#les cafés de nuit
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Bœuf Bourguignon
Ce ragoût campagnard français classique est parfait pour les mois d'hiver. Copieux, mais pas lourd, il combine les mariages parfaits de légumes d'hiver réconfortants comme les carottes, les oignons et les panais avec la saveur réconfortante du bœuf, du bacon et une touche de cognac. Il se conserve également très bien pour les restes, vous pouvez donc le préparer la veille et le réfrigérer toute la nuit également.
Ingrédients
1 cuillère à soupe d'huile d'olive extra vierge
8 tranches de bacon coupées épaisses
2 livres de bœuf coupé en cubes de 2 pouces
sel au goût
poivre noir au goût
1 gros oignon jaune coupé en dés
2 échalotes coupées en dés
4 gousses d' ail hachées
3/4 lb de carottes pelées et tranchées
1/4 lb de panais pelés et tranchés
1/2 tasse de cognac
1 bouteille de vin rouge sec
2 tasses de bouillon de boeuf
1 cuillère à soupe plus 1 cuillère à café de concentré de tomate
3/4 cuillère à café de feuilles de thym séchées
4 cuillères à soupe de beurre non salé fondu
3 cuillères à soupe de farine
1 lb d'oignons perlés surgelés
1 lb de champignons de Paris bruns coupés en tranches épaisses
1 cuillère à soupe de thym frais coupé en dés
Instructions
Préchauffez le four à 250 degrés. Faites chauffer l'huile dans une grande cocotte ou une marmite allant au four jusqu'à 250 degrés à feu moyen. Ajoutez le bacon et faites-le cuire jusqu'à ce qu'il soit croustillant des deux côtés. Retirez le bacon et réservez-le.
Séchez les cubes de bœuf avec du papier absorbant et saupoudrez-les de sel et de poivre. Faites-les cuire par lots jusqu'à ce qu'ils soient dorés de chaque côté, en veillant à ce qu'ils forment une couche uniforme au fond de la casserole, environ 5 minutes. Retirez-les et réservez-les.
Ajoutez les oignons, les échalotes et l'ail dans la poêle et faites revenir jusqu'à ce qu'ils soient translucides, environ 10 minutes, en remuant toutes les quelques minutes. Ajoutez les carottes et les panais et laissez cuire encore 5 minutes. Ajoutez le cognac et reculez, utilisez une allumette pour l'allumer afin de brûler l'alcool. Lorsque le feu s'éteint, coupez le bacon croustillant en petits morceaux et remettez-le ainsi que le bœuf dans la casserole.
Ajoutez le vin et suffisamment de bouillon de bœuf pour couvrir toute la viande et les légumes. Ajoutez la pâte de tomate et le thym et portez le mélange à ébullition.
Couvrir, retirer du feu et mettre au four pour poursuivre la cuisson pendant 1 heure 15 minutes à 1 heure 30 minutes, ou jusqu'à ce que le bœuf soit tendre et les légumes bien cuits. Retirer du four et remettre sur le feu à feu moyen-doux.
Fouetter ensemble 2 cuillères à soupe de beurre fondu et la farine jusqu'à obtenir une pâte épaisse. Incorporer cette pâte au ragoût jusqu'à ce qu'elle se désintègre, puis ajouter les oignons grelots surgelés.
Dans une casserole de taille moyenne, faites revenir les champignons dans les 2 cuillères à soupe de beurre restantes à feu moyen-élevé jusqu'à ce qu'ils noircissent et deviennent légèrement ridés, environ 6 à 10 minutes. Ajoutez les champignons au ragoût et baissez le feu pour laisser mijoter.
Laissez cuire encore 20 minutes avant de retirer du feu. Salez et poivrez à votre goût, décorez de thym frais et servez immédiatement.
Bon Appétit à toutes et tous ! 😋
Spéciale dédicace pour mon amie @olgaromana avec cette recette bien française ! 😉
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Faire l’amour, ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour.
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
Faire l’amour, c’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.Faire l’amour, c’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
Faire l’amour, c’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Faire l’amour, peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
Faire l’amour, c’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent.
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert », … je désire le repas au complet et surtout le dessert n’est pas indispensable à la fin de chaque repas.
Page La Voie de la Sagesse
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Certaines nuits ont besoin de ces réveils, certaines pensées ont besoin de cette fable. Parce que l'amour sent inévitablement les câlins et le café...
.Luana Valeri
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C'est quoi faire l'amour finalement ??
Ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour...
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
C’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.
C’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
C’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Cela peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
C’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça ! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent...
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert »... je désire le repas au complet et surtout que le dessert, n’est pas indispensable à la fin de chaque repas !
Auteur inconnu
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Le Café de nuit, Vincent van Gogh 1888
"I have tried to express the terrible passions of humanity by means of red and green. The room is blood red and dark yellow with a green billiard table in the middle; there are four lemon-yellow lamps with a glow of orange and green. Everywhere there is a clash and contrast of the most alien reds and greens, in the figures of little sleeping hooligans, in the empty dreary room, in violet and blue. The blood-red and the yellow-green of the billiard table, for instance, contrast with the soft tender Louis XV green of the counter, on which there is a rose nosegay. The white clothes of the landlord, watchful in a corner of that furnace, turn lemon-yellow, or pale luminous green." A letter from Vincent to his brother Theo.
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Since I used to hyperfixate on the french musical "1789 les amants de la bastille" and now am hyperfixating on Les Misérable and they have similar themes i thought i could assign a Les mis song to each Les amants de la Bastille song (expect for "sur ma peau" and "je veux le monde" nothing got the vibe or them for them) based on similar vibes and/or themes
Le cri de ma naissance - Drink with me
Je mise tous - Beggars at the feast
Au Palais Royal/Les protituées - Lovely ladies AND Paris/Look down
La nuit m'appelle - i dreamed a dream
Tomber dans ses yeux - In my life
Maniaque - Stars
La sentence - on my own
Hey ha - ABC café/red and black
La guerre pour se plaire/Le dauphin - A heart full of love
La rue nous appartient - The barriquade
A quoi tu danse ? - ABC Café/red and black (again)
Je suis un dieu/Le cauchemar - maitre thenardier
Ca ira mon amour - Do you hear the people sing
Nous ne somme - The final battle
Je vous rend mon âme - a little bit of rain
La prise de la bastille - The second attack
Fix/ les droits de l'homme - Turning
Pour la peine - Empty chairs at empty tables
Pour un nouveau monde - Little people
Fille et femmes à la fois - At the end of the day
Allez viens (c'est bientôt la fin) - epilogue
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Vincent van Gogh, The Night Café, Watercolor painting, Arles, September, 1888
Vincent van Gogh, The Night Café (Le Café de nuit), Oil on canvas, 1888
Paul Gauguin, Night Café at Arles, 1888
#vincent van gogh#paul gauguin#french artist#french painter#dutch artist#dutch painter#dutch painting#dutch art#french art#billiards#pool#billiard room#pool hall#art on tumblr#aesthetic#beauty#modern art#art history#tumblr art#tumblrpic#tumblrpictures#aesthetictumblr#tumblraesthetic
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Je dors la nuit sans me reposer je gobe des anxiolytiques pour un air détendu sur mon visage j’ai les ongles rouges et les cheveux au plus court j’ai vingt-quatre ans dans neuf jours et rendez-vous avec un éditeur dans cinq jamais aussi proche de ce que j’ai espéré et jamais autant de vide de néant et d’absurde confortable je sais simuler les joies on me dit comme ça fait plaisir de te voir heureuse et je rentre en pleurant je vais à l’hôpital de jour deux fois par semaine aucun traitement ne fonctionne bientôt ça sera le centre expert à ce qu’on me dit on ne veut pas de moi mais on ne me rejette pas alors je reste encore je suis le cauchemar d’une femme et une femme est mon cauchemar alors qu’on ne connaît même pas nos prénoms je laisse tout faire je n’ai plus que cinq pages de mémoire et la bibliographie à écrire je prends des cafés avec mon directeur de recherches j’hésite à faire une thèse j’hésite à vivre deux fois quand je peine à vivre un demi et tout le monde me dit comme tu vas bien ça fait plaisir à voir je suis figée d’être un fantôme ma parole ne veut plus rien dire on en a marre on fatigue on me tue peu à peu je ne me lie de rien et je sens la douleur on me dit ça fait bien longtemps que tu nous dis des atrocités tu peux tenir encore un peu
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Il est 18h, vous entendez l’appel au centre bourg du shérif, diffusé sur les hauts parleurs, la sonnerie qui a dû servir d’alerte incendie il y a peut-être des décennies vous appelle à tous rentrer chez-vous.
C’est le deuxième et dernier rappel que la nuit va tomber, les adjoints et le shérif sont passés auparavant dans les rues en interpellant les gens qu’il était l’heure de ranger et se préparer pour la nuit. Vous accélérez le pas, vous n’êtes pas sûr d’atteindre la maison à temps – à trop vous presser, vous sentez que de votre sac tombe votre gourde (vous notez que c’est devant le diner, mais ne vous retournez pas pour la ramasser, elle sera là – peut-être – demain).
Vous n’auriez pas dû vous arrêter pour boire un dernier café avec Paul et Emily, et vous sentez votre cœur battre plus fort, autant par le rythme imposé que par le bonheur de voir qu’on vous attend à la porte.
Elle se referme derrière-vous et tout le monde se prépare pour la nuit, la mécanique est rodée, qui va cacher les fenêtres, qui s’assure que toutes les ouvertures sont fermées, qui vérifie que les talismans sont bien à leurs places.
« Chérie, tu ne vas pas me laisser dehors, c’est moi. »
Tous les regards se sont détournés de la fenêtre.
Bienvenue à Derry, petite ville d’une centaine d’âmes – au dernier recensement. Il y fait bon vivre, selon certains, la nourriture y est bonne, fraiche, les gens s’entraident, tout le monde est accueillant - tant qu’on peut vous voir à la lumière du jour. De toute façon, on ne quitte pas Derry – il n’y a aucune barrière, ne vous inquiétez pas. Il n’y a juste pas de sortie.
Vous pouvez suivre l'avancement du projet juste ici ou nous suivre directement pour ne rien rater ! ❤
#forumactif#french rpg#rpg français#forum rpg#projet rpg#rpg francophone#midwestern gothic#southern gothic
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Lectures 2024
A lire
L'assassin royal - Époque 1, Robin Hobb
Jusqu'au bout de la peur, Geoffrey Moorhouse
Batman, Année un, Frank Miller, David Mazzucchelli
La Passe-miroir, Livre 1, Christelle Dabos
Petit traité des grandes vertus, André Comte-Sponville
Le clan des Otori, tomes 4 et 5, Lian Hearn
La patience des traces, Jeanne Benameur
Arbos Anima 3,4 et 5
Donjon
Kafka sur le rivage, Murakami
Chroniques de l'oiseau à ressort, Murakami
1q84, tomes 2 et 3, Haruki Murakami
La danse des damnées, Kiran milwood hargrave
Rocky, dernier rivage, Thomas Gunzig
Les déraisons, Odile d'Outremont
Envol, Kathleen Jennings
Fables livre 1, Bill Willingham et Mark Buckingham
Un apprentissage ou le livre des plaisirs
La belle famille, Laure de Rivières
Le fardeau tranquille des choses, Ruth L. Ozeki
L'été où tout a fondu, Tiffany Mc Daniel
Et toujours les forêts, Sandrine Collette
Une bête au paradis, Cécile Coulon
Le livre d'Eve, Meg Clothier
L'heure du retour. Christopher M. Hood
La femme gelée, Annie Ernaux
Lus: (les tags ci dessous pour retrouver mon petit mot pour chaque livre)
1. Tant que le café est encore chaud, Toshikazu Kawaguchi ⭐⭐⭐⭐ - 01/01
2. Prométhée et la boîte de Pandore, Luc Ferry (BD) ⭐⭐ - 17/01
3. La maison aux sortilèges, Emilia Hart. ⭐⭐⭐⭐⭐ - 21/01
4. Le chant d'Achille, Madeline Miller. ⭐⭐⭐⭐⭐ - 25/02
5. Accident de personne, Florence Mendez. ⭐⭐⭐⭐⭐ - 27/02
6. L'été de la sorcière, Nashiki Kaho ⭐⭐⭐⭐⭐ - 08/03
7. 10000 litres d'horreur pure, Thomas Gunzig ⭐⭐⭐⭐⭐ - 09/03
8. Les jolis garçons, Delphine de Vigan ⭐⭐⭐⭐ - 14/03
9. Là où les arbres rencontrent les étoiles, Glendy Vanderah ⭐⭐⭐⭐⭐ - 24/03
10. Patients, Grand Corps Malade. ⭐⭐⭐⭐ - 20/04
11. Le passage de la nuit, Murakami ⭐⭐⭐⭐ - 29/04
12. Un miracle, Victoria Mas ⭐⭐⭐⭐⭐ - 12/05
13. Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo ⭐⭐⭐⭐⭐ - 20/05
14. Acide sulfurique, Amélie Nothomb ⭐⭐⭐⭐⭐ - 30/05
15. Croire aux fauves, Nastassja Martin ⭐⭐⭐⭐ - 31/05
16. La clarté de la Lune, Lian Hearn ❤️❤️❤️❤️❤️ - 02/07
17. Mon mari, Maud Ventura. ⭐⭐⭐⭐⭐ - 21/07
18. J'étais là avant, Katherine Pancol ⭐⭐⭐⭐ - 31/07
19. Au prochain arrêt, Hiro Arikawa ⭐⭐⭐⭐ - 04/08
20. Réparer les vivants, Maylis de Kerangal ⭐⭐⭐⭐⭐- 24/08
21. Les papillons, Barcella. ⭐⭐⭐- 01/09
22. L'homme coquillage, Asli Erdogan ⭐⭐⭐⭐⭐ - 12/09
23. Autopsy, Sophie Buyse. ⭐⭐⭐ - 17/10
24. Morphine, Mikhaïl Boulgakov. ⭐⭐⭐⭐ - 19/10
25. Le jeune homme, Annie Ernaux ⭐⭐⭐⭐⭐ - 20/10
26. Tout le bleu du ciel, Roman graphique d'après le roman de Melissa da Costa ⭐⭐⭐⭐ - 20/10
27. Antigone, Anouilh. ⭐⭐⭐⭐ - 11/11
28. Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, E.E. Schmitt. ⭐⭐⭐ - 14/11 #fleurs #j'ai mis trop de hashtags
#livres 24#livres 23#livres 22#café#pandore#sortilèges#Achille#accident#été#horreur pure#garçons#étoiles#patients#nuit#miracle#condamné#acide#fauves#clarté#mari#avant#arrêt#vivants#papillons#homme coquillage#autopsy#morph#jeune homme#bleu#Antigone
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Recette du meilleur Cheesecake New-yorkais aux fraises ultra crémeux et onctueux avec une base croustillante de biscuits, un succulent gâteau au fromage made in USA savoureux, frais et soyeux, ultra facile et simple à préparer.
Pour la base aux biscuits :
200 gr de biscuit type sablés breton petit beurre ou spéculos
80 gr de beurre fondu
Pour l’appareil à cheesecake au cream cheese :
600 gr de fromage à la crème Philadelphia ou St-Moret
175 gr de sucre
300 gr de crème fraiche
200 ml de crème liquide entière
3 oeufs
3 cuillères à soupe de fécule de maïs
1/2 cuillère à café de vanille en poudre ou 1 cuillère à soupe liquide
2 cuillères à soupe de jus de citron
Pour le coulis de fraises :
250 gr de fraises
55 gr de sucre
8 gr de sucre vanillé
2 cuillères à soupe d’eau
1 cuillère à soupe de jus de citron
Des fraises fraiches pour garnir
INSTRUCTIONS
Dans un saladier, mélanger les biscuits (réduits en poudre dans un robot hachoir) avec le beurre fondu et refroidi.
Verser ce mélange dans un moule à charnière de 20 centimètre de diamètre (beurré et chemisé de papier cuisson) et tasser les miettes en appuyant avec la base d’un verre ou le dos d’une cuillère afin de former une couche assez compacte. Réserver le moule dans le réfrigérateur.
Fouetter le fromage à la crème (le sortir 30 minutes du réfrigérateur avant la préparation)avec le sucre puis ajouter la crème fraiche et continuer à fouetter. Ajouter la crème liquide et mélanger encore à vitesse moyenne jusqu’à obtention d’une consistance lisse et homogène.
Incorporer les oeufs un par un tout en continuant à fouetter puis ajouter la fécule de maïs, le jus de citron et la vanille et mélanger jusqu’à complète incorporation.
Verser la crème sur la base de biscuits préalablement préparée puis la lisser à l’aide d’une spatule. Couvrir la base du moule de papier aluminium puis le déposer dans un plat allant au four en y ajoutant un fond d’eau (cuisson bain-marie).
Enfourner dans un four préchauffer à 180° C pendant 30 minutes, puis réduire la température du four à 150 ° C et continuer la cuisson pendant 40 à 50 minutes.
Une fois cuit, éteindre le four et laisser le Cheesecake à l’intérieur pendant environ une heure.
Sortir le Cheesecake du four, laisser refroidir un peu, puis le mettre au réfrigérateur pendant toute une nuit jusqu’à ce que la garniture soit bien ferme et froide.
Préparer le coulis de fraises; dans une casserole, mettre les fraises fraîches ou surgelées, le sucre, le sucre vanillé, le jus de citron et l’eau laisser cuire à feu doux pour environ 10 à 15 minutes tout en remuant régulièrement, écraser les fraises à la fourchette puis ou mixer les (la consistance obtenue doit être nappante).
Servir le cheese cake accompagné de coulis de fraises bien froid et des fraises fraiches découpées en deux .
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Encore deux minutes et le café sera prêt ! En attendant, on laisse nos rêves de la nuit s'emparer de notre journée, dans l'espoir de les voir se réaliser !
Laissons-nous cafeiner de force et de courage, pour que cette journée nous semble la plus aromatiser de la "joie de vivre et d'aimer", partout et tout autour de nous !
Bonne dégustation à toutes et tous ! ☕️
#au-jardin-de-mon-coeur✒️
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Il est sept heures du matin, les ombres s'éveillent, Odeur de café noir, rêves en décombres, Débordement insensé, le cœur en sommeil, Une couche de terre où nos âmes sombrent. Mes poumons brûlent, éclats de nuits sans fin, Dogmes nouveaux pour apaiser l’invisible, Je pars rejoindre l'oiseau de nuit malin, Dans sa maison au brouillard indélébile. Poison léger, fluide rubis en transe, Corps céleste filant, au ciel désenchanté, Jamais lassé par tes mots, sombre danse, De mon cœur vagabond, corridors hantés. Ta présence comble les vides infinies, Quel est ce masque que tu donnes à l'amour ? Le train ralentit derrière les monts ternis, Veux-tu m’accompagner dans mes vices pourpre ?
#writer#ecriture#creative writing#creativity#mood#mood today#writing#writing life#french poetry#sentimental#poetry#poetic#original poem#poems on tumblr#poems and poetry#romantic#lovers
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j'ai lu un poème qui parle de toi à une soirée poésie
enfin il parle exclusivement de tes mains
et du fait que tu me faisais l'effet des basses
je te vouvoyais dans le poème
je me disais que ça toucherait plus les gens
et que ça te ressemblait
puis
puis j'avais oublié de réécrire la première phrase
où je te tutoyais
et alors que j'étais là
un peu tremblotante devant l'assemblée
et moi qui voulait donner un ton de flux tendu à mon poème
pour ne pas nous déstabiliser j'ai
tout changé
j'ai mis des toi des tu partout
je t'ai mis partout
quand j'appuyais mon regard dans celui des autres poètes du public
et puis
quand je me suis assise
tremblotante
après le poème
je regrettais de trembler
parce que je pensais pouvoir dire le poème mieux que ça
dans l'énergie et la voix
et puis Hervé m'a demandé si tu savais que j'avais écris ce poème pour toi, alors qu'il ne te connaissait pas
j'ai dit que non
je me suis imaginée avec toi dans un café un sourire aux lèvres te dire au fait je t'aime et aussi j'ai écrit un poème sur tes mains alors j'ai dit à Hervé
un jour, peut-être il m'a demandé si je comptais lui déclamer un jour
là je nous ai imaginé tous les deux dans l'intimité qu'on savait créer dans la bulle que tu savais créer je nous ai imaginé rosi et riant incapables de tenir en place et je te dirais j'aimerais te déclamer mon poème si tu veux bien et tu me dirais je ne sais pas mais un autre jour tu me dirais je veux bien l'entendre et alors il fera nuit je ne te verrai presque pas mais je sentirais toute l'énergie forte qui émane de nous cet amour puissant et on rigolerait beaucoup j'ai dit à Hervé
un jour, peut-être
je me suis dit peut-être que les poètes peuvent dire les choses que personnes n'osent dire aux gens qu'ils aiment et que si je peux devenir un peu spéciale avec ça, alors je serai rassurée.
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[The sea shall be like magic between us.]
IX - Nuit sans fin
La dernière conversation avec Christina, où je lui avais dit que j'avais utilisé les toilettes du Café d'Auteur, un café fermé depuis cinq ans, avait été un avertissement. Sans parler des huit heures que j'avais complètement bloquées, pendant lesquelles je lui avais apparemment demandé de rechercher d'éventuels liens entre Leonora Carrington et Italo Calvino. Des cartes de tarot, des chansons codées, des cartes du monde étranges trouvées sur des sites web encore plus étranges ? Euphémie ? Je perdais la tête.
Les mois passèrent et la vie reprit son cours normal. Trop de travail, trop de télévision, trop de consommation de nouvelles (qui devenaient de plus en plus déprimantes chaque jour). Le monde fascinant de Leonora et ce jeu (ou quoi que ce soit) était une tentation constante. Une évasion de la monotonie. Mais ça avait aussi un air de danger et j'ai donc réussi à résister à l'envie.
En février, j'ai pris l'Eurostar pour voir un ami à Londres. Et chaque fois que je suis à Londres, on va à Tate Modern, cet incroyable musée de la couverture de l'album Pink Floyd. L'expo cette fois ? "Le surréalisme au-delà des frontières", mettant en évidence l’ œuvre de Carrington. Bien sûr. Mon ami avait déjà acheté des billets et j'étais sûr que le jeu ne me suivrait pas à Londres. Donc, hop, on est parti.
L'expo était incroyable et consistait en des peintures d'artistes avant-garde un peu moins connus, comme Erna Rosenstein, Dédé Sunbeam, Ikeda Tatsuo, Hector Hyppolite, Eugenio Granell, Giorgio de Chirico et Remedios Varo. C'était comme passer d'un rêve étrange à un autre.
En particulier, les peintures de Leonora étaient fascinantes. L'expo présentait plusieurs de ses tableaux, dont sa toute première, intitulée Autoportrait (L'auberge du cheval de l'aube).
Cette peinture est normalement dans le Metropolitan Museum of Art de New York et c'était cool de pouvoir la voir. C'est une scène (en fait, deux scènes si tu comptes ce qui se passe dehors) à la fois très simple et vachement dramatique, à la fois stéréotypé féminin et masculin. Leonora et la Hyène regardent directement le spectateur, reflétant le comportement de l'autre. En fait, Leonora était souvent liée aux Hyènes, disant "je suis comme une hyène, je rentre dans les poubelles, j'ai une curiosité insatiable". La Hyène réunit ici le mâle et la femelle en un tout, métaphorique du monde de la nuit et du rêve. Pour moi, ce tableau est une exploration de soi, le côté sauvage, le côté curieux, le côté qui cherche la liberté.
J'étais là depuis longtemps à regarder le tableau quand une jeune femme est apparue à côté de moi. Au début, on a regardé le tableau en silence, mais après un certain temps, elle m'a posé une question. "Qu'est-ce que vous pensez que c'est, cette tache à côté de la Hyène ?" Franchement, je l'avais à peine remarqué, mais j'ai répondu, "C'est une bonne question, j'ai supposé que c'était juste une erreur qu'elle essayait de cacher ?" "Une hypothèse sûre", a-t- elle répondu. "Bien que… Carrington était apparemment depuis sa plus tendre enfance très fasciné par les aes sídhe, un peuple féerique surnaturel lié à la mythologie celtique des Gaëls à partir des histoires que sa mère, sa grand-mère et sa nounou lui avaient racontées. Peut-être que ce sont eux qui font une apparition."
C'était la première fois que j'entendais ça et j'étais vraiment intéressé à en savoir plus. Elle s'est présentée comme Ester et on a longuement parlé de Carrington, les Tuatha Dé Danann (la mythologie celtique irlandaise) et du surréalisme. Elle possédait une librairie pas trop loin de chez moi et avait clairement plongé dans sa propre marchandise. Quand mon ami réapparu (il avait disparu dans les œuvres d'André Breton), elle m'a donné la carte de visite de sa librairie et m'a dit qu'elle avait un livre qui pourrait m'intéresser. Si je voulais, je pouvais venir à tout moment pendant ma visite à Londres. Je l'ai remercié pour la conversation et lui ai dit au revoir.
J'ai passé un bon moment à Londres, avec beaucoup de cocktails, pâtisseries scandinaves et cuisine indienne. Le dernier jour, j'ai retrouvé la carte de visite pour The Library of Babel que Ester m'a donnée. C'était à proximité. La commodité et ma curiosité m'ont rendu impossible de résister.
Après avoir parcouru les petites rues pendant trente minutes, j'ai finalement trouvé la librairie. Avec un nom si spectaculaire, je ne m'attendais pas à un endroit aussi discret; un petit panneau étant la seule indication de ce qui nous attendait à l'intérieur. Je suis entré et j'ai vu immédiatement livre après livre. Le magasin se composait d'un bureau en bois et d'un nombre apparemment infini de livres empilés au hasard derrière. Je ne pouvais pas comprendre comment quelqu'un pouvait trouver quelque chose là.
Je n'avais même pas remarqué la personne qui était assise au bureau avant qu’il me demande si j'avais besoin d'aide. Je lui ai dit que j'avais reçu une invitation de Ester. Sans même demander mon nom, il dit "Ah oui, Ester a dit qu'elle est désolée de ne pas pouvoir être ici aujourd'hui, mais elle vous a laissé ce livre." Je l'ai remercié et j'ai attrapé mon portefeuille, mais il a immédiatement dit "non, non, pas de soucis".
Une fois à l'extérieur de la librairie, j'ai vu la note attachée au livre, "J'espère que ce livre vous trouvera bien et éclairera le chemin. Que les aes sídhe soient à vos côtés, toujours."
Le livre était intitulé Nuit sans fin et était une sorte de recueil de poésie. Je l'ai feuilleté lentement jusqu'à ce que j'arrive aux deux pages du milieu. Un frisson parcourut ma colonne vertébrale. Là, au milieu du livre, il y avait la même carte que j'ai trouvée sur le site web crypté.
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Été 1928, Hylewood, Canada (1/3)
Chère cousine Noé,
Je t’écris en pleine ferveur olympique nationale, puisque nos athlètes nous ont ramené quatre médailles d’or en athlétisme. Te rends-tu compte qu’il y avait sept femmes dans la délégation olympique du Canada ? Et deux de ces médailles sont liées à cinq d’entre elles ! Cette année est une année spéciale pour les femmes. Je t’avais entretenu de ces femmes qui auraient rendu ma grand-mère jalouse, les Célèbres Cinq d’Alberta. Elles ont eu gain de cause. Grâce à elles, les femmes sont officiellement reconnues comme des personnes et donc ont le droit de siéger au Sénat. Du ciel, ma grand-mère doit être réjouie. Mon père m’a dit qu’elle rêvait de devenir sénatrice. Si elle était encore en vie, il ne fait aucun doute qu’elle aurait immédiatement commencé à faire campagne, quand bien même elle aurait eu quatre-vingt dix ans.
À ce propos, comment se porte Eugénie ? Elle avait l’air fatiguée lors de ta dernière lettre, et vu son âge… J’espère qu’elle continue de houspiller tout le monde, généralement, c’est un signe de santé.
Si mes calculs sont bons, tes filles doivent approcher les deux ans. Ont-elles commencé à parler ? La situation était si dramatique il y a deux ans, il me parait fou de me dire que tout s’est arrangé.
Lassé d’être harcelé par ma sœur, Agathon a commencé à travailler en jouant dans des cafés, des bars, ou en accompagnant des cours de danse ou des répétitions théâtrales à Kingston. C’est-à-dire que tous les matins, nous faisons le trajet en automobile ensemble ! C’est beaucoup moins ennuyeux qu’avant. Je le dépose en ville, et il vaque à ses occupations, et je le récupère le soir au port lorsqu’il ne joue pas, et nous repartons. Nous nous retrouvons parfois pour déjeuner, et il nous arrive de nous partager la location d’une chambre d’hôtel pour passer la nuit à Kingston, quand je vais le voir jouer et que nous n’avons pas le cœur à rentrer. Il ne se fait pas beaucoup d’argent, mais il en ramène quand même un peu, et cela suffit à calmer Marie.
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