#louis pauwels
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louis-ferdinand céline - interview avec louis pauwels (w/ eng sub)
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«I si no trobo res de meravellós en aquesta vida, diré, en acomiadar-me’n, que tenia ensopida l’ànima i l’inteŀligència encegada, no pas que no hi havia res a descobrir.»
~Louis Pauwels & Jacques Bergier, L’Home etern~
#saviesa#coneixement#descobriment#meravella#vida#vida i mort#L'Home etern#Louis Pauwels#Jacques Bergier#ànima#esperit#grealenc
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Louis Pauwels, Jacques Bergier - The Morning of the Magicians - Mayflower - 1971
#witches#magicians#occult#vintage#morning of the magicians#mayflower books#louis pauwels#jacques bergier#most original#1971#the morning of the magicians
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Président Faust 1974
#Président Faust#1974#Jean Kerchbron#louis pauwels#françois chaumette#françois simon#france dougnac#la qualité télé de l'époque#incroyable !!#6/10
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Cuando niño, a mis 4 años, aprendí Kung-fu. Fui (creo) un año y medio a eso, lo que digo es que aprendí a leer, a escribir y a meditar al mismo tiempo. A esa edad leía los carteles publicitarios que veía desde el bus, mi abuelo se asombraba y mi madre le preguntaba si me estaba contando lo que decían: ahí supe que sabía leer, que lo había aprendido solo y que era temprano para saber eso. Aprendí a amar la primera vez que vi a (inserte aquí el nombre de ella, no lo digo porque es sagrado y ese recuerdo no lo presto). Imposible afirmar cuando aprendí otras cosas, pero casi siempre puedo recordar el momento en el que supe que sabía algo nuevo, que había incorporado eso definitivamente a mi existencia. Lo que no recuerdo es cuando aprendí a mentir. ¿En qué momento empezaron a deformarme así el alma? ¿Cómo no lo vi? ¿Me gustó? Lo que sí me gustó fue cuando aprendí a hacerme la paja, pero tampoco recuerdo cuando fue eso o cuando noté que ya sabía lo que hacía. Otra fue cuando aprendí a sufrir ¿Cuándo aprendí sobre el dolor? Supongo que eso pasó en mi etapa de bebé, así que descarto quemarme las neuronas con ese tema. Anoto, eso sí, que sufrir es de las primeras cosas que aprendemos, maldita vida. Pero nunca aprendí a madrugar, eso me lo impusieron. Tampoco aprendí a dormir menos de lo que quiero o necesito, eso también fue a la fuerza. Por mi mismo aprendí lo que es la poesía y el significado de la belleza, aprendí a bailar autodidacta y por alguna razón besé sin torpeza desde la primera noche. Las enseñanzas sobre la soledad, el dolor y el significado de la palabra “ex” corrieron por cuenta ajena, me lo impusieron otrxs. Lo que creo es que aprendo rápido, y hasta donde recuerdo lo último que aprendí fue lo poco que me importa todo.
"Le atrae una aspiración mágica. Quiere ver detrás del muro, ir a Marte, capturar el rayo, fabricar oro. No busca lucro ni gloria. Busca sorprender al universo en flagrante delito de ocultación." (Louis Pauwels y Jacques Bergier; El retorno de los brujos, 1960)
Acostumbradoalfindelmundolandia: linktr.ee/acostumbradoalfindelmundo
#acostumbrado al fin del mundo#niñez#etapa#etapas#aprender#aprendizaje#louis pauwels#jacques bergier#el retorno de los brujos
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Matin des magiciens
Ce que l’on nomme Être est le mouvement : tout mouvement n’est pas l’expression d’un équilibre, mais d’un essai de mise en équilibre ou de l’équilibre non atteint. Et le simple fait d’être se manifeste dans l’intermédiarité entre équilibre et déséquilibre. » Ceci date de 1919 et rejoint les réflexions contemporaines d’un physicien biologiste comme Jacques Ménétrier sur l’inversion de l’entropie.…
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« La vraie femme. Celle qui nous vient du fond des âges. Celle qui rayonne à l'autre extrémité de la création. Je peux vous dire cela d'une manière plus directe. Deux races de femmes. L'une nombreuse, et l'autre en voie de disparition. Les femmes dans lesquelles on se branle. La femme avec qui l'on fait l'amour. Et avec qui faire l'amour, c'est se refaire de l'enfance. La vraie femme : celle qui connaît les secrets des eaux, des pierres, des plantes, des bêtes. Celle qui fixe le soleil et voit clair dans la nuit. Celle qui possède la clé de la santé, de la paix transparente, des harmonies. La sorcière blanche, la fée aux larges flancs humides, au visage d'ange flamand, aux longs cheveux blonds, aux yeux clairs, qui attendent l'homme pour recommencer avec lui le paradis terrestre… Avec elle, toute la terre s'organise en féerie. Avec elle, il ya de l'immortalité dans l'air… Le désir qu'elle inspire est vide de tout démon. Plonger en elle vous réensemence et vous révèle que la grande jouissance est chaste. La vraie femme, la femme rare. Celle que les anciens gnostiques appelaient « la femme de l'homme » et la « rosée de lumière ». Ils nommaient l'autre, qui est légion, « la femme de la femme »… »
Louis Pauwels
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“La rebelión de los brujos", de Jacques Bergier y Louis Pauwels
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''Catch 22''
En 1964, était paru, en traduction française, ''Catch 22'', de Joseph Heller, un de ces livres qui marquent une génération, ou qui ''aurait dû marquer'', car s'il connut un triomphe en langue anglaise, il a bien raté sa cible en France, où ses lecteurs éventuels voulaient avant tout oublier le service militaire de 3 ans ! Dans mon ''hit-parade'' culturel personnel, je le range près du ''Camp des Saints'' de mon regretté ami Jean Raspail, du ''Futur à déjà commencé'' de Robert Jungk ou... des 150 premières pages du ''Matin des magiciens'' (Louis Pauwels & Jacques Bergier), qui ont, dans des registres différents, posé le problème de la nouvelle folie du monde.
Un de mes petits-fils, qui débute dans la vie, voulait ''coloquer''(si le mot existe) mais les ''3 bulletins de salaire supérieurs à ce qu'il peut espérer gagner'' sont incompatibles avec sa situation, et ses parents, très aisés mais indépendants, ne peuvent exhiber les dits ''bulletins''. Le pauvre avait réussi à contourner le fameux ''5 ans d'expérience demandés à un débutant'', mais là... il a fallu qu'il se mettent à 2 et qu'il se fende d'une visite aux grands-parents... ravis de l'aubaine ! Cette histoire aussi fréquente que stupide m’a remis en mémoire ce livre... Je l'ai re-feuilleté, hier.
Historiquement, Catch 22 fut une satire féroce de la Seconde Guerre mondiale, de l'armée et de la hiérarchie, à travers l'épopée burlesque d'un capitaine américain, navigateur sur un bombardier B-25, héros tragi-comique qui tente de sauver sa vie en simulant la folie dans un monde qui a perdu la raison. Mais un ‘‘Article 22′’ du règlement de l'Air-Force prévoyait que ''Quiconque veut se faire dispenser d'aller au feu en invoquant sa folie n'est pas réellement fou''. Autrement dit, quelqu'un jugé en mauvaise santé mentale n'est pas obligé de prendre part aux missions aériennes, mais si c'est lui qui fait état de cette faiblesse en demandant de rester au sol, il montre qu'il est en bonne santé mentale... et doit, ‘’DONC’’, prendre l'air et voler.
Le livre voulait donc ''comprendre cet article 22'' (d'où son titre, ''Catch 22'', catch voulant ici dire ''saisir'' ), et son succès fut tel que ce titre est passé dans le langage courant aux USA, pour désigner une situation perdant-perdant (inextricable), un dilemme kafkaïen ou un état dit ''de double contrainte'', comme on en rencontre fréquemment dans notre société qui se croit intelligente. (Rappel : on désigne par ''Une double contrainte'' --en anglais, ''a double bind''-- une situation dans laquelle une personne est soumise à deux contraintes ou pressions contradictoires ou incompatibles, ou à deux injonctions qui s'opposent mutuellement, augmentées d'une troisième contrainte qui empêche tout individu de sortir de telles situations. Presque chaque problème, en France, ressortit désormais de cette pathologie).
Par exemple, nous l'avons dit, est ''catch 22'' tout étudiant qui postule à un premier emploi pour lequel on demande ''5 ans minimum d'expérience professionnelle'' : pas question d'avoir l'emploi s'il n'a pas cette expérience, mais impossible d'avoir l'expérience s'il n'a pas l'emploi,. Ne riez pas en disant que ''je pousse le bouchon'' : notre monde soi-disant si évolué est mené --à sa perte-- par des gens pleins de diplômes inutiles, qui invoquent sans cesse des principes vides de tout sens, jusqu’à déborder d'exemples où on ne peut échapper à une situation paradoxale où la solution au problème ne peut être autre que... la cause de ce problème. L'exemple le plus fréquent, ces temps derniers, se trouve évidemment dans les deux impossibilités sans cesse brandies par le chef de l'Etat : ''quoi qu'il en coûte''... et ''et en même temps''. On a vu les drames que cela entraîne... et on n'a pas fini d'en souffrir, avec l'Ukraine... ou avec les 64 ans de travail qui en sont 43 sauf dans les cas où etc... Personne ne sait plus à quelle sauce il sera mangé... ni par qui !
Ces exemples font comprendre que, outre des situations, des individus peuvent également devenir des ''catch 22'' : irrécupérables, irréconciliables, qui croient voir ce qu'ils ne voient pas... ce qui est donc non-miscible avec les descriptions des mêmes situations... revues, déformées et rendues incompréhensibles par ceux qui se sentent ''le droit de parler'' (journalistes, hommes politiques, intellectuels --de gauche, cela va de soi ! Les autres sont, juste, niés !) alors que c’est eux qui n’ont rien compris et qui ferment toutes les portes avant même de savoir où elles sont !
Quelques exemples exemples d''homo-catch22'' ? Philippe Murray, George Orwell, Arthur Koessler, Albert Camus... mais aussi Salman Rushdie, Alain Finkelkraut ou Pascal Bruckner, voire même un Jacques Julliard, sans oublier les soignants et les pompiers non vaccinés... tous impossibles à classer dans les ''cases'' habituelles et convenues, c’est-à-dire la marée méprisée de ceux qui sont honnis par les dix-mille ''sachants'' mais adorés par une grande partie des gens ''normaux'', tous dotés d'une pensée claire mais qui n'a le droit, par principe, de ne déboucher que sur... rien... puisque ils sont rejetés par ceux qui se trompent et les trompent (en gros : le pouvoir et les instances officielles). Dans le monde politique, on citerait Jean-Marie lePen ou Eric Zemmour, méconnus, conspués... au motif qu'ils ont raison sur à peu près tous les points dont ils parlaient, en refusant tout compromis /compromission...
''Etre catch 22'', c'est ou ce serait donc être capable de ne rien dire, faire ou penser qui soit un tant soi peu conforme au discours ambiant, à cette doxa gaucho-progressiste qui ne peut déboucher que sur des catastrophes, aux idées (?) du courant ''main stream'' et, bien entendu, à tout le fatras conceptuel qui ravage le monde devant nous, jour après jour, sous des noms qui changent au courant des modes (en ce moment, ce sont les mortels ''woke'', ''racialisme'' et ''cancel culture'' qui détruisent tout bonheur possible. et toute vie en société). Une différence majeure avec tous les ravages précédents est que la puissance de nos outils de communication permet de craindre que cette énième tentative de tout déconstruire soit, finalement, la bonne... c'est à dire la pire, celle sur laquelle on ne revient pas.
Il est évident que je n'aurais pas l’outrecuidance d'avancer une idée aussi définitive si d'autres ne l'avaient pas exprimée avant moi, des ''autres'' dont l'intelligence, la culture et le savoir permettait de mettre en garde l'Humanité contre les dangers qui la menacent. J'ai, pour mon plus grand bonheur, passé des heures éblouissantes avec mon ami Jean Raspail, avec Jean Fourastié, mon maître aux Hautes Etudes et avec Bertrand de Jouvenel à ''The Innovation Group'' et meublé mes loisirs en compagnie (virtuelle, par livres interposés, mais intense) de Jean-François Revel, de Pierre-Paul Grassé, Pierre Chaunu, Jean-Emile Charon, ou Raymond Aron –dont Evelyne fut la collaboratrice-- mais aussi de Toqueville ou Joseph de Maistre et tant d'autres ''têtes bien faites'' à qui je dois tant... et dont je déplore que leurs héritiers, un Zemmour ou un Houellebeck..., n’aient pas, ou pas encore, l'intensité, la dimension' et la ''vista'' de leurs grands anciens : n'est pas ''catch 22'' qui veut !
Pourquoi ai-je éprouvé le besoin fort de partager avec vous ces quelques instants de nostalgie dans lesquels m'a fait tomber la relecture de quelques paragraphes des ''Souvenirs'' de Toqueville, où il invente le mot superbe de ''despotisme démocratique'' qui résume parfaitement le faux dilemme qui nous tue à petit feu, nous mettant dans la posture de la grenouille qui, chauffée lentement, ne se rend compte qu'elle est foutue que lorsqu'elle n'a plus la force de sauter hors de la casserole (NDLR : nous en parlions récemment : ''on'' nous raconte de toute part que nous serions encore en démocratie, au nom de quoi ''on'' nous impose des contraintes inacceptables. Nous vivons dans une ''démocratie liberticide'' qui nous interdit de réaliser comme nous sommes tombés bas, et nous anesthésie... ).
Et un souvenir en appelant un autre, j'ai ressorti de ma mémoire ce ''Catch 22'' qui permet de se rendre compte qu'il y a très longtemps que des miasmes purulents rongent notre bel édifice, et que nous n'avons rien vu venir... ou si peu. C'est notre cécité qui fait que notre réveil doit être à la hauteur des défis qui nous sont lancés. Attendre ne servirait à rien qu'à nous rapprocher d'une fin qui n'est peut-être pas inévitable... mais qui semble bien avancée, hélas. Il faut regretter que ''Catch 22'' n'ait pas eu, en France, le succès qu’i méritait !
H-Cl.
PS – La courte interruption due au deuil qui m'a non pas frappé mais ''mis KO debout'', n'a été, en fin de compte que l'annonce de la ''trêve estivale'' qui, chaque année, met ce Blog entre parenthèses pour vous laisser profiter pleinement de vos vacances, sans venir ressasser que l'époque est triste, le futur glauque, l'avenir bouché et nous ''mal barrés''... Je vous propose donc, comme chaque année, de ne plus faire paraître nos ''éditoriaux'' qu'une fois par semaine (sauf nécessité), et de nous retrouver, rituellement, le 6 septembre –c'est un mercredi--, si Dieu le veut... Je vous souhaite, du fond du cœur, de superbes vacances... ''A PLUS'' !
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« L’enjeu : rappeler à l’existence la mentalité aristocratique, ressusciter l’esprit de la vieille Europe. Il ne s’agit pas d’un retour en arrière. Il ne s’agit pas de réanimer artificiellement des choses mortes. Mais de reprendre conscience d’un héritage pour le recréer sous des formes nouvelles. »
Louis Pauwels
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God lives in Brussels. On Earth though, God is a coward, morally pathetic and odious to his family. His daughter, Ea, is bored at home and can’t stand being locked up in a small apartment in ordinary Brussels, until the day she decides to revolt against her dad… Credits: TheMovieDb. Film Cast: Ea: Pili Groyne God: Benoît Poelvoorde God’s Wife: Yolande Moreau Martine: Catherine Deneuve François: François Damiens Marc: Serge Larivière Jean-Claude: Didier De Neck Aurélie: Laura Verlinden Willy: Romain Gelin Victor: Marco Lorenzini The Priest: Johan Heldenbergh Xenia, l’Allemande: Anna Tenta Jésus Christ: David Murgia Kevin: Gaspard Pauwels Philippe: Bilal Aya Martine’s Husband: Johan Leysen Adam: Dominique Abel Eve: Lola Pauwels Catherine: Sandrine Laroche Marc (9 years old): Louis Durant Willy’s Father: Jean Luc Piraux Willy’s Mother: Anne-Pascale Clairembourg Journalist: Alice van Dormael Journalist: Caroline Lambert Journalist: Jérôme Varanfrain The Nurse: Aïssatou Diop Le nongénaire: Armand Van Dormael La mère de Georges: Viviane de Muynck Georges: Pascal Duquenne Le chef des loubards: Hervé Sogne L’homme qui vivra le plus longtemps: Kody Kim Le sans-papiers: Besnik Limani Andrée: Michèle-Anne De Mey Médecin Willy: Jean-François Wolff Le généticien: Norbert Rutili Médecin hôpital: Luc Schiltz Passant micro-trottoir: Harry Cleven Musicien hélicon: Jean-Henri Compère Maquettiste: Tom Audenaert Clochard métro: George Nixon Maman hôpital: Ivone Semedo Publicité pompes funèbres: Christian Magnani François (8 ans): Tom Canivet La cousine de François: Clara Gunzig La fille des Allemands: Agatha Eleanor Masson Aurélie enfant: Nora Young Femme wasserette: Anne-Marie Loop Jean-Claude enfant: Fabien Zeimes Ambulancier: Gabriel Boisante Professeur de hockey: Charlie Degotte Prostituée: Thérèse Kobankaya Le fils de François: Diego Dalmans Petite fille boulangerie: Hannah Gunzig Willy (6 ans): Eiaël Lefranq Binon Danseuse main: Nora Alberdi Perez Le gorille: Kiko Mirales Sans abri devant l’église: Tanguy De Backer La fille du coiffeur: Elsa Houben Pianiste sur la plage: Julien Jakout Doublure lumière Benoît Poelvoorde: Cyril Perrin L’automobiliste qui n’a plus que 0 seconde à vivre: Jaco Van Dormael Kathy: Elisa Echevarria Menendez Film Crew: Producer: Jaco Van Dormael Editor: Hervé de Luze Screenplay: Thomas Gunzig Director of Photography: Christophe Beaucarne Original Music Composer: An Pierlé Script Supervisor: Elly Verduyckt Set Decoration: Pascalle Willame Production Design: Sylvie Olivé Producer: Olivier Rausin Casting: Michaël Bier Casting: Patrick Hella Costume Design: Caroline Koener Makeup Artist: Kaatje Van Damme Special Effects Supervisor: Emilien Lazaron Assistant Director: Renaud Alcalde Sound: Michel Schillings Sound: François Dumont Producer: Daniel Marquet Sound: Dominique Warnier Choreographer: Michèle-Anne De Mey Movie Reviews: Reno: > Re-editing the god’s creation. I was looking forward for this since it was from one of my favourite directors who is a very unique storyteller. This is a fantasy and a black comedy from Belgium that was chosen to represent the country in the last Oscars. This is where the critics overtake the film fanatic to like it more. It is a theme that revolves on what would you do if you get a power to write the laws of the nature. A complicated topic, because loopholes are inevitable, but the writer and director did not care much about that and narrated the tale what they just wanted to tell. The story centres on an arrogant and abusive father who is also the creator the universe, especially the designer of the lives on the earth and this tale takes place in the Belgian capital, Brussels. When his bored and concerned daughter Ea, runs away from home to re-edit his creation as advised by her brother JC, he goes after her to ensure everything stay as he had planned. In an unexpected confrontation between father and daughter, in the end who is going to be victorious is the rest of the narration. Remember, there is a po...
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ᛉ NAZI UFOS ᛉ
Fact or fiction?
During World War II, Germany developed an interest in flying saucers, and an airport hangar in Prague was dedicated to research into their development. However, it is propertied that none of these experiments ever found their way off the ground - quite literally.
Several sources describe theories of Nazi association with the extraterrestrial.
The book “Le Matin des Magiciens” (1960) by Louis Pauwels and Jacques Bergier claimed that the Vril Society, a perhaps fictional secret society that would have served as a sort of inner circle of the Thule Society, made contact with extraterrestrial life and dedicated it’s cause to creating a UFO to reach these aliens. The book purports that the Vril Society worked with the Nazi Party to develop early prototypes of flying saucers. However, with the Nazi defeat, the group is said to have fled into a secret base in Antarctica, where they retreated into the Hollow Earth to meet with an advanced race that inhabited the inside of the planet.
German fascist writer Ernst Zündel claimed in his books that flying saucers were secret weapons developed by the Nazis in a secret underground base in Antarctica, and with this technology, the Nazis sought to conquer Earth and eventually the planets. This very well could have been a B.S. claim by Zündel however, as he is recorded as claiming that this was a hoax, and also charged an absurd $9999 dollars a seat for an expedition to find the Hollow Earth entrance in Antarctica that Pauwels and Bergier spoke of.
In his book, “The Golden Thread: Esoteric Hitlerism”, Chilean writer and diplomat Miguel Serrano incorporates the theories of Savitri Devi into the canon of Nazi UFO theories. Serrano suggests that Hitler, as an avatar of Vishnu, was in communication with ancient Hyperborean gods in, again, an underground Antarctic base. Serrano predicted that Hitler planned to lead a lead a fleet of UFOs from the base to establish a Fourth Reich.
Regardless of the more extravagant claims of these sources, one question remains: what happened in Antarctica?
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Coberta d'una de les edicions en anglès d'Eternal Man (L'Homme éternel, en l'original francès), de Louis Pauwels & Jacques Bergier.
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Louis Pauwels and Jacques Bergier - The Dawn Of Magic - Panther - 1969
#witches#magicians#occult#vintage#the dawn of magic#magic#panther books#louis pauwels#jacques bergier#1969
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Mythen unterm HakenkreuzCOMPACT+
Compact:»Die Thule-Gesellschaft. War die Thule-Gesellschaft ein geheimer Orden, der die NS-Bewegung lenkte? Gegen diese These gibt es begründete Einwände. Dieser Artikel erschien in COMPACT-Geschichte 14: „Das okkulte Reich“. _ von Detlev Rose In der Darstellung mancher Autoren wie Louis Pauwels und Jacques Bergier (Aufbruch ins dritte Jahrtausend) ist die Thule-Gesellschaft das magische Zentrum des Nationalsozialismus, [...] Der Beitrag Mythen unterm HakenkreuzCOMPACT+ erschien zuerst auf COMPACT. http://dlvr.it/SwDS6s «
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Louis Pauwels, Le matin des magiciens: Introduction au réalisme fantastique
Je croyais posséder les secrets du gouvernement de l’esprit et de toute connaissance. En fait, je ne possédais rien que l’illusion de posséder et un intense mépris pour ceux qui ne partageaient pas cette illusion. [...]
Je désespérais mon père. Je me désespérais moi-même. Je m’asséchais jusqu’à l’os dans une position de refus. Je lisais René Guénon. Je pensais que nous avions la disgrâce de vivre dans un monde radicalement perverti, et voué justement à l’apocalypse. Je faisais mien le discours de Cortès à la Chambre des députés de Madrid en 1849 : « La cause de toutes vos erreurs, messieurs, c’est que vous ignorez la direction de la civilisation et du monde. Vous croyez que la civilisation et le monde progressent, ils rétrogradent ! » Pour moi, l’âge moderne était l’âge noir. Je m’occupais à dénombrer les crimes de l’esprit moderne contre l’esprit. Depuis le XIIe siècle l’Occident, détaché des Principes, courait à sa perte. Nourrir quelque espérance, c’était s’allier au mal. Je dénonçais toute confiance comme une complicité. Il ne me restait d’ardeur que pour le refus, la rupture.
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