#les vingt ans de josette
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Robert Doisneau, Les Vingt Ans de Josette, 1945
#punctum#robert doisneau#les vingt ans de josette#centre pompidou#paris#banlieue#1945#photography#black and white photography
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“Thank you for calling Healing Treats, this is Mazie, how can I help you?”
“T’es enciente?”
Mazie winces. “Ah, Madeline. Un moment.” Mazie glances around. “Waverly? Could you do me a favour? Can you help any customers that come in for a bit? My mentor needs to… chew me out.” She gestures to the phone in her hand.
Waverly nods. “Yeah, of course! Happy to help.”
“Thank you,” Mazie says, before ducking into the kitchen.
“C’est un bon sentiment, ‘chew you out’,” Madeline grumbles. “Tu vas le garder?”
“B’en sûr qu'oui,” Mazie answers, affronted. “Pas de question.”
“Ouais, ouais, d’accord. T’es toujours en Canada?”
“Ouais, toujours en le Triangle.” Her free hand comes up to worry at her blouse collar.
“Oh, dit-moi que le père n’est pas un Earp.”
Mazie snorts. “Non, c’est pas un Earp. N’y a personne capable de le faire.”
“Les petits miracles.”
“Madeline!” But she can't help laughing.
Madeline makes a dismissive sound, then realizes there's another question to ask. “… C’est pas un Holliday?”
Mazie inhales, grimaces, unable to answer.
“Ohh, la la la la la. Mazileah Josette.”
“Je ne l’ai pas fait exprès!” She says defensively.
“Non, c’est completement un accident.”
She rolls her eyes and grumbles, “J’suis une adulte.”
“T’es une enfante,” Madeline snaps.
“Seulement parce que t’as quatre des siècles! J’ai presque trente ans, c'est pas d’adolescent.”
“J’y viens. T’as aucune idée ce que vous devez faire.”
Mazie groans. “Madeline…”
“Combien des semaines?”
She sighs. “Dix semaines.”
“Bon. J’arriverai quand t’as vingt, vingt-quatre semaines. Vous tous, vous aurez besoin de mon aide.”
She sighs, quietly admits, “Je veux pas lui dire.”
“Je vais pas lui dire pour toi,” Madeline says, then warns, “Mais un jour, t’as peut être pas de choix. À bientôt.”
“Au revoir,” Mazie murmurs, then hangs up.
#would they write a song for you • writing#& i'll show you every version of yourself tonight • witch#♥ twin fire signs ; four blue eyes • henry & mazie#( there's no way to do in-line translations any more so )#( YOU'RE ON YOUR OWN BYE )#( eta: mazie has made the lethal mistake of thinking she's safe speaking french )#( but waves knows latin )
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« Dix pour cent » : qui sont les vrais agents d'acteurs qui se cachent derrière les personnages ?
Après les avocats ou les médecins, les agents artistiques ont leur série, inspirée de la vie de Dominique Besnehard, le plus célèbre d'entre eux. Des pros à tout faire, face aux caprices des stars qu'ils cajolent. Savoureux.
Pendant vingt-deux ans, Dominique Besnehard s'est couché tous les soirs en se sentant coupable. « Etre un agent artistique, explique l'ami des vedettes, c'est devenir le réceptacle des angoisses des acteurs et des actrices dont on défend les intérêts. On ne peut jamais s'empêcher de penser que l'on aurait pu décrocher un rôle plus intéressant ou leur obtenir un plus gros cachet. » L'ex-star des agents a abandonné « ce métier dévorant » en 2007, mais rêvait, depuis, de le raconter dans une série glamour. « Autant de passions et de névroses, c'est un réservoir formidable pour la fiction », s'amuse le coproducteur de Dix pour cent — le titre fait référence au pourcentage de leurs cachets que les « talents » sont tenus de reverser à leur agent pour rémunérer ses services
Les souvenirs de Dominique Besnehard constituent la base des six épisodes, diffusés sur France 2 à partir de mercredi. Fanny Herrero et son équipe d'auteurs (à 70 % féminine) ont articulé ses anecdotes savoureuses — et garanties authentiques —, dans un récit sur le quotidien et les déboires d'une agence artistique plus vraie que nature. « Dix pour cent est une série "professionnelle" comme il en existe sur les cabinets d'avocats, les hôpitaux ou les commissariats, explique la scénariste. A cette différence près que le milieu des agents est inconnu des téléspectateurs. » Le projet est atypique, poursuit Dominique Besnehard : « Il faut faire rêver le public avec le monde du spectacle, mais il doit pouvoir aussi s'identifier à ce monde, y retrouver son propre vécu. » Modèle revendiqué : Suits, avocats sur mesure, la série judiciaire qui est parvenue à rendre divertissant un domaine aussi hermétique que le droit des affaires.
Dix pour cent se situe ainsi dans le registre de la « dramédie », un mélange d'humour (dans une proportion évaluée par nos soins à 85 %) et de situations dramatiques. A la fin du premier épisode, la mort tragiquement drôle du président-fondateur de l'agence ASK va bouleverser les relations entre ses quatre associés, par ailleurs confrontés aux caprices plus ou moins baroques de leurs clients. Quatre personnalités aux profils très différents, et inspirées par d'authentiques agents (lire ci-dessous). « C'est un métier de l'ombre, analyse Fanny Herrero. La principale difficulté était de trouver un ton assez universel pour le rendre compréhensible au plus grand nombre. » L'astuce ? Un personnage de (faux) candide : Camille (interprétée par Fanny Sidney), la fille cachée du numéro 2 de l'agence ASK, parvient à se faire engager comme assistante de l'associée (et néanmoins rivale) de son père. Son apprentissage permet de faire découvrir avec humour la dimension « couteau suisse » du métier d'agent. Qui, en plus de négocier les contrats, est aussi lobbyiste, chasseur de têtes, concierge de luxe, psy (« les acteurs sont les êtres les plus inquiets au monde », note avec lucidité Grégory Montel, qui incarne l'un des agents), ou diplomate — réplique clé du premier épisode : « On ne ment pas à une actrice, on lui cache la vérité. »
Originalité de la série, chaque épisode a son « guest », ou son duo de « guests » : des acteurs et actrices de renom dans leur propre rôle... et pas toujours à leur avantage. Malgré le carnet d'adresses de Dominique Besnehard, convaincre les stars du septième art de participer à Dix pour cent n'a pas été simple. « Les acteurs ont l'habitude d'être servis au cinéma, note avec humour Fanny Herrero. Là, ils devaient se mettre au service d'autres, les agents. » Cédric Klapisch, directeur artistique et coréalisateur de la série, assure avoir essuyé « entre vingt et trente refus, surtout de la part d'hommes ». Motif le plus souvent avancé ? « Je ne peux pas jouer mon propre rôle... » Dominique Besnehard n'a pas été surpris : « Les stars françaises ont plus de mal avec l'autodérision que les Anglo-Saxons. S'amuser avec leur image publique leur fait peur. »
Conséquence de ces forfaits, parfois de dernière minute : certains scénarios, imaginés pour tel ou tel comédien, ont dû être réécrits. Faute de volontaires, le couple père-fils du troisième épisode est ainsi devenu... un couple mère-fille, avec Nathalie Baye et Laura Smet découvrant, horrifiées, qu'elles vont devoir jouer dans le même film ! Les deux actrices, dont la relation est beaucoup plus apaisée à la ville qu'à l'écran, ont accepté immédiatement la proposition très ludique de Dix pour cent. Même absence de complexes de la part de Cécile de France, qui, pour les besoins du scénario, doit pourtant subir un lifting pour jouer dans le prochain Tarantino. Les autres courageux se nomment Line Renaud et Françoise Fabian, visiblement ravies de se crêper le chignon, Audrey Fleurot (aussi drôle que touchante en comédienne qui tente de conjuguer carrière et maternité), le couple improbable Julie Gayet-JoeyStarr (dont la guerre ouverte sur un plateau de tournage contraint leurs agents respectifs à jouer les Casques bleus), et François Berléand. Très crédible dans les attitudes d'un comédien capricieux, ce dernier tacle gentiment ses petits camarades. « Si certains ont refusé de participer à Dix pour cent, c'est peut-être parce que le rôle n'était pas assez important. Moi, je me suis régalé à jouer un personnage détestable, parce que je ne suis pas du tout comme ça ! »
Fanny Herrero espère que la diffusion des six épisodes calmera les craintes des stars frileuses. Et leur donnera envie de rejoindre le générique de la deuxième saison, dont les grandes lignes narratives ont déjà été validées par France 2. Après la projection en avant-première de Dix pour cent au Festival du film francophone d'Angoulême, acteurs et actrices étaient nombreux à féliciter Dominique Besnehard en lui glissant à l'oreille : « Pense à moi pour la prochaine saison ! » Mais l'heureux producteur reste prudent : « Entre vouloir apparaître à l'écran et s'y voir, il y a un monde... »
QUI SE CACHE DERRIÈRE LES PERSONNAGES ?
Gabriel
Le passionné. Il est tout dévoué à ses client(e)s. Au point de vivre toute dispute avec eux comme un drame : quand un « talent » le quitte, c'est comme une rupture amoureuse. « C'est un mélange de Laurent Grégoire, le fondateur de l'agence Adéquat (qui travaille pour Marion Cotillard, Omar Sy...), et de moi-même, reconnaît Dominique Besnehard. Nous ne savons pas quoi faire en dehors de ce métier. » Même si, selon son interprète, Grégory Montel, « Laurent Grégoire s'est plutôt reconnu dans le personnage d'Andréa »...
Andréa
La pasionaria du cinéma d'auteur. Exigeante, séduisante, à l'homosexualité affichée. Son modèle ? Elisabeth Tanner, l'une des vedettes de la profession (agente de Sophie Marceau, André Dussollier, Charlotte Rampling...), ex-numéro 2 de l'agence Artmedia et présidente du Syndicat français des agents artistiques et littéraires. « Andréa est son portrait craché, assure Besnehard. Camille Cottin a même repris ses gestes."
Mathias
L'ambitieux. Il incarne la dimension « business » du métier. Pour Besnehard, le personnage a deux sources d'inspiration : Bertrand de Labbey, le patron de la plus puissante agence artistique d'Europe, Artmedia (à son catalogue : Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Jamel Debbouze...), et François-Marie Samuelson, spécialiste de « coups » dans l'édition littéraire et, pour le cinéma, agent de Juliette Binoche et Mathieu Kassovitz.
Arlette
La doyenne de l'agence, et sa mémoire. A commencé sa carrière à l'époque où les agents s'appelaient des « imprésarios ». « Elle a été inspirée par Josette Arrigoni, l'une des légendes du métier, aujourd'hui en retraite, qui a été la secrétaire de Gérard Philipe avant de devenir l'agente d'Annie Girardot et de Jean Rochefort, raconte Besnehard. Physiquement, c'est une dame un peu fragile, un vrai petit oiseau. Le personnage d'Arlette est plus dur... »
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https://www.telerama.fr/series-tv/dix-pour-cent-une-nouvelle-serie-100-show,132427.php
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Avant il y avait la Belle et la Bête, Jean Cocteau
Josette Day et Jean Marais dans la Belle et la Bête de Jean Cocteau
Avant Peau d’Âne, il y avait La Belle et la Bête de Jean Cocteau. Vingt-quatre ans séparent ces deux grands contes enchanteurs et pourtant une troublante ressemblance les lies. En effet, entre esthétisme, acteur et univers cinématographique, Jacques Demy a rendu un bel hommage à Jean Cocteau.
Si le pouvoir d’addiction de cette féérie reste éternel, c’est grâce à la magie de son langage cinématographique. Cocteau parvient à éclairer l’irréel. En opposition au monde réel de la Belle, jouée par Josette Day, la mise en scène de l’intérieur du château, le monde de la Bête, tout en clair-obscur, est placée sous l’influence “fantastique” de Gustave Doré. Le décor se veut à la fois animé et inanimé, l’atmoshpère qui s’en dégage repose sur cette ambivalence. Le meilleur exemple restant les candélabres humains, bras-flambeaux sortant du mur. Le trucage, du plus bel effet, est d’une simplicité “enfantine”, Cocteau monta la scène à l’envers faisant croire que les candélabres s’allument au fur et à mesure.
Des costumes somptueux, des miroirs qui réfléchissent, une course éffrénée filmée au ralenti... tant de ressemblance entre ces deux films qui nous emmènent dans un univers enchanté et magique. De même par l’incarnation parfaite de l’affrontement de la beauté et de la laideur, jouée par Jean Marais en tant que “Bête”. La Bête porte la Belle jusqu’à son lit tandis que dans Peau d’Âne, c’est le père, incarné également par Jean Marais, qui porte la bête dans le lit de la belle endormi.
“L’amour peut faire qu’un homme devienne bête, l’amour peut faire aussi qu’un homme laid devienne beau”
La Bête
05/02/17
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