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Des livres photos à lire depuis chez soi
Les livres sur la photographie du catalogue de la Bibliothèque numérique de la Ville de Paris
bibliotheques.paris.fr/numerique
Une sélection du Fonds photo de la médiathèque Edmond Rostand (17e)
En cette période de lutte contre la propagation de l'épidémie de Covid-19, les bibliothèques sont fermées. Les usagers n'ont donc plus accès aux documents physiques que possèdent ces établissements. C'est bien sûr le cas pour les usagers du Fonds photo, la plus grande collection de livres photographiques (ou sur la photographie) que détient le réseau des bibliothèques de la Ville de Paris. Néanmoins, via la Bibliothèque numérique du réseau parisien, il est encore possible pour les amateurs de photographie d'emprunter, à distance, des ouvrages sur ce thème. Ce qui est plutôt idéal, il faut en convenir, en période de confinement.
Voici une sélection de titres disponibles au format epub (livres photo, essais, biographies et mémoires de photographes, guide pratique et romans), tous issus du catalogue de cette Bibliothèque 2.0. À la fin de la présentation de chaque ouvrage, vous trouverez un lien direct vers l’exemplaire numérique, indiqué [Emprunter].
Un mode d'emploi pour pouvoir emprunter et lire ces ouvrages est disponible à cette page.
Malgré cette initiative (sans risque de contagion), l'équipe du Fonds photo tient à préciser qu'elle sera ravie d'accueillir à nouveau et entre ses murs, le plus tôt possible, aussi bien ses fidèles usagers que tout nouveau lecteur désireux de connaître sa collection.
Livres photo
- Retour à Roissy de Marie-Hélène Bacqué et André Mérian (Seuil, 2019) En mai 2017, une sociologue et un photographe parcourent les territoires traversés par la ligne B du RER entre Roissy et Saint-Rémy-lès-Chevreuse. Au fil de leurs rencontres avec des agriculteurs chinois, des familles turques, des commerçants sikhs, des catholiques polonais, un rappeur et les résidents de quartiers pavillonnaires, se dessine un portrait insoupçonné de la banlieue. [Emprunter]
- Monochrome de Lee Hengki (Corridor Elephant, 2015) Les photographies d’Hengki Lee portent la trace d’une poésie qui se découpe au fil d’une histoire d’ombres chinoises ; une poésie que la magie d’une photographie rend intemporelle. Peu importe que le cadrage soit juste ou non, que le travail sur la lumière soit en déséquilibre ou plus exactement répondant à un autre équilibre, Hengki Lee nous emmène en voyage. [Emprunter]
- Photographies de Denis Olivier (Corridor Elephant, 2014) Quelle frontière y a t-il entre l’onirisme et la réalité à une époque où les images numériques permettent de tout recréer ? Qu’est-ce qu’une réalité dans un monde où toutes les illusions visuelles peuvent prendre une forme tangible ? Demain sera plus que jamais fait d’images, les photographies de Denis Olivier sont porteuses de contes modernes et d’interrogations. Que seront les rêves futurs ? [Emprunter]
- Street is not a studio de Gabi Ben Avraham (Corridor Elephant, 2014) Par son approche artistique et hyperréaliste, le travail de Gabi Ben Avraham est unique. Il porte non seulement une réalité, mais aussi un regard qui transcende cette dernière au point de nous interdire de ne pas savoir. Les portraits et villes sont autant de rencontres photographiques que d’illustrations de cultures ou de systèmes sociaux. Mais quelle que soit l’illustration, le photographe a su en préserver l’extrême beauté.[Emprunter]
- Tokyo, voices in the rain de Furue Yasuo (Corridor Elephant, 2014) Tokyo en noir et blanc, Tokyo seule dans la foule. Ville en dégradée de gris peuplée de vélos. Photos minute armées de la seule technique que maîtrise l’âme : l’émotion. « Je prends mes photos avec Iphone 4 », qu’importe l’appareil si l’on peut entendre le modèle respirer rien qu’en le regardant... Tokyo, très loin des images publicitaires. [Emprunter]
Essais sur la photographie
- Éclats - Prises de vue clandestines des camps nazis de Christophe Cognet, avec une préface de Annette Wieviorka (Seuil, 2019) Une enquête sur les représentations photographiques clandestines des camps de concentration nazis, souvent réalisées par les déportés eux-mêmes. L'ouvrage est issu de l'analyse de ces clichés, autant que du projet de film qui leur a rendu hommage. [Emprunter]
- Écrits sur la photographie de Allan Sekula (Beaux-Arts de Paris Éditions, 2018) Artiste, théoricien, cinéaste et écrivain, Allan Sekula (1951-2013) réalise, dans les années 1970, des performances et entreprend une critique de la situation sociale et politique des États-Unis au moyen de la photographie, du texte et du film. Il a publié, dès 1975, une série d’essais sur la photographie devenus mythiques. Ses textes ont largement informé les théories anglo-saxonnes de l'art et de la photographie et joué un rôle précoce dans l'intégration de la pensée théorique européenne aux États-Unis. [Emprunter]
- Lettres à des photographies de Silvia Baron Supervielle (Gallimard, 2013) À travers 160 lettres, l'auteure rend un hommage poétique à sa mère, disparue trop tôt. Des photos sauvées de l'oubli constituent le point de départ d'un retour en arrière à la rencontre de cette femme, l'occasion de remonter l'arbre généalogique maternel en Uruguay. Puis elle évoque la vie après la mort de sa mère, le remariage de son père avec une femme distante, la mort de sa petite sœur, etc. [Emprunter]
- Vice de Hervé Guibert (Gallimard, 2013) Écrit entre la fin des années 1970 et le début des années 1980, ce texte dévoile les terreurs et les fantasmes de Hervé Guibert. Son regard se pose sur des objets et des lieux troublants, du fauteuil à vibrations au masque à l'éther, en passant par le cabinet du taxidermiste et le hammam. Cette édition contient les 21 photographies qui accompagnaient la version originale. [Emprunter]
- Écorces de Georges Didi-Huberman (éditions de Minuit, 2011) Ce récit-photo d'une déambulation à Auschwitz-Birkenau entreprise en juin 2011 interroge ce qui survit dans la mémoire. Il traduit un moment d'archéologie personnelle, un retour sur les lieux du crématoire V où furent réalisées par les membres du Sonderkommando, en 1944, quatre photographies encore discutées aujourd'hui. [Emprunter]
- La photographie de mode de Frédéric Monneyron (PUF, 2010) Cet essai philosophique et sociologique montre comment la photographie en général et la photographie de mode en particulier sont difficilement passées d'art mineur à celui d'art à part entière. Il s'interroge sur les fonctions esthétiques de la photographie de mode, puis analyse l'imaginaire de la photographie de mode dans sa dimension sociologique. [Emprunter]
- L'Image fantôme de Hervé Guibert (éditions de Minuit, 1981) Critique de photo pendant de nombreuses années, Hervé Guibert raconte ses antécédents photographiques, avec ses premières images érotiques, une séance de photo avec sa mère, la lente dégradation de la photo d'un ami condamné. Cette suite de récits explore, au regard d'aventures personnelles, les différents types de photographies : photo de famille, photo de voyage, photomaton, etc. [Emprunter]
- L'Œuvre d'art à l'époque de sa reproductibilité technique (1935) de Walter Benjamin (Allia, 2013) Ce texte fondamental démontre les conséquences artistiques, politiques et sociales de l'avènement de la photographie et du cinéma. Le statut de l’œuvre d'art, désormais bouleversé, privé de son aura, nourrit encore aujourd'hui les réflexions contemporaines. [Emprunter]
Biographies et mémoires de photographes
- Une femme en contre-jour de Gaëlle Josse (Noir sur blanc, 2019) Portrait de Vivian Maier, gouvernante américaine et photographe de rue amatrice, décédée en 2009 dans le plus grand anonymat. Ses photographies, retrouvées par hasard dans des cartons oubliés au fond d'un garde-meuble de la banlieue de Chicago, ont fait d'elle une artiste célèbre après son décès. [Emprunter]
- Après Gerda de Pierre-François Moreau (Édition du Sonneur, 2018) Après le décès à Brunete de sa compagne photographe Gerda Taro en 1937, le reporter de guerre Robert Capa arrive à New York, où il finalise pendant six semaines le livre Death in the making, qui évoque les douze derniers mois passés en Espagne à couvrir la guerre civile avec Gerda. Ce récit permet aussi d'évoquer leur amour agité et leur collaboration marquée par la cause révolutionnaire. [Emprunter]
- Tel est mon métier de Lynsey Addario (Fayard, 2016) La photographe américaine a couvert des zones de conflit en Irak, en Afghanistan, au Liban, au Darfour et au Congo. Ses clichés sont notamment publiés dans le New York Times ou le National Geographic. Elle témoigne de son parcours et dénonce la culture de la violence et le coût humain de la guerre. [Emprunter]
- La Chambre noire d'Edith Tudor-Hart de Peter Stephan Jungk (Editions Jacqueline Chambon, 2016) L'écrivain raconte la vie de sa grand-tante, la photographe autrichienne Edith Tudor-Hart qui, réfugiée en Angleterre dans les années 1930, a recruté pour le compte de l'URSS les Cinq de Cambridge, les plus célèbres espions anglais au service du communisme. [Emprunter]
- Diane dans le miroir de Sandrine Roudeix (Mercure de France, 2015) Dans la peau de Diane Arbus, l'auteure décrit la difficulté de la photographe à réaliser un autoportrait par une nuit d'été à New York. Seule dans sa salle de bains, la narratrice recule l'échéance, s'observe dans le miroir et laisse affleurer les souvenirs de son enfance, de ses rencontres, de sa carrière, de sa sexualité, de ses difficultés d'argent, etc. [Emprunter]
- Dans la vie noire et blanche de Robert Mapplethorpe de Judith Benhamou-Huet (Grasset, 2014) À partir d'entretiens effectués auprès de familiers de l'artiste, la chroniqueuse évoque la carrière fulgurante du photographe new-yorkais, son style, ses portraits et ses nus en noir et blanc, ses rencontres, son entourage, son amitié avec Patti Smith, son homosexualité assumée, ses penchants sado-masochistes, ses obsessions, son oscillation permanente entre le bien et le mal. [Emprunter]
- Man Ray de Serge Sanchez (Gallimard, 2014) Ce livre retrace le parcours de Man Ray (1890-1976), qui mêla à ses peintures divers matériaux et employa dans ses créations des procédés industriels tels que la photographie ou l'aérographie. Proche du mouvement Dada, il fut le témoin privilégié des principaux courants artistiques du XXe siècle, et fréquenta André Breton, Pablo Picasso, Paul Éluard, Lee Miller ou encore Kiki de Montparnasse. [Emprunter]
- Medusa de Ricardo Menéndez Salmón (Editions Jacqueline Chambon, 2013) Prohaska, artiste allemand invisible, photographie et filme les images les plus insoutenables des horreurs du Troisième Reich et plus tard les massacres et les désastres dans le monde. À travers le destin de cet artiste, une réflexion sur l'art, sur la question du voyeurisme et de la jouissance que suscite la vision de l'insoutenable. [Emprunter]
- De ma terre à la Terre de Sebastiao Salgado (Presses de la Renaissance, 2013) Le photojournaliste revient sur son parcours, ses engagements militants et ses reportages dans plus de cent pays à l'occasion de l'exposition itinérante Genesis organisée en 2013. [Emprunter]
- J'ai dû chevaucher la tempête. Les tribulations d'un bipolaire de Yann Layma (La Martinière. 2012) Reporter-photographe spécialiste de la Chine, l'auteur témoigne de sa vie en tant que personne bipolaire ou maniaco-dépressive, traversant des périodes d’exaltation intense puis d’abattement extrême. [Emprunter]
- Dora Maar de Alicia Dujovne Ortiz (Grasset, 2003) Retrace la vie de la photographe Henriette Théodora Markovitch, dite Dora Maar (1907-1997) : son enfance en Argentine, son arrivée à Paris à l'âge de 20 ans, sa participation au courant surréaliste, sa carrière de photographe, ses rencontres avec Man Ray, Paul Éluard, Brassaï, André Breton, Max Jacob, sa vie auprès de Chavance, Bataille, puis Picasso, la fin de sa vie passée en recluse. [Emprunter]
Ouvrage technique sur la photographie
- La photographie au reflex numérique pour les Nuls de David D. Busch (First interactive, 2018) Guide pour débuter avec un reflex numérique. Après avoir présenté la technologie, le spécialiste aborde le choix du modèle, les réglages, l'utilisation des modes préprogrammés et la retouche d'image. [Emprunter]
Mais aussi...
Des romans mettant en scène des photographes (ou la photographie comme moteur du récit)
- Le Sel de tes yeux de Fanny Chiarello (éditions de l'Olivier, 2020) Fanny photographie par hasard une jeune athlète en train de courir. Elle commence à imaginer la vie de cette dernière, en la nommant Sarah et en lui inventant une famille, une meilleure amie ainsi qu'une amoureuse. Habitante d'une petite ville du bassin minier, l'homosexualité de Sarah ne serait pas acceptée par son entourage. Un jour, Fanny se retrouve nez à nez avec Sarah au cours d'une fête. [Emprunter]
- Une longue nuit mexicaine de Isabelle Mayault (Gallimard, 2019) Un homme hérite d'une valise après la mort de sa cousine. Elle contient des milliers de négatifs de photographies de la guerre d'Espagne, prises par trois éminents photographes. Hésitant sur la conduite à tenir, il décide de remonter la piste des propriétaires successifs de la malle. [Emprunter]
- Hélène ou Le soulèvement de Hugues Jallon (Verticales, 2019) Loïc et Hélène vivent une existence tranquille en compagnie de leurs deux enfants. Un jour, un ancien camarade d'université de Loïc les convie à son anniversaire. Durant la soirée, Hélène s'endort et un inconnu la photographie. Plus tard dans la nuit, elle quitte son mari pour rejoindre l'homme qui l'a photographiée. S'ensuit une passion amoureuse adultère. [Emprunter]
- La Terre invisible de Hubert Mingarelli (Buchet Chastel, 2019) En 1945, dans une ville d'Allemagne occupée, un photographe anglais couvrant la défaite allemande assiste à la libération d'un camp de concentration. Il décide de traverser le pays pour photographier le peuple qui a permis l'existence de telles atrocités pour tenter de comprendre. Un jeune soldat anglais tout juste arrivé et qui n'a rien vécu de la guerre l'accompagne en tant que chauffeur. [Emprunter]
- À son image de Jérôme Ferrari (Actes Sud, 2018) Un roman consacré à une photographe décédée qui aborde le nationalisme corse, la violence des conflits contemporains et les liens troubles entre l'image, la photographie, le réel et la mort. [Emprunter]
- C'est moi de Marion Guillot (éditions de Minuit, 2018) Depuis que Tristan est au chômage, le couple qu'il forme avec la narratrice bat de l'aile et la monotonie règne dans le foyer. Une photographie sème le désordre dans leur vie morose. [Emprunter]
- Apaise le temps de Michel Quint (Phébus, 2016) À la mort d'Yvonne, Abdel, jeune professeur dans un lycée de Roubaix, accepte de reprendre la librairie dans laquelle il a passé tout son temps libre enfant. En rangeant les cartons, il découvre des photographies qui font resurgir les souvenirs de la guerre d'Algérie. Il commence à s'interroger sur les secrets de certains de ses proches : Saïd, Rosa, Zerouane. [Emprunter]
- Accidents de Olivier Bordaçarre (Phébus. 2016) Sergi Vélasquez, artiste peintre, s'éprend d'une femme rousse qu'il croise dans l'ascenseur. Il est fou de son corps mais elle est hystérique. Roxane, elle, est photographe, son visage est brûlé suite à un accident de voiture, mais elle aime photographier son corps. Ses clichés séduisent Sergi. Deux coups de foudre sur la thématique du double dans le milieu de l'art. [Emprunter]
- L'Attrapeur d'ombres de Patrick Bard (Seuil, 2015) Seb Meyer, jeune journaliste photographe est au chômage depuis qu'il a perdu un œil pendant le siège de Sarajevo. Quand un confrère lui rapporte le sac qu'il avait en Bosnie, il espère trouver des indices sur les circonstances de son accident et pouvoir se venger. [Emprunter]
- Photos volées de Dominique Fabre (éditions de l'Olivier, 2014) Après la perte de son emploi, Jean, un quinquagénaire parisien et célibataire, se met à fréquenter le café l'Oiseau bleu. Il renoue avec quelques anciennes amies et surtout avec sa passion de jadis : la photographie. En se plongeant dans ses archives photographiques, il se remémore sa vie passée et tente de la reconstruire. [Emprunter]
- Photo-Photo de Marie Nimier (Gallimard, 2014) Comme d'autres écrivains, une femme se rend chez Karl Lagerfeld pour se faire photographier. En l'attendant, elle se met à rêver, divaguer d'une image à l'autre. Quand la photo sort dans Paris Match, elle reçoit une lettre d'une vieille dame lui demandant où elle a acheté les chaussures vertes qu'elle porte sur la photographie. [Emprunter]
- Une vie à soi de Laurence Tardieu (Flammarion, 2014) Dans ce récit d'inspiration autobiographique, la narratrice, en pleine tourmente personnelle, visite par hasard la rétrospective consacrée à la photographe Diane Arbus au Jeu de Paume. Véritable choc esthétique puis existentiel, cette découverte l'incite à redécouvrir sa vie intime et familiale à la lumière de la photographe. [Emprunter]
- Trois fermiers s'en vont au bal de Richard Powers (Cherche Midi, 2014) Detroit, à la fin du XXe siècle. Un jeune homme, fasciné par une photographie d'August Sander, représentant trois jeunes hommes allant au bal à la veille de la Première Guerre mondiale, tente de recueillir des informations sur ce cliché. À Boston, Peter Mays découvre que l'un de ces hommes serait vraisemblablement un de ses ancêtres. [Emprunter]
- L'Exposition de Nathalie Léger (POL, 2011) À l'occasion d'un projet d'exposition, la narratrice relate sa rencontre avec une héroïne oubliée du second Empire, la comtesse de Castiglione, dont elle tente de retracer l'existence à partir d'un recueil de photographies trouvé dans sa bibliothèque. Le rapport qu'a entretenu la comtesse avec sa beauté incite la narratrice à s'interroger sur l'image de la femme. [Emprunter]
Rappel du lien vers le catalogue de la Bibliothèque numérique du réseau des bibliothèques de la Ville de Paris : ici
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Il vient d’arriver le dernier livre traitant de la photographie d’objets de Nath-Sakura. Il ne reste plus qu’à le dévorer il sera sûrement très enrichissant ! #livrephoto #livresphoto #livrephotographique #livrephotographie #ouvragephoto #ouvragephotographique #coursphoto #coursphotographie #coursphotos (à Carnoules) https://www.instagram.com/p/CbNK5R4sYwH/?utm_medium=tumblr
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La Maison de la Photographie à Lyon, @PoltredLyon, est le premier concept store photo français qui accueille une galerie avec à la fois une zone exposition et une boutique et un café... Et en plus ce sont des copains ! On vous invite à y aller et découvrir l'exposition de @Audrey_Khal "Time for Café" en collaboration avec le laboratoire Lynx et... nous :)⠀ #TimeforCafé #PoltredLyon #Ooblik #AtelierOoblik #LivresPhoto #Photographie #ExpoPhoto — view on Instagram http://bit.ly/2UKKAF0
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J'♥ #Blurb France - #Livres #photo - Créez des #livresphoto personnalisés de #qualité professionnelle !
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The first photobook I fell in love with: The ballad of sexual dependency, Nan Goldin #photobooks #livresphoto #nangoldin #meslivresphotopreferes
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Les nouveautés du Fonds Photo
La livraison du jour s’avère riche, curieuse et fructueuse avec la parution du superbe livre d’Erwin Olaf, le catalogue de l’exposition consacrée à Luigi Ghirri, le magnifique « Exils » de Koudelka. On aurait tout aussi bien pu mettre en avant la parution de la collection de nus de Saul Leiter, la réédition du mythique « Marseille » de Germaine Krull ou l’emblématique livre d’Avedon, « Sans allusion », une référence absolue en matière d’édition de livres de photographies. A bien y réfléchir, il serait dommage de passer à côté du «Train » de Paul Fusco (prix Nadar décerné par l’association Gens d’images) qui donne plusieurs points de vue sur le dernier voyage en train de la dépouille de Bob Kennedy ou de rater les très lumineuses images de Géraldine Lay qui montrent une Grande Bretagne inédite.
« Exils », Koudelka, Éditions Delpire, 86 pages. Cote : PHOTO 2 KOUD
« Masahisa Fukase », Éditions Xavier Barral, introduction de Simon Baker, textes de Tomo Kosuga, Éditions Xavier Barral, 350 photographies couleur et N&B, 416 pages. Cote : PHOTO 2 FUKA
« Cartes et territoires », Luigi Ghirri, Catalogue de l’exposition au Jeu de Paume, Éditions Mack Michael, 250 pages. Cote : PHOTO 2 GHIR
« Structures de domination et de démocratie », David Goldblatt, Éditions du Centre Pompidou/Steidl, 336 pages. Cote : PHOTO 2 GOLD
« Coréennes », Chris Marker, Éditions l’Arachnéen, 152 pages. Cote : PHOTO 2 MARK
« I am », Erwin Olaf, Éditions Aperture, 400 pages. Cote : PHOTO 2 OLAF
« Only bleeding », Frédéric Stucin, Éditions Le bec en l’air, 144 pages. Cote : PHOTO 2 STUC
« In my room », Saul Leiter, Éditions Steidl, 148 pages. Cote : PHOTO 2 LEIT
« Marseille », Germaine Krull, Éditions Jeanne Laffitte, , 71 pages. Cote : PHOTO 2 KRUL
« Sans Allusion », Avedon, 160 pages, Éditions Taschen. Cote : PHOTO 2 AVED
« North End », Géraldine Lay, Éditions Actes Sud – Beaux-Arts, 96 pages. PHOTO 2 LAY
« Magnum Chine », Éditions Actes Sud/Beaux-Arts, 378 pages. PHOTO 3
« The train », Paul Fusco, Éditions Textuel, 143 pages. Cote : PHOTO 2 FUSC
Toutes ces nouveautés sont disponibles au Fonds photo de la Médiathèque.
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toutes les photos © Alex Webb
« La Calle » (photographs from Mexico) d’Alex Webb
Le septième livre d’Alex Webb s’intitule « La calle » et réunit près de trente années de photos consacrées au Mexique. Le résultat est tout simplement bluffant, incroyable et d’une richesse hallucinante. Il y a tout d’abord cette explosion de couleurs, de contrastes, de lumière, de clair-obscur et de vie qui frappe d’emblée. La rue mexicaine semble une véritable scène où s’ébrouent des visages, des enfants, des corps, des animaux, sculptés par l’ombre et la lumière et magnifiés par la texture colorée des murs, des affiches et des enseignes. Et puis il y a le cadrage vertigineux qui découpe l’image en un puzzle où se combine le premier plan, le deuxième et parfois le troisième plan dans une mise en abyme d’où jaillit une profusion de sens, de symboles et de tableaux superposés, à la fois découpés et imbriqués par les ombres, les angles et le mouvement.
« J’ai été immédiatement fasciné par cet endroit à la fois si proche des États-Unis et en même temps si fondamentalement différent de mon point de vue. L’énergie de la rue mexicaine, la spontanéité de la vie de la rue, la manière dont on semblait vivre dans la rue et sur le perron, tout était très différent de la Nouvelle Angleterre d’où je suis originaire » raconte Alex Webb dans une interview accordée au site internet Yonder (1). Une attirance pour le Mexique qui date d’un premier voyage emblématique dans les années 70, inspiré par la lecture de deux textes de Graham Greene (« the lawest roads », Across the bridge »). Il faut dire qu’avec Alex Webb, la littérature rôde en permanence autour de sa photographie.
Né le 5 mai 1952 à San Fransisco, le photographe américain a sans cesse oscillé entre l’une et l’autre puisqu’il a étudié la littérature et l’histoire à l’université d’Harvard et la photographie au Carpenter center for the Visual Arts avant de se décider pour l’image en intégrant la prestigieuse agence photographique Magnum en 1976, à 24 ans ! Depuis, le photographe enchaîne les expositions prestigieuses (Walker Art center, Museum of photographic art, le centre national de la photographie, Museum of contemporary art of San Fransisco, Whitney museum, High museum of art) tout en étant régulièrement honoré pour son travail (bourse des fondations Hasselblad, Guggenheim et de la fondation des arts de New-York, prix Leopold Godowsky, médaille Leica, prix David Octavius).
Celui qui a définitivement opté pour la puissance évocatrice de la couleur en 1979, s’inscrit dans la lignée des photographes nord-américains « coloristes » inspirés par la “street photography” et le graphisme comme Ernst Haas, Fred Herzog, William Eggleston ou encore Harry Gruyaert pour le vieux continent. « Parce que je travaille sur la frontière États-Unis/Mexique ou sur Haïti, la couleur fait partie intégrante de la culture que je photographie » rappelle Alex Webb, tout comme la littérature pourrait-on ajouter à laquelle il rend hommage dans « La Calle » en insérant cinq textes d’auteurs mexicains. C’est aussi une lecture assidue des œuvres de Joseph Conrad et des ouvrages de Garcia Marquez et de Vargas Llosa qui inspire le maître coloriste. A la manière de ces derniers, monstres de la littérature d’Amérique latine, le travail photographique d’Alex Webb pourrait être qualifié de réalisme magique tant il joue avec la lumière et le quotidien en apparence banal des hommes pour nous offrir des images baroques, gorgées de couleur et de soleil.
« La Calle » (photographs from Mexico) de Alex Webb, Editions Aperture, 150 pages, 2018, Cote : Photo 2 WEBB
Les livres de photos de Fred Herzog (lien) présents à la Médiathèque Edmond Rostand
Les livres de photos de Ernst Haas (lien) présents à la Médiathèque Edmond Rostand
Les livres de photos de William Eggleston (lien) présents à la Médiathèque Edmond Rostand
Les ouvrages de Harry Gruyaert (lien) présents à la Médiathèque Edmond Rostand
(1) http://www.yonder.fr/en-images/photographes/interview-alex-webb-la-calle
K
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© Editions Xavier Barral
Un florilège des livres publiés par les Éditions Xavier Barral
Décès du grand éditeur de livres photographiques Xavier Barral
Le monde de l’édition et de la photographie a appris la triste nouvelle de la disparition de Xavier Barral à l’âge de 63 ans samedi dernier à Paris. Né le 22 novembre 1955, le fondateur de la maison d’édition du même nom a étudié à l’École supérieur d’arts graphiques Penninghen où il rencontre Robert Doisneau et le graphiste Roman Cieslewicz. Ce passionné de voile et d’océan se lance ensuite dans la photographie de presse avant de prendre la direction artistique de plusieurs magazines (L’évènement du jeudi, Impact médecin, l’Autre journal). Grâce à l’éditeur Éric Hazan il intègre vraiment le monde de l’édition de livres d’art puisqu’il s’occupera de l’édition d’un livre photo…de Robert Doisneau puis d’un ouvrage d’Eugène Atget. Parallèlement, au sein de l’agence Atalante qu’il fonde avec Annette Lucas et Stéphane Trapier, il crée tout un univers graphique, une identité visuelle pour des clients prestigieux comme la Cour des comptes, la Cité de la musique, l’Opéra de Paris, la Fondation Cartier, le BAL ou Radio classique. En 2002, sous l’impulsion de l’éditeur Hervé de La Martinière et de Xavier Buren (peintre et sculpteur), décide de franchir le pas en fondant sa propre maison d’édition, les Éditions Xavier Barral.
La réussite est au rendez-vous pour cet amateur du beau nourri d’une solide expérience dans le graphisme, la composition visuelle et le monde de l’édition et de l’art. Au rythme de quatorze livres parus par an, cet éditeur, vite devenu incontournable, cumule les succès avec « M’as-tu vue » de Sophie Calle (2003), les ouvrages du photographe chilien Sergio Larrain, une rétrospective de Paris photo avec une soixantaine de contributions prestigieuses en 2016, un livre mémorable sur le photographe Masahisa Fukaze et un livre de Depardon sur les USA (2018). Infatigable artisan de l’esthétique et du produit bien fait, Xavier Barral était aussi un explorateur à sa manière puisqu’il a su sortir du strict domaine des photographes pour s’aventurer dans l’exploration spatiale avec son livre « Mars, une exploration photographique » (de Francis Rocard et Alfred.S.McEwen), l’archéologie avec « Chauvet-Pont-d’arc, l’in appropriable »(de Raphaël Dallaporta), la génétique avec « Évolution » (de Patrick Gries et Jean-Baptiste de Panafieu) ou la géopolitique avec un ouvrage sur le mur de séparation entre la Palestine et Israël, « Wall » de Josef Koudelka.
Le catalogue de la maison d’édition Xavier Barral : http://exb.fr/fr/
Une sélection d’ouvrages publiés par les Éditions Xavier Barral disponibles à la médiathèque Edmond Rostand :
https://bibliotheques.paris.fr/Default/SearchMinify/URkNd092UUWMnQ7qVpp0zg
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Pour sa première exposition @Audrey_Kahl formule avec simplicité que chacun cherche sans doute trop loin de sa vie une beauté accessible ici. Elle est à découvrir chez @PoltredLyon ! Le format utilisé ici est "Carnet classique coloré" avec une reliure en dos carré agrafé.⠀ #AtelierOoblik #Ooblik #LivresPhotographiques #LivresPhoto #ArtistePhoto #Photographies #Photographe #PoltredLyon — view on Instagram http://bit.ly/2VST5dI
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