#métier London
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gasstyle · 2 months ago
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#MÉTIER + ISSIMO Ease metallic leather clutch
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chansonsinternationales · 1 year ago
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Jack London, un forçat de l’écriture, façonné par les cadences de l’usine
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sheniq · 2 years ago
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Pharrell Williams @pharrell named Louis Vuitton @louisvuitton men’s creative director Williams steps into one of the highest-profile jobs in fashion.  Multi-hyphenate musician and entrepreneur Pharrell Williams will become Louis Vuitton’s next creative director of menswear, the brand confirmed on Tuesday, following a Wall Street Journal report.  The appointment fills one of fashion’s most high-profile vacancies, open since Virgil Abloh died in November 2021. A flurry of names have been touted for the position, including designers Martine Rose, Grace Wales Bonner, Samuel Ross and Jonathan Anderson. KidSuper founder Colm Dillane is also thought to be in the running, having participated in the creation of Louis Vuitton’s Autumn/Winter 2023 collection. It marks the first big decision of Pietro Beccari, who, on 1 February, took the helm of  the world’s largest luxury brand from outgoing CEO Michael Burke. Williams is no stranger to fashion. He is co-owner of streetwear brand Human Made with Kenzo creative director Nigo; founder of the Billionaire Boys Club and Ice Cream streetwear brands; co-owner of G-Star Raw Denim; and a regular collaborator with Tiffany. The entrepreneur ventured into beauty with gender neutral brand Humanrace in 2021.  He is also a longtime friend of Chanel and served as a muse to the late Karl Lagerfeld and attended the recent Métiers d’art show in Dakar. He also attended the Off-White show last February in Paris.  Williams is also among those slated to unveil new design concepts at  Moncler’s latest Genius activation during London Fashion Week on 20 February. A representative for Williams could not be reached for comment for this story. https://www.instagram.com/p/Cop7ss8P5ur/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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rosesinvalley · 11 months ago
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Anjelica Huston
Anjelica Huston n'est pas seulement Morticia Addams et la fille d'un réalisateur connu. Cette femme est une de nos modèles. Créative, interchangeante, émotive, battante, elle a toujours incarné une certaine modernité et du charisme.⁠ Elle a écrit un livre poignant sur sa vie hors-norme.⁠
Ses portraits ont suivi le cours du temps comme un hommage aux époques, aux femmes et à la fête.
Créative, réalisatrice, actrice phenomenale dans les films : L'honneur des Prizzi en 1985 avec Jack Nicholson, Les Arnaqueurs 1990, La Famille Addams 1991, The witches 1990, Crimes et Délits, La Famille Tenenbaum 2001 , La vie auqtique en 2004, À bord du Darjeeling Limited 2007. Elle a reçu des prix prestigieux au cours de sa carrière, dont un Oscar pour son rôle dans L'Honneur des Prizzi.
Images inspirantes et féériques qui suivent le long cours de sa vie devenue icône !
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Portrait Bob Richardson, à droit Warhol Polaroid.
Revue de presse des Inrocks
"De son père John Huston à sa liaison avec Jack Nicholson, de son métier de mannequin dans le Swinging London au Hollywood des années 70, Anjelica Huston dit tout dans des mémoires doux-amers... Ce qu'il y a assez vite de jubilatoire à lire Suivez mon regard, c'est qu'il nous plonge dans le Swinging London et le New York et le Hollywood des années 1970, parmi une foule de gens tous plus extravagants et anticonformistes les uns que les autres... Il y a un endroit et un envers dans la vie d'Anjelica Huston, de quoi nous agacer et de quoi nous émouvoir : un côté face où tout arrive avec une facilité exaspérante pour cette enfant du sérail, mais un côté pile plus sombre, torturé, comme s'il y avait toujours un prix à payer. Sa mère, plus ou moins dépressive depuis que son mari a fini par la quitter, se tue dans un accident de voiture à la fin des années 60, alors qu'Anjelica n'a que 18 ans... Reste une vie hors norme, parce qu'elle est née du bon côté au bon moment - quand Hollywood était encore une fête. "
(Nelly Kaprièlian - Les Inrocks, mai 2015)
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"Je suis née à 18 h 29, le 8 juillet 1951, au Cedars of Lebanon Hospital à Los Angeles. Un beau et gros bébé de quatre kilos. La nouvelle a aussitôt été télégraphiée à la poste de Butiaba dans l'ouest de l'Ouganda. Deux jours plus tard, un coureur aux pieds nus arrivait avec le télégramme à Murchison Falls : c'était autour de cette chute d'eau sur le Nil, au coeur du Congo belge, que se tournait L'Odyssée de l'«African Queen». Mon père, John Marcellus Huston, était un metteur en scène connu pour son tempérament audacieux et son goût de l'aventure. Le projet avait beau passer pour téméraire, il avait réussi à embarquer dans cette périlleuse entreprise non seulement Katharine Hepburn, une actrice dans la fleur de l'âge, mais aussi Humphrey Bogart, qui lui-même avait fait venir sa femme, la star Lauren Bacall. Ma mère, enceinte de plusieurs mois, avait dû rester à Los Angeles avec mon frère Tony, âgé d'un an à ce moment-là. Quand le messager a tendu le télégramme à mon père, celui-ci y a jeté un rapide coup d'oeil, puis l'a rangé dans sa poche. Katie Hepburn s'est exclamée : «Pour l'amour du ciel, John, enfin, qu'est-ce que ça dit ?» et Papa a répondu : «C'est une fille. Elle s'appelle Anjelica.»
Extrait du livre
Elle sublime les oeuvres des artistes, stylistes de mode et les grands photographes comme ce collier de Calder "The Jealous Husband necklace" . On la retrouve dans les soirées mondaines de New york avec Warhol, les films à la mode et au bras de Jack Nicholson pendant 17 ans. Elle collabore avec Mickael Jackson et Francis Ford Coppola pour un film 3D en 1986 pour Disney "Captain EO" elle est une méchante reine extraterrestre appelée « The Supreme Leader ».
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Anjelica Huston par Richard Avedon,1976
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longlistshort · 5 months ago
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Lubaina Himid’s solo exhibition Street Sellers at Greene Naftali is filled with gorgeous paintings, but there is so much more to the work. Through the experience of sounding out the phonetic signs and reading what’s written behind them, the viewer is given a chance to go beyond the surface for a glimpse of the inner worlds of her subjects. It’s like receiving a beautifully wrapped gift and realizing it was only a prelude to the wonders inside.
From the gallery-
Himid’s latest cycle of paintings affirms the dignity of work through depictions of vendors who ply their wares, elegantly dressed and equipped with the tools of their particular trade. The figures emerge from a rich blend of temporalities and points of reference: from the hawkers that remain street-level fixtures of urban life, to popular prints of merchants and peddlers dating back to 17th-century London as rare documents of the working class. The genre of the full-length portrait—linked to aristocrats and monarchs—is also recast with new protagonists, shown on a grand scale and fully at one with their respective métiers. Asserting the centrality of Black subjects to art historical arenas long denied them, Himid frees herself to invent what the archive lacks: “I paint it into existence.”
Each canvas is paired with a work on paper ingeniously printed to mimic a cardboard sign, embellished with painted motifs and phonetic letters that induce the viewer to read aloud—uttering the sales pitch to lend the exhibition an informal soundtrack. The prints are double-sided, with the backs revealing the sellers’ true thoughts that go unsaid. Often romantic or wistful, those inner monologues betray their attachment to the goods they carry, which Himid renders with lapidary attention to an egg’s speckled surface, the weave of chair caning, the ribbed interior of a cowrie shell. Objects here are charged like talismans—vectors of connection that are meant to change hands.
That intimacy extends to Himid’s paintings on domestic objects: from portrait heads on discarded dresser drawers to miniature vignettes on found crockery. Opening a drawer is an everyday revelation, an airing out of hidden depths, and Himid has described it as an ideal container for “lost or forgotten lives”—a compartment to hold the “memories of people whose names no one had bothered to write down.” China plates and platters are likewise tied to acts of routine encounter, which Himid overpaints with subtle disruptions to their polite decorum. One thrifted ceramic sports a tongue, another a single molar—the first pieces of a planned New York Dinner Service the artist will source locally over time, then emblazon with every part of the human body as seen from inside. Faintly troubling yet also convivial in their nods to communal space and shared endeavor, the works extend Himid’s career-long project of “interrogating narratives about the desire to belong.”
This exhibition closes 6/15/24.
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zehub · 7 months ago
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Les cyclistes font économiser 200 millions d’euros à la société
Pédaler maintient en forme. Grâce à une enquête, des chercheurs ont pu établir combien de dépenses de santé avaient donc pu être évitées : 200 millions d’euros chaque année. Kévin Jean est maître de conférences en épidémiologie (Conservatoire national des arts et métiers) ; Audrey de Nazelle est senior lecturer (Imperial College London) ; Marion Leroutier réalise un post-doctorat à l’Institute for Fiscal Studies et Philippe Quirion est directeur de recherche CNRS ; Émilie Schwarz, chargée de projet (...)
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latribune · 9 months ago
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benbstar · 1 year ago
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PAD Londres 2022
PAD London, le salon du design de renommée internationale, revient à Berkeley Square à Mayfair pour sa 14e édition, du 10 au 16 octobre 2022. Célébrant l’artisanat et l’innovation, l’édition londonienne de cette année présentera des œuvres exceptionnelles de talents émergents et emblématiques, tout en mettant en lumière des techniques rares et séculaires, de nouveaux métiers durables et des…
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de-gueules-au-lion-d-or · 2 years ago
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Jack London: le fighting spirit américain.
Né à San Francisco en 1876, le petit Jack London fut, très jeune, ce qu’on appelle en anglais un “tough guy”, c’est-à-dire, grosso modo, un dur à cuir : à l’âge de 5 ans, il était déjà gardien de bestiaux et rapportait à son père, un pauvre trappeur de Californie, quelques dollars de plus.
Il faut, si on le peut, essayer d’imaginer la Californie de 1880 qui est aussi loin de celle d’aujourd’hui qu’un village bantou peut l’être de la 5e Avenue. Pour survivre, il faut savoir jouer des poings et du pistolet, être capable de cracher à six pas et de tenir le coup après avoir ingurgité de longues goulées d’une sorte de décapant baptisé “alcool”…
En 1881, le petit Jack — on l’appelle par ce diminutif pour le distinguer de son père, dont il porte le prénom, John — émerveille parents et voisins : il apprend tout seul à lire et à écrire. Du coup, son père décide de l’envoyer à l’école. Il n’y apprendra pas grand-chose.
Plus tard, London écrira : “Je n’ai jamais eu d’enfance et il me semble que je suis sans cesse à la recherche de cette enfance perdue.”
A 13 ans, il quitte l’école et suit sa famille, à Oakland. Avec son père, il s’établit “crieur de journaux”. Un métier passionnant dont il se lasse vite pour s’engager, malgré les objurgations familiales, chez les “pilleurs d’huîtres”. Toutes les nuits, il prend la mer et, à la lueur de quelques falots, joue à cache-cache avec les garde-côtes. A 16 ans, il est le “roi des parcs à huîtres”.
Presque sans transition, il abandonne le pillage pour s’engager sur une barque de gardes-pêche chargés de lutter contre la contrebande du poisson. Cela ne l’amuse qu’un temps. Il écrit à sa sœur Elisa : “La vie est trop monotone et les contrebandiers trop timides (…). J’en ai assez ! Véritablement, j’en ai assez !”
Il veut du mouvement. Il veut de la vie et de l’aventure. Il en trouve sur le “Hurton”, un trois-mâts en partance pour le détroit de Behring et le Japon pour la chasse aux phoques. Au retour, il montre à sa mère le carnet de no-
tes où il a consigné les pittoresques détails de son voyage. Le “Morning Call” offrant un prix à la meilleure nouvelle écrite par un jeune lecteur, la mère de Jack, Flora London, a l’idée d’adresser les notes remaniées au journal. Jack se met au travail et remporte le premier prix.
Il en est heureux. Il l’est moins, en revanche, du “job” qu’il vient de décrocher chez Walter Bunkam and Son, des fabricants de jute qui ont pignon sur rue. Il écrit à son père : “Si cela continue comme ça, je pourrai bientôt rédiger un dictionnaire complet sur les métiers et professions !”
Il ne se trompe pas : lassé du jute, il devient pelleteur de charbon et se fait reprendre par ses camarades parce qu’il en fait trop et que ça risque de donner des idées à la direction… Ecœuré, London laisse tomber le pelletage et prend la route avec des milliers de chômeurs en marche vers Washington. Arrêté pour vagabondage, il est jeté en prison.
Libéré — il a 19 ans — il rentre en Californie et retourne à l’école ! En travaillant 18 heures par jour, il prépare son entrée à l’université de Berkeley. Il est admis en 1896. Il ne va pas y faire long feu. En 1897, on le retrouve comme ouvrier dans une blanchisserie. Et puis, le 21 juillet de la même année, c’est le grand saut : il part comme chercheur d’or au Klondike (Canada). Il y attrape le scorbut et n’en rapporte même pas 5 grammes d’or…
En 1898, il est portier au lycée d’Oakland et collaborateur du bulletin littéraire de l’école.
Pour améliorer son maigre salaire, il adresse à un hebdomadaire californien le récit de son expérience de chercheur d’or. On le lui refuse. Il écrit alors une nouvelle. Miracle !
Le “San Francisco Times” la publie et lui en donne cinq dollars. Et tout se débloque : un magazine lui demande un récit qu’il paye quarante-cinq dollars et, en 1900, paraît “Le Fils du loup”, recueil de récits sur le Grand Nord, qui rencontre un grand succès.
D’autres livres suivront. A commencer par “L’Appel de la forêt” qu’il vendra aux éditions MacMillan pour deux mille dollars. Il ne touchera ainsi plus un cent pour un livre qui se vendra par la suite à des millions d’exemplaires…
Attaché au groupe Hearst, il est envoyé en Corée pour ” couvrir ” la guerre sino-japonaise. Il y sera un des correspondants de guerre les plus casse-cou de l’histoire de cette honorable profession. Au point d’étonner les Japonais pourtant blasés en la matière.
De retour, il publie “Le loup des mers”, “Croc-Blanc” et “Les Vagabonds du rail”. Avec les revenus de “Croc-Blanc”, il se fait construire un bateau, “Le Snark”, et part, en avril 1907, faire le tour du monde. C’est une croisière de cauchemar mais London trouve le temps d’écrire, entre deux avaries, “Martin Eden”. A Hawaï, il tâte du surf (un sport qu’il importera aux USA). A Molokaï,
il visite les lépreux (en souvenir de Stevenson qui y était venu vingt ans avant). Aux îles Marquises, il se bagarre dans un bar. Aux Nouvelles-Hébrides, il attrape malaria et fièvre jaune. A Sydney, “Le Snark” est vendu comme bateau négrier…
Revenu dans son ranch, il n’a plus qu’une idée : repartir. L’occasion lui en est donnée avec l’aventure mexicaine d’un corps expéditionnaire US envoyé au Mexique pour balayer une petite révolution marxiste. Ce sera son tout dernier grand reportage.
Le 22 novembre 1916, son domestique chinois, Lu-Whan, entre dans sa chambre pour le réveiller. Jack London ne se réveillera plus. Celui qui expliquait : “Je suis toujours absolument préoccupé par la question qui me passionne dans l’immédiat”, était allé rejoindre, au pays des chasses éternelles, les amis des oies sauvages.
Alain Sanders
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lesombresdeschoses · 2 years ago
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CONFIDENCES
London. Kensington.
Les doutes, toujours ces doutes qui l'assaillent. Cette tendance qu'elle a de se détruire. Et cette incapacité à se lier sérieusement avec les gens, à construire une relation saine avec une personne. Tout ceci ébranle sérieusement sa confiance en elle... et ces voix...
— Je deviens dingue, les choses autour de moi me semblent irrationnelles, y'a des trucs bizarres qui se passent, je déraille, je ne sais plus trop...
Un long silence s’installe dans la pièce, le psy la regarde comme pour lui dire « finissez ».
— J'entends des voix.
— Je le sais ça, mais vous n'êtes pas folle.
Mortensen le regarde, d’un air dubitatif.
Un psy qui veut pas m'enfermer ?! Ça veut dire quoi ça ?!
— Vous reconnaissez avoir un problème, vous avez conscience que ça ne va pas... Mais vous tournez en rond.
L’ex-flic prend soudainement confiance :
— Il y a quelques semaines, j'ai mené une enquête dans une maison étrange... quand on y rentre on se sent oppressé, comme si quelqu’un vous voulait du mal… pas votre mort, pire. Je ne sais pas quoi… impossible à définir… le bâtiment est vide, pourtant... J’y entendait des chuchotements, parfois… pas les voix dans ma tête, ça provenait des murs… ou... en fait, j'avais l'impression qu'il y avait l'enfer sous le plancher. Je ne suis pas croyante, mais dans mon métier, j'avoue que des fois je suis tentée de... croire... en tout. Enfin, je n'ai pas le choix... Je n'ai pas envie qu'on me prenne pour une mystificatrice ! Mais mon boulot c'est le bizarre... Et je le résous. Enfin quand je peux... En ce moment il n'y a rien de particulièrement étrange, juste ce tueur en série qui me castre le citron ! Et cette baraque…
— Vous avez quitter la police après votre accident. Vous m’avez dit ne vous souvenir de rien, des événements qui s’étaient produits alors.
— Je me suis réveillée à l’hôpital, puis j’ai ouvert mon agence. Le reste est flou. Les causes me sont inconnue, jusqu’à présent. J’ai beau chercher, c’est le néant.
— Vos hallucinations auditives peuvent provenir d’un effort de votre cerveau pour restaurer votre mémoire...
J'ai l'impression de vivre ce que je rêve et de rêver ce que je vis.
Sortant de chez le psy, Law se sent vidée. Elle traverse le corridor noyé dans la pénombre. Brusquement, es oreilles se mettent à bourdonner.
Non, pas ces voix, encore !
Des pas nets, résonnent dans la tête de l'ex-inspectrice. Comme en plein songe, elle voit quelqu’un marcher le long d’un couloir blanc. Soudain, Mortensen discerne des gémissements, des respirations saccadés, presque inaudibles, assourdi par le brouillard dans son esprit. Le son monte en crescendo. Les pas résonnent. Petit à petit, un sourd battement de cœur s'ajoute aux bruits. Les coups de talons, en fond, comme un écho lointain, se mêlent au rythme cardiaque. Se confondent. S’embrouillent. Lui tournent la tête. Les claquements s’éloignent, se mettent en phase avec les battements de cœur soudainement étouffés par un bourdonnement. Comme lors d'une strangulation. Law tente de s'agripper au mur. Elle s'affale sur le sol. La vision de cet enfant de treize ans, se faisant violenter par trois hommes en uniforme, lui fait perdre la tête. Elle sort son arme, puis tire une rafale sur ces infâmes individus. La lumière devient blanche, éblouissante, le fond sonore disparaît, soudain. Le silence envahit les lieux.
L’ex-flic gît inanimée sur le sol du couloir de l'étrange maison du psychologue.
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librairiemelodieensoussol · 2 years ago
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Bonjour à tous
Collectionneur et passionné de vhs depuis les années 90 j'en ai fait mon métier et vous pouvez me retrouver sous le nom de Librairie Melodie en Sous-Sol 
Tous les films ont été testés avant d'être mis en vente et fonctionnent bien !
Pour un envoi vers international merci de me contacter avant svp
Edition en très bon état
Polygam Music Video
A contemporary musical entertainment for television
10 titres
A One Man Show is a long-form music video collection featuring Jamaican singer #GraceJones, released in 1982. The video mainly consists of music videos, with some concert footage filmed when Jones was touring with the eponymous tour.
The video partly captures live performances of Jones' A One Man Show tour which was filmed at London's Drury Lane Theatre and at the Savoy Theater in New York City in 1981. It includes six songs performed live on stage, mostly from the Warm Leatherette and Nightclubbing albums, plus four studio music videos. The show's intro is a photo montage of some of the most famous images of Jones from the late 1970s and early 1980s, including the "tiger in a cage" portrait and the "arabesque" photo.
#librairiemelodieensoussol  #melodieensoussol
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popbee · 4 years ago
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這個低調優雅的英國品牌,成為了凱特王妃的手袋新寵!
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你有聽過 Melissa Morris 這位設計師嗎?在奢侈品界之中,她可謂相當低調,但其品牌 Métier London 的名氣卻不容小覷。在 2017 年創立的 Métier London,以精益求精和實用為原則,捨棄鮮明的名牌 logo,將重心放於優秀工藝和永恆設計,就連 Kate Middleton 和 Nicole Kidman 也是它的粉絲。
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凱特王妃 Kate Middleton 日前乘搭火車展開巡訪之旅,就帶上了 Métier London 的手袋—Roma bag,簡潔的梯形袋身配上金屬鏈條,很貼合她含蓄典雅的形象。除了王妃之外,建築師、律師等專業人士也認為 Métier London 的手袋是一生的投資。Melissa Morris 設計時會考慮每個細節,務求全都具有功能性,而不是空有外表的裝飾。
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Melissa Morris 認為現今很多手袋都聚焦於搶眼的 logo,而且為了季度趨勢而犧牲品質,她希望自己的品牌不會如此,更形容她的理想客戶就是像 George 和 Amal Clooney一樣,有著永恆而優雅的風格。
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延伸閱讀: >王室穿搭靈感:凱特王妃用一條愛裙,穿出濃濃的節日氣氛! >這個 Zara 水桶包到底有何魅力?受日本女生熱搶,售罄後再補貨! >盡顯知性氣質:Bottega Veneta 這款單肩包,是 It Bags 收藏的低調一員!
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ao3feed-ineffablehusbandz · 2 years ago
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The View From Above
The View From Above
by CopperBeech
The aftermath of a rather ordinary case becomes increasingly extraordinary.
And John isn't sure which fork to use.
"Mr. Fell,” said Sherlock, in a tone suggesting doubt that that was the man’s real name. “Noticing things is my métier. Such as small hand gestures. When one has eliminated the impossible – such as a succession of extraordinary and highly favourable coincidences in the space of a single evening – whatever remains, however improbable, must be the explanation.”
Words: 4168, Chapters: 1/1, Language: English
Fandoms: Sherlock (TV), Sherlock Holmes & Related Fandoms, Good Omens - Neil Gaiman & Terry Pratchett, Good Omens (TV)
Rating: Teen And Up Audiences
Warnings: No Archive Warnings Apply
Categories: M/M
Characters: John Watson, Sherlock Holmes, Mrs. Hudson (Sherlock Holmes), Rosamund Mary "Rosie" Watson (mention), Original Human Character(s), Fereydoon The Maitre d' at the Ritz
Relationships: Aziraphale/Crowley (Good Omens), Sherlock Holmes/John Watson, Aziraphale (Good Omens) & Sherlock Holmes
Additional Tags: Established Sherlock Holmes/John Watson, Established Aziraphale/Crowley (Good Omens), So Married, Dining at the Ritz (Good Omens), Class Issues, Miracles, John Is A Lightweight, The London Eye - Freeform, Post-Case, Jealous Crowley (Good Omens), Insecure John Watson, Domestic Fluff, POV John Watson, POV First Person, mild crack
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variation-magazine · 4 years ago
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Happy Birthday à l’icône JANE BIRKIN qui aujourd’hui fêtait avant hier 🍾 ses 74 ans. Née le 14 décembre 1946 à Londres, 🏴󠁧󠁢󠁥󠁮󠁧󠁿 jane est la britannique la plus chère aux ❤️ des français ! Lorsqu’elle débarque à Paris en 1968 avec ses grands paniers 🧺 d’osier, son accent délicieux et sa fraîcheur estampillée Swinging London, elle ne tarde pas à se faire remarquer par le métier et par un certain Serge Gainsbourg qui devient une vite son pygmalion et son compagnon. À la faveur des compositions de Gainsbourg la chanteuse s'ancre dans le patrimoine musical français, et devient parallèlement comédienne à succès dans des comédies qui font les beaux jours du cinéma 🎥 français... En 1978, elle enchaîne avec trois films de Jacques Doillon dont "La Pirate" qui conforte son statut d'actrice talentueuse et lui permet de jouer sous la direction de réalisateurs reconnus comme Rivette, Varda ou encore Godard. Doillon viendra à son tour son nouveau compagnon après sa douloureuse séparation avec Serge. Côté chansons, Birkin a connu un grand succès avec ses albums Versions Jane et Arabesque, où, reprenant des chansons que Serge Gainsbourg lui avait écrites (ou qu’il avait écrites pour d’autres), elle devient la première ambassadrice de l’auteur-compositeur après sa mort en 1991. Elle enchaîne alors les tournées mondiales avec un grand succès. Bien normal !!! Plus rare aujourd’hui, elle reste toujours l’une des personnalités préférées des Français ❤️
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WALK, WALK, FASHION BABY | For her bridal-like look at Westminster Abbey, the Duchess of Cambridge elected to wear a white lace Catherine Walker coat, the ‘Valeria’. She teamed the coat with her Métier London ‘Mini Roma’ clutch and what is believed to be either Jimmy Choo ‘Romy’ heels or Gianvito Rossi heels. Catherine also wore her classic Annoushka Pearl Drop earrings on her Kiki McDonough Diamond and Gold hoops, while she swapped her Amaia Kids face masks for a disposable one. She also wore her hair in a half up/half down style, as she did on her wedding day
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dwellordream · 3 years ago
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“As with monasteries and military orders, guilds and confraternities enshrined notions of brotherhood in their regulations and records. These organizations frequently were called fraternities (fraternitates, confréries, Brüderschaften, among many other terms), and their members were brothers (fratres, confrères, Brüder). For example, the Cologne textile guild registered its members’ names as “brother of the brotherhood” [bruder der bruderschaft]. …A letter book of the city of London records that in 1417, the Fraternity of Yeomen Tailors of London sought permission from the mayor and aldermen to gather to commemorate “the brethren and sisters of their fraternity deceased.”
This nomenclature reinforced the sense that each member was to think of his fellows not just as members of a social group, fictive kinship group, or even surrogate family, but as his brothers, a far more specific relationship.The language of fraternity employed by these guilds also served to define an ideal to which the members should aspire, built on the qualities of fairness, respectability, charity, and care after death. Idealized brotherhood was thus a model and a metaphor for guildsmen, and both uses testify to its influence on the medieval imaginary.
It is evident from surviving guild regulations that the members were to treat each other with fairness and respect in matters relating to the guild itself, to the exercise of their craft, and to each other. Brothers of the garment-cutters’ fraternity of Stendal were not permitted to cut cloth in their houses, on pain of ejection from the fraternity, as doing so would have offered an unfair competitive advantage over the other members of the guild.
The curriers of London emphasized loyalty in the opening statement of their late fourteenth-century regulations, declaring, “This is the charge of the oath of the brotherhood: whatever man that is received in it shall be good and true thereto.” In the event of a conflict between guild members, guild regulations delineated the procedure for attaining a fair and equitable resolution, as in the ordinances of the pouchmakers of London: “Also if any discord falls between any of our brethren, which God forbids, the parties shall come to the wardens and show their grievance, and the wardens shall do their diligence to bring them to a fair accord.”
The ideal brotherhood of the guilds included support of fellow guild brothers, who might easily fall on hard times in the “great wars, famines, and mortalities and other pestilences” of the age. The guild of St. Katharine in Norwich provided for the needs of impoverished members by requiring that “if any brother or sister falls into poverty, through accident of this world, his condition shall be helped by every brother and sister of the guild with a farthing a week.” The fraternity of carpenters in London included a similar measure, as well as one that provided financial aid for “any brother or sister who might fall into ... sickness or any other disease ... making it so that he may not help himself.” The belt makers of Paris stipulated that “if any orphan is poor and the child of a belt maker, and he wishes to learn the craft, the masters will be required to supervise him in the said craft,” for which they would receive funds from the confraternity.
The spiritual life of the guild members and the health of their souls were key concerns for the confraternities associated with Paris’ métiers as well as those of fourteenth-century England. The confraternity of the embroiderers was to perform “at the hôtel of the confraternity, in the church of Saint Opportuna in Paris, a low mass, for those [of the craft] and their successors.” The Parisian fullers’ confraternity received dues and fines from the craftsmen for “masses, candles, and its other business,” and the grain haulers’ confraternity of the Virgin Mary and St. Louis was charged with performing three masses each week. Its members were to meet annually to decide on “what they could [do] for the health of their souls.” …Norwich’s guild of St. Katharine required that “all the brothers and sisters shall come to the aforesaid church [of St. Simon and St. Jude], and there sing a requiem mass for the souls of the brothers and sisters of this guild, and for all Christian souls, and each offer there a farthing.”
Just as guild brothers aided each other throughout life and in the afterlife, they were expected to support each other at the moment of death. A twelfth-century German carpenters’ guild stipulated that whatever man or woman of the fraternity [fraternitatis] should depart this life, there will be given for his obsequies at death four pounds of wax; and for his vigil, six men, who will watch diligently, are appointed; and to his burial the men and women who are of the fraternity [fraternitatis] shall all be compelled to come. …In the event that a deceased member could not afford burial, some confraternities were prepared to pay the costs from the organization’s treasury, thereby underlining the importance placed on caring for the members..
The recurrent references to brothers and brotherhood found in guild ordinances show the extent to which the language of brotherhood was embedded within craftworker society throughout northwestern Europe. It is possible, of course, that the terms “confrère” and “confrérie,” for example, lost their familial specificity at some point during the Middle Ages, just as our “borough” no longer signifies a fortified town and “decimate” no longer means to kill one-tenth of a group. I suggest, however, that the guild members who used the terms of fraternity would have recognized the connection of “confrère” and “confrèrie” to the brothers and brotherhood of the family, just as we understand that “borough” refers to a town (if not fortified) and “decimate” involves death or destruction (if not at a precisely mathematical rate).
While the milieu of the craftworker was, in most respects, quite different from that of the martial elites who are the focus of this dissertation, guildsmen and noblemen alike (in theory) lived within the fellowship of Christian brotherhood. The guilds’ extensive use of the language of fraternity in guild statutes simply shows the ubiquity of that language, and the ideal of brotherhood, in medieval life. For craftworkers, ideal brotherhood was to be fair, honorable, charitable, and faithful even after death, making it much like the ideals in the religious and elite martial contexts.”
- Cameron Wade Bradley, “Brotherhood at Work: Guilds and Confraternities.” in Between Brothers: Brotherhood and Masculinity in the Later Middle Ages
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