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Une bonne semaine à tous
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Soumises en attente
Helmut Newton - Playmen Magazine (1980)
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Des mots...
Un diner rapide et de mauvaise qualité,
Avant de m’affaler lourdement devant la télé.
Soudain, mon téléphone vibra ! Un SMS:
« Chez toi dans cinq minutes » écrivit ma maitresse.
…
A peine entrée qu’on se couvrait de baisers.
Puis, je l’emmenais par la main sur le lit.
Et nous commencions par nous enlacer.
Je l’admirais en silence lorsqu’elle me dit :
…
« Dis-moi les mots, qui apportent à mon cœur le sourire.
Dis-moi les mots, si honteux que je voudrais rougir.
Dis-moi les mots, qui m’emportent dans leur soupir.
Dis-moi les mots, si puissants que je me sentirais frémir. »
…
Alors, j’ai laissé mes doigts écrire sur sa peau,
Les mots que prononçaient mes lèvres doucement.
Je voyais dans son regard qu’elle les trouvait beaux,
Pendant que son chemisier glissait lentement.
…
Elle laissait faire, appréciant chacune de mes phrases.
Je faisais mouche, je sentais tout son corps frissonner.
Aussitôt, elle m’invita à profiter, partager l’extase,
Et éteindre le feu que mes mots provoquaient.
Alex@r60 – février 2023
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Parcourir toutes les annonces Annonce BDSM
Charlotte espérait que le mariage calmerait ses ardeurs mais il n’en est rien. Elle a tout le temps envie d’autres hommes ; elle finit par s’en ouvrir à son mari, qui prend bien la chose à condition que sa femme le laisse tout organiser. C’est lui qui choisira, parmi ses propres amis, les amants de Charlotte, et en prime, assistera aux ébats des couples. Ça tombe bien, Gilles a de nombreux amis, qui tous trouvent Charlotte à leur goût.
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Annonces mis à jour le nov actuellement, il n'y a pas d'escorte shemale dans ce domaine. 22CM GROSSBITE Regardez ma vidéo j'ai ans et je cherche des contacts entre et ans max pour dialoguer dans un premier temps, et échanger sur nos envies et fantasmes du moment. C’était l’été dernier, j’ai tentée car j’étais excessivement curieuse de voir si j’en étais capable et ce que cela donnerait.
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Comment trouver une maîtresse BDSM en ligne ?
Vous rêvez de trouver une maîtresse BDSM qui donnera vie à vos fantasmes les plus fous ? Il est clair que vous ne la croiseriez pas dans la rue. Grâce à internet, trouver la maîtresse parfaite devient plus facile. Il y a certainement des maîtresses à la recherche de soumis pour vivre des expériences BDSM intenses dans votre région. Il suffit de chercher au bon endroit pour assouvir vos plus grands fantasmes. Ce qu'il faut rechercher chez une maîtresse BDSM Une maîtresse BDSM doit avoir certaines qualités pour que vous puissiez bénéficier d'une bonne éducation et surtout vivre des moments intenses, des expériences inoubliables. En tant que soumis, vous devez chercher une dominatrice qui inspire la crainte. Elle doit aussi vous exciter et vous inspirer le désir. Une bonne maîtresse BDSM doit être très sexy, avoir confiance en elle et incarner le contrôle et l'autorité. Elle sait ce qu'elle fait et son assurance vous donnera envie de vous soumettre à toutes ses volontés, tout naturellement. Bien sûr, elle doit porter des tenues adaptées à son rôle, en symbolisant la féminité. Au cours de vos échanges, elle peut vous dévoiler quelques-unes de ses tenues ultra sexy, moulantes à souhait, mettant son corps en valeur. Son charisme fera fondre toute résistance en vous et vous n'aurez qu'une envie : devenir son esclave, son soumis, son objet sexuel… Vous devez aussi vous intéresser à ses jeux de rôle autoritaires favoris. En général, les informations essentielles sur les pratiques et les préférences des maîtresses BDSM sont précisées sur les profils sur les sites de rencontre SM, d'où l'intérêt de vous rendre sur un site spécialisé. Une bonne dominatrice cherchera à connaître les choses que son soumis aime et les limites à ne pas franchir. C'est un élément essentiel pour imaginer des scénarios qui donneront vie à tous vos fantasmes. Même si elle devient votre maîtresse et vous son soumis, la dominatrice doit avant tout être une personne ouverte à la communication, en dehors des séances. Elle doit vous inspirer confiance et vous devez pouvoir lui communiquer facilement vos envies et vos limites. femme - maitresse bdsm enchainée Cherchez une maîtresse qui est active sur les médias sociaux Pour trouver une maîtresse BDSM et vivre des séances à la hauteur de vos attentes, vous devez bien choisir sur quel site vous inscrire. En effet, vous devez choisir un site spécialisé dans la rencontre BDSM dont les membres sont actifs. Si vous cherchez une dominatrice, c'est sûrement pour la rencontrer. Néanmoins, notez que les médias sociaux et les sites web vous permettent aujourd'hui de vivre des expériences encore plus excitantes (et épuisantes) en ligne. Cam BDSM, téléphone rose, votre maîtresse BDSM doit être active sur tous les plans pour des séances torrides, même quand vous n'avez pas le temps ou les moyens de vous voir. Vous aurez une éducation très complète et verrez qu'il y a mille et une façons de se faire plaisir (ou souffrir) à distance. Une dominatrice qui a de l'expérience ne manquera pas d'idées pour que vous soyez tous les deux exténués après une séance BDSM torride et intense. Rejoindre une maîtresse dominante sur un réseau social et suivre ses ordres pour donner vie à vos fantasmes est une belle expérience qui ne fera que renforcer votre relation domina/soumis. De plus, c'est une occasion de vous connaître davantage et de discuter pour mieux vous comprendre et vous exciter avant le prochain rendez-vous. Inscrivez-vous sur les sites de rencontre BDSM Vous l'aurez compris, internet est le portail qui vous garantit les meilleures expériences en tant que soumis. En effet, il vous permet de trouver des maîtresses qui n'attendent qu'à rencontrer un soumis. Pour les trouver, vous devez vous inscrire sur des sites de rencontre spécialisés en BDSM. Vous allez découvrir une page dédiée entièrement aux dominatrices à la recherche de soumis. La plupart des sites spécialisés permettent de trier les profils par région, par département ou par ville pour faciliter encore plus vos recherches. Pour trier les profils de manière efficace, vous devez avant tout définir le type d'éducation dont vous avez besoin. La maîtresse BDSM doit avoir les mêmes goûts que vous en ce qui concerne les pratiques sexuelles. La majorité des sites de rencontre spécialisés en BDSM permettent aux utilisateurs de s'inscrire gratuitement. L'inscription est très rapide, toutefois, prenez le soin de peaufiner votre profil pour mettre en valeur vos préférences et vos qualités en tant que soumis. En créant des profils sur les différents sites, vous allez jauger l'ambiance et voir s'il y a des profils intéressants qui sont bien actifs. N'hésitez pas à vous inscrire sur quelques sites pour aller plus vite. Vous aurez plus de chances de trouver une dominatrice active, attirante et qui répond à tous vos critères. La maîtresse BDSM doit avoir les mêmes goûts que vous en ce qui concerne les pratiques sexuelles Consultez les différents profils et organisez une rencontre Maintenant que vous êtes inscrit sur un ou des sites de rencontre BDSM, au lieu d'attendre sagement que votre maîtresse vienne à vous, vous devez partir à la chasse. Consultez les annonces de maîtresses BDSM à la recherche de soumis dans votre région. Quand vous aurez trouvé des annonces intéressantes, prenez le temps de bien lire les profils de celles qui les ont publiées. Une bonne dominatrice ne négligera aucun détail et dressera un profil bien complet. Elle peut aussi y préciser le profil de soumis qu'elle recherche. Vous allez pouvoir déterminer d'emblée si c'est la maîtresse idéale pour vous éduquer. En général, sur les sites spécialisés, les personnes inscrites sont très actives. Vous n'aurez donc pas à attendre longtemps avant d'échanger avec une dominatrice. Vous pouvez d'abord faire quelques échanges pour vous connaître, avant de faire évoluer les choses. Quand vous vous sentirez prêt, organisez une rencontre. Avant de vous voir, il est déconseillé de vivre une première expérience à distance, par téléphone ou en ligne, car vous ne saurez pas exactement à qui vous avez affaire. Même si les profils sont vérifiés, les sites de rencontres BDSM ne sont pas entièrement dépourvus de personnes malintentionnées qui créent des faux profils. Read the full article
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Principe du maître et de l'esclave dans le BDSM
Ces dernières années, le sexe hard s'est beaucoup banalisé dans le cinéma porno qui emprunte de plus en plus au BDSM et à ses codes. Cependant, en réalité, le BDSM propose une approche beaucoup plus respectueuse de l'autre en tant que personne et non simple objet sexuel.
Dans cet article nous parlerons de soumise mais sachez que le jeu de rôle s'applique également dans le sens contraire, un homme soumis et le maitre désigne alors la femme maitresse dominatrice.
Le but ultime de la domination n'est pas tant de satisfaire le maître que de pousser la soumise à se révéler à elle-même, en dépassant ses tabous et ses limites. Dominant/dominé, maître/esclave… Il s'agit avant tout d'un jeu de rôle pratiqué entre adultes consentants.
S'initier à la soumission et à la domination ne s'improvise pas. Certains maîtres n'hésitent pas à faire passer un véritable questionnaire psychologique pour discerner l'état mental et le discernement de la candidate soumise. En effet, il ne s'agit pas nécessairement de faire souffrir physiquement la soumise, mais de l'inciter à exécuter des actes qui lui sont tout particulièrement difficiles, afin de libérer sa sexualité. En oubliant les limites de sa pudeur, la honte qu'elle ressent augmente ainsi son plaisir physique.
Pas de jeu sans contrat signé par les deux parties
Sans nécessairement aller jusque là, les relations entre partenaires sont néanmoins toujours fixées par un contrat, signé par les deux parties, dans lequel on établit les règles (safeword, pratiques acceptées…). La soumise est en réalité toujours la maîtresse du jeu. C'est elle qui fixe les limites et le maître évolue dans le cadre qu'elle a bien voulu lui laisser.
Avant de devenir soumise officielle, l'esclave suit un entraînement à l'issue duquel elle reçoit alors, des mains de son maître, son collier d'esclave, symbole de son statut. Il est temps maintenant de passer aux choses sérieuses. Voici quelques conseils pour une relation maître-esclave réussie.
Pour une relation maître-esclave réussie
Mettez-vous dans l'ambiance, en envoyant des SMS brûlants à votre soumise, quelques heures avant le rendez-vous. Exigez qu'elle vienne vêtue (ou pas) selon vos désirs… Commencez par des séances courtes et soft pour mettre la soumise en confiance. Pour les mêmes raisons, on évitera d'être trop sévère. Les premières fois, contentez-vous de petits jeux donnant à lieu à punition ou récompense.
Les ordres du dominant doivent être clairs et précis. La soumise doit les exécuter sans rien dire sauf si elle y est invitée. Elle passera elle-même ses liens et entraves et prendra sans hésiter ni rechigner les positions les plus humiliantes qu'on lui imposera.
Pour ajouter à son angoisse et son excitation, on peut masquer la vue de la soumise. À tout moment, les orifices naturels de la soumise seront disponibles pour le maître qui en utilisera selon son bon plaisir.
Restez respectueux et ludiques !
La soumise peut être interrogée à volonté sur les détails les plus intimes de sa sexualité sans pouvoir éluder les questions. Elle pourra être forcée à se caresser ou à se masturber à la demande, même en public, sans cacher son plaisir.
De son côté, comme tout bon dresseur, le maître doit la féliciter et la flatter pour son obéissance. Il est très important d'encourager, d'admirer, de récompenser la soumise qui se plie à toutes vos exigences. Des relations saines reposent sur les récompenses et le plaisir et jamais sur les punitions et la frustration.
Si vous êtes dominant, inscrivez-vous gratuitement sur notre site pour y rencontrer celle qui sera digne de porter votre collier. Si vous êtes soumise, vous y trouverez le maître qui réveillera l'esclave lascive qui sommeille en vous.
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L'aveu à la Femme que j'aime.
Le tout à commencé il y a environ 3 ans. Ma sublime Femme était enceinte de notre premier enfant.
Cela faisait un bon bout de temps que je fantasmais sur l'idée d'avoir une femme en charge de mon plaisir sexuel et qui ferait toujours passer ses envies et plaisir avant les miennes et ce pour me garder dans une euphorie sexuel qui me rendrait prêt à faire peu importe ce quelle demande pour avoir le droit de jouir pour elle.
À ce temps, je n'étais pas vraiment au courant que ce qui m’excitait dans cette exercice mais toute mes recherches pornographiques finissait par être reliée au Tease & Denial, Joi instruction, Edging, Ruined Orgasm, Femdom edging humiliation, Femdom, Bondage, etc.
Je peux vous dire que j'étais vraiment en manque ce jour-là et sans vraiment faire de recherche sur le sujet à savoir comment l'introduire à ma femme et en faire la discussion graduelle. Je décidas de lui écrire une lettre lui avouant mon fantasme d'homme soumis à elle qui était pas mal explicite sur quelque exemples et qui lui lançait au visage mon fantasme avec vraiment peu d'explication et mes attentes envers elle.
Elle m'a répond:
J'ai toujours douter que tu avais un faible pour ça ;)
Quand j'ai reçu ce text j'étais au bureau et j'ai bandé instantanément :$ J’étais tellement excité de lui avoir fait cette aveux et me suis immédiatement senti soumis à elle puisqu'elle connaissait mon secret dont personne n'était au courant.
Le processus d'apprentissage a été long avec plusieurs discutions SMS pour essayer quelle me comprennent et de la comprendre pour en trouver un juste milieux. Il y a maintenant environ un an ou ma sublime femme Mélanie prend plus le reine face à notre sexualité et adore chaque seconde de cette situation. Nous sommes encore en processus d’apprentissage mais la dominance de la Patronne Mélanie ce fait sentir et m'excite au plus au point d’être à ses pieds et sous sa gouverne.
Je ne peux plus me masturber sans en avoir son accord, je ne regardes plus de Porno sans sa présence ou accord et je dois toujours lui demander son accord pour jouir ce qui m'excite au plus haut point.
La Soumission est un apprentissage il ne faut pas perdre espoir :)
Merci Maitresse Mélanie d'en faire l’apprentissage avec moi et me permettre de te faire jouir comme tu le fais.
Ton Jouet
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BDSM: An Ethnography
Disclaimer: As always, this blog is written from the point of view of a brat submissive. Please keep this in mind, and just bugger off if you feel the need to be negative about my experiences.
This is an ethnography I wrote for my Rhetorics of Pop Culture class a couple of semesters ago. The assignment was to write an ethnography about a counter culture - in which we were to demonstrate our understanding of the concepts we discussed during class (hence the citations.)
The Ultimate Surrender: Living the Lifestyle
In early 2014, the hype for the release of the Fifty Shades of Grey motion picture began. I had heard of the steamy book series written by E.L. James, but had never really had an interest in it until I saw the preview for the movie. I am still somewhat embarrassed to admit that I actually like the book series, mainly because critics affectionately dubbed it “Mommy Porn.” Surely, as an English major, I was above reading that sort of thing. I normally turned my nose up at authors like E.L. James, because I thought their writing gave women unrealistic expectations of what relationships were supposed to be like. Fifty Shades of Grey totally fits that mold. But, one fateful day, completely out of the blue, my curiosity got the better of me and I downloaded a bootlegged copy of the first book, Fifty Shades of Grey. I finished it in two hours and read the other two over the rest of Christmas Break because the story reminded me of my husband and me, and all we’ve gone through over the last twelve years. That week, the BDSM rabbit hole opened, and I gladly jumped in with both feet.
What is BDSM?
BDSM stands for Bondage & Discipline (BD), Domination & Submission (DS), and Sadism & Masochism (SM). The acronym, BDSM, helps those of us who live the Lifestyle bundle all of the possible avenues under one umbrella name so that we can teach others what it means. We call actively living this way living the Lifestyle instead of just saying, “oh hey, I practice BDSM,” because it helps us avoid having to endure the stigma that has been attached to our way of life by popular media, and others who oppose our subculture (Haenfler 2016). We also have our own set of rules, just like every subculture.
Titles & special names
When writing, most of us will capitalize words like: Lifestyle, Master, Mistress, Maitresse, Dom, Domme, Domina, Top, Daddy, Mommy, Sir, Ma’am, or whatever the title of the person who is the Dominant party in the relationship may be. The Dom/me or Top chooses their title depending on what kind of Dominant they want to be, or are, and there are many more titles than what I have listed here. Simple capitalization of a title while writing shows a sign of submission, and knowing one’s place in the BDSM Hierarchy. Submissives are called subs, bottoms, babygirl, babyboy, princess, little girl, little boy, little one, kitten, and many others that. Most have custom collars with their names on them, like the one pictured here.
Be Excellent to Each Other
We call non-kinky people vanilla because they don’t have any exotic flavors in the ice cream that is their life. When we have playtime some of us call it play and some of us call it scening. Just depends on what generation of the lifestyle you’re around at the time, and how structured the play session is. We use safe words, like red for stop and yellow for slow down, every time we play. We also do not follow proscribed gender roles; in fact, many of us challenge them with things like sissification (the feminization of a male, by a Dominant woman, at his request). If you’re non-binary, transgender, cis, asexual, or whatever and want to be a Dominant, do it! If you want to be a submissive, do it! If you want to be a switch (someone who does both), do it! That’s the beauty of this Lifestyle, you can be whatever you want to be and no one will judge you for it. If they do judge you, they’re an elitist prick and shouldn’t be part of the Lifestyle because they don’t belong there. We follow the credo, “Your kink is not my kink, and that’s okay.”
When someone who actively practices BDSM hears “I live the Lifestyle” in public, it tips us off, but not everyone in the room, and that’s the way most of us prefer it. We can also ask others “are you part of the Lifestyle,” without outing them in public, because if they aren’t they’ll ask, “what lifestyle?” Unfortunately, because of the controversial nature of our relationships, most of us have to stay behind locked doors and maintain a vanilla appearance. There have been many kinksters charged with assault and domestic battery over bruises, or loud noises that led to a welfare check, because of over-concerned vanilla neighbors, friends, or family, even though what we do is 100% consensual.
Disclaimer
Many of us have to hide our identities, and where we live, for our personal protection because some people really do hate the way we live, and have threatened to hurt us. This is why I have chosen to write under my pet name, Daddy’s Pumpkin. They either don’t, or don’t want to, understand how living the way we do enriches our lives, but that’s okay. It gives us things that we’re lacking, thereby making us feel whole, if even for just the hour or two scene we’re participating in. I have an anonymous Twitter, Tumblr, and WordPress blog because my family would never accept the way we live because they think anything like what we do is abuse. I need to be part of the Community, but I have to do it secretly so I can maintain a career outside of my personal life.
As a responsible member of the kink community, I have to write a disclaimer about this topic. First, I want to be clear that the Lifestyle is NOT what you see in porn videos, nor is it what you read about in romance novels, or on the Penthouse Forums. That’s why the kink community hates Fifty Shades of Grey. Christian Grey is abusive, and uses being a Dominant as justification to beat women because of his psychological issues. Yes, some people in porn today do live the Lifestyle outside of their careers, but most of them perform it for the money and don’t live their lives as strictly as the actual kink community does. Please remember that they are all paid performers.
I’ve learned a lot from www.kink.com, where all three of these performers work, and I am very impressed by what they do in creating our ultimate fantasies, and shipping together the performers in pretty amazing ways (Duffett 202-207). Everyone just needs to remember that porn is for entertainment purposes only, and do not try what they do in the videos at home unless you know how to do it correctly and safely. There are on-average 10 professionals involved with each shoot at www.kink.com to ensure the safety of the performers. I also follow Sunny Megatron, a well-known sex blogger, and her blog is http://www.sunnymegatron.com.
My Frame of Reference
Most of the people I know who participate in the Lifestyle live by the simple principles of Domination & submission, in which one partner is the Dominant partner, and the other is the submissive partner. Thusly, in this series of articles, I will only be discussing monogamous, Dominant/submissive (D/s) relationships, as I am not familiar with polyamory and cannot claim to understand it. I will also do my best to remain gender neutral, as I know there is not just the typical male Dominant and female submissive mold as popular culture would have us believe (Nowell 2011). Many people in the community are non-binary, transgender, or cis, as well as pansexual and polyamorous, gay, straight, and lesbian and I do not discount their relationships at all. I’m just the most familiar with my niche in the Lifestyle. The rest of the acronyms usage depends the parameters of the relationship. There is always an agreement to which the Dominant and submissive have both consented, either verbally or in writing. It’s good to write the relationship parameters down whether you’re a newbie or a long-time kinksters, because sometimes we forget what we’ve agreed to, and that’s when things can go terribly wrong during a scene.
Contracts
Contracts typically include what the Dominant will and won’t do, and what the submissive will and won’t do, as well as what they’d like to try as they grow to trust their Dominant. The contract will also detail what words the Dominant prefers to use as safe words. The submissives portion of the contract normally has an intensity scale for each activity as well so that the Dominant knows how hard to push them during a scene. When something on the contract is an absolute no, it is called a hard limit. Hard limits are not to be broken, and both Dominant and submissive have the right to call anything they want to a hard limit. If either party breaks hard limits, it’s a gross violation of trust and can end a relationship immediately depending on the situation. When something is a maybe or they’d like to try it, but with provisions, it is called a soft limit. Limits can be re-negotiated at any time, and honestly should be gone over regularly as the partners get to know each other. A true Dominant will only do what the submissive has agreed to, and will not push them into anything they are not comfortable doing. A good resource for contracts is BDSM Contracts.org.
Types of Activities
Bondage & Discipline (BD) play a large role in many D/s relationships, as do Sadism & Masochism (S&M), for both punishment and fun. Most Dominants are also Sadists (they like to control and administer pain & punishment), as most submissives are Masochists, (they like to be controlled and receive pain). Most include punishment in their contracts for when the submissive breaks rules, or gets sassy with their Dominant so they can remind the submissive whose boss. That’s what floggers, riding crops, whips, canes, paddles, leather straps, hot candle wax, clothes pins, clamps, electricity, fire, needles, spanking, slapping, punching, ball gags, blindfolds, embarrassment, public humiliation, and uncomfortable or predicament bondage are for, most of the time.
Types of Dynamics
However, punishment can also be fun for major masochists, and some actually piss off their Dominant on purpose to get what they want. These submissives are called brats. So, if the Dominant finds themselves with a hardcore masochist, they really have to get to know their partner on a deep level, and find out what tool they really hate used on them so they can use it for punishment. For example: I have a friend who hates canes, so that’s what her Daddy uses. But it’s not just to make us cower in a corner. The whole point of using an implement that scares the submissive is to maintain control, but also to push their limits and help them to not be afraid of that implement any more.
I know this sounds insane to those outside of the Lifestyle, but the whole point of a D/s relationship is safety and structure for both the Dominant and submissive. It gives them a space in which they can explore their limits and needs together. True Dominants are very nurturing, squishy-hearted, people, and that’s what attracts submissives to them. They want a piece of property (yes I know that’s problematic to feminists, but remember the submissive has chosen this role) that they can spoil and do with as they please, which totally does it for submissives because that’s how they want to be treated. People who fall into the submissive mold are looking for security and safety from someone they can grow to trust with their life. Someone to fill their heart with love and feelings of being cherished; someone to fill the void they feel in their lives (Lacan quoted in Storey 2015).
Domestic Service Dynamic
However, there are many titles and dynamics within the D/s lifestyle, because there are many types of D/s relationships, some of which don’t even involve sex. Domestic service is one of the most popular types of non-sexual D/s relationships, and the one I use most as an example when talking to newbies or people who are curious, because it doesn’t make them as uncomfortable as talking about sexual servitude does. In a domestic service situation, the submissive can feel safe and cared for without worrying about being pressured for sex. Simultaneously, they can fulfill their desire to serve someone and be rewarded for a job well done. Often times, domestic servants exist alongside the Dominants full-time submissives, and don’t get a lot of one-on-one time with the Dominant because they’re usually performing their duties while the Dominant is at work, and they don’t typically live with the Dominant. Rewards for great service come in many forms, but the most common reward for domestic service is alone time with the Dominant, be it a date, shopping, or being spoiled. All most submissives want is to feel cared for, safe, and useful to whomever they are serving, as set forth in their contract.
The 24/7 Dynamic
A 24/7 live-in submissive performs all domestic and sexual duties for the Dominant, according to the contract they have arranged. Many of these submissives are actually wives and mothers, so these duties fit right in with their routine, but they have added significance because the Dominant has agreed to a much greater reward than, “thanks for buying the shaving cream I like babe.” A lot of what is required of a live-in submissive is expressed in daily rituals like (but not limited to): making breakfast, packing their Dominants lunch, setting out their Dominants clothes, doing laundry and putting it away correctly, making the bed, cleaning the house, going grocery shopping, having dinner on the table when the Dominant comes home, making sure the kids have done their homework and are ready for school the next day, and tucking in the kids at night and reading them a bed time story. Many do have cages, like this one. Some are kept in them for long periods, and some are just used for play. After everything for the day is done, kids or no kids, the Dominant and submissive spend time together and the submissive is rewarded for a good days work as the Dominant sees fit. Actual recognition from your partner for your hard work every day, imagine that!
Why live this way?
I have often thought about why I chose to finally tell my Husband what I needed, and have concluded that living this Lifestyle really does fill a huge hole in my psyche. I grew up in an extremely disciplined, military home, and I was majorly missing that discipline. At the time of my inception to the BDSM world, I felt like things were spinning out of control with our life, with school, just with everything. Having my Husband take the reins and literally make me follow chore lists, a homework schedule, an exercise schedule, a cooking schedule, and a schedule for everything else we could think of (because I’m obsessive compulsive) has really helped me become a more disciplined person. It has also helped alleviate the major anxiety I used to get from not feeling like I was doing everything I was supposed to be during the day, because my compulsions were getting in the way.
BDSM provides structure for many people like me who suffer from emotional and mental health issues. It also provides a way for us to let go, and just be who we are without repercussion, or judgment from others. I trust my Husband more than ever, because not only can I trust him to take care of me and keep me safe, but now I can trust him to call me on my bullshit and keep me in line when I am not capable of doing it myself. We have become closer than I ever could have imagined over the past three years since we started exploring the world of BDSM together. I’m grateful every day for this wonderful thing we have found.
Works Cited
Duffett, Mark. Understanding Fandom: An Introduction to the Study of Media Fan Culture. Bloomsbury Academic. 2013.
Haenfler, Ross. Goths, Gamers, and Grrrls: Deviance and Your Subcultures. Oxford University Press. 2016.
Storey, John. Cultural Theory and Popular Culture: An Introduction. Routledge. 2015.
Nowell, Richard. "There's More Than One Way to Lose Your Heart": The American Film Industry, Early Teen Slasher Films, and Female Youth." Cinema Journal 51.1 (2011): 115-40. Web.
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Coucou, qui c’est?
De retour chez elle, Aline posa à peine les fesses sur une chaise que deux mains d’enfants encerclèrent ses yeux. « Coucou, qui c’est ?» dit une petite fille. La jeune maman fut agréablement surprise. Après sa journée à jouer la secrétaire pour ses collègues à cause d’un gros client macho, elle pouvait enfin profiter de la journée auprès de sa famille. Toutefois, elle crut rentrer la première. En effet, les enfants avaient encore une bonne heure d’école, et son mari ne rentrait pas avant dix-neuf heures. Il avait envoyé un SMS expliquant à Aline son retard à cause d’un dossier compliqué. C’est toujours à cause d’un dossier compliqué quand il veut passer du temps avec sa maitresse.
Aline remarqua le touché glacial des petites mains. Pourtant, il ne fait pas froid dehors, on est presque en été. Elle reconnut sa petite dernière, alors elle répondit : «Léna ? ». « Perdu ! » affirma la petite voix. Cela étonna la maman, qui essaya de nouveau quand elle entendit une seconde fois : « Coucou, qui c’est ? ». Par contre, la voix était plus grave mais restait encore celle d’un enfant en bas âge. Elle ressemblait à celle de son fils Armand. Elle demanda si c’était lui. Son sourire exhibait ses dents naturellement blanches. D’ailleurs son fils racontait que sa maman avait le plus beau des sourires. Mais, elle perdit ce sourire quand la voix dit avec un timbre plus élevé : « Perdu ! Coucou, qui c’est ? »
Les doigts froids devinrent de plus en plus pressant, elle sentait la force des mains serrer sa tête. Comme elle n’avait que deux enfants. Elle pensa qu’ils étaient rentrés avec un copain ou peut-être un cousin. Elle chercha dans son esprit qui aurait pu venir. Puis elle demanda si c’est Léo, son neveu. Il était dans la même école que ses enfants. Sa mère envoyait parfois un message pour signaler qu’elle le récupérera dans la soirée parce qu’elle et son mari travaillaient. Mais, la voix dit avec amusement : « Perdu ! Coucou, qui c’est ? ». Dès lors, Aline s’inquiéta. La voix avait encore changé, plus grave ! Elle cita les prénoms des copains et copines de Léna et Armand : Léa, Cynthia, Lauranne, Mélanie, Louise, Antoine, Pacôme ? « Perdu ! Perdu ! Perdu ! Perdu ! Perdu ! Perdu ! Perdu ! Coucou, qui c’est ? »
Aline commençait à paniquer. Chaque ‘perdu’ fut prononcé avec un son plus grave. La voix était presque devenue celle d’un adulte. De plus, elle avait l’impression que la main grandissait, serrant de plus en plus son tour de tête, déjà, elle sentait que les index enfonçaient ses yeux. « Chéri ? Ce n’est pas drôle !» dit-elle énervé. « Perdu ! Coucou, qui c’est ? ». Elle voulut se lever et tourner la tête pour voir qui était ce plaisantin devenu agaçant. Mais il maintenait sa tête si fortement qu’elle ne put remuer. « Mais, qui êtes-vous ?» demanda-t-elle. La voix répondit par : « Perdu ! Coucou, qui c’est ? ». Cette fois-ci, elle ne reconnut personne tellement la voix était grave, comme si un cancéreux de la gorge venait de parler. La pression des mains appuyait trop fort sur la tête d’Aline, elle sentit un mal de crane puissant venir, oubliant le contact froid des mains. Elle avait l’impression que son cerveau allait éclater et jaillir tel un volcan en éruption. La douleur prenait si bien qu’elle désirait que tout s’arrête. De même, elle sentait de plus en plus le bout des doigts s’enfoncer dans ses orbites oculaires. Elle avait mal aux yeux. Sa gorge se crispa, elle respira un grand coup, cherchant par ce moyen de se libérer de cet étau effroyable. Sans aucune raison, elle murmura : « Papa ». En fait, comme toutes les petites filles, comme toutes les femmes, elle cherchait de l’aide chez celui qui répondait toujours présent : son père. Elle connaissait la réponse, elle espérait toutefois entendre ‘gagné !’. Mais ce n’était pas lui. Les mains gelées compressèrent encore plus sa tête.
Chaque mot exprimé eut pour réaction : « Perdu ! Coucou, qui c’est ? » Aline eut l’impression que ses yeux étaient rentrés dans son crâne. De même, elle ressentit une nausée étrange quand elle entendit sa tempe crisser. La force des mains commençait à fendre l’os de la tête. Son sang bouillait ou du moins elle avait cette sensation dans la panique car elle entendait de plus en plus la circulation sanguine de son crâne. Même le cœur si mettait, accélérant le rythme au bruit de ses battements. Elle supplia l’importun d’arrêter, de la relâcher mais n’obtint chaque fois comme réponse : «Perdu ! Coucou, qui c’est ? »
Soudainement prise de vertige, elle leva les poings pour taper en arrière, Seulement, elle ne toucha rien, effleurant seulement ce qu’elle prit pour un bloc de glace. Sa peau était froide, presque gelée. Il serra encore plus la tête d’Aline. C’était sa punition pour chaque mauvaise réponse. La pression était si forte qu’elle ne cherchait plus de prénom, elle voulait simplement qu’il arrête, qu’il la relâche mais il persistait attendant la bonne réponse. Elle ne criait plus que des mots appelant à l’aide. Alors, il continuait son petit jeu et chacune de ses phrases eut pour réponse : « Perdu ! Coucou qui est-ce ?» ainsi qu’une augmentation de la pression. Puis, il écarta les doigts sans relâcher la pression des paumes, elle put ouvrir les yeux. Elle ne remarqua pas la couleur bleue des doigts qui l’emprisonnaient. Elle sentit ses yeux se révulser. Il continuait de presser, attendant qu’elle réponde. Mauvaise réponse ! Il pressa plus fort et reposa sa question.
Nul ne sait si elle était déjà morte. Mais sa tête éclata comme un fruit qu’on presse pour y faire sortir le jus. Le sang gicla jusqu’au plafond, ses yeux se projetèrent à bonne distance. Les mains recouvertes de sang restèrent dans la même position pendant quelques secondes. De la cervelle recouvrait les doigts bleus. Puis il essuya ses mains sur la table et sortit, croisant au bout de la rue deux enfants qui rentraient chez eux accompagné d’une voisine payée pour faire la nourrice. Ce petit groupe fut à jamais traumatisé par la vision du corps d’Aline, la tête éclatée comme une pastèque. La police enquêta. En découvrant la liaison du mari d’Aline avec une secrétaire, il fut suspecté mais très vite relâché après la mort d’une autre femme dans une ville au nom oubliable. Aline fut sa première victime.
Alex@r60 – février 2020
Image de Kavan the Kid – 365 cauchemars
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Lundi 27 avril 2020 : back to school.... ✈️ 🇬🇧
Excellente rentrée à toutes et tous ! J’espère que vous avez passé de bonnes vacances malgré cette période très spéciale....
Voici le programme du jour :
➢ Rituel : Avant 9h30 tout(e) seul(e) 💪🏻
Prépare tes deux cahiers du jour en écrivant la date en français et en anglais. N’oublie pas d’écrire ton humeur du jour en anglais à coté de la date 😀(I’m happy, I’m fine, I’m so-so, I’m sad… etc)
Projet (Tour du Monde) : fais des recherches sur le Royaume-Uni 🇬🇧et note dans ton cahier d’essai, la capitale, le nombre d’habitants, le continent dans lequel il se trouve, la langue officielle, la monnaie, le dirigeant de ce pays et dessine-moi le drapeau…
Lis un article de ton hebdomadaire (qui parait qu’une fois dans la semaine ) : ICI
➢ Calcul Mental : avec la maitresse 👩🏻🏫
Sur ardoise par visio à 9h30 : ma classe à la maison (lien envoyé par mail)
➢ Dictée flash : avec la maitresse 👩🏻🏫
Dans le cahier du jour rouge par visio ou par audio envoyé directement par sms
Correction collective par visio
Les mots suivants sont à travailler et à apprendre : apprendre - enrichir - pensée - connaissance - sur - monde - toujours - passion - aujourd’hui - proclamer - clairement - recevoir
🟥Attention la correction de la dictée sera disponible sur un autre article du blog dans l’après-midi 🟥
➢ Etude de la langue (grammaire ) : avec la maitresse 👩🏻🏫
Visionne dans un premier temps les deux vidéos sur les COD/COI : ICI et ICI
Ensuite fais l’exercice suivant :
🟥Attention la correction de cet exercice sera disponible sur un autre article du blog dans l’après-midi 🟥
➢ Nombres et calculs : avec la maitresse 👩🏻🏫
Prends ton manuel à la page 82 et faire les exercices 1 et 2 dans le cahier du jour bleu.
Recopie la partie je retiens de la page 82 sur une feuille que tu devras mettre dans le porte-vue bleu si cela n’a pas été fait la semaine dernière. (Suivi du travail par l’enseignante 👩🏻🏫en visio)
🟥Attention les corrections des exercices seront disponibles sur un autre article du blog dans l’après-midi 🟥
➢ Histoire : tout(e) seul(e) 💪🏻
Visionne la vidéo de “ C’est pas sorcier” sur ce thème : ICI
Plan de travail : révision HISTOIRE du 27/04/20 : ICI
➢ Anglais : tout(e) seul(e) 💪🏻
Plan de travail : révision ANGLAIS du 27/04/20 : ICI
A partir de ce lundi nous ferons anglais tous les jours en plus du rituel.
🟥Attention les corrections des deux plans seront disponibles directement en ligne sur le site de la classe numérique 🟥
C’est terminé pour aujourd’hui 💪🏻 Bravo 👏🏻
N’hésite surtout pas à m’envoyer ton travail ! 😀
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Me revoilà
Après quelques semaines d arrêt, me revoilà.
Un sms sur mon portable :Maîtresse, j aimerai être à vos pieds le temps d une séance.
Ce soumis je ne le connaissais que par l intermédiaire d une autre maitresse. Je ne me souvenais plus de du tout ce qu elle m en avait dit.Mais pourquoi pas.
Je préparais déjà ce que j allais pratiquer car le fouet,les.pinces,l humiliation me manquaient un peu.
J avais eu ma fiotte il y a deux semaines et j en avais été plus que satisfaite. Un régal pour une Maîtresse de voir sa femelle évoluer et être comme elle le.souhaite
Pour celui ci,les situations seraient différentes.
Tenue mise, accessoires sortis.Tout est prêt.il peut arriver
L heure du rendez vous était passée qu il ne s était pas encore présenté. Mauvais point pour un soumis en demande.Une bonne correction sera nécessaire.
La sonnette retentit.
Arrive un homme casquette lunettes de soleil.
"Bonjour Maîtresse."
Et le retard lui dis je.?Les excuses pour me faire perdre mon temps?
Ce sont.les transports.
Vas dans ce coin et mets toi en tenue.Puis à genoux .Je n ai pas que cela à faire.
Il se déshabille le temps que je me fasse un café.
Lorsque je me retourne, surprise.
Comment ?Tu appelles cela tenue de soumis.Slip et chaussettes. Et lunettes de soleil.
Ok!
Le retard,puis ce manque de respect vis à vis d une Maîtresse. Il avait de plus en plus de points négatifs.
A quatre pattes soumis..Tu n es qu une chienne désobéissante. Pour cela quelques coups de cravache seront les bienvenus.Et compte !
Un Maîtresse
Deux maitresse
Trois Maîtresse.
Pas trop fort Maîtresse. Je n aime pas les coups.
Tu en auras encore quelques uns. qui commande ?La Maîtresse ou le soumis?
On continue. A 20 je me suis arrêtée. Pas de marques.
Je m assois dans mon fauteuil . LECHE MES BOTTES CHIENNE. Il obtempere de suite. Les semelles aussi,elles doivent être propres.
De suite il obtempere.
Je le laisse bien nettoyer puis le repousse du pied.
A genoux salope.
Voyons ce que va supporter la.salope.
Oh pas grand chose Maîtresse.
Maîtresse je voudrai vous lecher.Comment?
Oui je voudrai lecher votre chatte et rien d autre.
Je crois que j ai dit :on ne me touche pas soumis.
Oui mais je pensais que vous me laisserez faire. Je n aime que ça enfin de compte.
Rhabille toi de suite.
Une.merde qui vient se faire soumettre en gardant lunettes slip soit.Mais si en plus elle demande au lieu de se taire, de supporter, de faire plaisir à sa Maitresse. Et qu elle insisté sur une.pratique interdite par sa Maitresse là ça n allait plus.
Rhabille toi et pars.
Maîtresse s il vous plaît Je veux vous lecher.
Une gifle claqua.Pars de suite.
Il se rhabilla et disparu.
Pour une.seance qui devait durer une heure....
Je n ai pas apprécié du tout cette séance.Un soumis doit obéissance et ne pas demander.
Maintenant j attends que ma chochotte revienne afin de pouvoir prendre du plaisir en le.dominant et de lui donner ce plaisir d être à moi.
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« Sonia, il faut que je te parle. » D'un coup, tout se fige autour de moi. Louis est debout dans la pénombre de notre chambre, je n'ai jamais vu une telle expression sur son visage. Je n'aurais pas pensé qu'il puisse prononcer un jour ces phrases que l'on entend seulement dans les films : « Voilà, j'ai déconné. Je t'ai trompée, j'ai couché avec une fille dans une soirée. Elle est enceinte et elle ne veut pas avorter. »
LE CHOC
Je reste immobile, les bras ballants. C'est comme si ses mots n'avaient aucun sens. Je n'arrive qu'à murmurer : « Mais explique-moi, explique-moi, je ne comprends pas... » Puis tout se bouscule dans ma tête, une seule idée m'obsède à présent, je ne veux pas de cet enfant entre nous. Nous finissons par nous effondrer l'un contre l'autre, à même le sol de la chambre. Louis, abasourdi, ne cesse de s'excuser. Un vertige m'envahit en sentant ses larmes dans le creux de mon épaule : comment a-t-on pu en arriver là ? Louis et moi formions pourtant jusque-là ce qu'on peut appeler un couple parfait. C'est un peu niais mais c'est comme ça. Depuis dix ans, nous vivions une histoire sans nuages. Des bancs du lycée à notre premier job, nous avions appris à devenir adultes ensemble, amoureux et complices. À 26 ans, comme une évidence, nous nous sommes installés dans un charmant deux-pièces parisien. À cette époque, ma confiance en lui était totale. Je n'ai jamais été le genre de fille à être jalouse ou suspicieuse. Au début de notre histoire, je me souviens juste lui avoir lancé sur le ton de la rigolade : « Si tu me trompes un jour, pense à mettre une capote ! » Je ne savais pas à quel point cette plaisanterie se retournerait contre moi... J'aurais pourtant dû me douter que quelque chose n'allait pas. Depuis le début de l'automne, Louis s'était renfermé sur lui-même. Impossible de le convaincre de se confier à moi. Il n'a jamais été un grand bavard mais, là, je sentais bien que c'était différent. Et ce matin-là, notre rêve de vie à deux s'est transformé en véritable cauchemar.
LE REJET
Passé le choc de l'infidélité de Louis, la tristesse a pris le dessus. J'ai quitté notre appartement et trouvé refuge chez ma soeur. Là, j'ai tourné en rond, ne cessant de penser à « elle », cette fille dont je connaissais vaguement le visage : Élodie. J'avais toujours su que Louis lui plaisait, elle faisait partie de son cercle d'amis. Et, aujourd'hui, elle portait son enfant. Si j'étais capable de pardonner à Louis son écart d'un soir, elle, en revanche, suscitait toute ma colère. Comment pouvait-elle être aussi égoïste, et nous imposer son choix de garder le bébé ? N'y tenant plus, je me suis procuré son numéro, et je lui ai envoyé un SMS pour la supplier d'avorter. Je sais que Louis aussi essayait de son côté de la convaincre, mais il n'y avait rien à faire. À 23 ans, Élodie était décidée à être mère, même seule.
Petit à petit, j'ai repris contact avec Louis. Il était très malheureux, tétanisé à l'idée de devenir père, mais déterminé à assumer. Il s'en voulait aussi de m'imposer une chose pareille. Mes proches me disaient de le quitter, mais il me manquait trop. Sans vraiment réaliser ce que je faisais, je suis finalement retournée vivre dans notre appartement et nous avons tenté de reprendre une vie normale. Il recevait parfois des SMS d'Élodie, des photos montrant son ventre arrondi, des échographies... Je faisais semblant de ne rien voir mais je souffrais terriblement. C'est lors d'un dîner chez la soeur de Louis que j'ai réalisé qu'on ne pouvait plus faire comme si rien n'avait changé. J'ai vu sa mère se pencher vers lui et lui chuchoter qu'elle avait acheté de la layette pour le bébé. Ça a été un choc. Cet enfant ferait bientôt partie de leur famille et il aurait dû être le nôtre. Je n'avais plus ma place auprès d'eux. J'aimais Louis, je voulais continuer à vivre notre histoire, mais il m'était impossible d'être à ses côtés au moment où il deviendrait père. J'ai alors décidé de louer un studio, pour prendre du recul. Louis n'a pas cherché à me retenir, conscient que je n'avais pas à porter un tel fardeau. Un long silence s'est installé entre nous.
Silence rompu quelques semaines plus tard par un appel. Avant même de décrocher, j'ai su de quoi il s'agissait. Louis n'a prononcé que trois mots : « Elle est née. » J'ai attendu quatre mois avant d'accepter de la voir. Quatre mois au cours desquels je me suis rapprochée de nouveau de Louis. Très amoureuse de lui, j'avais du mal à m'en passer et, petit à petit, je me suis mise à partager sa vie de père à mi-temps. J'ai fait la connaissance de Marguerite au square. Sa mère n'était bien sûr pas là. Je redoutais surtout de ne pas aimer la petite, de la rejeter. De ne pas supporter sa ressemblance avec Élodie. Mais au moment où j'ai pris ce bébé dans mes bras, où je l'ai senti si fragile contre ma poitrine, j'ai fondu. Elle n'était pas responsable de tout ça, et, presque malgré moi, je commençais déjà à l'aimer de tout mon coeur.
UN DRÔLE DE TRIO
Aujourd'hui, cela va faire plus d'un an que Marguerite est née et nous commençons à trouver un équilibre. Louis et moi occupons un nouveau nid adapté à notre famille atypique. Un week-end sur deux, Marguerite nous y rejoint. Mais avant, nous avions eu besoin de partir loin, tous les deux. Thaïlande, Cambodge, Laos... nous avons arpenté l'Asie du Sud-Est pendant deux mois, vivant au jour le jour comme deux ados, faisant l'amour comme jamais sous la moiteur tropicale. Il nous fallait cette parenthèse exotique pour conclure cette période douloureuse. Ça a été comme une lune de miel, comme si nous nous rencontrions de nouveau.
De retour à Paris, nous avons chacun commencé un nouveau travail et je me suis sentie prête à assumer mon rôle de belle-mère... avant de devenir mère moi-même. La seule chose dont je ne suis pas encore capable, c'est de rencontrer Élodie. Beaucoup de questions restent floues : avec qui fêter Noël, comment expliquer les circonstances de sa naissance à Marguerite quand elle pourra comprendre ? Ma psy me dit de prendre le temps et d'accepter de ne pas avoir réponse à tout.
Ma nouvelle vie peut en étonner plus d'un. Beaucoup m'ont reproché d'être trop gentille. « S'il t'a trompée une fois, pourquoi pas deux ? » m'a même lancé une copine. Mais je suis sûre d'avoir fait le bon choix. Notre amour est bien plus fort que cette trahison d'un soir. C'est pourtant encore difficile à assumer. Un samedi, Louis avait un dîner entre potes et j'étais seule avec Marguerite. Je me suis coupée sérieusement à la main et j'ai dû courir aux urgences, en emmenant évidemment le bébé. Une infirmière s'est penchée au-dessus de la poussette : « Elle est adorable, votre fille ! Sa tête quand j'ai essayé de lui expliquer que ce n'était pas la mienne...
Il y a pourtant une chose dont je suis certaine à présent : je souhaite moi aussi devenir mère, dès que possible. J'ai toujours su que je voulais fonder une famille, mais j'imaginais que ça se ferait plus tard, que je pouvais encore profiter de ma jeunesse. L'arrivée de Marguerite a éveillé mon désir maternel. Je rêve de partager avec Louis tout ce qu'il n'a pas pu vivre lors de la naissance de sa fille. De connaître le bonheur de bercer notre enfant et d'agrandir notre drôle de trio. Et puis, au fond, si nos dimanches matin sont rythmés par les couches et les biberons, un bébé de plus, ça ne change pas grand-chose ! Alors, avec Louis, nous avons pris une grande décision : j'arrête la pilule et nous passerons le printemps sous la couette...
Ouvrir son coeur, l'écouter, et aimer...
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Le journal intime de Benjamin – 1. Cher Journal…
Cher Journal…
C’est bizarre. C’est la première fois que je m’adresse à toi. En fait, c’est la première fois que j’écris quelque chose pour moi. À l’école, au primaire, je faisais des fois des histoires, elles plaisaient à ma maitresse. Je suis très bon en français, aussi, c’est ma meilleure moyenne, par comme ces horribles maths que je déteste ! Du coup, j’ai rédigé des trucs avec un chevalier sans peur et sans reproche qui voulait sauver la princesse et qui y arrivait après avoir terrassé un dragon-licorne. Le dragon-licorne, c’est une espèce magique que j’ai créé et qui a le corps d’un dragon et qui se bat à l’épée avec sa corne de licorne. Au début de l’histoire, il était méchant, mais touché par mon héros sans peur et sans reproche, il est devenu gentil et il lui a servi de monture. Cette histoire est trop cool, mais à part à ma maitresse, je ne l’ai jamais fait lire à personne. Elle m’a encouragé à continuer et ma félicité pour mon effort d’orthographe. Elle m’a confié un secret : l’écriture SMS, elle est réservée aux téléphones et il ne faut pas l’utiliser quand on écrit pour de vrai. C’est même ça qui fait la différence entre les imbéciles et les têtes bien faites. Je me moque un peu, mais bon, je ne pense pas pour autant être un génie, même si je m’exprime bien. Mon histoire, elle me fait même un peu honte, alors je ne voudrais pas que mes parents tombent dessus.
Il faut dire que je suis plutôt timide. Ce n’est pas ma faute, c’est comme ça. Même si j’ai plein d’idées dans la tête, je les exprime assez peu. Je ne parle pas trop. C’est plus sage, il parait. Ceux qui parlent beaucoup n’ont souvent pas grand-chose à dire. Ça se voit souvent à la télé. Les hommes et les femmes politiques, surtout ! Qu’est-ce qu’ils parlent ! Mais en fait, ils ne disent rien. Rien d’intéressant, en tout cas. Ils ne font que répéter que les autres sont nuls alors que eux, ils sont bien, même que c’est pour ça qu’il faudrait voter pour eux. Ils disent toujours avoir plein de solutions, mais quand les journalistes leur demandent de les expliquer, ils s’énervent. Mon père me dit tout le temps que ça, c’est uniquement pour le spectacle. Qu’en fait, ils sont tous copains, comme moi et les autres dans la cour de récréation…
S’il savait…
Au fait, j’y pense maintenant, mais je ne me suis toujours pas présenté. Toi, c’est facile, tu es un journal, donc on écrit et tu te tais. Mais moi, c’est plus compliqué. Je m’appelle Benjamin, j’ai eu onze ans cet été et je viens d’entrer en sixième. Mais bon, comme je ne vais pas coller une photo de moi sur la première page, laisse-moi me décrire un peu : je fais un mètre quarante-deux, complètement dans la norme, et je pèse trente-et-un kilo. Je suis plutôt maigre, en fait. Enfin, pas trop non plus, mais ça ne me dérange pas, même s’il faudrait absolument que je fasse du sport. Avant, je faisais du judo, mais je n’aimais pas ça. Faut que je trouve autre chose. Sinon, mes cheveux sont plutôt normaux, je trouve, sauf que je ne les coiffe pas souvent, donc ils partent dans tous les sens. Ils sont plutôt doux. Niveau couleur, je dirais châtain, même si en ce moment, j’ai des mèches blondes, sans doute à cause du soleil et de la piscine cet été. Là où ça devient compliqué, c’est pour mes yeux. Ils sont vairons (ça veut dire de couleurs différentes), mais même ça, c’est pas suffisant pour les définir. En fait, ils ne ressemblent à rien, mais tout le monde les trouve jolis. Le gauche, c’est un dégradé de bleu foncé vers le bleu clair, j’avoue, c’est assez sympa. Le droit par contre, c’est la fête du slip. Y a du gris, du vert, et tout est mélangé et forme des petites taches. Ça n’a aucun sens, mais les filles et les adultes aiment beaucoup. Une amie de mes parents que j’aime bien les trouve même magnifiques. Elle s’appelle Suzanne, elle est adorable. À chaque fois qu’elle vient manger à la maison, elle m’apporte un p’tit cadeau. Et tu sais ce qu’elle m’a offert cette fois-ci ? Un journal intime ! Ah ah ah !
Bon, ok, j’suis ridicule. Mais bon, je ne sais pas comment, mais elle a appris que j’écrivais un peu et comme je ne parle pas beaucoup, elle a dû se dire que ça serait une bonne idée de t’offrir à moi. Maintenant que j’y pense, ce n’est pas bête. Cela fait déjà plus de trente minutes qu’on est en tête à tête toi et moi, cher journal, et je commence déjà à apprécier notre relation. Tu ne me juges pas, tu ne me critiques pas, tu ne fais pas de commentaires… tu m’écoutes, juste. C’est une faculté rare. Trop de gens ont fini par l’oublier.
Enfin bon, Suzanne, peut-être qu’un jour je lui ferais lire mon histoire, mais il faut encore que je la retravaille, car là, j’ai vraiment honte. Personne ne doit savoir que j’écris pour le moment ! Et encore moins que j’ai un journal intime. C’est un truc de filles, normalement. Ou de pédé. Mais je ne suis ni l’un ni l’autre. Attention, hein, je ne juge pas ! Ma génération est plutôt ouverte sur le sujet, je pense. Bon, il reste toujours une minorité d’imbéciles qui gueulent plus fort que les autres et qui aimeraient que tout le monde soit pareil. Mais quoi, les filles n’ont pas choisi d’être des filles ! Héhé. Non, cherche pas, journal, j’essaie juste de faire un peu d’humour. Tu peux pas comprendre.
Bref, physiquement, voilà quoi. Mon look est plutôt Swag, j’aime bien les t-shirts blancs aux manches trop longues, ça me donne du style quand j’en sers le bout dans mes paumes, et ça me permet aussi de cacher ma bouche et mon nez dans le col, quand je n’ai pas envie de parler. Pourtant, mes lèvres sont plutôt jolies. On me dit souvent que j’ai un sourire de fou ! Quand je souris. C’est-à-dire pas très souvent. Et que j’ai un nez de bébé, aussi. Je l’aime bien, il est mignon. Mais il parait que le nez, c’est un truc qui grandit toute la vie. Là, ça va, il a encore une taille « enfant ». Mais je n’ose pas imaginer ce que ça donnera quand je serai vieux. Il suffit de regarder tous les gens qu’on peut croiser dans la rue pour se faire une idée. La vie, c’est le passage successif de la prison de l’innocence au musée des horreurs. Entre les deux, il y a le terrain-vague de l’adolescence (pas déjà ! pas déjà ! pitié, pas déjà ! laissez-moi être un enfant encore un peu ! Hier, mon père m’a dit que, vu que je venais d’entrer en sixième, j’étais un pré-ado… Nooooooooooooon, j’veux pas devenir con ! Pitié ! Pas ça ! Pas moi !). Et l’autoroute des emmerdes (le monde adulte quoi). Yep, la vie semble vraiment mal foutue. Pour ça que moi, quand je serai grand, j’aurai un chien. Comme ça, chez moi, ça sera le chenil de l’indifférence. Et on emmerdera le monde entier.
Ah, et aussi, je porte des jeans slims, parce que c’est quand même la mode. Ça va, je ne suis pas non plus complètement un extra-terrestre. Ce n’est pas parce que je ne parle pas qu’il faut me considérer comme un Alien. Je suis un jeune collégien de mon temps ! Je passe des heures sur Facebook, j’échange des nouvelles avec les potes par texto, j’lis des bédés (t’as vu le dernier Astérix ? Nan mais il est trop cool ! Mon père a la collection complète, j’ai tout lu et relu quand j’étais petit. Mais les nouveaux, là, avec le nouveau dessinateur, c’est stylé, je me bidonne à chaque page !) et je joue aux jeux vidéo. J’ai une 2DS, car ma « hum hum » d’adorable mère que j’adoooooooore considère que la 3D, ça fait mal aux yeux. Du coup, j’ai eu le droit au modèle « chiard ». Ok, j’me pleins d’être presque un ado, mais j’admets que parfois, j’aimerais bien que mes vieux arrête de me prendre pour un simple gamin. Du coup, je joue surtout aux vieilles consoles de mon vieux. Quand il était plus jeune, il parait qu’il passait ses journées sur la PlayStation, première du nom. Je te l’accorde, niveau graphisme, c’est SUPER MOCHE. Mais vraiment. Limite, on se demande comment c’est possible que les trucs aient été si laids il y a vingt ans à peine. Par contre, niveau profondeur de jeu et gameplay, il y a des pures tueries ! Sérieusement, j’ai essayé le dernier Tomb Raider chez Maxence, mon meilleur copain depuis le CE2. Bah même s’il est magnifique et super impressionnant, il ne vaut pas un clou par rapport au premier ! Ok, Lara est moche et polygonée, et elle est tellement rigide qu’on dirait un cyborg télécommandé via un suppositoire dans le cul… Mais à côté, voilà quoi, t’es à fond dans l’aventure, tu joues, je kiffe ! Et je ne te parle même pas des vieux Fifa ou même du premier Rayman. Ah putain, il est dur celui-là ! Rien à voir avec le Run&Jump que je viens de télécharger sur mon téléphone. T’en chie, mais c’est tellement bon ! Bon, je ne vais pas non plus tous les faire, parce que si j’aborde les vieux Final Fantasy, je crois que j’arriverais au bout de ce journal avant la fin de la semaine. Mais voilà, les jeux vidéo, j’adore ça, vraiment. Peut-être même plus que les copains.
En fait, des copains, je n’en ai pas beaucoup. Certes, il y a Maxence, dont je viens de te parler, Max pour les intimes, et on est intime. Bah oui, tu veux que je te dise quoi ? Quand tu te retrouves dans la même baignoire avec un mec de ton âge en CE2, forcément, ça crée des liens. On se rend compte qu’on est fait pareil. Du coup, on peut tout se dire ou presque. Avec Max, on a passé plusieurs vacances ensemble, et on a souvent dormi l’un chez l’autre le week-end. On était dans la même classe jusqu’en CM1. L’année dernière, ça m’a vraiment manqué, mais je crois que la maitresse ne voulait pas nous avoir ensemble, de peur qu’on perturbe un peu trop le cours. Et là, rebelote. Alors qu’on s’est arrangé pour être dans le même collège, je me retrouve en sixième trois et lui en sixième cinq ! C’est vraiment trop chiant ! Du coup, on n’est presque jamais ensemble en permanence. C’est assez con, parce qu’en fait, on voulait créer un jeu de plateau typé « jeu de rôle » ensemble. Lui, il aurait dessiné les cartes et tout le bazar (il est super doué !) et moi, j’aurais écris les règles et créé l’univers. J’avais déjà une super bonne idée pour recycler mon dragon-licorne, mais bon… C’est pas gagné. Enfin, on fait bien la paire, quoi. Physiquement, il est un tout petit peu plus petit que moi et un poil plus de bide, mais ça va, hein, on reste maigre tous les deux. La différence, c’est le visage. Le mien est plutôt ovale, alors que lui, c’est un carré ! C’est marrant, moi j’ai des courbes et lui des droites. Ah, et ses cheveux blonds finissent toujours au-dessus des yeux. Y a rien à faire, s’il ne planque pas son regard derrière ses tifs, il ne se sent pas bien. En CM1, sa mère avait presque tout rasé ! Il a fait la tronche pendant six mois, maintenant, elle n’y touche plus.
Raconté comme ça, tu dois te dire que j’ai une belle vie, non ? Un bon pote, des parents aimants, des jeux vidéo… tout pour être heureux ?
Tu es stupide, journal.
Parce que si tu savais lire entre les lignes, tu aurais déjà vu mes larmes qui viennent de faire baver l’encre. Tu aurais pu sentir mes dents mordiller mes lèvres. Tu aurais deviné la crispation de mon poignet. Depuis tout à l’heure, j’ai mal aux doigts.
Oui, je sais, excuse-moi. Ce n’est pas toi le problème, c’est moi… Même si je donne l’impression de parler, je fais avec toi ce que je fais tout le temps. Je me tais. Je me tais et je garde les choses pour moi. En fait, ce qui me fait vraiment chier, seul Max le sait, mais il a juré de ne rien dire. Et je sais qu’il ne dira rien, parce que déjà, c’est un bon copain, et il n’est pas du genre à trahir. Pas son style. Ensuite, parce que ça reste un gros lâche et qu’il n’a pas envie que ce que je me prends sur la gueule lui retombe dessus. Et moi non plus je ne veux pas. Ils l’ont menacé. Ils m’ont menacé de s’en prendre à lui. Je ne l’accepterai pas.
Jusqu’à la moitié du CM2, tout le monde disait que j’étais plutôt cool à vivre, même si j’étais super naïf. Le truc, c’était que comme Maxence n’était pas dans ma classe, j’ai dû me chercher de nouveaux copains, histoire de discuter un peu et de m’amuser pendant les leçons (non, parce qu’à part les maths ou j’ai du mal, le primaire, c’est quand même super simple, pour ne pas dire ennuyeux). C’est comme ça que je me suis rapproché de Sofiane. Enfin, c’est plutôt la maîtresse qui nous a rapprochés. So, c’est le type même du cancre. Toujours au fond, à faire le con, à ne jamais rien écouter… le parfait petit merdeux glandeur. Forcément, il a fallu qu’on me le colle dans les pattes, comme si finir assis à côté de moi pouvait l’aider à se concentrer. Et moi, bonne pomme, je n’ai rien vu venir. Il faut dire qu’il a un petit quelque chose de spécial, So. Quand il te parle, même s’il écorche un mot sur deux, tu te retrouves rapidement embarqué dans ses délires. Il te donne envie de l’écouter. Il impressionne. C’est un futur caïd. Moi, il m’intriguait. Sérieusement, je pensais qu’il m’appréciait. Sa manière de me saisir par l’épaule et parfois même pas le cou, en me faisant un peu mal, son sourire prétentieux, ses délires… Il avait des choses à me montrer.
L’enfoiré. Le connard. Le salaud. Je le hais. Je le hais. Je le hais. Je le hais. Je le hais. Je le hais. Je le hais. Je le hais. Je le hais. Je le hais.
Je le hais tellement fort que j’en chiale, putain ! Pourquoi il m’a traîné là-bas ? Pourquoi il y avait ses deux putains de potes avec lui ? Pourquoi ils m’ont tapé ? Pourquoi ils m’ont demandé de virer mon t-shirt et de me foutre à genoux ? Pourquoi ils m’ont craché dessus ? Pourquoi ils se sont acharnés sur moi jusqu’à casser leurs putains de règles ? Ça fait mal, bordel ! Et ça laisse des traces ! J’avais le dos tout rouge ! Et des bleus sur les flancs ! Pourquoi j’ai fermé ma gueule aussi ? Pourquoi j’ai accepté leur jeu débile du chien et des maîtres ? Pourquoi j’ai gardé ça a fond de ma gorge ?
Ouais, journal. Ouais… Tu dois me trouver minable. Tu sais quoi ? T’as raison. Mais est-ce que j’ai le choix ? Une fois que t’es dans le « jeu », c’est dur d’en sortir. Disons que le remède est pire que le mal. C’est qu’ils cognent fort. Je leur donne dix euros et ils me foutent la paix. Sinon, un gage. Le pire, je crois, ça a été d’embrasser le cul de Sofiane. Ça… ça, si j’avais pu… je l’aurais mordu plus fort. J’aurais arraché une partie de la chair et je l’aurai recrachée. Il aurait hurlé encore plus. Et peut-être qu’après, il aurait eu tellement peur qu’il ne m’aurait pas tabassé jusqu’à ce que j’accepte de lécher le derch de ses deux potes. Putain… Putain… Mais putain, quoi…
Au moins dix fois, ils me firent le coup, avant les vacances d’été. Tout mon argent de poche y est passé. Et moi, je n’avais rien à dire. J’devais juste me taire. Alors j’me suis tu. Et j’ai parlé de moins en moins, à l’école comme à la maison. Pas envie. Pas envie. Pas envie. Résultat ? Mes parents m’ont engueulé. Normal. Ma mère m’a même menacé de m’envoyer chez le psy. Voilà. Super. Comme si ça pouvait changer quelque chose.
Enfin, après tout, c’était avant les vacances, non ? Même si j’ai passé mon mois de juillet en t-shirt manches longues à la plage pour pas qu’on voit les marques, c’était bon, j’étais libéré de cette merde. Tu dois donc te dire que le pire est derrière moi, hein ? Tu parles ! Sofiane est dans ma classe ! Et ses deux potes en quatrième dans mon collège !
Nan mais c’est ça le plus drôle. Mes vieux me foutent dans l’établissement le plus privé et catho du coin, et je tombe sur ces merdes ! Le bahut, un machin, bon cul, belle gueule par excellence, avec les profs tous plus cons et stricts les uns que les autres, et les surveillants, de vrais SS ! C’est leur surnom, d’ailleurs. Je ne savais même pas ce que c’était avant de regarder sur internet, mais en effet, ça y ressemble.
Et bah ces abrutis qui ne jugent que par les notes et qui s’en foutent complètement de ta gueule, ils ont accepté Sofiane ! Et ils l’ont foutu dans MA putain de classe. Ah son sourire le jour de la rentrée… Mais j’en ai chialé rien qu’en le voyant. Il était tellement content ! Il rigolait tellement gras ! Et dès la sortie, il m’a choppé par le col ! Alors qu’enfin, j’avais plus de traces, lui et les deux autres connards m’ont refait un bleu de malade au niveau des hanches ! Et après, ma mère se plaint que son fils ne l’aime plus parce que je hurle quand elle essaie d’entrer dans la salle de bain ! MAIS MERDE ! J’veux pas qu’elle voit ça ! J’veux pas qu’elle sache ! Je suis trop minable, putain. J’suis un déchet, un moins que rien… J’veux pas que mes parents l’apprennent, c’est normal, non ? C’est normal que je refuse qu’ils apprennent que leur fils est un minable pareil. Et puis, j’suis pas stupide non plus ! J’sais très bien que si je l’ouvre, ça sera encore pire ! J’ai essayé, j’te jure journal, la première semaine ! J’suis allé voir le SS en chef et j’lui ai dit. « On m’emmerde. » « Qui ça, on ? » « Bah on…enfin… ». Le mec a jamais voulu me croire. Normal, j’voulais pas donner de noms. J’suis pas taré. Et tien que de m’avoir vu fricoter avec un adulte, les trois connards m’ont déchiré la gueule. Ah ça, maintenant, je sais quel est le goût du bitume, j’l’ai bien léché. Et c’est dégueulasse… J’suis une merde, putain…
Tu dois te demander pourquoi je te parle de ça, non, journal ? Surtout que je n’en ai jamais parlé à personne d’autre que Max et que je n’en parlerai jamais à personne. J’ai trop honte. Et un peu peur aussi. J’peux pas le dire. J’peux pas me ramener et dire « au fait, je suis le chien de Sofiane, Fabio et Anthony. Ils me rackettent et me tapent, et moi, j’aboie pour leur faire plaisir. » Ça va. Je pleure déjà assez comme ça. J’vais pas non plus m’afficher. Et puis voilà, t’as vu. Si je l’ouvre, c’est pire après. Y a rien à faire, si ce n’est leur filler le fric qu’ils demandent et fermer me gueule en serrant les dents quand je ne l’ai pas. Voilà. C’est tout. C’est comme ça. C’est ma putain de place dans cette foutue vie. Et c’est notre secret à tous les deux, journal. Même si j’ai tout mouillé ton papier, tu dois me promettre de ne jamais être lu par personne. Sinon, j’en mourrais. T’es le seul à qui je peux le dire. Le seul…
N’empêche… ça fait du bien. J’respire là. Bon, j’ai pleuré, c’est sûr, mais fallait que ça sorte… Merci… Suzanne avait raison. Te parler va me faire du bien. Je crois.
Enfin bon, là, il est tard. Presque vingt-heures. Maman va bientôt m’appeler pour manger, donc je vais devoir te laisser. Heureusement que tu étais-là, sinon, je crois que j’aurais passé un très mauvais diner.
Ah, au fait, pendant que j’y pense… J’t’ai déjà dit que j’étais pas terrible en math ? (Ouais, j’crois bien). Bon, la semaine dernière, la première note est tombée. 3/20. J’ai jamais vu papa blanc comme ça. Il en a parlé ce week-end à Suzanne (la dame qui t’a offert à moi !), quand elle est venue pour le déjeuner à la maison. Elle lui a suggéré une drôle d’idée : demander à son neveux qui est en première S de venir me donner des cours !
Si je me souviens bien, il se nomme Kilian. Quand j’étais tout petit, je crois qu’on a joué plusieurs fois ensemble, des trucs trop cools. Dans mes souvenirs, il était encore plus blond que Maxence. J’ai du mal à me rappeler de tout, parce que ça fait super longtemps que je ne l’ai pas vu, mais il était super gentil, et d’après Suzanne, il l’est toujours… Le seul truc dont je me souviens bien, c’est la couleur de ses yeux. Verts. Ils étaient trop beaux. Même que du coup, je lui ai dit que j’aurais voulu être son p’tit frère pour les voir plus souvent (J’étais jeune et con, hein ! On est tous passé par là !). Lui, j’crois qu’il m’aimait beaucoup. J’avais quoi ? Entre cinq et sept ans ? (la dernière fois que je l’ai vu, je devais en avoir huit ou neuf, à un mariage). J’me rappelle aussi qu’on jouait au ballon ensemble ! Il faisait exprès de rater ses tirs pour me faire rire et me laisser gagner. Je crois que je l’aimais bien… Mais voilà, quoi. J’m’en fous un peu. Enfin, du coup, papa l’a appelé, et il semblerait d’accord. Après, est-ce que ça va changer quelques choses ? J’en sais rien du tout. J’vois mal comment quelqu’un pourrait me faire aimer les maths un jour, mais bon… Il doit venir lundi, on verra bien. Tant qu’il ne me gave pas et ne me pose pas trop de questions…
Et voilà, maman crie que ça va refroidir. Bon, cette fois-ci, j’te laisse pour de vrai. Encore merci d’être là. C’est cool d’avoir un ami à qui se confier, même si, en réalité, il n’existe pas.
Benjamin.
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La ligne tel sm directe de ta maîtresse fillesexe.eu
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