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quokkabite · 18 days
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hi hi hi !!! these are the headers i made a million years ago for look up to the stars đŸ«Ł if! you still wanna match when the time comes đŸ™‚â€â†•ïž
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ofc completed with matching quokkas <33
in LOVE!! he’s just a Guy 😭 that man does not belong in the apocalypse 💀
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akithespacecorgi · 1 year
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ThÚme #5 (header + avatars) pour Backbone.
Blottis sous l’aile des Reaper’s Crows, San Diego s’anime, s’agite, thĂ©Ăątre de millions de vies qui s’élancent dans toutes les directions. Celle du Ring oĂč se dĂ©roulent des combats illĂ©gaux rĂ©sultant en gloire comme en argent. Celle des locaux de The Asso oĂč on panse ses blessures, milite et se soutient mutuellement pour une San Diego meilleure, une San Diego moins criminalisĂ©e. Celle des petits malfrats, des gangs, qui labourent de leurs griffes l’Underground, Ă  la recherche de richesses. Celle des motards, celle des corbeaux et du cuir, gardant autant captive que protĂ©gĂ©e cette ville qui les abrite tous. Celle des gens qui n’ont rien demandĂ©, qui mĂšnent leur vie en louvoyant, s’ils le peuvent, loin de tout ce bordel, dans l’espoir que la phrase “ça n’arrive qu’aux autres” continue de s’appliquer Ă  leur cas.
City basĂ© Ă  San Diego, USA — Contexte entourant un club de motards criminalisĂ©s, des combats illĂ©gaux et des luttes sociales — forum privĂ© (inscription sur invitations seulement) — 18 ans et + — Forum Ă  avatars rĂ©els — aucune contrainte de mots — aucune exigence d'activité — systĂšme de TW obligatoire.
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abaddoncreation · 4 years
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GRAPHTOBER - JOUR 14
@graphtober @itsamooncalf
On continue notre voyage dans l’univers de Naruto ? Aujourd’hui c’est Konoha, le village cachĂ© de la feuille, au pays du feu, qui est Ă  l’honneur, mais plus particuliĂšrement Kyubi alias le biju avec le plus de swagg quand mĂȘme -non en vrai ils sont tous ultra swag mais l’amitiĂ© entre Naruto et Kurama (ben oui, c’est son prĂ©nom, autant l’appeler comme ça) elle est juste magnifique. D’ennemis qui se dĂ©testent parce qu’ils sont obligĂ©s de cohabiter l’un avec l’autre alors qu’ils se pourrissent mutuellement l’existence, ils deviennent uneÂ â€œĂ©quipe” soudĂ©e et qui lutte pour les mĂȘmes idĂ©aux. ET ÇA C’EST BEAU ! 
Mine de rien la semaine avance vite c’est ouf ... D’ailleurs, ceux qui sont tentĂ©s peuvent me suivre sur instagram : abbadon.world 
Ce header est dispo si quelqu’un est Ă©ventuellement intĂ©ressĂ© !
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reseau-actu · 5 years
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Le chef des ateliers de l’ƒuvre Notre-Dame dĂ©voile les nombreuses tĂąches qui assurent la pĂ©rennitĂ© de la cathĂ©drale de Strasbourg. 
Propos recueillis par François-Guillaume Lorrain
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PrĂ©cision. Une tailleuse sculptrice des ateliers de l’OND travaille une pierre de grĂšs rose.
LiĂ©e depuis plusieurs centaines d’annĂ©es Ă  la commune de Strasbourg, l’ƒuvre Notre-Dame (OND) est une institution laĂŻque unique en France. D’abord chargĂ©e de collecter les dons pour reconstruire la cathĂ©drale au XIIIe siĂšcle, elle a entretenu le monument au fil du temps. Le chef de ses ateliers, FrĂ©dĂ©ric DegenĂšve, nous dĂ©crit l’immensitĂ© de ce labeur. 
Le Point : Quelles sont les principales tĂąches que comprend l’entretien d’une cathĂ©drale ? 
FrĂ©dĂ©ric DegenĂšve : Il y a d’abord l’entretien courant. Toutes les semaines, une zone du monument est dĂ©signĂ©e. Cette veille sanitaire englobe le nettoyage, la lutte contre les fientes de pigeon, qui altĂšrent le chromatisme – nous posons des raquettes, ces grilles qui interdisent l’accĂšs aux volatiles – et le dĂ©bouchage des gargouilles afin d’éviter les inondations. Pour les travaux plus importants – les phases de restauration –, un calendrier est Ă©tabli pour les dix annĂ©es Ă  venir sur la base de l’état sanitaire dressĂ© par l’architecte en chef des Monuments historiques. Le dernier date de 2014. Depuis six ans, nous avons ainsi entamĂ© la restauration de la façade sud du bras sud du transept. Ce chantier n’a pu ĂȘtre ouvert qu’aprĂšs une Ă©tude prĂ©alable sur Ă©chafaudage puis validation d’un projet architectural et technique. Fin 2020, nous passerons au portail Saint-Laurent – façade nord du bras nord du transept – puis Ă  la tourelle d’escalier sud-est de la haute tour. Une cathĂ©drale est un chantier permanent. 
Quels sont les métiers mobilisés ? 
Ils se rĂ©partissent sur trois domaines. La taille de pierre, d’abord. Un appareilleur prĂ©pare les dessins et les gabarits pour le tailleur, qui reçoit les blocs de grĂšs sciĂ©s au prĂ©alable dans nos ateliers de la Meinau. Il travaille sur les parements, les pinacles, les meneaux, les trumeaux
 Quant Ă  la pierre elle-mĂȘme, on pense souvent qu’il s’agit d’un grĂšs vosgien uniformĂ©ment rose. En rĂ©alitĂ©, nous avons hĂ©ritĂ© d’une cathĂ©drale bariolĂ©e : on y trouve du grĂšs jaune, rose, rouge, rouge bigarrĂ©. C’est un grĂšs Ă  meule Ă  grains fins qui permet d’affiner la rĂ©alisation des sculptures. Ces grĂšs proviennent de carriĂšres privĂ©es des Vosges, Adamswiller et Niderviller. La France n’ayant plus de grĂšs jaune, nous le faisons venir d’Allemagne. Nos tailleurs empruntent soit la filiĂšre professionnelle, soit le compagnonnage. 
Le deuxiĂšme domaine est celui des sculpteurs, qui travaillent d’aprĂšs des modĂšles en plĂątre. Le troisiĂšme regroupe les mĂ©tiers de conservation : ainsi, l’atelier du serrurier-forgeron entretient les outils. Outre le compas, l’équerre, la pointe Ă  tracer et la massette (petit marteau), outils qui n’ont qu’une valeur opĂ©rative et non spĂ©culative, nos tailleurs et sculpteurs utilisent la polka – un outil Ă  percussion lancĂ©e dont l’usage, perdu au XIVe siĂšcle, a Ă©tĂ© retrouvĂ© il y a vingt ans grĂące Ă  l’observation des aspects de taille sur la cathĂ©drale – et des ciseaux que le grĂšs, trĂšs abrasif, use, mĂȘme si nous leur avons ajoutĂ© une pastille de tungstĂšne. Enfin, nous conservons le grĂšs. 
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Vidéo. « Le secret des cathédrales : Strasbourg » (« Le Point »).
Comment procédez-vous ? 
Le principal danger provient des jointures en ciment, placĂ©es dĂšs la fin du XIXe siĂšcle. AprĂšs la pluie, l’eau ressort du grĂšs, plus tendre que le liant ; elle transporte du sel qui se cristallise et chasse les grains de la pierre. On dessale le grĂšs, on regarde si une reconstitution est nĂ©cessaire, on applique une patine d’harmonisation, puis on pose un nouveau joint composĂ© de chaux et de sable comme au Moyen Age. Le grĂšs est malade, fatiguĂ© : nous pratiquons une mĂ©decine de la pierre. 
Faites-vous tout à la main ? 
C’est la spĂ©cificitĂ© de l’ƒuvre Notre-Dame. Contrairement aux entreprises privĂ©es opĂ©rant sur de nombreux autres chantiers de cathĂ©drale que leur confie l’Etat – y compris parfois Ă  Strasbourg –, nous ne nous servons pas de percuteur pneumatique. L’OND appartient Ă  un rĂ©seau de 18 ateliers de cathĂ©drale en Europe – Allemagne, Suisse, Autriche, NorvĂšge – qui a dĂ©posĂ© dĂ©but 2019 un classement de ses savoir-faire Ă  l’Unesco. La rĂ©ponse est prĂ©vue fin 2020. Il faut savoir que l’automatisation arrive dans nos mĂ©tiers, avec des robots cinq axes qui imitent nos gestes. 
De quelles références disposez-vous pour travailler ? 
Les sculpteurs peuvent s’inspirer de la cathĂ©drale ou de notre gypsothĂšque (plĂątre, ornementation), la plus vaste de France, qui contient plus de 5 000 moulages faits sur le monument, ainsi que de notre glyptothĂšque (statuaire). Nous avons aussi une photothĂšque (5 500 plaques de verre rĂ©alisĂ©es au milieu du XIXe siĂšcle, que nous numĂ©risons) qui nous permet de recouper certaines diffĂ©rences, avant et aprĂšs les retouches de la fin du XIX e. Enfin, cas unique en France, nous disposons d’un trĂšs grand dĂ©pĂŽt lapidaire : 2 000 piĂšces anciennes de la cathĂ©drale dĂ©posĂ©es Ă  partir de 1850. D’ordinaire, l’Etat conserve trĂšs rarement les piĂšces dĂ©posĂ©es. AprĂšs avoir restaurĂ© systĂ©matiquement pour remplacer par des copies, notre politique depuis 2000 est de maintenir au maximum l’élĂ©ment d’origine, donc de dĂ©poser le moins possible. 
Qui s’occupe des vitraux ? 
L’Etat, propriĂ©taire de l’édifice, confie cette mission Ă  une entreprise, qui les restaure puis pose des verriĂšres pour les protĂ©ger de la grĂȘle et des intempĂ©ries. Il s’agit d’un verre blanc redĂ©coupĂ© sur le dessin d’origine, placĂ© Ă  4 centimĂštres devant le vitrail afin de permettre la circulation d’une lame d’air. Sinon, le manque d’air chaufferait le vitrail. 
Diriez-vous que vous travaillez dans l’esprit du Moyen Age ? 
Plus sans doute que dans les ateliers privĂ©s, car nous disposons de temps. L’OND, c’est un Ă©tat d’esprit, une philosophie. Mais tous ceux qui entretiennent les cathĂ©drales utilisent des savoir-faire ancestraux qu’ils remettent sur le mĂ©tier. Ne parlons pas de secrets. Nous sommes discrets, pas secrets. La cathĂ©drale est un objet, mais c’est aussi un outil pour perpĂ©tuer ces savoir-faire.§
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ghjattuneru-blog · 7 years
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Presse et PlĂšbe.
Ils sont drĂŽles les Bernard, les Maurice, les Yann et autres Franz qui bien installĂ©s Ă  la terrasse d’un cafĂ© parisien se la jouent grands humanistes tout en observant avec mĂ©pris les pauvres badauds ont eu outrecuidance de traverser le Boulevard Saint Germain Ă  pieds. Parce que oui, il ne faut surtout pas gĂącher la vue de ces Zarathoustra de l’audiovisuel.
Ils sont drĂŽles, mais ils font aussi peur, car contrairement Ă  vous, Ă  moi, leurs paroles sont Ă©coutĂ©es, rĂ©Ă©coutĂ©es, puis rĂ©pĂ©tĂ©s tels des sĂ©maphores. Il y a encore quelques mois, je me demandais vraiment si Messire Moix pensait rĂ©ellement pouvoir reprĂ©senter la “vraie” France... Pendant quelques secondes, je me suis dit que la bĂȘtise, de sa Vanessa – qui n’a vraiment rien d’un Paradis – lui avait donnĂ© envie de se relancer dans le cinĂ©ma. Puis j’ai rĂ©alisĂ© que le bougre Ă©tait sĂ©rieux, qu’il prenait rĂ©ellement les Communards pour de vulgaires preneurs d’otages. Ce brave Monsieur Ă  la tĂȘte encore plus enflĂ©e qu’une baudruche, ferait mieux de faire quelque chose qu’il ne fait pas souvent : une autocritique. Car en 2017, les seuls Ă  prendre le peuple de France en otage, ce sont ceux qui comme lui et sa chĂšre collĂšgue gloussent bĂȘtement en entendant les mot “licenciement” et qui se comportent de façon totalement indĂ©cente lorsqu’ils reçoivent un ouvrier, un homme du peuple, bref, un français, un je pourrais mĂȘme dire un “vrai” français, puisque cet adjectif semble si important pour lui et qu’apparemment d’aprĂšs ce journaliste, il existe de vrais et de faux français.  
Dans ce monde ou l’apparence et la notoriĂ©tĂ© comptent plus que le fond et la forme, il vaut mieux ĂȘtre un mec hautain en costard, plutĂŽt qu’un prolo en polo. C’est triste. Le Capital a fini par changer le vieil adage, dĂ©sormais c’est l’habille qui fait le moine. Le Chevalier enfilait son armure pour partir au combat !? Pas de soucis ! Dans un souci de continuitĂ© historique, les pseudo-journalistes et les financiers eux, enfilent leurs plus beaux vestons pour prĂȘcher des bĂȘtises ou signer de juteux contrats.  Aujourd’hui les guerres ne se rĂšglent plus Ă  coups de lances, non, plus que jamais ce sont des coups de stylos qui dĂ©cident de l’avenir des peuples. Les libyens et les syriens seront apprĂ©ciĂ©s

Triste France que celle de cet Emmanuel 1er, pourtant tant apprĂ©ciĂ© par les mĂ©dias Ă©trangers qui semblent ĂȘtre tombĂ©s sous le charme de son beau sourire et de ses virils effusions. Cela dit il est important de lutter, pour rĂ©tablir l’ordre des choses, pour rappeler que non, un simple travailleur vaut autant qu’un politicien qui a Ă©tĂ© formĂ© Ă  diriger, que dis-je Ă  rĂ©gner. Mettons l’économie et tout ce qui va avec de cĂŽté  Pour reprendre la lutte, pour enfin pouvoir parler du fond, il est extrĂȘmement important de remettre les choses Ă  leurs places et donc de mettre l’Humain d’Abord ! Contrairement Ă  ce que s’imaginent certains, cette petite phrase, n’est pas qu’un cri d’Insoumission, c’est avant tout un cri de ralliement, car tout comme l’ĂȘtre humain, elle n’appartient Ă  personne

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joursapresjours · 4 years
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MdLC : 1er baiser
Jour 46 ; 03 mai 2020
ScÚne 1 : RDV bibliothÚque / Premier baiser
Je me suis mise au travail dĂšs que je suis rentrĂ© Ă  la maison. Je faisais beaucoup de couture pour le magasin de mon pĂšre. J’avais une grande libertĂ© dans ma façon de gĂ©rer mon temps. Je me sentais un peu coupable de prendre du temps et du matĂ©riel pour faire ça. Mais je m'Ă©tais engagĂ© auprĂšs du petit.  
Trois jours plus tard, j’avais finie le corset du petit. J’y avais passĂ© beaucoup de temps pour ĂȘtre honnĂȘte, et j’avais un peu empiĂ©tĂ© sur mes nuits. Surtout que je voulais continuer Ă  faire quelques sacs pour le magasin, je ne voulais pas que l’on me voit travailler et ne pas sortir des trucs.
Je suis allĂ© au cimetiĂšre le soir mĂȘme. Je voulais dire Ă  Iris que j’avais finie le travail qu’elle m’avait confiĂ©. C'Ă©tait un peu bĂȘte, mais je voulais lui montrer de quoi j’étais capable et que moi aussi j’étais capable de bonnes actions. J’avais un peu l’impression qu’elle Ă©tait prise dans une lutte pour sauver tout les dĂ©favorisĂ© de la ville, et je l’admirais beaucoup pour ça.
Je me suis rendu dans l’appartement oĂč vivait la famille.  J'espĂ©rais qu’Iris aurait reçu mon message et viendrait m’y rejoindre. Quand je suis arrivĂ©, elle n’était pas la. J’ai essayĂ© de ravaler ma dĂ©ception, aprĂšs tout elle avait surement mieux Ă  faire que de venir me voir parader.
Je suis montĂ© faire les ajustements sur le petit. Ça a durĂ© une heure, mais ils Ă©taient tous ravie Ă  la fin. Le petit avait un corset qui ne lui faisait plus mal, il allait pouvoir grandir droit. Quand je suis sortie j’ai vue Iris qui m’attendais, adosser au mur de l’immeuble d’en face. Elle portait un large pantalon de toile et une chemise en flanelle. Elle Ă©tait magnifique. Quand je l’ai vue j’ai crue que j’allais avoir une crise cardiaque tellement elle Ă©tait belle. - Ça a bien marché ? - Oui, ça va, j’ai rĂ©pondu. Ça devrait tenir un bout de temps. Elle Ă  hocher la tĂȘte, pensive. - Tu veux aller te promener avec moi ? J’ai un peu de temps libre.
On est allé sur les abords des murailles, des endroits que je connaissais absolument pas. On est arrivé dans une vieille bùtisse abandonné. Les murs était en briques rouges et les plantes envahissait tout le pourtour.
- C’est une ancienne bibliothĂšque, m’a-t-elle expliquĂ©. À l’époque tout le monde pouvait venir lire des livres gratuitement ici. Ça a Ă©tĂ© fermer il y a 5 ans. - Parce que ce n’était pas rentable ? Si tout le monde peut lire gratuitement
 - Ho, toi. Tu penses vraiment que tout passe par l’argent ? Non, ça marchait bien, les gens faisait des dons, en argent ou en nature, au gĂ©rants, ce qui leurs permettait de vivre. Mais ça a Ă©tĂ© fermer par le gouvernement, soi-disant pour incitation Ă  la haine. Mais c’est surtout qu’il ne supportait pas que les gens se cultive sans passĂ© par eux. - Tu y crois vraiment ? - Oui, j’en suis convaincue. - C’est affreux quand on y pense. Pourquoi les gens ne pourrais pas s’instruire, c’est stupide. - Parce que plus les gens sont Ă©duquĂ© moins on peut les controlĂ© et surtout plus ils sont Ă  mĂȘme de construire un monde meilleur pour eux mĂȘme.
J’ai regarder le dĂ©cors pour me donner le temps de rĂ©flĂ©chir Ă  ca. La lumiĂšre filtrait par la fenĂ©tre basses. Le silence qui reignait Ă©tait magique.
Iris c’est approchĂ© de moi, tout prĂšs. Je n’ossais plus bouger, mon cƓur battait la chamade. Elle c’est doucement penchĂ© vers moi, avec un regard intĂ©rrogateur. En dĂ©pis de tout bon sens j’ai fermer la distance qui nous sĂ©parait, et je l’ai embrassĂ©. Ses lĂšvres Ă©taient douce et chaude.
J’avais envie de plus, j’avais envie de sentir, sa peau contre mes doigts, de la sentir collĂ© contre moi. J’ai posĂ© ma main sur sa hanche tout en apronfondissant le baisĂ©. Elle Ă  poussĂ© un soupir qui ressemblait beaucoup trop Ă  un gĂ©missement, et je me suis dit que c’était le son le plus magnifique que je n’ai jamais entendu. Je voulais encore entendre ce son, alors j’ai fais tout ce qu’il fallait pour. Je crois que c’était aussi son but de m’entendre, parce que je me suis aussi entendu soupirer.
ScÚne 2 :
Plus tard, dans la nuit, j’étais entendu sur mon lit a repensĂ© Ă  cette journĂ©e et Ă  la proposition que m’avais fait Iris en me raccompagnant chez moi. Il y avait d’autre gens qui aurais besoin de mes talents de couturiĂšre. Si je voulais elle pourrait avoir d’autre projet Ă  me proposer. Elle Ă  bien insistĂ© sur le fait que j’avais le choix de refuser si je le souhaitais, que ça ne nous empĂȘcheraient pas de nous revoir si je disais non. Mais en mĂȘme temps je repensais au petit que j’avais aidĂ©. À son regard plein de reconnaissance et au remerciement sincĂšre de sa mĂšre. Ça faisait un moment que je me disais que le travail que je faisais au magasin Ă©tait un peu futile, dans le meilleur des cas, voir immoral. On fabriquait soi des sacs et autres accessoires pour des gens qui en changeait toute les cinq minutes, ce qui Ă©tait un gĂąchis de ressources que je trouvais assez affreux. J’avais trĂšs envie de me rendre utile, d’aider les gens. Et j’étais ravie d’avoir un moyen de le faire. Et puis je pourrais en apprendre plus sur les thĂ©ories que me sortais Iris. Instinctivement je savais qu’elle avait raison mais j’avais encore du mal Ă  me l’expliquer.
J’ai fini par m’endormir le sourire aux lĂšvres. J’allais lui mettre un mot demain pour qu’elle sache que j’avais pris ma dĂ©cision de l’aider.
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elcaribeno-24 · 7 years
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Le Conseil de l’Arctique : encourager la coopĂ©ration, la prĂ©servation et la prospĂ©ritĂ© dans le Grand Nord
Le Conseil de l’Arctique : encourager la coopĂ©ration, la prĂ©servation et la prospĂ©ritĂ© dans le Grand Nord
Le Conseil de l’Arctique : encourager la coopĂ©ration, la prĂ©servation et la prospĂ©ritĂ© dans le Grand Nord 05/17/2017 11:05 AM EDT
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1 minutes read time L’Arctique est un endroit trĂšs particulier. Sa beautĂ© naturelle grandiose rappelle celle d’une terre que le temps a oubliĂ©e. Toutefois, il ne s’agit pas juste d’une rĂ©serve naturelle, les gens habitent l’
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akithespacecorgi · 2 years
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ThĂšme #4 (header + avatars) pour Backbone.
Blottis sous l’aile des Reaper’s Crows, San Diego s’anime, s’agite, thĂ©Ăątre de millions de vies qui s’élancent dans toutes les directions. Celle du Ring oĂč se dĂ©roulent des combats illĂ©gaux rĂ©sultant en gloire comme en argent. Celle des locaux de The Asso oĂč on panse ses blessures, milite et se soutient mutuellement pour une San Diego meilleure, une San Diego moins criminalisĂ©e. Celle des petits malfrats, des gangs, qui labourent de leurs griffes l’Underground, Ă  la recherche de richesses. Celle des motards, celle des corbeaux et du cuir, gardant autant captive que protĂ©gĂ©e cette ville qui les abrite tous. Celle des gens qui n’ont rien demandĂ©, qui mĂšnent leur vie en louvoyant, s’ils le peuvent, loin de tout ce bordel, dans l’espoir que la phrase “ça n’arrive qu’aux autres” continue de s’appliquer Ă  leur cas.
Contexte entourant un club de motards criminalisĂ©s, des combats illĂ©gaux et des luttes sociales — City basĂ© Ă  San Diego, USA — Forum Ă  avatars rĂ©els — aucune contrainte de mots — Un rp par mois demandĂ© — SystĂšme de trigger warning obligatoire — Zone d'accueil et d'intĂ©gration ouverte aux invitĂ©s.
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