#lutts header
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hi hi hi !!! these are the headers i made a million years ago for look up to the stars 🫣 if! you still wanna match when the time comes 🙂↕️
ofc completed with matching quokkas <33
in LOVE!! he’s just a Guy 😭 that man does not belong in the apocalypse 💀
#i am absolutely giggling at the quokkas#i love them both sm#10/10 no notes fr#jisung’s vibes in the top one are ✨#and i love the barb wire hearts#oh!! you just reminded me hehehe — secret hehehe#also 🤔#of course i want to match with my lakey 😟#lake 🍓#lutts header#idk if this was supposed to be priv so lmk 😭
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Thème #5 (header + avatars) pour Backbone.
Blottis sous l’aile des Reaper’s Crows, San Diego s’anime, s’agite, théâtre de millions de vies qui s’élancent dans toutes les directions. Celle du Ring où se déroulent des combats illégaux résultant en gloire comme en argent. Celle des locaux de The Asso où on panse ses blessures, milite et se soutient mutuellement pour une San Diego meilleure, une San Diego moins criminalisée. Celle des petits malfrats, des gangs, qui labourent de leurs griffes l’Underground, à la recherche de richesses. Celle des motards, celle des corbeaux et du cuir, gardant autant captive que protégée cette ville qui les abrite tous. Celle des gens qui n’ont rien demandé, qui mènent leur vie en louvoyant, s’ils le peuvent, loin de tout ce bordel, dans l’espoir que la phrase “ça n’arrive qu’aux autres” continue de s’appliquer à leur cas.
City basé à San Diego, USA — Contexte entourant un club de motards criminalisés, des combats illégaux et des luttes sociales — forum privé (inscription sur invitations seulement) — 18 ans et + — Forum à avatars réels — aucune contrainte de mots — aucune exigence d'activité — système de TW obligatoire.
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GRAPHTOBER - JOUR 14
@graphtober @itsamooncalf
On continue notre voyage dans l’univers de Naruto ? Aujourd’hui c’est Konoha, le village caché de la feuille, au pays du feu, qui est à l’honneur, mais plus particulièrement Kyubi alias le biju avec le plus de swagg quand même -non en vrai ils sont tous ultra swag mais l’amitié entre Naruto et Kurama (ben oui, c’est son prénom, autant l’appeler comme ça) elle est juste magnifique. D’ennemis qui se détestent parce qu’ils sont obligés de cohabiter l’un avec l’autre alors qu’ils se pourrissent mutuellement l’existence, ils deviennent une “équipe” soudée et qui lutte pour les mêmes idéaux. ET ÇA C’EST BEAU !
Mine de rien la semaine avance vite c’est ouf ... D’ailleurs, ceux qui sont tentés peuvent me suivre sur instagram : abbadon.world
Ce header est dispo si quelqu’un est éventuellement intéressé !
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Le chef des ateliers de l’Œuvre Notre-Dame dévoile les nombreuses tâches qui assurent la pérennité de la cathédrale de Strasbourg.
Propos recueillis par François-Guillaume Lorrain
Précision. Une tailleuse sculptrice des ateliers de l’OND travaille une pierre de grès rose.
Liée depuis plusieurs centaines d’années à la commune de Strasbourg, l’Œuvre Notre-Dame (OND) est une institution laïque unique en France. D’abord chargée de collecter les dons pour reconstruire la cathédrale au XIIIe siècle, elle a entretenu le monument au fil du temps. Le chef de ses ateliers, Frédéric Degenève, nous décrit l’immensité de ce labeur.
Le Point : Quelles sont les principales tâches que comprend l’entretien d’une cathédrale ?
Frédéric Degenève : Il y a d’abord l’entretien courant. Toutes les semaines, une zone du monument est désignée. Cette veille sanitaire englobe le nettoyage, la lutte contre les fientes de pigeon, qui altèrent le chromatisme – nous posons des raquettes, ces grilles qui interdisent l’accès aux volatiles – et le débouchage des gargouilles afin d’éviter les inondations. Pour les travaux plus importants – les phases de restauration –, un calendrier est établi pour les dix années à venir sur la base de l’état sanitaire dressé par l’architecte en chef des Monuments historiques. Le dernier date de 2014. Depuis six ans, nous avons ainsi entamé la restauration de la façade sud du bras sud du transept. Ce chantier n’a pu être ouvert qu’après une étude préalable sur échafaudage puis validation d’un projet architectural et technique. Fin 2020, nous passerons au portail Saint-Laurent – façade nord du bras nord du transept – puis à la tourelle d’escalier sud-est de la haute tour. Une cathédrale est un chantier permanent.
Quels sont les métiers mobilisés ?
Ils se répartissent sur trois domaines. La taille de pierre, d’abord. Un appareilleur prépare les dessins et les gabarits pour le tailleur, qui reçoit les blocs de grès sciés au préalable dans nos ateliers de la Meinau. Il travaille sur les parements, les pinacles, les meneaux, les trumeaux… Quant à la pierre elle-même, on pense souvent qu’il s’agit d’un grès vosgien uniformément rose. En réalité, nous avons hérité d’une cathédrale bariolée : on y trouve du grès jaune, rose, rouge, rouge bigarré. C’est un grès à meule à grains fins qui permet d’affiner la réalisation des sculptures. Ces grès proviennent de carrières privées des Vosges, Adamswiller et Niderviller. La France n’ayant plus de grès jaune, nous le faisons venir d’Allemagne. Nos tailleurs empruntent soit la filière professionnelle, soit le compagnonnage.
Le deuxième domaine est celui des sculpteurs, qui travaillent d’après des modèles en plâtre. Le troisième regroupe les métiers de conservation : ainsi, l’atelier du serrurier-forgeron entretient les outils. Outre le compas, l’équerre, la pointe à tracer et la massette (petit marteau), outils qui n’ont qu’une valeur opérative et non spéculative, nos tailleurs et sculpteurs utilisent la polka – un outil à percussion lancée dont l’usage, perdu au XIVe siècle, a été retrouvé il y a vingt ans grâce à l’observation des aspects de taille sur la cathédrale – et des ciseaux que le grès, très abrasif, use, même si nous leur avons ajouté une pastille de tungstène. Enfin, nous conservons le grès.
dailymotion
Vidéo. « Le secret des cathédrales : Strasbourg » (« Le Point »).
Comment procédez-vous ?
Le principal danger provient des jointures en ciment, placées dès la fin du XIXe siècle. Après la pluie, l’eau ressort du grès, plus tendre que le liant ; elle transporte du sel qui se cristallise et chasse les grains de la pierre. On dessale le grès, on regarde si une reconstitution est nécessaire, on applique une patine d’harmonisation, puis on pose un nouveau joint composé de chaux et de sable comme au Moyen Age. Le grès est malade, fatigué : nous pratiquons une médecine de la pierre.
Faites-vous tout à la main ?
C’est la spécificité de l’Œuvre Notre-Dame. Contrairement aux entreprises privées opérant sur de nombreux autres chantiers de cathédrale que leur confie l’Etat – y compris parfois à Strasbourg –, nous ne nous servons pas de percuteur pneumatique. L’OND appartient à un réseau de 18 ateliers de cathédrale en Europe – Allemagne, Suisse, Autriche, Norvège – qui a déposé début 2019 un classement de ses savoir-faire à l’Unesco. La réponse est prévue fin 2020. Il faut savoir que l’automatisation arrive dans nos métiers, avec des robots cinq axes qui imitent nos gestes.
De quelles références disposez-vous pour travailler ?
Les sculpteurs peuvent s’inspirer de la cathédrale ou de notre gypsothèque (plâtre, ornementation), la plus vaste de France, qui contient plus de 5 000 moulages faits sur le monument, ainsi que de notre glyptothèque (statuaire). Nous avons aussi une photothèque (5 500 plaques de verre réalisées au milieu du XIXe siècle, que nous numérisons) qui nous permet de recouper certaines différences, avant et après les retouches de la fin du XIX e. Enfin, cas unique en France, nous disposons d’un très grand dépôt lapidaire : 2 000 pièces anciennes de la cathédrale déposées à partir de 1850. D’ordinaire, l’Etat conserve très rarement les pièces déposées. Après avoir restauré systématiquement pour remplacer par des copies, notre politique depuis 2000 est de maintenir au maximum l’élément d’origine, donc de déposer le moins possible.
Qui s’occupe des vitraux ?
L’Etat, propriétaire de l’édifice, confie cette mission à une entreprise, qui les restaure puis pose des verrières pour les protéger de la grêle et des intempéries. Il s’agit d’un verre blanc redécoupé sur le dessin d’origine, placé à 4 centimètres devant le vitrail afin de permettre la circulation d’une lame d’air. Sinon, le manque d’air chaufferait le vitrail.
Diriez-vous que vous travaillez dans l’esprit du Moyen Age ?
Plus sans doute que dans les ateliers privés, car nous disposons de temps. L’OND, c’est un état d’esprit, une philosophie. Mais tous ceux qui entretiennent les cathédrales utilisent des savoir-faire ancestraux qu’ils remettent sur le métier. Ne parlons pas de secrets. Nous sommes discrets, pas secrets. La cathédrale est un objet, mais c’est aussi un outil pour perpétuer ces savoir-faire.§
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Presse et Plèbe.
Ils sont drôles les Bernard, les Maurice, les Yann et autres Franz qui bien installés à la terrasse d’un café parisien se la jouent grands humanistes tout en observant avec mépris les pauvres badauds ont eu outrecuidance de traverser le Boulevard Saint Germain à pieds. Parce que oui, il ne faut surtout pas gâcher la vue de ces Zarathoustra de l’audiovisuel.
Ils sont drôles, mais ils font aussi peur, car contrairement à vous, à moi, leurs paroles sont écoutées, réécoutées, puis répétés tels des sémaphores. Il y a encore quelques mois, je me demandais vraiment si Messire Moix pensait réellement pouvoir représenter la “vraie” France... Pendant quelques secondes, je me suis dit que la bêtise, de sa Vanessa – qui n’a vraiment rien d’un Paradis – lui avait donné envie de se relancer dans le cinéma. Puis j’ai réalisé que le bougre était sérieux, qu’il prenait réellement les Communards pour de vulgaires preneurs d’otages. Ce brave Monsieur à la tête encore plus enflée qu’une baudruche, ferait mieux de faire quelque chose qu’il ne fait pas souvent : une autocritique. Car en 2017, les seuls à prendre le peuple de France en otage, ce sont ceux qui comme lui et sa chère collègue gloussent bêtement en entendant les mot “licenciement” et qui se comportent de façon totalement indécente lorsqu’ils reçoivent un ouvrier, un homme du peuple, bref, un français, un je pourrais même dire un “vrai” français, puisque cet adjectif semble si important pour lui et qu’apparemment d’après ce journaliste, il existe de vrais et de faux français.
Dans ce monde ou l’apparence et la notoriété comptent plus que le fond et la forme, il vaut mieux être un mec hautain en costard, plutôt qu’un prolo en polo. C’est triste. Le Capital a fini par changer le vieil adage, désormais c’est l’habille qui fait le moine. Le Chevalier enfilait son armure pour partir au combat !? Pas de soucis ! Dans un souci de continuité historique, les pseudo-journalistes et les financiers eux, enfilent leurs plus beaux vestons pour prêcher des bêtises ou signer de juteux contrats. Aujourd’hui les guerres ne se règlent plus à coups de lances, non, plus que jamais ce sont des coups de stylos qui décident de l’avenir des peuples. Les libyens et les syriens seront appréciés…
Triste France que celle de cet Emmanuel 1er, pourtant tant apprécié par les médias étrangers qui semblent être tombés sous le charme de son beau sourire et de ses virils effusions. Cela dit il est important de lutter, pour rétablir l’ordre des choses, pour rappeler que non, un simple travailleur vaut autant qu’un politicien qui a été formé à diriger, que dis-je à régner. Mettons l’économie et tout ce qui va avec de c��té… Pour reprendre la lutte, pour enfin pouvoir parler du fond, il est extrêmement important de remettre les choses à leurs places et donc de mettre l’Humain d’Abord ! Contrairement à ce que s’imaginent certains, cette petite phrase, n’est pas qu’un cri d’Insoumission, c’est avant tout un cri de ralliement, car tout comme l’être humain, elle n’appartient à personne…
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MdLC : 1er baiser
Jour 46 ; 03 mai 2020
Scène 1 : RDV bibliothèque / Premier baiser
Je me suis mise au travail dès que je suis rentré à la maison. Je faisais beaucoup de couture pour le magasin de mon père. J’avais une grande liberté dans ma façon de gérer mon temps. Je me sentais un peu coupable de prendre du temps et du matériel pour faire ça. Mais je m'étais engagé auprès du petit.
Trois jours plus tard, j’avais finie le corset du petit. J’y avais passé beaucoup de temps pour être honnête, et j’avais un peu empiété sur mes nuits. Surtout que je voulais continuer à faire quelques sacs pour le magasin, je ne voulais pas que l’on me voit travailler et ne pas sortir des trucs.
Je suis allé au cimetière le soir même. Je voulais dire à Iris que j’avais finie le travail qu’elle m’avait confié. C'était un peu bête, mais je voulais lui montrer de quoi j’étais capable et que moi aussi j’étais capable de bonnes actions. J’avais un peu l’impression qu’elle était prise dans une lutte pour sauver tout les défavorisé de la ville, et je l’admirais beaucoup pour ça.
Je me suis rendu dans l’appartement où vivait la famille. J'espérais qu’Iris aurait reçu mon message et viendrait m’y rejoindre. Quand je suis arrivé, elle n’était pas la. J’ai essayé de ravaler ma déception, après tout elle avait surement mieux à faire que de venir me voir parader.
Je suis monté faire les ajustements sur le petit. Ça a duré une heure, mais ils étaient tous ravie à la fin. Le petit avait un corset qui ne lui faisait plus mal, il allait pouvoir grandir droit. Quand je suis sortie j’ai vue Iris qui m’attendais, adosser au mur de l’immeuble d’en face. Elle portait un large pantalon de toile et une chemise en flanelle. Elle était magnifique. Quand je l’ai vue j’ai crue que j’allais avoir une crise cardiaque tellement elle était belle. - Ça a bien marché ? - Oui, ça va, j’ai répondu. Ça devrait tenir un bout de temps. Elle à hocher la tête, pensive. - Tu veux aller te promener avec moi ? J’ai un peu de temps libre.
On est allé sur les abords des murailles, des endroits que je connaissais absolument pas. On est arrivé dans une vieille bâtisse abandonné. Les murs était en briques rouges et les plantes envahissait tout le pourtour.
- C’est une ancienne bibliothèque, m’a-t-elle expliqué. À l’époque tout le monde pouvait venir lire des livres gratuitement ici. Ça a été fermer il y a 5 ans. - Parce que ce n’était pas rentable ? Si tout le monde peut lire gratuitement… - Ho, toi. Tu penses vraiment que tout passe par l’argent ? Non, ça marchait bien, les gens faisait des dons, en argent ou en nature, au gérants, ce qui leurs permettait de vivre. Mais ça a été fermer par le gouvernement, soi-disant pour incitation à la haine. Mais c’est surtout qu’il ne supportait pas que les gens se cultive sans passé par eux. - Tu y crois vraiment ? - Oui, j’en suis convaincue. - C’est affreux quand on y pense. Pourquoi les gens ne pourrais pas s’instruire, c’est stupide. - Parce que plus les gens sont éduqué moins on peut les controlé et surtout plus ils sont à même de construire un monde meilleur pour eux même.
J’ai regarder le décors pour me donner le temps de réfléchir à ca. La lumière filtrait par la fenétre basses. Le silence qui reignait était magique.
Iris c’est approché de moi, tout près. Je n’ossais plus bouger, mon cœur battait la chamade. Elle c’est doucement penché vers moi, avec un regard intérrogateur. En dépis de tout bon sens j’ai fermer la distance qui nous séparait, et je l’ai embrassé. Ses lèvres étaient douce et chaude.
J’avais envie de plus, j’avais envie de sentir, sa peau contre mes doigts, de la sentir collé contre moi. J’ai posé ma main sur sa hanche tout en apronfondissant le baisé. Elle à poussé un soupir qui ressemblait beaucoup trop à un gémissement, et je me suis dit que c’était le son le plus magnifique que je n’ai jamais entendu. Je voulais encore entendre ce son, alors j’ai fais tout ce qu’il fallait pour. Je crois que c’était aussi son but de m’entendre, parce que je me suis aussi entendu soupirer.
Scène 2 :
Plus tard, dans la nuit, j’étais entendu sur mon lit a repensé à cette journée et à la proposition que m’avais fait Iris en me raccompagnant chez moi. Il y avait d’autre gens qui aurais besoin de mes talents de couturière. Si je voulais elle pourrait avoir d’autre projet à me proposer. Elle à bien insisté sur le fait que j’avais le choix de refuser si je le souhaitais, que ça ne nous empêcheraient pas de nous revoir si je disais non. Mais en même temps je repensais au petit que j’avais aidé. À son regard plein de reconnaissance et au remerciement sincère de sa mère. Ça faisait un moment que je me disais que le travail que je faisais au magasin était un peu futile, dans le meilleur des cas, voir immoral. On fabriquait soi des sacs et autres accessoires pour des gens qui en changeait toute les cinq minutes, ce qui était un gâchis de ressources que je trouvais assez affreux. J’avais très envie de me rendre utile, d’aider les gens. Et j’étais ravie d’avoir un moyen de le faire. Et puis je pourrais en apprendre plus sur les théories que me sortais Iris. Instinctivement je savais qu’elle avait raison mais j’avais encore du mal à me l’expliquer.
J’ai fini par m’endormir le sourire aux lèvres. J’allais lui mettre un mot demain pour qu’elle sache que j’avais pris ma décision de l’aider.
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Le Conseil de l’Arctique : encourager la coopération, la préservation et la prospérité dans le Grand Nord
Le Conseil de l’Arctique : encourager la coopération, la préservation et la prospérité dans le Grand Nord
Le Conseil de l’Arctique : encourager la coopération, la préservation et la prospérité dans le Grand Nord 05/17/2017 11:05 AM EDT
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1 minutes read time L’Arctique est un endroit très particulier. Sa beauté naturelle grandiose rappelle celle d’une terre que le temps a oubliée. Toutefois, il ne s’agit pas juste d’une réserve naturelle, les gens habitent l’… more Header Image La lutte…
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Thème #4 (header + avatars) pour Backbone.
Blottis sous l’aile des Reaper’s Crows, San Diego s’anime, s’agite, théâtre de millions de vies qui s’élancent dans toutes les directions. Celle du Ring où se déroulent des combats illégaux résultant en gloire comme en argent. Celle des locaux de The Asso où on panse ses blessures, milite et se soutient mutuellement pour une San Diego meilleure, une San Diego moins criminalisée. Celle des petits malfrats, des gangs, qui labourent de leurs griffes l’Underground, à la recherche de richesses. Celle des motards, celle des corbeaux et du cuir, gardant autant captive que protégée cette ville qui les abrite tous. Celle des gens qui n’ont rien demandé, qui mènent leur vie en louvoyant, s’ils le peuvent, loin de tout ce bordel, dans l’espoir que la phrase “ça n’arrive qu’aux autres” continue de s’appliquer à leur cas.
Contexte entourant un club de motards criminalisés, des combats illégaux et des luttes sociales — City basé à San Diego, USA — Forum à avatars réels — aucune contrainte de mots — Un rp par mois demandé — Système de trigger warning obligatoire — Zone d'accueil et d'intégration ouverte aux invités.
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