#les cafés de nuit
Explore tagged Tumblr posts
Text
Bœuf Bourguignon
Ce ragoût campagnard français classique est parfait pour les mois d'hiver. Copieux, mais pas lourd, il combine les mariages parfaits de légumes d'hiver réconfortants comme les carottes, les oignons et les panais avec la saveur réconfortante du bœuf, du bacon et une touche de cognac. Il se conserve également très bien pour les restes, vous pouvez donc le préparer la veille et le réfrigérer toute la nuit également.
Ingrédients
1 cuillère à soupe d'huile d'olive extra vierge
8 tranches de bacon coupées épaisses
2 livres de bœuf coupé en cubes de 2 pouces
sel au goût
poivre noir au goût
1 gros oignon jaune coupé en dés
2 échalotes coupées en dés
4 gousses d' ail hachées
3/4 lb de carottes pelées et tranchées
1/4 lb de panais pelés et tranchés
1/2 tasse de cognac
1 bouteille de vin rouge sec
2 tasses de bouillon de boeuf
1 cuillère à soupe plus 1 cuillère à café de concentré de tomate
3/4 cuillère à café de feuilles de thym séchées
4 cuillères à soupe de beurre non salé fondu
3 cuillères à soupe de farine
1 lb d'oignons perlés surgelés
1 lb de champignons de Paris bruns coupés en tranches épaisses
1 cuillère à soupe de thym frais coupé en dés
Instructions
Préchauffez le four à 250 degrés. Faites chauffer l'huile dans une grande cocotte ou une marmite allant au four jusqu'à 250 degrés à feu moyen. Ajoutez le bacon et faites-le cuire jusqu'à ce qu'il soit croustillant des deux côtés. Retirez le bacon et réservez-le.
Séchez les cubes de bœuf avec du papier absorbant et saupoudrez-les de sel et de poivre. Faites-les cuire par lots jusqu'à ce qu'ils soient dorés de chaque côté, en veillant à ce qu'ils forment une couche uniforme au fond de la casserole, environ 5 minutes. Retirez-les et réservez-les.
Ajoutez les oignons, les échalotes et l'ail dans la poêle et faites revenir jusqu'à ce qu'ils soient translucides, environ 10 minutes, en remuant toutes les quelques minutes. Ajoutez les carottes et les panais et laissez cuire encore 5 minutes. Ajoutez le cognac et reculez, utilisez une allumette pour l'allumer afin de brûler l'alcool. Lorsque le feu s'éteint, coupez le bacon croustillant en petits morceaux et remettez-le ainsi que le bœuf dans la casserole.
Ajoutez le vin et suffisamment de bouillon de bœuf pour couvrir toute la viande et les légumes. Ajoutez la pâte de tomate et le thym et portez le mélange à ébullition.
Couvrir, retirer du feu et mettre au four pour poursuivre la cuisson pendant 1 heure 15 minutes à 1 heure 30 minutes, ou jusqu'à ce que le bœuf soit tendre et les légumes bien cuits. Retirer du four et remettre sur le feu à feu moyen-doux.
Fouetter ensemble 2 cuillères à soupe de beurre fondu et la farine jusqu'à obtenir une pâte épaisse. Incorporer cette pâte au ragoût jusqu'à ce qu'elle se désintègre, puis ajouter les oignons grelots surgelés.
Dans une casserole de taille moyenne, faites revenir les champignons dans les 2 cuillères à soupe de beurre restantes à feu moyen-élevé jusqu'à ce qu'ils noircissent et deviennent légèrement ridés, environ 6 à 10 minutes. Ajoutez les champignons au ragoût et baissez le feu pour laisser mijoter.
Laissez cuire encore 20 minutes avant de retirer du feu. Salez et poivrez à votre goût, décorez de thym frais et servez immédiatement.
Bon Appétit à toutes et tous ! 😋
Spéciale dédicace pour mon amie @olgaromana avec cette recette bien française ! 😉
81 notes
·
View notes
Text
Faire l’amour, ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour.
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
Faire l’amour, c’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.Faire l’amour, c’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
Faire l’amour, c’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assur�� que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Faire l’amour, peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
Faire l’amour, c’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent.
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert », … je désire le repas au complet et surtout le dessert n’est pas indispensable à la fin de chaque repas.
Page La Voie de la Sagesse
101 notes
·
View notes
Text
Certaines nuits ont besoin de ces réveils, certaines pensées ont besoin de cette fable. Parce que l'amour sent inévitablement les câlins et le café...
.Luana Valeri
27 notes
·
View notes
Text
C'est quoi faire l'amour finalement ??
Ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour...
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
C’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.
C’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
C’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Cela peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
C’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça ! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent...
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert »... je désire le repas au complet et surtout que le dessert, n’est pas indispensable à la fin de chaque repas !
Auteur inconnu
55 notes
·
View notes
Text
saga: Soumission & Domination 342
Février le Ski-4
Jour 5
Réveil aux aurores. Mon chasseur été tout surpris de se réveiller dans mon lit. Il me surprend en me faisant un câlin avant de sauter sous la douche. Quand je me lève, j'aperçois Marc et Hervé qui rentrent de leur escapade à l'étage du dessous. On se fait des bisous et je leur demande si c'était bien les chaudasses que m'avaient dit les deux chasseurs qui les avaient levées. Ils confirment en coeur que c'était bien le cas. Nous nous pressons au petit déjeuner. Nous sommes tous là et cela s'entend dans le restaurant. Nous sommes devant les remontées mécaniques dès leurs ouvertures et nous nous dispersons dans la montagne. Les groupes sont restés les même alors que les niveaux ont tous progressé.
Aujourd'hui nous prenons vraiment plaisir à skier. Les descentes se succèdent assez facilement et nous apprécions même les noires. Nous terminons la journée en hors-piste avec un long passage dans les sapins pour voir si nous avons retenu les astuces pour ne pas s'enfoncer dans les fourrés recouverts de neige. Ce coup-ci nous ne perdons personne. Le retour se fait dès la fermeture des remontées mécaniques. A l'hôtel, avant de monter je vois le directeur pour notre denier soir (demain). Je veux un diner qui sorte de l'ordinaire pour notre petite troupe + 2 car je sens que d'ici là nous allons avoir adopté le duo de l'étage du dessous. Douche seul, ça faisait longtemps. J'en profite et détends mes muscles sous les jets brûlants. Vers 19h nous envahissons la piscine. Evidemment nous y retrouvons nos deux voisins du dessous qui nous attendaient avec impatience. A part quelques filles qui bronzent sous les lampes UV, l'espace aquatique est à nous. Dans la partie haute de la piscine nous organisons un combat en couple (un mec juché sur les épaules d'un autre) Escorts contre Chasseurs Alpins. Le couple gagnant est quand même militaire. C'est leur lutteur en portage du lieutenant responsable qui gagne le défi. Nous nous partageons entre le sauna et le spa. Retour à l'étage pour nous changer puis diner. Le groupe de chasseur est maintenant invisible. Fondu parmi nous, ils ne pensent plus à la caserne. Ça discute entre tous comme avec de vieux amis. Ils nous apprécient car on ne fait pas de différence entre eux et nous. Ils sont sous-officiers ou simples soldats et nous sommes tous en études supérieures. A côté de cela, ils ont des compétences que nous n'avons pas. Ça équilibre et comme mes escorts sont tout sauf snobs, ça se passe nickel. Les derniers arrivés ont aussi pioché dans nos valises de quoi s'habiller plus " neutre ". Je propose une virée à la boite de nuit de l'hôtel. Pas de réaction puis tous me disent qu'ils veulent se coucher tôt pour être en pleine forme demain. Et je vais les croire peut être ! Le retour se fait en ordre dispersé selon ceux qui étaient pressés, ceux qui voulaient un café et/ou un alcool.
Je prends juste un café. Je veux moi, aussi bien profiter de la fin de soirée. Avec PH, Ernesto et Ludovic, j'ai bien envie de profiter des deux " voisins ". J'aime me faire mon avis moi-même et voir s'ils sont aussi chaudasses que ça. Ils ne sont pas contre donc on monte dans leur chambre. Plus petite que les nôtres, elle fait quand même 4m x 5. Les deux lits jumeaux sont déjà collés, les pieds attachés entre eux par les premiers " visiteurs ". Nous sommes 4 et eux 2. Ils se trouvent propulsés sur leur lit et dévêtus en 30 secondes. Je les regarde de près. Ils sont pas mal tu tout et très baisables. A leur tour, ils nous mettent à poil et se mettent aussitôt à nous pomper en alternance. Et quand je les vois se mettre, en même temps qu'ils nous sucent, des doigts dans le cul, je comprends l'adjectif " chaudasse " qui leur a été attribués. Même pas besoin de les préparer, ils sont auto-chauffés ! Comme j'enfonce mon gland dans la gorge d l'un des deux, c'est Ernesto qui se colle à l'enculage. Il se kpote et défonce la " salope " qui me pompe. Ses doigts ont dû être efficaces car c'est un direct au fond qu'il lui octroi. Je vois sous mes yeux les 24cm de mon espagnol préféré s'enfoncer en une seule et puissante percussion jusqu'à ce que son bassin colle aux fesses de mon pompeur. Ça ne s'arrête pas là. Emporté par l'élan, Ernesto le pousse en avant et mon gland défonce encore plus loin sa gorge. Je sens ses dents s'enfoncer dans mon pubis. Jamais je n'avais défoncé une gorge aussi profonde ! Trop bon !
Quand je me retire il prend une respiration et pose ses mains sur mes fesses pour m'attirer à nouveau vers lui ! Son copain à coté, avec Ludovic et PH demande qu'ils lui fassent la même chose. Excité par notre trio, ils s'y mettent, Ludovic à mettre en sourdine les gémissements que PH tire du mec en l'enculant aussi fermement qu'Ernesto. On part dans un délire grave tous les 6 ! On s'échange les différents trous et les deux mecs pendant un bon moment, les deux amis se prennent de quoi les calmer un bon moment. J'aime particulièrement la voracité avec laquelle ils accueillent nos bites dans leurs gorges affamées que dans leurs culs de velours. Même après les passages répétés d'Ernesto, ils restent serrés et confortables à la sodo. Pendant tout ce temps ils bandent dur et ne veulent pas qu'on touche à leurs sexes de peur de partir trop tôt ! Nous arrivons à les baiser plus de deux heures avant d'être rattrapé nous-même par le plaisir d'exploser sur et /ou dans eux. Quand le dernier d'entre nous expulse sa dernière goutte de sperme, ils se collent en 69 et nous les voyons chacun déglutir la production de l'autre.
Nous sommes tellement cassés qu'il nous faut 1/2 heure pour émerger de l'état de mort cérébrale qui a suivi nos éjaculations. Nous arrivons quand même à regagner notre étage non sans avoir choqué les voisins direct (les deux vieux) alors qu'ils avaient passé la tête par leur porte pour voir qui faisait autant de bruit à côté de chez eux. Il faut dire que nous n'avions pas renfilé beaucoup de vêtement pour glisser jusqu'à l'ascenseur. Et qu'une ou deux fesses devaient encore déborder des slips censément chargés de les couvrir. A notre étage, les baises sont aussi dans leurs stades terminales. En passant devant toutes les chambres, nous atteignons celle d'où proviennent encore des gémissements. Il fallait s'y attendre, on y trouve Max et Enguerrand en train de se faire démonter par deux Chasseurs. Ils ont bien choisi, ce ne sont ni les plus moches ni les plus vieux non plus. Et d'après ce que l'on peut en voir, ils ont encore les batteries bien chargées. Enguerrand me voit et me fait signe d'approcher. Il est sur le dos, les jambes relevées et écartées pour laisser la place à son enculeur d'oeuvrer. J'approche ma tête de la sienne. Il me l'attrape et me roule un gros patin. Quand il me relâche il me dit qu'il est trop content que nous les (max et lui) ayons emmenés avec nous. Des deux militaires, nous arrivent les mêmes commentaires, comme quoi s'aurait été dommage si nous les avions laissés derrière nous. Tout ça bien sûr sans cesser de limer les deux petits culs de nos benjamins !
Nous restons avec eux participants à l'apothéose finale. Entre rouler des pelles ou bouffer des tétons, nous nous répartissons les acteurs. Puis, j'ai une idée lumineuse. Pourquoi ne pas enculer les deux chasseurs Alpins histoire d'accélérer leurs montées terminales. Un clin d'oeil à Ernesto qui me comprend et, une kpote plus tard, j'encule celui d'Enguerrand alors qu'Ernesto se charge, ou plutôt charge, le chasseur de Max. Le mien s'est bien adapté à la nouvelle situation alors que celui d'Ernesto s'est montré plus... surpris, on va dire ! Bon c'est vrai que 24x6 c'est plus hard à prendre que mes 20x5. En attendant nos interventions ont précipité les choses et nos deux chasseurs tirent leurs cartouches au fond de nos amis. Eux prennent leurs pieds entre les sodos et les stimulations de PH et Ludovic respectivement sur Enguerrand et Max. Quand nous rejoignons notre suite, la grande chambre est occupée par Marc et Hervé... accompagnés de mes deux " russes ". Nous nous installons dans un autre des chambres de la suite.
Jour 6 Sur le même rythme, tout pareil !
Jour 7, dernier soir et dernière nuit ! Réveil sur les coups de 8h par nos militaires douchés et équipés. On se presse tous pour être au petit déjeuner à 8h30. Les groupes " faibles " qui le sont bien moins sont réunis, mais les deux autres groupes restent indépendants. Nos ainés ne veulent pas se faire chier à nous suivre sur notre rythme de fou et nous nous voulons rester avec Jona et François. On se fait plaisir sur toutes les noires maintenant. La godille n'a plus de secret pour nous et nous filons comme des flèches sur les pistes. Nos coaches ont content de nos progrès et c'est tant mieux puisqu'on est l'avant dernier jour !
Un dernier passage dans la forêt qui nous avait donné tant de mal la première fois, sauf pour Max qui s'y était fait son premier Chasseur Alpin. Comme sur des roulettes ! Et c'est notre dernier soir !! J'avais insisté pour que nous rentrions tous de bonne heure et c'est le cas. 16h30 tout le monde est à l'hôtel. Douches, rasages, épilations, hydratation, nous prenons soin de nous et de notre équipe de " profs ". Ils ont beau protester, au départ, ils finissent par succomber au nombre et à se faire bichonner. Nous leurs devons bien ça après tout le mal qu'ils se sont donnés à améliorer notre pratique du ski ! A presque 3 par mec, nous nous occupons de leurs bodies de fou. C'est bien pour ça que je voulais qu'on rentre tôt. Après un douchage entre nos mains, nous leurs octroyons un rafraîchissement de leurs pilosités mais dans leurs limite, pas question de les mettre en porte à faux avec leurs autres collègues. Cela ne nous empêche pas de les masser avec de l'hydratant et ils en sortent avec de vraies peaux de bébés. Un soin particulier est mis à leur choisir les vêtements les plus mode qui peuvent leur aller. Emportés par l'ambiance ils se laissent faire même le chef du détachement. Quand ils sont prêts, ils sont parfaits, au point que je leur dis que s'ils n'avaient déjà un travail, je les aurais embauchés sans problème dans ma boite d'escorts. Ils éclatent de rire avec tous mes amis. Nous descendons diner. La traversée du hall nous vaut des regards encore plus appuyés que les dernières fois. Je crois même avoir entendu plusieurs sifflets et ne provenant pas que de femmes. Nos deux invités qui nous attendaient devant la porte du salon particulier où nous allions, ont leurs mâchoires qui tombent en nous voyant, surtout nos militaires ! On les pousse à l'intérieur et nous sommes pris en charge par les serveurs. Apéritif, les bouchées sont délicieuse et légères (il n'est pas question qu'on ait plus faim après). Le diner est parfait. Les vins sont suffisamment bons pour que personne ne songe à en abuser. On prend tous un café, nous attendant à une fin de soirée plutôt chaude.
O remonte et pour cette dernière nuit nos deux invités sont autorisés à nous accompagner. Je passe sur leurs exclamations devant le luxe de l'étage et celui de voir tous les mecs se foutre à poil en 15 secondes. Comme ils sont un peu lent, ils sont aidés et se retrouvent dans le même " plus simple " appareil que les autres. Je les laisse à d'autres qui n'ont pas encore eu le plaisir de baiser leurs deux petits culs très gourmands et part à la recherche d'un bon coup avec Ludovic. On croise Jona et François en train de se payer les deux lieutenants. Je sais qu'ils avaient tenu tant que ces derniers étaient leurs " moniteurs ". Là, ils baisaient avec eux avec la fougue propre à ceux qui se sont retenus ! C'est amusant mais mes escorts en couple tendent à baiser avec d'autres mecs mais ensemble quand même. Mes deux escorts spéciaux et leurs deux lieutenants baissent côte à côte, et s'échangent de temps en temps. Je m'arrête 3 chambres plus loin. Dedans Max et Enguerrand se font défoncer par Sosthène et João. Ludovic hésite à venir avec moi, gêné par la présence de son frère. Je le pousse devant moi et il tombe sur Max qui se fait limer par João. De mon côté, je me glisse vers Enguerrand et Sosthène. Roulage de pelle à chacun. Ils ont l'air content de me voir. Enguerrand réclame ma bite. Je ne fais pas de cas pour la lui planter dans la gorge. A côté, Ludovic m'imite dans la bouche de Max.
J'ai la bonne surprise de sentir une fraicheur sur ma rondelle. Quand je tourne la tête c'est pour voir celle de Sosthène plantée entre mes deux fesses. C'est donc bien sa langue qui me lèche l'oignon. Putain comme il fait ça bien ! Je me sens m'ouvrir et sa langue progresser dans mon trou. Je n'en raidis que plus et les amygdales d'Enguerrand en profitent un max. Je suis obligé de me calmer et pour cela me retire de la bouche chaude qui enveloppait mon sexe et glisse sur son corps dans le but de me mettre en position de lui rouler une pelle. C'est presque aussi bon que d'en faire une à Ludovic. Ok, c'est aussi bon ! J'entends un déchirement d'enveloppe de kpote et mon anus se fait envahir à son tour. C'est bien sûr les 23cm " café au lait " de Sosthène qui prennent leurs marques. Je jette un oeil à nos voisins. Ludovic a vu mon changement de position. Il m'imite et je le vois glisser sur le corps de Max pour proposer sa rondelle à João. Pour éviter que mon petit beau-frère pâtisse d'un coup de froid mal placé, je m'empresse de boucher le trou laissé vacant par ma bite. Il m'aide en relevant ses jambes et son bassin.je lui mange la langue en essayant d'amortir les coups de rein de Sosthène dans mon fondement. Sa rondelle se resserre sur ma bite plus fine. Il fait ça bien et me fait bander plus encore. Tout comme les coups de gland dans ma prostate, ça participe à m'envoyer des ondes de bien être dans tous mon corps. Après quelques minutes, placé ainsi, Enguerrand se tortille sous moi pour se tourner et se mettre en levrette, un peu écrasée sur ses pattes arrières la bestiole quand même ! Il s'écarte les fesses de ses deux mains pour que je le pénètre plus profondément encore. J'aime trop son petit cul, étroit à souhait. Je ressens un contact total avec ses chairs intérieures comme avec la peau de tout son dos. Contre le miens je sens les pointes dures des tétons de Sosthène s'écraser sur mes omoplates. Je ne sens bien sûr pas que ça ! Ses 5,8 de diamètre m'écartent la rondelle avec une pression impérieuse. Le préservatif est si fin que j'ai comme l'impression que nos chairs sont collées. Puis ça se mélange avec le trio d'à côté. Je ne sais comment mais je me retrouve entre Max et João dans la même position, c'est-à-dire en jambon du sandwich. Quand j'en prends conscience je me demande où est parti Ludovic. Je mate à droite et c'est là que je le vois dans ma position !!! C'est-à-dire " occupé " par Sosthène et " dans " Enguerrand qui sur le dos, lui roule un patin d'enfer. Ça me déconcentre un peu avant que mes deux amants m'envoient au 7ème ciel.
Je me dégage vite et vais retrouver mon Ludo et son frère. Ma langue rejoint les leurs et j'aime trop ça. Enguerrand se tourne un peu pour me serrer dans ses bras et me rouler une pelle tout seul. On se bat un peu de la langue avant que je me retourne et fasse de même avec Ludovic. Sans s'en apercevoir les trois autres nous ont quittés. J'ai occupé la place laissée vacante par Sosthène et c'est tous les trois en même temps que nous avons jouis comme des fous. Moi au fond de Ludovic, lui au fond d'Enguerrand et ce dernier entre leurs abdos compressés. Nous prenons une douche ensemble comme pour retarder le moment de nous séparer. Je les embrasse tous les deux les serrant fort contre moi, en premier mon amour et en second son " conard " de petit frère. Ils sont trop ces trois frères là ! Je repars à la chasse aux chasseurs lol ! Je tombe sur le mien (celui qui m'avait coaché toute la semaine) qui faisait de même. Je l'attrape par le cou, lui roule un patin et lui demande s'il est d'accord. Il ne demande pas pourquoi et me pousse dans une chambre. On tombe en réel sur Ernesto en train d'enfiler un de ses collègues (à mon chasseur). On est surpris tous les deux car c'était celui qui m'avait fait part de ses craintes quelques jours plus tôt de se faire emmancher. On s'installe à coté pour baiser nous aussi. Et c'est avec eux trois que j'ai fini la nuit. Quand je me suis réveillé j'étais encore emmêlé avec eux. A poil j'ai fait le tour de l'étage. Max et Enguerrand avaient retrouvé leurs deux " chasseurs " préférés et dormaient aux creux de leurs bras. Marc couvrait de son corps un des deux invités comme Hervé serrait l'autre dans ses propres bras. Ludo et PH dormaient encore dans les bras l'un de l'autre alors qu'Ernesto dormait entre les deux lieutenants.
Jour 8 Pas de ski ce dernier matin ! Nous passons notre matinée entre douches, petit déjeuner et valises. Les militaires se préparent de leur côté. Ils repartent tous lestés de la tenue qu'ils portaient hier soir. Les adieux se font à l'étage. On se serre dans les bras, on échange les dernières pelles et alors qu'ils vont prendre l'ascenseur, je leur donne à chacun une enveloppe avec interdiction de l'ouvrir avant le soir et seuls ou entre eux. Dans chaque enveloppe se trouve une rétribution substantielle, en liquide, pour récompenser les efforts qu'ils avaient déployés, le temps passé avec nous et mes coordonnées pour le cas où ils aimeraient passer des vacances au bord de la mer pour les changer. Pour le cas même ou certains voudraient se revoir.
Jardinier
~~
~~
~~
12 notes
·
View notes
Text
Since I used to hyperfixate on the french musical "1789 les amants de la bastille" and now am hyperfixating on Les Misérable and they have similar themes i thought i could assign a Les mis song to each Les amants de la Bastille song (expect for "sur ma peau" and "je veux le monde" nothing got the vibe or them for them) based on similar vibes and/or themes
Le cri de ma naissance - Drink with me
Je mise tous - Beggars at the feast
Au Palais Royal/Les protituées - Lovely ladies AND Paris/Look down
La nuit m'appelle - i dreamed a dream
Tomber dans ses yeux - In my life
Maniaque - Stars
La sentence - on my own
Hey ha - ABC café/red and black
La guerre pour se plaire/Le dauphin - A heart full of love
La rue nous appartient - The barriquade
A quoi tu danse ? - ABC Café/red and black (again)
Je suis un dieu/Le cauchemar - maitre thenardier
Ca ira mon amour - Do you hear the people sing
Nous ne somme - The final battle
Je vous rend mon âme - a little bit of rain
La prise de la bastille - The second attack
Fix/ les droits de l'homme - Turning
Pour la peine - Empty chairs at empty tables
Pour un nouveau monde - Little people
Fille et femmes à la fois - At the end of the day
Allez viens (c'est bientôt la fin) - epilogue
37 notes
·
View notes
Text
Vincent van Gogh, The Night Café, Watercolor painting, Arles, September, 1888
Vincent van Gogh, The Night Café (Le Café de nuit), Oil on canvas, 1888
Paul Gauguin, Night Café at Arles, 1888
#vincent van gogh#paul gauguin#french artist#french painter#dutch artist#dutch painter#dutch painting#dutch art#french art#billiards#pool#billiard room#pool hall#art on tumblr#aesthetic#beauty#modern art#art history#tumblr art#tumblrpic#tumblrpictures#aesthetictumblr#tumblraesthetic
57 notes
·
View notes
Text
Il est 18h, vous entendez l’appel au centre bourg du shérif, diffusé sur les hauts parleurs, la sonnerie qui a dû servir d’alerte incendie il y a peut-être des décennies vous appelle à tous rentrer chez-vous.
C’est le deuxième et dernier rappel que la nuit va tomber, les adjoints et le shérif sont passés auparavant dans les rues en interpellant les gens qu’il était l’heure de ranger et se préparer pour la nuit. Vous accélérez le pas, vous n’êtes pas sûr d’atteindre la maison à temps – à trop vous presser, vous sentez que de votre sac tombe votre gourde (vous notez que c’est devant le diner, mais ne vous retournez pas pour la ramasser, elle sera là – peut-être – demain).
Vous n’auriez pas dû vous arrêter pour boire un dernier café avec Paul et Emily, et vous sentez votre cœur battre plus fort, autant par le rythme imposé que par le bonheur de voir qu’on vous attend à la porte.
Elle se referme derrière-vous et tout le monde se prépare pour la nuit, la mécanique est rodée, qui va cacher les fenêtres, qui s’assure que toutes les ouvertures sont fermées, qui vérifie que les talismans sont bien à leurs places.
« Chérie, tu ne vas pas me laisser dehors, c’est moi. »
Tous les regards se sont détournés de la fenêtre.
Bienvenue à Derry, petite ville d’une centaine d’âmes – au dernier recensement. Il y fait bon vivre, selon certains, la nourriture y est bonne, fraiche, les gens s’entraident, tout le monde est accueillant - tant qu’on peut vous voir à la lumière du jour. De toute façon, on ne quitte pas Derry – il n’y a aucune barrière, ne vous inquiétez pas. Il n’y a juste pas de sortie.
Vous pouvez suivre l'avancement du projet juste ici ou nous suivre directement pour ne rien rater ! ❤
#forumactif#french rpg#rpg français#forum rpg#projet rpg#rpg francophone#midwestern gothic#southern gothic
51 notes
·
View notes
Text
Law & Love
Chapitre 2 : Sous Tension
-ˋˏ✄┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈
Le soleil matinal perçait à travers les stores du bureau d'Agatha, projetant des lignes d'ombre et de lumière sur les piles de dossiers empilées sur son bureau. Elle était arrivée tôt, bien avant ses collaborateurs, espérant que le calme relatif du matin l'aiderait à remettre de l'ordre dans son esprit.
Mais le calme ne venait pas.
La nuit avait été longue et agitée, ponctuée de flashbacks du bar, de Victoria et Diane, et, surtout, de la confrontation glaciale avec Jonathan. Le souvenir du regard de Victoria — ce mélange de défi et d'intensité — persistait dans son esprit, s'invitant là où il n'avait pas sa place.
Un léger coup frappé à la porte la sortit de ses pensées. Lilia Calderu entra, un dossier épais dans les mains et un sourire malicieux sur les lèvres.
« Tu es matinale aujourd'hui, Agatha. C'est ton nouveau truc ? Te torturer avec du café tiède et des piles de paperasse avant que tout le monde arrive ? »
Agatha esquissa un sourire fatigué. « Le travail ne se fait pas tout seul, Lilia. Qu'est-ce que tu as pour moi ? »
Lilia posa le dossier sur le bureau d'Agatha, ses sourcils se haussant légèrement comme pour souligner son importance. « Une nouvelle affaire, et pas des moindres. Une grosse société est accusée d'intimidation de témoins et de fraude. Ils veulent que notre cabinet les défende. »
Agatha ouvrit le dossier, parcourant rapidement les premières lignes. Ses sourcils se froncèrent. « Une multinationale accusée de corruption... Ce genre d'affaire attire toujours les projecteurs. Pourquoi on devrait se mouiller pour eux ? »
Lilia croisa les bras, penchant légèrement la tête. « Parce que gagner ce genre de procès pourrait nous apporter des contrats encore plus juteux. Et, je ne vais pas te mentir, battre Victoria et Diane sur ce terrain serait savoureux. »
À l'entente du nom de Victoria, Agatha releva les yeux. « Elles sont sur l'affaire ? »
Lilia hocha la tête. « Elles représentent un témoin clé, une ancienne employée de l'entreprise qui joue les lanceuses d'alerte. C'est une bataille à venir, Agatha, et ça va être intense. »
Agatha referma le dossier d'un geste sec. Son instinct lui disait de refuser, mais sa fierté refusait de laisser une nouvelle victoire à Victoria.
« Très bien. On prend le dossier, » dit-elle finalement, sa voix ferme.
Lilia sourit, puis recula vers la porte. « Je savais que tu ne résisterais pas. Prépare-toi, ça va chauffer. »
Lorsque la porte se referma, Agatha resta un moment immobile. Cette affaire allait être plus qu'un simple affrontement juridique. Elle le sentait déjà.
Le souvenir du regard de Victoria, mêlé à la douleur encore vive de la trahison de Jonathan, formait un cocktail dangereux. Pour la première fois depuis longtemps, Agatha n'était pas sûre d'être totalement en contrôle.
༻﹡༺
Le soleil matinal illuminait également le bureau spacieux de Victoria, baigné dans des teintes dorées. Elle était assise derrière son bureau, une tasse de café à moitié vide posée à côté d'un épais dossier. Ses lunettes glissèrent légèrement sur son nez alors qu'elle lisait attentivement un rapport.
Le bruit de talons claquant sur le sol annonça l'arrivée de Diane Lockhart, élégante comme toujours, dans un tailleur crème parfaitement coupé. Elle entra sans frapper, un sourire complice sur les lèvres et un dossier sous le bras.
« Toujours plongée dans ton travail dès le matin, à ce que je vois, » lança Diane en posant son dossier sur le bureau de Victoria.
Victoria releva les yeux et retira ses lunettes. « Et toi, Diane, toujours prête à me donner plus de boulot ? » Elle esquissa un sourire, visiblement de bonne humeur malgré son sarcasme.
Diane s'assit en face de Victoria, croisant élégamment les jambes. « Je préfère appeler ça une opportunité. Notre lanceuse d'alerte a des informations explosives, mais elle n'est pas en sécurité. L'entreprise que nous affrontons joue visiblement très sale. »
Victoria feuilleta rapidement les premières pages du dossier, son expression se durcissant au fur et à mesure qu'elle lisait. « Intimidation de témoins... menaces anonymes... Bien sûr qu'ils jouent sale. Ces gens n'hésiteront pas à tout détruire pour sauver leur réputation. »
Diane observa Victoria avec une lueur d'admiration. « C'est pour ça que je voulais que tu prennes cette affaire. Tu as l'instinct et la ténacité qu'il faut pour gérer ce genre de situation. »
Victoria releva les yeux, un sourire presque timide se dessinant sur ses lèvres. « Merci pour la confiance. Je suppose qu'on va leur montrer ce qu'on vaut. »
Diane s'approcha légèrement, posant une main sur le dossier. « Ce ne sera pas facile, surtout avec Agatha Harkness en face. Elle est redoutable. »
À l'entente du nom d'Agatha, un éclat étrange passa dans les yeux de Victoria. Elle masqua son trouble en buvant une gorgée de café.
Diane ne manqua pas ce détail. Elle pencha la tête, un sourire malicieux aux lèvres. « Oh... Agatha Harkness. Je vois que le nom évoque quelque chose chez toi. »
Victoria releva les yeux, jouant l'indifférence. « Elle est talentueuse, je ne vais pas le nier. Mais c'est une rivale comme une autre. »
Diane haussa un sourcil, pas convaincue. « Vraiment ? Parce que la façon dont tu parles d'elle... ça sonne un peu plus personnel. »
Victoria se contenta de sourire en coin, ne confirmant ni ne démentant l'insinuation. « Peut-être que je trouve intéressant de la battre, tout simplement. »
Diane rit doucement, se levant de sa chaise. « Très bien, garde tes secrets. Mais sois prudente, Victoria. Ce genre de rivalité peut devenir... distrayante. »
Victoria la regarda partir, le sourire de Diane lui restant en tête. Distrayante ? Elle ne pouvait pas nier que quelque chose chez Agatha la troublait.
Elle reposa son café et se pencha sur le dossier, essayant de se concentrer sur l'affaire à venir. Mais l'image d'Agatha — son assurance, son regard froid, sa prestance dans la salle d'audience — lui revenait sans cesse en mémoire.
༻﹡༺
Agatha feuilleta le dossier posé devant elle, son regard aiguisé scrutant chaque ligne avec une attention méticuleuse. Les premières recherches menées par son équipe mettaient en lumière une affaire bien plus trouble qu'elle ne l'avait anticipé.
La multinationale qu'ils devaient défendre n'était pas seulement accusée de corruption, mais aussi de pressions exercées sur plusieurs témoins clés, allant jusqu'à des menaces à peine voilées. Cela ne figurait pas directement dans les documents officiels, bien sûr. Tout était soigneusement dissimulé, mais Agatha savait reconnaître les signes d'un client prêt à tout pour protéger ses intérêts.
Elle referma le dossier avec un soupir, croisant les bras et s'adossant dans son fauteuil en cuir. Un léger froncement barra son front. Défendre une entreprise avec de telles accusations posait une question d'éthique. Cela allait à l'encontre de ses propres valeurs.
Mais le jeu était dangereux, et la tentation de s'opposer à Victoria — de lui ravir une victoire éclatante — pesait lourd dans la balance. La victoire avait un prix, et dans le monde juridique, ce prix impliquait souvent d'enfouir ses scrupules.
Lilia entra à ce moment, tenant une tasse de café et quelques nouvelles pièces pour le dossier. « J'ai des éléments supplémentaires sur l'entreprise, » dit-elle en posant les documents sur le bureau. « On dirait qu'ils ont utilisé des intermédiaires pour éviter que les pressions sur les témoins ne remontent directement à eux. Malin, mais on peut deviner la chaîne. »
Agatha hocha la tête, prenant les documents et les feuilletant rapidement. « Cela reste de l'intimidation. Une zone grise, mais une zone que je n'aime pas traverser. »
Lilia haussa un sourcil, posant ses mains sur le bord du bureau. « Mais on le fait, non ? Tu veux gagner, Agatha. Et battre Grant et Lockhart sur une affaire comme celle-ci, c'est le genre de victoire qui reste dans les annales. »
Agatha releva les yeux, son regard perçant se posant sur Lilia. Elle savait que sa collaboratrice avait raison, mais cela n'effaçait pas les doutes qui grondaient en elle.
« Si on défend cette entreprise, il faudra s'assurer qu'aucune preuve d'intimidation ne refait surface, » dit-elle finalement, sa voix froide et déterminée. « Et il va falloir creuser. Je veux des informations sur le témoin clé de Victoria, cette lanceuse d'alerte. »
Lilia esquissa un sourire satisfait. « Je savais que tu serais prête à jouer le jeu. »
Mais alors qu'elle quittait le bureau, Agatha resta immobile, le regard perdu dans le vide. Une part d'elle-même n'était pas certaine de pouvoir justifier ses choix. Mais une autre, plus profonde, savait que l'affrontement avec Victoria allait dépasser le simple cadre professionnel.
༻﹡༺
Agatha frappa doucement à la porte du bureau de Victoria, un épais dossier à la main. Elle savait que ce qu'elle s'apprêtait à faire n'était pas une faveur, mais une obligation juridique. Les preuves récemment découvertes dans le cadre de l'affaire devaient être partagées avec la partie adverse. Pourtant, elle n'était pas particulièrement enchantée à l'idée de se retrouver face à Victoria si tôt dans la journée.
« Entrez, » répondit la voix claire et assurée de Victoria de l'autre côté.
Agatha ouvrit la porte avec son calme habituel, un sourire presque imperceptible sur les lèvres. Victoria était assise derrière son bureau, ses lunettes reposant négligemment sur des papiers qu'elle était en train de lire. En levant les yeux et en apercevant Agatha, elle croisa les bras, affichant une expression sarcastique.
« Eh bien, eh bien, eh bien, si ce n'est pas la personne la plus méprisable de toute cette terre... » lança Victoria, un sourire en coin.
Agatha ferma la porte derrière elle et avança, posant le dossier sur le bureau de Victoria avec un geste contrôlé, mais non dénué d'élégance. Elle pencha légèrement la tête, répondant avec une fausse douceur :
« Chérie, je sais que je suis ta préférée. Pas besoin de faire semblant. »
Victoria arqua un sourcil, amusée par la réplique, mais elle ne se laissa pas démonter. Elle ouvrit le dossier d'un geste lent, feuilletant rapidement les documents. « Alors, c'est quoi cette fois ? Des preuves surprises que vous avez miraculeusement découvertes au dernier moment ? »
« Oh, pas du tout, » répondit Agatha en s'asseyant sur la chaise en face du bureau, croisant les jambes avec aisance. « Juste une preuve de plus que tes témoins n'ont pas les mains aussi propres que tu le prétends. »
Victoria fronça légèrement les sourcils en parcourant les pages. « Intéressant... mais ça ne suffira pas à te faire gagner, Agatha. Tu devrais le savoir. »
Agatha haussa les épaules, le sourire toujours planté sur son visage. « Peut-être pas, mais je crois au pouvoir de la vérité. Même si elle peut être un peu... inconfortable pour certains. »
Victoria referma le dossier et posa ses coudes sur son bureau, appuyant son menton sur ses mains jointes. Elle fixait Agatha, son regard plus doux, mais toujours perçant.
« Tu joues un jeu dangereux, Harkness. Surtout avec cette affaire. »
Agatha se leva, se penchant légèrement vers le bureau, ses yeux bleus fixant Victoria avec intensité. « Et c'est pour ça que tu m'aimes autant, n'est-ce pas ? Parce que je n'ai pas peur de jouer. »
Victoria la regarda partir, incapable de réprimer un sourire malgré elle. Derrière ses airs d'agacement, une étrange admiration — peut-être même quelque chose de plus profond — s'installait. Mais elle savait que tout cela compliquerait davantage une affaire déjà explosive.
༻﹡༺
Le tribunal était bondé, l'atmosphère tendue. Agatha Harkness et Victoria Grant se faisaient face dans la salle d'audience, leurs regards rivés l'un sur l'autre, étincelants de défi. Elles étaient comme deux forces opposées, prêtes à s'affronter dans une joute verbale qui promettait d'être mémorable.
Victoria, vêtue d'un tailleur gris perle impeccable, était à la barre, exposant les éléments centraux de son argumentation. Sa voix était calme, posée, mais chaque mot portait une autorité indiscutable.
« Votre Honneur, mon témoin n'a rien à cacher. Elle a agi par conscience morale, mettant en péril sa sécurité personnelle pour révéler des pratiques répréhensibles. Ce tribunal ne doit pas permettre que son intégrité soit remise en question par des insinuations sans fondement. »
Agatha, assise à sa table, croisa les jambes et esquissa un sourire fin, presque moqueur. Puis, se levant lentement, elle s'avança pour s'adresser au juge.
« Objection, Votre Honneur, » déclara-t-elle, sa voix froide et incisive. « Maître Grant confond plaidoirie et argumentation factuelle. Ce tribunal ne se nourrit pas d'émotions, mais de preuves tangibles. »
Le juge haussa un sourcil, observant Victoria. « Objection retenue. Maître Grant, concentrez-vous sur les faits. »
Victoria ne flancha pas, bien que sa mâchoire se soit légèrement crispée. Elle tourna brièvement la tête vers Agatha, lui lançant un regard rempli de défi.
Quelques instants plus tard, Agatha prit la parole pour le contre-interrogatoire du témoin clé de Victoria, une femme visiblement nerveuse qui évitait le regard de l'avocate.
Agatha, droite et imposante, avançait lentement vers la barre, ses talons résonnant sur le sol de la salle. Son ton était neutre, presque doux, mais chacun de ses mots était affûté.
« Mme Greyson, vous avez déclaré avoir été témoin d'intimidations répétées au sein de l'entreprise. À quelle date précise cela s'est-il produit ? »
La témoin hésita, cherchant ses mots. « C'était... en avril de l'année dernière, il me semble. »
Agatha esquissa un sourire calculé, attrapant un document sur la table de la défense. Elle s'approcha, tenant la feuille devant elle comme une arme.
« Avril, dites-vous ? Pourtant, selon vos propres relevés d'emploi, vous étiez en congé maternité durant cette période. Vous ne travailliez même pas pour l'entreprise à ce moment-là. »
Un murmure parcourut la salle d'audience. Victoria, assise à sa table, fronça légèrement les sourcils avant de se lever rapidement.
« Objection, » intervint-elle, sa voix ferme. « La défense dénature les faits. Une simple erreur de date ne saurait invalider l'ensemble du témoignage. »
Agatha se tourna vers le juge, son sourire léger trahissant sa satisfaction.
« Votre Honneur, cette incohérence est essentielle. Si Mme Greyson ne peut pas se souvenir correctement d'un détail aussi crucial, comment peut-on accorder du crédit à son témoignage ? »
Le juge hocha la tête après un moment de réflexion. « Objection rejetée. Vous pouvez continuer, Maître Harkness. »
Agatha inclina légèrement la tête, un triomphe discret dans le regard. Elle jeta un coup d'œil à Victoria, captant l'éclat d'irritation dans ses yeux.
L'audience continua dans une tension palpable, les objections fusant de part et d'autre. Agatha, incisive et calculatrice, cherchait chaque faille possible dans les arguments de Victoria.
Mais Victoria, imperturbable, ripostait avec autant de force, utilisant chaque opportunité pour réaffirmer ses points.
Le combat entre elles n'était pas seulement une affaire de droit. C'était une bataille d'ego, de fierté, et peut-être, quelque part, une danse subtile d'attraction et de rivalité qui dépassait les murs du tribunal.
La salle d'audience était en pleine effervescence. Victoria Grant se tenait debout, droite et confiante, face au témoin clé de l'affaire. Chaque mot qu'elle prononçait était clair, précis, et pesé avec soin, comme si elle jouait une symphonie argumentative.
« Alors, Mme Parker, pour être parfaitement claire, vous affirmez avoir été directement témoin des agissements de votre ex-mari avant sa disparition ? » demanda Victoria, sa voix posée, mais implacable.
Mme Parker, visiblement nerveuse, hocha la tête. « Oui, il était... agressif, verbalement, et parfois même physiquement. C'est pour ça que je— »
« Merci, » coupa doucement Victoria, contrôlant parfaitement le rythme du témoignage. Elle fit quelques pas en arrière pour marquer une pause, laissant les mots flotter dans l'air.
C'est alors que, presque imperceptiblement, son regard glissa vers Agatha. Ce n'était pas un regard moqueur ou empreint de défi, comme elle en avait l'habitude. Cette fois, ses yeux bruns s'adoucirent, quelque chose de presque... admiratif s'y reflétant.
Agatha, qui observait jusque-là les échanges avec son habituel masque de froideur professionnelle, sentit une pointe de chaleur dans ce regard. Une chaleur qu'elle ne s'attendait pas à recevoir de Victoria, encore moins ici, dans cette arène où elles étaient supposées être adversaires.
Cela dura à peine une seconde, mais c'était suffisant pour déstabiliser Agatha. Elle redressa légèrement les épaules, cherchant à réaffirmer son contrôle. Pourtant, un léger tremblement dans ses doigts trahissait l'effet de ce moment inattendu.
Victoria, comme si de rien n'était, reporta son attention sur le témoin, reprenant son interrogatoire avec la même intensité. Mais Agatha, désormais troublée, avait du mal à chasser ce regard de son esprit.
Elle se pencha légèrement vers Lilia, qui prenait des notes à côté d'elle.
« Ça va ? » murmura Lilia, remarquant la tension inhabituelle dans l'attitude d'Agatha.
« Très bien, » répondit Agatha sèchement, bien que son ton manquait de sa froide assurance habituelle.
Le reste de l'audience se poursuivit sans accroc visible, mais dans l'esprit d'Agatha, ce regard de Victoria continuait de résonner. Ce n'était pas un geste calculé, elle en était certaine. Et cela rendait l'échange encore plus perturbant.
Pour la première fois depuis longtemps, Agatha Harkness, la redoutable avocate connue pour son contrôle inébranlable, se sentait vulnérable — et cela venait de son adversaire la plus féroce.
L'audience venait de se terminer, et la victoire d'Agatha était incontestable. Alors qu'elle rangeait ses affaires avec une satisfaction froide, Victoria observait discrètement la scène depuis sa table, son expression indéchiffrable.
Dans les couloirs du tribunal, Agatha marchait d'un pas rapide, le claquement de ses talons résonnant contre le carrelage poli. Elle tenait son sac d'une main ferme, mais ses pensées étaient ailleurs, toujours occupées à savourer sa victoire.
« Bravo, Maître Harkness, » lança une voix familière derrière elle.
Agatha se retourna pour voir Victoria appuyée contre le mur, un sourire en coin. Son allure était désinvolte, mais son regard brillait d'une lueur piquante.
« Ah, Maître Grant, » répondit Agatha avec un sourire aussi glacé que charmant. « Je pensais que vous seriez déjà partie. Mais je suppose qu'il vous fallait une leçon supplémentaire sur comment gagner une affaire. »
Victoria se redressa et croisa les bras, avançant de quelques pas pour réduire la distance entre elles. « Profitez bien de votre victoire, Agatha. Je dois admettre que c'était une belle performance. Mais ne vous habituez pas trop à ça, le tribunal a tendance à préférer les gagnants constants. »
Agatha fronça légèrement les sourcils, piquée par la remarque. « Vous savez, Victoria, votre arrogance est fascinante. J'imagine que ça compense vos récents échecs. »
Le sourire de Victoria vacilla un instant, mais elle se reprit rapidement. Cependant, son ton changea, devenant un peu plus sérieux.
« Peut-être. Mais au moins, je ne joue pas un rôle en dehors du tribunal. Vous êtes aussi rigide dans votre vie personnelle que vous l'êtes ici. Ça ne doit pas être facile. »
Les mots touchèrent une corde sensible chez Agatha. Elle détourna brièvement le regard, son masque d'assurance se fissurant légèrement.
« Rigide ? » répéta-t-elle, sa voix plus basse. « Si vous saviez... »
Victoria, intriguée, fronça les sourcils. « Si je savais quoi ? »
Agatha hésita, se maudissant intérieurement pour avoir laissé paraître une brèche dans son armure. Pourtant, quelque chose dans le regard de Victoria, un mélange d'intérêt sincère et de défi, l'incita à parler, même à contrecœur.
« Disons simplement que jongler entre un mari infidèle et des collègues qui attendent de moi que je sois parfaite, ça ne laisse pas beaucoup de place pour... la flexibilité. »
Victoria resta silencieuse, surprise par cette confession inattendue. Son expression devint plus douce, moins teintée de rivalité.
« Ça ne doit pas être facile, » dit-elle enfin, sa voix presque compatissante.
Agatha redressa immédiatement la tête, se rappelant qu'elle n'avait aucune intention de s'apitoyer sur elle-même devant Victoria. Elle esquissa un sourire froid pour masquer son trouble.
« Oh, ne vous inquiétez pas pour moi, Grant. J'ai l'habitude de gérer des choses bien plus compliquées que des adversaires comme vous. »
Victoria ne répondit pas, mais son regard suivit Agatha alors qu'elle s'éloignait, plus troublée qu'elle ne voulait l'admettre. Pour la première fois, elle avait vu une facette vulnérable de son adversaire — une facette qu'elle ne pouvait pas oublier.
༻﹡༺
Agatha ouvrit la porte de son appartement avec un soupir. La journée avait été longue, et même la satisfaction de sa victoire au tribunal semblait fade face au poids qui pesait sur ses épaules.
Dans le salon, Jonathan l'attendait, assis sur le canapé, une expression contrite sur le visage.
« Agatha, » commença-t-il doucement en se levant, les mains tendues vers elle. « Je suis désolé. Je sais que j'ai fait une erreur, mais... on peut arranger les choses, non ? »
Elle posa son sac sur la table d'entrée, le regardant avec une froideur qui semblait geler l'air autour d'eux.
« Une erreur ? » répondit-elle d'une voix tranchante. « Tromper sa femme, c'est une erreur ? »
Jonathan baissa les yeux, visiblement mal à l'aise. « Je ne vais pas me justifier, d'accord ? Mais tu n'es pas parfaite non plus, Agatha. Tu es tellement... distante. Toujours absorbée par ton travail, comme si rien d'autre n'avait d'importance. »
Agatha croisa les bras, la colère grondant en elle. « Oh, alors c'est ma faute maintenant ? Parce que j'ai des ambitions ? Parce que je me bats pour quelque chose qui me tient à cœur ? C'est pour ça que tu es allé dans le lit d'une autre ? »
Jonathan leva les mains en signe de défense. « Ce n'est pas ce que je dis ! Mais tu sais aussi bien que moi que notre mariage n'a pas été une priorité pour toi depuis des années. Tout tourne autour de ta carrière, de tes affaires, de ta fierté ! Et moi, où est-ce que je me situe dans tout ça ? »
Les mots la frappèrent, mais elle ne laissa rien paraître. Elle inspira profondément, son visage un masque d'impassibilité.
« Tu te situes exactement là où tu as choisi d'être, Jonathan, » répondit-elle froidement. « Dans une position que tu as détruite toi-même. Tu veux que je mette ma vie en pause pour te donner toute mon attention ? Peut-être que tu aurais dû y réfléchir avant de me trahir. »
Il secoua la tête, frustré. « Alors quoi ? On abandonne tout ? Tu veux divorcer, c'est ça ? »
Agatha resta silencieuse un instant, les bras toujours croisés, avant de répondre.
« Non, » dit-elle calmement. « On reste ensemble. Officiellement. Mais ne t'attends pas à ce que je fasse semblant. Plus maintenant. »
Jonathan la regarda, choqué, mais elle n'attendit pas sa réponse. Elle tourna les talons et se dirigea vers leur chambre, claquant la porte derrière elle.
Dans le silence qui suivit, Jonathan resta debout dans le salon, seul, réalisant que s'il espérait une réconciliation, il devrait peut-être la chercher ailleurs.
Agatha était affalée sur le canapé, une coupe de vin à la main, les pensées lourdes après la confrontation avec Jonathan. Elle fixait son téléphone posé sur la table basse quand il se mit à vibrer.
Lilia Calderu.
Agatha soupira légèrement, hésitant une seconde avant de décrocher.
« Lilia, » répondit-elle d'un ton neutre.
« Agatha ! » La voix de Lilia était joyeuse, presque chantante. « Félicitations encore pour ta victoire aujourd'hui ! Je savais que tu écraserais Maître Grant. »
Un sourire discret effleura les lèvres d'Agatha. « Merci, mais je n'ai fait que mon travail. Rien de particulièrement extraordinaire. »
« Ne sois pas si modeste, » insista Lilia. « C'était brillant, et tu le sais. »
Agatha bascula légèrement sa tête en arrière, soupirant. « Bon, qu'est-ce que tu veux, Lilia ? Je sens que tu ne m'appelles pas juste pour flatter mon ego. »
« En effet, » répondit Lilia avec malice. « Tu vas sortir avec moi ce soir. »
Agatha fronça les sourcils, s'asseyant un peu plus droite. « Sortir ? Pourquoi est-ce que je ferais ça ? »
« Parce qu'il faut célébrer cette victoire, évidemment ! Un dîner entre collègues, rien de plus. Tu as besoin de te détendre, Agatha. Et ne commence pas à trouver des excuses. »
Agatha roula des yeux, déjà exaspérée. « Lilia, je n'ai pas la tête à ça. J'ai eu une journée épuisante, et franchement, je préfère rester chez moi. »
Lilia ne se laissa pas décourager. « Écoute, je ne te laisse pas le choix. Tu as besoin de prendre l'air, et je refuse de te laisser t'enfermer dans ta grotte avec une bouteille de vin. Ce n'est pas négociable. »
Agatha haussa un sourcil, impressionnée malgré elle par l'insistance de sa collaboratrice. « Et si je te dis non ? »
« Alors je viens te chercher chez toi, et je te traîne dehors, » répliqua Lilia, déterminée.
Un éclat de rire involontaire échappa à Agatha. « Tu es impossible. »
« Et toi, tu es bien trop sérieuse, » répliqua Lilia sans hésiter. « Allez, une heure, pas plus. Je promets de te laisser tranquille après. »
Agatha soupira, réalisant qu'elle n'allait pas gagner cette bataille. « Très bien, mais uniquement parce que je n'ai pas envie que tu débarques chez moi. »
« Parfait ! Je passe te prendre dans une heure. Habille-toi bien, je t'emmène dans un endroit chic. »
Agatha s'apprêtait à protester, mais Lilia avait déjà raccroché. Elle fixa son téléphone, secouant la tête avec un mélange d'amusement et d'agacement.
« Une vraie tornade, » murmura-t-elle en se levant pour se préparer.
༻﹡༺
Le restaurant était élégant, éclairé par des chandelles douces qui créaient une ambiance intime. Agatha et Lilia avaient trouvé une table près de la fenêtre, un coin discret où elles pouvaient discuter sans être dérangées. Lilia était, comme toujours, pleine d'énergie, lançant des anecdotes et des blagues pour détendre l'atmosphère. Agatha, bien qu'un peu plus calme, appréciait le répit après une journée aussi intense.
Tout se passait bien jusqu'à ce qu'Agatha aperçoive, du coin de l'œil, une silhouette familière entrer dans la salle. Elle se figea, son regard se durcissant immédiatement en reconnaissant Victoria Grant, suivie de Diane Lockhart, sa complice de toujours.
Diane, avec son élégance habituelle, avait l'air détendue, tandis que Victoria semblait un peu plus concentrée, mais son sourire était indéniablement chaleureux. Agatha sentit une étrange montée de tension dans son estomac. Elle se détourna instinctivement, espérant que les deux femmes ne la remarqueraient pas, mais c'était peine perdue.
« Agatha, » dit Lilia en jetant un coup d'œil vers la porte d'entrée. « Regarde qui voilà. »
Agatha n'eut d'autre choix que de se retourner. Le regard de Victoria croisa le sien à cet instant précis, et un petit sourire curieux s'afficha sur son visage. Diane, quant à elle, sourit poliment à Agatha, mais ce n'était pas le même genre de sourire. C'était plus... distant, comme si quelque chose d'invisible se jouait entre elles.
Victoria, d'un geste fluide, se dirigea vers leur table avec Diane, sans vraiment demander si cela dérangeait Agatha. Elle s'arrêta à quelques pas, son regard fixe, mais cette fois-ci, il y avait quelque chose de plus léger, comme un défi implicite.
« Ma chère Agatha, quelle surprise de vous voir ici, » lança Victoria, sa voix légèrement moqueuse mais douce. « Vous saviez que ce restaurant est un de mes favoris ? »
Diane resta en retrait, observant la scène avec un intérêt discret, ses bras croisés sur sa poitrine.
Agatha se força à sourire. « Je vois. Une coïncidence étrange. Mais je ne vous dérange pas, je suppose. »
Victoria esquissa un sourire en coin, comme si elle avait anticipé la réaction d'Agatha. « Pas du tout. Nous étions justement en train de discuter des dernières affaires. Diane et moi avons quelques idées sur un cas à venir. »
Lilia, perçant l'atmosphère tendue, lança une remarque. « Oh, vous travaillez ensemble, alors ? »
Diane hocha légèrement la tête. « Oui, effectivement. Parfois, une collaboration entre les meilleurs est nécessaire. » Elle s'adressa directement à Agatha, comme pour tester sa réaction. « Vous ne trouvez pas ? »
Agatha sentit la morsure de l'ironie dans les mots de Diane, comme si elle cherchait à l'humilier subtilement. Elle prit une inspiration profonde avant de répondre, le regard plus glacé que jamais. « Oh, je n'en doute pas, Diane. Quand l'occasion se présente, il est en effet intéressant de collaborer avec des... pairs. »
Victoria, perçant l'ambiance tendue, s'avança un peu plus, son sourire se faisant plus doux mais toujours empreint de cette lueur défiant. « Vous avez l'air un peu tendue, Agatha. Un verre pourrait détendre l'atmosphère. Que diriez-vous ? »
Agatha, bien qu'intérieurement perturbée, se redressa fièrement. « Non merci. Ce n'est pas nécessaire. »
Le silence qui s'installa fut lourd de non-dits. Lilia, sentant la tension, posa sa main sur le bras d'Agatha pour la calmer.
Victoria, voyant que l'ambiance n'évoluait pas comme elle l'espérait, tourna alors son attention vers Diane. « Allons nous asseoir, Diane. Nous allons laisser Agatha à ses affaires. »
Diane acquiesça et se tourna vers Agatha. « Peut-être une autre fois, Agatha. » Elle lança un dernier regard à Agatha avant de suivre Victoria vers leur table.
Agatha, bien que soulagée de voir les deux femmes s'éloigner, ne pouvait ignorer la vague de frustration qui déferlait en elle. Elle savait que quelque chose se jouait entre Victoria et Diane, mais la complicité évidente entre elles la dérangeait plus qu'elle ne voulait l'admettre. La soirée n'avait définitivement pas pris le tour qu'elle espérait, et malgré la présence de Lilia à ses côtés, elle ne pouvait chasser cette sensation d'être observée, jugée, et, au fond, de se sentir vulnérable.
༻﹡༺
Agatha s'assit dans son salon, les lumières tamisées créant une atmosphère paisible, presque irréelle après la tumultueuse journée qu'elle venait de vivre. L'odeur subtile du vin dans l'air, le bruit lointain de la ville en dehors de sa fenêtre... tout semblait calme, et pourtant, son esprit était en pleine ébullition.
Elle avait quitté le restaurant après avoir croisé Victoria et Diane, mais la soirée n'avait pas eu le goût qu'elle en attendait. Lilia, joyeuse et insouciante, avait voulu célébrer leur victoire au tribunal, mais Agatha n'avait pas pu s'empêcher de penser à autre chose. À Victoria.
Assise seule, ses jambes croisées, Agatha observa ses mains sans vraiment les voir. Elle n'avait pas voulu l'admettre à haute voix, même dans le silence de son appartement. Mais plus la soirée avançait, plus elle se rendait compte de quelque chose qu'elle n'avait jamais envisagé avant : elle était attirée par Victoria Grant.
Le simple souvenir du regard que Victoria lui avait lancé dans le restaurant lui fit frissonner. Ce n'était pas un regard de défi, ni même de mépris, comme elle l'aurait imaginé. Non, c'était un regard de compréhension, de curiosité... de désir ? Agatha secoua la tête, comme pour chasser cette pensée gênante, mais elle savait que ce n'était pas aussi simple.
Elle se leva brusquement, se dirigeant vers la fenêtre. Le monde dehors continuait de tourner, ignorant les tourments internes qui la rongeaient. La lumière des réverbères se reflétait sur les rues mouillées, les voitures passaient, les gens marchaient, comme si rien ne venait troubler l'ordre des choses. Mais Agatha savait que, pour elle, quelque chose avait changé. Elle ne pouvait plus faire semblant de ne pas ressentir cette attirance grandissante.
Elle se tourna vers son téléphone, posant ses yeux sur le message de Jonathan. Il s'excusait à nouveau, encore et encore. Mais à quoi cela servait-il, vraiment ? Leur mariage était déjà brisé, et même si elle se donnait encore des raisons de continuer, quelque chose en elle savait que les fissures ne se refermeraient pas. Elle n'arrivait pas à lui pardonner. Et ce soir, il n'était pas l'homme qu'elle voulait.
La pensée de Victoria, de son regard, de son sourire en coin, fit remonter une vague de chaleur en elle. Elle soupira et se laissa tomber sur le canapé, fermant les yeux un instant. Comment pouvait-elle gérer tout cela ? Son mariage, sa carrière, et maintenant cette attraction pour une autre femme, une rivale ?
Elle s'étira, se relevant enfin, prenant un instant pour se ressaisir. L'espace autour d'elle semblait si vaste, si silencieux, comme si tout était suspendu dans l'attente. Elle n'avait pas envie de repenser à tout ce qui la tourmentait, mais la réalité, aussi désagréable soit-elle, s'imposait. La vérité, c'était qu'elle était perdue, entre la loyauté qu'elle ressentait encore pour Jonathan et l'attirance qu'elle éprouvait pour Victoria.
Agatha se regarda dans le miroir de l'entrée, ses yeux sombres se posant sur son propre reflet. Qui était-elle réellement en ce moment ? Une avocate déterminée, prête à tout pour gagner, ou une femme qui se perdait dans des sentiments qu'elle n'avait jamais voulu laisser émerger ?
Elle se détourna du miroir, en proie à un tourbillon de pensées contradictoires. La soirée avait beau être terminée, la vraie bataille était en train de commencer, dans son esprit.
Le téléphone d'Agatha vibra à nouveau, l'écran éclairant son visage pensif. Elle s'empressa de le saisir, un frisson d'anticipation lui traversant le corps. Le message de Victoria était là, direct, sans détour.
Victoria Grant :
"La prochaine fois, au lieu de nous regarder de travers avec Diane, tu pourrais venir t'asseoir à notre table. On pourrait discuter, sans les jugements habituels. Qui sait, peut-être que tu apprécierais la compagnie."
Agatha sentit un frisson parcourir son dos en lisant ces mots. Ce n'était pas seulement une invitation à discuter. C'était un défi, une manière pour Victoria de jouer avec ses attentes et de brouiller les frontières entre l'amitié et la compétition. Cette proposition de « s'asseoir à leur table » était subtile, presque familière, et laissait entrevoir une complicité qu'Agatha n'était pas sûre d'être prête à explorer.
Elle relâcha son souffle, le regard fixé sur l'écran. Que voulait réellement Victoria ? Et plus encore, que voulait-elle elle-même ? Depuis leur rencontre, Agatha se retrouvait à jongler avec une série de sentiments qu'elle n'avait pas l'habitude d'affronter. De la rivalité professionnelle à l'attirance pure et simple, en passant par une curiosité croissante pour cette femme qui ne cessait de la surprendre.
Agatha :
"Tu sais que ce genre de conversation peut être dangereuse, n'est-ce pas ?"
Elle hésita une seconde avant d'envoyer le message, se demandant si elle venait d'ouvrir une porte qu'il serait difficile de refermer. Mais une part d'elle savait que, qu'elle le veuille ou non, elle se retrouvait face à un choix qui dépassait la simple compétition. Il s'agissait de quelque chose de plus intime, de plus irréversible.
Elle attendit, le pouls battant dans sa gorge. Le message envoyé, elle ne pouvait plus revenir en arrière.
Le téléphone d'Agatha vibra à nouveau presque instantanément. Elle saisit l'appareil, son cœur battant un peu plus vite, et lut la réponse de Victoria.
Victoria Grant :
"Tu as raison, peut-être que ça pourrait être dangereux... mais parfois, ce sont les choses les plus risquées qui sont les plus intéressantes. Et je dois avouer que j'aime l'idée de défier les attentes."
Agatha se mordit la lèvre, sentant la tension grandir. Victoria savait jouer de ses mots, laisser entendre des choses sans jamais les dire explicitement. C'était cette habileté à laisser planer l'incertitude qui la captivait autant que cela l'irritait.
Agatha :
"Tu sembles prendre beaucoup de plaisir à tester les limites. Mais attention, parfois ces jeux peuvent se retourner contre nous."
Elle posa le téléphone un instant, un léger sourire en coin. Elle n'était pas du genre à se laisser entraîner si facilement, mais un certain amusement perçait dans ses mots. Elle aimait l'idée de maintenir l'équilibre, de garder une certaine distance tout en explorant ces échanges délicats.
Quelques secondes plus tard, une nouvelle notification fit son apparition.
Victoria Grant :
"Je pense que tu sous-estimes un peu mes capacités à gérer les risques. Et puis, qui sait, peut-être que nous pourrions trouver un terrain d'entente. Le défi, parfois, c'est aussi une question de timing."
Les mots de Victoria résonnèrent dans l'esprit d'Agatha, et un léger frisson parcourut sa peau. C'était si subtil, mais en même temps si clair. Il n'y avait pas de demande directe, mais l'intention était bien là, fluide et insidieuse.
Agatha :
"Il se trouve que j'ai toujours aimé les bons défis. Mais tout dépend de la récompense au bout, n'est-ce pas ?"
Elle savait que ses paroles pouvaient être interprétées de différentes manières, mais elle aimait l'idée de tenir Victoria en haleine, de lui laisser deviner ce qu'elle pensait vraiment. C'était un jeu subtil, mais un jeu qu'elle semblait prête à continuer.
Quelques instants passèrent avant que Victoria réponde. L'attente était presque insupportable.
Victoria Grant :
"La récompense, Agatha, n'est jamais là où on s'attend à la trouver. Peut-être que nous découvrirons ensemble où elle se cache. À bientôt."
Le dernier message resta suspendu dans l'air un long moment. Agatha se mordit la lèvre, son regard ancré dans l'écran de son téléphone. Ce jeu, cette tension qui se construisait entre elles, n'était plus un simple défi professionnel. Il y avait quelque chose de plus, de plus profond, qu'elle ne pouvait pas encore saisir totalement, mais qui la poussait à répondre, à s'engager dans ce flirt subtil.
Elle posa finalement le téléphone sur la table, son esprit en ébullition. Ces échanges étaient devenus bien plus qu'une simple rivalité.
⋆ ˚。⋆୨୧˚FIN ˚୨୧⋆。˚ ⋆
7 notes
·
View notes
Text
Recette du meilleur Cheesecake New-yorkais aux fraises ultra crémeux et onctueux avec une base croustillante de biscuits, un succulent gâteau au fromage made in USA savoureux, frais et soyeux, ultra facile et simple à préparer.
Pour la base aux biscuits :
200 gr de biscuit type sablés breton petit beurre ou spéculos
80 gr de beurre fondu
Pour l’appareil à cheesecake au cream cheese :
600 gr de fromage à la crème Philadelphia ou St-Moret
175 gr de sucre
300 gr de crème fraiche
200 ml de crème liquide entière
3 oeufs
3 cuillères à soupe de fécule de maïs
1/2 cuillère à café de vanille en poudre ou 1 cuillère à soupe liquide
2 cuillères à soupe de jus de citron
Pour le coulis de fraises :
250 gr de fraises
55 gr de sucre
8 gr de sucre vanillé
2 cuillères à soupe d’eau
1 cuillère à soupe de jus de citron
Des fraises fraiches pour garnir
INSTRUCTIONS
Dans un saladier, mélanger les biscuits (réduits en poudre dans un robot hachoir) avec le beurre fondu et refroidi.
Verser ce mélange dans un moule à charnière de 20 centimètre de diamètre (beurré et chemisé de papier cuisson) et tasser les miettes en appuyant avec la base d’un verre ou le dos d’une cuillère afin de former une couche assez compacte. Réserver le moule dans le réfrigérateur.
Fouetter le fromage à la crème (le sortir 30 minutes du réfrigérateur avant la préparation)avec le sucre puis ajouter la crème fraiche et continuer à fouetter. Ajouter la crème liquide et mélanger encore à vitesse moyenne jusqu’à obtention d’une consistance lisse et homogène.
Incorporer les oeufs un par un tout en continuant à fouetter puis ajouter la fécule de maïs, le jus de citron et la vanille et mélanger jusqu’à complète incorporation.
Verser la crème sur la base de biscuits préalablement préparée puis la lisser à l’aide d’une spatule. Couvrir la base du moule de papier aluminium puis le déposer dans un plat allant au four en y ajoutant un fond d’eau (cuisson bain-marie).
Enfourner dans un four préchauffer à 180° C pendant 30 minutes, puis réduire la température du four à 150 ° C et continuer la cuisson pendant 40 à 50 minutes.
Une fois cuit, éteindre le four et laisser le Cheesecake à l’intérieur pendant environ une heure.
Sortir le Cheesecake du four, laisser refroidir un peu, puis le mettre au réfrigérateur pendant toute une nuit jusqu’à ce que la garniture soit bien ferme et froide.
Préparer le coulis de fraises; dans une casserole, mettre les fraises fraîches ou surgelées, le sucre, le sucre vanillé, le jus de citron et l’eau laisser cuire à feu doux pour environ 10 à 15 minutes tout en remuant régulièrement, écraser les fraises à la fourchette puis ou mixer les (la consistance obtenue doit être nappante).
Servir le cheese cake accompagné de coulis de fraises bien froid et des fraises fraiches découpées en deux .
31 notes
·
View notes
Text
Lectures 2024
A lire
L'assassin royal - Époque 1, Robin Hobb
Jusqu'au bout de la peur, Geoffrey Moorhouse
Batman, Année un, Frank Miller, David Mazzucchelli
La Passe-miroir, Livre 1, Christelle Dabos
Petit traité des grandes vertus, André Comte-Sponville
Le clan des Otori, tomes 4 et 5, Lian Hearn
La patience des traces, Jeanne Benameur
Arbos Anima 3,4 et 5
Donjon
Kafka sur le rivage, Murakami
Chroniques de l'oiseau à ressort, Murakami
1q84, tomes 2 et 3, Haruki Murakami
La danse des damnées, Kiran milwood hargrave
Rocky, dernier rivage, Thomas Gunzig
Les déraisons, Odile d'Outremont
Envol, Kathleen Jennings
Fables livre 1, Bill Willingham et Mark Buckingham
Un apprentissage ou le livre des plaisirs
La belle famille, Laure de Rivières
Le fardeau tranquille des choses, Ruth L. Ozeki
L'été où tout a fondu, Tiffany Mc Daniel
Et toujours les forêts, Sandrine Collette
Une bête au paradis, Cécile Coulon
Le livre d'Eve, Meg Clothier
L'heure du retour. Christopher M. Hood
La femme gelée, Annie Ernaux
Lus: (les tags ci dessous pour retrouver mon petit mot pour chaque livre)
1. Tant que le café est encore chaud, Toshikazu Kawaguchi ⭐⭐⭐⭐ - 01/01
2. Prométhée et la boîte de Pandore, Luc Ferry (BD) ⭐⭐ - 17/01
3. La maison aux sortilèges, Emilia Hart. ⭐⭐⭐⭐⭐ - 21/01
4. Le chant d'Achille, Madeline Miller. ⭐⭐⭐⭐⭐ - 25/02
5. Accident de personne, Florence Mendez. ⭐⭐⭐⭐⭐ - 27/02
6. L'été de la sorcière, Nashiki Kaho ⭐⭐⭐⭐⭐ - 08/03
7. 10000 litres d'horreur pure, Thomas Gunzig ⭐⭐⭐⭐⭐ - 09/03
8. Les jolis garçons, Delphine de Vigan ⭐⭐⭐⭐ - 14/03
9. Là où les arbres rencontrent les étoiles, Glendy Vanderah ⭐⭐⭐⭐⭐ - 24/03
10. Patients, Grand Corps Malade. ⭐⭐⭐⭐ - 20/04
11. Le passage de la nuit, Murakami ⭐⭐⭐⭐ - 29/04
12. Un miracle, Victoria Mas ⭐⭐⭐⭐⭐ - 12/05
13. Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo ⭐⭐⭐⭐⭐ - 20/05
14. Acide sulfurique, Amélie Nothomb ⭐⭐⭐⭐⭐ - 30/05
15. Croire aux fauves, Nastassja Martin ⭐⭐⭐⭐ - 31/05
16. La clarté de la Lune, Lian Hearn ❤️❤️❤️❤️❤️ - 02/07
17. Mon mari, Maud Ventura. ⭐⭐⭐⭐⭐ - 21/07
18. J'étais là avant, Katherine Pancol ⭐⭐⭐⭐ - 31/07
19. Au prochain arrêt, Hiro Arikawa ⭐⭐⭐⭐ - 04/08
20. Réparer les vivants, Maylis de Kerangal ⭐⭐⭐⭐⭐- 24/08
21. Les papillons, Barcella. ⭐⭐⭐- 01/09
22. L'homme coquillage, Asli Erdogan ⭐⭐⭐⭐⭐ - 12/09
23. Autopsy, Sophie Buyse. ⭐⭐⭐ - 17/10
24. Morphine, Mikhaïl Boulgakov. ⭐⭐⭐⭐ - 19/10
25. Le jeune homme, Annie Ernaux ⭐⭐⭐⭐⭐ - 20/10
26. Tout le bleu du ciel, Roman graphique d'après le roman de Melissa da Costa ⭐⭐⭐⭐ - 20/10
27. Antigone, Anouilh. ⭐⭐⭐⭐ - 11/11
28. Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, E.E. Schmitt. ⭐⭐⭐ - 14/11 #fleurs #j'ai mis trop de hashtags
29. Au bal des absents, Catherine Dufour. ⭐⭐⭐ 22/12 (thème de la maison hantée)
30. La végétarienne, Han Kang ⭐⭐⭐⭐⭐ 29/12
#livres 24#livres 23#livres 22#café#pandore#sortilèges#Achille#accident#été#horreur pure#garçons#étoiles#patients#nuit#miracle#condamné#acide#fauves#clarté#mari#avant#arrêt#vivants#papillons#homme coquillage#autopsy#morph#jeune homme#bleu#Antigone
41 notes
·
View notes
Text
Encore deux minutes et le café sera prêt ! En attendant, on laisse nos rêves de la nuit s'emparer de notre journée, dans l'espoir de les voir se réaliser !
Laissons-nous cafeiner de force et de courage, pour que cette journée nous semble la plus aromatiser de la "joie de vivre et d'aimer", partout et tout autour de nous !
Bonne dégustation à toutes et tous ! ☕️
#au-jardin-de-mon-coeur✒️
15 notes
·
View notes
Text
Il est sept heures du matin, les ombres s'éveillent, Odeur de café noir, rêves en décombres, Débordement insensé, le cœur en sommeil, Une couche de terre où nos âmes sombrent. Mes poumons brûlent, éclats de nuits sans fin, Dogmes nouveaux pour apaiser l’invisible, Je pars rejoindre l'oiseau de nuit malin, Dans sa maison au brouillard indélébile. Poison léger, fluide rubis en transe, Corps céleste filant, au ciel désenchanté, Jamais lassé par tes mots, sombre danse, De mon cœur vagabond, corridors hantés. Ta présence comble les vides infinies, Quel est ce masque que tu donnes à l'amour ? Le train ralentit derrière les monts ternis, Veux-tu m’accompagner dans mes vices pourpre ?
#writer#ecriture#creative writing#creativity#mood#mood today#writing#writing life#french poetry#sentimental#poetry#poetic#original poem#poems on tumblr#poems and poetry#romantic#lovers
14 notes
·
View notes
Text
saga: Soumission & Domination 330
Sosthène par Sosthène, mes Asiates
Sosthène me fait le récit de sa première prestation. Je lui dis de ne me formuler que ses impressions, j'ai déjà reçu le compte rendu de son séjour à Paris.
Sosthène :
Sasha vient de me mettre dans le train. Les premières c'est classe. Je suis entouré de vieux et mes jeans tranchent un peu parmi les costumes. D'être attendu sur le quai par un chauffeur qui porte une pancarte à mon nom, c'est étrange pour moi. Il prend mon bagage et je le suis sans un mot. Il me dit que monsieur XXX m'attend et qu'il me conduit chez lui. Je n'ai jamais été servi et ça me met un peu mal à l'aise.
Quand je rencontre Henri, je suis très stressé. Je suis seul, pas comme la fois où j'ai rencontré Marc. Rien à voir ! Il me reçoit très gentiment. Et je me détends quand il commence à parler littérature. Le stress revient quand Kev pour qui je suis le cadeau arrive. Je ne comprends pas au départ. Il semble désagréablement surpris de me voir assis avec son " Père/Amant ". Cela s'éclaircit quand je suis présenté comme son présent d'anniversaire. Vite il m'emmène chez lui. Je suis surpris je croyais qu'ils vivaient ensemble. Son appartement est très beau. Les tableaux et sculptures, très orientés homo sont quand même beaux. Le mec est un rapide, il me bouscule direct sur son canapé et me met nu en quelques secondes ! Je n'ai pas le temps de penser que je suis déjà en train de l'embrasser. Tout ira très vite et sans voir le temps passer, je me retrouve vidé, encore plein de sa bite, écrasé par son corps rompu par l'exercice.
Un vrai tourbillon, sans avoir l'intensité de ce que j'ai vécu avec Justin, c'est très étrange comme j'ai vraiment aimé ça. Kev est un amant très fort et sa science de l'amour est consommée.
Mais nous ne sommes pas en avance pour son diner d'anniversaire. Je m'emmêle les pinceaux avec ma cravate il m'aide et son corps dans mon dos m'excite encore.
Le restaurant dans lequel Henri nous emmène est un des meilleurs de Paris. Je suis un peu gauche et cela m'énerve intérieurement. Je suis très gêné quand Henri me tend un petit paquet semblable à celui qu'il offre à Kev. Il insiste et je trouve un jonc en or qu'il m'oblige à passer à mon poignet. Je suis très embarrassé. Kev me persuade d'accepter en me disant qu'il me va même mieux qu'à lui. C'est vrai que l'or ressort bien sur ma peau un peu trop bronzée.
Pendant le retour à l'appartement, j'ai beau faire un effort je finis par ne pouvoir retenir l'émerveillement que je ressens à parcourir le Paris des grands monuments. La nuit qui suit ne nous laisse que quelques heures de sommeil. Il m'a éreinté. Je crois bien l'avoir sodomisé autant de fois que lui m'a labouré l'anneau. Je l'avais cru actif pur mais sa rondelle n'était pas à son coup d'essai.
Le dimanche il me propose/impose une balade dans Paris. Le métro c'est assez " spécial " mais avec Kev à mes côtés, je ne crains rien. Je suis comme un gamin et j'ai l'impression que lui aussi. Devant la tour Eiffel, il m'embrasse devant tout le monde puis s'en prend à un type qui nous aurait insultés. J'ai un moment peur que cela ne dégénère mais c'est finalement pour l'autre que cela fini mal puisqu'il préfère partir avec une femme vulgaire à son bras. Dans les escaliers qui montent au 3ème, je sème Kev qui me rejoint en soufflant. Cela ne m'empêche pas de lui rouler un patin tellement je suis content. Apres avoir vu Paris d'en haut, nous nous faisons draguer à la terrasse du café du Louvre par 2 bataves femelles en chaleurs. Kev les détrompe en me roulant une nouvelle pelle. On se sépare en riant tous les 4 de leur méprise. Pris par l'ambiance détendue que Kev a su faire naitre entre nous, je loupe mon train. Alors que je vais pour m'affoler, Kev minimise le fait et même si je le presse, il me calme et j'arrive à prendre le train suivant. Je suis gêné qu'il se soit cru obligé de m'accompagner à la gare.
Dès que le train démarre, j'appelle Sasha pour le prévenir. Evidemment ce n'est pas grave pour lui. Je travaille jusqu'à l'arrivé.
Alors qu'il me prend dans ses bras et me claque une bise sur les joues, il note tout de suite le bracelet qui orne mon poignet.
Comme je le vois essayer de le retirer et que plus il essaye et moins il y arrive, je lui suggère du savon mais qu'il est tout à fait en droit de le garder. Les cadeaux d'Henri sont toujours de valeur et je lui montre ma voiture, 50% provient de ses largesses. J'ajoute que l'or donne un joli reflet à sa peau et lui dit que quand il se fera poser son piercing au téton, cela sera raccord. Je lui demande s'il a pensé à un animal à placer à l'opposé du tigre. Comme rien ne vient je lui propose une tête de jaguar, un animal de la forêt amazonienne. Le noir pourrait être réalisé avec des émaux ou un travail de l'or différent.
Il m'écoute et de dit rien.
Je le revois le mardi soir pour la séance " sport ". Il porte toujours son jonc en or. Je lui demande s'il l'avait ôté depuis Paris. Il me répond que non seulement il l'avait remonté et coincé sur son avant-bras sous ses chemises pour ne pas avoir de question chez lui. Echauffements, musculation, Jona voudrait le voir plus large. Il estime que quelques cm de plus de tout de poitrine seraient du plus bel effet. Ce n'est que pour son combat qu'il le retire.
Je le regarde combattre. Avec João il adopte naturellement un style coulé très esthétique. Je demande à François de remplacer notre brésilien. Le combat gagne en efficacité. Sosthène se retrouve plus souvent à terre mais il progresse vite. Je suis plus particulièrement les deniers arrivés. L'émulation qui règne les booste et avec le régime préconisé par Jona, les semaines qui passent voient leurs carrures s'élargir et la balance accuser des prises de muscle intéressantes. Je vais devoir équiper la serre de postes supplémentaires de musculation. Le second étage commence à être un peu petit et comme je ne compte pas étaler les jours d'ouverture générale, c'est la seule solution. La terrasse autour de la grande piscine est tout à fait propice à recevoir une douzaine de poste sur les 25m de long.
Ils se donnent tous à fond. Mes " médecins " qui n'arrivent qu'à venir qu'une séance sur deux sont en meilleurs forme qu'à leur embauche. Même une fois par semaine, cela les sort de leurs bouquins et ils sont plus équilibrés ! De plus, ils ont acquis maintenant un niveau suffisant pour maitriser n'importe quelle brute épaisse qui essayerait de passer en force. Certains ont déjà eu recours à leurs nouvelles compétences pour maitriser des excités avant qu'ils ne deviennent trop méchants. Les urgences voient passer une faune assez hétéroclite.
Je suis obligé de calmer mes clients. Depuis que les fiches de João et de Sosthène sont apparues sur mon site privé de réservation, ils reçoivent jusqu'à 5 demandes par semaine. Alors qu'ils ne sont plus " primo-prestation ", certains clients n'hésitent pas à proposer un règlement supplémentaire pour avoir leur compagnie prioritairement. Cela se fait sans préjudice pour mes autres escorts qui performent bien. Le chiffre d'affaire de ma société, sans même compter la part Espagnole ne cesse de monter et avec une progression à 2 chiffres, je participe bien à l'effort national. Pas de licenciements chez moi !
Question placements, André (mon banquier et celui des comptes " escort " de mes employés) s'en charge personnellement. Même si la façade officielle est irréprochable, il préfère ne pas confier mon dossier à un collaborateur. De plus ça l'amuse d'optimiser au mieux les avoirs de mes équipiers.il n'est pas mauvais à ce petit jeu et ses résultats sont souvent proches des deux chiffres eux aussi.
Il me faut 2 semaines pour équiper le jardin de deux nouveaux postes de développé couché, un de développé incliné, une gamme de paires d'altères de 10 à 34 Kg avec trois bancs à inclinaison variable, un poste papillon/oiseau et une chaise romaine avec option traction. J'achète aussi une tour 4 postes pour y travailler les dorsaux, et les bras plus une presse à jambes. Ils me sont livrés et posés. Les installateurs sortent de chez moi un peu cassés même s'ils faisaient honneur à la société. S'il n'y avait les palmiers et les plantes grasses, la cour ressemblerait à une véritable salle de sport. Surtout que de l'autre côté de la piscine j'ai installé pas loin de 50m² de tatami, que l'on puisse s'entrainer à plus de deux à la fois.
Quand mes Escorts découvrent les nouvelles installations, ils sont ravis. Parfois les attentes pour se partager un poste dépassaient des 2mn. Jona, lui, se demandait bien comment il allait pouvoir gérer les exercices de tous. Il a passé une soirée à réorganiser les passages sur les postes en intégrants les nouveaux. Et chacun reçoit sa nouvelle feuille de travail en conséquence. Ric passe voir mon installation. Alors qu'il venait de temps à autre s'entrainer avec nous, il avait cessé faute de place. La nouvelle installation lui plait bien. Sosthène et João qui font sa connaissance sont impressionnés par la masse musculaire qu'il a développée. C'est le plus hypertrophié de nous tous mais comme il a tout travaillé, le résultat est très harmonieux.
Mes premiers Asiatiques
Je recrute aussi les deux asiatiques qui étaient sortis des listes. Lâm et Khang, ils sont amis mais pas petits amis. Ce sont deux français d'origine vietnamienne. Petits formats, 1m70 et 1m72, légers et peu musclés. Ils vont détoner par rapports à mes autres Escorts mais c'est l'idée préconçue que nous en avons et que mes clients vont attendre. Cheveux noir, raides et courts ils sont le parfait physique asiatique.
Je les aborde alors qu'ils sont en train d'écluser un demi dans le bar à coté de leur Fac de langues. Je m'assois à leur table et dit les avoir remarqué et qu'ils seraient idéaux pour le travail d'Escort que ma société propose. J'ajoute rapidement que ma société propose les services de traducteurs mais pas dans les langues asiatiques. Avant qu'ils n'aient réagis, je leur demande quelles langues ils parlent. Alors que l'un me demande qui je suis, l'autre me répond déjà. Ils parlent vietnamien, le mandarin et le cantonais aussi. Le second en même temps me demande ce que je leur veux et qui je suis. Je remercie le premier et réponds au second. Etat civil, nom de ma société, prestations proposées. Je précise officielles. Là je les intrigues avant qu'ils ne comprennent le sous-entendu. En bons homos coming-outés, ils me préviennent qu'ils ne sont pas intéressés par les femmes. Du tac au tac, je leur dis que cela tombe bien la majeur partie de mes clients le sont aussi. Rapidement je leur donne une idée du revenu mensuel qu'ils seraient à même de se faire. Avec des parents immigrés et aux revenus modestes, ça les interpelle évidemment. En cité U, le dossier que j'ai sur eux m'a informé qu'ils ne mangent même pas au Restau-U.
Celui qui m'avait répondu me demande des précisions. L'autres est plus circonspect. J'entre dans les détails, leur explique que j'ai déjà 23 escorts réguliers qui travaillent pour moi. Je leur dis qu'ils ont bien compris la partie non décrite du travail et que c'est bien par elle qu'ils peuvent se faire de tels salaires. J'explique ma stratégie de diversification ethnique et ajoute que cela passe aussi par des stéréotypes. Ils se doutent bien de celui qui est accroché à leurs basques. Le plus expansif acquiesce car c'est souvent pour cela qu'ils sont dragués. Je leur demande si c'est contre leurs penchants ? Il rit et me dit que j'ai du pot, qu'ils rentrent tous les deux pile-poil dans l'imagerie. Ils n'aiment rien moins que de se faire défoncer grave. Je leur demande s'ils iraient jusqu'à montrer les mêmes stéréotypes de soumissions que leurs cousins de l'est. La réponse est immédiate, si c'est ce qui est demandé par le client alors ils peuvent s'adapter. Je me tourne vers le moins disert. Il opine de la tête. Quand je leur demande s'ils sont partants alors, j'ai droit à 2 oui très nets.
Je leur demande de passer à l'adresse de ma carte que je leur donne. On se fixe le lendemain fin d'après-midi.
En bons petits soldats, ils sont devant la porte à 18h pile. Je les fais entrer et nous montons au premier. Ils sont captivés par la frise de mon bureau (photographies de mes escorts). Le plus bavard me dit qu'il comprend alors mon besoin de diversification. Je remplis leur dossier avec les renseignements qui me manquaient. Notamment la taille de leurs sexes. Avec 15x4 et 14x3, ils ne se situent pas dans le haut du tableau. Quand ils se mettent à poil, je leur dit que c'est trop fourni autour ! Ça ne leur pose pas de problème de tailler là. En sport ils vont faire plaisir à Jona avec leur pratique de la boxe Thaï. Je les emmène à la salle de bain et en chemin explique le fonctionnement de l'étage entièrement dédié à la société, chambres et dressing aussi. Je les guide dans l'élagage de leur pilosité et ils en sortent parfaits. Nous finissons le dossier. Je leur donne l'adresse du labo dans lequel ils vont devoir se faire analyser. Il comprenne la démarche même si je leur dis que toutes les relations se font sous kpote. Je note scrupuleusement leurs tailles et mensurations. Je vais devoir acheter en urgence de quoi couvrir leurs fesses. Je n'ai que Maxou dans leurs dimensions et n'ai pas un très gros stock en sous-vêtements. Surtout que quand ils essayent un des ES que j'ai pour lui, c'est juste une taille trop grande !! Mon magasin de vêtement va ramer aussi pour leur trouver des costumes et smokings. Comme ils ne vont commencer probablement qu'avec des contrats " sexe ", j'aurai le temps de les équiper.
Alors que le plus ouvert contourne le bureau pour tenter de me montrer comment il est dans la baise, je le retiens. Moi qui, d'habitude, saute sur tout ce qui bouge, je suis bloqué devant eux. Je suis le premier surpris, c'est une réaction que je n'avais encore jamais eu encore. Je m'en excuse et leur dit que j'aurais un spécialiste le WE prochain pour les tester. Là, je pense à Marc qui se fera un plaisir de les formater comme leurs homologues restés au pays. D'ici là, ils ont juste le temps de passer dès le lendemain au labo pour avoir les résultats vendredi.
Sans être pour autant vexés, ils acceptent le plan.
Samedi Après-midi :
Marc est prêt, je lui en avais déjà parlé et il attend avec impatience de voir quelles sont les différences avec les petits mecs qu'il culbute habituellement et ce qu'il va devoir leur apprendre. Il m'a demandé d'intégrer Hervé qui commence lui aussi à avoir une bonne expérience de leurs " pratiques ". Du coup Ernesto est arrivé pour le WE. Après tout, il n'y a pas de raisons que seuls nos " vieux " soient à la fête !
Mes deux recrues arrivent à l'heure convenue. Je vois qu'ils se sont préparés. Leurs vêtements sont plus près du corps, ils sentent discrètement le parfum.
Je les conduis au premier où je leur présente Marc et Hervé. La suite est ce que je vais voir sur les caméras qui équipent l'étage.
Ils entrent tous les 4 dans une des grandes chambres de l'étage. Lâm et Khang savent surement qu'ils doivent se faire serviables. Ils commencent par déshabiller nos deux quadras, prenant soin de bien plier les vêtements avant de venir en retirer un autre. Une fois nos hommes nus, ils les font se coucher sur le lit en ayant pris soin de placer sous eux des draps de bains présents sur la commode. Ils tirent de leurs sacs à dos des huiles et s'en servent pour les détendre et les masser. Je les vois s'écarter le temps de se mettre nus eux aussi avant de reprendre le massage. A ce stade, ils chevauchent les cuisses de leur " patients " et massent leurs dos avant de descendre sur les fessiers. Une fois replacés à genoux entre les cuisses écartés de Marc et d'Hervé, je peux les voir masser la rondelle et le périnée de leurs victimes. Quand ils les font se tourner sur le dos, je remarque que leurs derniers massages ont eu des effets. Les bites de nos deux Mâles sont raides ! Là, pas d'huile mais de la salive. Je les vois pomper à poser leurs nez sur les abdos de Marc et Hervé. Ils ont l'air de bien se débrouiller et j'entends Marc approuver. Après quelques minutes de suce, ils remontent manger les tétons tout en frottant leurs petits pecs contre les sexes qu'ils viennent d'abandonner. C'est finalement très bandant la différence de format entre eux et nos hommes. Alors que seul avec eux, je n'avais pas eu d'excitation, là, à les mater, je bande !
Sur l'ordre de Marc, ils enfilent les kpotes sur les bites qui vont les défoncer. En fait je vois Marc et Hervé rester sur le dos et les deux petits nouveaux s'assoir sur leurs queues. Ils bossent bien et leurs cuisses fines ont de la résistance ! Ils s'échangent leurs axes de va et vient et reprennent leurs fonctions de branlage par sphincter anal. J'entends les commentaires que s'échangent Marc et Hervé. Ils ont l'air assez content de la soumission de mes deux asiatiques. Hervé dit même que c'est assez proche de ce qu'il trouve sur place. Marc est d'accord. Ils ont apprécié le massage préliminaire, très bien réalisé.
Je récupère le quatuor après leurs douches pour faire un débriefing. Mes deux hommes sont d'accord pour dire qu'ils se sont très bien débrouillés. L'attente que l'on peut avoir concernant un jeune asiate est bien comblée par leur façon de faire. Lâm m'explique que sa mère est masseuse et ajoute tout de suite, de peur qu'on se méprenne, mais sans sexe.
Comme ils ont réussi leurs examens de passage, je leur annonce qu'ils seront proposés à la clientèle dès la semaine suivante. Comme ils n'ont pas encore le permis, ils se déplaceront en taxi le temps de le passer. C'était une question d'argent qui sera vite réglé dès leur première prestation.
Jardinier
~~
~~
7 notes
·
View notes
Text
j'ai lu un poème qui parle de toi à une soirée poésie
enfin il parle exclusivement de tes mains
et du fait que tu me faisais l'effet des basses
je te vouvoyais dans le poème
je me disais que ça toucherait plus les gens
et que ça te ressemblait
puis
puis j'avais oublié de réécrire la première phrase
où je te tutoyais
et alors que j'étais là
un peu tremblotante devant l'assemblée
et moi qui voulait donner un ton de flux tendu à mon poème
pour ne pas nous déstabiliser j'ai
tout changé
j'ai mis des toi des tu partout
je t'ai mis partout
quand j'appuyais mon regard dans celui des autres poètes du public
et puis
quand je me suis assise
tremblotante
après le poème
je regrettais de trembler
parce que je pensais pouvoir dire le poème mieux que ça
dans l'énergie et la voix
et puis Hervé m'a demandé si tu savais que j'avais écris ce poème pour toi, alors qu'il ne te connaissait pas
j'ai dit que non
je me suis imaginée avec toi dans un café un sourire aux lèvres te dire au fait je t'aime et aussi j'ai écrit un poème sur tes mains alors j'ai dit à Hervé
un jour, peut-être il m'a demandé si je comptais lui déclamer un jour
là je nous ai imaginé tous les deux dans l'intimité qu'on savait créer dans la bulle que tu savais créer je nous ai imaginé rosi et riant incapables de tenir en place et je te dirais j'aimerais te déclamer mon poème si tu veux bien et tu me dirais je ne sais pas mais un autre jour tu me dirais je veux bien l'entendre et alors il fera nuit je ne te verrai presque pas mais je sentirais toute l'énergie forte qui émane de nous cet amour puissant et on rigolerait beaucoup j'ai dit à Hervé
un jour, peut-être
je me suis dit peut-être que les poètes peuvent dire les choses que personnes n'osent dire aux gens qu'ils aiment et que si je peux devenir un peu spéciale avec ça, alors je serai rassurée.
8 notes
·
View notes
Text
[The sea shall be like magic between us.]
IX - Nuit sans fin
La dernière conversation avec Christina, où je lui avais dit que j'avais utilisé les toilettes du Café d'Auteur, un café fermé depuis cinq ans, avait été un avertissement. Sans parler des huit heures que j'avais complètement bloquées, pendant lesquelles je lui avais apparemment demandé de rechercher d'éventuels liens entre Leonora Carrington et Italo Calvino. Des cartes de tarot, des chansons codées, des cartes du monde étranges trouvées sur des sites web encore plus étranges ? Euphémie ? Je perdais la tête.
Les mois passèrent et la vie reprit son cours normal. Trop de travail, trop de télévision, trop de consommation de nouvelles (qui devenaient de plus en plus déprimantes chaque jour). Le monde fascinant de Leonora et ce jeu (ou quoi que ce soit) était une tentation constante. Une évasion de la monotonie. Mais ça avait aussi un air de danger et j'ai donc réussi à résister à l'envie.
En février, j'ai pris l'Eurostar pour voir un ami à Londres. Et chaque fois que je suis à Londres, on va à Tate Modern, cet incroyable musée de la couverture de l'album Pink Floyd. L'expo cette fois ? "Le surréalisme au-delà des frontières", mettant en évidence l’ œuvre de Carrington. Bien sûr. Mon ami avait déjà acheté des billets et j'étais sûr que le jeu ne me suivrait pas à Londres. Donc, hop, on est parti.
L'expo était incroyable et consistait en des peintures d'artistes avant-garde un peu moins connus, comme Erna Rosenstein, Dédé Sunbeam, Ikeda Tatsuo, Hector Hyppolite, Eugenio Granell, Giorgio de Chirico et Remedios Varo. C'était comme passer d'un rêve étrange à un autre.
En particulier, les peintures de Leonora étaient fascinantes. L'expo présentait plusieurs de ses tableaux, dont sa toute première, intitulée Autoportrait (L'auberge du cheval de l'aube).
Cette peinture est normalement dans le Metropolitan Museum of Art de New York et c'était cool de pouvoir la voir. C'est une scène (en fait, deux scènes si tu comptes ce qui se passe dehors) à la fois très simple et vachement dramatique, à la fois stéréotypé féminin et masculin. Leonora et la Hyène regardent directement le spectateur, reflétant le comportement de l'autre. En fait, Leonora était souvent liée aux Hyènes, disant "je suis comme une hyène, je rentre dans les poubelles, j'ai une curiosité insatiable". La Hyène réunit ici le mâle et la femelle en un tout, métaphorique du monde de la nuit et du rêve. Pour moi, ce tableau est une exploration de soi, le côté sauvage, le côté curieux, le côté qui cherche la liberté.
J'étais là depuis longtemps à regarder le tableau quand une jeune femme est apparue à côté de moi. Au début, on a regardé le tableau en silence, mais après un certain temps, elle m'a posé une question. "Qu'est-ce que vous pensez que c'est, cette tache à côté de la Hyène ?" Franchement, je l'avais à peine remarqué, mais j'ai répondu, "C'est une bonne question, j'ai supposé que c'était juste une erreur qu'elle essayait de cacher ?" "Une hypothèse sûre", a-t- elle répondu. "Bien que… Carrington était apparemment depuis sa plus tendre enfance très fasciné par les aes sídhe, un peuple féerique surnaturel lié à la mythologie celtique des Gaëls à partir des histoires que sa mère, sa grand-mère et sa nounou lui avaient racontées. Peut-être que ce sont eux qui font une apparition."
C'était la première fois que j'entendais ça et j'étais vraiment intéressé à en savoir plus. Elle s'est présentée comme Ester et on a longuement parlé de Carrington, les Tuatha Dé Danann (la mythologie celtique irlandaise) et du surréalisme. Elle possédait une librairie pas trop loin de chez moi et avait clairement plongé dans sa propre marchandise. Quand mon ami réapparu (il avait disparu dans les œuvres d'André Breton), elle m'a donné la carte de visite de sa librairie et m'a dit qu'elle avait un livre qui pourrait m'intéresser. Si je voulais, je pouvais venir à tout moment pendant ma visite à Londres. Je l'ai remercié pour la conversation et lui ai dit au revoir.
J'ai passé un bon moment à Londres, avec beaucoup de cocktails, pâtisseries scandinaves et cuisine indienne. Le dernier jour, j'ai retrouvé la carte de visite pour The Library of Babel que Ester m'a donnée. C'était à proximité. La commodité et ma curiosité m'ont rendu impossible de résister.
Après avoir parcouru les petites rues pendant trente minutes, j'ai finalement trouvé la librairie. Avec un nom si spectaculaire, je ne m'attendais pas à un endroit aussi discret; un petit panneau étant la seule indication de ce qui nous attendait à l'intérieur. Je suis entré et j'ai vu immédiatement livre après livre. Le magasin se composait d'un bureau en bois et d'un nombre apparemment infini de livres empilés au hasard derrière. Je ne pouvais pas comprendre comment quelqu'un pouvait trouver quelque chose là.
Je n'avais même pas remarqué la personne qui était assise au bureau avant qu’il me demande si j'avais besoin d'aide. Je lui ai dit que j'avais reçu une invitation de Ester. Sans même demander mon nom, il dit "Ah oui, Ester a dit qu'elle est désolée de ne pas pouvoir être ici aujourd'hui, mais elle vous a laissé ce livre." Je l'ai remercié et j'ai attrapé mon portefeuille, mais il a immédiatement dit "non, non, pas de soucis".
Une fois à l'extérieur de la librairie, j'ai vu la note attachée au livre, "J'espère que ce livre vous trouvera bien et éclairera le chemin. Que les aes sídhe soient à vos côtés, toujours."
Le livre était intitulé Nuit sans fin et était une sorte de recueil de poésie. Je l'ai feuilleté lentement jusqu'à ce que j'arrive aux deux pages du milieu. Un frisson parcourut ma colonne vertébrale. Là, au milieu du livre, il y avait la même carte que j'ai trouvée sur le site web crypté.
#s11e07 favorites with a twist#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#i tego arcana dei#terra incognita
74 notes
·
View notes