#magazine sexualité
Explore tagged Tumblr posts
Text
Ce qui n'est pas bien connu c'est le pansexualisme. C'est la véritable porte d'entrée vers la légalisation de la pédophilie.
En grec, pan veut dire tout.
Dans ce dossier, cet aspect "tout" est masqué. Il faut connaître des militants pansexuels aux tendances pédo pour comprendre. Basile Pesso, 11 novembre 2 023 (Fb) Avec post anonyme sur les "fraysexuels"
#basile pesso#contenu original#sujets de société#sexualité#madness#folie#débilité#écrivains#écrivains sur tumblr#journalistes#journalisme#journalistes indépendants#yes we are magazine#fight paedophilia
0 notes
Text
Ciseaux Fanzine
Des fanzines queer mais pas que…
Pourquoi pas interviewer des acteurs du DIY ?
J’ai rencontré Ophélie au Salon « DIE or DIY » en décembre 2021, une autre fanzineuse posée à coté de mon stand. Nous avons donc pris le temps de discuter, échanger nos fanzines et ça a accroché.
Le caractère éclectique et du genre LGBT / Queer m’a interpellé ainsi que le style punkzine à l’ancienne. Elle a donc susciter ma curiosité sur son travail de longue haleine et je lui ai proposé une interview.
Elle m’a aussi appris le mot « DYKE » qui n’est pas dans le contexte une lame de roche magmatique à vous de chercher.
Elle a posé avec un tee shirt RIV qui lui va à ravir dans la thématique Cult of ride. Merci !!!
Peux-tu présenter « Les Ciseaux Fanzine » ?
« Les Ciseaux Fanzine », c’est un ensemble de fanzines autour des thématiques féministes et queer et de façon plus générale, sur la culture, le cinéma, la littérature, la musique avec parfois un humour décalé.
J’utilise le terme « queer », signifiant à l’origine « bizarre », « inadapté », pour désigner une identité, une culture et une communauté aussi qui remet en question les genres et une société dans laquelle le patriarcat est le modèle dominant. Pour moi, c’est un terme avec un sens politique qui sous-entend un certain engagement. Se revendiquer « queer » revient à politiser sa sexualité en remettant en question la société dans laquelle cette dernière doit/essaie de s’épanouir. Être « queer », c’est remettre en question les injonctions genrées de notre société.
J’ai choisi le format du fanzine à l’ère du numérique car j’aime énormément l’objet livre et la liberté qu’offre ce moyen d’autoédition (mise en page, distribution, thèmes, écriture etc.) à travers le DIY et j’adore aussi l’esthétique « punk ».
Quand et pourquoi avoir commencé à écrire ?
Vers l’âge de 10-11 ans j’ai commencé à écrire mes premiers textes et des sortes de fanzines. Je créais mes propres magazines de A à Z. J’avais envie de partager des articles, des illustrations, des jeux, et surtout un objet « livre ». J’étais fascinée par cet objet et par l’univers de l’édition. J’aimais l’idée d’être libre, d’illustrer mes propres histoires et de les partager. Je me réfugiais aussi dans l’écriture pour réfléchir aux premières attirances, à une identité en construction. La fiction permettait davantage de libertés, on ose davantage écrire ce que l’on a peur de dire. Ainsi, mon premier « roman » racontait une histoire d’amour entre deux ados. C’était une sorte de refuge.
Tes ources d’inspiration ? Pour qui ?
J’ai toujours été inspirée par la culture féministe et lesbienne. J’avais lu Mémoires d’une jeune fille rangée de Simone de Beauvoir en 3ème. C’était un peu complexe mais je l’avais dévoré avec passion. Dans la bibliothèque familiale, vers l’âge de 16 ans je suis tombée sur Claudine à l’école de Colette et ce fut une révélation. J’ai ensuite imprimé les poèmes de Sappho traduits par Renée Vivien puis les poèmes d’amour lesbien de Renée Vivien elle-même. J’ai ensuite découvert, via internet, d’autres artistes, auteures, réalisatrices lesbiennes et féministes. Et j’ai eu envie d’écrire pour partager toutes ces découvertes car souvent c’étaient des femmes peu connues du grand public. J’avais envie de partager ces références dans les cultures féministe et lesbienne. Ado, j’aurais aimé tomber sur un fanzine me présentant toutes ces icônes inspirantes. C’est vrai qu’à présent il y a les séries et les influenceuses des réseaux sociaux…
Le public visé est principalement les femmes, les personnes queer mais en réalité, il est important que chacun·e se sente concerné·e et curieux·se de toute cette culture pour déconstruire les préjugés et vivre dans une société plus inclusive et donc égalitaire. On revient ici à l’idée d’engagement liée au terme « queer ».
Tu as de multiples facettes parfois satirique puis poétique dans ton écriture ?
Documentaires, poétiques et parfois satiriques, il y a un peu de tout dans mes fanzines. La tonalité peut varier parfois d’une page à l’autre. J’ai une petite préférence pour la poésie pour la beauté du mot et des images.
Concernant l’aspect satirique, l’idée est de faire bouger les lignes, d’heurter le lecteur ou la lectrice pour le/la faire sortir de sa zone de confort et réfléchir…
Le Statut LGBT revendiqué ? Vulve féministe ? Sororité ? Explique nous?
Oui, je revendique le statut d’artiste LGBT+, queer même, parfois lesbien-queer. C’est vrai qu’il y a beaucoup de termes mais les sexualités et cultures liées à ces identités sont elles-mêmes extrêmement variées. Je ne me reconnais pas dans la culture « mainstream » très hétéronormée avec un humour qui repose très souvent sur des stéréotypes sexistes ou de genres qui, moi, ne me font pas vraiment rire, sur des rapports de domination homme/femme dans lesquels je ne me reconnais pas, et avec lesquels je suis en désaccord. Et comme je le disais plus haut, je me définis également comme une artiste queer dans le sens où je souhaite également lutter pour déconstruire les clichés de genre et faire exister, rayonner, grâce à mes mots, mes collages, mes dessins les cultures LGBT+ trop souvent écartées.
Plus que « vulve féministe », je n’avais encore jamais entendu cette expression, je dirai « clitoris féministe » car cet organe a trop longtemps été mis à part, oublié volontairement. Actuellement on en entend beaucoup parler, il était temps !
Et oui pour la sororité. C’est un mot extrêmement important dont encore certaines personnes méconnaissent encore l’existence. Il existe une fraternité dans notre société que l’on trouve presque naturelle, inconsciemment. Une union masculine est quelque chose de communément admis que l’on n’interroge jamais (on le voit bien au travail ou dans les émissions de télé-réalité ou de divertissement qui reflètent merveilleusement bien notre société). Tandis que la moindre union de femmes est immédiatement vue comme une dangereuse coalition à détruire le plus rapidement possible… car ce serait le signe d’un « féminisme » contre les hommes… Il y a un vrai problème sociétal à ce niveau-là. Une peur et un rejet des unions de femmes. Insister sur la sororité est pour moi un chemin vers l’égalité de tous, hommes, femmes, personnes non-binaires. Dans un idéal d’adelphité, terme sans dimension genrée.
La Place des femmes dans la société actuelle ? les femmes sont-elles biens dans leurs corps ?
Non, je ne pense pas que la plupart des femmes soient si bien dans leurs corps. C’est d’ailleurs encore une chose difficilement acceptée car cela passe pour un discours « victimisant ». Mais c’est un fait : le corps des femmes est encore trop souvent instrumentalisé, commenté et sexualisé dans tous les domaines. Dans le monde du ride, par exemple, on voit encore trop de meufs hyper sexualisées vs des mecs en t-shirts et pantalons larges… A quel moment on fait du skate ou du bmx en string et soutif ?!
Tu as fait un fanzine spécial Roller Derby, rider pour toi cela épanoui la femme ? Que penses-tu de notre fanzine Cult of ride justement ?
Vous la retrouverez dans les salons DIY et les fanzinothèques lyonnaises comme Café Rosa ou La luttine ainsi que sur Etsy.
Et son univers sur instagram.
2 notes
·
View notes
Text
Lancement PRECIOUS LIQUID MAGAZINE Le jeudi 19 octobre 2023 à la librairie Disparate de 18H à 22H En présence de Nino Cadeau / @ninocadeau et l’Espace QG / @espaceqg
Precious Liquid Magazine est une publication érotique expérimentale, inspirée par la richesse du contenu pornographique autoproduit sur Internet. Nourris par les tumblr de notre adolescence et la façon dont, à travers notre sexualité et nos fantasmes, nous nous libérons et donnons à la vie quelque chose de spécial ! Ce premier numéro de cette revue annuelle et pluridisciplinaire rassemble le travail de : Corentin Garrido, Cristiano Codço De Amorim, Christine Janjira Meyer, Nadhir Nor, Lala Albert, Kittyx666xxCharli3x, Sébastien Millot, Nino Cadeau, Emile Cerf, Yasmine El Amri, Alice Darrow, Ddesign graphique par Tjaša Cizej
@preciousliquidm _ Espace QG - Bibliothèque Queer & Genres Bibliothèque associative itinérante sur le genre et les sexualités, proposant un espace d’échanges, un accès à l’information sur ces questions et aux cultures en marge, notamment les cultures LGBTQIA+. L’association organise de la médiation autour de ses collections en mettant en place des animations. L’équipe rassemble des personnes formées et concernées par ces sujets qui ont à cœur de s’investir pour une meilleure représentation de tous.tes.
2 notes
·
View notes
Text
Métal Hurlant (1981)
Réalisé par Gerald Potterton, Canada, 90 min
Métal Hurlant est une parodie de science-fiction robotique, déjantée et Rock n' Roll.
Une orbe verte luisante, incarne le mal ultime et terrorise une jeune fille avec une anthologie d’histoires bizarres et fantastiques de dark fantasy, d’érotisme et d’horreur.
L''un des premiers films d'animation pour adultes à être distribué dans les circuits du Cinéma de masse, la violence graphique, une nudité et une sexualité explicites, dans une ambiance de Space Opéra Métal et Punk, en ont fait un objet culte et intemporel malgré la spécificité de ses références. Il a ouvert la voie à d'autres films d'animation, on pense notamment à "Akira" sorti quelques années plus tard en 88.
Métal Hurlant était un célèbre magazine de science-fiction, prémices du style Cyber et steampunk et autres délires post nucléaires. Le film éponyme est une adaptation plus ou moins libre de la bande dessinée française originale, créée en 1974. où l'on pouvait trouver les styles de dessin de certains des plus grands artistes de bandes dessinées de l'époque, tels que Moebius, Philippe Druillet et Enki Bilal. Le film a également incorporé de la musique rock et métal de groupes tels que Black Sabbath, Blue Öyster Cult et Devo, ce qui a contribué à établir le genre de la bande dessinée métal. . Quatre ans plus tard, le réalisateur Gerald Potterton et les écrivains Daniel Goldberg et Len Blum s’associent pour en faire une adaptation cinématographique.
Ce film canadien met en vedette les talents d’une distribution au combien canadienne, d'éminents acteurs, dont le producteur Ivan Reitman et les interprètes John Candy, Joe Flaherty, Eugene Levy et Hard Ramus. A l’âge d’or des films d’anthologie comique, quatre ans après Kentucky Fried Movie et quelques années avant Amazon Women on the Moon.
Le film compte neuf segments, sans compter son épilogue. Ils sont marqués par une animation grossière, même aux normes de 1981, et une nudité surprenante. Il y avait aussi beaucoup de musique, bien que tout ne corresponde pas nécessairement dans le genre musical titulaire; en plus de la chanson-titre de Sammy Hagar, le film présente des styles musicaux de Blue Oyster Cult, Journey, Don Felder, Nazareth, et Cheap Trick.
La ligne dans tout cela est Loc-Nar, une petite sphère extraterrestre qui refait surface sous différentes formes tout au long du film, et sur des siècles d’histoire humaine, un peu comme les monolithes en 2001 : A Space Odyssey.
Le film « Harry Canyon », un hommage à Taxi Driver et à la tradition du film noir, met en vedette un chauffeur de taxi et une femme fatale improbable. Un autre était le segment « Den », mettant en vedette le personnage créé par le célèbre dessinateur de bandes dessinées Richard Corben.
« Captain Sternn » (exprimé par Eugene Levy), qui joue dans un drame de salle d’audience. Accusé d’une litanie de crimes, y compris « 12 chefs de meurtre au premier degré, 14 chefs de vol à main armée de biens de la Fédération, 22 chefs de piraterie dans l’espace, 18 chefs de fraude, 37 chefs de viol — et une infraction en mouvement ». Il plaide non coupable, ayant soudoyé un témoin, bien que le témoin soit dépassé par une version humaine musclée de Loc-Nar.
Ensuite, il y a le fameux segment « So Beautiful & So Dangerous », qui culmine avec un robot (exprimé par John Candy) ayant des relations sexuelles avec une femme humaine, bien qu’à l’écran jusqu’à ce qu’ils argumentent avec humour sur la question de savoir s’il est possible pour eux de se marier. Il se termine par la défaite finale de Loc-Nar, par (qui d’autre?) une jolie femme chevauchant une créature.
Le message du film, qui explore les thèmes de la violence, de la technologie, de la sexualité et de la nature humaine, est toujours pertinent aujourd'hui. Le film montre comment la technologie peut être utilisée à des fins destructrices et comment les êtres humains peuvent se perdre à travers la guerre, la cupidité et la violence.
En termes d'esthétique, le film est absolument fantastique de par la qualité de son ambiance steam-spatio-trash et surréaliste, qui combine les styles de dessin de plusieurs grands artistes de la bande dessinée. Bien que certains aspects de l'animation puissent sembler un peu dépassés, l'utilisation de la rotoscopie. Une technique bien connue des fans de la première du jeu Mortal Kombat, et/ou encore du film Tron, dans laquelle les animateurs dessinaient sur des images en mouvement réelles pour créer une animation plus fluide et plus réaliste. Cette technique a été utilisée avec succès dans le film, créant des séquences animées qui semblaient plus cinématiques et plus réalistes que celles des films d'animation traditionnels, lui donnant une identité visuelle en parfaite harmonie avec l'aspect décalé et psychédélique de l'œuvre.
"Métal Hurlant" est toujours considéré comme LE film d'animation à avoir influencé et marqué les esprits à jamais dans le genre de la science-fiction fantaisiste. Bien que certains aspects de son esthétique puissent sembler retro, la qualité de l'animation n'a pas pris une ride, son message et son impact culturel ont résisté à l'épreuve du temps.
Bonne séance. Le film ICI \m/
7 notes
·
View notes
Text
Prions pour nos sociétés oubliant Dieu
Bonjour
❗❓ S’il était nécessaire de décrire notre société, voici un texte de l’Écriture qui serait adéquat : « Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, amis de l'argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux, insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu » (2 Timothée 3:1-4).
Cette longue description termine par ces mots « Aimant le plaisir plus que Dieu ». La recherche du plaisir au travers des jeux, ou de la sexualité réduite à la jouissance physique, est partout présente, dans les publicités, à la télévision, dans les magazines, les discussions au bureau…
La pornographie qui présente une sexualité dégradante pour la dignité humaine, gagne une influence sans cesse grandissante, et malheureusement toujours en croissance.
Voici un témoignage bouleversant qui souligne les ravages de ce mal. ❗❓
« Seigneur nous prions pour que les valeurs de respect et d’amour soient retrouvées dans la société.
Nous prions pour qu’une vision biblique de la sexualité, respectueuse de l’être humain, grandisse dans les médias et les gouvernements. Nous prions pour qu’une sexualité saine et respectueuse du projet Divin soit plus souvent enseignée dans les Églises.
Seigneur, nous prions pour la jeunesse d’aujourd’hui, lourdement influencée par une pensée matérialiste et hédoniste, qui rejette les valeurs d’amour qui est don de soi.
Nous prions pour que les Églises répondent aux questions existentielles de notre jeunesse, et apportent un véritable sens à leur vie. Au nom de Jésus, Amen ! »
0 notes
Text
387 nuits : le nouveau roman de Noellie Pittet à lire à la rentrée
Ô Magazine vous révèle son coup de cœur de la rentrée. Sorti le 9 juin dernier, le dernier roman de Noellie Pittet, dans la continuité des deux premiers (387 jours et 456 jours), suit les aventures d’un nouveau personnage. 387 nuits que Sam n’a pas eu de rapports sexuels... Article rédigé par Amélia Porret Année 2069. Sam devient l'héroïne de 387 jours. La jeune comédienne interprète Mary Bridgestone dans une adaptation au cinéma du roman. « C’est une suite, mais sans vraiment être une suite ». On peut le lire sans avoir lu les deux premiers tomes, précise Noellie Pittet. En 2020, elle publie son premier ouvrage auto-édité : 387 jours, qui suit la vie d’une sexologue parisienne. Le comble pour cette experte en la matière ? 387 jours d’abstinence. « Oui, j’ai eu des périodes d’abstinence assez longues pendant lesquelles j’ai été très heureuse. » Et oui, j’ai eu inévitablement la pression d’un entourage qui se demandait comment je pouvais être seule, évoque l’auteure qui s’inspire de ses propres expériences. A lire : Histoire et origines de Land-art Mais voilà, 50 années ont passé. Marie Bridgestone prend de l’âge et récupère au passage la célébrité après avoir fait de sa vie un roman à succès. Si ce troisième tome reprend la suite, l’intrigue se déroule du point de vue de Sam, confrontée à la même situation. Un roman décomplexant À travers la narration, ce livre “déconstruit toute la sexualité et les diktats que la société impose sur notre sexualité en tant que femme”. C’est-à-dire avoir des relations sexuelles ou ne pas en avoir. “Quoi qu’on fasse de toute manière, ça ne va pas”, s’amuse l’écrivaine, également à l’origine du compte “La moins bonne de tes copines” sur Instagram. S’il ne s’agit pas d’un étendard féministe brandit pour faire changer les mentalité, c’est une l’histoire à laquelle de nombreuses femmes peuvent s’identifier. Ces injonctions sur la sexualité ou encore sur le corps sont omniprésentes, notamment “via les réseaux sociaux”, ajoute Noellie, consternée par l’absence de représentation de femmes qui s’assument. Et ce malgré la tendance du “body positive”. Mais dans une société ultra-normée, les conventions touchent évidemment aussi la place que doit occuper une femme. “J’ai vite compris que parce que j’étais une femme, on allait me prendre un peu moins au sérieux que si j’avais été un homme. J’ai toujours su qu’il fallait que j’en fasse plus et c’est ce qui fait ma force.” De la même manière, Sam incarne la “girl boss” ambitieuse et carriériste outrepassant les limites.“Mais ça n’a pas que des avantages non plus”, poursuit Noellie. Trois romans divertissants, terriblement excitants pour décoincer nos préjugés que vous pouvez retrouver sur le site internet La moins bonne de tes copines. Read the full article
0 notes
Text
« Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, amis de l'argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux, insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu » (2 Timothée 3:1-4).
Cette longue description termine par ces mots « Aimant le plaisir plus que Dieu ». La recherche du plaisir au travers des jeux, ou de la sexualité réduite à la jouissance physique, est partout présente, dans les publicités, à la télévision, dans les magazines, les discussions au bureau…
La pornographie qui présente une sexualité dégradante pour la dignité humaine, gagne une influence sans cesse grandissante, et malheureusement atteint des enfants de plus en plus jeunes.
La dimension spirituelle de l’être humain étant niée, il ne reste que sa dimension matérielle qui le réduit à se comporter sans humanité, sans respect, sans lois morales.
« Seigneur, nous te prions pour que les hommes et les femmes découvrent le vrai sens de la sexualité, qui au-delà du bonheur, voulu par Dieu, qu’elle peut procurer au sein du couple, implique également une dimension spirituelle extrêmement riche. Nous te prions pour qu’une vision biblique de la sexualité, épanouissante, respectueuse de l’être humain, et du projet divin, soit enseignée pour les familles chrétiennes. Nous te prions pour la jeunesse d’aujourd’hui, lourdement influencée par une pensée hédoniste, matérialiste, opposée à l’Évangile, laquelle les plonge dans les pièges de la pornographie, des désordres sexuels, et les conduit vers une dépréciation d’eux-mêmes et des autres. Nous te prions pour que des chrétiens répondent aux questions existentielles de notre jeunesse et leur apportent un véritable sens à leur vie, au nom de Jésus, amen ! »Avec amour,
Paul
0 notes
Text
Go trans go broke!
Avec la communauté transgenre c'est par fois le monde à l'envers.
Appelez vous ceci du progrès qu'être un homme ou une femme soit désormais une construction sociale?
Il ne faut pas prendre à la légère cette question puisqu'il s'agit pour certains et certaines trans la folie diabolique d'imposer leur idéologie transgenre pour remplacer les figures traditionnelles de la société soit les hommes et les femmes dite biologique.
La chasse aux sorcières ouverte
Coup de com pour célébrer le mois de la fierté, la filiale britannique du magazine Glamour met en couverture Logan Brown un homme à l'apparence particulière car oui vous ne rêvez pas il est enceinte.
Certaines femmes ont dû bouder leur magazine féminin chéri et dire: Go woke go broke!
Pour certaines femmes dite biologique, voir des femmes transgenres même maintenant des hommes transgenres est presque devenu un empoisonnement à leur existence. La communauté transgenre a pour tendance à avoir son côté sombre et se nomme le transactivisme qui radicalise et sectarise les individus trans en soldat misogyne envers la femme biologique.
C'est le cas de la féministe française Dora Moutot qui est auteure du compte Instagram de sexualité féminine "T'as joui?" donc les transactivistes ont terni sa réputation car le langage de Moutot semblait bizarrement transphobe.
Est-ce que pour certains transgenres, c'est si compliqué de ne pas faire chier la majorité et vivre sa vie en paix?
Les transactivistes ne veulent aucunement débattre mais effacer ceux et celles qui ne vont pas dans leur sens.
On appelle ça être anti-démocratique et prôner la dictature!
Ils chercheront toujours des bibites quelque part dans les moindres petits détails pour ensuite crier à la transphobie avec un chantage émotif comme le tweet de J.K. Rowling qui prétendait qu'une femme trans n'est pas une vraie femme puisqu'elle n'a pas de règles.
Savez vous que Rowling s'est fait humilier même menacer de mort à cause de ce tweet?
Après vous, qui était derrière cette campagne d'humiliation et menaces de mort?
La réponse est les trans et sa bande wokiste.
Effet boomerang
La majorité n'est pas complètement dupe et adopte désormais le boycott en réplique pour espérer qu'une entreprise fasse marche arrière sur leur proposition à l'idéologie woke.
Pour cette années 2023, le mouvement semble avoir le vent dans les voiles.
On y retrouve Hershey's, Bud Light ou encore Target donc le boycottage a conduit à de graves conséquences.
Go woke go broke!
Le cas de Bud Light en est le symbole car son partenariat avec la personnalité publique transgenre Dylan Mulvaney fait perdre des milliards de dollar américain. Il y a peut-être un score E.S.G. derrière ça?
C'est triste mais c'est la réalité et ce n'est que le début de l'amplification des camps conservateur et progressiste en Occident.
Go woke go broke!
Certaines entreprises semblent avoir compris les effets néfastes et marqué au fer rouge par cette mésaventure qui les forcent davantage à faire marche arrière comme Target et sa collection LGBTQ+. Le retrait de la marchandise en question n'a pas fait des heureux parmi les radicaux de la communauté LGBTQ+ tellement qu'un magasin Target dans l'état de l'Utah a été la cible d'une menace à la bombe signé par des extrémistes trans.
Bêtes de foire
Le wokisme n'est pas un modèle durable et dérange certaines personnes transgenres car ces derniers n'ont rien demandé à être tant visible et se disent qu'est-ce que ça va leur apporter de neuf alors que ce n'est que de la perversion des progressistes.
Voulez vous être des humains ou des bêtes de foire?
Pourquoi faut-il se compliquer la vie quand on est trans?
1 note
·
View note
Text
aufeminin.com : Mode femme, Beauté femmes, Maman, Mariage, Psycho...
0 notes
Text
compte-rendu sur Sara Hébert:
Tout d’abord, Sara Hébert est une artiste/ autrice féministe, donc son travail reflète ses idéologies, ses oeuvres sont très politisées et sont pleines d’émotions fortes et de poésie. La technique du collage lui permet de créer de manière très particulière. En effet, elle reprend des symboles ou même des oeuvres déjà finis, puis les transforme pour exprimer ce qu’elle veut avec, cette reconstruction brise les attentes habituelles associées à ses éléments en leur donnant un nouveau sens. Cet aspect de reconstruction est très présent dans les collages de Sara Hébert, elle utilise des photos de femmes des années 40/50, puis les met dans des situations insolites (humoristiques ) et ainsi brise l’idée la femme parfaite du rêve américain, car à travers ses blagues sarcastiques, Sara Hébert dénonce la misogynie et le sexisme dans la société. Sara Hébert s’inspire grandement de sa vie et de son quotidien, elle parle beaucoup de son adolescence et de ses moments difficiles. Son art lui est ainsi une échappatoire et aussi une façon d’exprimer ses émotions de manière non-verbale. Sara Hébert est une artiste très liée à sa communauté, elle a créé un livre qui regroupe de multiples histoires racontées par des femmes qui parlent de leur relation avec leur sexualité. Sara Hébert est aussi une militante féministe, de plus, elle fait partie d’une émission radio où elle exprime ses pensées, tout comme elle le fait dans ses zines. Ensuite, même si Sara Hébert est une artiste, elle est surtout une autrice, car elle écrit des livres illustrés à partir de collages, en effet, ses livres regroupent des anecdotes sur sa vie et des passages humoristiques qui se moquent des stéréotypes associés aux femmes, elle crée donc de l’auto fiction. Ce type de livre ne rentrant dans aucune catégorie particulière lui permet de mélanger tout genre et toute type d’écrit ensemble. Ainsi, le résultat est semblable un recueil à un journal intime ou à un magazine pour femmes. Pour finir, Sara Hébert ne vit pas entièrement de son art, elle est aussi animatrice dans une émission radio. Même si elle gagne de l’argent grâce aux subventions d’artistes que lui offre le gouvernement et au petit revenu provenant de ses créations artistiques, elle ne gagne pas assez pour pouvoir vivre de son art.
0 notes
Text
How Tamara de Lempicka Went Against the Grain
Tamara de Lempicka (1898-1980) was a Polish-born painter, known for her art-deco artwork that combined Cubism and Neoclassical; uniting traditional and modern style that gained mass attention from the bourgeoise during the early 1920’s (N. Rudick (2004), A. Lee (2022)). This is when her career had financial success in Europe while based in France after escaping the Russian Revolution in 1918 (P. Plagens (1994), A. Lee (2022)). She was commissioned by socialites and the super-rich during that time, before finding more success in Hollywood after fleeing to America at the beginning of the Second World War. Nicknamed ‘Baroness of the Brush’, she painted oil paint portraits for aristocrats, but mostly painted nudes. At the time, some stated that her nudes were “corporality verging on kitsch or sin at least” and “propagator of perverse paintings”. Even in more recent times, her art has been considered as “almost soft porn that passed for elegance at one time” (M. Brown, professor at City College, NY) (P.Plagens (1994), Culture,pl).
Not only was her skill part of her success, but critics also claim that her infamy was due to coming from a privileged background, her first husband being a socialite and her second husband being a Baron. Despite what parts of her life people debate on, one thing that is agreed is how Lempicka was scandalous at the time for conveying female sexuality and the LBGT in her paintings, specifically a femme fatale (G. Mori (2011)).
One such painting is ‘Perspective’ (1923), which Lempicka painted for a poster for the French play ‘Sexualité’. This oil painting conveys two female nudes, who were lovers, to which they were influenced by Michelangelo’s sculptures for Medici Tombs of Dawn and Night (1533). These are the only few sculptures of women Michelangelo did. The view of Lempicka’s painting was like a set from an expressionist film. The bodies of the lovers have a rounded figure that was consistent. This contrasted the sharp and harsh lines of the background; straight vertical lines, broken triangles and buildings that came across as metal blades. This was seen as controversial as conveying same-sex relationships were forbidden during the 1920’s, however the French public were more concerned about the degree of nudity rather than the couple themselves. One interesting point about this painting is during the time Lempicka was creating this painting, she was in a relationship with a woman called Ira Perrot, who was coincidently a model for another painting produced the same year (‘Her Sadness’ (1923)). Lempicka never shied away from expressing her bisexuality, a lifestyle that was far removed from the accepted social norms (G. Mori (2011))..
(‘Perspective’ (1923), T. Lempicka de)
Another painting that conveyed the unforgivable lifestyle being within the LGBT community was ‘Double “47”’ (1924). This painting referenced gay clubs during that period, specifically one called ‘The Monocle’. During the 1920’s a monocle was a symbol for lesbians, as well as queer women, hence the name of the gay bar. In this bar, it was known that women dressed more masculine or like men, especially if they were in a relationship with another woman and they went together to the Monocle (G. Mori (2011)).
(‘Double “47”’ (1924), T. Lempicka de)
The topic of sexuality displayed in Lempicka’s nude paintings is not just the romantic aspect, but also the celebration of female sexuality. One example of this is ‘La Belle Rafaela’ (1927), a nude painting that is quoted by the London Sunday Times Magazine as “one of the most remarkable nudes of the century.” She got a sex worker, named Rafaela, to model for her. The painting celebrates female sexuality by conveying Rafaela as “virile, voluptuous and full of control of her own pleasure.” (G. Mori (2011), A. Lee (2022)). Another thought of using a sex worker as a model was intentional as working in that industry, a woman can choose who her clients are and how much they charge; highlights that women are in control of their sexuality amongst men which was something uncommon for the large part of the 20th century.
Another example of Lempicka conveying female sexuality, and one of her most well-known piece of her career, is ‘Autoportrait’ or ‘Tamara in Green Bugatti’ (1928). The self-portrait conveys Lempicka’s relationship with the machine physically and her relationship with men metaphorically. A societal norm during the time of this painting was a woman being a man’s object which is what the car, being an object, conveys. However, Lempicka has her hand placed on the bonnet which suggests she is subordinating herself to the most elemental force of the car which is in the motor. Therefore, the car is symbolic of a woman’s emancipation and how it is under the imposed will of the mistress and seen as a “docile slave”. Additionally, the car’s engine represents strength of a woman, and the mistress is re-deploying it to make it work to her advantage. ‘Autoportrait’ also depicts the relationship between men and women, and rhetorically asks if the two sexes are allies or rivals within society. Lempicka herself states that everyone is a subtle mixture of being masculine and feminine, and how there is a gender fluidity as shown with the woman being dominant over the car (G. Néret (1993)). Interestingly, this self-portrait was, and continues to hail the title as “the definitive image of a modern woman” (G. Néret (1993), A. Lee (2022)).
(‘Autopilot’ or ‘Tamara in Green Bugatti’ (1928), T. Lempicka de)
In conclusion, she conveyed through her nudes the subverting conventions which were dominated by male artists at the time. She framed the female models, not as the subject of male gazing, but as empowered and desirous through their sexuality; she legitimized an own gaze which was radical and groundbreaking at the time. Additionally, her being queer herself and highlighting her community through her painting still resonates with women today, as well as being the breadwinner and living through two world wars (A. Lee (2022)). She showed women during her prime and continues to show women after her death of female empowerment, and speaking out her voice, finding herself and to have the desire to have everything. After death, her paintings have continued to have significant influence not only within painting but in other visual arts: high-end fashion collections, advertising campaigns, theatre and music videos. Music celebrities like Madonna have collections of Lempicka’s artwork, and she has also had the painter influence her early music videos and style. A play has been dedicated to the life of Lempicka, particularly her outspokenness of her bisexuality (G. Néret (1993), A. Lee (2022)).
1 note
·
View note
Text
My old Flame - Jazz Play Along - Favorite Standards
Table of Contents
Jazz Play Along - Favorite Standards (Aebersold Vol. 22) - My old Flame - avec partition, sheet music
https://vimeo.com/725659248 Jouez des Jazz Standards avec les partitions + audios MP3 de la Sheet Music Library! "My Old Flame" est apparu pour la première fois dans le film Belle of the Nineties de 1934 lorsqu'il a été chanté par Mae West, soutenu par le Duke Ellington Orchestra. Six semaines après le tournage terminé avec West, Ellington a enregistré la chanson avec la chanteuse Ivie Anderson, sortie sur Commadore 585. Il est devenu un succès n ° 7 pour Guy Lombardo plus tard cette année-là, mais ce n'est qu'au début des années 1940 que l'air a réapparu, entrant dans le répertoire des orchestres de Benny Goodman et Count Basie. "My Old Flame" est une chanson de 1934 composée par Arthur Johnston avec des paroles de Sam Coslow pour le film Belle des années 90. Il est depuis devenu un standard du jazz.
La marque d'insinuations sexuelles de West était son fonds de commerce, et la version initiale du film a été jugée moralement inacceptable par un représentant des producteurs et distributeurs de films cinématographiques d'Amérique (connu sous le nom de bureau Hays pour son chef, Will Hays). Après un changement de titre et une réécriture, le film est sorti sous le nom de Belle of the Nineties. "My Old Flame" est depuis devenu un standard du jazz, et chanté par Billie Holiday, Peggy Lee, Dinah Washington et Helen Humes, avec des interprétations instrumentales par Charlie Parker pour le label Dial en 1947, Gerry Mulligan avec Chet Baker en 1953 , le tromboniste JJ Johnson sur son album de 1957 Trombone Master, Sonny Rollins sur son album de 1993 Old Flames et bien d'autres. L'air a également été enregistré par l'orchestre Stan Kenton et Zoot Sims dans une "interprétation sensible" selon le magazine Jazz Improv.
Jazz Play Along with the Sheet Music Library Structure La musique a une structure AABA. Il est écrit dans la tonalité de sol majeur et comporte un changement en B ♭ dans la section «B». En tant que véhicule pour West, alors que les paroles contiennent «des lignes typiquement désinvoltes –« Mon ancienne flamme / Je ne me souviens même pas de son nom »– cela suggère que sa sexualité effrontée est la carapace d'un amour de jeunesse perdu»: «Mais leurs tentatives à l'amour/ N'étaient que des imitations de/ Mon ancienne flamme'. My Old Flame Composé par Arthur Johnston, avec des paroles de Sam Coslow "My Old Flame" a été écrit pour que Mae West joue dans le film Belle of the Nineties de 1934. On se souvient de West aujourd'hui comme d'un sex-symbol risqué qui a modifié les sensibilités prudes de l'époque d'avant-guerre, plutôt que comme un chanteur de jazz; mais elle avait prêté une attention particulière aux chanteuses de blues Ma Rainey et Bessie Smith en créant son propre comportement sur scène. Et elle tenait à s'entourer des bons accompagnateurs – dans le film, elle est soutenue par le groupe de Duke Ellington. Les dirigeants du studio ont d'abord hésité à faire appel à un groupe nommé, mais West a insisté sur Ellington. Même après avoir accepté sa demande, les honchos de Paramount ont tenté de persuader West d'autoriser les acteurs blancs à servir de remplaçants à l'écran pour les musiciens noirs jouant sur la bande originale, mais l'actrice a de nouveau tenu bon. La chanson est intrigante, secouant l'auditeur dès le début lorsque la phrase d'ouverture tombe pour s'attarder sur le plat à 7 dans la mesure deux. Cette chanson est peut-être écrite dans une tonalité majeure, mais le ton psychologique de "My Old Flame" tend définitivement vers le mode mineur, et je me demande si la chanson aurait été plus populaire si elle avait fait ses débuts dans un film noir mieux correspondait à son humeur. Le mouvement harmonique est extrême, mais la chanson elle-même apparaît comme paresseuse et non précipitée. Cette combinaison - d'indolence et de complexité - est étrange, mais jette un certain charme sur les performances de la norme. Paroles de My old flame I can't even think of his name But it's funny now and then How my thoughts go flashing back again To my old flame My old flame My new lovers all seem so tame For I haven't met a gent So magnificent or elegant As my old flame I've met so many men With fascinating ways A fascinating gaze in their eyes Some who sent me up to the skies But their attempts at love Were only imitations of My old flame I can't even think of his name But I'll never be the same Untill I discover what became Of my old flame I've met so many men With fascinating ways A fascinating gaze in their eyes Some who sent me up to the skies But their attempts at love Were only imitations of My old flame I can't even think of his name But I'll never be the same Until I discover what became Of my old flame Read the full article
#partitura#sheetmusic#sheetmusicdownload#sheetmusicscoredownloadpartiturapartitionspartitinoten楽譜망할음악ноты
0 notes
Text
Prions pour nos sociétés oubliant Dieu
Bonjour
❗❓ S’il était nécessaire de décrire notre société, voici un texte de l’Écriture qui serait adéquat : « Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, amis de l'argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux, insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu » (2 Timothée 3:1-4).
Cette longue description termine par ces mots « Aimant le plaisir plus que Dieu ». La recherche du plaisir au travers des jeux, ou de la sexualité réduite à la jouissance physique, est partout présente, dans les publicités, à la télévision, dans les magazines, les discussions au bureau…
La pornographie qui présente une sexualité dégradante pour la dignité humaine, gagne une influence sans cesse grandissante, et malheureusement toujours en croissance.
Voici un témoignage bouleversant qui souligne les ravages de ce mal. ❗❓
« Seigneur nous prions pour que les valeurs de respect et d’amour soient retrouvées dans la société.
Nous prions pour qu’une vision biblique de la sexualité, respectueuse de l’être humain, grandisse dans les médias et les gouvernements. Nous prions pour qu’une sexualité saine et respectueuse du projet Divin soit plus souvent enseignée dans les Églises.
Seigneur, nous prions pour la jeunesse d’aujourd’hui, lourdement influencée par une pensée matérialiste et hédoniste, qui rejette les valeurs d’amour qui est don de soi.
Nous prions pour que les Églises répondent aux questions existentielles de notre jeunesse, et apportent un véritable sens à leur vie. Au nom de Jésus, Amen ! »
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
Cri d’angoisse d’une épouse
« Ayant ces promesses, bien-aimés, purifions-nous nous-mêmes de toute souillure de chair et d’esprit, achevant la sainteté dans la crainte de Dieu. » 2Corinthiens 7:1
Une épouse lance un appel à un frère et lui dit : « Mon mari regarde régulièrement des cassettes vidéo pornographiques. Pourquoi est-ce que je me sens salie ? »
Cette femme a eu du courage pour poser cette question qui touche à la vie personnelle de son couple. Le problème qu’elle soulève est beaucoup plus répandu qu’on ne le croit, même chez les chrétiens. C’est malheureux et dramatique. Il est si facile de s’y livrer quand on a accès à Internet, chez soi ou au bureau, sans que personne ne le voie. Mais Dieu le voit.
Le mot pornographie veut dire : description d’actes sexuels de prostitution. Ainsi, de la même manière que la prostitution est l’échange de plaisir sexuel contre de l’argent, la pornographie est la vente d’excitations sexuelles par images interposées. Cette définition suffit à elle seule à nous renseigner sur le caractère mauvais de la pornographie. Mais le mal contenu et engendré va beaucoup plus loin, car il rejaillit sur le conjoint.
La pornographie impose une vision mensongère de la réalité de la vie et de la sexualité. Elle présente généralement la femme comme une esclave sexuelle destinée à répondre au moindre désir de l’homme. C’est pourquoi elle induit des rapports faussés entre l’homme et la femme. L’homme qui s’y adonne aura du mal à ne pas juger toutes les femmes (y compris la sienne) en termes d’anatomie et d’usage sexuel. La pornographie ôte aux rapports du couple toute la dimension relationnelle voulue par Dieu.
Il n’est donc pas étonnant que cette épouse se sente salie, déshonorée, rabaissée, réduite à l’état d’objet. Elle a perdu confiance en son mari et en sa propre capacité de lui plaire et de le satisfaire. Elle peut parfois se faire des reproches de ne pas l’avoir comblé, et se croire ainsi elle-même coupable de la situation.
Quand l’Esprit de Dieu nous ordonne de nous purifier de toute souillure de chair (le corps) et d’esprit (nos pensées), il sait bien que le mal commence dans la tête par la convoitise. ❗❓
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
Car Dieu ne nous a pas destinés à connaître sa colère, mais à posséder le salut par notre Seigneur Jésus-Christ Amen
0 notes
Text
387 nuits : le nouveau roman de Noellie Pittet à lire à la rentrée
Ô Magazine vous révèle son coup de cœur de la rentrée. Sorti le 9 juin dernier, le dernier roman de Noellie Pittet, dans la continuité des deux premiers (387 jours et 456 jours), suit les aventures d’un nouveau personnage. 387 nuits que Sam n’a pas eu de rapports sexuels... Article rédigé par Amélia Porret Année 2069. Sam devient l'héroïne de 387 jours. La jeune comédienne interprète Mary Bridgestone dans une adaptation au cinéma du roman. « C’est une suite, mais sans vraiment être une suite ». On peut le lire sans avoir lu les deux premiers tomes, précise Noellie Pittet. En 2020, elle publie son premier ouvrage auto-édité : 387 jours, qui suit la vie d’une sexologue parisienne. Le comble pour cette experte en la matière ? 387 jours d’abstinence. « Oui, j’ai eu des périodes d’abstinence assez longues pendant lesquelles j’ai été très heureuse. » Et oui, j’ai eu inévitablement la pression d’un entourage qui se demandait comment je pouvais être seule, évoque l’auteure qui s’inspire de ses propres expériences. A lire : Histoire et origines de Land-art Mais voilà, 50 années ont passé. Marie Bridgestone prend de l’âge et récupère au passage la célébrité après avoir fait de sa vie un roman à succès. Si ce troisième tome reprend la suite, l’intrigue se déroule du point de vue de Sam, confrontée à la même situation. Un roman décomplexant À travers la narration, ce livre “déconstruit toute la sexualité et les diktats que la société impose sur notre sexualité en tant que femme”. C’est-à-dire avoir des relations sexuelles ou ne pas en avoir. “Quoi qu’on fasse de toute manière, ça ne va pas”, s’amuse l’écrivaine, également à l’origine du compte “La moins bonne de tes copines” sur Instagram. S’il ne s’agit pas d’un étendard féministe brandit pour faire changer les mentalité, c’est une l’histoire à laquelle de nombreuses femmes peuvent s’identifier. Ces injonctions sur la sexualité ou encore sur le corps sont omniprésentes, notamment “via les réseaux sociaux”, ajoute Noellie, consternée par l’absence de représentation de femmes qui s’assument. Et ce malgré la tendance du “body positive”. Mais dans une société ultra-normée, les conventions touchent évidemment aussi la place que doit occuper une femme. “J’ai vite compris que parce que j’étais une femme, on allait me prendre un peu moins au sérieux que si j’avais été un homme. J’ai toujours su qu’il fallait que j’en fasse plus et c’est ce qui fait ma force.” De la même manière, Sam incarne la “girl boss” ambitieuse et carriériste outrepassant les limites.“Mais ça n’a pas que des avantages non plus”, poursuit Noellie. Trois romans divertissants, terriblement excitants pour décoincer nos préjugés que vous pouvez retrouver sur le site internet La moins bonne de tes copines. Read the full article
0 notes
Text
L'Islamo-gauchisme - ( II ) : les idiots utiles du djihad...
Le gauchisme ''à la papa'' a bien changé : de peuple, de cible, de recrutement (j'allais écrire : de victimes). Ayant perdu ''le vrai peuple'' (qu'il n'a jamais eu. Mais il croyait l'avoir !) par sa bêtise, ses errements et ses dévoiements, par la vacuité de ses analyses et la perversité des solutions qu'il ne proposait pas, par son déni du réel et de l'évolution du monde, il s'est ''rattrapé aux branches'' en catastrophe, en racontant qu'il avait trouvé dans l'islam un prolétariat de substitution qui, espéraient les idéologues de cette erreur qui se rêve Terreur, allait voter pour lui et lui assurer la continuité de son pouvoir et la continuation de ses prébendes. Ah ! les cons !…
Il n'y a pas besoin d'être ''voyant extra-lucide'' pour constater qu'une religion, quelle qu'elle soit, n'est ni un lieu de compromis, ni un terrain d'entente idéal, ni une variable d'ajustement éventuelle, mais qu'elle est une force qui peut soulever tout un peuple, contre son souverain et sa police, contre un régime, un mode de vie, un monde. Les djihadistes sont donc prêts à tolérer un temps des compagnons de route et même à leur faire croire qu'une alliance est envisageable, pour et avec eux. Cet (anti)raisonnement a, par exemple, amené le syndicat étudiant Unef à se rapprocher des Étudiants musulmans de France qualifié de bras armé des Frères musulmans par Mohamed Louizi (Pourquoi j'ai quitté les frères musulmans -Ed. Michalon). En croyant sauver quelques meubles lors des élections, elle se fait bouffer par plus vicieux qu'elle ! Résultat : l'Unef n'est plus écoutée sur les sujets sérieux, comme la précarité étudiante en temps de covid. Et... c’est bien fait !
Cette énorme faute de jugement, presque un crime contre la pensée, ne date pas d'hier : on se souvient de ces militants de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), devenue le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) qui faisaient alliance avec des islamistes radicaux obnubilés par ''l’américano-sionisme'' et prônaient, au nom de la ''lutte contre l’impérialisme'', l'élimination de l'État d'Israël. J'ai en mémoire le Forum social européen accueillant en grande pompe le faux prédicateur-vrai violeur Tarik Ramadan à Saint-Denis, invité (on croit rêver !) comme ''leader religieux, représentatif d’une partie du prolétariat'' ! Même le Nouvel Obs avait titré une Une digne du Figaro : ''Confusion au Forum social européen : Les gauchistes d’Allah''.
Des bribes de vérité apparaissent dans les feuilles de chou les plus contaminées, même si, dans Libération, une Clémentine Autain revendique le titre d'islamo-gauchiste... que ce quotidien classe dans les ''insultes policées et intellectuelles'' (NDLR - ce qui n'a aucun sens !). Elle précise même, comme pour s'assurer que personne ne peut savoir de quoi elle parle : ''Je ne comprends pas exactement ce que veut dire le mot, mais si ça désigne l’intersectionnalité des luttes, alors oui, c’est ça qui me préoccupe. Je suis de gauche, et je me bats contre le rejet des musulmans en France'' (sic !)... Mais a l’opposé, on lit sous la plume de Pierre-André Taguieff, que ‘‘entre les islamo-gauchistes du Parti des indigènes de la république (en lutte contre la domination blanche et le peuple blanc) et les islamo-fascistes qui massacrent des infidèles au nom du Djihad, la différence est mince''.
De son côté, Franz-Olivier Giesberg évoque la ''décomposition intellectuelle d'une certaine gauche française''. Et même Bernard-Henri Lévy (qui ne fait pas partie des gens que je lis ni ne respecte mais dont je sais citer un court extrait lorsqu'il a une brève crise d'intelligence) écrit : ''il suffit de lire Foucault pour prendre la mesure de la tentation identitaire, racialiste et, au fond, darwinienne qui n’a jamais cessé de hanter la gauche française, et de la longue généalogie de cette façon d’assigner les opprimés à leur origine, de les enfermer dans leur couleur de peau et leur ethnie''.
La Presse française sortirait-elle de son rituel aveuglement coupable ? Dans une enquête du Figaro Magazine sur ''les agents d’influence de l’islam'', les journalistes Judith Weintraub et Vincent Nouzille dénoncent ''les relais intellectuels de l'islamo-gauchisme, responsables politiques ou acteurs associatifs'’ qui, écrivent-ils, ''investissent l'espace médiatique''. Dans cette enquête, on croise, sous des formes et à des degrés divers, les sociologues Edgar Morin, Geoffroy de Lagasnerie et Raphaël Liogier, l'islamologue (?) Tarik Ramadan, l'historien Jean Baubérot, le démographe Emmanuel Todd, le géopolitologue Pascal Boniface, les journalistes Alain Gresch et Edwy Plénel (qu'on est certain de retrouver dans tous les ''mauvais plans’’), les politiques Jean-Louis Bianco, Caroline de Haas, Clémentine Autain, Benoît Hamon et Danièle Obono ou encore des personnalités associatives telles que Marwan Muhammad, Houria Bouteldja et Rokhaya Diallo. Il ne manque à leur liste que Benjamin Stora, qui a entrepris d’inventer une nouvelle histoire réécrite de l'Algérie, de lecture très macronienne, c'est tout dire ! On en reparle bientôt, promis.
Mais s'il n'y avait que les islamistes comme groupe organisé coupable de volonté de conquête ! Ce serait oublier le climat de complicité intellectuelle et morale dans lequel les soldats d'Allah poussent leur avantage dans la sphère médiatique, intellectuelle et universitaire, qui se résume en deux mots : domination, d'un côté et pour les uns, et trahison de l'autre, pour les autres... sur tout ce qui touche au capitalisme, au christianisme, à l'Occident et à son histoire, et à Israël... (qui est intrinsèquement coupable, et son adversaire, même agressif, même radical, même terroriste, bénéficie donc de la bienveillance que l'on doit aux damnés de la terre). Il faut trouver une soif de justice dans la violence, la trace d'une faute dans celui qui la subit. En fin de compte, la question à 10 balles est : qui, du gauchisme ou de l'islamisme a pollué l'autre, et lequel sortira vainqueur de ce mano a mano ?
Mais quand, soi-disant au nom d'une minorité, d'une cause ou d'un mensonge historique, de beaux esprits très vilains veulent déboulonner les plus belles figures du patrimoine artistique, musical, littéraire, historique et militaire ou à arracher les plaques de rues au nom de grands hommes... on n'a même plus besoin de talibans pour dynamiter les statues ! Pourquoi donc les fous d'Allah s'épuiseraient-ils à faire taire nos cloches quand ils peuvent compter sur nos élus, en guerre contre le ''séparatisme catholique'' ? Et quand un Florent Boudié, rapporteur général du texte de loi sur ce qui aurait dû être ''Séparatisme'' et qui n'est plus que... rien du tout, établit un parallèle entre les enfants qui font leur première communion et un viol incestueux, ou quand le pitoyable Eric Coquerel (LFI) affirme que le voile d’une mariée est le symbole de la soumission de la femme à son époux, que faut-il penser, sinon qu'ils sont idiots ? Ce sont des maniaques de la diversité qui traquent toute infraction à leur code d'effroyable ''bonne conduite'' et qui terrorisent ceux dont la plume, le dessin ou le verbe défendent la liberté d'expression. Tendez l'oreille ! Pour les ''idiots utiles du djihad'', la seule vraie menace qui pèserait sur nos institutions, ce serait la première communion des petites filles... alors qu'ils donnent la main à ceux qui rêvent d'abattre la République. Mon Dieu, qu'ils sont cons !
Un dernier point doit inquiéter ceux qui ne sont pas encore contaminés ou ''porteurs malsains'' : l'accès de courage de notre ministre inconnue a vite été réorienté vers des terrains contrôlés par la bien-pensance : charger le CNRS d'une enquête, c'est assurer une fois de plus le parfait suivi de l'intenable et mortel ''et en même temps'' macronien : un coup à droite (’’Tremblez, canailles ! On lance une enquête...’’), et un coup à gauche (’’... mais on l'oriente vers un organe qui va la classer’’). ''Je suis oiseau, voyez mes ailes... Je suis souris, vive le chats''. On sait dans quel état d'esprit sera abordée la demande de Frédérique Vidal : le CNRS est à la pointe des faux travaux de fausse recherche sur la prétendue écriture dite inclusive, sur la ''race'' en tant qu'arme de guerre, ou sur ''Sexualités, identités & corps colonisés'' (sic !), dans Ed CNRS-2019. C’est tout un programme !). Il faut tendre encore l'oreille... ‘’Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines....’’ ?
H-Cl.
8 notes
·
View notes
Text
aufeminin.com : Mode femme, Beauté femmes, Maman, Mariage, Psycho...
0 notes