#mais chase était un plaisir à jouer
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RP MEME [4/12] 12 of your own characters.
Chase Rosenbach.
#ooc:rp meme#ooc: c'était le 2x2 avec les filles et non ce rp#mais chase était un plaisir à jouer#même si c'est un petit con et qu'il peut être dur à supporter
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Un nouvel article a été publié sur http://www.rollingstone.fr/blondie-cross-pollinisation/
Blondie : cross-pollinisation
Nous avons rencontré la joyeuse bande de Blondie dans un célèbre hôtel parisien, pour parler musique, Pollinator et concerts
Cela fait quelque chose de rencontrer pour la première fois Chris Stein et Debbie Harry, la paire fondatrice de Blondie. Un groupe que l’on a énormément aimé dans sa prime jeunesse, Parallel Lines faisant toujours partie de notre Top 100. Pourtant, Debbie l’avoue elle-même, « c’est une journée un peu molle, aujourd’hui ». C’est vrai. Au départ, la chanteuse désormais septuagénaire semble plutôt intéressée par les grands monuments parisiens que l’on peut observer depuis la fenêtre de cette suite dans un magnifique hôtel du 8e arrondissement parisien (« Là, c’est l’Observatoire, ici, c’est les Invalides, là-bas ? Heu, je ne sais plus… »).
Mais nous avons affaire à des gentlemen et tous deux s’installent donc dans de confortables fauteuils pour répondre à nos questions, qui par la grâce d’une grande qualité musicale, s’intéressent tout d’abord au nouvel album de la formation, Pollinator. Et plus particulièrement aux très nombreux contributeurs qui y ont participé. Chris Stein, un peu endormi, répond le premier : « Ce sont en général des gens que nous connaissions déjà avant. Il y a aussi quelques surprises… Ca n’a rien de très exceptionnel. La plupart de ces artistes sont des fans de Blondie. De toute façon, à part le premier l’album et peut-être Curse of Blondie, il y a toujours des chansons venant d’autres personnes sur nos disques ». Il jette alors un œil sur les quelques disques vinyles que nous avons étalé sur la table pour les faire dédicacer, en particulier sur Plastic Letters, enregistré en 1977. « Je ne suis pas sûr pour celui-ci… »
On aime tous St Vincent alors quand la maison de disques a suggéré son nom, nous n’avons pas hésité
Sans vouloir le contredire, ce deuxième LP est celui qui contient le premier hit du groupe : la reprise du « Denise » de Randy and The Rainbows, transformé en « Denis » pour offrir un parfait écrin à la voix sucrée de Debbie. De toute façon, on se mélange les pinceaux à propos de la participation de Robert Fripp de King Crimson à Parallel Lines, que l’on cite avec fierté avant que Debbie ne fasse remarquer que l’on parle de co-crédits et pas de simple participation. Chris Stein en remet une couche : « Si on parle participation, sur le tout premier album – que tu n’as pas… –, il y avait Ellie Greenwich, la fille qui a écrit les hits des Shangri-las, « Leader of the Pack », ce genre de choses… » Évidemment, on fait moins le malin, mais cela donne l’occasion de se souvenir que dès son apparition en 1976 avec son premier album éponyme, Blondie faisait la liaison entre la plus pure des pop 60’s et une new wave encore en devenir. Un truc qu’on allait bientôt appeler la power pop et dont le groupe restera l’un des plus fiers porte-étendards jusqu’à la fin des années 70.
Une power pop que l’on retrouve d’ailleurs sur Pollinator avec un immense plaisir, agrémentée de quelques touches disco qui raviront les fans de « Heart of Glass » et de « Call Me » Curieusement, la présence de cette pop nerveuse et ultra mélodique doit aussi beaucoup aux autres : « Nous n’avons écrit que quatre ou cinq chansons sur ce disque. Le reste, ce sont des reprises, en quelque sorte. » Disons plutôt des chansons écrites par les autres pour eux. Et pas par n’importe qui : « My Monster », par exemple est l’œuvre de Johnny Marr, l’ancien guitariste des Smiths. Quand à « Best Day Ever », « c’est une co-composition de Sia et de Nick Valensi des Strokes ». Le plus étonnant à nos yeux, en dehors de la participation du rappeur Dev Hynes de Blood Orange, c’est la présence de la très jeune Charli XCX qui ne signe pas moins de deux chansons : l’irrésistible « Gravity » qui aurait pu être écrit en 1978, et « Tonight», un morceau caché. « Ce sont des chansons qu’elle a composées quand elle avait quinze ans » précise Chris. Et quand on s’étonne de cette association avec une artiste qui à nos yeux incarne la parfaite Teenage Idol du XXIe siècle, les deux musiciens prennent sa défense avec une certaine véhémence. « Je pense qu’elle a une approche très « punk » des choses » précise le guitariste. « Elle écrit des textes très mûrs pour son âge » se défend à son tour Debbie. « Elle a beaucoup de recul. Elle n’a pas beaucoup d’expérience évidemment mais elle est très intelligente. » OK. Donc la prochaine fois, on étudiera les textes de la nymphette avant d’afficher des préjugés envers celle dont le plus grand tube annonce « I don’t want to go to school, I just want to break the rules. »
On a travaillé au studio Magic Shop. Celui où David Bowie a enregistré Blackstar. Il y avait sans doute encore un peu de sa magie dans l’air
Il n’en demeure pas moins que « Gravity » est une très bonne chanson, excellemment arrangée par le groupe, pour en faire justement une de ces pépites power pop qui mêle très habilement guitares charnues et claviers mutins. Et comme on les interroge sur la façon dont ils ont pris contact avec la dite Charli, on finit par saisir que Blondie nous l’a joué cette fois à l’ancienne : « Ca s’est fait par l’intermédiaire de notre éditeur. Nous leur avons fait comprendre que nous cherchions des chansons et ils ont eux même lancer leur limiers pour trouver des titres qui nous convenaient. Le premier que nous avons eu assez longtemps avant les autres, c’est le titre de Johnny Marr qui est vraiment très bon. Et c’est cette chanson qui a servi de modèle. J’avais une idée de base : faire un disque plus rock’n’roll, plus roots, avec le groupe. Je ne sais pas exactement à quel moment nous avons décidé de collecter les chansons d’autres compositeurs mais ça s’est imposé de soi-même. Et John, le producteur nous a aidé dans cette voie. » John, c’est John Congleton, animateur de Paper Chase dans les années 2000 et producteur renommé ayant travaillé avec les Swans, War on Drugs et Mountain Goats. Et aussi « St Vincent. On aime tous St Vincent alors quand la maison de disques a suggéré son nom, nous n’avons pas hésité ». On imagine donc que c’est lui qui donne un « lustre » assez moderne au son du disque��� « En fait, nous avons enregistré sur une console analogique et ensuite il a transféré les enregistrements sur ProTools pour les modifier. Il nous a enregistré sur bande magnétique. » Whao ! Ça c’est une véritable révolution : enregistrer sur un magnétophone à bandes en 2017 ! Comment ont-ils réussi un exploit pareil (ça ne se fait plus depuis des lustres à part peut-être chez Jack White. Tout le monde travaille en numérique aujourd’hui) ? « On a travaillé au studio Magic Shop. Celui où David Bowie a enregistré Blackstar. Il y avait sans doute encore un peu de sa magie dans l’air… » Il y avait également enregistré The Next Day, succédant depuis 1988 à des artistes tels que Lou Reed, les Ramones, Sonic Youth ou … Nirvana. « C’est un endroit pas du tout bling bling, très old-school, très funky ». Équipé cependant d’une de ces fameuses consoles Neve, rapatriée des studio de la BBC à Maida Vale. Peut-être même une de celles qui servirent aux Beatles à la fin de leur carrière… La mauvaise nouvelle, c’est que le Magic Shop a dû fermer au printemps 2016 pour cause de loyers en totale explosion dans le quartier de SoHo où il était situé et malgré les tentatives infructueuses de renflouement et même de rachat de l’immeuble par Dave Grohl.
Malgré tout, notre New-Yorkais pur jus – il est né à Brooklyn en 1950 – n’est pas nostalgique même s’il regrette de plus sortir aussi souvent qu’avant. « On essaye quand même de suivre les jeunes groupes locaux » confirme Chris Stein. Et de continuer à jouer sur scène puisque ils se sont produits à l’Olympia le 28 juin dernier, soit presque 40 ans jour pour jour après leur premier concert au même endroit, en compagnie de Television. Comme nous n’avons jamais vu le groupe sur scène, nous leur demandons de donner un un petit coup de projecteur sur leur précédentes prestations parisiennes : « Au tout début, nous avons joué au Bataclan, ainsi que dans un très vieux théâtre rive gauche. Un magnifique petit théâtre, très ancien… » songe Debbie. Chris lui se souvient d’avoir joué un peu partout, à Lyon, « à Marseille à l’époque où c’était encore la French Connection… » « Je me souviens surtout qu’on a roulé de Paris à Marseille, à Bordeaux aussi, où les communistes nous ont attaqués… mais on a quand même joué » affirme Debbie. « Non, je ne crois pas. On a commencé mais on a du s’arrêter. Des gens de l’extrême gauche et ceux de l’extrême droite avaient décidé de … se faire la guerre ! » Souhaitons leur que cela ne se reproduise pas. Mais qui sait… contrairement à ce qu’affirmé un certain Robert Zimmerman, les temps n’ont pas tant changé que cela. Même pour Blondie…
Par Manuel Rabasse
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