#luttons contre le réchauffement climatique
Explore tagged Tumblr posts
Text
Climat et écologie
Climat et écologie : comment ajouter sa contribution ? Cela fait plus de 30 ans que scientifiques, politiques et contributeurs de toutes sortes ne cessent de réfléchir sur l’évolution actuelle du climat. Nous allons parler un peu climat et écologie. Quelques 26 éditions de COP (Conférence des Parties) après, les initiatives semblent avancer très lentement. Mais nous, que peut-on faire de notre…
View On WordPress
#lesjums#Climat et écologie#Crise climatique#Enjeux environnementaux#Gaspillage alimentaire#L&039;environnement#La crise climatique#Les bonnes habitudes quotidiennes#lesjums-elles.com#luttons contre le réchauffement climatique
0 notes
Text
Col roulé dès septembre, string sandales en juillet-août: grâce aux nouvelles tendances de la représentation politique, luttons tous ensemble contre le réchauffement climatique!
Sauver dévie.
2 notes
·
View notes
Text
Luttons contre la destruction de notre planète
Https : //ibal.tv/ Bartélémy Antoine Loeff 2015-2017
J’ai choisi cette photo et cette exposition parce que je fais partie de l’humanité et qu’actuellement l’humanité entière s’inquiète sur l’état du climat, de l’écologie et de l’environnement.
« Le changement climatique s'est produit à cause du comportement humain, donc il est naturel que ça soit, aux êtres humains, de résoudre ce problème. Il se peut qu'il ne soit pas trop tard si nous prenons des mesures décisives aujourd'hui. » Ban Ki-Moon
Le réchauffement climatique, réchauffement planétaire ou dérèglement climatique, est le phénomène d'augmentation des températures moyennes océaniques et atmosphériques, induit par la quantité de chaleur piégée à la surface terrestre, du fait des émissions de gaz à effet de serre (CO2, etc.). Ce terme désigne communément le réchauffement mondial observé depuis le début du XXe siècle. L'expression « changement climatique » désigne quant à elle les épisodes de réchauffement ou refroidissement d'origine naturelle qui se sont produits avant l'ère industrielle.
Cette installation nous renvoie sur l’état de votre planète, en termes des ressources, climat, … bref une question sur l’écologie et l’environnement dans lequel nous vivons. Humainement parlant, pouvons-nous contribuer consciemment à la destruction de notre planète ?
A l’heure actuelle de la mondialisation et de l’industrialisation, l’être humain ne fais pas attention à la destruction de l’environnement où il vit. Il cherche comment produire pour pallier aux besoins de la vie quotidienne, du bien-être, autrement dit il produit consciemment les biens pour satisfaire ses besoins. Dans l’industrie automobile par exemple, il y a une grande quantité d’émissions de gaz à effet de serre. Et les industriels automobiles, sachant que leurs industries polluent la nature jusqu’à détruire l’atmosphère. Ainsi suite à cette pollution par émissions de gaz à effet de serre, le climat est détruit et aujourd’hui on connait ce réchauffement climatique.
« Si la Planète était une entreprise, elle serait aujourd'hui au bord de la faillite. Nous devons impérativement changer notre modèle de développement. » Pascal Canfin.
Aujourd’hui les ressources naturelles dont dispose notre planète sont mal utilisées et tendent à s’épuiser. Les humains ont mal utilisé les océans, les mers, les forêts, les terres etc. ils ont péché beaucoup de poissons, abattu beaucoup d’arbres et fait beaucoup de récoltes, consciemment pour satisfaire leurs besoins. En revanche, inconsciemment ces derniers épuisent les ressources naturelles dont ils disposent.
L’humanité entière doit lutter contre une utilisation abusive des ressources naturelles. De plus elle doit recycler et réutiliser celles déjà exploiter afin de préserver la planète. A cela s’ajoute, toutes les activités industrielles qui génèrent des externalités négatives sur l’environnement et créent des dégâts sur le climat doivent être freinées pour sauvegarder notre planète.
F. Mutombo Tshimanga
L2 AES
1 note
·
View note
Text
LA TERRE BRÛLE, Défendons le Marais !
Le monstre grandit, la terre brûle, les gens fuient...
Partout dans le monde les États bourgeois, ainsi que les banques et les entreprises multinationales, simulent l’indignation mais persistent et signent leurs mensonges en soutenant ou impulsant des grands projets d’extraction et de pillage des ressources naturelles. Ces mega-projets ont des conséquences désastreuses pour les peuples autochtones et l’environnement. Écocides et ethnocides sont le prix de leurs profits, l’exemple récent de l’Amazonie en feu le démontre parfaitement. Que ce soit dans le Brésil d’un Bolsonaro d’extrême droite où dans la Bolivie d’un Morales progressiste, une radiographie des incendies permet de voir qu’ils trouvent leurs origines près des routes ou chemins percés dans l’Amazonie par et pour les agro-industriels soutenus par des politiques de développement nationales. C’est une leçon à tirer, le capitalisme s’accommode aussi bien du fascisme que de la social-démocratie, ce qui lui importe, c’est de grandir, encore et encore.
Si le capitalisme est le grand coupable, les situations locales restent complexes car les problèmes sont profondément imbriqués les uns dans les autres. C’est ce mélange d’intérêts nationaux et industriels parfois contradictoires, de prédation des ressources et de pollution, d’exploitation des travailleurs.euses et de crise économique, souvent corrélé de conflits géopolitiques, qui provoque des catastrophes et pousse la plupart des gens à migrer, puis à se faire persécuter par les mêmes puissances qui ont pillé leurs pays d’origines. En effet, face à la catastrophe globalisée les États ne font qu’essaimer la peur et mettre en place des politiques sécuritaires et racistes. Et ce n’est que le début, le réchauffement climatique annonce des migrations encore plus grandes…
Face à la crise écologique, ne nous divisons pas !
Aujourd’hui, que ce soit via les gouvernements et les institutions dominantes, les grandes entreprises ou les mass médias, le discours qui s’impose tend à séparer crise écologique et problèmes économiques et sociaux. C’est ce que Macron, à la solde des ultra-riches, a défendu en opposant les gilets jaunes « mauvais pollueurs » aux bons citoyens éco-consommateurs des classes moyennes et élevées. Si ce cliché persiste chez les écologistes adeptes du libre-échange, il a néanmoins été battu en brèche par le slogan "fin du mois, fin du monde, même combat !".
En effet, il est illusoire de croire que la solution au problème écologique se trouverait dans le changement des comportements individuels de consommation. Dans un contexte où les inégalités ne cessent de se creuser, cette idéologie qui culpabilise le consommateur ne peut être qu’un leurre pour dévier notre attention des politiques économiques libérales. Transformer son mode de vie, changer ses habitudes alimentaires ou ses moyens de se déplacer implique d’en avoir la possibilité et non seulement la volonté ! Et n’oublions jamais que ce sont les grandes fortunes et industriels qui sont à la fois les principaux pollueurs et ceux qui en subissent le moins les effets!
Cette vision dominante que nous dénonçons est une écologie droite, même si le fait qu’elle soit partagée par le centre et la gauche modérée peut faire illusion. Cette vision dissimule l’incompatibilité du capitalisme avec un projet de vie socialement équitable et respectueux de l’environnement. Même repeint en vert, le capitalisme reste un système productiviste orienté vers le profit et voué à épuiser l’ensemble des ressources à sa portée, qu’elles soient naturelles ou humaines. La "transition écologique" ne pourra donc se faire sans dépasser radicalement le système économique et politique actuel, et seule une convergence de grande ampleur contre le capital pourra aboutir à un résultant satisfaisant pour le plus grand nombre.
Défendons le Marais, construisons un autre monde
Si nous nous opposons à l’expulsion des squats et à la déportation des exil.é.s de manière inconditionnelle, c’est parce que nous nous opposons à ce monde et particulièrement à la chasse aux migrant.e.s lancée par les grandes puissances néocoloniales, alors qu’elles sont les coupables directes de la majeure partie des migrations.
Bien au delà des dynamiques néo-coloniales, c’est la même logique d’accumulation des richesses par des mécanismes d’expropriation qui se manifeste quasiment partout par la prédominance du droit de propriété sur tous les autres, notamment sur le droit au logement. En France en 2018, 200 000 personnes étaient à la rue alors qu’il y avait près de 3 millions de logements vides ! Défendre le Marais, c’est donc aussi s’opposer à la spéculation immobilière en général mais ici contre l’accaparement d’une grande réserve foncière par Bouygues dans le quartier de la gare. ENGIE, actuel propriétaire, serait engagé dans un processus de cession de nombreux terrains similaires à celui du Marais dans plusieurs villes de France, notamment à de grands groupes comme VINCI. En face, au squat du Marais, ce sont 250 personnes, dont 60 enfants, à qui le droit au logement est refusé et qui risquent d’être jetés à la rue au nom du droit de propriété et de l’insatiable soif de profit.
Il est donc indispensable de lier le combat climatique aux autres luttes sociales comme nous le faisons au Marais. S’opposer au racisme et lutter contre les inégalités ne peut faire sens sans lutter contre l’impérialisme des grandes puissances mondiales. Travailler à la convergence effective des secteurs combattifs est aussi important à l’échelle locale qu’internationale. Car, qu’on le veuille ou non, pour sauver la nature, il faut dépasser la mise en compétition des groupes sociaux opprimés entre eux comme des populations nationales entre-elles afin de lutter efficacement contre la classe dominante.
Enfin, défendre le Marais, c’est aussi défendre une manière de vivre le monde, celle de la solidarité internationale, d’un anticapitalisme joyeux, de la convergence des luttes et de l’expérimentation collective, en bref, c’est défendre une vie bouillonnante qui déborde naturellement de temps à autre, en attendant le raz-de-marée. Contre la désertification du monde et de nos existences, défendons l’oasis qu’est le Marais.
FIN DU MOI, DÉBUT DU NOUS : ÉTEIGNONS L’INCENDIE !
NON À L’EXPULSION DU MARAIS ET DES AUTRES SQUATS D’EXILÉ-E-S !
LUTTONS POUR LE CLIMAT, DÉTRUISONS LE CAPITAL !
L’Assemblée de Défense du Marais
Plus d’infos et d’actualités sur : upmarais.tumblr.com
1 note
·
View note
Text
Nouvelle publication sur : OMPE | Organisation Mondiale pour la Protection de l’Environnement
OMPE - Des espèces animales qui réapparaissent
Des espèces animales qui réapparaissent
À travers nos combats, nous défendons le maintien de la biodiversité et luttons contre la disparition des espèces. La destruction des milieux naturels, la pollution de l’eau et des sols, le réchauffement climatique… sont autant de facteurs qui contribuent au déclin de nombreuses espèces animales.... - OMPE - Organisation Mondiale pour la Protection de l’Environnement
0 notes
Text
La terre brûle Défendons le Marais !
Le monstre grandit, la terre brûle, les gens fuient...
Partout dans le monde les États bourgeois, ainsi que les banques et les entreprises multinationales, simulent l’indignation mais persistent et signent leurs mensonges en soutenant ou impulsant des grands projets d’extraction et de pillage des ressources naturelles. Ces mega-projets ont des conséquences désastreuses pour les peuples autochtones et l’environnement. Écocides et ethnocides sont le prix de leurs profits, l’exemple récent de l’Amazonie en feu le démontre parfaitement. Que ce soit dans le Brésil d’un Bolsonaro d’extrême droite où dans la Bolivie d’un Morales progressiste, une radiographie des incendies permet de voir qu’ils trouvent leurs origines près des routes ou chemins percés dans l’Amazonie par et pour les agro-industriels soutenus par des politiques de développement nationales. C’est une leçon à tirer, le capitalisme s’accommode aussi bien du fascisme que de la social-démocratie, ce qui lui importe, c’est de grandir, encore et encore.
Si le capitalisme est le grand coupable, les situations locales restent complexes car les problèmes sont profondément imbriqués les uns dans les autres. C’est ce mélange d’intérêts nationaux et industriels parfois contradictoires, de prédation des ressources et de pollution, d’exploitation des travailleurs.euses et de crise économique, souvent corrélé de conflits géopolitiques, qui provoque des catastrophes et pousse la plupart des gens à migrer, puis à se faire persécuter par les mêmes puissances qui ont pillé leurs pays d’origines. En effet, face à la catastrophe globalisée les États ne font qu’essaimer la peur et mettre en place des politiques sécuritaires et racistes. Et ce n’est que le début, le réchauffement climatique annonce des migrations encore plus grandes…
Face à la crise écologique, ne nous divisons pas !
Aujourd’hui, que ce soit via les gouvernements et les institutions dominantes, les grandes entreprises ou les mass médias, le discours qui s’impose tend à séparer crise écologique et problèmes économiques et sociaux. C’est ce que Macron, à la solde des ultra-riches, a défendu en opposant les gilets jaunes « mauvais pollueurs » aux bons citoyens éco-consommateurs des classes moyennes et élevées. Si ce cliché persiste chez les écologistes adeptes du libre-échange, il a néanmoins été battu en brèche par le slogan "fin du mois, fin du monde, même combat !".
En effet, il est illusoire de croire que la solution au problème écologique se trouverait dans le changement des comportements individuels de consommation. Dans un contexte où les inégalités ne cessent de se creuser, cette idéologie qui culpabilise le consommateur ne peut être qu’un leurre pour dévier notre attention des politiques économiques libérales. Transformer son mode de vie, changer ses habitudes alimentaires ou ses moyens de se déplacer implique d’en avoir la possibilité et non seulement la volonté ! Et n’oublions jamais que ce sont les grandes fortunes et industriels qui sont à la fois les principaux pollueurs et ceux qui en subissent le moins les effets!
Cette vision dominante que nous dénonçons est une écologie droite, même si le fait qu’elle soit partagée par le centre et la gauche modérée peut faire illusion. Cette vision dissimule l’incompatibilité du capitalisme avec un projet de vie socialement équitable et respectueux de l’environnement. Même repeint en vert, le capitalisme reste un système productiviste orienté vers le profit et voué à épuiser l’ensemble des ressources à sa portée, qu’elles soient naturelles ou humaines. La "transition écologique" ne pourra donc se faire sans dépasser radicalement le système économique et politique actuel, et seule une convergence de grande ampleur contre le capital pourra aboutir à un résultant satisfaisant pour le plus grand nombre.
Défendons le Marais, construisons un autre monde
Si nous nous opposons à l’expulsion des squats et à la déportation des exil.é.s de manière inconditionnelle, c’est parce que nous nous opposons à ce monde et particulièrement à la chasse aux migrant.e.s lancée par les grandes puissances néocoloniales, alors qu’elles sont les coupables directes de la majeure partie des migrations.
Bien au delà des dynamiques néo-coloniales, c’est la même logique d’accumulation des richesses par des mécanismes d’expropriation qui se manifeste quasiment partout par la prédominance du droit de propriété sur tous les autres, notamment sur le droit au logement. En France en 2018, 200 000 personnes étaient à la rue alors qu’il y avait près de 3 millions de logements vides ! Défendre le Marais, c’est donc aussi s’opposer à la spéculation immobilière en général mais ici contre l’accaparement d’une grande réserve foncière par Bouygues dans le quartier de la gare. ENGIE, actuel propriétaire, serait engagé dans un processus de cession de nombreux terrains similaires à celui du Marais dans plusieurs villes de France, notamment à de grands groupes comme VINCI. En face, au squat du Marais, ce sont 250 personnes, dont 60 enfants, à qui le droit au logement est refusé et qui risquent d’être jetés à la rue au nom du droit de propriété et de l’insatiable soif de profit.
Il est donc indispensable de lier le combat climatique aux autres luttes sociales comme nous le faisons au Marais. S’opposer au racisme et lutter contre les inégalités ne peut faire sens sans lutter contre l’impérialisme des grandes puissances mondiales. Travailler à la convergence effective des secteurs combattifs est aussi important à l’échelle locale qu’internationale. Car, qu’on le veuille ou non, pour sauver la nature, il faut dépasser la mise en compétition des groupes sociaux opprimés entre eux comme des populations nationales entre-elles afin de lutter efficacement contre la classe dominante.
Enfin, défendre le Marais, c’est aussi défendre une manière de vivre le monde, celle de la solidarité internationale, d’un anticapitalisme joyeux, de la convergence des luttes et de l’expérimentation collective, en bref, c’est défendre une vie bouillonnante qui déborde naturellement de temps à autre, en attendant le raz-de-marée. Contre la désertification du monde et de nos existences, défendons l’oasis qu’est le Marais.
Fin du moi, début du nous : éteignons l’incendie !
NON à l’expulsion du Marais et des autres squats d’exilé-e-s !
Luttons pour LE CLIMAT, DÉTRUISONS le capital !
L’Assemblée de Défense du Marais
Plus d’infos et d’actualités sur : upmarais.tumblr.com
0 notes
Text
Création du personnage super-méchant: dark wast terre
dark wast terre
Le plus terrible de nos ennemis. il se nourrit de déchets et préfèrent évidemment ceux qui ne sont recyclable (ceux qui vont dans la poubelle noir, d’où son nom). Il existe sous deux formes: physiquement mais également tapis au fond de chacun de nous. Il est notre part sombre et joue avec notre amour de la facilité pour nous influencer. Ils manipule les comportements humains pour que ces derniers achètent le plus possible d’objets jetables inutiles, dépenses de l’énergie, et se créent des nouveaux besoins de consommation. Il n’est jamais autant heureux que lorsqu’il écoute des informations sur la pollution, le réchauffement climatique et la disparition des animaux et de forêt. Il est l’allier des profiterres. Nous, leaukaterres responsables luttons contre ce diable. Notre rôle est de convertir le plus de profiterres à notre cause.
il sera joué par les plus petits... mimi, lou, romane si ils (elles) veulent bien donner une contribution à l’axe du très mal. Une poubelle noir comme sur la photo mais fermé pour ne pas voir leur visage, juste avec des trous pour les yeus, peuvent leur servir de déguisement. Qui a une poubelle noir que l’on pourrait récupérer?
0 notes