#mais il les aiment ses Dalton
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daltoncity · 2 years ago
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Lucky Luke ne trompe personne
La réaction de Lucky Luke lorsqu'il réalise que les Dalton sont en danger.
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Il refuse même de croire à leur mort.
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Il vient de perdre sa raison d'être au Canada de vivre.
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Bon, bien sur ils ne sont pas vraiment morts (mais je ne pense pas que ce soit un spoiler), d'ailleurs petit bonus directement tiré de l'album suivant :
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Où il s'est quand même rendu au milieu d'un campement d'Apaches sur le sentier de la guerre juste dans l'espoir de les sauver...
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calimera62 · 2 years ago
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Je vais te bombarder aussi
Sherlock/Moriarty (du manga "Moriarty", pas de la série bbc ou de l'original sherlock XD), Han/Lando and Luke/Lando (Stars Wars), Lumière/Big Ben (la belle et la bête), Owen/Claire (Jurassic world), Lucky Luke/Calamity Janes ou/et Lucky Luke/Joe (Lucky Luke). Et pour le crack dans Astérix, le poissonier et le forgeron ou/et le forgeron et Assurantourix XD
Yay ^ ____________ ^
Sherlock/Moriarty : Je t'avoue ne pas avoir lu le manga, donc je ne pourrais pas te répondre ^^;;
Han/Lando : je ne les shippe pas mais je comprends que les gens les shippent. Le potentiel de friends to lovers, two disaster boyfriends smuggling together, se disputant la garde de leur vaisseau avec Chewbacca qui n'en peut plus de ces deux-là, qu'ils se trouvent une chambre pour résoudre leurs problèmes non mais !
Luke/Lando : je ne les shippe pas activement mais c'est un ship mignon et intéressant à envisager. Il y a quelques similitudes avec Han/Luke, et Lando peut être un véritable charmeur et puis j'aime imaginer Luke avoir un faible pour les hommes à moustache (Biggs, Lando, Din...). C'est un couple qui peut très bien fonctionner, et je valide !
Lumière/Big Ben : comment ne pas les aimer ? C'est FrUk mais comme s'ils étaient dans une production Disney. Ils aiment se taquiner l'un l'autre mais au-délà des disputes, je pense qu'il y a beaucoup d'estime et d'affection entre eux, je les trouve adorable !
Owen/Claire : je ne suis pas à fond dans les ships dans le fandom Jurassic Park / Jurassic World mais il faut avouer qu'ils sont très mignons ces deux-là. Ce sont deux opposés mais ils sont la preuve que l'expression "les opposés s'attirent" fonctionne. Ils n'auraient pu être que le coup d'un soir, ou un couple qui implose après s'être mis ensemble pendant une situation stressante (les événements de JW1) mais ils ont su fonctionner malgré tout, malgré le break up dans JW2, à se retrouver pour ne plus se quitter. Ils se complètent très bien et malgré tout le mal que je peux penser de JW3, j'aime la famille qu'ils forment avec Maisie et Bluuuue
Lucky Luke/Calamity Jane : je les shippe davantage de façon platonique, le genre d'amitié homme/femme que j'aimerais voir plus souvent. J'aime quand ils travaillent ensemble dans la BD comme dans les dessins-animés, ils sont très différents mais avec leurs similitudes, et j'aime les voir comme de vieux amis qui se retrouvent aussi bien pour une mission que devant un verre dans un saloon à parler de tout et de rien.
Lucky Luke/Joe Dalton : un rarepair à mon grand malheur ! C'est un ship que j'aime beaucoup, encore une fois car on retrouve le trope "enemies to lovers" ou alors "enemies with benefits" avec Luke qui se sent responsable des Dalton à chaque fois (qui d'autre pour les empêcher de faire une bêtise sinon lui ?) et qui commence à avoir un faible pour le plus petit et le plus grognon des quatre ? Joe se met si facilement en colère et malgré lui, il trouve ça adorable. Même si Joe déteste Luke, j'aime imaginer qu'il ne peut pas imaginer un monde sans lui, et j'aime sa possessivité envers Luke (il n'y a que lui et lui seul qui a le droit de descendre Luke, non mais oh !!). J'aime les rares moments dans la BD ou le dessin-animé où ils coopèrent, on sent qu'ils pourraient s'entendre malgré tout, et je déplore que ça n'arrive que trop rarement. Et puis pour être honnête, seul le fait que Luke soit du bon côté de la loi empêche Ma de faire de Luke un Dalton en bonne et due forme :P
Ordralfabétix/Cétautomatix : un ship fun à envisager, que ce soit en platonique ou pas. L'un ne peut pas vivre l'un sans l'autre, ils aiment trop se taquiner, se battre pour mieux se rabibocher après ^^ je ne les shippe pas sérieusement mais ils sont fun à imaginer ^^
Cétautomatix/Assurancetourix : un ship à envisager, pas un couple que j'adore personnellement mais pas un notp pour autant. Je suis curieuse disons et puis il y a peut-être une raison qui fait que Cétautomatix aime autant l'attacher :P
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thopol75 · 4 years ago
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Les influenceurs
Au deuxième jour d'Instagram cachant des likes en Australie, Jules Lund s'était déjà senti obligé de publier une «diatribe» dénigrant les médias pour avoir ridiculisé les influenceurs. Après que la nouvelle d'Instagram ait éclaté, cela a naturellement conduit à une vague de commentaires, à la fois de la part des nouveaux et des anciens médias, sur son impact sur les créateurs, beaucoup se réjouissant que cette décision soit la fin des influenceurs.
La théorie était qu'Instagram avait enlevé leur source de pouvoir - les likes - les rendant sans valeur pour les marques. Désormais, les créateurs n'auraient plus besoin de publier des photos de salle de sport incroyablement parfaites ou des brunchs insipides tous les jours.
Ces prédictions étaient non seulement fausses, mais aussi injustes, dit Lund, le fondateur du fournisseur d'influenceurs Tribe, et le résultat de quelques mauvais acteurs de la catégorie des influenceurs qui sont repris et amplifiés, ternissant l'image de tous les influenceurs.
«Les influenceurs ne sont pas très différents des groupes [que] les gens aiment dénigrer pour leur propre plaisir», dit Lund.
"Il y a certains comportements qui frustrent tout le monde, et beaucoup de ces influenceurs s'exposent à cette critique. Parfois, c’est constructif et raisonnable, et je serais moi aussi d’accord avec lui. »
Ridiculiser les influenceurs est une tendance non seulement dans le public, mais également dans l'industrie du marketing. Par exemple, demander à des créatifs et à des experts des médias sociaux d'examiner les publications Instagram des influenceurs pour les marques, a conduit à des commentaires les qualifiant d '«embarrassants». Un créateur a refusé de les examiner, affirmant qu'ils n'avaient rien de positif à dire, tandis que Glenn Dalton, ECD chez Hardhat, a déclaré avec audace qu'il «déteste la plupart des influenceurs marketing» pour son inauthenticité.
Les spécialistes du marketing ont eux aussi minimisé la montée des influenceurs ou prédit leur disparition, pas plus important que l'ancien directeur marketing d'Unilever Keith Weed, qui a déclaré que l'industrie devait «prendre des mesures urgentes maintenant pour rétablir la confiance avant qu'elle ne disparaisse pour toujours».
L'opinion des détracteurs est que la montée fulgurante des influenceurs a emporté ce qui les rendait précieux - l'authenticité - ou a été bâtie sur des métriques vides, la transparence des rapports et des mesures étant la principale préoccupation.
En plus de ces défis, les influenceurs s'attaquent également aux problèmes des médias sociaux, l'environnement dans lequel ils vivent encore, ce qui présente de grandes complications en matière de sécurité de la marque.
À la suite de l'attaque terroriste de Christchurch en mars, Facebook et YouTube ont été critiqués dans le monde pour ne pas avoir rapidement supprimé le flux en direct de l'attaque qui a fait 51 morts.
Dans un autre cas aux États-Unis, un jeune homme a publié des images de sa victime assassinée sur les réseaux sociaux.
Bien que les plates-formes puissent travailler pour supprimer ce contenu, la réalité est qu'elles ne peuvent pas suivre le volume de contenu téléchargé en ligne chaque jour, et les marques qui choisissent de faire de la publicité sur les réseaux sociaux risquent d'apparaître à proximité de contenus «violents et odieux» - rien à quoi aucun marketeur ne souhaite associer sa marque.
La directrice de BBC StoryWorks Australia, Jelena Li, a averti que de nombreux spécialistes du marketing qui s'appuient sur les médias sociaux sont coincés dans une réflexion à court terme. "Qualité du contenu est une chose, mais si vous ne diffusez pas ce contenu sur la bonne plate-forme, il ne peut pas vraiment briller, il ne peut pas vraiment libérer tout son potentiel », dit Li.
Cette série de critiques a suscité le scepticisme autour du marketing d'influence, mais la vision opposée et plus positive des influenceurs, à laquelle Lund souscrit, est qu'ils sont des génies créatifs qui ont utilisé une plate-forme gratuite pour se transformer en puissances publicitaires et ne vont que le faire. grandir d'ici.
Taryn Williams, PDG de The Right Fit, souligne que si les influenceurs sont moins bien payés que les agences de création et reçoivent souvent moins de crédit, ils produisent aussi souvent le même travail.
«Toutes les choses que les marques paieraient, telles que l'embauche d'un studio, d'un mannequin, d'un photographe et d'un styliste, sont incluses dans une production qu'un influenceur livre», dit Williams. «Un influenceur est vraiment un directeur créatif, un styliste, un producteur et un éditeur tout en un.»
Pourtant, la perception commune des influenceurs est qu'ils sont paresseux et les personnes qui ont droit à des produits gratuits pour des critiques sur YouTube ou un selfie sur Instagram. Travail difficile de l'extérieur à la recherche de l'intérieur.
Mais la réalité est que les influenceurs sont aussi des personnalités extrêmement populaires, rejoignant les rangs des grandes célébrités. Et pour ces «micro-influenceurs», qui comptent de 5 000 à 50 000 abonnés, ils peuvent toujours avoir une attraction incroyable pour les entreprises locales. Notez la corrélation entre vos cafés locaux et les files d'attente et le nombre d'histoires Instagram qu'ils reçoivent des membres de la communauté.
Les marques multinationales qui utilisaient autrefois des célébrités américaines optent désormais également pour les influenceurs car ils sont à la fois moins chers et plus personnalisés.
Un exemple de «célébrité influente» est Sammy Robinson, basé à Sydney, qui compte plus de 600 000 abonnés sur Instagram et environ 720 000 sur YouTube. Robinson a été exploité par la marque de maquillage M.A.C, Swarovski, tarifs seo qui tire également des poids lourds tels que le mannequin américain Karlie Kloss et GHD Hair. Sa L'attraction ne se limite pas à l'Australie, avec sa participation à un événement à New York avec la mannequin américaine Gigi Hadid dans le cadre d'un partenariat avec un autre géant du maquillage, Maybelline.
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franckdoutrery · 6 years ago
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Ça rime et ça rème, c’est le carême
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Le mot carême a une drôle d’histoire qui le rend tout à fait opaque pour le commun des mortels. Il a fallu d’abord penser le quarantième jour avant Pâques, qui se disait en latin quadragesima dies. Puis par métonymie le début de la période a aussi servi à en nommer la durée : quarante jours. En latin vulgaire la quadragesima fut raccourci en quaresima et au début du deuxième millénaire, quand le latin tardif se transforma insensiblement en ancien français, le mot fut encore amputé d’une syllabe : quaresme. On évoqua la saincte quaresme, en pensant moins aux quarante jours qu’à une longue période d’abstinence ou de frugalité. (Où l’on voit aussi que carême fut dans un premier temps du féminin.)
Mais pourquoi quarante ? C’est d’abord un nombre qui revient une centaine de fois dans la bible. Ainsi, le déluge de Noé dura quarante jours, les Hébreux ont traversé le désert pendant quarante ans, Moïse resta quarante jours sur le mont Sinaï, Jésus jeûna pendant quarante jours dans le désert, il y eut quarante jours entre sa résurrection et son ascension au ciel, et ainsi de suite. Mais la bible n’est pas la seule à valoriser ce nombre. Dans l’Égypte ancienne on estimait qu’après la mort, l’âme humaine ne se séparait du corps qu’au bout de quarante jours. La mythologie grecque prévoyait quarante nuits de deuil pour les mystères de Perséphone. Et selon l’histoire légendaire de l’islam, les compagnons du Prophète furent quarante, l’univers est soutenu par quarante colonnes, si bien que la mosquée d’Omar à Jérusalem devait elle aussi en compter quarante. Et dans les Mille et une nuits, combien sont les voleurs d’Ali Baba ?
Pour s’en tenir au domaine religieux, l’engouement pour le nombre quarante a donné lieu à des exercices de haute voltige symbolique, où coïncidences et rapprochements ont permis de tout expliquer a posteriori. C’est ainsi que saint Augustin estime que « quarante équivaut à la perfection, vu que la Loi a été conçue en dix commandements et qu’elle fut enseignée de par le monde. Or, ce monde est fait de quatre parties : l’orient, l’occident, l’aquilon et le midi. En multipliant les dix commandements par les quatre horizons, on obtient quarante. » Qui dit mieux ? Peut-être que de nos jours, sans se prétendre Père de l’Eglise, on parviendrait au même produit en convoquant les dix plaies d’Egypte multipliées par les quatre évangiles ? Ou les dix tribus perdues d’Israël par les quatre frères Dalton ? Ou le nombre atomique du néon par l’Opéra de quat’sous ?
Une vue moins fantaisiste, basée sur l’évolution du genre humain, consiste à expliquer ce nombre par le besoin de nommer ainsi le temps d’une génération. À une époque où l’espérance de vie n’était pas encore celle d’aujourd’hui, on a estimé que cette durée était nécessaire pour que le petit d’homme grandisse, devienne adulte, se marie et procrée, amorçant ainsi une nouvelle génération. Quarante ans, ce fut donc d’abord le temps d’une vie, le seul qu’on pût pour ainsi dire « embrasser d’un seul regard ». Mais pour que ce nombre indiquât aussi une période déterminée dans le rythme annuel, il fallut concevoir une durée de quarante jours. Laquelle fut consacrée au renouveau de la nature, coïncidant avec la « première saison », le primum tempus, le printemps.
Les langues germaniques ont abandonné (ou n’ont jamais connu) cette idée de quarante jours pour parler du carême. Elles ont préféré celle des commandements de l’Église, en particulier de l’observance (to fast, fasten, vasten) d’une période de jeûne, soit certains jours de la semaine ou du mois (Fasttag), soit la période qui s’étend entre mardi gras (Fastnacht) et Pâques (Ostern) et qui se dit Fastenzeit. Les Anglais ont de leur côté élaboré un concept insulaire, mais qui se situe à mille lieues de la privation ou de la volonté de « faire maigre ». Si on en croit leurs penchants culinaires, ils aiment commencer chaque journée par un break-fast, littéralement une « rupture du jeûne ». Quand on sait de quoi est généralement composé le menu de leur petit déjeûner (toasts au beurre et marmelade, bacon frit, œufs au plat, brouillés ou à la coque, parfois poulet au curry, boudin noir ou saucisse grillée, le tout arrosé de café ou de jus de fruits…) on se dit qu’ils ont largement de quoi se priver. Notons que les Français savent aussi y faire, puisque leur dé-jeûner est étymologiquement la suspension ou le contraire du jeûne. Au moins l’appellent-t-ils petit, ce qui est rarement la qualité première de leur menu.
Pour clore ce débat sur le carême, citons le poète belge du même nom, Maurice de son prénom, qui dit dans son poème Mars : « Les fauvettes et les pinsons / ont tant de choses à se dire / que dans les jardins en délire / on oublie les premiers bourdons. / Il tombe encore des grêlons… »
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