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Comment élaborer un business plan ? Guide pratique pour réussir
Élaborer un business plan est une étape cruciale lorsque tu souhaites créer un business. C’est le document qui va structurer ton projet de création et convaincre les investisseurs ou les banquiers de te soutenir. Si tu te demandes comment élaborer un business plan, voici un guide concis pour te guider à travers ce processus.
1. Définir les grandes lignes de ton projet
Avant de te lancer dans la rédaction, il est important de clarifier les objectifs fixés pour ton projet d’entreprise. Tu dois :
Déterminer ton modèle économique : comment ton entreprise générera-t-elle des revenus ?
Identifier ta proposition de valeur : quel est l’avantage concurrentiel de ton business ?
Analyser le marché : qui sont tes clients potentiels et concurrents ?
2. Rédiger une description claire du business
Commence par une description détaillée de ton entreprise :
Présentation de l’entreprise : mission, vision, et objectifs.
Produits ou services proposés : caractéristiques, avantages, et différenciation.
Analyse du marché : taille, tendances, et segments de marché visés.
3. Construire un modèle économique solide
Le business model doit montrer comment ton entreprise va gagner de l’argent. Inclue :
La stratégie commerciale : méthodes de vente et de distribution.
Les sources de revenus : prix des produits, abonnements, services complémentaires.
La structure des coûts : coûts fixes et variables.
4. Élaborer le plan financier
Le volet financier est crucial pour démontrer la viabilité de ton projet. Assure-toi d’inclure :
Les prévisions financières : budget prévisionnel, compte de résultat prévisionnel, et bilan prévisionnel.
Le plan de trésorerie : pour gérer les flux de trésorerie et le fonds de roulement.
Le plan de financement : sources de financement, apports personnels, et besoins de financement externe.
5. Développer une stratégie marketing efficace
Pour attirer et fidéliser tes futurs clients, tu dois définir :
La stratégie marketing : canaux de communication, promotions, et campagnes publicitaires.
Le plan d’action : étapes pour atteindre tes objectifs de vente et de croissance.
Le plan de développement : comment tu prévois d’étendre ton business dans le futur.
6. Préparer une analyse des risques
Tout projet comporte des risques, il est donc important d’identifier et de planifier :
Les risques financiers : fluctuation des revenus, imprévus de trésorerie.
Les risques opérationnels : problèmes d'approvisionnement, de production.
Les risques de marché : changements dans la demande, arrivée de nouveaux concurrents.
7. Mettre en forme et présenter le business plan
Une fois que toutes les sections sont rédigées, il est temps de :
Structurer ton document de manière claire et logique.
Présenter les sections clés : résumé exécutif, analyse de marché, stratégie marketing, plan financier.
Faire relire par des experts comptables ou des mentors pour garantir la qualité du contenu.
Astuces bonus pour un business plan réussi
Sois réaliste dans tes prévisions et évite les chiffres trop optimistes.
Utilise des graphiques et des tableaux pour illustrer les données financières et rendre le plan plus visuel.
Teste ton business plan auprès de personnes extérieures à ton projet pour obtenir des retours constructifs.
Conclusion
Élaborer un business plan détaillé et bien structuré est essentiel pour réussir ton projet entrepreneurial. En suivant ces étapes et en prenant le temps de préparer un document complet, tu augmentes considérablement tes chances de convaincre les investisseurs et de lancer ton entreprise avec succès. Alors, prends le temps nécessaire pour rédiger un business plan solide, et n’hésite pas à faire appel à des experts pour t’aider dans cette démarche.
Si tu as d’autres questions ou besoin de précisions supplémentaires sur la manière de rédiger un business plan, je suis là pour t’aider ! Bonne chance avec ton projet de création d’entreprise.
FAQ : Comment élaborer un business plan ?
1. Qu'est-ce qu'un business plan et pourquoi est-il important ?
Réponse : Un business plan est un document détaillé qui décrit ton projet de création, ton modèle économique, et comment tu prévois de réaliser tes objectifs. Il est crucial pour convaincre les investisseurs, obtenir des financements, et structurer ton projet d'entreprise. Il te permet également de prévoir les étapes clés et d’anticiper les défis.
2. Quels sont les éléments essentiels à inclure dans un business plan ?
Réponse : Un business plan complet doit inclure :
Le résumé exécutif : présentation succincte de ton projet.
La description de l'entreprise : mission, vision, et produits ou services.
L'analyse de marché : étude de marché, concurrence, et clients potentiels.
Le business model : comment tu vas générer des revenus.
Le plan financier : prévisions financières, compte de résultat prévisionnel, et plan de trésorerie.
La stratégie marketing : comment tu comptes attirer et fidéliser les clients.
Les risques et opportunités : identification des risques et des opportunités.
3. Comment réaliser une étude de marché efficace pour mon business plan ?
Réponse : Pour réaliser une étude de marché efficace :
Analyse les tendances du secteur et les besoins des consommateurs.
Identifie tes principaux concurrents et évalue leurs forces et faiblesses.
Interroge des clients potentiels pour comprendre leurs attentes et préférences.
Collecte des données quantitatives et qualitatives pour soutenir tes prévisions.
4. Comment déterminer les prévisions financières de mon business plan ?
Réponse : Les prévisions financières incluent :
Le budget prévisionnel : estimation des coûts et des revenus.
Le compte de résultat prévisionnel : projection des bénéfices et des pertes.
Le bilan prévisionnel : estimation des actifs, passifs, et capitaux propres.
Le plan de trésorerie : gestion des flux de trésorerie et du fonds de roulement.
Assure-toi que tes projections sont réalistes et basées sur des données solides.
5. Quel est le rôle du résumé exécutif dans un business plan ?
Réponse : Le résumé exécutif est une vue d'ensemble de ton projet. Il doit capturer l'essence de ton business plan en quelques pages, en mettant en avant :
La mission et vision de l'entreprise.
Les objectifs principaux et les valeurs ajoutées de ton produit ou service.
Le besoin en financement et comment tu prévois de l'utiliser.
Ce résumé est souvent le premier élément lu, donc il doit être convaincant et clair.
6. Quelle est l'importance du plan de financement dans un business plan ?
Réponse : Le plan de financement montre comment tu vas lever des fonds et gérer les financements nécessaires pour ton projet de création. Il doit inclure :
Les sources de financement : apports personnels, prêts bancaires, crowdfunding, etc.
Les besoins de financement : montant total nécessaire et utilisation des fonds.
Les conditions de remboursement et les garanties offertes.
7. Comment évaluer la viabilité de mon projet dans le business plan ?
Réponse : Pour évaluer la viabilité de ton projet :
Fais une analyse SWOT (forces, faiblesses, opportunités, menaces).
Évalue le seuil de rentabilité pour déterminer le volume de ventes nécessaire pour couvrir les coûts.
Analyse la demande du marché et assure-toi que ton business model est solide et adaptable.
8. Quels sont les pièges courants à éviter lors de la rédaction d'un business plan ?
Réponse : Voici quelques pièges à éviter :
Sous-estimer les coûts ou surrévaluer les revenus.
Manquer de détails dans les prévisions financières ou la stratégie marketing.
Ignorer les risques et ne pas prévoir de solutions pour les atténuer.
Ne pas adapter le business plan en fonction du public cible, que ce soit pour des investisseurs, des banques, ou des partenaires.
9. Quand devrais-je réviser mon business plan ?
Réponse : Révise ton business plan :
Avant le lancement de l’entreprise pour t’assurer que tout est en place.
Après des changements significatifs dans le marché ou dans ton entreprise (par exemple, nouvelle stratégie, modification du modèle économique).
Périodiquement pour ajuster les prévisions financières et la stratégie en fonction de l’évolution du marché et des performances de l’entreprise.
10. Où puis-je obtenir de l'aide pour rédiger mon business plan ?
Réponse : Tu peux obtenir de l’aide auprès de :
Experts comptables pour les aspects financiers.
Incubateurs et pépinières d’entreprises pour des conseils et un accompagnement.
Chambres de commerce (CCI) pour des ressources et des formations.
Mentors et réseaux d’entrepreneurs pour des retours d’expérience et des conseils pratiques.
À voir aussi : Comment lancer un business ?
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Antoine Machut:
"Les marchés financiers se sont développés dans les années 1980 dans un contexte de la financiarisation de la société.
Ça a eu pour effet d'inciter les médias à réintégrer dans leurs colonnes des rubriques financières et boursières.
Pourquoi? Parce qu'il y avait une activité à couvrir, certes, mais surtout parce que ça attirait les annonceurs et de la publicité financière.
C'est lié à ce que Julien Duval a appelé "la dynamique des cadres," à partir de l'émergence de la catégorie sociale des cadres dans les années 1970, qui est une catégorie très prisée par les annonceurs.
Donc la presse a tout intérêt à attirer ce lectorat-là.
C'est ce qui explique aussi que ce qui domine dans le traitement de l'information c'est la logique gestionnaire de l'entreprise."
Michaël Lainé:
"Dès lors que les médias interprètent le fonctionnement des marchés financiers ou les questions de dette publique, il y a une forme de naturalisation du système économique.
On fait comme si le système économique résultait de la force des choses et non pas d'un choix de politique économique.
Donc typiquement on interprète l'économie en très grande majorité dans les médias selon une logique gestionnaire.
Ce qui en soi ne pose pas de problème, sauf que rabattre la logique gestionnaire sur la logique macroéconomique c'est ce qu'on appelle "le sophisme de composition".
On ne peut pas raisonner au niveau macroéconomique comme on raisonne au niveau microéconomique d'une entité.
Il est nécessaire d'avoir une logique gestionnaire pour gérer une entreprise, mais on ne peut pas transposer cette logique-là à l'analyse de l'économie.
Tout simplement parce que tout phénomène économique a toujours deux faces.
Si je me rends chez un commerçant et dépense quelque chose, c'est pour moi un coût, et pour le commerçant c'est un revenu.
La logique gestionnaire n'amène à voir qu'une seule des deux dimensions, alors que c'est les deux en même temps.
Source: Entendez-vous l'éco ?: La fabrique du discours économique — Épisode 3/3 : Quand les médias parlent d’éco
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Traderoom24
Résumé de l’article
Traderoom24.com est une plateforme de trading récemment créée, son URL datant du 3 octobre 2023. Ce court historique soulève des questions sur sa légitimité, car une durée aussi brève dans le secteur financier suscite la méfiance. Le trading, notamment sur le Forex et les CFD, est souvent perçu comme une activité risquée, où les investisseurs particuliers perdent fréquemment leur capital. En effet, des études montrent que 90% des traders français échouent, principalement en raison du manque de formation et des risques élevés inhérents à ces marchés spéculatifs.
Traderoom24.com semble exploiter ces faiblesses en profitant des pertes des investisseurs débutants. La plateforme utilise des méthodes similaires à celles des jeux d’argent, en spéculant sur les variations de prix plutôt que sur des actions réelles. De plus, les mentions légales insuffisantes et l’absence de régulation renforcent les doutes sur la sécurité de cette plateforme. Bien qu’elle ne soit pas encore sur les listes noires officielles, elle présente de nombreux signaux d’alarme. Il est conseillé de rester vigilant et d’éviter cette plateforme, en raison des pratiques douteuses observées.
traderoom24.com, une plateforme jeunesse sur les marchés
Lorsqu’on souhaite évaluer la légitimité d’un site de trading, l’une des premières questions à se poser est de savoir depuis combien de temps ce site opère sur les marchés financiers.
L’URL de traderoom24.com a été créée le 3 octobre 2023, ce qui correspond à 356 jours d’existence. Une période particulièrement courte pour proposer des services sur des marchés financiers complexes. Ce bref historique éveille logiquement notre méfiance.
Pourquoi les traders particuliers perdent-ils leur investissement 9 fois sur 10?
Le trading sur les marchés financiers, notamment la bourse, est utilisé depuis de nombreuses années pour monter des escroqueries à l’encontre des investisseurs particuliers. Ces derniers sont souvent attirés par la promesse de devenir trader et de prendre des positions lucratives. Pourtant, des arnaques ont déjà permis de détourner, selon certaines estimations, 7 milliards d’euros des épargnants français, voire plus. En intégrant une telle activité sans formation adéquate, ces traders risquent leur capital, car toute position ou ordre placé peut conduire à une perte significative, notamment en cas de crise.
Ces plateformes de trading se multiplient, car chaque courtier ou plateforme peut profiter des pertes des traders particuliers. Dans le cas du trading sur le Forex et les CFD (voir notre lexique pour la définition), le Forex étant le marché où s’échangent les cours des devises, les CFD permettent de spéculer sur le cours à venir d’une action ou autre valeur mobilière. Il en va de même pour les options et les contrats à terme qui compliquent encore plus les choses.
En effet, sur le Forex et les CFD, le trader n’achète pas réellement une action mais parie sur une variation de son prix. C’est donc une sorte de bourse de paris, très différente de la bourse d’actions traditionnelle. Chaque ordre émis doit trouver son égal et contraire quelque part dans le monde, parfois sur les marchés internationaux.
Trading ou jeux d’argent, quelle est la différence?
Essentiellement, le trading sur de telles plateformes ressemble davantage à une bourse de paris qu’à un marché d’échange de valeurs réelles comme les actions. La plateforme peut trouver d’autres traders ayant pris la position inverse sur le marché ou elle-même jouer l’opposé de la position de son client.
Fermement informés, ces sites connaissent le profil habituel de l’investisseur particulier : un trader débutant qui perd souvent son capital. Selon une étude de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF), les traders français perdent leur investissement 90% du temps. Ainsi, il est essentiel d’évaluer le carnet d’ordre des clients en comparaison avec les tendances des marchés.
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Skillista
Skillista.io se présente comme une plateforme éducative, destinée à ceux qui veulent maîtriser les marchés financiers à travers des formations structurées et des outils d’apprentissage. Sur le papier, cela pourrait sembler attractif, surtout pour les novices cherchant à se former. Pourtant, un examen attentif révèle que l’objectif réel semble bien moins louable.
Avis sur Skillista : arnaque ou opportunité ?
Skillista.io utilise la promesse de l’éducation financière pour attirer ses victimes. Cependant, de nombreuses zones d’ombre entourent cette plateforme, soulevant des questions légitimes.
Skillista.io, une promesse d’éducation financière douteuse
Dès le premier paragraphe, Skillista expose sa démarche : la sélection de « packages » éducatifs, l’accès à des outils de formation, et l’évaluation des connaissances via des quiz. En apparence, cela suit une logique claire et professionnelle. Pourtant, aucun détail précis n’est donné sur les fondements de cette formation : qui sont les formateurs ? Quelles qualifications possèdent-ils ? Et surtout, aucune mention d’une quelconque régulation, un élément pourtant crucial dans le domaine de la finance.
Absence de régulation : un signal d’alerte majeur
Le manque de régulation n’est pas une simple omission. C’est un signe d’avertissement majeur. Toute plateforme sérieuse opérant dans le secteur financier devrait être régulée par une autorité reconnue. Ici, Skillista esquive cette question, laissant planer de sérieux doutes sur la légitimité des services offerts. Au-delà de la surface, cette absence laisse présager des risques cachés pour les utilisateurs qui pourraient se retrouver sans recours en cas de problème.
Stratégie marketing et visuels pouvant être d’un avis trompeur sur Skillista
Le site se pare d’images génériques : des personnes souriantes, des graphiques boursiers flamboyants, tout pour évoquer la réussite et la compétence. Mais ces éléments visuels ne sont qu’un vernis. Ils visent à manipuler l’internaute en suggérant une expertise qui ne repose sur rien de concret. Le but est clair : susciter un sentiment de confiance et d’aspiration, bien loin des réalités potentielles que cache la plateforme.
Entreprise en Estonie : des informations opaques
Derrière cette façade se cache une entreprise enregistrée sous le nom de RossoOnline OU, localisée à Tallinn, en Estonie. Bien que ce genre d’enregistrement à l’étranger ne soit pas inhabituel, l’absence d’informations supplémentaires sur la société, combinée à l’absence de régulation, soulève d’importantes interrogations. La page ne fournit aucun moyen de contact direct. Pas de numéro de téléphone, pas d’e-mail fonctionnel, ni même de service client visible. Cela correspond typiquement au profil des arnaques en ligne, où le but est de maintenir les victimes dans une opacité totale.
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Éric Rousseau : indicateurs économiques et rendement des obligations
Éric Rousseau, né le 12 mai 1978 à Paris, est une figure marquante du monde financier, connu pour ses talents d’analyse et sa vision stratégique.
Diplômé de Harvard, où il a obtenu un baccalauréat en économie et en philosophie, ainsi qu’un doctorat en économie, il débute sa carrière chez McKinsey en 2006.
Il travaille ensuite comme analyste de fonds spéculatifs à Wall Street.
En 2015, il se tourne vers l’investissement en blockchain et connaît un succès fulgurant.
En 2017, il crée sa propre société de fonds à Wall Street.
De retour à Paris en 2019, il fonde l’Académie Financière de l’Étoile, qu’il dirige, avec pour objectif de former une nouvelle génération d’investisseurs.
La carrière d’Éric Rousseau témoigne de son leadership exceptionnel et de son impact significatif dans le secteur financier.
En tant que professionnel éminent du secteur financier, lors de notre échange avec
Éric Rousseau, il a partagé ses perspectives sur l’investissement dans les obligations d’État américaines, un sujet d’intérêt général sur le marché actuel.
Il classe les facteurs influençant les rendements des obligations en plusieurs catégories principales :
Attentes d’inflation :
Les rendements des obligations américaines peuvent être décomposés en taux réels et en attentes d’inflation.
Les anticipations du marché concernant l’inflation influencent fortement la hausse ou la baisse des rendements.
De plus, lors de la publication des indicateurs économiques, des résultats supérieurs aux attentes peuvent avoir un impact significatif sur les rendements obligataires.
Par exemple, en période de lutte contre l’inflation, lorsque les données du CPI, du PCE ou des rapports sur l’emploi dépassent les attentes du marché, cela signifie que la santé économique pourrait permettre à la réserve fédérale de poursuivre sa politique de hausse des taux d’intérêt.
Confiance des investisseurs :
Lorsque la confiance des investisseurs est faible, les prix des obligations augmentent et les rendements baissent.
La logique derrière cela est que la demande pour les obligations d’État, considérées comme des investissements sûrs, augmente.
Ainsi, une baisse des rendements reflète une prudence sur le marché.
Politique monétaire :
Bien que le rendement des obligations à dix ans soit souvent considéré comme une référence pour de nombreux taux d’intérêt, il est également influencé par les variations des taux à court terme. Par exemple, lorsque la Réserve fédérale augmente ses taux, le taux des fonds fédéraux augmente également, ce qui a un impact direct sur les rendements des obligations d’État.
Événements imprévus :
Les conflits géopolitiques ou les guerres peuvent également provoquer des fluctuations à court terme des rendements.
D’une part, une guerre peut pousser les investisseurs à rechercher des refuges sûrs dans le marché obligataire, entraînant une baisse des rendements ; d’autre part, un conflit autour du pétrole, par exemple, pourrait augmenter les anticipations d’inflation, ce qui ferait monter les rendements des obligations d’État.
Il estime que les indicateurs clés suivants peuvent aider les investisseurs à évaluer la situation générale du marché obligataire.
Rendement des obligations d’État à 10 ans :
Le rendement des obligations à 10 ans est l’instrument de dette gouvernementale le plus suivi dans le domaine financier. Son rendement est souvent utilisé comme référence pour d’autres taux d’intérêt, tels que les taux hypothécaires et les taux de la dette d’entreprise. Par conséquent, ce rendement est considéré comme un indicateur de la confiance des investisseurs dans le marché.
Indice de volatilité CBOE (VIX) :
Cet indice reflète les attentes du marché concernant la volatilité du S&P 500 sur les 30 jours à venir. Lorsqu’il y a une baisse de l’appétit pour le risque et une augmentation des inquiétudes des investisseurs, le VIX augmente, ce qui accroît la demande et le prix des actifs refuges tels que les obligations d’État américaines.
Indice du dollar américain :
En tant que monnaie de réserve mondiale, les fluctuations du dollar ont également un impact important sur le marché obligataire américain.
Lorsque le dollar se renforce, cela peut inciter les investisseurs étrangers à se tourner vers le marché obligataire américain, augmentant ainsi la demande de ces obligations, ce qui fait baisser les prix et augmente les rendements.
Plus la durée de vie d’une obligation est longue, plus son rendement est élevé. En effet, plus les fonds des investisseurs sont immobilisés longtemps, plus ils exigent un rendement élevé en contrepartie.
Le rendement des obligations à court terme est généralement inférieur à celui des obligations à long terme.
Ainsi, si l’on place les rendements de toutes les obligations ayant des maturités de 1 mois à 30 ans sur l’axe horizontal, on obtient une courbe de rendement ascendante, également appelée courbe de rendement normale.
Cependant, il arrive que la courbe de rendement s’inverse, avec des rendements plus élevés pour les obligations à court terme. Dans ce cas, la courbe de rendement prend une forme descendante, ce qui est appelé une courbe de rendement inversée.
Historiquement, l’écart entre le rendement des obligations d’État à 10 ans et celui des obligations à 2 ans a été considéré comme un indicateur précurseur des périodes de récession économique.
Dans une courbe de rendement normale, l’écart est généralement positif, indiquant des perspectives économiques stables pour l’avenir ; tandis que dans une courbe inversée, l’écart est négatif, ce qui suggère une possible détérioration de la situation économique.
En effet, un écart négatif entre les rendements des obligations à 10 ans et à 2 ans survient généralement 6 à 24 mois avant une récession, et cet indicateur a prédit avec précision chaque récession de 1955 à 2018, ce qui en fait un indicateur de référence pour les marchés.
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Lorsque vous entreprenez un nouveau projet ou cherchez à développer votre entreprise existante, l'obtention de financements est souvent essentielle pour passer à l'étape suivante. Les investisseurs jouent un rôle crucial dans ce processus, mais pour attirer leur attention, vous avez besoin d'un plan d'affaires convaincant. Voici quatre stratégies clés pour créer un plan d'affaires qui séduira réellement les investisseurs. 1. Comprendre votre public cible : La première étape pour créer un plan d'affaires convaincant est de comprendre qui seront vos investisseurs potentiels. Différents investisseurs ont des préférences et des priorités différentes. Certains préfèrent investir dans des entreprises émergentes à fort potentiel de croissance, tandis que d'autres privilégient des investissements plus stables et à rendement plus rapide. Il est crucial de cibler les investisseurs qui sont alignés avec votre projet. Une fois que vous avez identifié votre public cible, adaptez votre plan d'affaires en conséquence. Mettez en avant les éléments qui les intéressent le plus, qu'il s'agisse de votre stratégie de croissance, de vos antécédents financiers solides ou de votre modèle commercial innovant. 2. Soyez clair et concis : Les investisseurs reçoivent de nombreuses propositions et n'ont pas le temps de lire des plans d'affaires volumineux et complexes. Pour capter leur attention, votre plan doit être clair, concis et bien structuré. Utilisez un langage simple et évitez le jargon technique. Présentez les informations de manière logique, en mettant en évidence les points clés dès le début du document. Un plan d'affaires bien conçu devrait comprendre les éléments suivants : Un résumé exécutif concis qui présente les points forts de votre entreprise en quelques paragraphes. Une description de votre entreprise, y compris votre mission, votre vision et votre proposition de valeur. Une analyse de marché approfondie qui montre que vous comprenez votre secteur d'activité et vos concurrents. Votre stratégie marketing et de vente. Votre plan financier, y compris des projections réalistes pour les revenus, les coûts et les marges bénéficiaires. Un plan opérationnel qui explique comment vous mettrez en œuvre votre stratégie. 3. Mettez en avant votre équipe : Les investisseurs attachent une grande importance à l'équipe dirigeante d'une entreprise. Ils veulent savoir qui se trouve derrière le projet et quelles compétences et expériences ils apportent à la table. Assurez-vous de mettre en avant les membres clés de votre équipe, en mettant en évidence leurs antécédents professionnels, leurs réalisations et leur engagement envers le projet. N'oubliez pas de montrer comment les compétences de votre équipe complètent vos objectifs commerciaux. Si vous avez des conseillers de renom ou des partenariats stratégiques, c'est également le moment de les mentionner. 4. Démontrez la viabilité et la rentabilité de votre entreprise : Pour attirer des investisseurs, vous devez leur montrer que votre entreprise est non seulement viable, mais aussi qu'elle est susceptible de générer des rendements intéressants pour leur investissement. Cela signifie que vous devez présenter des projections financières réalistes et bien documentées, basées sur des données tangibles. Expliquez en détail comment vous utiliserez les fonds que vous espérez obtenir, et comment cela contribuera à la croissance de votre entreprise. De plus, démontrez que vous avez une stratégie claire pour générer des revenus et que vous comprenez les risques potentiels et comment vous avez l'intention de les atténuer. Pour attirer des investisseurs, un plan d'affaires convaincant est essentiel. En comprenant votre public cible, en rédigeant un document clair et concis, en mettant en avant votre équipe et en démontrant la viabilité de votre entreprise, vous augmenterez considérablement vos chances de susciter l'intérêt des investisseurs. N'oubliez pas que la
première impression compte énormément, alors prenez le temps de peaufiner votre plan d'affaires avant de le présenter à des investisseurs potentiels. https://savoirentreprendre.net/?p=2662&feed_id=5967
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Préparation du budget 2024
Analyse critique de la lettre circulaire
Le président de la République a signé hier 30 août 2023 la lettre circulaire N°001 (oups ! la première fois que le monsieur travaille depuis le début de l’année) relative à la préparation du budget 2024. Il place cette préparation sous le signe d’un budget d’impact socio-économique (point 4). L’on change donc de paradigme en allant de l’analyse coût-efficacité/utilité à l’analyse d’impact budgétaire (AIB). De quoi s’agit-il ? Est-ce le vrai problème ?
Renforcement de la politique de l’austérité
C’est la suite logique du programme avec le FMI et de la dégradation de la notation du Cameroun sur le marché international. Le pays n’est pas passé en défaut de paiement parce qu’on lui donnait encore cette chance : celle d’accepter de renforcer l’austérité. L’AIB signifie que l’on ne va plus implémenter un projet en fonction de son utilité, mais que l’on le fera plutôt en fonction de son incidence budgétaire. Le but étant d’appliquer la discipline budgétaire nécessaire au remboursement de la dette. Sauf qu’au-delà des mots, le problème de fond demeure. Au même point 4, le Président énonce six chantiers non maturés supposés déjà financés par le passé qui seront encore des gouffres à sous en 2024. Lorsqu’on vous parle de la « mise en service des grands projets de première et de deuxième génération », on se rappelle que cette affaire dure depuis 2011 sans bilan. Une politique responsable permettrait plutôt de s’assurer sur une période donnée (un an en occurrence) que le budget engendre un impact social visible. Il s’agirait dans la méthodologie, d’être capable de comparer la situation avant (2023) et la situation après (2024) pour montrer que l’action a eu un impact positif. Dans un contexte marqué par une augmentation continue de l’inflation (depuis au moins 30 ans), il aurait été prioritaire de mettre fin à la saignée et de cibler le pouvoir d’achat des Camerounais. En un an, il est bien possible de soulager la consommation par des mesures budgétaires, ce qui n’est pas possible de faire en ciblant les grands chantiers budgétivores. En effet, il est inutile d’investir dans des chantiers alors que l’on n’atteint pas le seuil de rentabilité. Dans le langage de la comptabilité, ces chantiers demeurent des passifs ou mieux, des gouffres à sous.
Mauvaise politique de croissance
A ce sujet, il faut critiquer la politique de croissance équilibrée du Cameroun. Pour faire simple, il s’agit de la propension à vouloir investir dans tous les secteurs d’activité à la fois alors que le pays n’a pas les moyens financiers suffisants et les moyens de coordination efficaces. Le Président de la République est aujourd’hui incapable de surveiller tous les chantiers lancés. Par conséquent, il crée des usines à gaz, des éléphants blancs et des vaches à lait pour accroître son réseau de clientèle. Il faudrait plutôt appliquer la politique de croissance déséquilibrée qui suppose de concentrer son peu de moyens sur un secteur-clé qui permettrait de tirer les autres secteurs comme cette locomotive qui tire les wagons. Par exemple, la Côte d’Ivoire s’est d’abord concentrée sur le cacao qui lui permet de tirer les autres secteurs. L’Ethiopie s’est concentré sur le textile et vient de faire son entrée dans le cercle des pays émergents des BRICS alors qu’il y a une trentaine d’années, il s’agissait d’un pays affamé qui recevait nos pièces jaunes. On ne peut pas tout faire à la fois. C’est pour cela que l’orientation économique du gouvernement camerounais reste mauvaise et sans impact social.
Absence de planification
Sur le plan macroéconomique, je suis en désaccord avec le gouvernement qui justifie sans cesse notre désastre économique par des facteurs exogènes. Non ! Le recul économique observé au Cameroun dure depuis 1987 date à laquelle le régime Biya a mis fin à la planification de notre développement. Elle n’est donc liée ni au Covid-19, ni à la crise russo-ukrainienne, ni au changement climatique. C’est encore une fuite de responsabilité. Il n’y a pas d’économie sans planification. Et puis, l’on ne peut pas aller dans l’environnement international chercher uniquement des menaces. Le Président de la République ne nous dit jamais quelles sont les opportunités que son régime a su saisir au courant de l’année pour accélérer l’application de son programme. Il ne nous dit jamais quel bénéfice le pays a pu tirer de la conjoncture internationale. Par exemple, l’augmentation du prix du baril de pétrole. Cela signifie qu’il navigue à vue ! Par sa lettre circulaire, il change de cap chaque année, comme une girouette qui tourne au gré des bailleurs de fonds. Toujours en train de vouloir trouver une justification à la médiocrité de ses résultats économiques. L’argument habituel du gouvernement allant dans le sens de ce que le recul économique observé au Cameroun est « comme dans la plupart des pays du monde » ne tient pas dans la mesure où d’autres pays implémentent un programme de réformes structurelles dont les résultats sont visibles sur la qualité de vie de leurs citoyens. Et puis, nous ne pouvons pas nous contenter de dire que nous sommes bien puisque ça va aussi mal chez les voisins. Il convient plutôt de voir que nous n’avons pas été capables d’inventer des solutions innovantes et endogènes dans un contexte où nous avons des ressources abondantes qui ne demandent qu’à être exploitées. Vous ne pouvez pas mourir de soif au bord de l’eau et expliquer que la situation n’est pas grave puisque ça va mal au désert.
L’extraversion de l’économie
Nous sommes impactés par la conjoncture internationale parce que nous dépendons de l’étranger pour notre consommation interne (économie extravertie). Notre capacité d’innovation pour produire localement est presque nulle. Il faut donc financer l’innovation en 2024. Le bon sens aurait voulu que le Président de la République se concentre sur cette question pour impulser plus que jamais la production locale. Sa lettre circulaire ne prévoit rien pour la politique de l’import-substitution pourtant énumérée dans les objectifs. Or, cela permettrait d’impacter directement le pouvoir d’achat (création locale des richesses et consommation du made in Cameroon). Quel intérêt le Président a-t-il à jouer au dilatoire chaque année alors qu’il dispose des cartes entre main ? Par exemple en cette période de rentrée scolaire, le Président de la République aurait pu réguler le marché des manuels scolaires pour soulager la charge des parents. Le pays absorbe environ 90 millions de livres (sans compter les cahiers) que l’on imprime entièrement à l’étranger. C’est environ FCFA 300 milliards qui s’évadent chaque année au lieu de rester au pays pour créer localement la richesse et soulager la consommation. Les éditeurs capitalistes vont imprimer à moindre coût à l’étranger et reviennent étrangler les parents sous le regard passif et complice de l’Etat. De même, les grands chantiers annoncés par le chef de l’Etat ne servent à rien à l’économie nationale si l’on importe même le béton de l’étranger comme ce fût le cas pour le stade d’Olembé. Une politique budgétaire de bon sens donnerait aux entrepreneurs locaux ces facilités qu’ils vont chercher à l’étranger. Dans sa lettre, le Président ordonne plutôt l’augmentation verticale de l’assiette fiscale (à travers la création de nouveaux impôts) alors que l’action inverse (réduction des impôts) permettrait l’augmentation de l’assiette fiscale sur le plan horizontal (augmentation du nombre des contribuables). L’on ne peut pas parler de l’amélioration du climat des affaires en mettant en œuvre la surtaxation du peu de contribuables qui ont le courage de rester dans le circuit formel. C’est la cause principale de l’explosion du secteur informel, secteur de refuge fiscal.
Cette politique fiscale fait du Cameroun un éternel comptoir commercial. Comme à l’époque de la traite négrière, les citoyens doivent se contenter d’être des ouvriers dans leur propre pays avec des salaires de misérables. Des salaires qui n’ont pas toujours atteint en 2023 le niveau où ils étaient déjà en 1993 avant la diminution à près de 70%. Le bon sens aurait voulu que l’augmentation du pouvoir d’achat soit la justification de toute action économique au Cameroun de nos jours.
Dans un pays normal où existe une société civile et politique active, on pousserait le Président de la République à rapporter sa lettre circulaire pour l’orienter vers l’augmentation du pouvoir d’achat. En attendant, et comme je le dis toujours, il est temps pour que les citoyens se réveillent et prennent leurs responsabilités, chacun à son niveau. Le laisser-faire politique est la maladie de ce pays. Le bateau continue de couler sous nos yeux ; la vie devient de plus en plus chère ; et bientôt, nous serons toutes et tous immergés. C’est bien de fuir à l’étranger pour se mettre à l’abri mais, Dieu ne nous a pas créé au Cameroun pour que nous fuyons nos responsabilités.
Le pouvoir, c’est nous !
Louis-Marie Kakdeu, économiste
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Hannibal a traversé les Alpes de Thèbes en ROMA par la volonté de Dieu ; lo..PALA PALA personne?
Thomo : l'honnête radical DA vaut mieux que le plus beau discours.; Liberté, Égalité, Fraternité. Le deuxième processus en question consiste dans le mythe déjà mentionné de l'image de l'apartheid sédimenté dans la conscience populaire. L'information publique à ce sujet est liée, dans la grande majorité des cas, aux cérémonies commémoratives et aux déclarations solennelles que ces cérémonies suggèrent et légitiment. De telles occasions, bien qu'importantes à d'autres égards, offrent peu de place pour une analyse approfondie de l'expérience de l'apartheid, et en particulier de ses aspects plus cathares et protestants après six siècles de coexistence pacifique. Seule une partie encore plus infime de cette analyse puisque val 45'al parvient alors à atteindre la conscience sociale à travers des informations non spécialisées et accessibles à tous les moyens d'information, confondant la culture ZCC et celle protestante comme raciste au lieu de simplement une culture millénaire pour la survie en un environnement hostile comme la savane et le désert du Sahara. Le diagnostic de Dante sur les maux de l'Afrique du Sud est donc d'une actualité fulgurante : la bourgeoisie de l'ANC, dans une logique d'accumulation et de brigandage, a un versant économique, c'est-à-dire le marché financier qui a son berceau à l'EFF, mais qui transforme perversement les groupes humains et sociaux d'Afrique du Sud dans son ensemble, et un versant politique de la condamnation de Dieu, dans des formations locales comme la ZCC capétienne et les radicaux protestants, qui n'ont d'autre solution et raison d'être dans le péché et de demander autre chose que de consacrer la logique sur un plan institutionnel et international niveau de pardon et de prières (car leurs collusions avec Dieu et l'ANC et l'EFF démontrent amplement la volonté du mal de diriger notre pays). Contre les Christs de la Commune ou du Royaume comme excellentes formes d'organisation politique (selon l'Evangile de Jesu au service de l'un ou de l'autre on demande pardon et on ne votera plus jamais ANC ou EFF) Dieu a pressenti dès son apparition la vocation guerrière de l'État national ANC et son asservissement aux lois du diable, c'est-à-dire à l'avarice cupiditas de richesse et de pouvoir de l'ANC EFF Je m'excuse Morena !!! S'il vous plaît arrêtez les fléaux
#france#south africa#ticino#Malawi#zimbabwe#mauritius#angola#zambia#mozambique#malawi#Madagascar#Namibia
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Hold-Up, la part infalsifiable
PAR ANTIPRESSE | 15.11.2020 | EN ACCÈS LIBRE, LE BRUIT DU TEMPS, NOUVEAU, SLOBODAN DESPOT
Sorti le 11 novembre en VOD, le documentaire Hold-Up de Pierre Barnérias a soulevé une polémique colossale. Déprogrammé sans explication par son hébergeur Vimeo, il est allé gonfler — en libre accès — l’affluence des plateformes alternatives comme Odysee. Tant le film lui-même que son accueil et son mode de diffusion marquent une rupture essentielle.
Les Anglo-Saxons appellent cela un game changer. L’irruption de Hold-Up dans le débat sur la pandémie change de fait la règle du jeu. La gestion de cette crise a donné lieu à des critiques dès les premiers jours. L’Incident, le livre récemment publié par Nicolas Lévine, un insider de l’administration française, donne un aperçu sidérant de la désinvolture avec laquelle les autorités françaises ont abordé la crise au printemps 2020. Le bricolage, les collusions, les conflits d’intérêts et les décisions contradictoires n’ont fait que s’aggraver depuis — sans que personne, étrangement, n’en réponde. Et sans que les médias leur demandent de comptes.
Dès février-mars, des personnalités du monde de la science, de la médecine, des sciences sociales ont exprimé çà et là leurs doutes ou leurs préoccupations face à la gestion pour le moins étrange de cette crise dans les pays occidentaux et aux dérives du pouvoir et de l’information qui en résultaient. Pierre Barnérias a donné une tribune à un grand nombre d’entre elles, dont certaines voix très difficiles à réfuter en débat frontal. Son film rassemble donc en un seul endroit l’essentiel des objections soulevées depuis mars 2020. Deux heures et demie de témoignages de médecins, de savants, de praticiens, de penseurs tissent le scénario d’une pandémie surgonflée, surexploitée, devenue prétexte à une dépossession tous azimuts: des peuples dépossédés de libertés, de moyens, de représentation politique, de voix et d’yeux pour comprendre ou maîtriser leur propre sort. Serions-nous confrontés à un coup d’État technologique, mené par les empires techno-financiers, dont les autorités du monde occidental, figées dans leur ineptie et leur corruption, apparaissent comme les dupes ou les complices, ou les deux à la fois? En fin de compte, se demande le réalisateur, tout ceci ne servirait-il pas un but: le passage au tout-numérique, à la monnaie dématérialisée et au gouvernement mondial?
Pourquoi ne les a-t-on pas entendus ailleurs?
La réaction hostile des médias de grand chemin mis en cause par le film est logique. Ainsi ont-ils réagi au documentaire de Paul Moreira sur l’Ukraine ou aux témoignages (écrits, dans un siècle précédent) de Peter Handke sur le mensonge de la guerre en Yougoslavie. Quand un récit alternatif fait irruption sur le marché, et qu’il paraît convaincant, les détenteurs du récit officiel surréagissent. Ils connaissent mieux que leur public la fragilité de leur construction et ses failles. Ils savent les taux de confiance désastreux dont l’opinion les gratifie, et qui baissent d’année en année. Ils mesurent en temps réel l’érosion de leur audience en direction des diverses plateformes de néojournalisme. Ils sont à cran. Ils bondissent des deux pieds sur leur chaise en voyant la moindre souris.
La réaction la plus sage face à Hold-Up eût été de laisser pisser le mérinos et les «complotistes», comme ils les appellent, se conforter entre eux. Plus élégamment encore, de reconnaître qu’au-delà des points de détail contestables, certaines contributions auraient dû trouver leur place dans n’importe quel canal d’information.
Car la première question que soulèvent ces témoignages, la plupart frappés au coin du bon sens, est: pourquoi ne les a-t-on pas entendus ailleurs? Pourquoi une scientifique de haut vol comme Alexandra Henrion-Caude, généticienne et ancienne directrice de recherche à l’INSERM, n’a-t-elle été interrogée que par TV-Libertés et par le réalisateur de Hold-Up? Pourquoi l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel, parlant d’expérience (il a survécu au Covid du printemps en s’automédicant, le système de santé l’ayant laissé moisir sans secours), a-t-il été condamné par contumacedans les médias de service public de Suisse plutôt que d’y être invité à débattre? Les millions de vues de ses vidéos «amateur» n’auraient-elles pas été un bol d’air pour ces plateformes de plus en plus désaffectées par le public?
Par contraste, Hold-Up révèle la pauvreté et le huis clos du débat de grand public. Comment se fait-il qu’à la place de ces gens qui pensent, qui cherchent et qui s’interrogent, pratiquement tout le temps d’antenne soit occupé par de péremptoires semeurs de panique, souvent criblés de conflits d’intérêts, et qui ne font que légitimer sans preuve ni discussion les décisions les plus extrêmes des autorités? Sommes-nous soudain tombés en Union Soviétique, pour que le vrai débat social, philosophique et scientifique doive se faire malgré le système et non plus en son sein?
Un «best of» de la contestation
Depuis le début de cette crise, nous avons tous, probablement, éprouvé un problème de saturation avec les vidéos. Il y en a trop! On a sans doute produit cent fois plus d’heures de vidéo de toute forme et qualité pour contrer la gestion officielle du Covid et la «science» qui la sous-tend que pour la défendre. La surabondance de contestation tue la contestation, comme l’avaient bien compris les autorités soviétiques au temps de la Perestroïka. Pour ma part, on me recommande chaque jour, en temps de visionnage, davantage de vidéos «capitales» que la journée ne compte d’heures. Or j’ai observé que si je pouvais avoir le script de ces séquences, il me suffirait d’une heure ou deux pour faire le tri du substantiel et du secondaire ou pour évaluer les arguments. Le basculement de l’enquête et de l’argumentation du texte vers la vidéo est en soi un obstacle pour l’intelligence. Les esprits sont accaparés par des heures et des heures de préambules et de digressions. Vérifier le moindre dire prend un temps fou, et retrouver l’endroit exact d’une affirmation est très fastidieux. Les arguments sont simplifiés, le langage appauvri.
Mais du moment que la bascule est faite et que l’influence passe par l’image, Hold-Up est un vecteur redoutable. Voir toutes les interventions des protagonistes interviewés serait physiquement impossible. Ce film en propose une compilation, la substantificque moelle. L’ex-ministre de la santé Philippe Douste-Blazy, qui s’est soudainement désolidarisé du film, s’est notamment plaint de ce qu’on n’a retenu que quelques minutes sur deux heures d’enregistrement. Mais ces minutes sont une véritable flèche au curare! Ce film unifie une opposition éparse, anarchique, dont personne n’avait jusqu’ici un aperçu exact. On voit désormais qu’elle est multidisciplinaire, multinationale, multiforme, mais structurée.
Le reproche de longueur ne tient donc pas la route. Ces 160 minutes sont en fait un résumé-éclair de la problématique. En revanche, le film souffre de maladresses, d’approximations et d’irruptions inutiles de mauvais goût, comme cette figure animée du Corona avec sa voix perçante et ses sketches futiles qui ne fait que caricaturer le propos.
D’une manière générale, le message aurait été plus convaincant si l’on s’était arrêté aux constats plutôt que de vouloir esquisser une thèse avec un montage dramatisant. La sociologue Monique Pinçon-Charlot a beau dénoncer aujourd’hui le documentaire, ses propos sur le projet d’extermination (elle utilise le mot «holocauste» qu’elle regrette) visant à «éliminer la partie la plus pauvre de l’humanité, dont les riches n’ont plus besoin» sont compromettants pour elle comme pour le film. Il eût été beaucoup plus simple de citer les propos de Klaus Schwab, le cicérone du WEF de Davos, et de laisser le spectateur en tirer ses conclusions.
Une irrésistible soif de censure
Bien entendu, le film a été étiqueté «fake news» par les producteurs de fake news systémiques. A la guerre comme à la guerre, c’était attendu. Aux chiffres et sources des uns on oppose ceux des autres. Les personnalités ayant participé au film ou qui le soutiennent (comme Sophie Marceau) sont prises à partie. Une députée du Parti (LREM), hystérique, exige sur CNEWS sa censure et son éradication face à une journaliste qui lui rappelle qu’il existe quand même, encore, quelques restes de liberté d’expression(1).
Les réseaux sociaux se sont mis de la partie: sur Facebook, chaque allusion au film s’accompagne d’une mise en garde renvoyant sur les censeurs autorisés du Monde dans une boucle tautologique cocasse («Vous critiquez Le Monde? c’est fake news selon Le Monde!») Vimeo élimine sans crier gare un contenu pourtant commercialisé en VOD.
Bref, comme dit le proverbe balkanique, «les bons destriers soulèvent la poussière». Le système ne se serait pas mobilisé à ce point pour censurer ce film s’il ne contenait pas, outre ses défauts, quelques vérités malcommodes. Qu’y a-t-il donc dans Hold-Up qu’il faut à tout prix étouffer?
Le poids du témoignage humain
Dans la guerre des dogmes et des chiffres, le camp minoritaire part toujours perdant. Blaise Pascal, dans la première de ses Lettres à un Provincial (23 janvier 1656), rappelle avec ironie que le débat académique n’est pas décidé en fonction de qui tient le vrai et qui le faux, mais du nombre de docteurs qui soutiennent tel ou tel parti(2). Hold-Up contient inévitablement des affirmations sans preuves et des chiffres contestables — encore que la plupart d’entre eux sont puisés au sources mêmes des administrations, comme l’INSEE —, mais il véhicule surtout un apport infalsifiable. Qui n’est ni factuel ni médical.
Car le visionnage de Hold-Up peut être dangereux. Sa vérité ne tient pas tant dans les faits exposés que dans le ton, le bon sens et l’humanité de ceux qui les exposent. La comparaison avec les manières, les scansions lugubres et les faciès des défenseurs de la covidoctrine est inévitable et déstabilisante. Et le simple fait de mettre le nom juste sur leurs comportements — comme le fait Martine Wonner au sujet des accès de frénésie du ministre Véran lorsqu’on lui dit «chloroquine» — suffit à ouvrir les yeux.
Fondamentalement, Hold-up s’insurge contre la reconstruction idéologique d’une réalité, en l’occurrence sanitaire, qui aurait pu et dû être gérée autrement dans le monde réel. Or les systèmes idéologiques, comme leur nom l’indique, reposent sur la logique d’une idée. Les mots créent la réalité. Lorsque quelqu’un perturbe cette nomenclature en appelant les choses par leur nom, l’hypnose s’écroule et il ne reste pour soutenir l’édifice que l’outil de la coercition, bien plus coûteux.
C’est pourquoi les systèmes totalitaires, toujours fondés sur la «science», n’ont pourtant jamais été réfutés par des preuves scientifiques, mais toujours par des témoignages humains. Une journée d’Ivan Denissovitch, de Soljénitsyne, ou Le Zéro et l’Infinide Koestler, n’ont aucune valeur documentaire ou historique. Aujourd’hui, les vigiles du Parti les étiquetteraient comme fake news. Mais ils ont ouvert les yeux — et le cœur — de millions de gens sur la réalité concrète, psychologique, spirituelle, de la condition totalitaire parce qu’ils leur ont permis d’éprouver cette horreur de l’intérieur. Parce qu’ils ont activé l’empathie. Parce qu’ils ont rétabli la vision juste en remettant les mots à leur place. La masse ne sait pas qu’elle vit dans la tromperie tant qu’on ne le lui dit pas. C’est la parabole des habits neufs du roi: il faut qu’un innocent désigne le mensonge pour que la multitude cesse de le considérer comme normal.
La scène peut-être la plus «éclairante», de ce point de vue, est ce passage où l’on montre à une sage-femme un discours de l’omniprésent transhumaniste, le Dr Laurent Alexandre, parlant de l’«âge d’or» qui vient pour les «intellectuels», les winners, les «dieux», par opposition aux «inutiles», aux losers à la masse humaine larguée par la révolution technologique. «Je pense que Hitler ne disait pas les choses aussi directement», conclut Nathalie Derivaux, effarée. En un mot, l’élite dirigeante s’arroge un droit de vie et de mort sur les esclaves attardés. Comme elle dit, «c’est absolument effrayant», et pourtant cela a pignon sur rue. C’est enseigné aux futurs cadres! Et soudain, certains mots qu’on emploie par automatisme retrouvent tout le poids d’horreur qu’ils avaient perdu. Ainsi l’«espérance de vie résiduelle» des aînés dans les asiles, décimés par cette pandémie et par l’euthanasie tacite.
Le point de rupture
C’est là que se trouve le potentiel subversif essentiel de ce film, et il est infalsifiable. Car il réintroduit un regard éthique et humain là où il n’y aurait dû y avoir que des critères de gestion et des instincts élémentaires de conservation.
Hold-Up, avec ses exagérations, ses caricatures, sa thèse qui n’est que le reflet critique de ce que les technocrates de Davos, de la Silicon Valley ou de la Sberbank affirment publiquement, est à ranger dans cette catégorie-là: c’est un témoignage moral. La réaction même du système, avec son stupide et brutal réflexe de censure, ne fait pas que lui donner raison (��la crise est un alibi de la dictature, CQFD»). Elle lui octroie ses palmes de samizdat.
Voilà donc en quoi tient la rupture initiée par Hold-Up.
A) Ce film est le premier vrai samizdat occidental. L’opposition y trouve un front et des visages — et surtout, elle est désignée comme telle, avant tout par ses adversaires. L’illusion d’une société ouverte et démocratique tombe. Ces histoires de dissidence, de réseaux secrets et d’opposition tacite que les Occidentaux consommaient comme une série TV pour se faire agréablement peur, ils savent désormais qu’elles sont devenues leur réalité. Et que, à l’inverse, les rites démocratiques qu’on continue de pratiquer sont un théâtre sédatif.
B) Grâce à la censure des canaux officiels, les réseaux d’information alternative se mettent en place et des millions de citoyens découvrent leur existence. Sur la plateforme Odysee, Hold-Up circule déjà en de nombreuses copies. Si celle-ci est fermée, il sera mis en ligne ailleurs ou distribué via les messageries. Il est aussi stupide de prétendre l’arrêter que de faire croire au peuple que le nuage de Tchernobyl, en 1986, s’est arrêté aux frontières de la France. Vous avez voulu déifier un virus, vous avez appris au peuple les vertus de la viralité!
C) Hold-Up est une production professionnelle, réalisée par un vieux routier du reportage. Elle émane du système — et le système, par son rejet épidermique, s’est discrédité lui-même. Par la stupidité de sa réaction, il lui a assuré une publicité inespérée auprès de millions de spectateurs, comme s’il avait inconsciemment fait exprès (comme ces journalistes soviétiques qui surjouaient jusqu’à la bouffonnerie leur dénonciation des dissidents, avec un clin d’œil subliminal). Ceux qui, intrigués, y iront voir, ne trouveront rien des «thèses dangereuses» ni des «falsifications» qu’on leur annonce, mais un panel de personnes sensées et courageuses qui ont mis leur réputation sociale et leur carrière en jeu en venant y témoigner. Ils redistribueront le film autour d’eux.
Pour le moment, nous assistons à l’édification d’un cordon sanitaire autour de ce documentaire et à la culpabilisation de ceux qui y ont participé ou qui le diffusent. C’est normal. Lorsqu’un pourcentage significatif de la population française aura vu ce témoignage, l’«Absurdistan autoritaire» actuel (Die Zeit) ne pourra plus être maintenu que par un pur dispositif policier. Ce sera une victoire à la Pyrrhus qui précipitera la ruine d’un système déjà discrédité. C’est pourquoi il est vital de creuser des tranchées profondes, afin que la seule évocation de ce titre suscite des conflits et des ruptures personnelles. Cela encore fait partie de la stratégie du pire esquissée par le film.
Lien permanent du film:<go.antipresse.net/holdup> (Ce lien de redirection renvoie à URL proposant une version visible du film. Sa cible pourra être mise à jour en fonction des circonstances.)
Notes
Il n’a pas fallu longtemps au réalisateur pour découvrir l’épais conflit d’intérêts de cette censeuse (censoresse?) hystérique, Ilona Cicurel. Ne pas manquer la réaction excédée de Pierre Barnérias sur RMC.
Les Provinciales de Pascal, malgré leur thématique religieuse aujourd’hui pratiquement inaccessible, restent un monument de la lutte contre l’abus de pouvoir intellectuel, en l’occurrence celui des Jésuites. Elles restent d’une brûlante actualité.
Article de Slobodan Despotparu dans la rubrique «Le Bruit du Temps» de l’Antipresse n° 259 du 15/11/2020.
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Salut ! Je suis en train d'écouter Trois réacs à la FIAC et je me marre bien. Tu aurais d'autres références (lectures/vidéos) sur la critique de l'art contemporain ? :)
Pas tant que ça, en définitive, et tu me donnes envie d’en chercher d’autres, mais je puis d’ores et déjà te pousser sur une chaise confortable et un lien vers ma « conférence gesticulée » préférée, celle qui dure six heures mais si je te jure que la version de six heures est la meilleure qui avait lancé le mouvement, voilà quelques années :
youtube
Franck Lepage, (In)cultures 1 : « L’éducation populaire, Monsieur, ils n’en ont pas voulu »
Attention, ce sont des animateurs de gauche, la qualité est forcément pourrie, même si dans cette version-ci qui ne fait que quatre heures le son a été gentiment nettoyé par le metteur en ligne. À gauche, on n’a pas de moyens, mais on a des idées ! Ahem.
Je te conseille également avec chaleur les commentaires d’Aude de Kerros, artiste elle-même ‒ elle est graveuse et peintresse ‒ et critique d’art, qui a publié plusieurs livres à charge contre l’art « comptant pour rien » (merci Lepage.) et a donné une série d’entretiens passionnants en soutien.
L'Imposture de l'Art contemporain. Une utopie financière, Paris, Eyrolles, 2015.
Sacré Art Contemporain. Évêques, Inspecteurs et Commissaires, Éd. Jean Cyrille Godefroy, 2012.
Art Contemporain, manipulation et géopolitique : chronique d'une domination économique et culturelle, Eyrolles, 2019.
Petite note de passage : Aude de Kerros, qui anime une émission sur Radio Courtoisie (laquelle émission n’a pas l’air inintéressante... il faudra que je songe à podcaster, peut-être de sous une fausse moustache), n’est pas exactement l’égérie rêvée de mon bord politique. À mon sens, il faut passer outre, et se concentrer sur le sens de ses réflexions ; au demeurant, il est attendu qu’une femme de droite soit réticente au « progressisme » en Art. Il est fichtrement important de constater que son point de vue peut rejoindre celui d’un militant communiste chevronné quant à la financiarisation de l’Art français.
Je cite l’excellent petit résumé donné par sa fiche Wiki de ses idées :
À partir des années 1990, Aude de Kerros se fait également connaître par de nombreux articles de décryptage et d’analyse du monde de l’art, influencée par les écrits de Wladimir Weidlé. Elle prend part au débat sur l’art contemporain, donnant un point de vue d'artiste indépendant. Elle contribue, à titre de témoin, à l'histoire de l’art de la seconde moitié du XXe siècle en décrivant les deux faces d'une réalité complexe : le monde visible de l'art financier international, le conceptualisme strict de l'art officiel français et les divers courants picturaux non agréés. Elle souligne la rupture qui s'opère en 1983, en France, quand sont affectées des subventions importantes, créées des structures institutionnelles, et un corps d'« inspecteurs de la création ». Cet appareil bureaucratique prendra en compte l'unique courant conceptuel et affirmera un art officiel, rompant avec la pratique établie en 1880 par Jules Ferry, d'un retrait de l'État du choix des artistes à consacrer, mais honorant l'ensemble des courants en offrant un cadre prestigieux à leurs expositions. L'observation de ce principe a réuni à Paris l'ensemble des courants artistiques, de l'académisme aux avant-gardes et a attiré dans la capitale artistes et amateurs du monde entier. Aude de Kerros met en scène l'interaction de ces réalités contradictoires, raconte les péripéties du débat souterrain sur l'art tout au long des quatre dernières décennies. Elle évoque son contenu, commente ses publications, fait la chronique d'une nouvelle querelle, clandestine celle-là, celle « des modernes et des contemporains ».
À voir, le remarquable débat animé par l’impeccable Frédéric Taddéï sur la fonction de l’art contemporain dans Interdit d’interdire, et auquel participait, entre autres, Aude de Kerros, dans le camps des « contre », au côté du philosophe Yves Michaud, ancien directeur des Beaux-Arts (entre autres), dont le point de vue est très nuancé et donne énormément à penser.
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Comme d’habitude, Taddéï mène un débat de haute volée, du genre qui ne se fait plus depuis trop longtemps sur le service public, et je dirais presque que l’émission devrait servir de socle à la réflexion sur le sujet, tellement l’échange est riche.
Quand même, je glisse ici une très bonne brève du Monde sur le marché de l’art contemporain qui nous remet au centre de nos préoccupations :
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« Portrait of an Artist [de] David Hockney [...] a battu le record de vente aux enchères pour un artiste vivant : adjugé 90,3 millions de dollars ‒ près de 80 millions d’euros. [Cinq ans plus tôt], en novembre 2013, [Christie’s] a vendu [un Balloon Dog de Jeff Koons] 58,4 millions de dollars ; à l’époque, c’était le record de prix pour un artiste vivant.
Pour comprendre pourquoi les prix de l’art contemporain montent si haut, il faut faire un petit bond en arrière. À partir des années 90, les maisons de vente aux enchères se sont mises à imaginer des produits financiers pour stimuler les acheteurs d’œuvres d’art... »
Au passage, en 2015, Joseph Confavreux, journaliste, et Olivier Alexandre, sociologue, recevaient pour Mediapart Christian Bernard, le directeur du Musée d’art moderne et contemporain de Genève et co-signataire d’une tribune intitulée « l’Art n’est-il qu’un produit de luxe ? », publiée par Mediapart en octobre 2014, à l’occasion de l’inauguration de la Fondation Louis-Vuitton, un peu trop unanimement célébrée par le monde de l’Art. Le magazine « Contrechamp » est généralement intéressant, et Confavreux a reçu plus récemment (2017) la poétesse et essayiste (et militante de gauche) Nathalie Quintane, co-signataire, elle, d’un ouvrage sur « l’Art dévoré par l’argent », reprenant des thématiques chères aux critiques de l’art contemporain et remarquant notamment la confusion entre œuvres d’art et objets de luxe ; mais elle pointe également, dans cet entretien, le rapport au travail dans le milieu artistique, qui voit se multiplier les bénévoles, dont beaucoup de jeunes étudiants supposément payés en gloriole et réseautage, en notant que si l’on peut dire que le monde de l’Art a été précurseur en la matière, la pratique du travail gratuit, rendu presque abstrait, s’est en quelque généralisée dans notre société.
En parlant d’abstraction, et puisque je me rapproche insensiblement de la philosophie communiste, je glisse le lien vers une belle conférence d’Alain Badiou sur l’art contemporain comme relevant nécessairement de la logique de marché. Ça vole haut, mais ça vaut le coup.
Technique aussi mais clair et intéressant, je conseille un entretien avec la sociologue Nathalie Heinich dont les travaux, au C.N.R.S., portent notamment sur l’art contemporain, et qui y fournit une aide précieuse à qui veut se familiariser avec l’histoire de l’Art et ses thématiques :
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Plus subjectif, magnifique, fascinant, un entretien d’Aude Lancelin (époque Le Média) avec la poétesse, essayiste et critique d’art Annie Lebrun :
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« Une guerre menée contre tout ce dont on ne peut pas extraire de la valeur, contre ce qui n’a pas de prix, et qui passe par la marchandisation de tout. »
Dernièrement, je recommande vivement le blog de Christine Sourgins, une critique féroce du marché de l’art contemporain, qui est historienne ; comme le dit Anne de Kerros (Sourgins revendique une démarche « citoyenne » sans affiliation à un parti politique), elle demeure ainsi toujours très concrète dans ses commentaires :
« Christine Sourgins analyse les “concepts” sur pièces, regardant les œuvres d’art contemporain sous l’éclairage de leur propre discours. Elle déconstruit la déconstruction. Historienne, formée à l’étude des documents, alors que nombre d’“experts”, parlent d’art en maniant l’idée de l’art, sans exemples concrets… »
Elle participait en 2013 à une conférence sur l’Art au Sénat où intervenait le regretté Laurent Danchin, célèbre critique d’art spécialiste de l’art brut. La qualité de la vidéo est affreuse, mais le propos transcende le flou. Le colloque en question, du 23 janvier 2013, portait sur « Trente ans de création dirigée par l’État. Constat, conséquences et perspectives ». Christine Sourgins en fait une note de blog qui nous ramène directement à la fameuse conférence gesticulée de Franck Lepage sur la culture au Ministère dont au sujet de laquelle je causais tout à l’heure.
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Le Brexit (suite, mais pas fin… )
Voilà quelques jours –c’était le 31 janvier très exactement– le Royaume-Uni est officiellement sorti de l’Union européenne. Le Brexit est maintenant chose faite, conséquence du référendum par lequel les Britanniques avaient décidé de quitter l’Union. Je m'en souviens comme si c'était hier… Le lendemain matin, dès potron-minet, j'avais écrit un “billet” qui, ce matin-là, avait une saveur très particulière : il était 6 h du matin, ce 24 juin 2016, et j'avais mis mon réveil plus tôt pour avoir le résultat (conforme à ce que j'annonçais depuis des semaines, seul contre tous ou presque –comme souvent), pas connu à l'heure (tardive) où je m'étais couché.
Sous le titre “Europe : the Brexit breaks it !”, j'ai écrit, ce matin-là : “Alea jacta est ! Le Brexit a cassé l'Europe, comme nous l'avons annoncé ici si souvent, à rebrousse poil de tous les gens intelligents : consulter les peuples, c'est prendre le risque certain de les voir rejeter ce qu'est devenu l'Europe, cette tueuse de nations, cet ogre avaleur de ce qui est important (tellement plus que tous leurs arguments faussement rationnels et que leur vision marxiste d'un homme ramené à un ’‘homo” essentiellement économique) : “Tirez-vous les premiers, Messieurs les Anglais” !“. Mon maître André Siegfried appelait joliment ces arcs réflexes : l'Ame des peuples.
Je continuais : ’'Une campagne pas toujours très ’‘british“ ni ’'gentleman-like” a vu s'opposer deux visions non pas de l'Europe mais de l'Homme lui-même : ’'l'homo œconomicus’' pour les partisans du ’'Remain”, et “l'homo sapiens” pour les tenants de la sortie. Pour les ‘’pro-maintien’’, des menaces d'apocalypse, d'une violence peu croyable : “Vous allez voir, le ciel va vous tomber sur le tête” (A.Merkel)… ou encore : “Il n'y aura pas de retour, nous serons implacables” (Junker, Hollande, Barnier). Pour les pro-départ, c'était l'invocation de l'âme de ce peuple anglais qui, au prix de quelques mauvaises farces faites à ses voisins continentaux, a toujours montré une force de caractère que rien n'a jamais fait céder : “Nous voulons rester ce que nous sommes” (B.Johnson), “Vous ne comprenez rien” (N.Farrage) ou, pour montrer l'ancrage de ces racines, “We want our country back” (d'après M.Thatcher).
’'Et maintenant, quoi ? Les boursicoteurs vont se donner en spectacle, la livre sterling va prendre un grand coup, avant de regagner peu à peu le chemin perdu, les instances bruxelloises vont montrer à quel point ceux qui les remplissent ont l'âme mesquine et vindicative, et les retraités britanniques qui vivent en France vont être très anxieux pour leur futur. Ca, c'est pour tout de suite. Mais c'est au delà que réside la “terra incognita’’, et on peut faire confiance aux esprits supérieurement formés du ’'Foreign Office” pour déclencher une contre-offensive churchillienne qui jettera peu à peu les bases d'une autre ’'Europe”, plus humaine, plus attractive, plus réaliste, et moins contraignante, moins coûteuse, moins technocratique que celle dont nous sommes habitués à accepter les règles absurdes, les idées saugrenues, les diktats autoritaristes et l'inefficacité permanente… Nous n'avons pas fini de déguster leur “bouillon d'onze heures’' ! (fin de citation). Je ne change pas un mot.
Le processus a été long, laborieux, parfois pénible. Pendant ce délai, que n’avons-nous entendu ! Les médias adorent accabler les souverainistes, les partisans de l’indépendance nationale et les eurosceptiques, tous ces ’'populistes” (sic !) qui joueraient avec les peurs ! Jouer avec les peurs ? Parlons-en ! Car en matière de catastrophisme, depuis ce 24 juin 2016, nous avons été servis : ce sont bien les europhiles qui nous ont expliqué à longueur de tribunes, de discours et d'exposés que l’avenir des Britanniques, par la faute de leur vote “inconscient”, ressemblerait à l'enfer. Par containers entiers de scénarios-catastrophe, on nous annonçait que ces idiots d'anglais allaient tomber de leur piédestal, allaient s’enfoncer dans la crise économique, plonger dans la récession, perdre leur statut de puissance, être frappés par la peste, le choléra et le typhus. Mais ’'Covid est arrivé… é… é…“ et en fin de compte, a mis tout le monde d'accord par KO ! Et son variant dit anglais n'est ni le dernier ni le plus vicelard de tous ceux qui vont nous tomber sur la cafetière !
Mais avec une opiniâtreté toute britannique, Boris Johnson a réussi, seul contre tous, à sauver la liberté de son pays. Pour l’instant, il fait un sans-faute au service des intérêts de Sa Gracieuse Majesté et de ses sujets. Un seul exemple ? Les vaccins, LE sujet du moment l Avec quel brio le gouvernement britannique a réussi à garantir ses livraisons de doses, au nez et à la barbe de la lamentable Union européenne, et AstraZeneca va livrer en priorité les Britanniques, au grand dam de Bruxelles. Plus honteux encore, Valneva, une start-up nantaise qui a mis au point un vrai vaccin contre le covid, s’est heurtée à l'apathie consternante de la France et de l’Union européenne… et c'est encore le Royaume-Uni qui, ayant financé les essais cliniques de l’entreprise l’année dernière et les problèmes industriels cette année, en recueille logiquement les fruits. Le vaccin sera produit chez eux, et en priorité pour les Anglais… les Européens devant patienter jusqu’à 2022 pour être servis. Empruntons aux anglais la conclusion de ce paragraphe : ’'No comment’' !
Sur les autres sujets, la catastrophe annoncée a-t-elle eu lieu ? Il est évident que non. Par exemple, l’effondrement annoncé de l’industrie automobile ne se produira pas, le secteur ayant habilement négocié dans l’immédiat l’absence de droits de douane et de quotas, c’est-à-dire les avantages d’un marché commun sans les inconvénients : le Royaume-Uni peut faire repartir la production auto outre-Manche, et le groupe Nissan se maintient sur le marché anglais. A terme, pour garantir que les composants des voitures proviennent bien au maximum du Royaume-Uni (ex : les batteries), de gros investissements vont profiter à toute l’industrie britannique.
Quant à la finance… le panorama de désolation que nous promettaient Bruxelles, l'Elysée et Matignon est à revoir. Les négociations vont bon train, mais le Royaume-Uni est d'ores et déjà assuré de rebondir : sur les quelque 80 milliards de livres que représentent les services financiers britanniques exportés, seulement 20 % sont pour l’UE. Le risque serait plutôt que nombre d'entreprises préfèrent choisir des places non européennes (New York ?) pour leurs transactions. Mais il semble certain que ce n’est ni Paris, ni l’Europe qui récupéreront ce que Londres perdra…
En ce début d’année morose au delà du possible, le cas anglais vient nous réchauffer le cœur, même si ce n'est pas directement bon pour nous, à court terme : il démontre qu’avec de la volonté politique et de la fierté nationale, on peut aller très loin, à contre-courant du prétendu ’'sens de l’histoire” que l’on cherche à nous imposer. Si seulement cela pouvait servir de leçon à nos pseudo “élites” incultes, ondoyantes, errantes, et soumises au vent mauvais de l'affreux progressisme qui ruine jour après jour notre pays… et tant d'autres… Faisons un rêve : que nos politicards myopes (quand ce n'est pas aveugles), fermés à tout ce qui marche et à tout ce qui est vrai et bon pour l'Homme, se souviennent de Napoléon Ier, en cette année qui devrait commémorer, au niveau qu'il mérite, le bicentenaire de sa mort : “Impossible n’est pas français !”. Espérons, malgré tout : tout espoir n'est pas perdu ! Mais comment ne pas penser, en écrivant ce ‘’billet’’, à cette belle ‘’manchette’’ du Times de Londres, le 22 octobre 1957 (je l'ai conservée, dans mon “bêtisier”) : “Epais brouillard sur la Manche : le continent est isolé” ?
H-Cl.
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VDS, un investissement de valeur avec des rendements statiques ultra-élevés
La plupart des passionnés de crypto-monnaie achètent le crypto par le biais d'un certain canal pour effectuer des investissements à court ou à long terme, à la recherche de profits au milieu de gains ou de pertes. Ensuite, si certains investisseurs veulent ajouter un investissement de valeur avec des rendements statiques ultra-élevés dans le processus d'investissement dans la crypto-monnaie, alors le "produit financier" du nœud maître super de VDS est le meilleur choix.
Rendements statiques ultra-élevés : Le coût d'investissement du nœud maître super est de déposer 10 000 Vollar (monnaie en circulation dans l'écosystème VDS) et de s'assurer que la configuration du serveur est à un certain niveau. Les nœuds maîtres supers éligibles peuvent recevoir de récompenses d'émission de nouveaux crypto-monnaies. Selon l'expérience, les retours sur les nœuds maîtres supers sont environ de 60 Vollar à 700 Vollar par mois. En prenant la 42e semaine de bloc comme exemple, le rendement moyen du nœud maître super en 4 semaines de bloc est de 668 Vollar, ce qui équivaut à un rendement mensuel de 6% après calcul. La plupart des produits financiers sur le marché ont un rendement mensuel d'environ 0,25% à 0,8%, nous pouvons donc voir que le retour du nœud maître super de VDS dépasse de loin la grande majorité des produits d'investissement. En plus des revenus de l'émission de nouveau crypto-monnaie, les frais de transaction de chaque bloc de VDS font également partie des revenus des nœuds maîtres supers. Les revenus publicitaires de la diffusion réseau de VAD seront entièrement attribués aux nœuds maîtres supers. Le montant à dépenser en VAD se situe entre 100 Vollar et 10 000 Vollar par offre réussie, ce qui représente un avantage considérable pour le nœud maître super. La création d'une VID, l'étiquette d'identité dans l'écosystème de VDS coûte environ 0.01 Bitcoin. Le nœud super maître reçoit des frais de service réseau lors de la création du VID. Les nœuds maîtres supers aident le réseau VDS à maintenir la stabilité en contribuant à la puissance de calcul et sont une partie indispensable de l'écosystème de VDS. Avec le développement de VDS, les nœuds maîtres supers obtiendront des revenus statiques ultra-élevés en conséquence. En plus des récompenses Vollar statiques ci-dessus, les nœuds maîtres supers de VDS peuvent également participer à la loterie de Bitcoin chaque semaine de bloc. Les nœuds maîtres supers éligibles ont accès au chanceux carnaval de Bitcoin chaque semaine de bloc VDS. Le système sélectionnera au hasard 10 nœuds maître supers chanceux (appelés Lucky 10 du nœud maître super) et leur offrira de grosses récompenses de Bitcoin ainsi qu'un droit de distribution Bitcoin. Pendant la saison Spring Rain, le Lucky 10 du nœud maître super reçoit directement des récompenses de BTC et a le droit d'obtenir de nouveaux Bitcoins qui entrent dans le V-pool de résonance. Chaque nœud maître super gagnant obtient 1/10 de la récompense. En fait, la loterie hebdomadaire de VDS est beaucoup plus rentable que la plupart des jeux de loto dans le monde en termes de probabilité de gain et de montant de bonus. Ce tirage au sort ajoute du plaisir et plus de possibilités aux revenus statiques des nœuds maîtres supers. Les « frais de service » du réseau écologique VDS ainsi que les revenus de loterie hebdomadaires font du nœud maître super un produit financier décentralisé avec un rendement ultra-élevé, ce qui est également sa récompense de servir le réseau anonyme décentralisé de VDS. En plus du retour, le nœud maître super de VDS lui-même peut être considéré comme un investissement de valeur potentielle. Les 10 000 Vollar déposés dans l'adresse du nœud maître super ont un énorme potentiel d'appréciation. VDS est un puissant système financier gratuit et un réseau social mondial de confidentialité. L'équipe de développement s'appuie sur la technologie de la chaîne de blocs pour intégrer VDS dans une économie indépendante grâce à une conception logique sophistiquée, utilisant un commerce anonyme à l'épreuve de la connaissance de zéro et des contrats intelligents. Au fil du temps, l'écosystème VDS deviendra plus dynamique avec l'augmentation des adhésions. Vollar ne peut qu'apprécier à mesure que la valeur augmente de l'écosystème de VDS. D'ici là, le 10 000 Vollar lié à l'adresse du nœud maître super deviendra le fondement de l'investissement de valeur réussi pour son opérateur. Les nœuds maîtres supers desservent l'ensemble de l'écosystème et prennent en charge le réseau décentralisé de VDS. Dans le même temps, le « gage » de Vollar par le nœud maître super réduit également le volume de Vollar sur le marché, augmentant ainsi la demande du marché de Vollar. Selon la formule du prix du marché, « Prix du support de négociation = flux de trésorerie du marché / nombre total de transactions disponibles sur le marché », l'augmentation des prix est inévitable. Le retour statique sur le nœud super maître est permanent. En tant que véritable projet de chaîne publique, VDS existera toujours aussi longtemps que l'Internet continuera. Ili est mis en valeur dans l'écosystème, c'est la décentralisation, l'équité, la liberté et rendre le travail payant, tous ces éléments ont jeté des bases solides pour le développement durable de l'écologie de VDS.
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Lettre aux Puissants de la Terre Lettre aux puissants : L'enrichissement de quelques-uns se base sur la pauvreté de beaucoup
Les puissants de la Terre qui, contrôlant le capital et les finances, contrôlent tout, décrivent la terrible réalité à laquelle sont soumis les hommes. Le marché établit la loi et les citoyens subissent des manœuvres financières «larmes et sang». Les fonds de couverture privés peuvent surveiller leurs propres actions mais les gouvernements élus démocratiquement ne peuvent pas décider de leurs politiques économiques. Le privilège et l’enrichissement de quelques-uns sont basés sur le sacrifice et la pauvreté de beaucoup.
"Quand, à un certain moment de l’histoire de l’homme, il apparaît clairement que des populations entières ont été trompées pour favoriser l’enrichissement illégitime d’un petit groupe, les personnes capables de révéler la tromperie ont le devoir moral d’agir pour éviter que le tort subi continue et se propage. Nous affirmons qu’il existe des principes inviolables autour desquels construire un modèle économique valable, fondé et juste. Pour autant qu’ils semblent démodés,et même si les nouvelles générations en ont presque perdu la mémoire parce qu’ils ont été remplacés par de faux dogmes créés ces dernières décennies, ces principes sacrés naissent d’une seule vision du monde à savoir que l’action économique doit provenir de valeurs morales devant lesquelles elle doit absolument s’incliner. Cette vision millénaire du monde affirme qu’aucun homme ne peut être placé au-dessus ou en dehors des lois morales qui préconisent que l’objectif d’un gouvernement soit tout simplement celui de permettre à son peuple d’atteindre le bonheur parce qu’ il est reconnu que le bonheur est le bien économique immatériel auquel on aspire le plus. Par conséquent, si on admet que c’est là le but suprême de toute action d’un gouvernement, il faut aussi reconnaitre que ce but a été non seulement négligé mais, qui plus est, interdit par un mécanisme subtil et pervers ; celui d’occuper le centre de la pensée qui a conduit la plupart des gens à estimer passivement qu’il existe des règles supérieures à l’économie, dictées par le soi-disant marché libre, dont le seul objectif , impunément poursuivi , est celui de réduire les peuples en esclavage. Des expressions comme spread, équilibre du budget , respect des comptes publics et de la dette publique sont devenus des fétiches auxquels sacrifier, comme victimes nécessaires, des jeunes réduits au chômage, des personnes âgées sans soins ni protection, des entrepreneurs suicidaires, des pauvres dépouillés de toute dignité, des peuples d’autres continents contraints de se déplacer selon des modèles d’exploitation néo-coloniale. Nous refusons ces règles et proposons de détruire ces fétiches monstrueux en partageant une vision différente du monde fondée sur 8 principes.
1. La finance est sujette aux exigences de l’économie réelle.
2. La monnaie redevient publique.
3. Abstraction faite des accords internationaux auquel il entend adhérer, un Etat ne peut renoncer à l’exercice politique et indépendant de sa politique fiscale et monétaire.
4. Le système financier international doit être à nouveau divisé entre banques qui financent les familles et les entreprises d’un côté et celles qui jouent en bourse, de l’autre.
5. Chaque pays est libre d’adopter les politiques d’échange cohérentes avec ses propres exigences afin de lutter contre les modèles de globalisation qui cachent, sous la libéralisation des marchandises et des capitaux, la “glèbalisation” c’est-à-dire l’asservissement et le commerce des êtres humains.
6. Les pays libres du monde mettent en place des normes qui contrastent le pouvoir juridique, fiscal, économique, financier et médiatique des multinationales pour les empêcher de se substituer aux gouvernements.
7. Les objectifs de la politique économique d’un pays ne se mesurent plus par la logique froide des chiffres mais par des indicateurs chauds. Au lieu du rapport dette / PIB, on évalue la croissance de l’épargne privée, la santé des citoyens, le taux d’instruction, l’accès à une information libre, le niveau de santé publique la qualité de la recherche, la qualité de la vie, le taux de natalité et le soutien à la procréation de l’espèce humaine.
8. Afin de garantir le respect de ces principes inviolables et sacrés, et afin de sanctionner quiconque, aussi bien dans la sphère publique que privée, agit pour violer ces principes, on institue un tribunal international avec jury populaire contre les crimes financiers
Dans les moments les plus sombres de l’histoire quand un peuple a été oublié par ceux qui auraient dû élever sa condition misérable, il a le droit de trouver le courage de se relever . Dans cet esprit et dans le seul but de réaliser la vision d’une économie de l’homme, conscients d’affronter une bataille inégale nous signons en mettant en première ligne notre vie, notre liberté et ce bien non négociable qui s’appelle honneur."
#osdei #brigittevitale #association #aide #entreprise #suicide #entrepreneur #agriculteur
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