#maison ozenfant
Explore tagged Tumblr posts
lovefrenchisbetter · 2 months ago
Text
Tumblr media
Maison Ozenfant, France
50 notes · View notes
hommedessept · 2 months ago
Text
Tumblr media
12 notes · View notes
frenchtrends · 5 years ago
Text
Source unknown
House Ozenfant, Le Corbusier, 1922-1924
Wonderful architecture..
French Trends
Tumblr media
Maison Ozenfant, Le Corbusier, 1922-1924
751 notes · View notes
bazaardotco · 3 years ago
Photo
Tumblr media
Maison Ozenfant, Le Corbusier — Posted by tiphaine on Bazaar.co https://bazaar.co/tiphaine/modernism/posts/5091
101 notes · View notes
pajamapop · 3 years ago
Photo
Tumblr media
Le Corbusier, Atelier Maison Ozenfant 1922
2 notes · View notes
elklsdhf-blog · 4 years ago
Photo
Tumblr media
Maison Ozenfant (1922-24) by Le Corbusie
1 note · View note
cooperhewitt · 5 years ago
Text
Le Corbusier’s Serbian Vase
As a young architect in search of inspiration, Charles Édouard Jeanneret-Gris (Swiss, 1887 – 1965) traveled extensively throughout Europe and the Mediterranean.[i] Early in the summer of 1911, Jeanneret (today better known by his adopted name, “Le Corbusier”), then twenty-four years old, set out on a five-month journey that would take him through the Balkans, Turkey, Greece, and Italy. He headed southeast from Munich, where he had been employed in the studio of the influential German architect Peter Behrens (1868 – 1940). In Serbia, Le Corbusier found himself delighted by local ceramics—he eagerly sketched their forms and purchased several examples to keep as souvenirs.[ii]
One of his favorite vases appears in this drawing. The object, today preserved as part of Le Corbusier’s personal collection at the Fondation Le Corbusier in Paris, belongs to a class of folk art he described as “peasant vases, pottery of the people.”[iii]  To friends back home, he wrote rapturously of the vases’ ability to “gently transport,” through their “fairytale glamour.”[iv] In a photograph from 1919 (also kept at the FLC), Le Corbusier—still young—playfully rests the Serbian vase upon his head. The image was captured at La Maison Blanche, a house designed by Le Corbusier for his parents upon his return home to Switzerland in 1912.[v]
Le Corbusier with his Serbian Vase on his head, with Albert Jeanneret and Amédé Ozenfant at the Maison Blanche, La Chaux-de-Fonds, August 1919. @Fondation Le Corbusier, Paris
Cooper Hewitt’s drawing, carried out in graphite and reddish-brown crayon, bears an inscription explaining that it was executed in September 1926, when the architect was in residence at the Villa Le Lac, a family property he designed in 1923. Though more than a dozen years had passed since Le Corbusier’s “Journey to the East,” the vase still captivated him.[vi] The drawing therefore serves not only as a record of the object itself, but also of Le Corbusier’s continued interest in its exotic form. The sheet entered the Cooper Hewitt collection (together with six other drawings by the architect) only a decade after it was made.
  Dr. Julia Siemon is Assistant Curator of Drawings, Prints & Graphic Design at Cooper Hewitt, Smithsonian Design Museum
  [i] Sketches from Jeanneret’s early travels, dating 1907 – 1911, are published in Jacob Brillhart, Voyage Le Corbusier: Drawing on the Road (W.W. Norton, 2016)
[ii] Le Corbusier Before Le Corbusier: Applied Arts, Architecture, Painting and Photography, 1907 – 1922, exh. cat., Langmatt Museum, Baden, Switzerland (March 30 – June 30, 2002), and The Bart Graduate Center for Studies in the Decorative Arts, Design, and Culture, New York (November 22, 2002 – February 23, 2003), p. 250.
[iii] Ibid. Corbusier’s Balkan vases are described by Mirjana Lozanovska as “functional water-drinking urns” intended be taken into the field to keep water cool, with slender necks to prevent bugs from entering. Mirjana Lozanovska, « Europe, Le Corbusier and the Balkans », ABE Journal [En ligne], 11 | 2017, mis en ligne le 05 octobre 2017, consulté le 11 novembre 2019. URL : http://journals.openedition.org/abe/3509 ; DOI : 10.4000/abe.3509
[iv] Ibid.
[v] An exhibition of photographs and objects documenting Le Corbusier’s private collection was recently on view at the Pavillon Le Corbusier, Zürich. Called Mon Univers: Le Corbusier’s World of Objects, the exhibition (May 11 – November 11, 2019) is accompanied by a catalogue
[vi] Le Corbusier’s diary from the 1911 trip, which he called his “Voyage d’Orient,” is available in English translation by Ivan Žaknić as Journey to the East (MIT Press, 1989).
      from Cooper Hewitt, Smithsonian Design Museum https://ift.tt/2pt5EBs via IFTTT
2 notes · View notes
leoniehagen · 6 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media
Le Corbusier, Maison Ozenfant, Paris, 1922
22 notes · View notes
alexislegallo · 5 years ago
Photo
Tumblr media
Maison Ozenfant, Le Corbusier
2 notes · View notes
procnomore · 6 years ago
Photo
Tumblr media
Maison Ozenfant
I remember you drawing interiors of this. Why, WHY wont you go back to drawing
You should.
2 notes · View notes
lovefrenchisbetter · 1 month ago
Text
Maison Ozenfant
As you make your way out the « Porte d’Orleans » subway stop, you are welcomed by a very eary piece of Paris, the 14th arrondissement. You walk along the sidewalk, witnessing street vendors, small cafes, and a few restaurants juxtapositioned against modern architecture which we could only suspect to be a long-time influence of architects such as Le Corbusier who produced the Maison Ozenfant in…
Tumblr media
View On WordPress
4 notes · View notes
arcdog · 4 years ago
Photo
Tumblr media
ArcDog Black White to Colour: Le Corbusier with Serbian vase on his head, with Albert Jeanneret and Amédé Ozenfant at the Maison Blanche, La Chaux-de-Fonds in August 1919. Original black and white photo © Fondation Le Corbusier, Paris. Colourised by ArcDog in 2020. #arcdog #blackwhite #blackwhitetocolour #arcdogbwtc #architecture #photography #architecturephotography #architect #building #lecorbusier #albertjeanneret #amedeozenfant #maisonblanche #lachauxdefonds #switzerland — view on Instagram https://ift.tt/3kUYRr9
0 notes
dannielpayne-blog1 · 6 years ago
Text
Leonora Carrington
Dans cet article ci , je vais vous parler de Leonora Carrington, une écrivaine et artiste qui vit aux premières années du siècle XX.
On va commencer
Elle est né le 6 de mai de 1917 à Clayton Green, au sein d'une famille de une famille de riches industriels catholiques. Elle est décédé le 25 de mai 2011 à Mexico .
Enfant rebelle et indisciplinée, Leonora Carrington est renvoyée de plusieurs collèges religieux anglais. Entre 12 et 14 ans elle étudie dans un pensionnat à Paris, puis voyage à Florence où elle découvre l’art de la Renaissance italienne, qui confirme très tôt son désir de se consacrer à la peinture. Elle montre des aptitudes pour le dessin, écrit à l’envers, peint des deux mains, s’intéresse au monde surnaturel. Elle se passionne pour les animaux et particulièrement les chevaux, s’imprègne de la mythologie celte et irlandaise, des contes de Lewis Caroll, transmis par sa mère et sa grand-mère.
Contre l’avis de son père, Leonora Carrington part à 18 ans étudier dans une école d’art à Londres, puis s’inscrit à l’académie d’Amédée Ozenfant. En 1937, elle rencontre Max Ernst. C’est le coup de foudre réciproque qui changera le cours de sa vie. Elle le suit à Paris. Elle avait déjà vu la reproduction d’un des tableaux de Max Ernst, "Deux enfants menacés par un rossignol" (1924) dans le livre de Herbert Read sur le surréalisme, qui l’avait fortement impressionnée.
Max Ernst l’introduit auprès des surréalistes, éblouis par cette jeune femme excentrique, douée et audacieuse. Elle termine un autoportrait symbolique de son oeuvre : "A l’auberge du cheval d’aube", commencé à Londres. André Bretonadmire ses écrits et peintures. Plus tard, il lui consacrera un chapitre dans son "Anthologie de l’humour noir" et inclura la nouvelle "La Débutante". L’été 1938, le couple part vivre à Saint-Martin-d’Ardèche dans une maison qu’ils décorent de leurs sculptures. Leonor Fini, Paul Eluard, Roland Penrose, André Pieyre de Mandiargues viennent leur rendre visite, Lee Miller les photographie. Ils peignent ensemble "La Rencontre" (vers 1939).
Ecrivant en anglais, en français et en espagnol, Leonora Carrington publie des nouvelles et des récits surréalistes - bien qu’elle récusera toujours ce terme la concernant - dans lequel l’humour noir côtoie l’onirisme, le fantastique et les références aux sciences occultes. Elle participe à la grande exposition surréaliste de l938 organisée par Marcel Duchamp et André Breton, en compagnie d’autres jeunes femmes artistes de l’époque : Meret Oppenheim, Remedios Varo, Sophie Taueber-Arp, Toyen...
Quand l’Allemagne et la France entrent en guerre, Ernst est emprisonné une première fois en tant que citoyen allemand, puis après l’Occupation, en tant qu’opposant au régime nazi. Peu après sa seconde arrestation, Leonora Carrington, très fragilisée, commence à ressentir les premiers signes d’une dépression. Des amis lui proposent de l’emmener avec eux en Espagne. Elle laisse derrière elle peintures, sculptures et plusieurs nouvelles, dont "Histoire du petit Francis", qui ne seront retrouvées que bien plus tard par un spécialiste de Max Ernst (Werner Spies). A Madrid, elle sombre dans un délire aigu. Encouragée plus tard, alors qu’elle est déjà au Mexique, par Pierre Mabille dont elle avait lu" Le Miroir du Merveilleux", elle relate dans son récit "En bas" (Henri Parisot, 1945) son voyage effroyable au coeur de la folie et son internement dans la clinique du docteur Morales à Santander, l’été 1940.
Leonora Carrington parvient à s’échapper de la clinique, arrive à Lisbonne, et y retrouve un ami diplomate mexicain, Renato Leduc, qu’elle avait connu auparavant à Paris. Il lui propose de l’épouser, pour échapper aux Allemands et à sa famille anglaise. Tous deux quittent Lisbonne en bateau pour New-York où ils resteront jusqu’en 1942. Ils se joindront à d’autres amis venus de France, comme Pierre Matisse, Breton, Masson, Duchamp, Léger, Tanguy… puis ils partent s’installer définitivement au Mexique, terre d’accueil pour de nombreux réfugiés de la guerre civile espagnole et de la seconde guerre mondiale. A Lisbonne et à New-York, elle a revu Max Ernst, qui est devenu entre temps l’époux de la mécène Peggy Guggenheim.
A Mexico, Leonora Carrington se lie d’amitié avec la jeune peintre espagnole Remedios Varo, qui devient sa meilleure amie, Benjamin Péret, Alice Rahon, Kati et José Horna, Günther Gerszo, Wolfgang Paalen, Luis Buñuel... et rencontre le photographe hongrois Imre « Chiqui » Weisz, ancien compagnon de route de Robert Capa, qu’elle épouse et dont elle a deux enfants, Pablo et Gabriel. Elle entre dans une période de créativité intense. Avec Remedios, elle trouve "une intensité du pouvoir de l’imagination qu’(elle) n’avait pas rencontré ailleurs". Elles explorent ensemble de nouveaux territoires : spiritisme, recettes de cuisine alchimiques, étude de la Cabale, du Livre Tibétain des Morts et du Popol Vuh. Les deux artistes peignent des tableaux visionnaires représentant des protagonistes femmes occupées à d’étranges tâches domestiques, des créatures mi-animales, mi-humaines, en combinant des éléments de mythes de différentes cultures avec une iconographie religieuse à la fois chrétienne et païenne, puisant dans le répertoire des croyances indigènes mexicaines. L’art de Leonora Carrington se fonde sur le magique, le mystique, le mystérieux.
Leonora Carrington écrit "Le Cornet acoustique" et "La Porte de pierre". Elle fréquente les artistes et intellectuels mexicains. Son amitié avec le poète et écrivain Octavio Paz - avec qui dans les années 1950 elle participe au groupe théâtral d’avant-garde "Poesia en voz alta". Carlos Fuentes parle de "sorcellerie ironique" à son sujet, et Paz d’une "sorcière ensorcellée", ou d’"une somnambule échappée d’un poème de Yeats".
C’est seulement en 1956 qu’elle réalise sa première exposition d’importance à Mexico ; Inés Amor et la Galeria de Arte Mexicano lui ouvrent les portes de la reconnaissance. En 1956 également, elle réalise pour Paz la scénographie et les costumes de la pièce qu’il a écrite, "La Fille de Rapaccini", et en 1957, Alexandro Jodorowsky met en scène "Pénélope", la pièce de théâtre qu’elle-même a écrit. Le mécène anglais Edward James, protecteur de nombreux artistes surréalistes soutient son oeuvre, et lui demande de décorer de fresques sa maison surréaliste "Las Pozas", à Jilitlà.
Dans les années 60, Leonora Carrington devient célèbre. Une grande rétrospective de son oeuvre est présentée au Musée National d’Art Moderne de Mexico. Elle réalise également une fresque sur "Le Monde magique des Mayas" pour le Musée National d’Anthropologie à Mexico. Elle voyage souvent aux Etats-Unis et y séjourne même quelques années. Elle peint, réalise des tapisseries et des sculptures en bronze. L’une d’elles, "Cocodrilo", est installée à l’entrée du parc de Chapultepec dans la capitale mexicaine. Ses livres ont été traduits dans plus de six langues. Elfriede Jelinek et Olga Neuwirth ont tiré un livret de sa pièce "La Fête de l’agneau".
Une grande exposition personnelle de son oeuvre se tient en 1991 au sein de la Serpentine Gallery à Londres. En 2005, le Palacio de Bellas Artes à Mexico organise une grande rétrospective. En 2007 et 2008, le Dallas Museum of Art et la Frey Norris Gallery à San Francisco lui consacrent une importante exposition. 
Ma opinion.
Moi, je ne suis pas un amant de l'art surréaliste, mais la vie de cette femme puisante, qui semble d'être plus avancé pour sa époque ; sa détermination pour être celle personne qu'elle était, sans reculer, m'a attrapé à telle point que j'ai voulu commencer mon blog avec cette femme extraordinaire.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Ceux-là on été les peintures que j'ai aimé plus d'elle.
Merci
À la prochaine mes amis 😉
0 notes
giants-shoulders-blog · 8 years ago
Photo
Tumblr media
Le Corbusier - Maison Ozenfant, Paris, 1922
2 notes · View notes
gerphau · 9 years ago
Text
Tumblr media
Jim Njoo
Chercheur / Architecte / Docteur en Architecture
Architecte, maître-assistant titulaire en projet à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-La Villette et doctorant au département d’architecture de l’Université de Technologie de Delft où ses recherches de thèse portent sur le discours de l’architecte anglais, Cedric Price. Allocataire de recherche au Centre Canadien d’Architecture (CCA) en 2015, ancien membre de la cellule scientifique du Grand Paris (2008-09), il a enseigné et donné des conférences dans de nombreuses institutions universitaires et professionnelles en Europe, aux Etats-Unis, en Chine et au Japon.
Ses recherches se concentrent sur trois axes de travail : les interrelations entre théorie et pratique, les questions d’urbanité et de métropolisation contemporaines, et l’économie du faire (temps, ressources, espace). Il est également président-membre de l’association de recherche-action « le sixième continent » à Paris et ancien collaborateur de l’agence OMA Rotterdam.
Bibliographie
Publications
« Projeter l’incertitude : la notion de design chez Cedric Price », in Antonella Tufano (dir), Faire des projets, fabriquer des projets. La démarche de projet comme outil de recherche : art, architecture, design, PUN (Presses Universitaires de Nancy), Éditions Universitaires de Lorraine, 2015
Habiter le temps. La temporalité en projet, ENuropan France, GIP-EPAU/PUCA, 2007.
« Learning from Chinatown », in Brown University Urban Studies Newsletter, été 2007.
« De vuelta à la caja » (La Boîte revisitée), in Arquine 35, printemps 2006.
« Learning from Chinatown », in P. Rajkovics, M. Studen, B. Vlay (dirs), Uropean Urbanity, Vienne / New York, Springer Verlag, 2006.
« Apparence et vérité. Une rhétorique de la structure », in J. Abram, J.-L. Cohen, G. Lambert (dirs), Encyclopédie Perret, Paris, Éditions du Patrimoine, 2002.
« La dialectique de l’enveloppe : Les maisons Gaut and Ozenfant », in EAV, La revue de l’architecture de Versailles n°6, 2000/2001.
Actions
« L’architecte en conteur. Cedric Price et le langage de l’expérience », Au tournant de l’expérience. Interroger ce qui se construit, partager ce qui nous arrive, conférence internationale, Cité de l’architecture et du Patrimoine, Paris, ENSA-Paris-La-Villette/GERPHAU/LAVUE/ARENA/PhilAU, 11-12 mars 2016.
« Dialogic Criticism : Cedric Price’s Design Columns, 1975-1999 », Architectural Criticism Between Public Debate and Autonomous Discipline, workshop international, H. Jannière (resp), Université Rennes 2, Département d’Histoire de l’art, 18 janvier 2016.
« Cedric Price : Theory in Action. Repositioning Architectural Discourse and Culture, 1950-2000 », Peer Review Symposium, Delft University of Technology, Department of Architecture, 22 septembre 2015.
« Theory as Media : The Rhetoric and Reception of Cedric Price », conférence Architectural Research Moments, Bruxelles, KU Leuven, Campus Sint Lucas, 30-31 janvier 2015.
Workshop international d’urbanisme, CANactions Festival international d’architecture, Kiev, été 2014.
Workshop international d’études urbaines, Université de Sichuan College d’architecture et d’environnement, Chengdu, Chine, printemps 2014 et été 2013 (co-resp).
« La notion de design chez Cedric Price », Laboratoire d’Excellence Création, Arts et Patrimoines (LABEX CAP), juin 2013.
« Softened Hardware », Theory and Design in the Digital Age, colloque-workshop international, Grožnjan, Croatie, août 2013.
« Social Consciousness », Theory and Design in the Digital Age, colloque-workshop international, Grožnjan, Croatie, août 2011.
Via-Cinéma. Reconstitutions, projection-débat organisé par le séminaire "Art, Cinéma, Architecture", Anne Philippe et Stéphanie Nava (dirs), ENSA-Paris-La-Villette, mars 2011.
« The First Decade », Theory and Design in the Digital Age, colloque-workshop international, Grožnjan, Croatie, août 2010.
« Projeter le temps. Temporalités du Grand Paris », séminaire interdisciplinaire La ville à la trace, Pôle de recherches "Sciences de la ville", Université de Paris 7 Diderot, E. Cohen (dir), mars 2010.
« The Myth of the Free Façade », Georgia Tech College of Architecture, Atlanta, février 2010.
« Shaping Time », Ordre des architectes de Rijeka, Croatie, octobre 2008.
« Istrian Borders », avec V. Penezić et K. Rogina, Biennale d’Architecture de Venise, Palazzo Zorzi, novembre 2006.
« Revisiting the Box », conférence au 7e Congrès International d’Architecture et de Design, Mexico City, mars 2006.
« La rhétorique de la structure », École Centrale d’Ingénieurs, Nantes, avril 2004.
« Je lis ta peau : l’architecture de la surface », Lieu Unique, Scène Nationale d’Art Contemporain, Nantes, mai 2002.
Séminaire Palladio et les Modernes, Centro Internazionale di Studi di Architettura Andrea Palladio, Vicence, juillet 2001.
« La genèse du plan libre : Perret et Le Corbusier », conférence à l’école d’architecture de Paris-Belleville, mars 2001.
« Giuseppe Terragni et la Casa del fascio de Côme », cycle de conférences, Petites leçons d’architecture : le XXe siècle en 10 bâtiments, J.-L. Cohen (dir), Institut Français d’Architecture, mai 2000.
« Giuseppe Terragni », colloque international, Centro Internazionale di Studi di Architettura Andrea Palladio, Vicenza - Fondazione Terragni, Como, mai 1994.
0 notes
tia25g · 5 years ago
Text
Journal 7
Le Corbusier was an architect born in Switzerland, 1887. He was born as Charles-Edouard Jeanneret-Gris and when he moved to Paris in 1917 he started going by the name Le Corbusier. When he was 13 he went to Arts Décoratifs at La Chaux-de-Fonds. This school taught Le Corbusier things like art history, drawing, and the aesthetics of art nouveau. At the age of 20, Le Corbusier designed his first house in 1907. He traveled the world to places such as, Europe, the Mediterranean, Italy, Vienna and Paris. These trips impacted Le Corbusier’s education greatly. When he moved to Paris he met Cubist painter Amédéé Ozenfant. The two worked together during a period that began to reject cubism. Together the two published the book Aprés le cubisme, an anti-cubism manifesto.Le Corbusier had a proposal for a city filled with two kinds of houses, the Maison Monol and the Maison Citrohan. He referred to these houses as “the machine of living”. Le Corbusier’s five points of architecture were lots of support pillars, gardens on the roof, a free floor plan, horizontal windows, and a free design of façade.  
Tumblr media
Mill Owners’ Association Building, Ahmedabad
Le Corbusier incorporates a few of his five points of architecture into the Mill Owners’ Association Building with his use of plants in the building, support beams, open design, and free façade. All around this building are plants and flowers growing on balconies and window areas. It’s hard to see from the front but in other pictures there are beans supporting the ceiling. The inside layout of the Mill Owners’ Association Building is open and has lots of free space. A building on campus that reminds me of Le Corbusier buildings would be the Sandburg dorms. The reason why Sandburg reminds me of Le Corbusier work is because of the horizontal windows that rap around the towers. There are grassy roof tops on Sandburg and the layout of the lobby is open. 
0 notes