#louis pauwels
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rotor25 · 1 year ago
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louis-ferdinand céline - interview avec louis pauwels (w/ eng sub)
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negreabsolut · 4 months ago
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«I si no trobo res de meravellĂłs en aquesta vida, dirĂ©, en acomiadar-me’n, que tenia ensopida l’ànima i l’inteƀligĂšncia encegada, no pas que no hi havia res a descobrir.»
~Louis Pauwels & Jacques Bergier, L’Home etern~
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basicallyanotherwitchesthing · 2 years ago
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Louis Pauwels, Jacques Bergier - The Morning of the Magicians - Mayflower - 1971
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kino51 · 1 year ago
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Président Faust 1974
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acostumbradoalfindelmundo · 2 years ago
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Cuando niño, a mis 4 años, aprendĂ­ Kung-fu. Fui (creo) un año y medio a eso, lo que digo es que aprendĂ­ a leer, a escribir y a meditar al mismo tiempo. A esa edad leĂ­a los carteles publicitarios que veĂ­a desde el bus, mi abuelo se asombraba y mi madre le preguntaba si me estaba contando lo que decĂ­an: ahĂ­ supe que sabĂ­a leer, que lo habĂ­a aprendido solo y que era temprano para saber eso. AprendĂ­ a amar la primera vez que vi a (inserte aquĂ­ el nombre de ella, no lo digo porque es sagrado y ese recuerdo no lo presto). Imposible afirmar cuando aprendĂ­ otras cosas, pero casi siempre puedo recordar el momento en el que supe que sabĂ­a algo nuevo, que habĂ­a incorporado eso definitivamente a mi existencia. Lo que no recuerdo es cuando aprendĂ­ a mentir. ÂżEn quĂ© momento empezaron a deformarme asĂ­ el alma? ÂżCĂłmo no lo vi? ÂżMe gustĂł? Lo que sĂ­ me gustĂł fue cuando aprendĂ­ a hacerme la paja, pero tampoco recuerdo cuando fue eso o cuando notĂ© que ya sabĂ­a lo que hacĂ­a. Otra fue cuando aprendĂ­ a sufrir ÂżCuĂĄndo aprendĂ­ sobre el dolor? Supongo que eso pasĂł en mi etapa de bebĂ©, asĂ­ que descarto quemarme las neuronas con ese tema. Anoto, eso sĂ­, que sufrir es de las primeras cosas que aprendemos, maldita vida. Pero nunca aprendĂ­ a madrugar, eso me lo impusieron. Tampoco aprendĂ­ a dormir menos de lo que quiero o necesito, eso tambiĂ©n fue a la fuerza. Por mi mismo aprendĂ­ lo que es la poesĂ­a y el significado de la belleza, aprendĂ­ a bailar autodidacta y por alguna razĂłn besĂ© sin torpeza desde la primera noche. Las enseñanzas sobre la soledad, el dolor y el significado de la palabra “ex” corrieron por cuenta ajena, me lo impusieron otrxs. Lo que creo es que aprendo rĂĄpido, y hasta donde recuerdo lo Ășltimo que aprendĂ­ fue lo poco que me importa todo.
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"Le atrae una aspiraciĂłn mĂĄgica. Quiere ver detrĂĄs del muro, ir a Marte, capturar el rayo, fabricar oro. No busca lucro ni gloria. Busca sorprender al universo en flagrante delito de ocultaciĂłn." (Louis Pauwels y Jacques Bergier; El retorno de los brujos, 1960)
Acostumbradoalfindelmundolandia: linktr.ee/acostumbradoalfindelmundo
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dandanjean · 7 months ago
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Matin des magiciens
Ce que l’on nomme Être est le mouvement : tout mouvement n’est pas l’expression d’un Ă©quilibre, mais d’un essai de mise en Ă©quilibre ou de l’équilibre non atteint. Et le simple fait d’ĂȘtre se manifeste dans l’intermĂ©diaritĂ© entre Ă©quilibre et dĂ©sĂ©quilibre. » Ceci date de 1919 et rejoint les rĂ©flexions contemporaines d’un physicien biologiste comme Jacques MĂ©nĂ©trier sur l’inversion de l’entropie.

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clubrogernimier · 5 months ago
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« La vraie femme. Celle qui nous vient du fond des Ăąges. Celle qui rayonne Ă  l'autre extrĂ©mitĂ© de la crĂ©ation. Je peux vous dire cela d'une maniĂšre plus directe. Deux races de femmes. L'une nombreuse, et l'autre en voie de disparition. Les femmes dans lesquelles on se branle. La femme avec qui l'on fait l'amour. Et avec qui faire l'amour, c'est se refaire de l'enfance. La vraie femme : celle qui connaĂźt les secrets des eaux, des pierres, des plantes, des bĂȘtes. Celle qui fixe le soleil et voit clair dans la nuit. Celle qui possĂšde la clĂ© de la santĂ©, de la paix transparente, des harmonies. La sorciĂšre blanche, la fĂ©e aux larges flancs humides, au visage d'ange flamand, aux longs cheveux blonds, aux yeux clairs, qui attendent l'homme pour recommencer avec lui le paradis terrestre
 Avec elle, toute la terre s'organise en fĂ©erie. Avec elle, il ya de l'immortalitĂ© dans l'air
 Le dĂ©sir qu'elle inspire est vide de tout dĂ©mon. Plonger en elle vous rĂ©ensemence et vous rĂ©vĂšle que la grande jouissance est chaste. La vraie femme, la femme rare. Celle que les anciens gnostiques appelaient « la femme de l'homme » et la « rosĂ©e de lumiĂšre ». Ils nommaient l'autre, qui est lĂ©gion, « la femme de la femme »  »
Louis Pauwels
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claudehenrion · 2 years ago
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''Catch 22''
  En 1964, Ă©tait paru, en traduction française, ''Catch 22'', de Joseph Heller, un de ces livres qui marquent une gĂ©nĂ©ration, ou qui ''aurait dĂ» marquer'', car s'il connut un triomphe en langue anglaise, il a bien ratĂ© sa cible en France, oĂč ses lecteurs Ă©ventuels voulaient avant tout oublier le service militaire de 3 ans ! Dans mon ''hit-parade'' culturel personnel, je le range prĂšs du ''Camp des Saints'' de mon regrettĂ© ami Jean Raspail, du ''Futur Ă  dĂ©jĂ  commencĂ©'' de Robert Jungk ou... des 150 premiĂšres pages du ''Matin des magiciens'' (Louis Pauwels & Jacques Bergier), qui ont, dans des registres diffĂ©rents, posĂ© le problĂšme de la nouvelle folie du monde.
Un de mes petits-fils, qui dĂ©bute dans la vie, voulait ''coloquer''(si le mot existe) mais les ''3 bulletins de salaire supĂ©rieurs Ă  ce qu'il peut espĂ©rer gagner'' sont incompatibles avec sa situation, et ses parents, trĂšs aisĂ©s mais indĂ©pendants, ne peuvent exhiber les dits ''bulletins''. Le pauvre avait rĂ©ussi Ă  contourner le fameux ''5 ans d'expĂ©rience demandĂ©s Ă  un dĂ©butant'', mais lĂ ... il a fallu qu'il se mettent Ă  2 et qu'il se fende d'une visite aux grands-parents... ravis de l'aubaine ! Cette histoire aussi frĂ©quente que stupide m’a remis en mĂ©moire ce livre... Je l'ai re-feuilletĂ©, hier.
Historiquement, Catch 22 fut une satire fĂ©roce de la Seconde Guerre mondiale, de l'armĂ©e et de la hiĂ©rarchie, Ă  travers l'Ă©popĂ©e burlesque d'un capitaine amĂ©ricain, navigateur sur un bombardier B-25, hĂ©ros tragi-comique qui tente de sauver sa vie en simulant la folie dans un monde qui a perdu la raison. Mais  un ‘‘Article 22â€Č’ du rĂšglement de l'Air-Force prĂ©voyait que ''Quiconque veut se faire dispenser d'aller au feu en invoquant sa folie n'est pas rĂ©ellement fou''. Autrement dit, quelqu'un jugĂ© en mauvaise santĂ© mentale n'est pas obligĂ© de prendre part aux missions aĂ©riennes, mais si c'est lui qui fait Ă©tat de cette faiblesse en demandant de rester au sol, il montre qu'il est en bonne santĂ© mentale... et doit, ‘’DONC’’, prendre l'air et voler.
Le livre voulait donc ''comprendre cet article 22'' (d'oĂč son titre, ''Catch 22'', catch voulant ici dire ''saisir'' ), et son succĂšs fut tel que ce titre est passĂ© dans le langage courant aux USA, pour dĂ©signer une situation perdant-perdant (inextricable), un dilemme kafkaĂŻen ou un Ă©tat dit  ''de double contrainte'', comme on en rencontre frĂ©quemment dans notre sociĂ©tĂ© qui se croit intelligente. (Rappel : on dĂ©signe par ''Une double contrainte'' --en anglais, ''a double bind''-- une situation dans laquelle une personne est soumise Ă  deux contraintes ou pressions contradictoires ou incompatibles, ou Ă  deux injonctions qui s'opposent mutuellement, augmentĂ©es d'une troisiĂšme contrainte qui empĂȘche tout individu de sortir de telles situations. Presque chaque problĂšme, en France, ressortit dĂ©sormais de cette pathologie).
Par exemple, nous l'avons dit, est ''catch 22'' tout Ă©tudiant qui postule Ă  un premier emploi pour lequel on demande ''5 ans minimum d'expĂ©rience professionnelle'' : pas question d'avoir l'emploi s'il n'a pas cette expĂ©rience, mais impossible d'avoir l'expĂ©rience s'il n'a pas l'emploi,. Ne riez pas en disant que ''je pousse le bouchon'' : notre monde soi-disant si Ă©voluĂ© est menĂ© --Ă  sa perte-- par des gens pleins de diplĂŽmes inutiles, qui invoquent sans cesse des principes vides de tout sens, jusqu’à dĂ©border d'exemples oĂč on ne peut Ă©chapper Ă  une situation paradoxale oĂč la solution au problĂšme ne peut ĂȘtre autre que... la cause de ce problĂšme. L'exemple le plus frĂ©quent, ces temps derniers, se trouve Ă©videmment dans les deux impossibilitĂ©s sans cesse brandies par le chef de l'Etat : ''quoi qu'il en coĂ»te''... et ''et en mĂȘme temps''. On a vu les drames que cela entraĂźne... et on n'a pas fini d'en souffrir, avec l'Ukraine... ou avec les 64 ans de travail qui en sont 43 sauf dans les cas oĂč etc... Personne ne sait plus Ă  quelle sauce il sera mangĂ©... ni par qui !
Ces exemples font comprendre que, outre des situations, des individus peuvent Ă©galement devenir des ''catch 22'' : irrĂ©cupĂ©rables, irrĂ©conciliables, qui croient voir ce qu'ils ne voient pas... ce qui est donc non-miscible avec les descriptions des mĂȘmes situations... revues, dĂ©formĂ©es et rendues incomprĂ©hensibles par ceux qui se sentent ''le droit de parler'' (journalistes, hommes politiques, intellectuels --de gauche, cela va de soi ! Les autres sont, juste, niĂ©s !) alors que c’est eux qui n’ont rien compris et qui ferment toutes les portes avant mĂȘme de savoir oĂč elles sont ! 
Quelques exemples exemples d''homo-catch22'' ? Philippe Murray, George Orwell, Arthur Koessler, Albert Camus... mais aussi Salman Rushdie, Alain Finkelkraut ou Pascal Bruckner, voire mĂȘme un Jacques Julliard, sans oublier les soignants et les pompiers non vaccinĂ©s... tous impossibles Ă  classer dans les ''cases'' habituelles et convenues, c’est-Ă -dire la marĂ©e mĂ©prisĂ©e de ceux qui sont honnis par les dix-mille ''sachants'' mais adorĂ©s par une grande partie des gens ''normaux'',  tous dotĂ©s d'une pensĂ©e claire mais qui n'a le droit, par principe, de ne dĂ©boucher que sur... rien... puisque ils sont rejetĂ©s par ceux qui se trompent et les trompent (en gros : le pouvoir et les instances officielles). Dans le monde politique, on citerait Jean-Marie lePen ou Eric Zemmour, mĂ©connus, conspuĂ©s... au motif qu'ils ont raison sur Ă  peu prĂšs tous les points dont ils parlaient, en refusant tout compromis /compromission...
''Etre catch 22'', c'est ou ce serait donc ĂȘtre capable de ne rien dire, faire ou penser qui soit un tant soi peu conforme au discours ambiant, Ă  cette doxa gaucho-progressiste qui ne peut dĂ©boucher que sur des catastrophes, aux idĂ©es (?) du courant ''main stream'' et, bien entendu, Ă  tout le fatras conceptuel qui ravage le monde devant nous, jour aprĂšs jour, sous des noms qui changent au courant des modes (en ce moment, ce sont les mortels ''woke'', ''racialisme'' et ''cancel culture'' qui dĂ©truisent tout bonheur possible. et toute vie en sociĂ©tĂ©). Une diffĂ©rence majeure avec tous les ravages prĂ©cĂ©dents est que la puissance de nos outils de communication permet de craindre que cette Ă©niĂšme tentative de tout dĂ©construire soit, finalement, la bonne... c'est Ă  dire la pire, celle sur laquelle on ne revient pas.
Il est Ă©vident que je n'aurais pas l’outrecuidance d'avancer une idĂ©e aussi dĂ©finitive si d'autres ne l'avaient pas exprimĂ©e avant moi, des ''autres'' dont l'intelligence, la culture et le savoir permettait de mettre en garde l'HumanitĂ© contre les dangers qui la menacent. J'ai, pour mon plus grand bonheur, passĂ© des heures Ă©blouissantes avec mon ami Jean Raspail, avec Jean FourastiĂ©, mon maĂźtre aux Hautes Etudes et avec Bertrand de Jouvenel Ă  ''The Innovation Group'' et meublĂ© mes loisirs en compagnie (virtuelle, par livres interposĂ©s, mais intense) de Jean-François Revel, de Pierre-Paul GrassĂ©, Pierre Chaunu, Jean-Emile Charon, ou Raymond Aron –dont Evelyne fut la collaboratrice-- mais aussi de Toqueville ou Joseph de Maistre et tant d'autres ''tĂȘtes bien faites'' Ă  qui je dois tant... et dont je dĂ©plore que leurs hĂ©ritiers, un Zemmour ou un Houellebeck..., n’aient pas, ou pas encore, l'intensitĂ©, la dimension' et la ''vista'' de leurs grands anciens : n'est pas ''catch 22'' qui veut !
Pourquoi ai-je Ă©prouvĂ© le besoin fort de partager avec vous ces quelques instants de nostalgie dans lesquels m'a fait tomber la relecture de quelques paragraphes des ''Souvenirs'' de Toqueville, oĂč il invente le mot superbe de ''despotisme dĂ©mocratique'' qui rĂ©sume parfaitement le faux dilemme qui nous tue Ă  petit feu, nous mettant dans la posture de la grenouille qui, chauffĂ©e lentement, ne se rend compte qu'elle est foutue que lorsqu'elle n'a plus la force de sauter hors de la casserole (NDLR : nous en parlions rĂ©cemment : ''on'' nous raconte de toute part que nous serions encore en dĂ©mocratie, au nom de quoi ''on'' nous impose des contraintes inacceptables. Nous vivons dans une ''dĂ©mocratie liberticide'' qui nous interdit de rĂ©aliser comme nous sommes tombĂ©s bas, et nous anesthĂ©sie... ).
Et un souvenir en appelant un autre, j'ai ressorti de ma mĂ©moire ce ''Catch 22'' qui permet de se rendre compte qu'il y a trĂšs longtemps que des miasmes purulents rongent notre bel Ă©difice, et que nous n'avons rien vu venir... ou si peu.  C'est notre cĂ©citĂ© qui fait que notre rĂ©veil doit ĂȘtre Ă  la hauteur des dĂ©fis qui nous sont lancĂ©s. Attendre ne servirait Ă  rien qu'Ă  nous rapprocher d'une fin qui n'est peut-ĂȘtre pas inĂ©vitable... mais qui semble bien avancĂ©e, hĂ©las. Il faut regretter que ''Catch 22'' n'ait pas eu, en France, le succĂšs qu’i mĂ©ritait !
H-Cl.
PS – La courte interruption due au deuil qui m'a non pas frappĂ© mais ''mis KO debout'', n'a Ă©tĂ©, en fin de compte que l'annonce de la ''trĂȘve estivale'' qui, chaque annĂ©e, met ce Blog entre parenthĂšses pour vous laisser profiter pleinement de vos vacances, sans venir ressasser que l'Ă©poque est triste, le futur glauque, l'avenir bouchĂ© et nous ''mal barrĂ©s''... Je vous propose donc, comme chaque annĂ©e, de ne plus faire paraĂźtre nos ''Ă©ditoriaux'' qu'une fois par semaine (sauf nĂ©cessitĂ©), et de nous retrouver, rituellement, le 6 septembre –c'est un mercredi--, si Dieu le veut... Je vous souhaite, du fond du cƓur, de superbes vacances... ''A PLUS'' !
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de-gueules-au-lion-d-or · 2 years ago
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« L’enjeu : rappeler Ă  l’existence la mentalitĂ© aristocratique, ressusciter l’esprit de la vieille Europe. Il ne s’agit pas d’un retour en arriĂšre. Il ne s’agit pas de rĂ©animer artificiellement des choses mortes. Mais de reprendre conscience d’un hĂ©ritage pour le recrĂ©er sous des formes nouvelles. »
Louis Pauwels
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citationfrancaisecom · 9 days ago
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Une civilisation sans culture fait des sociétés sans pédagogie.
Louis Pauwels
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dirklagast · 1 month ago
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Tachtig jaar sociale zekerheid!
Op 28 december 1944 ondertekende Achiel Van Acker, minister van Arbeid en Sociale Voorzorg, de Besluitwet betreffende de maatschappelijke zekerheid der arbeiders. Dit was de kroon op het werk dat – clandestien – aangevat was onder de bezetting van de nazi’s tijdens de Tweede Wereldoorlog. Vertegenwoordigers van de arbeidersbeweging (o.m. Achiel Van Acker, Louis Major, Henri Pauwels en Henri Fuss)

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palavradigital-blog · 2 months ago
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Um despertar para além da magia e do próprio realismo fantåstico
Transformado num best seller apĂłs o seu lançamento em 1960, O Despertar dos MĂĄgicos ( Le Matin des Magiciens), de Louis Pauwels e Jacques Bergier, ïżœïżœ uma obra singular que envolve ciĂȘncia, misticismo, esoterismo, histĂłria, teorias de conspiração e uma espĂ©cie de introdução ao Realismo FantĂĄstico, tendo como referĂȘncias no universo literĂĄrio Miguel Angel Asturias, Ruan Rulfo, Julio CortĂĄzar, Manuel

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negreabsolut · 4 months ago
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Coberta d'una de les edicions en anglĂšs d'Eternal Man (L'Homme Ă©ternel, en l'original francĂšs), de Louis Pauwels & Jacques Bergier.
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basicallyanotherwitchesthing · 2 years ago
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Louis Pauwels and Jacques Bergier - The Dawn Of Magic - Panther - 1969
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ulkaralakbarova · 7 months ago
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God lives in Brussels. On Earth though, God is a coward, morally pathetic and odious to his family. His daughter, Ea, is bored at home and can’t stand being locked up in a small apartment in ordinary Brussels, until the day she decides to revolt against her dad
 Credits: TheMovieDb. Film Cast: Ea: Pili Groyne God: BenoĂźt Poelvoorde God’s Wife: Yolande Moreau Martine: Catherine Deneuve François: François Damiens Marc: Serge LariviĂšre Jean-Claude: Didier De Neck AurĂ©lie: Laura Verlinden Willy: Romain Gelin Victor: Marco Lorenzini The Priest: Johan Heldenbergh Xenia, l’Allemande: Anna Tenta JĂ©sus Christ: David Murgia Kevin: Gaspard Pauwels Philippe: Bilal Aya Martine’s Husband: Johan Leysen Adam: Dominique Abel Eve: Lola Pauwels Catherine: Sandrine Laroche Marc (9 years old): Louis Durant Willy’s Father: Jean Luc Piraux Willy’s Mother: Anne-Pascale Clairembourg Journalist: Alice van Dormael Journalist: Caroline Lambert Journalist: JĂ©rĂŽme Varanfrain The Nurse: AĂŻssatou Diop Le nongĂ©naire: Armand Van Dormael La mĂšre de Georges: Viviane de Muynck Georges: Pascal Duquenne Le chef des loubards: HervĂ© Sogne L’homme qui vivra le plus longtemps: Kody Kim Le sans-papiers: Besnik Limani AndrĂ©e: MichĂšle-Anne De Mey MĂ©decin Willy: Jean-François Wolff Le gĂ©nĂ©ticien: Norbert Rutili MĂ©decin hĂŽpital: Luc Schiltz Passant micro-trottoir: Harry Cleven Musicien hĂ©licon: Jean-Henri CompĂšre Maquettiste: Tom Audenaert Clochard mĂ©tro: George Nixon Maman hĂŽpital: Ivone Semedo PublicitĂ© pompes funĂšbres: Christian Magnani François (8 ans): Tom Canivet La cousine de François: Clara Gunzig La fille des Allemands: Agatha Eleanor Masson AurĂ©lie enfant: Nora Young Femme wasserette: Anne-Marie Loop Jean-Claude enfant: Fabien Zeimes Ambulancier: Gabriel Boisante Professeur de hockey: Charlie Degotte ProstituĂ©e: ThĂ©rĂšse Kobankaya Le fils de François: Diego Dalmans Petite fille boulangerie: Hannah Gunzig Willy (6 ans): EiaĂ«l Lefranq Binon Danseuse main: Nora Alberdi Perez Le gorille: Kiko Mirales Sans abri devant l’église: Tanguy De Backer La fille du coiffeur: Elsa Houben Pianiste sur la plage: Julien Jakout Doublure lumiĂšre BenoĂźt Poelvoorde: Cyril Perrin L’automobiliste qui n’a plus que 0 seconde Ă  vivre: Jaco Van Dormael Kathy: Elisa Echevarria Menendez Film Crew: Producer: Jaco Van Dormael Editor: HervĂ© de Luze Screenplay: Thomas Gunzig Director of Photography: Christophe Beaucarne Original Music Composer: An PierlĂ© Script Supervisor: Elly Verduyckt Set Decoration: Pascalle Willame Production Design: Sylvie OlivĂ© Producer: Olivier Rausin Casting: MichaĂ«l Bier Casting: Patrick Hella Costume Design: Caroline Koener Makeup Artist: Kaatje Van Damme Special Effects Supervisor: Emilien Lazaron Assistant Director: Renaud Alcalde Sound: Michel Schillings Sound: François Dumont Producer: Daniel Marquet Sound: Dominique Warnier Choreographer: MichĂšle-Anne De Mey Movie Reviews: Reno: > Re-editing the god’s creation. I was looking forward for this since it was from one of my favourite directors who is a very unique storyteller. This is a fantasy and a black comedy from Belgium that was chosen to represent the country in the last Oscars. This is where the critics overtake the film fanatic to like it more. It is a theme that revolves on what would you do if you get a power to write the laws of the nature. A complicated topic, because loopholes are inevitable, but the writer and director did not care much about that and narrated the tale what they just wanted to tell. The story centres on an arrogant and abusive father who is also the creator the universe, especially the designer of the lives on the earth and this tale takes place in the Belgian capital, Brussels. When his bored and concerned daughter Ea, runs away from home to re-edit his creation as advised by her brother JC, he goes after her to ensure everything stay as he had planned. In an unexpected confrontation between father and daughter, in the end who is going to be victorious is the rest of the narration. Remember, there is a po...
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musicfromthedeathfactory · 11 months ago
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ᛉ NAZI UFOS ᛉ
Fact or fiction?
During World War II, Germany developed an interest in flying saucers, and an airport hangar in Prague was dedicated to research into their development. However, it is propertied that none of these experiments ever found their way off the ground - quite literally.
Several sources describe theories of Nazi association with the extraterrestrial.
The book “Le Matin des Magiciens” (1960) by Louis Pauwels and Jacques Bergier claimed that the Vril Society, a perhaps fictional secret society that would have served as a sort of inner circle of the Thule Society, made contact with extraterrestrial life and dedicated it’s cause to creating a UFO to reach these aliens. The book purports that the Vril Society worked with the Nazi Party to develop early prototypes of flying saucers. However, with the Nazi defeat, the group is said to have fled into a secret base in Antarctica, where they retreated into the Hollow Earth to meet with an advanced race that inhabited the inside of the planet.
German fascist writer Ernst ZĂŒndel claimed in his books that flying saucers were secret weapons developed by the Nazis in a secret underground base in Antarctica, and with this technology, the Nazis sought to conquer Earth and eventually the planets. This very well could have been a B.S. claim by ZĂŒndel however, as he is recorded as claiming that this was a hoax, and also charged an absurd $9999 dollars a seat for an expedition to find the Hollow Earth entrance in Antarctica that Pauwels and Bergier spoke of.
In his book, “The Golden Thread: Esoteric Hitlerism”, Chilean writer and diplomat Miguel Serrano incorporates the theories of Savitri Devi into the canon of Nazi UFO theories. Serrano suggests that Hitler, as an avatar of Vishnu, was in communication with ancient Hyperborean gods in, again, an underground Antarctic base. Serrano predicted that Hitler planned to lead a lead a fleet of UFOs from the base to establish a Fourth Reich.
Regardless of the more extravagant claims of these sources, one question remains: what happened in Antarctica?
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