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Man vs wild: हाथ में भाला लिये बेयर ग्रिल्स के साथ जंगल में इस तरह नजर आयगे PM Modi
Man vs wild: हाथ में भाला लिये बेयर ग्रिल्स के साथ जंगल में इस तरह नजर आयगे PM Modi
भारत के प्रधानमंत्री नरेंद्र मोदी डिस्कवरी (Discovery) चैनल के सुपरहिट शो ‘मैन वर्सेज वाइल्ड (Man Vs Wild)‘ में नजर आने वाले है. इसका प्रोमो ‘मैन वर्सेज वाइल्ड’ के बेयर ग्रिल्स ने अपने ट्विटर हैंडल पर शेयर कर बताई।
प्रधानमंत्री नरेंद्र मोदी भारत के सबसे पुराने नेशनल पार्क ‘कॉर्बेट नेशनल पार्क में बेयर ग्रिल्स के साथ नजर आएंगे. बेयर ग्रिल्स ऐंड पीएम मोदी का ये स्पेशल एपिसोड 12 अगस्त को रात नौ…
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Les vacances de Namaspamus
On aime tellement vous parler de tout ce qu'on fait à l'autre bout du monde, qu'on va aussi vous parler de nos vacances (celles de cinq jours, et non pas celles des lundis !). Pour profiter de ces quelques jours de repos en Inde, nous avons divisé le groupe en deux : Théo, qui est allé à Auroville, et les autres qui sont allés à Kodaikanal (c'était le plan initial, vous verrez plus loin que ce n'a pas vraiment été le cas !).
Carte qui va vous aider à repérer ce qu’on a fait !
Point géographique : Kodaikanal est une station d'altitude, plus de 2000 mètres, dans le centre de l’Inde, à la frontière entre le Tamil Nadu et le Kerala. C'est une ville touristique pour les indiens, et plus particulièrement les couples en lune de miel !
Après un agréable voyage en bus de nuit, nous avons donc pu découvrir la charmante bourgade de Kodaikanal, son lac, ses monta... ha non pardon : sa brume. Nous avons cherché une chambre et de quoi manger, puis nous sommes aller nous balader sur le chemin longeant le flanc de montagne, où la brume était partout, puis dans le parc de la ville. Le pire restait à venir, puisque après le déjeuner est venue la pluie ! Une sacrée pluie même ! Une pluie tellement forte qu'on a été tout mouillé, et nos affaires aussi .. et assez forte également pour décourager certains d'entre nous de faire le trek de 2 jours jusqu’à Munnar, puisque la météo n'annonçait pas d'accalmie (Munnar n’est pas sur la carte mais concrètement c’est à gauche de Kodaikanal).
C'est ainsi que nous avons divisé notre groupe en 3 !
La Dream Team à Kodaikanal, contre vents et marrées
Et voila d’entrée la vue de l’auberge : BAM !!!
Malgré ce temps capricieux, la redoutable Dream Team (Mathieu et Aurélien, pour ceux qui ont oublié) a décidé d'affronter le climat capricieux de Kodaikanal. Nous avons pris un guide pour la première journée afin de nous balader en forêt : Dass. Dass a été un excellent compagnon de route, grâce à lui nous sommes capable de différencier les eucalyptus trees des orange trees du premier coup d’œil ! Incroyable non ? Mais il nous a surtout guidé jusqu’à un petit village, à plus de 12 km de la ville, à cheval entre deux vallées. Heureusement la brume était partie ce qui nous a permis de profiter du paysage !
Une traversée tant tacquetique que techquenique
Pour la seconde journée que nous avons passée à Kodaikanal, nous avons tranquillement fait le tour du lac, et nous avons visité les pillars rocks (enfin la brume des pillars rocks) et en chemin le musée de la cire, musée recommandé par trip advisor (tout de même) ! On a aussi pu faire une petite sortie en pédalo sur le lac, avant que la pluie n'arrive et ne nous force à retourner à l'auberge !
2eme gopuram nord
La suite de nos vacances s'est faite à Madurai (cf carte) ! Grosse ville du sud avec notamment un très grand temple. Mais pour notre premier jour nous avons préféré nous éloigner de la chaleur et du bruit de la ville pour aller visiter une autre ville possédant également un joli temple un peu plus au sud. Un temple troglodyte avec un point de vue à 180° sur la plaine environnante. Le soir, nous sommes allés au temple de Madurai où nous avons assisté à la cérémonie quotidienne du transfert de la statue de Shiva vers le temple de sa femme Mînâkshî afin qu'il y passe la nuit ! Le lendemain matin, nous avons pu visiter plus en détail le temple, son réservoir d'eau, son marché intérieur, et admirer les imposants gopurams servant d'entrées. Cela a aussi été pour nous l'occasion de nous renseigner sur la culture hindou (mieux vaut tard que jamais !) et d'apprendre quelques mythes. Nous avons ensuite été rejoint par le groupe venant de Munnar (Violaine, Luc et Arthur) pour visiter le palais du Radja (malheureusement ses fils ont voulu devenir Radja à sa place et le palais en a souffert).
Team Munnar
Dolfino Rock
Dimanche matin, la team Kerala composée d’Arthur, Luc et Violaine s’est lancée sur les sentiers pour un trek de deux jours en compagnie de Saker, leur guide indien, pour rejoindre Munnar et les fameuses plantations de thé du sud de l’Inde. Comme nous sommes partis de Kodaïkanal, qui se situe tout en haut de la montagne, nous ne pouvions que descendre. C’est ce que nous avons fait pendant toutes la première journée. Cette descente de 1600 mètres de dénivelé nous a offert de magnifiques points de vue sur les vallées. En route nous avons pu visiter quelques villages de montagne, complètement coupés du monde. En début d’après-midi, nous avions atteint la plaine où nous avons pu prendre un bus pour rejoindre notre ville étape.
Une vue presque banale durant cette première journée
Le lendemain matin, bravant les courbatures et le réveil à 4h50, nous nous sommes remis en route. Nous avons eu la chance de prendre un petit déjeuner dans un cadre magnifique avec le lever du jour sur les montagnes. Si jusque-là vous avez bien suivi, vous devez vous douter qu’il nous fallait remonter tous les dénivelés de la veille sur un autre versant. Le sentier alternait entre forêt, paysages de montagne, villages et jungle.
Arrivés à la Top Station de Munnar en fin de matinée, nous avons enfin découvert les premiers champs de thé. Mais ce n’était qu’un aperçu de ce qui nous attendait lors de la descente en bus sur Munnar. L’après-midi nous nous sommes relancés dans une petite rando qui nous a emmené à l’intérieur des plantations. Malheureusement, nous nous sommes pris l’orage lorsque nous étions sur la crête. Comme le temps a été clément avec nous jusque-là nous avons pris un peu trop confiance et nous avons laissé nos imperméables à l’auberge. Notre guide lui, nous a assuré qu’il avait de quoi se protéger : une casquette ! La descente de la crête a donc été plutôt rapide, la pluie nous faisant presque oublier nos courbatures.
Champs de thé (et non tes deux chants)
Le troisième jour nous sommes retournés dans les collines couvertes de champs de thé, au sec cette fois-ci. Nous avons adopté un rythme de croisière pour compenser les deux premières journées. L’après-midi, nous sommes allés visiter le musée du thé, qui, ne le cachons pas, ne cassait pas trois pattes à un canard. Le lendemain matin, nous avons pris tôt le bus pour Maduraï où nous avons rejoint Aurélien et Mathieu.
La team du bout du monde
(Louis et Emmanuel si vous commencez à être perdus dans qui fait quoi)
Dimanche matin, nous partons pour une rapide balade du côté des Pillar Rocks à Kodaikanal. Pour économiser nos efforts et pimenter un peu l’aventure nous tentons un “raccourci” par les bois. On se retrouve rapidement perdus dans la forêt, mais pas de panique j’ai regardé tous les épisodes de man versus wild et je sais qu’on peut survivre deux semaines dans un environnement hostile en buvant notre urine et en mangeant des scorpions. Et puis pour trouver la sortie du bois on n’aura qu’à attendre que la nuit tombe pour voir la grande ours. Dans notre errance, on tombe sur un indien qui coupe du bois. À la vue de sa mine surprise, on lui explique qu’on veut se rendre aux Pillar Rocks. Il nous dit qu’on est dans la mauvaise direction et qu’il faut que l’on fasse demi-tour. Mais qu’est-ce qu’il en sait lui ? D’accord il vit peut-être ici depuis 20 ans mais il les a vu, lui, les épisodes de man versus wild ? Non, un vrai aventurier ça ne fait pas demi-tour.
Sous bois drôlement habité
Nous continuons notre route jusqu’à nous retrouver nez à nez avec une barrière. Sans doute était-ce la raison pour laquelle nous aurions dû faire demi-tour. Pas le choix, nous la franchissons. De toute façon c’est ça ou se couvrir de ridicule en repassant devant le bûcheron. De l’autre côté, un terrain de golf. Chic j’avais toujours rêvé d’en visiter un, je pourrai peut-être travailler mon swing, qui sait ? Mais la priorité pour l’instant c’est plutôt de traverser le terrain sans se faire repérer, ce que nous parvenons à faire à notre plus grande surprise.
De retour sur la route, nous ne sommes plus qu’à quelques dizaines de mètres des Pillar Rocks à en croire les indications qui bordent le chemin. D'ailleurs heureusement que des panneaux sont là pour nous le signaler parce qu'avec la brume épaisse qui nous entoure le paysage n'est visible que par interruptions, jamais plus de quelques instants.
La dream team découvre ce qu’ils ont raté en mettant en page cet article
Néanmoins les touristes indiens se pressent pour admirer la vue. Un couple nous demande de les photographier devant la brume. Derrière eux, on ne distingue rien qui témoigne que cette photo à été prise aux Pillar Rocks. Qu’importe tant que ça leur fait plaisir après tout.
Pour éviter la pluie qui s’annonce nous partons pour Madurai. Mauvais calcul, il y pleut des cordes et en l’absence de caniveaux les rues sont vites inondées. Nous y passons deux jours, le temps de visiter le grand temple, le musée de Gandhi, et de voir un film tamoul au cinéma. Au début de la séance, on est prié de se lever pour entonner l’hymne indien. Il est en hindi, beaucoup le chantent parce qu’ils l’ont appris à l’école mais tous ne le comprennent pas. Ici on est attaché au tamoul et le fait que l’hindi ait été choisi comme langue officielle de ce pays qui en compte 18 passe encore mal pour certains. Quand ils ont à communiquer avec leurs voisins du nord c'est en anglais qu'ils le font.
Notre visite de Madurai s’achève et on prend le bus pour Rameswaram (cf la carte encore une fois, et si vous êtes trop fainéants pour remonter jusqu’en haut de cet article, et bien c’est tant pis pour vous!). Cette ville de pêcheurs est située sur une île reliée au continent par un pont. A la traversée du pont, le charme opère déjà.
Près du temple autour duquel est construite la ville, de grandes portes se dressent au-dessus de l’eau. Beaucoup s’y baignent habillés. La baignade a ici un caractère sacré pour les hindous. Dans l’eau, de nombreux vêtements jonchent le sol. Des panneaux indiquent pourtant qu’il est interdit de laisser ses vêtements dans l’eau et des bacs ont étés installés sur le rivage pour les y déposer. Nous sommes amusés par cette coutume dont nous ignorons la signification.
Le lendemain nous visitons le temple. Nous sommes au milieu de nombreux pèlerins, certains effectuent un voyage spirituel qui peut durer plusieures semaines et parcourent les lieux les plus sacrés de l’hindouisme. Rameswaram est un passage obligé pour eux, ils parcourent le temple et passent de puits en puits pour se faire asperger d’eau sacrée.
Nous partons pour une balade du bout du monde : après 20 km parcourus en rickshaw, taxi local à trois roues, nous entamons une marche de 10 km sur une péninsule bordée d’eau.
I'm a poor lonesome cowboy ...
A gauche, le golfe du Bengale, à droite le reste de l’océan indien. Parfois sur le bord de la route nous apercevons une maison de pêcheurs ou bien encore un terrain en construction sorti de nulle part.
Construction et nulle part, une cohabitation durable ?
Au fur et à mesure que nous avançons les rencontres se font plus rares.
Rencontre de type 1
Rencontre de 2 types
On arrive au bout du monde, plus rien pour troubler notre tranquillité, l'océan à perte de vue.
Fin du monde et de l’article
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