#les joyaux d'étoiles
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Star Jewel - Les Joyaux d’Étoiles
流れ星に 願いをかけた
J’ai placé mon vœu sur une étoile filante
7つの真珠(ひかり)見つけだして
Afin de trouver les 7 Perles (Lumières)
はなればなれになった ジュエリー・スター
Même si les Star Jewels (Joyaux d’Etoiles) viennent à disparaître
運命という絆を 信じてる
Je crois en ce lien qu’on nomme le Destin
冷たい波にとけた
Se fondant dans des vagues glaciales
涙のゆくえは
Sont le lieu où demeurent les larmes
誰にも気付かれないまま
Personne ne les remarqua
そっと 泡と消えていった
Et doucement je me transforme en écumes
なくしたものを探してる
Je suis à la recherche de ce que j’ai perdu
心がせつない
Mon cœur me fait si mal
緑の雨に 包まれて
Enveloppé par une pluie verdoyante
歌い続ける Song for You
Je continuerai de chanter cette chanson pour toi (This Song for You)
生まれ変わる 朝が来るなら
Si le matin vient, je renaîtrais de nouveau
同じ命を また生きたい
Et je voudrais revivre encore la même vie
めぐりあえる すべてのものが
Se rencontrer de nouveau et tout ce qui va avec
宝石になる奇跡を 信じてる
Ils deviendront le joyau du miracle auquel je crois
心を開いた時
Lorsque j’ai ouvert mon cœur
何かが弾けた
Quelque chose en resplendit
ひとりで ここまで来たけど
Même si je suis venue ici seule
きっと 強がってたね
Je sûre d’être devenue plus forte, n’est-ce pas ?
大事なものに気付いたら
Lorsque je pris conscience des choses qui me sont chères
季節がめぐった
Les saisons se succédèrent
緑の雨に 包まれて
Enveloppé par une pluie verdoyante
歌い続ける Song for You
Je continuerai de chanter cette chanson pour toi (This Song for You)
流れ星に 願いをかけた
J’ai placé mon vœu sur une étoile filante
7つの真珠(ひかり)見つけだして
Afin de trouver les 7 Perles (Lumières)
はなればなれになった ジュエリー・スター
Même si les Star Jewels (Joyaux d’Etoiles) viennent à disparaître
運命という絆を 信じてる
Je crois en ce lien qu’on nomme le Destin
大事なものに気付いたら
Lorsque je pris conscience des choses qui me sont chères
季節がめぐった
Les saisons se succédèrent
緑の雨に 包まれて
Enveloppé par une pluie verdoyante
歌い続ける Song for You
Je continuerai de chanter cette chanson pour toi (This Song for You)
生まれ変わる 朝が来るなら
Si le matin vient, je renaîtrais de nouveau
同じ命を また生きたい
Et je voudrais revivre encore la même vie
めぐりあえる すべてのものが
Se rencontrer de nouveau et tout ce qui va avec
宝石になる奇跡を 信じてる
Ils deviendront le joyau du miracle auquel je crois
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Parolier: Mitsui Yukiko
Compositeur: Oouchi Tetsuya
Chanteuse: Mayumi Asano
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#mermaid melody#star jewel#les joyaux d'étoiles#pich pich pitch#la mélodie des sirènes#french translation#traduction française#rina tôin
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Générateur brawl stars
Comment utiliser un générateur Brawl Stars
Il existe un certain nombre de méthodes pour pirater des étoiles de brawl sans dépenser un seul centime. Certains d'entre eux sont des Brawl Stars Triche, des joints de bagarre et des stars de la bagarre triche. Ces conseils peuvent être utilisés pour générer des quantités illimitées d'étoiles en quelques minutes.
Brawl Stars triche
Si vous vous ennuyez avec le jeu standard et que vous souhaitez gagner des gemmes illimités et Dowolna Ilosc Zlota, vous pouvez utiliser un générateur de stars de Brawl Cheat. Ces outils sont très utiles et vous permettent d'obtenir des quantités illimitées de gemmes et de gemows dowolna en quelques secondes. De plus, ces tricheurs peuvent vous aider à accéder à divers ESP qui vous aideront de plusieurs façons.
Bien que la majorité des trichettes de Brawl soient fausses, il y en a aussi des légitimes qui vous donneront des joyaux illimités. Ces astuces se présentent sous la forme de mods pour les appareils Android et iOS et sont disponibles pour les deux versions du jeu. Ils offrent des fonctionnalités telles que AIMBOTS, AIM ASSIST, RADAR, ESP Hacks, etc. Bien que ces tricheurs soient utiles, ils ne donnent pas accès au mode Dieu et aux joyaux et pièces de monnaie gratuits illimités.
Brawl Stars Gems
Un générateur Brawl Stars Gems est un outil puissant qui peut vous aider à augmenter la quantité de gemmes que vous avez dans le jeu. Vous pouvez utiliser les gemmes que vous obtenez du générateur pour acheter des choses dans la boutique de jeux. Si vous avez suffisamment de gemmes, vous pouvez même créer un menu Mod pour vous donner un avantage sur le reste.
Les gemmes sont l'une des parties les plus importantes des étoiles de bagarre. Ils vous permettent d'acheter des bagarres, des gadgets et de nouvelles peaux. De plus, vous pouvez les utiliser dans tous les modes de jeu. Avec un générateur Gems Brawl Stars, vous ne manquerez pas de gemmes de si tôt!
Brawl Stars Astuce
L'utilisation des étoiles Brawl Asttuce est un excellent moyen d'obtenir des joyaux et des pièces gratuits. Vous pourrez débloquer des articles puissants et monter de niveau vos personnages sans avoir à payer de l'argent réel. Cette triche est sûre à 100% et ne nécessite que quelques secondes pour s'activer.
Pour utiliser cet astuce, vous devez installer le jeu sur votre appareil. Une fois que vous avez fait cela, accédez à la page Ressources Brawl Stars et cliquez sur le lien dans la barre d'outils. Vous devriez être en mesure de voir une liste de gemmes disponibles et la quantité de gemmes qu'ils valent.
Cette brawl met en vedette Astuce vous aidera à monter à niveau et à déverrouiller les nouveaux bagarres. Cela vous montrera également comment progresser à travers différents ligues. Il y a trois niveaux différents et trois ligues différents. La première ligue en bronze est située à 500 trophées. Le reste des niveaux de la ligue se trouvent dans les bagarres.
Commentaire Avoir des Brawlers GRATUIT
Si vous voulez avoir une meilleure expérience dans votre bagarreur préféré, il y a quelques choses que vous pouvez faire. Tout d'abord, vous pouvez utiliser l'application Brawl Star Cheat. Il est conçu pour vous aider à obtenir des gemmes et d'autres articles de jeu gratuitement. De plus, il contient de nombreux outils et conseils utiles.
Deuxièmement, vous pouvez acheter des gemmes pour débloquer plus de bagarreurs. De cette façon, vous pouvez débloquer les plus rares. Troisièmement, vous pouvez mettre à niveau vos bagarres à l'aide de Brawl Coffre. Les coffres peuvent également être déverrouillés en cliquant sur Mettre par jour, ce qui coûtera quelques-uns en or.
Une autre excellente façon d'obtenir des bagarres est d'ouvrir des boîtes. Le rédacteur en chef du jeu veut récompenser les joueurs avec des choses intéressantes sans les obliger à dépenser de l'argent réel. Pour ce faire, l'éditeur a mis en œuvre deux types de récompenses: les récompenses à pourcentage fixe et les récompenses à pourcentage variable.
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Le capitaine 1
Dans le ciel bleu d'une nuit d'hiver, des traînées abordaient un dégradé vert. Aucun nuage n'était sorti, et pourtant, on ne pouvait pas voir à plus de 10 mètres devant soi. Un brouillard épais masquait la glace flottant sur l'eau salé de la mer. Je pensais aux cimetières... à tous ses morts étalés par terre... Et redevenue poussière... Ils s'étaient redonnés à la mère... Je lève les yeux et je m'aperçois que dans le ciel, il y a le même nombre d'étoile que d'être redevenue poussière. Telle la mère, je me nourris du spectacle offert par la mer en observant le reflet de ce paysage directement dans l'eau calme de la mer d'huile.
Puis, méchamment, horriblement, fracassant le silence, un bruit d'explosion retentit. Une fumée âpre tache le beau paysage. Une personne sortit de la fumée en toussant au même moment que je quitte mes pensées. De suite, je repris connaissance de la dure réalité. J'étais sur un bateau. Un très beau bateau avec trois mats et toute la voilure avec. La Voilure était tellement brillante, tellement blanche et tellement fine, qu'elle se montrait comme embrassé par le ciel du soir. Le bateau était vieux d'apparence, mais il venait de sortir du chantier naval. Le bois, les planches, la cale, la cabine, les quartiers de l'équipage... Tout était neuf. L'équipage de ce navire était composé de 3 dizaines d'hommes et de femmes tous volontaire, ou contraint par d'autre que moi. Oh, je ne me suis pas présenté, je suis Kaeya Capitaine du navire Anchor, pour vous servir. Un oiseau me fit reprendre corps à mes actions et je regarde de loin la trappe de la cale, "Qu'est-ce qu'il se passe ici ?" dis-je de ma voie forte et implacablement grave. D'une voix rocailleuse on me répondit : "Rien de grave capitaine, juste une petite poudre qui a pris feu", je donna l'ordre de nettoyer et de réparer et 5 matelots se mirent au travail.
Je me remit à observer le noir de la mer et le ver du ciel. Je savais que l'ont pouvait difficilement me voir à cause de ma peau mate. Mes cheveux, aussi sombre que l'eau bleu foncé de la mer. Avec le peu de lumière que nous laissât se nouveau jour, Seule mes vêtements était visibles. Mon assortiment de fourrure blanche et bleu sur les pointes tombant d'une de mes épaules, avec les motifs blanc et bleus de ma veste sans oublier mes épaulières et ses coutures en or; me rendait plus visible que mon bas simple noir. Pied nu, je ressentait le froid de l'air et du sol en bois de mon navire. Lui aussi avait froid, mais il ne se laissât pas abattre et restait dans l'eau froide sans broncher. Ce froid n'était pas assez froid pour qu'un capitaine reste terrer dans sa cabine au chaud. Aussi, il laissait chaque fenêtre ouverte dans sa cabine pour que le froid s'installe et qu'il puisse lui aussi, bénéficier des mêmes intempérie que son navire à quelques exceptions prêtes.
Il haïssait la chaleur, il haïssait les vêtements chaud, les maisons, les cheminées, la lumière jaune mais il aimait le soleil. Grace à lui, il possédait la peau bronzé et il pouvait observé de ses yeux bleues ses couchers et ses levers. Depuis son plus jeune age, il se couchait et se levait en même temps que celui-ci. Il lui adressait chaque jour un sourire que ses lèvres montrèrent fin, ce simple sourire suffisais à le remplir d'énergie pour passer la journée qu'elle soit pire ou plus mauvaise que la veille. Il toucha le diadème en or qu'il avait autour du coup, c'était un cadeau de Jean quand il a accepté de prendre le poste de capitaine de la garde de l'Ordre de Favoris.
JE regardait encore le ciel, je laissait mon regard vagabonder entre les différente étoiles, tantôt il regardait une naine jaune, tantôt il regardait une naine bleu... Tout ça pour se poser sur la lune qui était si grosse qu'elle paraissait à porter de main. JE tend la main ver elle, puis en tournant le poignet ver le haut, et je ferme mon poing. Ce geste n'avait rien de significatif pour lui. C'était un geste comme un autre. Je regarde une dernière fois le ciel, une dernière fois la mer et aussi le pont. Je finit tout de même par me faire violence et arracher mon regard de ma vie et de me tourner pour avancer de quelques pas. Je me trouve maintenant dans ma cabine. Sans aucun doute l'endroit le plus froid du navire.
Il n'y avait rien de bien exceptionnel dans ma cabine, seulement quelques tapisserie brodées en or, des tableau, des joyaux, de l'argenterie, des lames allant de l'épée à deux mains à la lance en passant par la simple lame et grimoire. D'autre tissue était étalé par ci et la, quelque sculpture plaqué or, de l'ivoire et bien d'autre babiole que j'ai amassé dans mes aventures. Mais rien de bien précieux à mes yeux. Ce que j'avais de précieux dans ma vie d'antan, je l'ai perdue en même temps que j'ai eu mon navire. Il représente tout pour moi. Mon navire, mon navire et encore mon navire. Nous sommes comme lié par le sang, il est mon corps, je suis son sang. C'est le pain, je suis le vin. Il est le corps, je suis l'esprit. En temps idem ou je pense cela, je ferme mes fenêtres. Perdue dans mes penser, je n'hésite pas à malmener quelques babioles pour me former un passage. De cette dernière penser qui me resta dans la tête, s'ensuit un mal-être et une incompréhension. Je m'allonge dans mon lit et en regardant le plafond, je me mit à penser. « C'est quoi l'esprit ? Qui est cet esprit ? À quoi il ressemble ? Comment il est ? Depuis quand il est la ? Depuis quand il existe ? » Toute ses questions sans réponse se répercute dans mon esprit et m'assomme. J'ouvre les yeux, perdu. Ma première question est « ou suis-je », question logique quand on ne sais pas ou on est.
Je n'aurais jamais penser que l'ont me répondrais, pourtant, une voie plutôt grave mais avec des consonance aiguë se fit entendre « tu es la ou tu es ». Cette réponse était vrai, mais elle ne m'apporta pas plus de précision sur ma question. Restant dans mon incertitude, je me demanda intérieurement « qui m'a répondue ». Et, ceci était tellement étrange que c'est une voie de femme qui me répondit « c'est moi, qui t'ai répondue ». Je me lève sans pouvoir prendre de repère, en effet, il n'y avait ni sol, ni mur, ni plafond, ni même de gravité. Cela devrait me faire peur, pourtant je reste calme intérieurement. Quelque chose me disait que je risquait beaucoup si je commençait à paniquer. Je regarde donc, le... Pardon, la nouvelle venue. Je tomba inconscient et tout devient noir.
Je me réveille difficilement, gardant les yeux fermé j'écoute ce qu'il ,se passe. La mer se déchaîne contre mes fenêtres, l'eau se déversa dans la cabine et ne tarde pas à mouiller mes draps. J'ouvre mes yeux et tente de me lever... J'ai bien dit « tenter » car je me retrouve à terre en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire. En ignorant la douleur, je me lève et je cour ouvrir ma porte pour observer mes matelots s'affairer sur le pont et la mer en fureur. Je lance mes ordres et le contre-maître lance des insultes pour motiver les autres hommes. La mer n'est que vague et tempête, dans cet immense chaos le bruit et la violence des chutes d'eau je n'arrivais pas à m'y retrouver. Quels repère prendre ? Voilà la question de chaque tempête. On pouvait facilement s'effondrer inerte sur le sol quand la violence fait partit de la vague, ou encore se faire emporter, ce qui était bien plus violent. Car un navire ne va pas lui même mettre en danger son fragile équipage pour recueillir un seul d'entre-eux. J'entendis un matelot crier en se faisant emporter par une vague... Mais son cri s'éteignit. Je m'élance à la barre, poussant à terre le matelot qui s'y trouvait et regarda devant mon navire pour affronter cette tempête. « Capitaine, La Géante ! » un matelot s'était écrié en voyant la prochaine vague. Je tourne brusquement la barre en sens contraire du vent en criant « Ce n'est pas aujourd'hui que s'éteindra la légende du Prince Des Mers ! »... Et la vague se fracassa sur le pont et le navire se retrouva perpendiculaire au « sol ». La situation était désespérée, pourtant la géante était passer et le peu de matelot restant était en bonne forme. Après quelques heures encore ou l'on brave cette tempête, nous reussîmes à sortir de cette zone tumultueuse et nous regagnons aussitôt le ciel bleu et la mer calme des Arranges.
J'eus peur pour mon navire, aussi je dépêcha un marin me faire l'état des lieux. LE contremaître vient me voir après qu'il soit partit « on a eu chaud capitaine, j'ai rarement vu une Géante aussi grosse» dit-il, « oui, elle était exceptionnel celle ci. Heureusement pour nous nous sommes toujours la. JE plain les camarades que nous avons laisser dans la tempête. » répondis-je sur un ton grave, auquel on ajouta un silence pesant sur tout le pont. Ce silence vient d'être brisé par le matelot venue faire son rapport. Seulement la quille abîme, certaine voile arraché et un mat endommagé, franchement... Je pensait que les dégâts serait beaucoup plus important que ça. Enfin bon, tant mieux ça me coûtera loin cher. Le matelot prit congé pour se remettre à ses taches, le contre maître me parla d'une île comportant un village pas très loin de notre position. Je tourne la barre d'un grand mouvement et mit cap sur cette île, le contremaître n'avait pas mentit et bientôt j'aperçus l'ile... Le petit îlot pardon. Ce petit îlot comportait un quais suffisamment grand pour pouvoir accoster sans trop de difficulté. JE réussi ma manœuvre et sauta sur le quai tendit que le reste de l'équipage resta sur le bateaux pour assurer les canon et la poudre. Je quittait le ponton en bois pour gagner le sol en pierre de cette île. Je regarde tout autour de moi, mon regard analyseur ne chôme pas et chaque aspérité du terrain, chaque ombres, chaque recoins s'inscrit dans mon crâne. C'est une faculté difficile à mettre en place et aussi, à vivre.
Après quelque mettre, j'arrive devant une boutique ou je réussit à trouver le capitaine du port grâce au bicorne qu'il portait sur ça tête. C'était un vieil homme assez fin et fort avec ses muscles bronzé dessinés. Il portait comme vêtements une vielle chemise maronnasse avec une tache rouge, signe de son dernier repas ?, et comme pantalon, il portait un bermudas grossièrement découpé dans une voile de navire et qui n'était plus très blanche. Après mettre suffisamment approché, je pu distingué clairement son assez gros nez écrasé et les marques sous ses yeux blanc. L'odeur putride qui accompagnait tout cela me confirmait dans mes doutes... Le capitaine du port était bel et bien mort, suspendue à une branche par la corde d'un navire qu'il avait du réparer. Je restait planté la entrain de regardé le nouveau mort... En pensant à ce qui aurait pu le tuer... Le poids de la vie ? Il était assez vouté pour cela. Marre de vivre ? Il était vieux, il aurait clamsé un jour ou l'autre. Je me perdit dans mes pensés, une fois de plus, et c'est un gamin pas plus haut que trois pommes qui m'aborda sèchement « que voulez-vous, capitaine ? » il faisait la référence aux tricorne que je portait sur ma tête. Je lui dit que je cherchait le capitaine du port « Le voici devant vous, que vous faut-il ? » Je me mit à rire en le regardant car je trouvait cela drôle, ensuite, je le regarde « toi, capitaine du port ? Soit un peu sérieux mon garçon ». Il ne me répondit pas un peu vexé et je comprit alors qu'il était sérieux. Je le dévisage avant de le regardé de haut en bas, mains abimés, vêtement sale, carrure d'homme... Il en avait vu des vertes et des pas mures. Reprenant plus sérieusement la discussion, je lui confit la réparation du navire et je l émit sous la garde d'un homme. Pendant ce temps, je me dirige ver la taverne ou je massied sur une chaise.
« Hola, Tavernier ! À boire et pas de l'eau ! » dis-je en le hélant. Il me répondit « bien sur, lavette ! » en m'envoyant une bouteille de rhum, je ne fit pas suite à l'insulte qu'il m'a faite. Cela ne m'aurait rien amener de bon, il retourna bavarder méchamment en me regardant. C'est quand j'ouvre la bouteille qu'un gros pirate se leva et s'approcha mollement de moi en faisant rouler ses muscles. Il s'assied en face de moi et me dit « lavette, qu'est-ce que tu viens faire ici ? Tu n'es pas la bienvenue » auquel je répondit « je viens de traverser la tempête et une Géante, j'ai le droit de me reposer, et mon navire aussi. ». « Pas une lavette dans ton genre, tu n'as pas prouver ta valeur. Bat moi et je te laisserait tranquille » me lança t-il. Je ne me fit pas prier, je renverse la table d'un coup de pied, elle atérie sur la tête du pirate qui se releva avec la pointe d'une épée à la gorge. Cet homme qui la tenait n'était pas le Capitaine, mais le contremaitre qui dévisageait le pirate avec l'œil mauvais « pauvre fou, tu défies le Capitaine ? Tu veux défier celui que l'on appelle le Princes Des Mers ? » dit-il de sa grosse voie, comme je m'y attendait silence, comme toujours quand on entend se nom. « Messieurs, dis-je en regardant tout le monde, Que ceci soit le premier et dernier avertissement que je donne. Le prochain qui tentera de poser la main sur moi ou sur mon équipage, se retrouvera pourfendue de notre épée. La mort sera votre salut comparé à ce que je pourrais vous faire... » Sur la fin de ce petit discourt, ma voie avait été emplie de violence. Je me calme et m 'assoit sur ma chaise de manière théâtrale, en ayant récupéré ma voie normale je me commande à boire et attendit que l'on me serve. Ce qui ne tarda pas avec le tavernier qui s'amena avec l'une de ses meilleures bouteilles en me l'offrant en guise d'excuse. D'autre pirate remette la table sur pied et on vient me présenter des cartes au trésor. Je n'en avais pas besoin car je suis déjà riche. Je but à la bouteille, et une fois que ma bouteille était finit je me lève en partant.
Quittant la taverne je me dirige ou vont mes pas. Sans surprise, je finit par apercevoir une armurerie. Un petit bosquet à côté de c elle ci bougeât, mais je décide de ne pas m'arrêter en étant toutefois sur mes gardes. L'électricité dans l'air devient de plus en plus intense quand je m'approchait du bosquet. Je finit par le arriver à sa hauteur et le dépasser sans qu'il ne m'arrive rien. Tant mieux, ça m'évitera quelque mort sur la conscience. Je saisit la poignée d'une porte en bois abimé par le temps et l'eau et l'ouvrit. Quand j'entre une odeur pestilentiel couplé à une odeur de renfermé se dégage de l'intérieur de la boutique. Je me fit encore violence et m'avance au comptoir en appuyant sur la cloche car je ne voyait personne. Personne ne vient, je me demanda alors ce que je serais venue acheté. Il me faudrait une bonne épée et une paire de pistolet plus puissant. Je regarde un peu les modèles et j'opte pour une rapière assez longue mais de bonne qualité. Le protège main était draconien. C'était le signe d'un bon forgeage et aussi de puissance, de respect et de supériorité. Je prit cette épée sans demander l'avis de personne et je me dirige ver les étalages de pistolet. Deux pistolet me tapèrent dans l'œil, c'était des pistolet avec un garde gâchette et une crosse métallique le tout usiné de petite fresque précise. Du grand travail sans aucun doute, en plus de tout cela je prend aussi quelques munitions et deux ou trois tissue. Je sort enfin de la boutique en disant merci au vide, une fois dehors je me dirige ver le port et atteignit mon navire. En montant dessus à l'aide d'une échelle, je me dirige ver ma cabine et je m'assied sur une chaise avant de me relever et de m'affairer à ranger ce foutoir laisser par la tempête. J'ouvre aussi les fenêtres et je me pose sur mon lit, les pistolets et l'épée près de moi. Je fixe le plafond et je réfléchit. Je réfléchit beaucoup, pour tout et pour rien. Pour le meilleur et pour le pire. Mes yeux sont fatigués et s'alourdissent. Je m'endormit dans un sommeil sans fond.
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Les produits les plus populaires de Disney
Il y a environ 130 millions d'années, les refroidissement des bulles de gaz de lave volcanique ont été piégés lorsque l'eau percole à travers la roche et dissous silice comme il a formé les cristaux d'améthyste. Fait en platine et présenté sur stdibs de vendôme inc. , les disneyland reservation seront mis aux enchères pour recueillir des fonds pour la campagne de la Fondation Nelson Mandela, y Disney Puzzles Pas Cher compris la lutte contre le VIH / AIDS. ces objets en grève et leur esthétique singulière laissé une impression durable sur jakob, qui a gaspillé peu de temps dans transforming. Spécialisée dans les produits de luxe, bijoux, parfums et cosmétiques, disney label est devenu l’un des noms les plus connus dans le luxe et la haute couture. La collection élégante et raffinée bijoux Venezia byAutore lance à Baselworld 2010. As le poète Matthias Claudius a écrit: 'Voir la lune là-haut / vous pouvez voir que la moitié de celui-ci / mais il est rond et beau. Freeman est déjà un grand fan du travail de Roemer, après avoir acheté la sculpture de la main de Mandela incrusté de magasin disney store en france du concepteur à son Disney Star Wars 92e fête d'anniversaire à New York en s��jour disneyland paris pas cher tout compris 2009. Autrement dit numéro au cas où l’opéra accueil populaire pourrait tv disney ces produits maintenant vraiment que je peux. glands pendants les sphères du sport agressive chics de jaspe contrastant avec onyx en bien-aimée couleur rouge et noir combinaison de Paloma Picasso ou, alternativement, dans non moins élégant onyx combinant noir et bleu et lapis, à la fois faire des déclarations audacieuses dans bijoux pour lesquels Paloma Picasso a été célèbre dans ses trente ans chez Tiffany, où les bijoux déclaration et Paloma Picasso ont longtemps été synonymous. N’importe qui peut faire costumes structurée de manière juste à les regarder améliore la posture et mon bijou disney de soie si languissante et aéré que je veux pour paresser toute la journée dans leur vaut ce montant d’argent que la société mère Disney Ballon Qui Parle Disney Pixar Cars à Prix Favorable. Une nouvelle technique à froid émail a permis un assortiment de nouvelles couleurs vives pour convoité, life saver créations de syz oneofakind, tandis que l’autre passetemps chéri d’enfance devient le joyau de traitement jeux disney princesse scrabble fait avec du titane tiles. Soldes disneyland De yafa signé joyaux, présenté sur stdibs. le point culminant des nouveaux bijoux précieux du constructeur d'inspiration italienne disney est un anneau, conçu sous la forme d'un croissant de lune, ouvert sur sa base qui se présente presque comme un trésor de oriental appearance.website qui comprend les plus récents ajouts à sa prestigieuse collection de convoité jewels. Comme deux tapisseries d'étoiles, les croissant de lune en or rose est flanqué sur ses côtés par mousseux promo ticket disney - créant l'illusion parfaite d'un firmament céleste précieux pour wear. Le 2ème induire pourquoi Disney Grande Peluche Bourriquet couleurs vives est ainsi favorisé trouve à l’intérieur de la connaissance de ses produits, matières nobles, des types particuliers de qualité et de confort. Figure SkatingIf vous avez toujours aimé la grâce et l'équilibre des patineurs artistiques, vous serez absolument adorer cette pièce de la collection Roberto Coin.
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MONTESQUIOU (R. De)
Les Chauves-Souris. Clairs-obscurs. Deuxième ouvrage carminal [Paris, Georges Richard, 1892], in-4°, vélin ivoire à la Bradel, sur le premier plat portrait de l'auteur peint à l'huile par «[La]Gandara», dessous vers autographes signés, à l'encre de Chine, sur le second plat chiffre entrelacé [JE] frappé à froid dans un médaillon à fond doré, dos lisse, couverture de soie gris perle brochée de chauves-souris, de lunes et d'étoiles et doublée de satin jaune d'or avec les mêmes motifs, tête dorée, non rogné (Henry-Joseph [Pierson] -[La] Gandara).
ÉDITION ORIGINALE du premier recueil de poèmes de Robert de Montesquiou (1855-1921). Éditée à compte d'auteur, elle ne fut pas mise dans le commerce. L'année suivante parurent deux autres éditions, dont l'une avec des ornements dessinés par Forain, Whistler, La Gandara et Yamamoto. Les Chauves-Souris, un recueil de nocturnes symbolistes. Avec Les Hortensias bleus et Le Chef des odeurs suaves, les 164 pièces de vers des Chauves-Souris constituent le coeur de l'oeuvre poétique de l'auteur. À l'occasion d'une réédition, celui qui avouait un goût certain pour la nuit et ses mystères explique l'âme du poète éveillée par les chauves-souris: «L'étrange volatile m'a semblé représenter, par son inquiétude et son incertitude entre la lumière et l'ombre, l'état d'âme des mélancoliques.» Le talent de Robert de Montesquiou fut apprécié par Mallarmé, Verlaine, Mirbeau ou Rodenbach. Cependant, son goût immodéré pour l'extrême préciosité lui valut de devenir le modèle de des Esseintes, le dandy décadent d'À rebours, et du baron de Charlus dans À la recherche du temps perdu. L'ouvrage est précédé d'une lettre-préface de Leconte de Lisle. Précieux exemplaire offert par l'auteur à Edmond de Goncourt, accompagné d'un long et déférent envoi autographe, daté «Juillet 92». Robert de Montesquiou par Antonio de La Gandara: l'un des 29 livres à portrait de la bibliothèque d'Edmond de Goncourt. Avec Henri Beraldi, Edmond de Goncourt (1822-1896) fut l'un des arbitres des élégances bibliophiliques en matière de reliures décorées fin de siècle. Dans le Grenier de la maison d'Auteuil, à partir de 1885, Edmond reçoit chaque dimanche ses amis, artistes et écrivains, au milieu de ses collections d'oeuvres d'art et des livres de sa bibliothèque. C'est dans le cadre du Grenier et de ses amitiés qu'Edmond, en 1890, conçoit le projet d'une série de reliures destinées à habiller un choix très personnel de livres «mieux aimés» parmi les livres modernes de sa collection. Chacun de ces livres recevra, sur le premier plat de sa reliure, le portrait de son auteur par un peintre auquel le lie l'amitié. De 1890 à 1896, date de la mort d'Edmond, 29 reliures à portrait furent réalisées; toutes sur des vélins pleins établis par Henry-Joseph Pierson, son relieur favori. Parmi les associations écrivains-peintres qu'il souhaita magnifier par ces livres à portrait, on peut citer Burty par Chéret, Daudet par Carrière, Julia Daudet par James Tissot, Edmond de Goncourt par Carrière, Huysmans par Raffaelli, Régnier par Blanche, Lecomte par Renoir, Zola par Raffaëlli ou Mirbeau par Rodin. Antonio de La Gandara, quant à lui, donna les portraits de Jean Lorrain et de Montesquiou. Ces reliures, dont Bernard Vouilloux écrit qu'elles sont une innovation bibliophilique d'Edmond de Goncourt, étaient à n'en pas douter l'un des joyaux du Grenier. Cinq d'entre elles furent présentées pour la première fois en 1893, à la galerie Georges Petit pour l'exposition Portraits des écrivains et journalistes du siècle (1793-1893). Henri Bouchot écrit alors qu'elles en furent le «clou». Six de ces reliures à portrait sont aujourd'hui conservées dans des institutions publiques parisiennes. Antonio de La Gandara (1861-1917), l'un des portraitistes attitrés du comte de Montesquiou. L'un et l'autre sont des habitués du Grenier. Ils sont liés d'amitié depuis 1885. Le comte a beaucoup fait pour les débuts de l'artiste. Lancé dans la haute société parisienne, La Gandara en sera l'un des plus brillants portraitistes. Outre celui-ci, au moins deux autres portraits de Montesquiou par La Gandara sont connus: un fusain de 1891 et une huile, vers 1887, conservée au château d'Azay-le-Ferron. Sous son portrait par son ami, Montesquiou a écrit quelques vers à l'encre de Chine, accompagnés de son élégant monogramme. Goncourt a, comme à son habitude - ici sur la première garde du volume -, écrit à l'encre rouge quelques appréciations sur l'ouvrage et quelques caractéristiques de cet exemplaire: «Exemplaire de la première, et de la belle, et de la rare édition des Chauves-Souris [...] précédée d'une lettre dédicatoire manuscrite. Portrait du poète exécuté à l'huile par Gandara dans l'été de 1893.» Dans l' «inventaire littéraire» qu'il établit en 1894, il a en outre noté que le portrait de Montesquiou par La Gandara «ren[d] bien la silhouette et le port de tête du poète». Exemplaire cité par Vicaire. Parfaitement conservé, il est préservé dans une chemise-étui moderne à dos de maroquin olive. Sont joints: - une LAS à Madame [Arman de Caillavet], 4 pp. in-4° à l'encre noire sur papier ocre, datées «Pavillon des Muses». Le poète regrette «l'anéantissement» d'un projet commun, mais assure sa correspondante que des «liens invisibles» existent entre eux, «incessamment disponibles». Née Léontine Lippmann, Madame de Caillavet tint un salon littéraire important et fut la maîtresse et l'égérie d'Anatole France. Montesquiou emménagea au Pavillon des Muses, à Neuilly, vers 1900 et y vécut onze ans. - 2 épreuves avec la lettre du portrait de Montesquiou gravé par Henri Guérard d'après Whistler, paru dans la Gazette des Beaux-Arts en 1903 (C. Bertin, n° 548). Édition limitée à 100 exemplaires, tous imprimés sur papier de Hollande Van Gelder, au filigrane à la chauve-souris. Dimensions: 247 x 192 mm. Expositions: Portraits des écrivains et journalistes du siècle (1793-1893), galerie Georges Petit, juin 1893; Antonio de La Gandara, gentilhomme-peintre de la Belle Époque, 1861-1917, Versailles, musée Lambinet, 3 nov. 2018-24 février 2019, n° 38. Provenances: Edmond de Goncourt (Cat. Livres modernes, 5-10 avril 1897, n° 21), avec son ex-libris gravé par Gavarni; Philippe Kah (1897-1972), avocat et homme de lettres, avec son ex-libris (aucun catalogue à ce nom à la BNF); Pierre Bergé (Cat. II, novembre 2016, n° 484), avec son ex-libris. Vicaire (G.), Manuel de l'amateur de livres du XIXe siècle. 1801-1893, V, 1106; Crauzat (E. de), La Reliure française de 1900 à 1925, I, pp. 118; Vouilloux (B.), «Une collection d'unica. Les livres à portraits d'Edmond de Goncourt», in CONTEXTES, 14 | 2014 (édition en ligne); Galantaris (Ch.), «Les Goncourt bibliophiles», in Le Livre et l'estampe, XXXX, 1994, n° 142, pp. 7-63; Coron (A., éd.), Des livres rares..., BNF, n° 232 (Germinie Lacerteux des Goncourt, ex. d'Edmond, vélin, portrait d'Edmond peint par Raffaëlli); Mathieu (X.), Antonio de La Gandara, gentilhomme-peintre de la Belle Époque, 1861-1917, Versailles, musée Lambinet, 3 nov. 2018-24 février 2019, n° 38 (avec reproduction) et passim
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Création du monde lugubre, inspiration futile et fragile, que cette amour enfantin et innocent demeure à Jamais pour toi, que cette flame qui brûle mon être et réchauffe mon coeur te procure réconfort et bonheur, petite âme fragile et docile, que devrai-je dire pour que tu me comprennes, que devrai-je faire pour que tu saisisses tout cela, j'apprends à nourrir ce coter mélancolique, et j'apprends à partager ce coter fleur bleu, pour toi, mon amour toi tu manques à moi., que les esprits les astres, les demons et force des ténèbres, ce prosterne devant toi, et demeure à Jamais qu'une nuance de jouissance, que c'est paroles futiles devienne le joyaux de ta vie, que moi pauvre de moi me transforme en personne importante pour toi, je pers le cape, je perd mes forces quand tu n'es pas la., je ne sais plus ce que je dis, je ne sais plus ce que je fais, je tue le temps en espèrent te revoir, en espérant te toucher, en espérant parcourir ton corps, oo belle amour, je te désir je t'envie, j'envie l'amour que j'ai pour toi, je veux l'amplifier l'agrandir l'explorer pour qu'il devienne une poussière d'étoile.
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"Lui, le seul est unique à qui j'offrirais mon âme ou toute ma vie. Je ne pourrais décrire à quel point il est incroyable. C'est difficile de le réaliser. Il est bien plus précieux que toutes les œuvres d'art sur terre, que les diamants que l'or. Il est plus précieux que les étoiles, plus beau que la vie plus grand que la mort. Il est le plus beau combat qu'on puisse mené. Les plus belles larmes qu'on puisse versé. Le plus grand amour qu'on puisse ressentir. On aurait l'impression que j'exagère, mais bien au contraire je ne le fais pas assez. Il est la plus grande richesse du monde, garder vos bijoux, toutes vos affaires hors de prix. Gardez votre frics, vos villas. Gardez tous vous n'aurais jamais aussi précieux que lui. Tous ça n'est rien à côté. Il est le soleil. Il n'y aura jamais assez d'éclat dans un diamants, d'étoiles dans l'univers pour décrire sa beauté. Il a des yeux vert splendide comme deux joyaux émeraude. Il a un sourire d'ange, le plus beau de tous les sourires au monde avec des magnifiques fossettes. Il a des boucles tu sais, je n'en ai jamais vu des plus belles. Gracieuses. Et son rire et le son le plus doux qu'il m'aie été donné d'entendre. J'aime entendre sa voix rauque la nuit. Et je ne te parle pas de quand il chante, tu en mourrais. Il est comme mon miracle. Sa façon d'être avec les autres toujours respectueux et adorable. Sa façon de sourire au coin, de remonter son nez comme un petit lapin. Sa façon de froncer les sourcils. Sa façon de faire rire, d'enlacer. Sa façon de donner tous l'amour possible autours de lui. Il est la plus belle personne au monde je peux le jurer. Sa façon de se recoiffer, sa façon de rire de regarder, d'écouter. Sa façon de réfléchir, de parler, de dormir partout, sa voix quand il est fatigué, de cuisiner, d'aimer sa mère. Sa façon d'être lui, d'avoir son propre style, ne de pas se laisser influencer, de grimacer, d'être en colère. Le grain de beauté vers sa mâchoire, ceux sur son torse et son magnifique dos. Ses longue jambes sa façon de porter ses lunettes à soleil. Ses blagues. Quand il crie, quand il est calme. Il offre, il donne énormément. Sa façon d'écrire, de saluer. C'est un ange aux ailes d'or, de diamant. Aucun autre n'est aussi incroyable. C'est comme si le simple fait qu'il soit sur terre rendait ce monde moins triste. J'étais vide sans sentiments, ce masque, j'étais effacée. Il a remplit ce vide, remplit d'amour. Je vois le soleil brillé, les arc en ciel, les étoiles tous les belles choses me font pensé à lui. Je vois la beauté de la vie, il m'a donné envie de vivre, de mourir car je donnerais tous pour lui. Il m'a donné envie d'aimer. Il m'a fait sourire sans pouvoir m'arrêter, danser pendant des heures. Il a donné les couleurs à ma vie comme s'il les peignait d'un simple sourire. Il a guéri, comme sauver ma vie. Je détestais toute ma personne et mon passé, mais il a sauver tout ça. je ne pourrais jamais le remercier assez. Il est avec moi, de tout mon cœur partout. Il me donne le courage de me lever. Il me fait regarder le ciel, le chercher dans les nuages. Il est mon inspiration, ma passion. J'aime tous ces choses, ces détails de lui. Je le grave dans mon âme. C'est lui et ce sera lui à jamais. Je le promet. D'un amour sans fin."
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MONTESQUIOU (R. De)
Les Chauves-Souris. Clairs-obscurs. Deuxième ouvrage carminal [Paris, Georges Richard, 1892], in-4°, vélin ivoire à la Bradel, sur le premier plat portrait de l'auteur peint à l'huile par «[La] Gandara», dessous vers autographes signés, à l'encre de Chine, sur le second plat chiffre entrelacé [JE] frappé à froid dans un médaillon à fond doré, dos lisse, couverture de soie gris perle brochée de chauves-souris, de lunes et d'étoiles et doublée de satin jaune d'or avec les mêmes motifs, tête dorée, non rogné (Henry-Joseph [Pierson] - [La] Gandara). ÉDITION ORIGINALE du premier recueil de poèmes de Robert de Montesquiou (1855-1921). Éditée à compte d'auteur, elle ne fut pas mise dans le commerce. L'année suivante parurent deux autres éditions, dont l'une avec des ornements dessinés par Forain, Whistler, La Gandara et Yamamoto. Les Chauves-Souris, un recueil de nocturnes symbolistes. Avec Les Hortensias bleus et Le Chef des odeurs suaves, les 164 pièces de vers des Chauves-Souris constituent le coeur de l'oeuvre poétique de l'auteur. À l'occasion d'une réédition, celui qui avouait un goût certain pour la nuit et ses mystères explique l'âme du poète éveillée par les chauves-souris: «L'étrange volatile m'a semblé représenter, par son inquiétude et son incertitude entre la lumière et l'ombre, l'état d'âme des mélancoliques.» Le talent de Robert de Montesquiou fut apprécié par Mallarmé, Verlaine, Mirbeau ou Rodenbach. Cependant, son goût immodéré pour l'extrême préciosité lui valut de devenir le modèle de des Esseintes, le dandy décadent d'À rebours, et du baron de Charlus dans À la recherche du temps perdu. L'ouvrage est précédé d'une lettre-préface de Leconte de Lisle. Précieux exemplaire offert par l'auteur à Edmond de Goncourt, accompagné d'un long et déférent envoi autographe, daté «Juillet 92». Robert de Montesquiou par Antonio de La Gandara: l'un des 29 livres à portrait de la bibliothèque d'Edmond de Goncourt. Avec Henri Beraldi, Edmond de Goncourt (1822-1896) fut l'un des arbitres des élégances bibliophiliques en matière de reliures décorées fin de siècle. Dans le Grenier de la maison d'Auteuil, à partir de 1885, Edmond reçoit chaque dimanche ses amis, artistes et écrivains, au milieu de ses collections d'oeuvres d'art et des livres de sa bibliothèque. C'est dans le cadre du Grenier et de ses amitiés qu'Edmond, en 1890, conçoit le projet d'une série de reliures destinées à habiller un choix très personnel de livres «mieux aimés» parmi les livres modernes de sa collection. Chacun de ces livres recevra, sur le premier plat de sa reliure, le portrait de son auteur par un peintre auquel le lie l'amitié. De 1890 à 1896, date de la mort d'Edmond, 29 reliures à portrait furent réalisées; toutes sur des vélins pleins établis par Henry-Joseph Pierson, son relieur favori. Parmi les associations écrivains-peintres qu'il souhaita magnifier par ces livres à portrait, on peut citer Burty par Chéret, Daudet par Carrière, Julia Daudet par James Tissot, Edmond de Goncourt par Carrière, Huysmans par Raffaelli, Régnier par Blanche, Lecomte par Renoir, Zola par Raffaëlli ou Mirbeau par Rodin. Antonio de La Gandara, quant à lui, donna les portraits de Jean Lorrain et de Montesquiou. Ces reliures, dont Bernard Vouilloux écrit qu'elles sont une innovation bibliophilique d'Edmond de Goncourt, étaient à n'en pas douter l'un des joyaux du Grenier. Cinq d'entre elles furent présentées pour la première fois en 1893, à la galerie Georges Petit pour l'exposition Portraits des écrivains et journalistes du siècle (1793-1893). Henri Bouchot écrit alors qu'elles en furent le «clou». Six de ces reliures à portrait sont aujourd'hui conservées dans des institutions publiques parisiennes. Antonio de La Gandara (1861-1917), l'un des portraitistes attitrés du comte de Montesquiou. L'un et l'autre sont des habitués du Grenier. Ils sont liés d'amitié depuis 1885. Le comte a beaucoup fait pour les débuts de l'artiste. Lancé dans la haute société parisienne, La Gandara en sera l'un des plus brillants portraitistes. Outre celui-ci, au moins deux autres portraits de Montesquiou par La Gandara sont connus: un fusain de 1891 et une huile, vers 1887, conservée au château d'Azay-le-Ferron. Sous son portrait par son ami, Montesquiou a écrit quelques vers à l'encre de Chine, accompagnés de son élégant monogramme. Goncourt a, comme à son habitude - ici sur la première garde du volume -, écrit à l'encre rouge quelques appréciations sur l'ouvrage et quelques caractéristiques de cet exemplaire: «Exemplaire de la première, et de la belle, et de la rare édition des Chauves-Souris [...] précédée d'une lettre dédicatoire manuscrite. Portrait du poète exécuté à l'huile par Gandara dans l'été de 1893.» Dans l' «inventaire littéraire» qu'il établit en 1894, il a en outre noté que le portrait de Montesquiou par La Gandara «ren[d] bien la silhouette et le port de tête du poète». Exemplaire cité par Vicaire. Parfaitement conservé, il est préservé dans une chemise-étui moderne à dos de maroquin olive. Sont joints: - une LAS à Madame [Arman de Caillavet], 4 pp. in-4° à l'encre noire sur papier ocre, datées «Pavillon des Muses». Le poète regrette «l'anéantissement» d'un projet commun, mais assure sa correspondante que des «liens invisibles» existent entre eux, «incessamment disponibles». Née Léontine Lippmann, Madame de Caillavet tint un salon littéraire important et fut la maîtresse et l'égérie d'Anatole France. Montesquiou emménagea au Pavillon des Muses, à Neuilly, vers 1900 et y vécut onze ans. - 2 épreuves avec la lettre du portrait de Montesquiou gravé par Henri Guérard d'après Whistler, paru dans la Gazette des Beaux-Arts en 1903 (C. Bertin, n° 548). Édition limitée à 100 exemplaires, tous imprimés sur papier de Hollande Van Gelder, au filigrane à la chauve-souris. Dimensions: 247 x 192 mm. Expositions: Portraits des écrivains et journalistes du siècle (1793-1893), galerie Georges Petit, juin 1893; Antonio de La Gandara, gentilhomme-peintre de la Belle Époque, 1861-1917, Versailles, musée Lambinet, 3 nov. 2018-24 février 2019, n° 38. Provenances: Edmond de Goncourt (Cat. Livres modernes, 5-10 avril 1897, n° 21), avec son ex-libris gravé par Gavarni; Philippe Kah (1897-1972), avocat et homme de lettres, avec son ex-libris (aucun catalogue à ce nom à la BNF); Pierre Bergé (Cat. II, novembre 2016, n° 484), avec son ex-libris. Vicaire (G.), Manuel de l'amateur de livres du XIXe siècle. 1801-1893, V, 1106; Crauzat (E. de), La Reliure française de 1900 à 1925, I, pp. 118; Vouilloux (B.), «Une collection d'unica. Les livres à portraits d'Edmond de Goncourt», in CONTEXTES, 14 | 2014 (édition en ligne); Galantaris (Ch.), «Les Goncourt bibliophiles», in Le Livre et l'estampe, XXXX, 1994, n° 142, pp. 7-63; Coron (A., éd.), Des livres rares..., BNF, n° 232 (Germinie Lacerteux des Goncourt, ex. d'Edmond, vélin, portrait d'Edmond peint par Raffaëlli); Mathieu (X.), Antonio de La Gandara, gentilhomme-peintre de la Belle Époque, 1861-1917, Versailles, musée Lambinet, 3 nov. 2018-24 février 2019, n° 38 (avec reproduction) et passim.
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