#mais là comme je fais mes études supérieures j’ai plus de langues du tout et honnêtement le néerlandais me manque un peu
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J’avais complètement oublié que j’avais prévu de parler en français aujourd’hui, mais soit, voilà qui est fait…
C’est trop cool de voir tous les posts en néerlandais, par contre
#gros cœur sur les néerlandophones <33#j’ai suivi des cours de néerlandais environ de mes quatre ans à mes dix-huit#mais là comme je fais mes études supérieures j’ai plus de langues du tout et honnêtement le néerlandais me manque un peu#speak your language day#syld
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Unité 10. Beau Travail !
FOIRE AUX QUESTIONS.
Erasmus, qu'est-ce que c'est ?
C'est un programme de la Commission européenne ouvert à tous. Il encourage la mobilité des jeunes et des professionnels dans les domaines de l'éducation, la formation, la jeunesse et le sport. C'est aussi un programme d'échange pour les étudiants.
Qui propose Erasmus ?
Les établissements d'enseignement supérieur : universités, grandes écoles, instituts d'études politiques, écoles d'art, etc.
Est-ce que je peux partir avec Erasmus si je ne suis pas étudiant en Europe ?
Oui. Erasmus est un programme international d'études.
Si vous êtes inscrit dans une université partenaire, vous pouvez partir avec Erasmus.
On peut faire quels cursus avec Erasmus ?
De nombreux parcours universitaires sont possibles (diplómes de licence, master, doctorat...) dans les disciplines de votre choix: langues, lettres, droit, économie, physique, mathématiques, médecine, sociologie…
Où est-ce qu'on peut partir ?
Dans les pays de l'Union européenne (Allemagne, Espagne, France, Grèce, Roumanie, Slovaquie...) et dans les pays partenaires (Albanie, Arménie, Islande, Liban, Russie, Turquie...).
Comment partir avec Erasmus ?
Renseignez-vous sur le site Internet et cherchez votre discipline.
Quand vous avez trouvé une université d'accueil, préparez votre dossier et surveillez le calendrier:
vous devez déposer votre dossier de candidature complet avec votre CV avant la date limite!
Quelles sont les aides financières ?
Si vous participez au programme Erasmus, vous recevez une bourse de l'Union européenne pour le logement, le voyage et la vie de tous les jours.
Au fait ! CV est l'abréviation de curriculum vitae.
On présente ce document à des employeurs quand on cherche du travail.
Ils sont partis avec Erasmus.
Lucie Je m'appelle Lucie, je suis belge et je suis étudiante en master 1 de sciences politiques, en Suède, à Stockholm.
L'hiver, il fait très froid, mais c'est une ville merveilleuse.
Avec Erasmus, je vis une expérience formidable !
C'est une occasion unique de découvrir une nouvelle culture, une nouvelle langue et de rencontrer des étudiants de pays différents.
Maintenant, j'ai envie de m'intéresser aux questions européennes : ça me donne des idées pour la suite, pour ma future vie professionnelle...
Livia : Je m'appelle Livia, je suis italienne et j'étudie l'informatique à l'université de Madrid, en Espagne.
Je suis en 3 année de licence.
C'est une vraie chance de voyager comme ça à mon âge, c'est très enrichissant.
La bourse Erasmus me permet de vivre bien, d'avoir un petit logement dans le centre et de sortir de temps en temps.
Cette expérience m'aide à préciser mon projet professionnel.
En tout cas, je vais continuer à voyager... et je vais peut-être m'installer dans un pays étranger !
Piotr : Je m'appelle Piotr, je suis russe et je suis inscrit à l'université de Lisbonne, au Portugal. Je suis étudiant en architecture, en M2.
J'ai beaucoup de chance d'être ici : pour mon avenir professionnel, c'est un avantage de parler une nouvelle langue et de connaître d'autres méthodes de travail.
Pour décrire une expérience positive.
Je vis une expérience formidable.
C'est un avantage de parler espagnol.
J'ai beaucoup de chance de voyager.
C'est une occasion unique de m'enrichir.
Cette expérience me permet de progresser.
Pour parler de ses études.
Je suis étudiant en master 1 d'économie.
Je suis en (3e année de) licence.
J'étudie l'architecture.
Je suis inscrit à l'université de Lisbonne.
Découvrons le campus !
Chers étudiants, Bienvenue au campus de l'université Pierre et Marie Curie !
Notre université existe depuis 1934.
Elle a longtemps été réservée aux cursus scientifiques.
Aujourd'hui, elle est toujours renommée, et nous avons le plaisir d'ouvrir un département d'économie.
L'université Pierre et Marie Curie, c'est :
5 départements : biologie, informatique, mathématiques, physique-chimie, économie.
4 amphithéâtres pour étudier dans de bonnes conditions.
Plus de 100 salles de cours.
Des laboratoires équipés pour accueillir les enseignants-chercheurs.
Une bibliothèque avec plus de 50000 ouvrages et une bibliothèque numérique en ligne.
2 restaurants universitaires pour faire des repas complets, et une cafétéria.
5 Un gymnase, un stade et des espaces verts.
Pendant la semaine de la rentrée, n’oubliez pas d'aller au secrétariat pour obtenir votre carte d'étudiant, Profitez de votre année !
Christine Carambani, présidente de l'université
Pour exprimer le but.
J'apprends I'anglais pour le travail. (pour + nom).
Je vais au secrétariat pour obtenir ma carte d'étudiant. (pour + infinitif).
La condition avec si.
Si vous êtes inscrit dans une université partenaire vous pouvez partir avec Erasmus.
Si vous participez au programme Erasmus, vous recevez une bourse de l’Union européenne.
Si tu es étudiant, tu peux étudier à l’étranger avec Erasmus.
S’il étudie, il peut réussir.
Il faut bien dormir. Si vous mangez bien.
Il faut bien manger. Si vous mangez bien.
Il faut bien étudier. Si vous étudiez bien.
Si vous participez bien. Si vous vous entraînez.
Salut Clarissa ! Je suis Nora, nous avons été ensemble pendant deux ans en licence de mathématiques !
Salut Nora, alors, qu’est-ce que tu fais maintenant ?
J’étudie toujours les mathématiques. Et toi?
J’ai étudié l’économie pendant deux ans et j’ai passé un concours pour être professeur.
Ah! J’ai pensé longtemps à passer un concours. Mais pendant mon master, j’ai découvert le métier de chercheur.
Tu prépares toujours un diplôme ?
Oui, un doctorat.
J'ai étudié à Leipzig pendant deux ans.
Sam étudie toujours la philosophie.
Lya et Laure ont longtemps étudié à la bibliothèque.
Luc a travaillé dans un restaurant pendant ses études.
Nous ne cherchons pas de travail : nous sommes toujours étudiants.
Vous avez voyagé pendant votre année d'études en Italie.
Marianne. Licence de droit.
Objectif: devenir avocate.
Elle est en licence de droit.
Elle étudie pour devenir avocate.
Jonas est inscrit à l'université Jean Jaurès.
Il étudie pour le plaisir d'apprendre.
Lola est en master de chimie.
Elle étudie pour travailler en laboratoire.
Soraya est inscrite à l'université du Québec à Laval.
Elle étudie pour faire de la recherche.
Bacary étudie le chinois pour pour son travail.
Bonjour, je viens pour m’inscrire.
Bonjour ! Vous voulez préparer quel diplôme ?
Un masters
Dans quelle discipline ?
En sociologie.
Alors, je vous donne le dossier. Vous devez le remplir et le remettre au secrétariat de sciences sociales
Et quand est-ce que j’ai listé des professeurs ?
Après l’inscription administrative.
Où est-ce que je peux déjeuner le midi?
Tu peux déjeuner le midi au restaurant universitaire.
Où est-ce que je peux trouver des livres?
Tu peux trouver des livres à la bibliothèque.
Amélie étudie les langues, où est-ce que je peux la retrouver ?
Tu peux trouver Amélie au département de langues étrangères.
Où est-ce que je peux faire du sport?
Tu peux faire du sport au gymnase.
Quelle est la salle de cours a coûté du secrétariat ?
La salle de cours à côté du secrétariat est l'amphithéâtre.
Université 2.0.
Le FacLab de l'université de Cergy-Pontoise est un lieu ouvert à tous : il réunit des étudiants, des chercheurs, des enseignants, des designers, des artistes, des ingénieurs…
Créer.
Vous avez une idée d'objet et vous voulez le créer ? Le FacLab met à votre disposition les machines nécessaires à la réalisation de votre projet : imprimante 3D, outils de découpe (bois, tissu, etc.), machine à coudre... Des techniciens et des enseignants sont là pour vous accompagner.
Partager.
Ici, on apprend à plusieurs !
Les utilisateurs expérimentés partagent leurs connaissances.
Les plans de fabrication des objets sont accessibles en ligne à tous les utilisateurs de fablabs partout dans le monde.
Apprendre.
Dans le FacLab, vous prenez part aux projets de fabrication des autres membres. Vous pouvez aussi participer à des ateliers, à des formations…
« fablab », qu'est-ce que c'est ?
Les fablabs (« laboratoires de fabrication ») sont nés à la fin des années 1990 au Massachusetts Institute of Technology (MIT), aux États-Unis. Aujourd'hui, il existe de nombreux fablabs dans le monde, notamment dans plusieurs universités françaises (Bordeaux, Le Havre...) et francophones (Lausanne, Laval, Rabat, Tunis...).
On, le cliché !
« Le système éducatif français est un des meilleurs du monde. »
D'après le classement du Times Higher Education, l'École normale supérieure de Paris (54º) est la seule parmi les 100 meilleures universités dans le monde en 2015. L'année précédente, il y avait deux universités françaises dans ce classement.
Francophonie.
L'Agence universitaire de la Francophonie est une association pour développer l'enseignement supérieur en français. Elle propose aussi aux étudiants des bourses de mobilité et des cursus en ligne (FOAD, MOOC)...
Avant, j’étais très timide.
Pour guérir ma timidité, j’ai suivi un stage et j’ai appris à être sûr de moi.
Avant, il ne savait pas danser.
La danse ? Il s'est inscrit à un cours.
Maintenant, il danse parfaitement.
Avant, elle n'arrivaient pas à s’endormir.
Pour dormir plus facilement.
Elle a arrêté de boire du café.
Maintenant, elle dort au moins huit heures par nuit.
Il y a dix ans, je pesais 96 kilos.
Pour perdre des kilos, j’ai fait un régime strict: j’ai supprimé l’alcool, les bonbons et les pâtisseries.
Aujourd’hui, je ne fais que 65 kilos.
Avant, nous habitons un studio sinistre.
Dans notre studio: nous avons repeint les murs blanc, nous avons changé la moquette et nous avons mis des posters aux couleurs vives sur les murs.
Aujourd’hui, nous nous sentons bien chez nous.
Avant, je vivais seul.
Plus connaître de nouveaux amis, j’ai décidé de m’inscrire dans un club de natation et de randonnées.
Maintenant, je connais plein de monde et j’ai de nombreux amis.
IL A RENCONTRÉ SA FEMME À L'ALLIANCE FRANÇAISE PARIS ILE-DE-FRANCE.
Je m'appelle Matthew. Je suis arrivé à Paris à 24 ans pour mon travail. Avant, je vivais en Angleterre et je ne parlais pas français. Je me suis inscrit dans une école de langue française à Paris pour faciliter ma vie quotidienne et professionnelle. Au début de mon apprentissage, j'ai rencontré des gens de différentes nationalités et j'ai fait la connaissance de Cindy, une jeune femme américaine de 25 ans. Nous étions tous les deux débutants et nous nous aidions quand nous avions des difficultés. Nous avons fait des progrès en français et, aujourd'hui, nous travaillons tous les deux en France. Nous sommes mariés depuis trois ans.
L'histoire de Martina (situation initiale, événements importants, situation actuelle).
Il y a 5 ans, j'habitais à Zagreb. J'étais étudiante. Je n'avais pas d'enfant. Je sortais beaucoup.
Puis, j'ai fini mes études. J'ai déménagé à Paris. J'ai trouvé un travail de professeur à l'université. J'ai eu un enfant.
Aujourd'hui, j'habite et je travaille à Paris, je gagne plus d'argent qu'avant mais je sors moins qu'avant. Je suis très occupée par ma vie professionnelle et ma vie familiale.
Prof de FLE en Thaïlande Blog prof info.
Il y a 20 ans, j'ai réussi un master de FLE. Après mon master, je suis parti en Thaïlande et j'ai travaillé comme professeur de français. J'étais heureux : mon travail était intéressant et les étudiants m'aimaient beaucoup. Et puis, j'ai rencontré ma femme et nous avons eu un enfant. Nous avons décidé de rentrer en France. Maintenant, je travaille à Marseille.
Rosalie et Jules.
Quand Rosalie et Jules étaient jeunes mariés, ils vivaient dans un modeste appartement à Dunkerque, dans le Nord de la France. À l'époque, Jules était comptable dans une entreprise de plomberie et Rosalie était secrétaire dans un cabinet d'assurances. Ils n'avaient pas encore d'enfant, donc ils pouvaient partir en vacances assez librement. Le problème, c'est qu'ils n'avaient pas beaucoup d'argent. Comme ils aimaient beaucoup la campagne et le climat agréable du Sud-Ouest, ils s'installaient tous les ans dans un village du Périgord. Un fermier leur louait une petite chambre pendant deux semaines et ils passaient leurs journées à marcher, à pique-niquer et à rêver à leur futur château dans cette magnifique région. Ensuite, leur vie a changé. Ils ont eu trois enfants, Jules a ouvert son propre cabinet comptable, Rosalie est devenue assistante de direction. Quelques années plus tard, ils ont acheté une vieille maison dans le Périgord, à quelques kilomètres de Sarlat. Ils ont passé des années à la rénover eux-mêmes. Maintenant, ce n'est pas un château, mais c'est une très jolie maison, chaleureuse et couverte de fleurs, où toute la famille passe des vacances heureuses.
Nelly.
Avant, j’avais beaucoup de difficultés en cours d’allemand, je ne comprenais pas tout et je ne trouvais pas vraiment d’intérêt à apprendre une langue étrangère. Puis, j’ai participé à un échange.
Je suis allée dans une famille allemande pendant deux semaines et j’ai fait beaucoup de progrès.
Aujourd’hui, je peux écrire des méls en allemand à mon amie allemand et parfois je lui téléphone.
Avant, c'était une plage tranquille. Il y avait très peu de baigneurs. On trouvait toujours de la place.
Puis le tourisme s'est développé. Des hôtels et des restaurants se sont installés. Maintenant, la plage est très fréquentée. On peut à peine s'asseoir. L'endroit est devenu une station balnéaire.
Il y a quelques années, Stéphane était célibataire. Il vivait seul et n'était pas très heureux. Il trouvait la vie triste, il se sentait seul. Un jour, il a rencontré Marianne et est tombé amoureux. Après quelques années de vie commune, ils se sont mariés. Ils ont eu un enfant, puis deux, puis trois. Stéphane est maintenant un père heureux et un mari comblé.
Je voudrais partir en Turquie pour commencer un cursus de littérature et devenir professeure.
Mon frère est pâtissier mais il voudrait découvrir un nouveau métier : pourquoi pas boucher ?
Je reçois une aide financière pour étudier à l'étranger.
Quand ma bourse arrive, je coche le jour sur mon calendrier.
Mon parcours professionnel.
Dialogue 1.
L'avocate : Bonjour... Justin ? C'est ça ?
Justin : Oui c'est ça. Bonjour madame.
Vous êtes étudiant ?
Oui. Je suis en 3° année de licence de droit.
Mais je n'ai pas choisi ma spécialité.
C'est important pour votre future carrière.
Qu'est-ce que vous avez envie de faire comme métier ? J
Je rêve d'être avocat... Mais ce n'est pas facile. Vous êtes avocate ?
Oui. C'est vrai, les études sont sélectives, et vous devez passer un concours qui est difficile.
Ensuite, on travaille beaucoup, on étudie longtemps les dossiers, on fait beaucoup de recherches...
Parfois, le week-end, je prépare les dossiers qui sont urgents.
Il n'y a pas d'horaires fixes.
Est-ce que c'est un métier stressant ?
Un peu oui, parce qu'on a des responsabilités importantes.
Et puis aussi parce qu'au tribunal, il faut parler en public pendant le procès.
Mais c'est un métier magnifique !
C'est important de permettre aux gens de se défendre.
On est là pour eux, pour leur donner une voix.
C'est un très beau projet professionnel !
Oh oui, c'est sûr : je veux être avocat. Je suis motivé !...
Merci, madame. Bonne journée.
Dialogue 2.
Audrey : Bonjour, monsieur.
Le jardinier : Bonjour ! Comment vous vous appelez ?
Audrey. Je suis étudiante et je ne sais pas quel métier je veux faire...
J'espère que je vais trouver des idées ici.
Je vois... Qu'est-ce que vous étudiez ?
Je suis en L1 de biologie. Et aussi... je sais dessiner.
Je prends des cours de dessin en dehors de l'université, c'est ma passion.
J'aime beaucoup dessiner des fleurs.
Donc, vous vous intéressez aux plantes ?
Ah oui ! Chez mes parents, il y a un petit jardin.
Je connais bien les fleurs. Je suis douée pour ça, il paraît !
Vous avez pensé à être jardinière ?
Jardinière ?
Oui : dans les parcs, les châteaux, ou chez des gens... Ça vous plairait ?
Moi, c'est mon métier.
Vous pouvez m'en dire plus ?
Eh bien, c'est un métier qui est très varié : je dois bien connaître les fleurs que je plante mais il faut aussi être un peu artiste, avoir de l'imagination pour faire un beau jardin... Audrey : Et quelles sont les conditions de travail ? Vous travaillez dehors ?
Oui, on est tout le temps à l'extérieur, été comme hiver.
Mais j'ai beaucoup de liberté pour m'organiser : je choisis les commandes que je préfère et les horaires qui me conviennent... et je n'ai pas de chef !
C'est une super idée !
Merci du conseil !
Pour exprimer une capacité, une compétence.
Je sais dessiner.
Je peux porter des objets lourds.
Je connais (bien) les fleurs.
Je suis doué(e) pour la peinture/peindre.
Pour exprimer un souhait ou un projet professionnel.
J'espère que je vais réussir.
J'ai envie de défendre les gens.
Je rêve d'être architecte.
Ça me plairait (de travailler dehors).
Je suis motivé(e) (pour passer le concours).
C'est mon projet professionnel.
Les pronoms relatifs « qui » et « que ».
Vous devez passer un concours qui est difficile.
Le week-end, je prépare les dossiers qui sont urgents. Je dois bien connaître les fleurs que je plante.
Je choisis les commandes que je préfère et les horaires qui me conviennent.
Vous faites des études. Ces études sont difficiles.
Vous faites des études qui sont difficiles.
Je connais un avocat qui est excellent.
Jeanne travaille dans un quartier que j'adore.
C'est un travail qu'il aime.
Je fais un métier que j'aime.
J’aime parler avec des professionnels qui connaissent leur métier.
Le diplôme que je prépare permet d’être dentiste.
J’ai des horaires de travail qui sont pratiqués.
Les commandes qu’il reçoit sont très intéressantes.
Le médicine est un cursus qui est long.
Martin a le diplôme qui est nécessaire à son inscription en master.
C’est le dossier que je t’ai envoyé hier.
Voici le professeur qu’ Armelle adore.
Jean Nouvel est le secrétaire qui m’a aidé à m’inscrire.
Prends le livre que je t’ai donné.
J’ai choisi un cursus qui est court.
Je te présente Francisco que j’ai rencontré à la fac.
Elle suit des cours qui ont lieu le matin.
L’informatique est une spécialité qui est très demandée.
Quelles sont les matières que tu préfères ?
Je suis motivé par le droit du travail.
Je sais travailler en équipe.
J'ai envie d'apprendre de nouvelles choses.
Je connais bien les logiciels de comptabilité.
Je suis doué pour m'organiser.
Je peux faire un budget.
Ça me plairait de travailler dans un cabinet d'avocats.
Mon parcours.
Il y a 6 ans, j'habitais à Honduras. Je venais de terminer mon échange d'un an en Autriche.
J'étais au lycée. Là-bas, je vivais dans une famille autrichienne et appris à parler allemand.
Puis, j'ai fini mes études au lycée et j'ai reçu une aide financière pour étudier à l'étranger.
J'ai déménagé à Taiwan et j'ai commencé mes études d'ingénieur en aérospatiale.
J'y ai vécu pendant cinq ans et j'ai appris la langue très bien.
J'ai obtenu mon diplôme en 2019 et je suis ensuite revenu dans Honduras et j'ai commencé mon stage dans l'aviation civile.
Aujourd’hui, j'étudie le management de l'aérospatiale à Toulouse Business School et j'apprends aussi le français dans l'alliance française.
Si tu être un auteur de BD, tu peux apprendre à dessiner.
Si tu travailler le week-end, tu peux être cuisiner.
Si tu être cuisiner, tu peux travailler le week-end.
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„Alles im Leben ist Organisation“ Wilhelm von Humbolt
“Dans la vie, tout est organisation” Wilhelm von Humbolt.
Voilà ce que disait Wilhelm von Humbolt, théoricien principal du système prussien d'éducation au dix-huitième et dix-neuvième siècles.
Je vous partage cette citation afin d’amener le thème de mon article du jour qui est l’organisation dans la vie universitaire qui est l’un des points les plus important pour la réussite dans les études supérieures avec la motivation sur laquelle je rédigerai également un article.
Je suis personnellement d’accord avec ce que disait Humbolt dans la mesure où j’ai souvent été complètement pommée dans ma vie étudiante devant tous les travaux que je devais réaliser à un moment où je ne réussissais absolument à m’organiser, comme c’est sans doute le cas pour beaucoup de personnes qui ne s’organisent pas suffisamment.
Je vais donc vous parler de la méthode que j’utilise pour m’organiser dans ma vie étudiante et personnelle.
Erster Schritt: Die Priorisierung.
Eh oui ! La priorisation est la première étape de ma méthode organisation !
Lorsque je me retrouve à chaque week-end, je regarde tout d’abord ce que j’ai eu le temps de temps de faire au cours de la semaine, le plus souvent, j’ai déjà réalisé les petits travaux et les travaux de taille moyenne ne prenant pas énormément de temps et commencé l’apprentissage de cours magistraux assez importants. Me restent donc les éléments sur lesquels je dois passer du temps comme la remise des cours au propre ou les exposés.
Quand le week-end arrive, je regarde ce qu’il me reste à faire pour la semaine à venir et j’étale tous ces devoirs sur le week-end et la semaine à venir en fonction de mon emploi du temps.
Zweiter Schritt: Die strategische Planung.
Parlons maintenant planification stratégique car la stratégie est vraiment une chose indispensable dans l’organisation étudiante !
Lorsque vous recevez votre saint emploi du temps, commencez par le réécrire dans votre agenda pour toujours l’avoir sur vous ; ou bien sur une feuille et encadrez-le dans un joli cadre et posez-le sur votre table de chevet pour l’avoir près de vous ! Soit, l’encadrer l’encadrer dans un joli cadre et le mettre sur sa table de chevet n’est peut-être pas nécessaire mais ayez-le sur vous la majorité du temps.
Voilà donc l’emploi du temps que j’avais pour mon sixième et dernier semestre de Licence comme exemple !
Comme vous le voyez, ce dernier n’était pas spécialement chargé dans la mesure où j’avais seulement vingt-six heures vingt-cinq minutes de cours par semaine si on retire mes horaires de stage, le total, heures de stages comprises, équivalant à trente heures dix minutes d’occupation hebdomadaire planifiées et liées à l’université.
Dritter Schritt: Die Verteilung der Zeit für Hausaufgaben und Hausarbeiten.
Venons-en aux travaux que nous devions réaliser à la maison, communément appelés devoirs !
En première année à l’université, il faut que vous regardiez comment se déroulent les cours et ce que les professeurs vous recommandent de lire, d’acheter et de faire pour leur cours.
Prenons par exemple la traduction où il est recommandé d’apprendre un peu de vocabulaire tous les jours en fonction de vos capacités, une dizaine de mots peut-être une moyenne de journalière par exemple. Il vous faut donc trouver un moment par jour pour cette activité
Un professeur peut vous demander de réaliser un travail par semaine en fonction de son humeur. J’avais par exemple presque toutes les semaines des devoirs à réaliser ou des travaux à envoyer à mon professeur ou à présenter à la classe, ainsi qu’un exposé sur une œuvre littéraire, une poésie ce semestre.
En interprétation, nos professeurs nous conseillaient de faire des fiches de vocabulaire sur le lexique qu’on découvrait dans leurs cours.
L’objectif est donc de tout d’abord trouver une plage horaire pour caler les travaux hebdomadaires qui ne prennent normalement pas trop de temps.
Vierter Schritt: Die Referate vorbereiten.
Ensuite vient le moment de préparer les exposés qui est ce qui prend généralement le plus de temps.
Même si durant le semestre d’hiver réussi à préparer complètement un exposé le soir même où ma professeure nous l’avait donné alors que nous ne passions que deux semaines plus tard ce qui m’a littéralement surprise.
Mais soyons réalistes : cela n’est que rarement possible car un exposé réclame un grand temps de préparation ! Par exemple, on ne peut pas faire une recherche complète scientifique et préparer un exposé complet sur un sujet de Littérature en un seul et unique soir. Pour un exposé de Littérature, il me faut au minimum sept ou huit jours pour être sûre et certaine d’avoir trouvé tout ce que je pouvais mettre dedans et de pouvoir affiner mes recherches notamment.
La solution est donc de prévoir un peu de temps, à partir d’un jour J, chaque soir, ou à des moments fixes et définis, pour se consacrer au sujet.
Fünfter Schritt: Die Unterrichte ins Reine schreiben.
La dernière chose que je fais lors de la période universitaire est la remise au propre des cours car oui, je suis l’une des rares personnes à ne presque pas faire de fiches révisions car je préfère réécrire complètement mes cours magistraux. Les seules matières pour lesquelles je réalise des fiches sont la traduction et l’interprétation car le plus important dans ces matières l’acquisition du vocabulaire.
Les seuls cours magistraux faisant exception à la règle sont ceux de Littérature et de Culture et Communication car il ne m’a pas semblé utile de réaliser cela car ces cours étaient en général plutôt clairs dans ma tête et cela m’aurait pris trop de temps car je devais mettre au propre :
Les cours magistraux de Didactique de l’allemand,
Les cours de Français Langue Étrangère bien qu’il s’agisse de travaux dirigés
Les cours magistraux de Linguistique, qu’il s’agisse de Linguistique descriptive ou historique,
Les cours magistraux de Civilisation.
Ce qui n’était à vrai dire pas évident à réaliser chaque semaine compte tenu des devoirs ou exposés que j’avais à préparer.
C’est la raison pour laquelle je réservais ces activités aux week-ends où j’avais logiquement plus de temps.
Certains penseront que réécrire ses cours est quelque chose d’inutile mais si je le fais c’est en raison de ma mémoire qui est visuelle : pour retenir réécrire le cours m’aide donc grandement.
Si je ne fais pas énormément de fiches de révisions, la raison est simple : tout le cours étant important à mes yeux, je refuse de le réduire aux points centraux car je me suis mise dans la tête que je devais être capable de tout recracher sur une feuille où lors d’un oral, ce qui doit sans doute être dû à ma grand-mère qui me forçait à connaître mes cours par cœur lorsque j’étais au collège notamment.
Sechster Schritt: Die Organisation der Zeit zu Hause.
Maintenant passons à l’organisation du temps à la maison car planifier tous ses devoirs est bien beau mais si on passe ses soirées sur Internet ou sur Netflix, le fait d’avoir planifié ne sert absolument à rien !
Il faut en effet un peu se forcer à travailler tous les soirs pour ne pas se retrouver avec tous ses devoirs à faire le week-end, ce qui dans ce cas est le début de la fin de votre année universitaire !
Lorsque j’étais moi-même étudiante en première année de Licence, j’avais adopté la technique du “Mais tu as le temps Louise, tes devoirs tu les feras le week-end !” Quelle grosse erreur n’avais-je pas fait là !
Car avec tous les devoirs de la semaine à faire en deux ou trois jours en fonction de votre nombre de jours de week-end, vous finirez sans aucune vie sociale et sans aucune sortie, ce qui a l’époque de ma première année de Licence ne me gênait pas dans la mesure où je rentrais dans mon petit village de campagne pommé tous les week-ends où je n’avais que cela à faire et à aller à la messe tous les dimanches, sainte exigence de ma grand-mère.
Il faut donc se forcer et se motiver à faire un peu de ses devoirs tous les soirs, sauf si:
Vous avez eu une journée particulièrement fatigante,
avez réalisé plus du double du temps que vous faites habituellement en vélo
Vous êtes allés effectuer votre stage où vous avez été avec des enfants particulièrement insupportables
Vous êtes malades ou n’avez pas le moral
Il faut donc se consacrer un temps pour chaque activité.
Lorsque je rentre de cours et qu’il n’est pas plus de dix-huit heures, je prends quelques minutes pour grignoter une petite sucrerie, comme des spéculoos qui sont mon goûter favori.
Eh oui, à vingt-et-ans et demi et je prends toujours un goûter, il n’y a pas de honte à avoir ! J’en suis même fière !
Cette pause me permet en effet de me vider la tête pendant quelques minutes et de me déconnecter des cours pendant quelques instants avant de retourner au travail.
Une fois cette césure effectuée, je commence les devoirs que j’ai prévus pour le jour que nous vivons et me motive en me disant que si j’ai fait ce travail, il ne sera plus à effectuer ou bien sera déjà entamé donc que je passerai moins temps la prochaine fois que je travaillerai dessus que si je faisais d’une traite un autre jour.
Il faut cependant faire attention à vous surcharger.
Ne prévoyez pas de mettre trois cours au propre et de faire un autre devoir en un seul et unique soir car cela relève de l’impossible : il faut donc rester réaliste sur le travail que vous vous donnez. Mettre un cours au propre est par exemple quelque chose que je trouve relativement fatigant et en mettre deux au propre dans la même journée relève de l’exploit. Enchaîner sur un autre devoir est donc irréaliste à mes yeux.
Les éléments perturbateurs pendant le travail à la maison.
Si un réseau comme Netflix ou OCS me font de l’œil, j’essaie de rester concentrée sur ce que je fais, me mentant en me disant que je pourrai peut-être y jeter un coup d’œil plus tard, ce qui est cependant irréalisable en semaine car une bonne nuit de sommeil est indispensable pour un étudiant.
La tentation du téléphone est également quelque chose contre laquelle il faut lutter car discuter avec votre meilleur(e)-ami(e) ne fera votre devoir ! Mon conseil est le plus simple du monde ! Coupez les notifications sonores de votre téléphone ou éteignez-le si les LED clignotantes vous donnent envie de les regarder, sauf si bien entendu, vous attendez un appel urgent.
Pour résumer cet article, je dirais que pour s’organiser à l’université, il vous faut suivre les étapes que je vous ai présentées donc prioriser dans un premier temps, planifier dans un second temps, estimer combien de temps le travail à préparer vous demandera dans un troisième pour enfin organiser son temps à la maison comme vous le souhaitez.
Il est cependant à noter que cette organisation ne fonctionnera peut-être pas avec vous car l’organisation est quelque chose de propre à chacun. IL faut donc l’adapter à la situation T pour qu’elle soit efficace. Vous n’êtes donc pas obligés de suivre mes recommandations à la lettre mais d’adapter les points centraux à vos besoins.
#université#études#organisation#conseils#tips d'une étudiante en L3#universität#studium#räte#räte für künftige studenten#organisation des études
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Photo
Sur la photo (de gauche à droite) : Guillaume Beslon responsable de la section théâtre-étude option son et lumière et Delphine Savel responsable de la section danse-étude
Interview : Guillaume Beslon et Delphine Savel
DS : Delphine Savel, je suis responsable de la section Danse-Études et professeure d’EPS spécialité Danse et Gym. Je suis à l’INSA depuis 15 ans. En tant que professeure de sport, l’élève fait partie de mon système de réflexion pour comprendre le cognitif, l’affectif, le moteur et faire en sorte que tout le monde progresse. Et cet élève INSA, je le trouve intéressant dans son rapport aux sciences, avec ces croisements de disciplines entre les sciences humaines, les langues. J’ai beaucoup questionné qui étaient ces étudiants en étant vacataire en gym. Monter des projets, c’est mon grand truc alors j’ai postulé sur le poste « activités féminines ». C’était intéressant de faire comprendre à un jury que j’étais la personne qu’il fallait pour ces étudiants, que je les avais bien ciblés, me mettre un peu en jeu sur ce que je pouvais apporter. Je pense que c’est ce qui a plu dans l’entretien. Je me suis mouillée. Je suis partie des étudiants, qui ils sont et ce que moi je peux apporter à travers ma pratique.
DS : J’aurais voulu faire de la lutte mais ce n’était pas possible à l’UFRAPS donc je suis arrivée à la danse. J’ai d’abord appris ce qu’était la danse technique et après 5 ans de pratique intensive, j’ai compris ce qu’était la danse dans son sens, que le corps pouvait faire sens. Récemment, dans mon parcours professionnel j’ai intégré les pratiques somatiques que j’enseigne en parcours adapté. Dans la quête de sens c’est intéressant : c’est comment tu fais sens et tu prends conscience que ton activité cérébrale et ton activité corporelle fonctionnent ensemble et font sens l’une envers l’autre, à travers tes sensations, tes perceptions et tes actions.
GB : Je suis Guillaume Beslon, enseignant chercheur au département informatique, je fais ma recherche dans un laboratoire qui s’appelle le LIRIS et je suis responsable de l’option Lumière et Son de la section Théâtre-Études. J’ai fait l’INSA, j’ai fait ma thèse à l’INSA et après mes stages post-doc, j’ai choisi de venir enseigner ici, c’était en 99, donc il y a 20 ans. Ce qui est particulier, c’est que ça fait 3 casquettes, à priori éloignées les unes des autres, puisque j’enseigne l’architecture des ordinateurs en informatique, je fais de la recherche en biologie et la troisième facette, c’est la partie artistique. L’option Lumière et Son enseigne aux étudiants à assurer des prestations de régie lumière, son, vidéo en prenant le parti pris que la régie est une activité artistique comme une autre puisqu’il y a derrière ces régies des choix de création aussi bien en lumière qu’en son et aussi éventuellement en scénographie.
GB : J’estime qu’il y a deux sens à “quête de sens” : je suis en quête d’un sens que je connais déjà et je suis en quête du sens que je vais vouloir donner à ma vie. J’ai tendance à penser qu’on accueille ici des étudiants qui ont 18 ans, qui sortent tout juste de l’adolescence et qu’on a un rôle fort à jouer. Pas forcément en leur donnant du sens mais en les accompagnant dans leur quête de sens. Je crois que c’est vraiment une particularité de l’INSA, d’avoir un public à la fois très malléable, ce qui nous donne une responsabilité énorme, et en même temps un public qui a déjà fait des choix, parce que je ne crois pas qu’on choisisse l’INSA par hasard. Souvent on a le choix entre faire une prépa et aller à l’INSA, et faire ce choix est déjà une ligne de conduite du sens que l’on veut donner à sa vie. On a aussi la responsabilité de ne pas finaliser la quête de sens des étudiants à leur place mais de leur donner les moyens de la finaliser seuls, en les accompagnant et en leur montrant qu’ils peuvent le faire.
DS : Je ne dirais pas quête de sens mais faire sens. Moi, ma place ici fait sens dans ma vie. Je ne me suis pas trompée. J’ai hésité à un moment donné entre devenir une danseuse professionnelle ou une professeure d’EPS qui ferait en sorte de faire découvrir la danse aux étudiants pour qu’ils donnent du sens à leur vie. Donc je suis à ma place. Je pense qu’on est des accompagnants. On est des témoins de quelque chose qui est en train de se transformer sous nos yeux, on accompagne, on soutient. Les étudiants qui rentrent à l’INSA ont les valeurs de l’INSA en eux avant. Nous, on est là pour les éclairer plus fort, pour mettre un autre point d’éclairage sur certaines valeurs qui étaient sous-jacentes et les révéler. On est des révélateurs.
GB : On a un rôle de filiation aussi, de passation de pouvoir et d'essaimage d’un modèle. Je crois en un modèle où les trois entités physique, intellectuelle et relationnelle marchent ensemble. Si on prend le public INSA, on parle d’étudiants qui ont fait de très bonnes première et terminale, à qui tout le monde a conseillé d’aller dans une école d’ingénieur et qui ont fait un choix. Le choix de dire oui MAIS. Oui mais ma vie personnelle est importante pour moi et je veux aller dans un endroit où je peux aller au bout d’une démarche intellectuelle et en même temps avoir une démarche personnelle. En ce sens-là, c’est peut-être un étudiant qui est plus mature et plus proche de sa quête de sens personnelle.
DS : Pourquoi on mélange les sciences, la technique, les arts ? Ça te construit une pensée divergente, une sensibilité propre. Pour un même problème j’ai plusieurs solutions. C’est intéressant ça. Si on ne fait que de la technique, est-ce qu’on ne se retrouve pas dans un rail et la pensée devient commune ? C’est intéressant quand des gens viennent perturber le système.
GB : Si on revient sur ce mot de révélateur, il y a peut-être plus de choses à révéler sur le public de l’étudiant INSA. Une question qu’on nous pose tout le temps : à quoi ça sert pour un ingénieur d’être danseur/acteur/plasticien ? En fait, je pense que ce n’est pas la bonne question. La bonne question ça pourrait être : à quoi ça sert pour un danseur d’être ingénieur ? Je pense que si on se place dans « l’ingénieur est danseur», on est sur un discours technique et art relativement banal. Si on se pose la question inverse, on renverse un petit peu la perspective et la quête de sens est totalement différente. Quelque part c’est étonnant parce que tout le monde va trouver une bonne raison pour qu’un ingénieur soit danseur. Mais quand on demande aux gens ce que ça apporte à un danseur d’être ingénieur, je ne suis pas certain qu’on ne soit pas plus perturbé, alors que je pense que c’est aussi une question qu’on devrait se poser.
GB : Ça permettrait aussi d’accepter que les sections peuvent très bien former des artistes professionnels et que ce n’est pas une aberration. J’aurais tendance à dire que c’est très bien que les gens qui sortent d’ici aient leur diplôme d’ingénieur mais ça ne leur impose pas de pratiquer en tant qu’ingénieur. On n’a pas de filière “Enseignement-Études” et pourtant on a plein d’élèves qui vont finir enseignants. On a des filières artistiques qui ne sont pas à but professionnalisant mais qui peuvent, pour certains élèves, déboucher sur une professionnalisation. C’est peut-être un peu compliqué à expliquer, mais on recrute des gens qui ont 18 ans. Ils ont été partiellement moteur dans leur choix mais pas totalement. Est-ce qu’un étudiant qui partirait à 18 ans dans une carrière de peintre directement va avoir un bagage aussi complet que celui qui est passé par l’INSA ? Au niveau de ces connaissances, de sa culture… à mon avis non. Ça pose aussi la question de ce à quoi servent les études supérieures dans un pays comme la France. Est-ce qu’elles servent à donner un métier ou à former des citoyens ? Moi je reste persuadé qu’elles servent avant tout à former des citoyens et si ça leur donne un métier, tant mieux. On a ici mille personnes qui vont être des décideurs généralement influents plus tard, si une partie peut mettre sa culture et son bagage au service des pratiques artistiques, tant mieux. La société ne s’en portera que mieux.
GB : C’est une particularité des sections Art-Études aussi. Le choix d’une section, ce n’est pas tant le choix d’avoir une pratique particulière mais le choix de vouloir continuer à être interrogé. Continuer à progresser dans une quête de sens. Je vais faire le rapport avec le regard du scientifique : la raison d’être d’un scientifique pour moi c’est de ne pas arrêter la quête de sens. Je pense que la volonté d’avoir des pratiques artistiques et la volonté d’avoir des pratiques scientifiques se rapprochent, car ce sont deux façons de vivre pour lesquelles on place au plus haut de ses règles de vie personnelles la poursuite de la quête de sens. Garder les yeux ouverts. Rester toujours en observation de ce qui t’entoure. Être dans le questionnement permanent de ce qui t’entoure et y compris de tes propres productions. Remettre sans arrêt en question tes propres productions et les questionner autant que le monde qui t’entoure.
DS : En EPS, je suis là pour confronter l’étudiant à ses limites. C’est mon rapport au sport et j’essaie de le transmettre. L’AS Danse, c’est une extension de mon langage chorégraphique. J’emmène les étudiants dans une grande arche de Noé où chacun va mettre de soi pour qu’on fasse sens ensemble, dans la société dans laquelle on vit. Je suis quelqu’un d’hypersensible et tout ce qu’on vit à l’heure actuelle, je le prends de plein fouet et je le transmets à ces étudiants, on grandit ensemble autour de ça. En Danse-Études, je permets aux étudiants d’avoir accès à un regard différent : celui d’un artiste qui vient questionner le monde dans lequel on vit et qui vient questionner ça avec eux. Je demande aux intervenants de transformer et d’accompagner les élèves par imprégnation d’une expérience qui les a révélés à eux-mêmes ou d’une expérience qui les a bouleversés à un moment donné. Je suis convaincue qu’on se nourrit les uns les autres.
DS : En gym, j’étais sur la performance. En danse, j’ai compris que le quotient émotionnel venait jouer. Quand je danse, je suis alignée sur mon cognitif, mon moteur, mon émotionnel. Comment je fais pour mettre du sens si je n’en ai pas à l’intérieur de moi ou si je ne l’ai pas questionné ? C’est intéressant de se regarder vraiment. Vous ne prenez plus le temps, votre génération ne prend plus le temps. Ça veut dire quoi se poser, se regarder en face ? La danse permet ça, de se regarder vraiment...
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