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Safia Nolin - Ma préférence
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Le chouchou
C'est intéressant de voir que William et Jack, plutôt tolérants, en général, de la bêtise d'Averell et si prompts à le protéger de la vengeance de Joe, sont les plus affectés par la nette préférence de Ma pour le "petit dernier".
Du coup, Ma Dalton est un des rares albums Dalton où leur perte n'a pas été provoquée par Joe ou Averell mais par William et Jack.
#“les pires desperados de l'ouest”...#en même temps#Ma n'y va pas mollo avec ses préférences#joe dalton#william dalton#jack dalton#averell dalton#lucky luke#album : ma dalton#morris#rené goscinny#bd#bande dessinée
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saga: Soumission & Domination 356
24h du Mans moto-2
17-04, soir : Comme nous arrivons dans la cour du château, nous rejoignent les derniers motards du groupe. Marc arrive avec Éric et Cédric en passager et Daniel. L'écurie s'étoffe d'une CBR1000RR, du GSX R1000 que j'ai offert à Éric et du GSX R 750 de Daniel. Juste avant la pluie !
Ils ont fait la route ensemble et nous disent avoir rencontré beaucoup d'autre moto allant vers le circuit et pas mal de collègues de nos deux gendarmes.
Je fais la présentation de notre logement du WE et de ses commodités. On se met à l'aise. Les combis sont suspendues un peu partout et comme les autres nous restons en shorty, boxer ou slip selon les préférences de chacun.
De la piscine nous arrivent des cris et des hurlements. Quand on arrive, c'est pour tomber sur une bataille dans l'eau. Bien sûr tout le monde est à poil. Le temps de laisser le peu qui nous restait sur le corps et nous nous joignons à l'échauffourée.
Ça passe au stade " sexe " alors même que personne n'a encore gagné. Les nouveaux n'ont plus l'air d'être fatigués. Ils se lancent dans la mêlée. PH et Ludovic reviennent des chambres avec les kpotes, le gel et du poppers.
Je me régale avec les 23x6.5 du Lad motard. Les gendarmes sont appréciés aussi tout comme Éric et son black mamba.
La partouze bat son plein quand Nicolas (notre hôte) arrive voir si nous avons besoin de rien et vers quelle heure nous comptions dîner. Vu le bruit qu'on fait, il ne pouvait se tromper sur nos activités, donc il devait vouloir participer ! C'est d'ailleurs ce qui lui arrive. Près de l'entrée, Frank était en train d'enculer Jules aux côtés d'un " médecin " en train de démonter le cul de Kamal et d'un de ses confrères celui d'Arnaud. Ils se sont décollés le temps de l'attraper et de l'envoyer tout nu au centre de la mêlée. Sa grosse bite attire Cédric habitué aux gros calibre (rappel : c'est le régulier d'Éric). Il se fait donc bouffer la queue jusqu'à l'os, Cédric en mode " garçon en manque ".
Je me reconcentre sur mon cavalier. Quand il n'est pas en train de chevaucher un étalon, ce sont les 184CV de son ZX10R débridé. Il sait maitriser sa monture et quand il enfonce la totalité de sa bite, il obtient mon obéissance totale !
Ludovic passe me voir entre deux plans. Il me roule une pelle et me dit de bien profiter avant de trouver Marc sur son chemin. Il se fait bloquer, retourner et enculer tout en se faisant pousser sous moi (je suis en levrette). Il embouche ma bite raide et est excité de l'intérieur alors que j'embouche son gland.
Pas besoin de bouger pour nous deux. Ce sont les coups de rein de nos deux enculeurs qui activent nos pipes. Quand Marc tire les jambes de Ludovic pour mettre ses chevilles sur ses épaules, il m'enfonce plus profond sa queue au fond de ma gorge. Trop bon ! Nous nous régalons de nos glands respectifs et de la mouille qui en coule. Quand on se met à juter c'est l'apothéose. C'est je pense aussi ce que pense nos enculeurs que l'on sent se libérer dans nos entrailles (enfin kpote chez moi).
Quelques minutes pour retomber sur terre.
Petit coup d'oeil panoramique. Certains ont déjà juté comme nous mais il reste un petit groupe qui n'en a pas terminé. Je m'approche alors que mes comparses prennent la direction des douches. En fait c'est un mini gang-bang. Nicolas est sur le dos en train d'attendre les jets de spermes des 6 mecs debout au-dessus de lui.
Il ferme les yeux quand ça se met à pleuvoir sur lui. Il reste quelques minutes sous cette couverture avant que les participants l'aident à se relever sans glisser. Il reçoit autant de tape dans le dos que de mecs encore présent. Il apprécie le respect que ça sous-entend. Ce n'est pas parce qu'il s'est fait couvrir de sperme après s'être pris plusieurs mecs dans le cul qu'il n'est pas estimable pour autant.
Il nous accompagne aux douches puis nous précède à la salle à manger. Quand nous y arrivons, il a organisé un grand buffet avec plats chauds.
Dans une ambiance assez bruyante, nous commençons à nous restaurer. Les entrées sont simples et bonnes, principalement constituées de crudités et de charcuteries locales. Les rillettes du Mans sont délicieuses !
Nous voyons pour la première fois son cuisinier alors qu'avec lui Nicolas amène les plats chauds. Je comprends pourquoi il nous l'avait caché ! Le mec doit avoir dans les 20/25 ans, carré de gueule et d'épaules, ses cheveux courts et ses boucles d'oreilles et surtout son cul rebondi moulé dans un jeans trop petit, attirent sur lui les sifflets de ma petite troupe.
Ils nous présentent des cotes de boeufs de 6 ou 7 cm d'épaisseur, grillée sur le dessus embaumant les herbes. Une pierre chaude est là pour recuire si quelques un le préféreraient.
Quand il tranche, l'eau nous coule de la bouche. Elles sont grillées en extérieur et le centre est bleu mais chaud. A part Kamal qui lui demande de passer sa tranche sur la pierre, nous nous régalons de sa cuisson parfaite. Là aussi notre hôte privilégie les élevages locaux. Les 6 cotes disparaissent et il ne reste plus que les os ! Le cuisinier est un peu scié. Il y avait presque 4 kg de viande ! Ça n'empêche pas le plateau de fromages de se faire dévaster à son tour.
Il est évident que l'aide culinaire de Nicolas a reçu plus d'une invitation pour le reste de la soirée. Il nous éconduit gentiment arguant du fait qu'il était hétéro et qu'il avait une copine. Evidemment sa sortie soulève un tollé général. Comme si le fait d'avoir une amie, de lui faire l'amour pouvait l'empêcher de prendre du plaisir avec nous.
Entre notre journée sur le circuit à piétiner, les trajets en moto de certains, la touze et le repas, nous sommes morts de fatigue. On se répartit dans les chambres et les lits au petit bonheur la chance.
18-04 :
Je me réveille dans les bras d'un des gendarmes. Je ne suis pas seul puisqu'avec nous dans ce grand lit dort encore Ludovic.
Je le réveille et nous prenons une douche vite fait. Descendus dans la salle commune nous retrouvons la moitié du groupe en train de petit déjeuner. Ils sont déjà bien réveillés et jouent un peu à chauffer le cuisinier.
Nous ne sommes pas pressés puisque le départ n'a lieu qu'à 15h et que le ciel a du mal à se dégager. On discute avec Nicolas pour savoir si nous rentrons diner ou pas.
Après échanges d'avis, il est décidé que non mais qu'ils nous préparent un en-cas froid pour dans la nuit.
Habitués à des invités anglais, le petit déjeuner est conséquent et nous permettra sans problème d'attendre le soir. Avec un sandwich quand même entre temps !
La deuxième moitié du groupe arrive, les yeux encore collés de sommeil. Certains sont encore en boxer et ils sont bandants mal réveillés comme ça. Ils sont condamnés à faire le tour de la table pour les bisous. Quelques langues fraîches approfondissent ces baisers. Mal réveillés mais les dents brossées quand même ! Cédric retrouve les genoux de son Éric, tout comme Arnaud qui se colle à son Léo.
On discute de la journée à venir. Les plus impatients d'y aller sont évidemment ceux qui n'y sont jamais venus. Ils veulent voir les courses qui précédent le départ. Donc on presse un peu le mouvement.
Douches rapides pour ceux qui en ont besoin. On se glisse dans nos combis. Éric me fait la réflexion qu'on va encore attirer des remarques homophobes. Je nous regarde avec plus d'attention. Effectivement, on est quelques-uns peut être un peu trop " moulés " par le cuir. Tant pis pour les cons.
On quitte nos hôtes et fonçons vers le circuit. Notre petite troupe conflue avec d'autres motards en provenance de Paris. Pour plus de pratique et de sécurité, j'ai pris pour tous des entrées pour un parking gardé à l'intérieur du circuit. Du coup on y laisse les motos et les casques.
Il fait suffisamment chaud pour ouvrir nos combis. Ludovic retire même son t-shirt et réenfile son blouson. Il donne des idées à d'autre et on est la moitié à laisser deviner nos pecs et nos abdos sculpturaux. Comme pas un n'arbore de pilosité, ça attirera encore plus les remarques " déplacées ". On se faufile jusqu'en face des stands pour voir le départ des side-cars. On y reste le temps de les voir passer plusieurs fois puis nous déambulons le long du circuit.
Les néophytes sont surpris de voir que certains motards dorment sur les talus qui bordent la piste. En fait la plupart cuvent déjà l'alcool qu'ils ont ingurgité sans modération.
Après la coupe des 125cc, Marc nous offre à boire. Piétiner pendant 2h30 ça donne soif ! On commence gentiment avec des demis. On partage quelques barquettes de frites en attendant de manger plus tard.
A partir de là, on se disperse. De toutes les façons tous nos smartphones contiennent la totalité des numéros de téléphone des mecs présents et puis on se donne un rendez-vous pour diner ensemble. Marc part avec Éric et Cédric. Je reste avec PH, Ludovic les 2 gendarmes et Jules. On traine dans le village en attendant le départ. Du coup quand il faut se placer, les abords du circuit sont blindés. Moi perso je m'en fous un peu mais Jules et Ludovic sont un peu déçus. En haut des escaliers, entre deux tribunes sur la ligne des stands, des spectateurs devant nous nous bouchent la vue.
G1 attrape Jules et le balance sur les épaules de G2. Je m'accroupi et dis à Ludovic de faire pareil. Il faut que PH le pousse mais une fois que je suis redressé, il domine la foule et voit la piste. Heureusement qu'il n'a pris que 5Kg depuis qu'on s'entraine ! Je peux tenir un bon moment ses 80Kg sur mes épaules. Il reste perché le temps du tour de chauffe et du départ puis glisse au sol. Instinctivement quand il est à terre, il me tourne et me roule une pelle, juste pour me remercier. Evidemment ça déclenche une remarque homophobe. Je me tourne pour voir de qui elle émane.
Un mec 30/35ans moche comme un cul ! La réponse est rapide : " rassure toi, avec ta tête tu n'as aucune chance de m'attirer ". Eclats de rires des mecs qui nous entourent, le pauvre type part plus gêné que nous. Un " mon héros " de la part de Ludovic qui me tombe dans les bras sur un registre mélodramatique achève l'entourage.
Je commence à avoir faim et je ne suis pas le seul. On s'appelle et nous déjeunons tous ensemble. Hot-dogs frites, nous callent pour quelques heures.
Puis on repart dispersés après avoir confronté notre début d'après-midi. Marc, au récit de notre mésaventure, nous dit d'être plus discrets quand même.
Refus de notre part, on ne va pas donner raison aux cons quand même ! Et puis ce n'est pas comme si nous ne savions pas nous défendre.
Avec PH je recherche un petit moment la chapelle. Alban nous a signalé qu'un sculpteur du milieu 20ème en avait réalisé les piliers. On rame un peu car cette dernière n'est plus à l'endroit originel justement nommé " virage de la chapelle ". Elle a été reconstruite de l'autre côté du circuit. Photos, vues générales puis en détails et envoie à l'artiste.
Remerciements immédiats avec demande de prise en gros plan de certains détails particuliers. On passe bien 1h à ces bêtises mais ça fait plaisir à Alban.
Retour dans la foule, et oui la chapelle n'attire pas beaucoup de motards !
On retrouve sur la passerelle Dunlop Frank, Louis, Arnaud et son Léo qui viennent en sens inverse. On se joint à eux et on va trainer les " boutiques ". Les " cuirs " sont de qualité médiocre. On regarde beaucoup mais il n'y a pas grand-chose qui retient mon attention.
Je m'arrête dans l'une d'elle plus pour son vendeur que pour sa marchandise. Le mec est mignon, un peu petit mais une bonne tête, boucle d'oreille à droite comme moi et un torse large mis en valeur par un t-shirt deux tailles trop petites.
Il me demande ce que je cherche et, avant que je n'aie eu le temps de répondre, m'assure qu'il a surement ça en boutique. Je le prends au mot et lui dis que c'est le cas puisque son petit cul outrageusement serré dans son jeans était dans la boutique. Il rit jaune mais entre dans le jeu.
Lui : " désolé vous êtes tombé sur le seul article qui n'est pas à vendre car déjà vendu ".
Moi : " ce doit être négociable si le montant de mes achats est conséquent ? "
Lui : il me déshabille du regard, j'ai toujours le haut de ma combi ouverte sur mon torse musclé et glabre et me sort un " faut voir ".
Je fais le tour de la boutique les autres sont entrés aussi et encombrent les deux allées.
J'avise un T-shirt noir logoté -24h du Mans moto 2015-. Je lui demande conseil pour la taille et lui demande si ça se porte aussi près du corps que le sien.
Réponse du vendeur " bien sûr ". À mon " OK je veux voir ", il n'hésite pas retire le sien et enfile celui que j'ai repéré. Il reste suffisamment longtemps torse nu pour que j'admire son torse large et imberbe aux pecs terminés de deux gros tétons dont un percé d'un anneau inox. Une fois qu'il a enfilé le nouveau T-shirt, je m'approche et passe la main sur le tissu " pour me rendre compte ". Il me laisse faire. En essayant de tester l'épaisseur du tissu, je le pince avec difficulté (il est sec le mec !) et du coup attrape un morceau de chair entre mes doigts. Frisson du propriétaire et en baissant les yeux, je vois sa braguette bien gonflée.
Il s'écarte et fouille pour me chercher un exemplaire et me dit de l'essayer. Je me défais du haut de ma combi qui tombe bas sur mes hanches dévoilant la totalité de mon torse nu et la ceinture d'un bottomless de chez Addicted. Quand je lève les bras pour enfiler le vêtement trop petit, ma combi descend un peu plus dévoilant cette spécificité de mon shorty. Il me dit que je suis bien foutu et à son tour il essaye d'attraper le tissu et pince mon téton libre (de piercing). Je ne peux que laisser échapper un gémissement compromettant. Il tire un peu le bas du t-shirt pour l'amener à ma ceinture et ce faisant touche mon sexe remonté vers mon nombril. Il ne peut plus douter que je bande ! Les copains bouchent toujours les entrées et font que nous sommes tranquilles au fond de l'échoppe. J'attrape son petit cul de mes deux mains et le plaque contre moi en cherchant ses lèvres. Il se laisse faire et je peux malaxer son boule. Je sens au comportement de sa langue dans ma bouche qu'il est prêt à aller plus loin. Je lui dis que c'est cool et que les mecs qui remplissent ses allées sont des potes.
Je m'arrange de sa boucle de ceinture et des boutons du jeans pour pouvoir le descendre sous ses fesses. Mes doigts s'aventurent alors entre les deux masses musculaires et trouve une rondelle accueillante. Chaud le mec, pas de slip ! Je me kpote et dans le même mouvement, je le retourne et enfonce ma bite entre elles, puis dans son cul. Là, c'est son tour de gémir. Heureusement que les motos tournent sur le circuit tout près.
J'entends plusieurs fois " le vendeur est pris, vous pouvez revenir plus tard ? ". J'accélère le tempo tout en faisant attention qu'il " monte " en même temps que moi.
Je le fais juter contre la toile du fond et moi, sous la contrainte des spasmes de sa rondelle, je rempli ma kpote.
Réajustement. Je lui dis que je garde le t-shirt mais qu'il m'en faut 22 autres avant de corriger le chiffre à 24 en pensant à notre hôte et son cuisinier.
PH me rejoint et on se roule un patin. Je vois les yeux du vendeur s'ouvrir tout grand. PH le rassure et lui dit qu'il n'est pas jaloux et que j'ai eu la chance d'être le premier à le voir. Sous-entendu, ç'aurait pu être lui.
Avec mes amis présents, nous estimons les différentes tailles à approvisionner. Comme je ne veux pas m'embarrasser, il nous garde le paquet jusqu'à sa fermeture.
Quand nous viendront le chercher, on trouvera nos achats mis dans un petit sac à dos offert par la maison. Bon, c'est vrai qu'après l'avoir défoncé, je n'avais pas eu le coeur de lui demander une ristourne.
Jardinier
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Ugly Sweater
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Le week-end et le temps gris me donnent envie de faire des gâteaux. J'aime l'odeur sucrée qui envahit la maison, cette invitation à la gourmandise, celle que connaissaient nos arrière-grands-parents et les leurs. Les gâteaux faits maison, simples, sans chichis, naturellement bons, auront toujours ma préférence.
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Rétrospective 2023.
12 avatars qui représentent mon année d'amatrice. J'ose plus la couleur qu'avant, même si le noir et blanc aura toujours ma préférence. Mais j'ose. Je teste des choses, pas toujours réussies c'est vrai. Mais j'essaye. Et je découvre, du coup, le plaisir de grapher avec des couleurs plus affirmées. Et franchement je remercie la fonction de photoshop, qui permet de supprimer le fond des images. Si pratique et presque toujours propre. Cela m'offre de nouvelles possibilités que j'adore.
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Papillon
Hey, papillon aux jolies ailes,
Comme tu as de la chance
De virevolter autours d’elle
Sans qu’elle ne s’offense !
…
Tu voles et tu l’amuses,
Tu tournes attiré par son parfum,
Avant de te poser sur ma muse.
De préférence sur son sein.
…
Mais tu n’es qu’un papillon de jour
A la recherche de l’amour.
Il ne te reste que quelques jours
Pour trouver enfin cet amour.
…
Alors tu t’envoles
Après t’être enivré
De son odeur, ses phéromones,
Et de sa douce peau sucrée.
…
Ainsi tu t’envoles
Avec un gout de liberté.
Pour une aventure folle
Et rien ne pourra t’arrêter.
Alex@r60 – août 2023
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Mon avis complet sur Epic btw
Troy Saga
– Une saga fondatrice de par toutes les bases qu’elle pose et tous les leitmotivs qui reviennent dans le reste du musical… musicalement c’est pas ma préférée mais narrativement oughhhh
– Typiquement The Horse and the Infant ça introduit un “problème” qui est plus une préférence personnelle mais qui définit beaucoup mon avis sur certaines des chansons, qui est que j’ai du mal avec les chansons qui changent trop de style ? En fait j’adore les chansons qui ont un changement brutal au milieu (genre Survive), mais si la chanson change plus de style/mélodie que ça je m’attache trop à une partie et j’ai le seum que le reste de la chanson soit pas comme ça u_u Ici j’aime beaucoup le début mais du coup j’ai plus de mal avec tout ce qui vient après l’intervention de Zeus, ce qui est dommage parce que narrativement c’est grave intéressant
– La vérité j’avais oublié que la mélodie de Survive et que le Please don’t make me do this dans Thunder Bringer venaient de The Horse and the Infant, et autant la deuxième c’est logique parce que les deux c’est des réactions à un choix horrible que lui offre Zeus, autant la première je trouve ça plus complexe mais intéressant aussi parce qu’elles pourraient pas être plus opposées : dans Survive elle est épique et face à un adversaire colossal, mais là elle est calme, menaçante, et littéralement devant un bébé, et d’un autre côté c’est le même choix qu’il a à faire dans les deux cas : épargner une potentielle menace et risquer que ça revienne lui mordre le cul, ou achever un ennemi et vivre avec le doute d’avoir fait le bon choix. Est-ce que tuer ce bébé, là-aussi, ce n’est pas une question de survie ?
– Just a Man est moins mon style de musique mais pouaaah ce que la fin est puissante, le crescendo avec les chœurs derrière j’en ressors pas indemne :’)
– Full Speed Ahead est un peu oubliable imo ? Elle dit pas grand-chose et elle m’inspire pas grand-chose, c’est plus une chanson transitoire quoi (ce qui est bien illustré par le fait que tous les leitmotivs qui en proviennent c’est “oe on est en bâteau” askjds). J’aime bien la façon dont la voix de Jorge monte sur le refrain though
– Open Arms est cool et est une bonne intro à Polites (pour mieux faire mal après) mais la vérité la première fois que j’ai écouté la chanson j’ai cru que c’était lui le lotus eater
– Pourquoi les lotus eaters c’est des aliens. C’est juste des gens dans le mythe de base ??
– Impressionnante philosophie de vie pour un mec qui sort de 10 ans de guerre
– Warrior of the Mind première chanson que j’ai entendue à cause des animatics et je sais pas si j’aurais capté que la deuxième partie était un flashback sans savoir ?
– En vrai rip Ody il a une (1) chanson avec Athéna avant qu’elle le lâche, chanson cool néanmoins
Cyclops Saga
– Woag le tone shift dans Polyphemus <3
– Je sais pas comment Jorge a pitch down sa voix pour faire Polyphémus mais c’est très satisfaisant à écouter
– La reprise du "Time to drink/Have a drink" est grave cool brrr
– "I’m so glad we see eye to eye" si j’étais Polyphémus je l’aurais buté aussi /j
– Woag le tone shift dans Survive <3
– Encore une fois la reprise Ody/Polyphémus est grave cool et ça contribue à en faire un ennemi pivot de l’histoire, limite ils sont narrative foils (la décision de Poly d’être sans pitié cause sa perte mais la décision d’Ody d’avoir de la pitié cause la sienne…)
– C’est à cette chanson que j’ai eu ce moment de "wow ok ce musical est un banger". Dans le métro
– Remember Them goes brrr….. une de mes chansons préférées de tout le musical probablement <3 Puis elle établit mon amour pour les chansons intenses avec un chœur derrière
– Par contre je suis incapable de la chanter sans rire et/ou pleurer de rire à cause de la fin et du “La morale du cyclope c’est que tu parlais trop et que tu lui as donné tes coordonnées bancaires” merci Spotty T-T
– My Goodbye est un peu underwhelming à côté du coup. Bonne chanson mais rip pas assez bonne
Ocean Saga
– Storm est un peu dans la même catégorie transitoire que Full Speed Ahead mais elle pète deux fois plus. Du coup c’est ma préférée de la saga <3
– Luck Runs Out est sympa seule mais sa reprise dans Mutiny me fait tellement vibrer que ça la booste plus haut
– "I took 600 men to war and not one of them died there" donc on va pas parler de l’histoire du cyclope ou
– Keep your Friends Close est pas ma préférée, même si j’aime bien la voix d’Éole
– Pourquoi les esprits du vent (?) c’est les mangeurs de lotus et des aliens
– Ruthlessness est très cool 👍
– Par contre je suis tombée sur une vidéo de Jorge qui disait que c’était la thèse principale de la comédie musicale et autant c’était ma conclusion aussi donc jsuis content je sais toujours analyser les thèmes d’une œuvre, autant je trouve que c’est un message un peu bizarre à faire passer lol ? More on that later
Circe Saga
– Not a single miss dans cette saga. Que des bangers. Malheureusement ma préférée est la seule où y a pas Circé #misoginywin /j
– Par contre je suis très mitigée sur son rôle narratif ? More on that later
– *opens Puppeteer* *Hamilton inside???*
– Donc le "brillant discours" qui impressionne tant Hermès c’est *checks notes* "J’aimerais me barrer mais je suis hanté par les conséquences de mes actions. Je serais prêt à tout pour te sauver et j’espère que tu ferais pareil". Hm
– Arrghsgsh bien sûr qu’Hermès traîne encore dans ma tête. Bien sûr. L’archétype du trickster va me ruiner la vie /pos
– En vrai c’est un callback marrant parce que j’ai découvert la mythologie grecque en grande partie grâce à la série des "Le Feuilleton de [___]", des livres qui reprenaient les mythes autour de certains persos, donc le premier qui était Hermès lui-même, du coup c’est de lui que je suis partie et c’est à lui que je reviens :’)
– Mais arrrgh son rire 😩/pos, son attitude 😩/pos, sa voix 😩/pos, call me la mère de Luke de Percy Jackson parce que *I’m boutta get it* /j
– Et la chanson en elle-même est trop cool malheureusement. Malheureusement la basse me fait vibrer à haute vitesse. Malheureusement je transcende cette existence dès que j’entends les harmonies descendantes sur le refrain. Malheureusement.
– Par contre ma grosse complainte sur cette saga c’est l’histoire de la racine et de la chimère parce que la *vie de moi* j’aurais jamais su qu’il était censé y avoir une chimère ou un combat de kaijus dans Done For sans les animatics. Genre je trouve que c’est absolument pas clair dans les chansons qu’il y a ça qui se passe ? Hermès mentionne le coup de "you’ll manifest a being of your creation" et j’étais un peu genre ??? mais j’y ai pas prêté attention, et à part ça à part le vague rugissement vers la fin de Done For y a zéro référence au fait que ça se passe à ce moment-là ? Y a zéro référence à *la chimère* hors couverture de l’album ?? Et genre, on peut se dire que c’est un élément visuel qui affecte pas le scénario donc c’était pas la peine de le mentionner, et je suis d’accord, mais du coup pourquoi Hermès le mentionne ?? (Sans parler du fait que la bestiole qu’invoque Ody c’est un cyclope ce qui est encore another can of worms)
– Done For est trop cool en tant que duet et encore une fois ça impose un peu des parallèles Circé/Ody (tous les deux sont prêts à faire ce qu’ils ont à faire pour sauver les leurs etc) mais ça rend la morale de Ruthlessness encore plus bizarre parce que la situation est réglée par la pitié des deux côtés et c’est la bonne chose à faire ? Genre si Ody avait achevé Circé il aurait pas pu rentrer et si Circé avait pas eu pitié de lui il serait mort et/ou un cochon donc
– Woag le tone shift sur le “problem is this prophet is dead” <3
Underworld Saga
– The Underworld est très très cool ough… l’ambiance musicale est ouf déjà, mais le passage avec les morts qui font “Why did you let the cyclops live if ruthlessness is mercy” c’est gros yeux à chaque fois!!
– Par contre je peux pas prendre le coup de la mère d’Odysseus au sérieux parce qu’elle sort de nulle part lol ? Toute sa vie Ody mentionne Pénélope et Télémaque mais sa mère ràf, "claims to love his mother let her die of a broken heart" chuis même pas sûre qu’il claim ça lol
– No Longer You élue chanson la plus fun à chanter de 2023 ??? C’est pas ma préférée de toutes mais pouah qu’est-ce qu’elle est cool à chanter
– Aussi le deuxième refrain avec l’orgue (?) derrière c’est une projection astrale en chanson je pense que si je m’allonge je ferme les yeux je quitte mon corps
– J’écoute pas Monster si souvent que ça mais conceptuellement j’adhère à toutes les chansons en crescendo
Thunder Saga
– T-shirt qui dit "I <3 THE THUNDER SAGA" et derrière y a marqué "J’adore quand des persos précédemment plutôt alignés bons se retrouvent à faire un choix difficile et égoïste et les conséquences de leurs actions leur retombent dessus sous la forme des persos autour d’eux se retournant contre eux au point de ne pas les écouter même quand ils ont raison parce que la trahison est encore fraîche et j’adore les conséquences divines des actions humaines et j’adore les tragédies qui se répètent encore et encore sans qu’on puisse y changer quoi que ce soit !!!!!" en toutes petites lettres. Banger sur banger sur banger sur banger sur banger
– Suffering est vraiment cool et est un peu ce que j’aurais aimé que Love in Paradise soit aussi dans le sens où c’est une chanson peppy mais on sent que quelque chose va pas, mais les conséquences n’arrivent qu’à la chanson suivante donc Suffering a le temps d’être sa propre chanson – j’aurais été moins convaincue si elle avait été fusionnée avec Different Beast
– Par contre loverboy Odysseus me faît hurler😭 I just know he’s giggling and kicking his feet
– Woag le tone shift entre Suffering et Different Beast <3
– Different Beast peut-être l’une de mes préférées. Who would’ve thought (<- appréciateur de chansons intenses avec un chœur derrière when chanson intense avec un chœur derrière)
– Je sais pas trop quoi penser du changement par rapport aux sirènes, parce que genre. Le fait qu’il les écoute pas et qu’il les tue à la fin c’est cohérent avec la progression du personnage ici, donc je comprends pourquoi ça a été changé, mais en même temps le coup d’Ulysse qui s’attache au bateau dans l’Odyssée je trouve ça super intéressant en tant qu’insight sur le personnage – Ulysse est *curieux*, au point de se mettre en danger (contrôlé, mais danger tout de même) pour assouvir sa curiosité, et c’est un aspect de l’archétype du trickster que je trouve super intéressant et qui disparaît pas mal d’Odysseus, qui lui prend les précautions pour se protéger et ne tue pas les sirènes tout de suite que parce que ça l’arrange
– Par contre mon meilleur ami a décrit la chanson comme une "chanson de mascu" et j’arrive plus à ne pas y penser adkdjdks
– SCYLLA…. 3ème fois qu’Ody est mis en parallèle direct avec son antagoniste, et la façon dont les murmures de Scylla apparaissent avant elle comme si elle susurrait à l’oreille d’Ody ?? Le "You hide a reason for shame" au moment où Eurylochus avoue le truc du sac à Ody qui les met tous les trois en parallèle et semble limite manipuler Ody dans sa décision ? *chef’s kiss*
– Le moment où Scylla explose (vocalement) aussi, limite elle rugit je <3 Spotty t’avais raison jsuis fan de la madame serpent
– Par contre la vérité, je sais qu’il y a une vidéo là-dessus mais oui j’entendais "Run for your lives" au lieu de "Row for your lives" donc oui je les imaginais courir sur le pont comme si ça allait faire quelque chose adkfjkds. J’ai mis trop longtemps à comprendre l’histoire des six torches aussi, merci les animatics
– Les leitmotivs de Survive et Luck Runs Out dans Mutiny je !!!!!!!!!! Ils sont enfin arrivés au moment où leur chance a tourné et où l’équipage se rebelle parce qu’Ody n’a pas assez écouté, sauf qu’ils sont condamnés à répéter les mêmes erreurs qu’avant !!! Ody ne peut pas les en empêcher parce qu’il a perdu leur confiance !!! Relisez l’arrière de mon t-shirt !!!!!
– Chanson un peu chargée musicalement mais narrativement ouuugh
– Shout out à Thunder Bringer aka la chanson qui m’a enfin convaincue d’écouter le musical <3 Et un banger de plus pour la Thunder Saga, shocker (pun intended)
– Shout out annulé c’est un enfer à chanter </3 Les graves sont juuuste en-dessous de mon range mais la chanson pète pas autant à l’octave du dessus <///3 Tragédie ça aussi
– Of fucking course Zeus commence sa chanson en parlant de déshabiller une demoiselle en détresse
Wisdom Saga
– Malheureusement dans mon top 2 en partant du bas </3 Déso Athéna chuis juste pas convaincue
– Legendary est ok-tier même si le tone shift à l’apparition d’Antinuous est cool
– (Écoutant Little Wolf) Could it be… une chanson intense avec un chœur derrière…..
– Quand je l’ai écoutée pour la première fois, au passage en Quicktime je me suis dit "si Athéna reprend pas le ‘fight, little wolf, fight’ à la fin je saute par la fenêtre" et heureusement elle l’a fait <3
– Par contre j’ai lu le message de Spotty sur l’esthétique de jeu de combat avant d’écouter la chanson donc je l’avais déjà en tête, mais c’est vrai que l’unique note de piano + percussions au tout début, avant que le chœur chante, ça fait très jeu de combat, donc je me demande si j’y aurais pensé sans indication ?
– We’ll Be Fine est pas trop mon type de chanson donc sans opinion
– Je sais qu’il y a des extraits de toutes les chansons qui traînent sur le Tiktok de Jorge mais j’ai écouté que ceux de Love in Paradise, God Games et Dangerous pour me garder un peu la surprise sur le reste, donc celles-là je les attendais d’un pied ferme lol
– J’ai déjà donné mon opinion sur Love in Paradise, le mashup du début est cool mais il aurait gagné à être sa propre chanson je pense, et le reste de la chanson est très cool mais peut-être trop de leitmotivs
– God Games rentre pour moi dans la même catégorie de chansons qui veulent faire beaucoup de choses et finissent par les faire à moitié, les passages de chaque dieu sont cools mais j’aurais aimé en entendre plus de tous :( Genre autant Aphrodite et surtout Arès ont des passages un peu développés, autant Apollon et Héphaïstos ont trois lignes chacun, et c’est à peine mieux pour Héra 😩 J’aime bien les speedruns mais pas en musique /j
– Pour revenir sur les extraits que j’avais entendus, au début les changements entre la version de base et finale m’ont fait tiquer mais au final je les trouve cool – Athéna qui est plus en colère pendant la partie d’Arès notamment
– Par contre je sais pas trop comment les dieux de God Games ont été choisis ? Surtout pour leur potentiel musical j’ai l’impression ? Parce qu’en vrai plus je pense à ce qu’a dit Spotty par rapport à la partie d’Apollon et plus je me dis que ç’aurait été super intéressant de voir une vraie confrontation entre Athéna et les dieux qui étaient du côté de Troie, en fait. On en a déjà trois avec Apollon, Aphrodite et Arès, pourquoi ne pas compléter le quatuor avec my girl Artémis ? Et pourquoi Héphaïstos et Héra s’impliquent dans cette histoire ? Surtout Héphaïstos, en fait – why is mon reuf pissed about ce qu’a fait Ody ?? Est-ce qu’il est juste là pour le "Trust is not given it’s forged". Soyez honnêtes.
– Mais de manière générale je trouve qu’il y a très peu de refs à Troie et à l’Iliade dans le musical une fois Just A Man passée et je trouve ça dommage
– Also je comprends que le but de cette saga c’est de faire le timeskip et de réimpliquer Athéna dans l’histoire, d’où le focus sur Télémaque au début, mais je suis un peu triste qu’il y ait pas de chanson de la perspective de Pénélope :[ Genre… ça aurait fait un parallèle direct avec Love in Paradise (et peut-être avec Suffering ?) et ça aurait donné de l’importance au perso au lieu de pas la faire apparaître avant la dernière saga
Général
– La vérité le projet est trop cool et les chansons sont vraiment banger, genre j’ai tendance à souvent écouter les mêmes mais dès que j’en écoute une que j’écoute moins je suis là genre “... eh mais elle est cool quand même” TT
– Par contre un truc que j’ai remarqué c’est que Jorge parle pas mal d’Epic en utilisant le terme de “show”, au lieu de genre, “musical” ou “album”, et je me demande si il a des projets d’adapter ça sous une autre forme plus tard ? Parce qu’en plus il a l’air d’avoir une vision très… visuelle du truc ? X’) Genre il commissionne plein d’artistes, il a des designs précis en tête pour les persos, toute l’histoire de la chimère là j’ai pas l’impression que ça s’arrête à des concept albums vous voyez
– Malheureusement je peux pas regarder trop de ses vidéos parce qu’il me met trop mal à l’aise /hj, il a cette big énergie de Tiktoker qui me hérisse le poil c’est pas sa faute c’est juste un ick :’)
– Dans la même veine ça me stresse quand les persos ressemblent trop à leurs interprètes TT Si je peux voir le visage de Jorge dans celui d’Ody je pleure /hj
– Pour revenir sur la morale (“Ruthlessness is mercy upon yourself”) :
Contre (?)
– Morale un peu bizarre à faire passer dans un monde où on a besoin de pitié et de gentillesse mais ok – Le passage avec Circé contredit la morale non ? Il sort de M. Ruthlessness himself et immédiatement il est sympa avec Circé et c’est all good
– En fait pour moi la morale de l’Odyssée c’est plus du registre de “recourez à l’intelligence pas à la force”, avec Ulysse qui est l’archétype du trickster, et c’est quelque chose qu’on perd beaucoup ici parce que la progression de l’histoire transforme Ody en “est prêt à tout pour accomplir son objectif quitte à sacrifier ses hommes” et d’un côté ça rajoute de l’humanité au personnage mais de l’autre sa progression est totalement différente et on est globalement sur une tragédie, mais je sais pas si la fin va suivre ? J’ai un peu peur de la déception sur la fin de la saga
– Plus j’y pense et plus je me dis qu’aussi cool qu’elle soit la saga de Circé est à un endroit trop bizarre narrativement parlant ? Genre c’est limite une pause dans la progression de l’histoire ? Parce qu’on a ce genre de descente qui est amorcée dans les sagas de Troie, du Cyclope et de l’Océan où, comme dit plus haut, Ody passe de trickster à prêt à tout, mais dans la saga de Circé Ody 1 - fait preuve de pitié, ce qui lui est avantageux vu que c’est grâce à ça qu’elle l’épargne et l’envoie dans les Enfers, et 2 - choisit de sauver ses hommes plutôt de les sacrifier et est récompensé à la fois par l’histoire (il en sort sauf avec ses hommes) et par un dieu, alors que les dieux jusqu’ici étaient les principales figures lui disant d’être impitoyable, que ce soit de son côté (Athéna) ou ennemi (Poséidon) (ou autre (Zeus ?? même Éole lui disait de pas avoir trop confiance en ses hommes))
Pro (?)
– En vrai si le message c’est moins “soyez impitoyable” et plus “soyez impitoyable avec les gens qui vous montreront pas de pitié en retour” c’est pas complètement pété
– La vérité c’est difficile de donner une morale à l’Odyssée parce que (je l’ai pas lue j’ai lu des réécritures mais) ses aventures sont assez déconnectées et on voit pas tellement les conséquences de ses actions, notamment sur son équipage – En vrai il est nécessaire de changer l’histoire et le personnage d’Ulysse pour avoir un arc narratif satisfaisant, parce qu’Epic aurait pu être juste haha silly musical sur le trickster qui se sort de toutes les situations mais ça aurait pas été aussi fascinant et puissant narrativement parlant
– On peut argumenter que la saga des Enfers c’est un tournant pour le perso d’Ody et qu’il est encore lui-même pour Circé, c’est après qu’il décide de devenir vraiment impitoyable – Je sais pas trop quoi en penser parce que la saga pourrait difficilement être placée ailleurs, genre il faut que ça arrive après Poséidon et c’est ça qui mène à Tirésias, donc c’est un peu le calme avant la tempête I guess
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Hello ! 3, 4, 17 ? (Pour le questionnaire sur les livres lus cette année.)
End of year book asks
Salut et merci pour les questions :D
3) What were your top five books of the year?
Sans ordre de préférence :
-Emily de New Moon, Lucy Maude Montgomery. J'aime beaucoup les descriptions de la nature de cette autrice, ses histoires à la fois lumineuses et sombres. Si j'ai lu les 5 premiers tomes d'Anne, j'ai adoré Emily pour son désir de vivre de l'écriture.
-Les bergères de l'Apocalypse, Françoise d'Eaubonne. J'ai aimé ce texte qui laisse les femmes répliquer et prendre les armes face aux injustices qu'elles subissent. Ce n'est pas un texte tiède et sans épines. J'ai lu quelques textes de ce genre cette année (les écrits de Joanna Russ, Phallers, Houston, Houston, do you read?...) et j'ai beaucoup apprécié.
-La librairie ambulante, Christopher Morley. J'ai adoré le parcours d'émancipation de cette femme et le message sur le fait qu'il n'est jamais trop tard pour commencer une nouvelle vie.
-A l'ombre de Winnicott, Christian Niemec, Ludovic Manchette. J'ai été séduite par l'écriture et le mystère paranormal. On évite de plus un dénouement convenu.
-The teller of small fortunes, Julie Leong. Une cozy fantasy très bien menée, une atmosphère chaleureuse, des enjeux à taille humaine...Si je n'ai rien contre une romance, j'ai apprécié qu'il n'y en ait pas ici car cela aurait été trop forcé (et puis les romances de fantasy actuelles se ressemblent beaucoup trop, on pourrait remplir un bingo...)
4) Did you discover any new authors that you love this year?
Je garde un bon souvenir de ma (re)découverte de Joanna Russ, ce qui me donne envie de relire L'autre moitié de l'homme et The Adventures of Alyx.
J'ai également découvert avec intérêt des autrices "oubliées" comme Rachilde et Jane de La Vaudère.
Je continuerai aussi à lire les prochains livres de Tasha Suri !
17) Did any books surprise you with how good they were?
Le bracelet de jade de Mu Ming. C'est court mais le propos est bien pensé, le cadre change... Bref c'est de la fantasy qui fait plaisir à lire.
Sinon, il y a l'anthologie Warrior Enchantresses. Je n'en attendais pas grand chose, mais ces aventures dans différents cadres historiques m'ont bien plu (et puis bon ça commence avec une nouvelle de Tanith Lee sur Cléopâtre VII. A partir de là...)
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J’ai rêvé…
Quand ils ont réclamé des menus halal à la cantine, je n'ai rien dit : ce n'était qu'une préférence alimentaire. Quand ils ont réclamé le port du hijab pour les femmes, je n'ai rien dit : ce n'était qu'un choix vestimentaire. Quand ils ont réclamé le port du burkini à la plage, je n'ai rien dit : ce n'était qu'un souci de décence. Quand ils ont réclamé la construction de nombreuses mosquées, je n'ai rien dit : ce n'était que des lieux de culte, comme il y en avait aussi pour les chrétiens apeurés et les derniers juifs du pays. Quand ils ont réclamé que ces mosquées soient surmontées de minarets, je n'ai rien dit : ce n'était qu'un style architectural. Quand ils ont réclamé des pauses pour la prière pendant la journée de travail, je n'ai rien dit : ce n'était que pour les rendre plus efficaces ensuite. Quand ils ont réclamé des jours fériés liés à leurs fêtes religieuses, je n'ai rien dit : ce n'était que l'équivalent de nos jours fériés de culture catholique. Quand ils ont réclamé le financement du pèlerinage à La Mecque par les comités d'entreprise, je n'ai rien dit : mon entreprise n'était pas concernée. Quand ils ont réclamé l'appel du muezzin dans les rues cinq fois par jour, je n'ai rien dit : en gardant mes fenêtres fermées, je ne l'entendais presque pas. Quand ils ont réclamé le statut de langue officielle pour l'arabe, je n'ai rien dit : le français restait aussi langue officielle. Quand ils ont réclamé la révision des manuels scolaires pour les rendre conformes au Coran, je n'ai rien dit : de toute façon, les élèves n'apprennent plus rien �� l'école. Quand ils ont institué la charia ou loi islamique en France, je n'ai rien dit : en démocratie, l'avis de la majorité prévaut sur celui de la minorité. Quand ils ont exigé que je me convertisse à mon tour, je n'ai rien pu dire : il n'y avait plus que des musulmans autour de moi. Que Dieu sauve la France et son peuple. Quand ils ont….. » Et c’est là que je me suis réveillé… Mais il faisait tout aussi noir !
Et au réveil, j'agis sans querelle partisane entre les différents PATRIOTES. L'ennemi se réjouit de nos divisions inutiles, de notre laxisme, nos autorités nous regardent de haut en voyant bien qu'ils nous agressent au couteau, vols les personnes sans défense, pillent nos commerces. Je ne fais rien pour ma part car je ne veux pas avoir un casier judiciaire et pire encore de me faire traiter de raciste par qui vous savez
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12 août
ça fait deux fois que des filles bruyantes qui parlent français passent devant moi avec leur pédalo et ça me donne envie de faire du pédalo avec quelqu'un et d'être légère moi aussi. y a pas de pédalo à une place. je crois que j'ai moins de mal à être légère quand je suis avec quelqu'un que quand je suis seule. quand je suis seule je pèse plus lourd. mais j'ai la flemme de faire des efforts pour être sociale. f. m'a dit qu'elle irait à la mer en octobre quand jo/johanna aurait des vacances, tout le monde a deux prénoms dans son entourage selon son genre du jour, j'ai dit c'est qui jo? un nouveau membre de votre polycule? (oui). je sais pas comment elle fait. l'autre jour avec n. on parlait de mon genre, je sais plus pourquoi. je lui disais que je me sentais pas particulièrement féminine et que j'aimais pas les formes de mon corps, que j'aimerais avoir un corps plus neutre. elle m'a demandé si j'aimerais utiliser les pronoms non-binaires et j'ai dit ohlala non i don't mind being a girl! c'est juste une histoire de corps. mais c'est jamais juste une histoire de corps. j'ai jamais aimé mes seins par exemple. quand ils ont commencé à pousser j'en voulais pas et je refusais catégoriquement de porter un soutien-gorge. je sais pas si c'était par refus d'avoir des seins ou par refus de grandir mais c'était un refus. maman me disait lara tu dois en mettre sinon t'auras la poitrine qui tombe, mais je préférais mettre des tshirts serrés en me disant que ça ferait le job de soutien, et maintenant j'ai la poitrine qui tombe et je l'aime pas. même si samedi soir j'ai fait un photo shoot nue devant ma webcam et je me suis excitée toute seule.
quand j'avais parlé de mon soupçon d'abus sexuel à maman elle m'avait dit que j'avais toujours eu une relation de dégoût avec mon corps. que j'avais toujours refusé de mettre des tampons par exemple. je sais pas à quel point tout ça est lié. à supposer qu'il se soit vraiment passé quelque chose. ça me fait penser à une scène de la série split où une des filles pleure pendant le sexe et puis elle raconte à son amante qu'elle est devenue lesbienne après avoir été violée par un homme. je me demande combien d'histoires de préférence sexuelle et d'identification de genre sont liées à des histoires d'abus sexuel.
hier matin je suis retournée au vide-grenier au maybachufer parce que c'est pas loin et parce que je rêve de trouver une robe en vichy rose pâle. j'en avais une quand j'étais petite. en fait mon identité de genre n'est ni féminine ni masculine, je veux juste mettre les mêmes habits et avoir le même corps que quand j'étais petite. un corps non marqué fémininement. un corps libre. libre de me promener nue. libre de bouger. non encombré par toute la gêne et le dégoût qui s'y sont nichés à l'adolescence. quand j'étais petite je pouvais danser où je voulais et le grand figement n'existait pas. je parlais à qui je voulais je chantais partout le monde était à moi. je m'en rappelle pas, mais j'imagine. c'est ce que maman me raconte. c'est ce que je vois sur les photos. n. m'a dit qu'elle se rappelait que quand elle était petite il lui tardait de grandir parce qu'elle se sentait pas libre, justement, en tant qu'enfant. et peut être que je me sentais pas du tout libre en réalité moi non plus, j'en sais rien. mais je sais que j'avais pas particulièrement envie de grandir. vers la fin de l'enfance en tout cas. enfin non, même ça c'est faussé parce que pour écrire mon texte sur l'été 2004 y a quelques mois j'ai relu le journal de mes treize ans et je disais que j'avais envie d'avoir seize ans et de rencontrer un joli garçon dans le tram et de lui donner mon numéro. donc j'en sais rien. tout ce que je sais c'est que hier au marché j'avais envie d'acheter une robe rouge laura ashley que j'aurais pu porter à six ans et un minishort en coton jaune avec des étoiles mauves clairement des années 90 et aussi des grands tshirts et des grandes chemises d'homme.
dans un documentaire d'alejandro jodorowsky dans lequel il faisait vivre à des gens une seconde naissance, il disait que les gens avec des traumas restaient parfois bloqués à l'âge mental qu'ils avaient à l'époque où le trauma s'est produit. ça m'avait paru évident. je suis une enfant de sept ans. dans ma relation avec maman, dans ma relation avec la maison, dans ma relation avec mon corps, dans mon refus de vivre ma propre vie, jusqu'à mon style vestimentaire putain.
finalement j'ai acheté qu'une chemise en vichy bleu ciel à trois euros que j'ai regretté d'avoir acheté cinq minutes plus tard en me rendant compte qu'elle était 40% polyester. après j'ai fait du pain, une lessive, je me suis rasé les jambes après plus d'un mois de jambes poilues et j'ai affronté le ménage de la salle de bain. ça va, j'en suis pas morte. maman m'a appelée pour me raconter sa journée et me parler de la météo mais jamais elle me demande ce que je fais moi ou comment je me sens. elle m'appelle juste pour me raconter ses virées au centre de recyclage et à la piscine et pour me dire le temps qu'il a fait le temps qu'il fait là et le temps qu'il fera demain. je vois ces vacances à la mer comme une bouée de sauvetage à la fin de mon été, le rêve à atteindre au bout de l'enfer, mais ma détresse berlinoise m'a un peu fait oublier que maman était toujours maman. je suis même pas en détresse en plus. je suis en apprentissage. aujourd'hui j'ai fait des progrès: j'ai pensé à prendre un snack dans mon sac, j'ai pas trop marché (j'ai pas bougé du parc), j'ai fait des longues pauses pour écrire tranquille, et j'ai trouvé des wc pour faire pipi! prochaine étape: penser à prendre une serviette pour m'allonger dans l'herbe.
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🍋 LE LIMONCELLO 🍋
C’est une liqueur délicieuse à boire en digestif après un repas, mais aussi parfaite pour être utilisée en cuisine dans des desserts. Le Limoncello est fait à partir d’écorces de Citron macérées dans l’alcool.
C’est une spécialité Italienne, de la péninsule de Sorrento pour être plus précise.
Avant de se lancer dans le Limoncello maison, essayez par tous les moyens de vous procurer de l’alcool pur à 95°.
❗️Attention, n’utilisez pas de l’alcool à 90° MODIFIÉ que l’on trouve à la Pharmacie, celui-ci n’est pas consommable ❗️
C’est ce degré d’alcool qui va vous donner le meilleur rendu pour la liqueur maison.
Si vous n’en trouvez vraiment pas, prenez de l’alcool de fruit, mais en gardant à l’esprit que cela sera moins bon.
🍋 Dilution de l’alcool
Pour 1 litre d’alcool pur à 95°, on compte généralement 1 à 1.3 litres d’eau en fonction de vos goûts en sachant qu’ 1.2 litres d’eau pour 1 litre d’alcool à 95°C vous donnera un alcool à 45°, pour moi la dilution idéale pour une liqueur.
Si vous utilisez de l’alcool de fruits, donc un alcool à 40°, pas besoin de le diluer dans de l’eau car vous n’avez pas besoin de le rendre moins fort. Il vous faudra cela dit, une toute petite quantité d’eau pour dissoudre le sucre, qui ne se dissout pas seul dans l’alcool. Je conseille un demi verre d’eau pour cela, pas plus.
Selon les goûts, je recommande donc 400 g de sucre pour 1 litre d’alcool à 95° et seulement 250 à 300 pour 1 litre d’alcool à 45°.
🍋 RECETTE DU LIMONCELLO avec de l'alcool pur ou avec de l'alcool de fruits
• Temps de Préparation 30 minutes
• Temps de Cuisson 5 minutes
• Portions 2 litres
🍋 Ingrédients
• 1 litre d'alcool à 95° ou à défaut, d'alcool de fruits à 40°
• 400 g de sucre ou 225 g si vous utilisez de l'alcool de fruits
• 6 gros citrons bios non traités
• 1.2 litres d'eau de source ou un demi verre d'eau si vous utilisez de l'alcool de fruits
🍋 Instructions
• Lavez les Citrons et prélevez l'écorce avec un économe en essayant de ne pas prélever le blanc du citron, qui est amer, et juste la partie jaune.
• Faites les macérer pendant un mois dans l'alcool dans un endroit frais et sec, à l'abri de la lumière. Remuez la bouteille régulièrement pour que les arômes se développent bien.
• Après un mois de macération, filtrez l'alcool. Préparez un sirop de sucre en faisant bouillir le sucre et l'eau jusqu'à ce que le sucre soit dissout. Laissez bien refroidir avant de mélanger ce sirop à l'alcool.
• Mettez en bouteille et laissez reposer la bouteille une dizaine de jours de préférence avant de la consommer. Conservez-la au congélateur.
Le limoncello se déguste très froid, il ne gèlera pas à cause de la forte concentration en alcool.
🍋 Un autre conseil ?
J’ai pu voir dans quelques recettes que certaines personnes rajoutaient un peu de jus de citron pour réhausser le goût.
Bonne idée ou pas ?
Pour avoir essayé les deux, clairement, ma réponse est non. Le jus de citron ne va pas réhausser le goût de votre liqueur, elle va juste lui donner un côté plus amer que l’on ne veut pas retrouver dans du limoncello. Si vous voulez réhausser le goût, si par exemple vous ne le trouvez pas assez citronné, rajoutez des zestes et attendez qu’ils macèrent à nouveau, ou faites macérer votre prochaine liqueur plus longtemps mais ne rajoutez pas du jus, cela fausserait les proportions et altèrerait le goût.
Bonne dégustation ! 🍋 Avec modération, bien sûr !
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Avec #max_enfant_terrible premiers polas… à fleur de peau. (suite). J'ai l'habitude de faire un noir et blanc et un couleur en pola histoire de ne pas passer à côté de quelque chose. Dois-je t'avouer que le noir et blanc et son empreinte digitale-analogique a ma préférence ?
#portrait#ombre#noir et blanc#chevelure#polaroid#cheveux#fujifp100c#negative#negatif#analogique#analog#papier#polaroid sx70#sx70#carnet
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"Racisés, ils nous racontent comment s’expriment, à leur endroit, des représentations racistes dans le cadre du dating. Dans notre deuxième épisode, Nabil (1), 30 ans, est fatigué d’être enfermé dans le stéréotype du mâle alpha poilu et bestial.
Chercher l’amour (ou la bagatelle) sur les applis de rencontre n’a, parfois, rien d’une partie de plaisir tant les profils abondent… avec leur lot de déconvenues. C’est encore plus vrai pour les hommes et femmes racisés. En matière de dating, ces derniers doivent parfois composer avec une essentialisation, majoritairement exprimée par des personnes blanches avec, pour corollaires, fétichisation et exotisation. Les applis exacerbent ces phénomènes racistes qui s’étendent, aussi, aux rencontres IRL. Ils ou elles témoignent de leur sidération, de leur lassitude ou de leur colère vis-à-vis de comportements qui laissent des marques. Aujourd’hui, Nabil (1), 31 ans, restaurateur à Genève.
«Je suis Libanais. J’ai des traits méditerranéens assez développés et je suis très poilu. Sur les applis, les hommes qui m’écrivent ne passent pas par quatre chemins. C’est direct : “Tu es un Arabe bien mat, j’adore les Libanais et en plus j’adore tes poils.” Pour eux, je suis la caricature du brun ténébreux typé Moyen-Orient avec un regard perçant. Cette exotisation est sans doute renforcée par le fait que je vis en Suisse, où il y a beaucoup de blonds. J’incarne pour eux un alter ego bestial. Lors de mes rapports sexuels, j’ai droit à des commentaires sur mon arabité excitante et sur ma pilosité excessive qui me rend animal et sauvage pour eux. Je dois calmer des hommes qui s’excitent sur mon torse poilu et mes fesses velues qu’ils caressent de manière obsessive, en occultant tout le reste de mon corps.
«Dans mes rencontres avec des hommes plus âgés, ils m’abordent ouvertement en me disant : “ Oh un jeune Arabe bien typé ! Tu es tout ce qu’il me faut.” J’ai vite été mal à l’aise quand j’ai compris qu’il ne s’agit pas que d’une préférence physique : ils attendent de moi une attitude qui colle avec mon corps. Je dois être ce mec arabe ultra-viril. Ils placent de fortes attentes sexuelles envers moi. Sur Grindr on me dit souvent : “Mon rêve c’est de me faire brutaliser par un étalon comme toi.” Avec ces personnes je n’ai pas le droit d’être maniéré, je ne peux pas être moi-même. Je me souviens d’un rendez-vous avec un gars qui est parti déçu. Il m’a dit que j’étais beau mais qu’il cherchait un Arabe dominant.
«On est dans un schéma de masculinité toxique. Dans ce type de relation, je ne peux pas être passif, je dois toujours être actif. Heureusement que tu as des gens qui me disent “ j’adore ton sourire” , c’est hyper agréable, mais ça reste une minorité. Trop souvent, je me sens déshumanisé. Pour être attirant, je dois me comporter comme un hétéro de base. Être un dominant qui ne sourit pas, qui ne rigole jamais et qui doit rester froid, mystérieux pour être désirable. Du coup quand je fréquente quelqu’un, c’est très rare pour moi de pouvoir lâcher prise, faire mes gémissements, pousser mes cris aigus, me cambrer. Ces attentes sur mon corps me forcent à annihiler une partie de moi. Quand je rencontre quelqu’un au départ, je cache aussi ma passion pour les drags, je parle le moins possible. »"
(1) Le prénom a été modifié.
#article copié en entier car réservé aux abonnés#mlm#racism#lebanon#arab#lgbt+#french#switzerland#bee tries to talk#upthebaguette
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tagged par @briselegeredansletemps (merci, c'est la première fois de ma vie qu'on me tag -osekour-, c'est un honneur !)
When was the last time you cried: Vendredi soir. J'ai fait une big crise d'angoisse, j'étais en larme, accoudée à mon balcon, une clope à la main en train de remettre l'entièreté de ma vie en question. Caricatural mais véridique.
Do you have kids: pas biologique non, en revanche, mon mec se comporte comme tel, ça compte je pense.
What sports do you play/have you played: J'ai fait de la danse classique 8 ans avant de réaliser que j'aimais pas. De la gym 5 ans puis jme suis pétée le yep. Ensuite, j'ai opté pour un mode de vie sédentaire parsemé de séance de yoga et de courses le samedi matin.
Do you use sarcasme: mon identité est construite sur/autour/avec ce concept.
Whats the first thing you notice about people: les yeux, ça en dit toujours plus que ce que les gens veulent bien (se) l'avouer. Tout ment, tout trompe, tout illusionne, sauf le regard.
Whats your eyes color: marron. Aller noisette pour le body positive. Franchement, anecdotique.
Scary movie or happy ending: je préfère les scary movies aux happy ending (parce que quel ennui sérieusement) mais je préfère tout le reste du spectre pas représenté ici aux scary movies.
Any talents? : je sais faire la grenouille avec ma bouche. Je sais tenir mon arbre droit autant de temps je veux.
Where were you born: dans un hôpital ? (Aller c bon l'humour pour aujourd'hui, en France)
What are your hobbies: j'ai pas de préférence particulière pour des trucs en particulier.
Do you have any pets: 2 chats chez mes darons, 1 (mon mec) en alternance à mon appart.
How tall are you: 1.60m
Favorite subject in school: j'ai bien aimé la psychologie cognitive au semestre dernier, très intéressant, assez intuitif.
Dream job: ça ne m'a jamais fait rêver de travailler navrée (peut-être thanatopractrice)
So now tag other people:
J'ai aucun pote sur Tumblr mdrr, je vais donc identifier des personnes que je vois souvent passer et qui sont intéressantes (désolée si vous êtes déjà taggué.e ailleurs et désolée si on se connait pas):
@perduedansmatete, @frenchpatate, @quandvientlapluie, @unjournalasoi, @lekintsugihumain
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COMME LA MORT, IL FAUT REGARDER LA SEXUALITE EN FACE SANS FERMER LES YEUX !
Suis-je un poète pornographe ? Si c'est le cas, je m'inscris dans une longue tradition si j'en juge par le recueil "Anthologie de la poésie érotique " publié en 2010 par les éditions Garnier. En effet, dans ce florilège le réalisme le plus cru côtoie le raffinement le plus délicat, de l'Antiquité grecque et romaine jusqu'au début du XXème siècle, qu'il s'agisse de poètes renommés ou de petits maîtres. Dans ces oeuvres s'exprime une volonté de subversion et d'émancipation. Sous ces coups de boutoir, la vieille morale vacille et les masques tombent. Aujourd'hui, avec les outils du numérique, la donne a changé même si l'hypocrisie persiste car "on estime que près de 60 % des internautes surfent, à un moment ou à un autre, sur des sites au contenu pornographique" (extrait de '" Bêtes de sexe ", Editions Michel Quintin, 2015).
LA SEXUALITE VECUE PAR DES POETES, LOIN DE L'AMOUR CHASTE OU DU LYRISME ROMANTIQUE...
Jacques Prévert participa aux entretiens sur la sexualité dont le groupe de Breton commença la publication dans le numéro 11 de la Révolution surréaliste. « Le surréalisme, dira André Breton, a tout fait pour lever les tabous qui empêchent qu'on traite librement du monde sexuel et de tout le monde sexuel, perversions comprises – monde dont j'ai été amené à dire plus tard qu'en dépit des sondages entre tous mémorables qu'y auront opérés Sade et Freud, il n'a pas, que je sache, cessé d'opposer à notre volonté de pénétration de l'univers son infracassable noyau de nuit. »
Les Recherches sur la sexualité. Part d'objectivité, déterminations individuelles, degré de conscience se déroulèrent pendant sept soirées du 27 janvier au 6 mai 1928. Les deux premières furent publiées in extenso dans La Révolution surréaliste. Prévert participa à six de ces soirées.
Jamais on n'avait parlé aussi clairement dans une revue autre que celles qui se vendaient sous le manteau, de l'onanisme féminin, dont Breton pensait le plus grand bien, vivement approuvé par Prévert qui s'en déclarait tout à fait partisan. A l'appui extraits de dialogues on ne peut plus directs entre les deux hommes […] :
Prévert : Que pense Breton de la sodomie entre homme et femme ?
Breton : Le plus grand bien.
Prévert : Vous y êtes-vous déjà livré ?
Breton : Parfaitement.
Queneau : Faites-vous toujours l'amour de la même façon ; sinon est-ce pour accroître votre jouissance ou celle de la femme ?
Breton : Fort heureusement non, je m'ennuierais trop. Quant à la femme elle peut prendre l'initiative de changer autant qu'elle veut.
Prévert : Je suis de l'avis de Breton.
Quand les questions se firent plus précises chacun tint à ajouter son grain de sel à une conversation qui se révélait de plus en plus pimentée :
Breton : Quelles sont les attitudes passionnelles qui vous sollicitent le plus ? Baron ?
Baron : Le 69, la position dite « en levrette ».
Duhamel : La position dite « en levrette », le 69.
Aragon : Je suis extrêmement limité. Les diverses attitudes me sollicitent également comme autant d'impossibilité. Ce que j'aime le mieux, c'est ma pollution pendant la fellation active de ma part. En fait, je fais presque toujours l'amour de la manière la plus simple.
Man Ray : Pas de préférences. Ce qui m'intrigue le plus, c'est la fellation de l'homme par la femme, parce que c'est ce qui s'est présenté pour moi le plus rarement.
Noll : La fellation de la femme par moi, ou bien sexe sur sexe, bouche sur bouche, le 69.
Sadoul : Pas de préférence violente. Cependant, la fellation de la femme par moi.
Aragon : Qu'est-ce qui vous excite le plus ?
Duhamel : Les jambes et les cuisses d'une femme. Ensuite le sexe, les cuisses et les fesses.
Prévert : Les fesses.
Queneau : Le cul.
Aragon : L'idée de la jouissance de la femme.
Noll : C'est aussi tout ce qui m'intéresse.
Duhamel : Egalement.
Péret : Pour les parties du corps, les jambes et les seins. Par ailleurs, voir une femme se masturber.
[…]
Breton : Dans quelle mesure Aragon considère-t-il que l'érection est nécessaire à l'accomplissement de l'acte sexuel ?
Aragon : Un certain degré d'érection est nécessaire mais, en ce qui me concerne, je n'ai jamais que des érections incomplètes.
Breton : Juges-tu que c'est regrettable ?
Aragon : Comme tous les déboires physiques, mais pas davantage. Je ne le regrette pas plus que de ne pouvoir soulever des pianos à bout de bras.
Aragon se souviendra de ces aveux publics en écrivant La Grande Gaîté, recueil de poèmes publiés l'année suivante (1929) et dans lesquels on trouve ce quatrain où le poète ironise :
Il y a ceux qui bandent
Il y a ceux qui ne bandent pas
Généralement je me range
Dans la seconde catégorie
Extrait du livre : « Jacques Prévert » par Yves Courrière, Gallimard, 2000.
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"Font leur pipi contre les murs Quelquefois même sur leurs chaussures Pisser debout ça les rassure Les z'hommes Z'ont leur p'tit jet horizontal Leur p'tit siphon leurs deux baballes Peuvent jouer à la bataille navale Les z'hommes
Z'ont leur p'tit sceptre dans leur culotte Leur p'tit périscope sous la flotte Z'ont le bâton ou la carotte Les z'hommes Et au nom de ce bout d'bidoche Qui leur pendouille sous la brioche Ils font des guerres ils font des mioches Les z'hommes
Ils se racontent leurs conquêtes Leurs péripéties de braguette Dans des gros rires à la buvette Les z'hommes Ils se racontent leurs guéguerres Leurs nostalgies de militaires Une lalarme à la paupière Les z'hommes
Virilité en bandoulière Orgueil roulé en bandes molletières Agressivité en oeillères Les z'hommes Ils te traiteront de pédé De gonzesse et de dégonflé À moins qu'tu n'sortes dehors si t'es Un homme
Z'aiment les femmes comme des fous C'est si pervers mais c'est si doux Enfin quoi c'est pas comme nous Les z'hommes Z'aiment les femmes à la folie Passives muettes et jolies De préférence dans le lit Des z'hommes
Au baby-room ou au boudoir À la tortore ou au trottoir Z'aiment les femmes sans espoir Les z'hommes Prostituées ou Pénélopes Apprivoisées ou antilopes Toutes les femmes sont des salopes Pour les z'hommes
C'est en quatre-vingt-treize je crois Qu'ils ont tué la femme du roi Et la Déclaration des Droits De l'Homme C'est depuis deux mille ans je pense Qu'ils décapitent en silence Les femmes d'ailleurs et de France Les z'hommes
Z'ont abattu les Tibétaines Z'ont fricassé les Africaines Z'ont indigné les Indiennes Les z'hommes Z'ont mis le voile aux Algériennes La chasteté aux châtelaines Et le tablier à Mémène Les z'hommes
Excusez-moi mais elle me gratte Ma pauvre peau de phallocrate Dans la région de la prostate Des z'hommes Excusez-moi mais je me tire Sans un regret sans un soupir De votre mafia votre empire Des z'hommes
À chacun sa révolution Aurais-je seul'ment des compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme À chacun sa révolution Aurais-je seulement trois compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme"
Henri Tachan
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