouvrir l’esprit, de s’installer à la terrasse d’un restaurant pour prendre le temps de réfléchir, de s’asseoir dans l’herbe à la recherche d’une idée ou encore d’accéder à la bibliothèque de l’université. Woolf s’attarde sur les contraintes liées au mariage, à la charge des enfants et du ménage, ne laissant plus le temps aux femmes de se consacrer à l’écriture. À ce vieil évêque qui déclarait qu’il était impossible qu’une femme ait eu dans le passé, ait dans le présent ou dans l’avenir le génie de Shakespeare elle répond « il aurait été impensable qu’une femme écrivît les pièces de Shakespeare à l’époque de Shakespeare » en comparant les conditions de vie de Shakespeare et celles de sa sœur (fictive). Quand bien même les femmes auraient pu braver toutes ces épreuves et publier un livre, elles devraient encore faire face à la critique empreinte de valeurs masculines : Parlons franc, le football et le sport sont choses « importantes ; le culte de la mode, l’achat des vêtements sont choses futiles. Et il est inévitable que ces valeurs soient transposées de la vie dans la fiction. ”
Mon avis : En tant que féministe je ne pouvais pas ne pas lire ce livre. Il est très court, il se lit facilement et il est même drôle. Woolf n’a pas rédigé un pamphlet colérique sur la situation des femmes. Au contraire, elle est calme, n’insulte personne, dresse un état des lieux de la situation féminine en Angleterre mais aussi en général, de son origine eau début du XXème siècle. Un petit coup de gueule dans les dents de machos, et un grand sourire sur le visage de ceux pensant que l’égalité va de soi.
-“Never Let me go” de Kazuo Ishiguro : 
  Résumé : ” Kath, Ruth et Tommy ont été élèves à Hailsham dans les années quatre-vingt-dix; une école idyllique, nichée dans la campagne anglaise, où les enfants étaient protégés du monde extérieur et élevés dans l’idée qu’ils étaient des êtres à part, que leur bien-être personnel était essentiel, non seulement pour eux-mêmes, mais pour la société dans laquelle ils entreraient un jour. Mais pour quelles raisons les avait-on réunis là? Bien des années plus tard, Kath s’autorise enfin à céder aux appels de la mémoire et tente de trouver un sens à leur passé commun. Avec Ruth et Tommy, elle prend peu à peu conscience que leur enfance apparemment heureuse n’a cessé de les hanter, au point de frelater leurs vies d’adultes. Kazuo Ishiguro traite de sujets qui nous touchent de près aujourd’hui : la perte de l’innocence, l’importance de la mémoire, ce qu’une personne est prête à donner, la valeur qu’elle accorde à autrui, la marque qu’elle pourra laisser. Ce roman vertigineux, porté par la grâce, raconte une histoire d’humanité, de conscience et d’amour dans l’Angleterre contemporaine. Ce chef-d’œuvre d’anticipation est appelé à devenir le classique de nos vies fragiles. ”
Mon avis : Kazuo Ishiguro est à mon sens un grand auteur. J’avais lu et adoré “Le géant enfoui” dont j’avais posté une critique : https://marionraynal.wordpress.com/2016/06/24/a-crazy-girl-and-a-forgotten-past/
C’était en terminale que j’ai lu cet ouvrage en langue anglaise, dont le titre est “Never let me go“. J’ai tellement aimé que j’ai dans la foulée visionné son adaptation cinématographique avec Keira Knightley et Andrew Garfield. J’en ai pleuré. La condition et la valeur de la vie humaine sont au centre de ce livre, émouvant, bouleversant, angoissant… Je ne saurais trouver les mots adéquats pour décrire ce que j’ai ressenti. Le mieux est que vous le lisiez, vous comprendrez.
Avez-vous déjà lu un ou plusieurs de ces livres ? Si vous avez des recommandations, n’hésitez pas à les laisser en commentaire. Je vous souhaite d’excellentes vacances, prenez soin de vous. A très vite !
Bisous, Marion. 
Cet été, on lit Bonjour guys ! Le glas des vacances d'été a sonné. Voyages pour les chanceux, petits jobs pour d'autres, ou combinaison des deux.
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Ce compte Instagram hilarant nous dévoile le côté le moins glamour de la mode
Deux top models anonymes brisent les mythes du monde de la mode sur Instagram.
My shoes are always too big and my toes are clenching on for dear life #dontletgo #illneverletgojack #modelprobs
A photo posted by Shit Model Management (@shitmodelmgmt) on Apr 23, 2016 at 6:44pm PDT
Mes chaussures sont toujours trop grandes et mes orteils sont trop serrés #tenirbon #çanevajamaisrentrer #problèmesdemodels
Les deux amies New-Yorkaises ont ouvert le compte Instagram Shit Model Management il y a seulement deux semaines, et elles comptabilisent déjà plus de vingt-trois mille followers.
Voici leur biographie : « Nous voulons que ça cesse. Deux top models font éclater la vérité ».
Et leurs posts illustrent tout, du « no pain no gain » des stylistes, aux petits bulletins de salaire en passant par la vie dans un mini appartement de top model, elles n’ont pas peur de révéler les réalités de leur carrière dans la mode.
Bien que les deux copines ne souhaitent pas révéler leur identité, s’appelant simplement H et S, elles ont tout de même parlé au Fashionista, expliquant pourquoi elles ressentaient le besoin de parler plus ouvertement de ce que cela signifie d’être un top model avant de devenir aussi connue que Gigi, Kendall ou Karlie.
Mood one 99% of the time #omwtonepal #comeonvamanos #modelprobs #shitmodelmgmt
A photo posted by Shit Model Management (@shitmodelmgmt) on Apr 20, 2016 at 1:13pm PDT
Humeur plus de 99% du temps #omwtonepal #comeonvamanos #problèmesdemodels #shitmodelmgmt
H explique : « Dans l’industrie de la mode, vous subissez des rejets quotidiennement. Et ce n’est pas parce que vous n’avez pas de talent ou que vous n’êtes pas intelligente ou amusante, c’est uniquement basé sur votre apparence ».
👀👀👀👀 *knows exactly who he is, his Instagram handle, his birth date, where he grew up, his social security number* "hi nice to meet you" #modelprobs #shitmodelmgmt
A photo posted by Shit Model Management (@shitmodelmgmt) on Apr 15, 2016 at 8:35pm PDT
« Votre carrière dépend de ce que le directeur de casting du jour pense en matière de beauté. C’est tellement facile de commencer à se détester à cause de la façon dont les autres nous voient. Il y a une pression extrême pour que l’on soit mince, belle et intéressante à chaque instant. Cela peut vraiment nous détruire ». 
« C’est difficile pour les top models de parler des problèmes du métier parce que l’on ne veut pas décevoir nos agents et parce que nous sommes toutes très facilement remplaçables. Si un top model n’aime pas la façon dont elle est traitée, le client choisira simplement de travailler avec un nouveau top model ». 
« C’est pour ces raisons que les top models choisissent bien souvent de ne rien dire. Ce compte est un endroit où les top models peuvent rire de l’absurdité du monde de la mode, et il montre aussi aux agents et aux clients ce que nous ressentons vraiment ».
S acquiesce, expliquant à son tour : « Le fait qu’un top model quelque part puisse voir ça et savoir qu’elle n’est pas seule à le ressentir, ça pourrait lui sauver la vie. Personne ne devrait se sentir seule ou comme une moins que rien à cause de ce qui se passe dans sa vie de top model ».
Hayley Spencer
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paularmandphoto · 10 years
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kafunel · 5 years
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Coulisses du mannequinat , un métier à controverses
Coulisses du mannequinat , un métier à controverses
Mannequinat ou la honte du siècle des hommes et des femmes. La rédaction de Kafunel.com divulgue les secrets cachés de la profession de mannequinat. C’est révéler un secret de polichinelle que de dire que le mannequinat n’a pas bonne presse, notamment au Sénégal. Milieu ô combien stigmatisé !
Si nombre de filles sont les proies d’adeptes de sensations fortes, pour ne pas dire…
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leaperrine · 11 years
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kafunel · 5 years
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Quand drogue, sexe et alcool infestent le milieu de mannequinat
Quand drogue, sexe et alcool infestent le milieu de mannequinat
Chez les différentes personnes interrogées, l’opinion la mieux partagée est que le mannequinat n’en demeure pas moins un métier des plus concurrentielles. Ce qui en fait souvent le lit de la débauche.
«Les gens feignent la myopie, mais c’est un milieu assimilable à la pègre, au milieu interlope. Je vous dis, ils sont nombreux, des deux sexes, à monnayer leur sexe», fait savoir, sous le…
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leaperrine · 11 years
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