#les arenes de picasso
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Vermines / Infested Sébastien Vanicek. 2023
Apartment Block Les Arenes de Picasso, 6 Pl. Pablo Picasso, 93160 Noisy-le-Grand, France See in map
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#sébastien vanicek#vermines#infested#les arenes de picasso#brutalism#théo christine#manuel núñez yanowsky#architecture#noisy-le-grand#spider#movie#cinema#film#location#google maps#street view#2023#seine saint denis
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Kolektivní sociální bydlení Les Arenes de Picasso
Les Arènes de Picasso je obytná budova v Noisy-le-Grand ve Francii. Stavba této ikonické stavby, kterou navrhl španělsko-francouzský architekt Manuel Núñez Yanowsky, byla dokončena v roce 1984. Budovy mají tvar obrovských disků a drží je podstavce s arkádami.
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Contemporary concrete buildings of Place Picasso public and residential ensemble in Marne la Valee (Paris) by Spanish-French architect Manuel Nunez Yanowsky, les Arènes de Picasso social-housing scheme in Noisy-le-Grand, modern concrete architecture of social housing in France, surrealistic architecture in precast colored reinforced concrete, famous Camembert cheeses building, contemporary European architecture, international heritage of civil engineering, guide to modern architecture in Paris, famous Camembert cheeses,The Architecture of Paris: An Architectural Guide by Andrew Ayers, Le logement social en Seine-Saint-Denis (1850-1999). Most impressive social housing, modern social housing project, modern french architecture, world's most famous architects, sculpture by Miguel Berrocal, works of Manolo Nunez Yanowsky by Philip E.Jodidio, Marc Emery, L'Architecture D'Aujourd'Hui, Connaissance des Arts
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Bâtiments contemporains en béton de l'ensemble public et résidentiel de la place Picasso à Marne la Vallée (Paris) de l'architecte franco-espagnol Manuel Nunez Yanowsky, programme de logements sociaux les Arènes de Picasso à Noisy-le-Grand, architecture moderne en béton du logement social en France, architecture surréaliste en béton armé coloré préfabriqué, célèbre bâtiment des camemberts, architecture européenne contemporaine, patrimoine international du génie civil, guide de l'architecture moderne à Paris, célèbres camemberts, The Architecture of Paris: An Architectural Guide by Andrew Ayers, Le logement social fr Seine-Saint-Denis (1850-1999). Logement social le plus impressionnant, projet de logement social moderne, architecture française moderne, architectes les plus célèbres du monde, sculpture de Miguel Berrocal, œuvres de Manolo Nunez Yanowsky par Philip E.Jodidio, Marc Emery, L'Architecture D'Aujourd'Hui, Connaissance des Arts
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«Arènes de Picasso» Noisy-le-Grand, France.
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Noisy-le-Grand, les arènes de Picasso.
#noisy le grand#marne la vallée#ville nouvelle#banlieue#mont d'est#arenes de picasso#pavé neuf#architecture#retro géographie
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Étienne-Louis Boullée, Projet de cénotaphe à Newton, 1784 VS Manuel Nunez Yanowsky, Les Arenes de Picasso, Noisy-le-Grand, Paris, 1984 (©Philipp Götze)
#étienne-louis boullée#boullée#isaac newton#architecture#drawing#manuel nunez yanowsky#les arenes de picasso#paris#noisy-le-grand#banlieue#grand paris
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I can’t believe I haven’t seen this before and I feel like it is very much my aesthetic so I’m posting about it \\\ part 1 of 2
Arènes de Picasso is a housing complex in Noisy-le-Grand on the outskirts of Paris. It is the work of architect Manuel Núñez Yanowsky, built in the period 1977-1985.
Image sources:
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#arènes de picasso#arenes de picasso#noisy le grand#manuel núñez yankowsky#manuel nunez yankowsky#postmodernism#france#art#arch#j#edaadp
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Les Arenes de Picasso [1080 × 667] [OC]
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Les ombres à Madrid
Avant de partir en Équateur durant l’été 2014, nous avons décidé de passer une semaine à Madrid durant les vacances de Pâques 2014 afin de parfaire notre espagnol et d’appréhender la culture hispanophone.
Nous sommes partis durant la semaine sainte sans l’avoir fait exprès, ce qui a ajouté un peu de magie à ce voyage.
C’est une ville avec des quartiers très diversifiés, de très beaux parcs et des musées culturels incontournables.
1- Les places publiques.
Nous décidons de commencer notre visite par l’une des plus grandes places de Madrid, la Plaza Major, l’un des lieux emblématiques de la capitale de l'Espagne. Cette belle place piétonne est entièrement encadrée d’arcades et de bâtiments au style architectural très élégant et uniforme, avec de nombreux restaurants, cafés et magasins. L'office du tourisme de la ville se trouve également sur la place, dans la fameuse Casa de la Panaderia. Enfin, le centre de la place est décoré d'une belle statue équestre du roi Philippe III. Durant notre séjour nous y sommes allés à plusieurs reprises à des heures différentes de la journée: de nombreuses manifestations se déroulent sur cette place très animée.
Nous poursuivons par la Puerta del Sol, située à quelques pas de là. C’est un passage obligé car c'est ici que convergent plusieurs rues parmi les plus fréquentées telles que Mayor, Arenal, Alcalá et Preciados. La place, en forme de demi-cercle, concentre aussi quelques-uns des éléments les plus représentatifs de la ville. Nous levons les yeux pour admirer la célèbre horloge de la Casa de Correos, siège du gouvernement régional de la Communauté de Madrid. La Puerta del Sol abrite aussi, du côté de la rue Alcalá, la statue de l'Ours et de l'Arbousier, qu'on retrouve sur le blason de la ville. C’est une place très fréquentée, avec de nombreux touristes et madrilènes, nous sommes impressionnés par le bruit ambiant et quotidien de cette capitale.
Nous déambulons ensuite jusqu’à la Plaza de la Villa, petite place pittoresque à taille humaine à l’écart de l’agitation de la ville. Tout autour, nous admirons les façades principales de trois bâtiments édifiés à différents siècles. Le plus grand bâtiment de la place est la Casa de la Villa ou hôtel de ville. Nous sommes étonnés de l’absence d’arbre sur ces trois places, qui auraient pu donner de l’ombre, sous cette chaleur.
A l’heure du déjeuner nous nous dirigeons vers le marché San Miguel afin de découvrir les spécialités culinaires. Au fil des allées, nous nous émerveillons devant la gastronomie espagnole (jambons, olives, fruits et légumes, tapas...). Les stands proposent pour certains un comptoir pour déguster sur place. C’est un lieu élégant, vivant et parfait pour déguster des tapas le midi.
2- Les parcs et jardins.
En sortant du Musée du Prado, nous décidons de déambuler dans le jardin botanique qui jouxte ce lieu culturel. Ce n’est pas seulement un jardin ordinaire, ici sont cultivées de magnifiques essences végétales. Ce jardin royal est réparti en 3 terrasses. Nous commençons par la terrasse la plus basse présente les collections de plantes endémiques, médicinales, aromatiques et une belle roseraie.Puis, nous poursuivons par la terrasse des écoles botaniques présente les végétaux selon la classification botanique de Karl von Linné, des plus primitives jusqu'aux plus évoluées. Nous sommes surpris par les différentes essences qui sont parfaitement étiquetées ! Nous finissons par la terrasse supérieure, plus romantique, qui abrite des serres anciennes et récentes. Nous avons apprécié le calme de cet écrin de verdure.
Après cette agréable découverte, nous continuons par le parc du Retiro, situé à proximité. C’est un parc immense, véritable poumon vert de la capitale, avec des milliers d’arbres à l’image de Central Park à New York. Avec cette forte chaleur, l’ombre et l’air frais sous les arbres font le plus grand bien. En poursuivant nous découvrons le Palais de Cristal et sa magnifique architecture en structure acier et ses grandes baies vitrées qui jouent de transparence. Enfin, nous nous dirigeons vers le grand étang octogonal qui donne à voir des balades en barques, véritable scène de loisirs. Tout autour, nous nous amusons à regarder et écouter de nombreuses attractions telles que des musiciens et magiciens... !
3- Les musées et monuments.
A Madrid, deux musées sont incontournables pour les amateurs d’Art. Le premier est le Musée National Centre d’Art Reina Sofía qui rassemble des œuvres de Dalí, Miró et Juan Gris. C’est une véritable découverte des artistes espagnols; nous sommes impressionnés par la taille du fameux Guernica de Picasso. Nous passons plusieurs heures à admirer ces peintures, plus ou moins connues.
Le lendemain nous visitons le musée le plus connu et réputé de la capitale, le Musée du Prado dès l’ouverture pour éviter la foule. Ce musée a plusieurs entrées, chacune ornée de statues de peintres espagnols tels que Velázquez, San Jeronimo, Murillo et Goya. Sa collection d’œuvres se base essentiellement sur des peintures du XVIe au XIXe siècle. Nous découvrons des chefs-d’œuvre de grands peintres tels que Velázquez, El Greco, Rubens, Rembrandt, Nicolas Poussin ou Goya. C’est tout simplement magnifique et époustouflant de voir autant de chef d’œuvres. Le musée est tellement immense qu’il faut une grosse journée si l’on souhaite y découvrir toutes les salles.
A la fin de notre séjour, nous découvrons le Temple de Debod, véritable temple égyptien situé en plein Madrid au cœur d’un parc et entouré de miroirs d’eau dans lesquels il se reflète. A l’intérieur, nous sommes émerveillés par la décoration d’origine, les hiéroglyphes: un dépaysement total !
4- Des quartiers colorés et disparates.
Madrid est composés de différents quartiers très typiques et différents les uns des autres.
Lavapiés, situé au sud de la Capitale, est un quartier traditionnel, cosmopolite et multiculturel. Les rues sont étroites, colorées, bordées d’échoppes et de galeries d’art. Nous déambulons au hasard dans ces rues pleines de vie et de culture. Nous avons l’impression de vivre le quotidien de madrilènes loin de la foule des places publiques. Nous d��couvrons de nombreuses œuvres de street art.
Malasaña, au nord de Madrid, est un quartier pour les soirées où se mêlent les restaurants vegan et salons de tattoos, bars à thèmes, théâtres de rue et boites de nuit. En nous promenant, nous découvrons une population relativement internationale, un joyeux melting-pot dans une ambiance hipster et festive. L’art se lit aussi sur les murs des ruelles, des façades colorées de ce quartier. Une véritable découverte, un quartier où il fait bon vivre et flâner !
A côté de Malasaña, nous poursuivons notre promenade dans le petit quartier de Chueca, le quartier gay de la capitale. Nous trouvons aussi bien des boutiques, cafés, restos, qu’un grand marché couvert où l’on peut également déguster des tapas ! C’est un quartier mêlant des boutiques de chaînes, et des commerces « branchés » plus indépendants ainsi que bon nombre d’établissements pour une petite pause gouter ou tapas ! À l’heure de la sieste, le quartier demeure assez paisible, et s’anime plus en soirée.
5- La semaine Sainte et les processions.
Alors que nous ne l’avions pas fait exprès, nous nous trouvons à Madrid pour la semaine Sainte. Cela est très impressionnant car chaque jour, nous admirons des processions réparties dans l’ensemble de la Ville.
L’atmosphère qui se crée au son des tambours et des trompettes et les couleurs chatoyantes des costumes est l’un des signes d’identité de la Semaine Sainte en Espagne. Lors de ces processions, les effigies religieuses sont ornées de cierges, de fleurs et de châles richement brodés, puis conduites à travers les endroits les plus pittoresques de la ville. Elles sont portées sur les épaules des costaleros appartenant aux différentes confréries, elles sont accompagnées tout au long de leur itinéraire par des dizaines de pénitents vêtus de robes et chapeaux pointus.
6- Excursion à Tolède.
Nous nous rendons à Tolède en train pour la journée. Nous visitons la vieille ville fortifiée, ses ruelles étroites et déambulons dans la rue pavée principale qui monte jusqu’à l’église San Idelfonso. Il est possible de monter au sommet du clocher, de là, une vue imprenable sur l’ensemble de la ville.
Puis nous poursuivons jusqu’au monastère San Juan de los Reyes avec son patio arboré qui nous offre un instant de fraicheur pendant cette journée caniculaire.
De style gothique cet édifice du XV eme siècle est composé d’une église et d’un cloître à deux étages.Nous finissons cette journée par la Cathédrale Sainte-Marie de Tolède, qui compte parmi les grandes cathédrales gothiques espagnoles. Elle fut construite sur la Grande Mosquée de la ville.
C’est une très belle journée de visite en dehors de Madrid, différente de la capitale par son côté médiéval.
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Les Arenes de Picasso [1080 × 667] [OC] via /r/ArchitecturePorn https://www.reddit.com/r/ArchitecturePorn/comments/b48cq1/les_arenes_de_picasso_1080_667_oc/?utm_source=ifttt
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Coulio Diouf by Yannis Davy Guibinga
https://thephotographicjournal.com/essays/les-arenes-de-picasso/
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Dominique Fernández presenta la seva novel·la sobre Picasso 'El pintor abandonat' | 22 maig
Conferència a l'Institut Francès de Barcelona 22 de maig del 2019 Amb presència de l’escriptor Dominique Fernández
El gran novel·lista francès Dominique Fernández ha rebut guardons com el Premi Médicis o el Premi Goncourt. Molts dels seus llibres són relats de viatges, il·lustrats pel fotògraf Ferran Ferranti. La seva nova novel·la El pintor abandonat gira al voltant d'una estada de Pablo Picasso a Perpinyà, després que l'abandonés Françoise Gilot. La trobada amb Dominique dins la mostra FIRE!! serà l'ocasió per parlar de la seva àmplia carrera i de l'homosexualitat en la literatura i les arts en general. Dominique Fernandez ens explica un episodi desconegut de la vida del pintor Picasso. Unes setmanes d’abandonament, sense pinzells, sense tela, sense anant. Unes nits i dels dies on es segueix a l’artista desproveït, afeblit, no tenint per patrimoni més que un enigmàtic maleter de bosc. Es parla de política, de pintura, d'amors i es presencia la mort a les arenes de Céret. Es camina sota el sol blanc del Mediterrani, s’evoca els amics desapareguts: Eluard, Matisse, i els grans enginys, Prokófiev, les històries antigues, Stalin i el partit… L'autor Escriptor, nascut l’any 1929, Dominique Fernández torna a l’Académie française l’any 2007. Un gran nombre dels seus llibres són relats de viatge, il·lustrats pel fotògraf Ferrante Ferranti, amb qui ha compartit la seva vida durant 15 anys. Junts, han recorregut el planeta investigant els més bonics testimoniatges del patrimoni barroc. Dominique Fernández comparteix avui el seu temps entre l’escriptura dels seus llibres i la redacció d’articles per als mitjans Quinzaine Littéraire, L’Express, la revista suïssa d’art i de cultura Artpassions o Le Nouvelle Observateur. És, d’altra banda, un gran enamorat de Catalunya, on resideix una gran part de l’any des de fa més de 30 anys, entre Argelès i Céret. Conferencia amb servei de traducció consecutiva.
Institut français de Barcelona Carrer de Moià, 8 Barcelona, Catalunya
Més informació
https://3.bp.blogspot.com/-AwanqRZfgBc/XOQjQIzw_oI/AAAAAAAABDY/rQLO9WwoDqULEEYOGRmLHYNQB-ENaotpACLcBGAs/s640/Domenic%2BFernandez.jpg http://www.artneutre.net/2019/05/dominique-fernandez-presenta-la-seva-novela-el-pintor-abandonat-institut-frances-barcelona.html #Art #Catalunya #Barcelona #PaisValencià #Balears #Andorra #Occitània #Alguer #AgendArt #Valencia #Palma
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Todas las mañanas se sentaba en el paseo marítimo a la sombra de unas palmeras. Encendía su cadenita de música, insertaba un pendrive con canciones de los 60 a los 80 y se ponía a su afán construyendo pulseras de cuero y collares de colorines al ritmo de Led Zeppelin, Deep Purple, la Credence Clearwater Revival, los Beatles o los Stones. Allí veía pasar a los primeros bañistas, a menudo personas mayores, ese batallón de zapadores armados con palos de sombrillas para entablar su batalla diaria con el sol en el arenal frente al mar, estableciendo una cabeza de playa. Una especie de desembarco de Normandía, pero al revés.
Él aparentaba vivir de espaldas al mar, pero no era así en realidad, de vez en cuando echaba vistazos a las olas y sus sucesos, sobre todo si la canción de turno acompañaba, no necesariamente de los Beach Boys. Además, en su juventud fue surfero en Mundaka y windsurfero en Tarifa, antes de que la pierna se le quedará hecha un cuadro de Picasso contra unas rocas, montando una moto no sobre una tabla.
Entre aquella legión de sombrilleros sentía predilección por un abuelo muy afable que venía de Madrid. Siempre se saludaban e intercambiaban impresiones acerca de cómo se presentaría la jornada en el mar y fuera de él. El hombre se acercaba a la aún despoblada orilla y plantaba con rapidez y gran pericia la sombrilla, no como muchos otros a los que se les volaba con la más leve brisilla. Colocaba las sillas, se desprendía del polo, las sandalias de cuero y se zambullía con elegante habilidad en el mar, no cómo tantos otros que entran en él timoratos o cómo pegándose con las olas. Daba un considerable número de brazadas hasta alcanzar la boya que marcaba el límite de la zona de baño y permanecía por allí una media hora chapoteando, haciendo el muerto, relajándose... Disfrutando del mar y el mar disfrutando de él. La mar goza con los buenos nadadores, con los que la conocen, la aman y la respetan. Luego, regresaba a la orilla con la misma prestancia con la que se había alejado de ella. Aquel hombre había sido, sin duda, un buen nadador en su juventud. Y lo seguía siendo. Él sabía de eso, pues también lo había sido.
Cuándo pasaba por su lado volvían a saludarse. "Ahora bajará mi señora y los hijos", decía con una sonrisa, " yo me voy a tomarme un cafelito... Si usted gusta...", le ofrecía aunque rara vez aceptaba por no descuidar su tenderete. Pero las escasas veces que aceptó el ofrecimiento sirvieron para conocerse un poco más, aunque ese señor no era hombre de muchas palabras, que suelen ser los que tienen una palabra pero buena y válida. A no confundir con los que nunca hablan porque nada tienen que decir y cuándo abren la boca es para meter la pata o chapotear en algún charco. Quiere decirse que no era un charlatán de feria, pero tampoco un mudo malencarado. Hablaba poco, siempre con amabilidad y con sentido.
Luego se despedían y ya no se volvían a ver hasta el atardecer, cuando el abuelo regresaba tras darse un largo paseo por el pueblo y regresaba a la playa a recoger sombrilla y sillas y, tras un rato enseñando a hacer ranas con los piedras a sus nietos, ""las nuevas adquisiciones", y de ver la despedida del sol tras las montañas, volver a casa, a su terraza antes de dormir. "Por la noche le doy la espalda al mar y contemplo las luces del pueblo arriba, en el monte, y las de los faros de los coches pasando lejos, en la autopista. Cada lucecita encierra una historia distinta, me gusta imaginar algunas en el silencio y la paz de la noche. Luego, un vasito de leche y a la cama", le refirió en una ocasión con su acostumbrada sonrisa. Hay personas que desvelan su bonhomía con sólo tratarles una vez, no son demasiadas la verdad, por eso destacan en estos tiempos superficiales e insípidos. Conviene conservarlas y suponen una amarga pérdida cuando desaparecen.
Ese verano no le había visto aún, lo que le extrañó pues el abuelo pasaba medio año en el pueblo, al que ya acudía cuando aquello era prácticamente una colonia alemana y él era de los pocos españoles que había podido adquirir uno de aquellos pisos que se vendían directamente en Alemania, como sucedió durante una época en no pocas urbanizaciones costeras. Un día vio que la sombrilla y las sillas las portaba uno de los hijos, quién le refirió que el anciano había fallecido. "El abuelo ya no está", le dijo con un nudo en la garganta y del mismo modo escueto con que él lo hubiera hecho.
Lo sintió de veras. Aquella mañana quitó su pendrive de los rockeros y puso piezas de flamenco y copla, que era lo que le gustaba a aquel hombre. Vio desfilar durante días al resto del batallón de veteranos zapadores tomando la playa, pero no era igual. Aquel hombre era especial. De vez en cuando contemplaba a aquella familia en torno a la abuela, con los nietos, "las nuevas adquisiciones", haciendo ranas con las piedras frente al mar, o despidiendo al sol ocultándose tras las montañas, pero ya no era igual: el abuelo ya no estaba.
Sin embargo, de alguna manera permanecía allí, en aquella playa. Y algunas mañanas, paraba de confeccionar sus pulseras y se giraba hacia el mar, cuándo aún nadie se había zambullido y creía ver la figura de un nadador experto, cerca de la boya, dando brazadas o haciendo el muerto entre las olas. Y entonces recordaba su eterna y reconfortante sonrisa. La sonrisa de un hombre de una pieza, de un hombre honrado. De un buen hombre. Mejor cosa no cabe ser en la vida.
Jose Manuel Iglesias Cervantes
Historias de la Playa.
A la memoria de Pepe Molina, una de las mejores personas que he conocido.
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Jour 4: 27 Juin 2018
Today I woke up and had breakfast normale. Then I went to class.
Photography was fine. We had that quiz and it was so hard I have no idea what I’m doing. She said it was just pour comprendre. But I have nothing to comprehend because I was in one day of class out of 5. So, it was whatever. I really understand the professor quand she talks. I’m so happy! I didn’t think I would like photography as much as I do after 2 days.
This post is gonna be really long: prepare yourselves to read those of you still with me (Probably just Jonathon - my only real friend).
Nathan et moi, nous sommes allés the hotel for our normal coffee. After coffee, it was lunch time. Today, I went to a place called Cuisine de Comptoir. We got to choose from a menu of tartines. Which are large pieces of bread toasted with cheese or whatever you want. There was one named Le Marius and of course I had to eat that because #Theatre. Also because it was just fromage et tomate and it sounded good. As an appetizer, they let you choose between soupe du jour or a salad and I wanted to step out of my comfort zone (since I wasn’t with the tartine) and I chose the soup. It was cold (I know soups can be cold but I had never tried a cold soup before and it threw me off guard) and it kind of tasted like wet wood? I do now know. At least I tried! The tartine was good but the middle was a little soggy. They should have toasted the bread FIRST then put it back in the oven with the ingredients on it. Honestly, I should just be a French chef.
Here’s a pic.
For dessert, I had flan au caramel which was okay but the texture was too much like eggs. The flavor was good though! I also had never had flan before!
After dejeuner, we had to go to le Fondation Van Gogh for histoire de l’art since our teacher wasn’t there. J’ai iris beaucoup des notes and we had to fill out a sheet of question etc for a grade. Which was a little difficile because there was a lot of French art vocabulary I was not familiar with yet. But I tried.
Le musée was a little bit moderne for me. It featured Paul Nash qui etait a British surrealist in the early 1900′s. It was really cool. It said he was in le premiere guerre mondiale and he suffered a lot of PTSD so he painted a lot of things as therapy or as a reflection on the war. He style isn’t my typical favorite thing but I appreciated it and reading about him.
In general, here were paintings that I wrote down the name of because I guess I liked them:
Monticelli: Deux Personnages Sur la Route, la Roche percee - It took me a second trip through the museum before I liked anything of Monticelli’s
Picasso - Vieil homme assis (which was CRAZY I could HEAR the paint being swooshed onto the canvas while looking at it. Not the most pleasant sound but it was so cool) , Les Musiciens (which was interesting. I think they were supposed to be black musicians but they looked like animals almost. I mean obviously they were abstract people but it almost looked like he made them to look like monkeys? I wasn’t sure if he meant that as a commentary on racism or what but it was very interesting.)
Paul Nash - Landscape of the Vernal Equinox III, Battle of Germany, Vision at Evening, The Sunflower Rise. (I don’t remember what painting it was but his leaves seemed crunchy which was cool).
Utagawa Hiroshige - Le pont Ohashi et Atake sous une averse soudaine. (This I thought was cool because you could see how Asian art inspires Impressionism. Pretty coooool)
Van Gogh: Crane, Wagons de chemin de fer
Paintings/Painters I did not like:
-Calder, Polke, Joan Mitchell, Etel Adnan
The top of the museum was a very nice terrace with a view that overlooked the entire city. Here are some pics
I look pretty fat in that photo but it’s mostly because my shirt is dangling oddly on the stage right side.
After the musee, I went back to my host family’s house and I was very tired so I laid in bed for a while until it was time to go on an excursion with IES that I signed up for to the Theatre Antique etc. OH! My host mom told me that the fondation van gogh used to be a post office. Interesting fact!
We met at the school at 17h15 and then walked the 20 feet from our building to the Theatre Antique d’Arles. which is the old theatre. We got a tour from a cute old French woman. It was built one century before Jesus. There were columns which hid the actors from the sun and such a grand place to sit. It was amazing. While we were there, there was like 12 little french children practicing for the “spectacle” which is a big 3 hour long show for all the dancers in Arles. It was tomorrow and my host mom was gonna be performing in it! C’est cool.
Here are some pics of the theatre.
I like this one because it shows me dominating the Romans. Battle of the Fittest and I win y’all.
I guess I didn’t take good pics but it’s free for students so I’m sure I will go back.
The tour continued to the Arene d’Arles. It was built the first century after Jesus and kind of copied the Colosseum. The tour guide said it fit around 20,000 people and was like the 10th biggest Roman arena still in existence (I think). Pretty damn big. It was also still functional. There is gonna be a bullfight there in the beginning of July and I WANNA GO. Here are some pics.
The view from the top.
Un petit oiseau.
After the tour, I walked home.
I just thought this building was pretty.
We had a petit fete that night with my host family. They had 3 friends come over. One from Myanmar, one who was French and lived mostly in China - teaching a photography course - , and one from Cambodia. It was super interesting. The conversation jumped constantly entre l’anglais et le francais because the woman from Cambodia couldn’t speak French but it was very cool being able to hear them talk about politics and stuff. Lots of different opinions. My host mom said that since the election, there has been a big change in the French political conversation. She said she thinks it’s more hostile now than it used to be and it’s uncomfortable. Especially since Macron is supposed to be the middle candidate. But everything is so much more polarized now.
Also, they asked me about Trump. I knew that was gonna happen I guess better sooner to get it over with.
I wanted to stay up and talk to them some more but I was so tired I came downstairs and fell asleep immediately. Bon nuit.
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Lutècia
1. La jubilada amb barret violeta que reia llegint l’últim Astèrix al metro.
2. La dona amb cabells egipcis i peto texà que portava una bola del món i mirava fotografies velles.
3. A París els filòsofs semblen estrelles del rock, i les estrelles del rock semblen filòsofs.
4. El confit d’ànec amb patates rostides del bistrot Aux Petits Oignons.
5. El cafè La Marine i el terra enrajolat com un tauler d’escacs i les làmpades esfèriques gegants de color ambre, amb vistes al Canal Saint Martin.
6.��El passatge des Panoramas, amb els antiquaris i les llibreries de vell.
7. El rastre de Miró. Llum, formes i colors.
8. El Boulevard Pereire desert a les vuit del matí i ple de partits de futbol sense porteries els divendres a la tarda. Els rosers a mig florir i els dos vells rics que hi fan manetes com dos adúlters de quinze anys.
9. La terrassa del restaurant Moncœur, sobre el parc de Belleville i davant la ciutat grisa, immensa, indiferent.
10. La llibreria flotant L’eau et les rêves, al Canal de la Villette.
11. Helena o el mar del verano, de Julián Ayesta.
12. La logopeda de L’escafandre i la papallona, en sessió universitària de vespre al Desperado.
13. El taller de Pierre Bourdelle a Montparnasse.
14. El jardí del Museu de Montmartre, amb vistes a les vinyes i al cabaret rosa de Picasso.
15. El cuscús i el pollastre amb olives de l’algerià de La Goutte d’Or. I el te de menta amb molt de sucre.
16. El pastís de merenga de La Loire dans la Théière.
17. Els falàfels de la Rue des Roisiers. Els cambrers t’assetgen pel carrer però val la pena.
18. Els ulls tan grans de Nôtre-Dame.
19. La place Dauphine.
20. La línia 6 del metro de l’Étoile a Glacière. Brooklyn.
21. El grafit de Tintín i el Capità Haddock, vestits de vermell, acabats de casar.
22. La botifarra negra amb puré de patates de Le temps des cerises a la Butte aux Cailles.
23. Els petons furtius a la Square des Peupliers.
24. Moustaki i Gainsbourg.
25. La sala ovalada dels nenúfars a l’Orangerie.
26. L’estany platejat de les Tuileries.
27. La Victòria de Samotràcia.
28. Els vitralls modernistes i el tapís vermell del bistrot La Renaissance, on Tarantino va reunir Mélanie Laurent i Daniel Brühl.
29. Portar les visites a La Recyclerie.
30. Les nits a La Limite. Els flirtejos descarats dels macarres, les dones que ballen, i els panxuts amb jaqueta de cuir que s’ho miren i riuen des de la barra.
31. Descobrir de sobte l’església de la Val-de-Grâce i recordar les banyeres gegants de la Piazza Farnese.
32. La pluja imparable.
33. El te sota les carpes humides de la Mesquita i els hivernacles humits del Jardin des Plantes.
34. Les cases noucentistes de conte de fades de La Campaigne a Paris.
35. La plaça Édith Piaf, a Bagnolet, i la seva estàtua clamant al cel vandalitzada amb pintura vermella.
36. El Sacre Cœur des de la Place Dalida, pujant des de Lamarck. El nas de Dalida. Dalida cantant Bang Bang. Luigi Tenco i els barbitúrics. “Pardonnez-moi, la vie m’est insupportable.”
37. Les col·leccions privades impressionistes i els salons versallescos del Museu Jacquemart-André.
38. "París és a dues lletres del Paradís" (Jules Renard)
39. El panteó (que encara no he trobat) del fotògraf Francesc Boix, únic testimoni català contra els nazis a Nuremberg.
40. El mercat africà de Château Rouge. Túniques, mangos i peus de porc.
41. La fortor d’alcohol al metro a qualsevol hora.
42. Els campaments de refugiats i sense sostre als afores de París.
43. Els nens sirians descalços sobre l’asfalt. Dotzenes de nens sirians descalços sobre l’asfalt. Potser centenars.
44. La baguet del forn de la Plaça Saint Ferdinand, i els panets de xocolata de l’altre forn de la Plaça Saint Ferdinand.
45. La secció de làctics del supermercat.
46. Les crisis nacionals de mantega.
47. Les parisenques. Quin estil.
48. Esther Garrel.
49. Les arenes de Lutècia, el Coliseu de París.
50. La fruitera xinesa, que sempre em torna malament el canvi (a favor de la casa).
51. Una nit em van convidar a menjar pop. Vaig fer una excepció i vaig beure vi blanc.
52. La flauta màgica a l'Opera Comique.
53. Mateu Orfila, maonès insigne, pare de la toxicologia moderna, metge personal del rei de França.
54. Quan els francesos van arribar al Louvre per anunciar la conquesta de Menorca, el primer que va demanar el cardenal Richelieu a l’oficial de l’exèrcit era si les figues de l’illa eren tan bones com es deia. (Desconeixem la resposta de l’oficial).
55. Les rancheras dels músics del metro, a anys llum dels seus homòlegs de Londres.
56. Els partits del Barça que no he vist. Ja no m’importa.
57. Les visites multitudinàries a pisos de nou metres quadrats amb llit plegable i dutxa comunitària. 700 euros i en negre.
58. Veure nevar un dijous a la nit des de la bugaderia. La meva vida en un programa de cotó a 30°.
59. Els passatges de Bastille.
60. La dona trista que llegia el diari al Pure Cafè asseguda dalt d’un tamboret.
61. El magnat llegendari dels prostíbuls de Montmartre, ulleres negres i anells d’or, perruca i trajo blau impecables. Es feia el milhomes i necessita ajuda per pixar.
62. Vaig conèixer una logopeda pianista que viu davant el cafè de l’Amélie i que intercanvia confidències (i alguna cosa més) amb el capellà del barri.
63. Els francesos, igual que els italians i que els anglesos i que molts catalans i que quasi tots els espanyols, no entenen per què volem la independència.
64. Diuen que els gelats de la Maison Berthillon són els millors de París però en realitat són gel amb colorant i no valen res.
65. La solitud d’agost.
66. Em van regalar una planta preciosa i se m’ha mort.
67. He viscut nou mesos sense armari però amb un mirall picat que deu valer una fortuna.
68. El campanar de l’església de Saint Blaise des de la Plaça de la Magnòlia, seu del Partit Comunista.
69. La cuina provençal de Chez Janou.
70. El record inesborrable de Marsella i Dantès. La sal i el mistral.
71. La Plaça Marc Bloch i totes les obres de la Beckett de Gràcia. I encara no he anat a la nova seu del Poblenou.
72. El village Saint Paul, el meu oasi particular a Le Marais.
73. Les torres medievals de la Rue Charlemagne i la basca socialista de Chez Mademoiselle que ens ho va preguntar tot sobre els Procés. Ho vam intentar però no la vam convèncer.
74. L’arquitectura brutalista del barri xinès.
75. El mural de la Fada electricitat de Raoul Dufy al Museu d’Art Modern de París.
76. El luxe del Faubourg Saint Honoré i el trauma del fiscal Gérard de Villefort.
77. Vam empaperar les portes massisses de la seu de la Comissió Europea i ens en van fer fora. Hi havia més gendarmes que manifestants. Vam cantar els Segadors i ningú no se sabia la tercera estrofa.
78. Si mai tinc un pis hi penjaré pòsters de Tintín comprats als encants. Per començar, dubto entre Els Cigars del Faraó i El Lotus Blau.
79. La botiga L’Oiseau de Paradis del Boulevard Saint-Germain.
80. El pícnic nocturn al bosc de Vincennes.
81. Les albergínies fregides de Chez Alex, un xinès tan barat que no pot ser.
82. Una sidra a la sala interior de La Palette, a la Rue de Seine.
83. El Moulin Rouge, el Trocadéro, Truffaut i la Shakespeare & Co estan sobrevalorats.
84. Egon Schiele.
85. Si m’haguessin agafat al pis de la Rue Magenta hauria viscut amb una noia rossa que es deia Ofèlia. Una vegada vaig fer de Hamlet. Encara em sé la primera estrofa del monòleg.
86. Foix. “Sóc a París, i entre ermots, a Lladurs.”
87. Les vies del tren a La Chapelle, que esquarteren París.
88. París són floristeries, forns i formatgeries.
89. L’espina de peix de la Mouzaïa i tots els passatges laterals florits.
90. Algun dia viurem a la Villa Léandre.
91. El camino de Miguel Delibes.
92. Psique reanimada pel petó de Cupido, de Canova.
93. Els diumenges es dina pollastre a l’ast.
94. Per culpa d’un cafè a Le Méthode vam perdre un avió.
95. Els funcionaris de correus em posen nerviós. No ens entendrem mai.
96. La lliga francesa és un frau.
97. París fa somiar. La realitat et desperta.
98. Els parisencs fumen molt, van sempre amb gavardina i a mig pentinar i no cuinen mai.
99. L’aparador de la llibreria de Jourdain.
100. Els arbres grocs del Père Lachaise i les fulles grogues damunt les làpides.
101. El jutge Claude Frollo cantant desesperat davant la llar de foc.
102. Les heures de la façana de l’Hotel Le Pavillon de la Reine a la Place des Vosges.
103. El barri de Batignolles i els bistrots vermells de la Rue des Dames.
104. Les epifanies (forçades, però necessàries) al Pont Saint-Louis.
105. La tarda al Cafè Strada de Rue Monge. Una de les cambreres fa pastissos de coco i de xocolata al fons del local amb els auriculars posats.
106. Les cases de colors-pastel-Notting-Hill de la Rue Sainte-Marthe.
107. Arribar amb tren a la Gare du Nord. A l’entrada, hi ha una escultura terrorífica d’un ós vermell amb ales. A la ciutat de Rodin.
108. Els restaurants corsos. Les llonganisses corses. La cervesa corsa. Còrsega en general.
109. La versió de Roger Mas de Ma Solitude.
110. El Sena.
111. El meu barri, Gambetta.
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