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Olivia Diaries part 1
First, let's get acquainted with the characters: Anna Lerova (mother of Olivia) 30 years Maxim Lerov (father of Olivia) 35 years Diana Lerova (Olivia's sister) 5 years Olivia Lerova (main character) 13 years Nikita Knyazev (in love with Olivia) 14 years Vladimir Knyazev (Nikita's father) 37 years Katya Dodach (Olivia's best friend) 14 years old Denis Litov (Olivia's boyfriend) 14 years Lera Yarovaya(hates Olivia) 14 years Aristarkh Nikolaevich (Olivia's grandfather, teaches history at her school) 69 years
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📸 Port w Nioloni, lazurowe wybrzeże. 📰 Wprost z wysokich pirenejeów, w najwyższym punkcie na trasie było 2500 m n.p.m., a sama trasa z Andory do Francji zrobiła na mnie ogromne wrażenie, przebrnięciu przez zakorkowaną Marsylie, az w końcu dojeżdżam do kolejnego punktu planowanej trasy, do lazurowego wybrzeża. Lokomotywa i ja płoniemy od upału, więc nie czekając ani chwili dłużej, pozostawiam maleństwo w cieniu, a ja idę spróbowac swoich sił i skoczysz z tego kamienia po prawej do wody ;) 🗺️ Niolon, Francja 🇫🇷 📍 43.338876,5.259199 #wycieczkimotocyklowe #motopodróże #motowypawa #motocyklista #motocyklem #motocyklowewyprawy #mototrip #przygoda #motocyklemprzezeurope #france #francja #lazurowewybrzeże #wakacje #wakacje2021 #holiday #azure #azurecoast #cotedazur #niolon #plaza #plage #lerove #sea #sun #francjamotocyklem #francjapoludniowa #cotebleue #visitfrance #marseille
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[DIRECT/TRAFIC] 14:41 #A55 Chargement perdu / #BouchesduRhône (#LeRove) +sur http://dlvr.it/QrDJdm
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Le Manuscrit Maudit
Le manuscrit maudit est digne d'une nouvelle de Lovecraft l'influence principale de l'auteur.
Mon maître Lerov souleva la pierre tombale lentement... très lentement...
Une brume diffuse émanait des entrailles de la terre, comme si tous les damnés qui gisaient en son sein voulaient se manifester.
Je dirigeai le faisceau de ma torche sur chacune des antres mortuaires et sur les autels. Depuis fort longtemps, un enchevêtrement de ronces avait recouvert certaines tombes, où jadis des noms avaient été gravés.
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Plus loin, une statue à l’effigie du roi Gygès dominait les lieux de sa taille impressionnante. La légende raconte qu’un anneau magique lui aurait offert le pouvoir de se rendre invisible. Ici et là, bien d’autres personnages familiers de sinistre réputation étaient représentés.
Le bruit grinçant et lancinant des rongeurs aux alentours, troublait le silence profond de ce lieu et me rendait nerveux.
Des yeux de jade, perçants, luisaient par cette nuit sans lune.
Les bruissements d’ailes d’un hibou aux ululements macabres, rendaient l'atmosphère encore plus pesante, peut-être en souvenir pensai-je, d’un événement qui avait eu lieu dans ce cimetière hors du temps, perdu en pleines landes de Pennsylvanie, qu’une civilisation lointaine avait déserté à jamais...
Etait-ce le fruit de mon imagination, ou bien tout simplement un jeu d'ombres extraordinaire me donna-t-il l’illusion d’avoir vu les statues se déplacer, jusqu’à former un large cercle autours de nous ?... Je me sentais observé.
Mon maître Lerov, comte en son pays, ne semblait pas ému d’évoluer dans ce climat fantastique.
Il y avait quelque chose d'insolite dans cet endroit. Etait-ce l'absence totale du moindre souffle de vent, ou le ciel nébuleux recouvrant de son large tapis noir et dense les étoiles, avares de lumière en ce mois d’août 1930 ?
Je demandai à mon maître de mettre à jour au plus vite l’intérieur de ce tombeau pour enfin savoir... Mon excitation mêlée à l'angoisse était vive.
« Je suis en train de flancher, maître… J’ai peur, très peur… Mes idées sont confuses,
et je ne suis plus certain de comprendre ce que je vois et entends…
- Souviens- toi, Philippe... Souviens-toi, me dit-il d’une voix rassurante. Te rappelles-tu que c’est moi qui suis venu te trouver alors que tu n’étais qu’un simple étudiant triste et désœuvré, à la recherche de tes origines, à la faculté d’histoire naturelle de Géorgie ?
T’ai-je forcé à accepter cette mission ? Notre mission, Philippe ?
- Non, maître.
- As-tu oublié que cette mission avait pour objet de comprendre les causes inexpliquées de la mort de mon ami Burt O’Williams ? Tu as pu constater dans ses écrits qu’il avait découvert des choses incroyables que nous sommes peut-être les seuls au monde à connaître. Alors ce n’est pas le moment de flancher, je veux que tu voies et que tu comprennes... peut-être... »
Sur ces paroles, je me souvins peu à peu des événements vécus au cours de ces derniers mois. Ces aventures éprouvantes mais si extraordinaires, ne peuvent être comprises par un esprit humain dont les frontières se limitent à la raison... Petit à petit, les images des faits les plus marquants me revinrent en mémoire.
C’est en 1920 que le géologue Burt O’Williams avait découvert d'étranges statuettes taillées dans une roche inconnue, représentant d’obscures déités.
Auprès d’elles, éparpillées dans un désordre indescriptible, se trouvaient des fragments d'os. Tout fut transmis à l'institut de recherche scientifique de Londres. Faisant suite à de sérieuses analyses et à des études approfondies, la conclusion des chercheurs fut horrible ! Les ossements prélevés tout à proximité de ces curieuses figurines, reposant dans ces lointains sanctuaires oubliés de l'île de Pâques, s'avérèrent être des os humains dont certains étaient broyés, laissant supposer d'atroces mutilations pouvant résulter de sacrifices rituels donnés en offrande aux dieux.
Burt O’Williams décida d'écrire ses mémoires en y consignant ses découvertes, fruit de son existence riche en aventures multiples, vouée entièrement à retrouver la trace des civilisations passées.
« ... J'ai gardé la plus mystérieuse des statuettes, écrivait-il. Les autres sont conservées au musée d'Histoires Naturelles de Londres. Les experts n’ont trouvé aucun lien avec les statues géantes, monolithiques, découvertes en 1722 à l’arrivée des Européens. »
Un peu plus loin, Burt faisait allusion à la statuette qu’il détenait par devers lui. D’après ses écrits, elle mesurait trente centimètres de haut et reposait sur un piédestal de forme géométrique insolite, sur la base duquel étaient gravés des caractères s’apparentant à des signes cabalistiques non répertoriés.
Mon maître penchait plutôt pour un dialecte très ancien, laissant supposer un mélange composé de grognements et de sifflements.
Je dois avouer que j’étais très impressionné par sa culture, qui forçait mon admiration.
Dans son livre, Burt avait pris un cliché de la statuette. Malgré une mise au point approximative qui donnait un rendu assez flou sur certaines de ses parties, cette photographie révélait une beauté obscure et envoûtante. A première vue, elle ne ressemblait à rien de connu, mais il la décrivait avec une telle passion, qu’il arrivait à lui attribuer un semblant de vie primitive. La suite était tout aussi étrange.
« ... Bien qu’elles aient été découvertes sur l’île de Pâques, l’argile verdâtre dont elles sont faites est à ma connaissance de provenance inconnue... »
Elle mesurait une trentaine de centimètres ainsi qu’il l’avait déjà noté, mais au fil des mois elle lui paraissait plus grande.
« ... Il faut dire que je suis fatigué physiquement et moralement. Mes nerfs sont depuis quelque temps mis à rude épreuve. Cette statuette contient des mystères que je n’arrive pas à élucider, à commencer par les tentacules qui sortent de son corps en guise de bras, de jambes et de nez, ainsi qu’à la base de la partie ombilicale.
Elle n’a aucun sexe et pourtant, ce n’est pas un ange...
De plus, je suis incapable de me souvenir si sa bouche était ouverte ou fermée lorsque je l’ai découverte.
Et ces yeux ! Pourquoi me fixent-ils ainsi ?
Son regard, résumé à deux entailles très fines situées au-dessous de ce qui pourrait être des sourcils, est menaçant.
Lorsque je travaille tard le soir, avec pour seul éclairage une lampe sur mon bureau, son ombre projetée sur le mur d’en face est hideuse et démesurée.
Pour quelle raison, lorsque l'astre des ténèbres est recouvert par de sombres nuages aux formes indicibles, entends-je d'immondes grognements plaintifs ?
Je ne peux que le déplorer, mais je n’ai aucune réponse satisfaisante qui puisse me rassurer.
Je dois perdre la raison !
Ai-je réveillé un culte oublié depuis des siècles ?
Ai-je ressuscité la colère de quelque entité infernale ?
Je ne saurais le dire, mais plus les jours passent, mieux je la perçois...
J'ai peur... »
Burt disparut mystérieusement de chez lui. On ne retrouva sa trace que dix ans plus tard dans un hôpital psychiatrique au fin fond du Guatemala, plongé dans un délire total.
Ces mémoires ont été découverts dans son bureau où des odeurs d'algue et de soufre étaient fortement ancrées.
Toute la pièce était sens dessus dessous. Les tableaux avaient été lacérés. On pouvait y distinguer à même le sol, entre les débris de verre, des traces huileuses, des papiers écrits de la propre main de Burt O’Williams, ainsi que des dessins aberrants, représentant une peuplade hybride et déchue à la morphologie difforme, habitant comme le laissait supposer le dessin, une plaine aride que surplombait un soleil noir.
De plus, en dépit de vaines recherches, la statuette avait disparu.
Par les médecins de l’hôpital où avait été interné le géologue, mon maître a appris sa mort il y a très peu de temps. L’autopsie avait permis de conclure à une hémorragie cérébrale, causée semble-t-il, par un très gros choc émotionnel...
Comme s’il avait deviné mes pensées, mon maître me donna d’autres informations.
« O’Williams aurait une soeur qui habiterait à Ozamiz, un petit village situé aux Philippines, longé par la mer de Bohol. Son frère est bonze au Tibet, dans un village nommé Ikra, non loin du très mystique plateau de l’Himalaya. Et son ex-épouse, quant à elle, s’est remariée à un très riche armateur grec, décédé depuis peu, qui lui a légué toute sa fortune.
- Mais quel est le rapport avec notre histoire ?
- J'y viens Philippe, j'y viens, me répondit-il avec un étrange sourire. Leur notaire m'a rapporté confidentiellement que l'ex-femme d’O’Williams reçut en héritage de son deuxième mari, une fortune en diadèmes et en bijoux, vestiges de civilisations passées, mais aussi divers documents de feu son premier mari. La parution du premier ouvrage de Burt, Les Cultes oubliés, ne fit pas grand bruit.
Pourtant, il était en mesure de démontrer une partie de ses visions hallucinées.
Précisément, son ex-épouse, son frère et sa soeur ont chacun en leur possession une partie du manuscrit écrit avant sa mort, révélant sans doute d'atroces secrets, dans la lignée de son premier livre. Ce manuscrit a d’ailleurs volontairement été partagé en présence du notaire, dans le but de respecter la dernière volonté de mon éminent ami.
- Mais pourquoi m'avoir choisi pour les retrouver, maître ?
- Parce que tu es jeune et fort, et que j'aurai besoin de ta vitalité pour anéantir les obstacles qui pourraient se dresser devant nous, car rien ne doit nous arrêter Philippe, rien ! Et puis aussi parce que… Non ! Rien !»
J’acquiesçai du regard, troublé.
C’est à l’ex-épouse d’O’Williams que la première partie du manuscrit fut confiée. C’est la raison pour laquelle, le jour suivant, nous atterrîmes en Grèce.
C'est sur la charmante île de Kéa que cette femme jouissait des plaisirs de la vie terrestre.
Lorsque nous fûmes parvenus au sommet de la colline, nous découvrîmes sa luxueuse demeure, narguant de ses flancs majestueux la mer Egée, qui l’entourait comme une forteresse inexpugnable. Des arbres sans âge bordaient l’allée pourvue de dalles. Mon regard dériva à la rencontre des somptueux parterres de fleurs aux couleurs chatoyantes. Des oiseaux de toutes espèces vivaient en parfaite harmonie dans ce paradis. En vérité, c’était une véritable forteresse dorée, entièrement entourée de grilles. Au-delà, des grognements féroces laissaient deviner que de puissants et féroces molosses allaient et venaient librement, et dans la tourelle d’observation, on distinguait un visage vide de tout sentiment. C'est le chef de garde qui nous conduisit à l’intérieur de la retraite de feu l’armateur.
La porte principale, faite de chêne massif, était entièrement sculptée. Quant au style des formes gravées, il est vraisemblable qu’il fût né de l’imagination d’un artiste italien très inspiré.
Je ne saurais décrire l’intérieur, de peur de ne pas trouver les mots appropriés, mais je demeurai muet d’admiration devant la beauté de ce palais incrusté d'onyx et de nacre, ces tapis persans, toutes ces merveilles de décoration qui se fondaient en une symphonie de couleurs et de lumières.
Tout était orchestré de main de maître, jusqu’aux luminaires en cristal, aux colonnes de marbre rosé, aux fontaines ouvragées et aux tableaux anciens.
La main que je baisai à cet instant, appartenait à une créature d'une irréelle beauté. Malgré tous ses malheurs, cette femme avait conservé un visage angélique. Une longue chevelure brune caressait ses joues pâles, et ses yeux bleu-vert avaient les reflets de l’océan. Sa robe laissait deviner le galbe d’un corps aux courbes parfaites. Un corps qui aurait pu être une source d’inspiration pour de nombreux peintres. En cet instant même, je me trouvais dans un état d’intimidation extrême.
Mon maître Lerov, nullement troublé lui-même, en vint rapidement à la raison de notre venue. Après quelques hésitations, elle parla de son premier mari.
« Burt était un homme que j'aimais et que j’admirais énormément. Malgré ses colères, il était d’une infinie douceur. Mais... deux ans avant qu’il disparaisse, son comportement changea mystérieusement...
- Continuez ! lui intima mon maître d'une voix chaude et impérieuse.
- Eh bien, tout commença lors de la découverte de ses statuettes. Il avait peur, mais il refusa toujours de me faire partager ses craintes véritables. Il était harassé par ses recherches. La nuit venue, il se sentait épié et regardait sans cesse par-dessus son épaule. Il ne me parlait plus lorsque nous nous retrouvions ensemble, il ne s’intéressait plus à moi, il disait que je ne pouvais pas comprendre la raison de ce changement. J’avais la sensation d’être oubliée dans le labyrinthe de ses folles pensées. Il lui arrivait fréquemment de hurler dans son sommeil. Ce n'était plus supportable. Il me réveillait et me répétait sans cesse :
« Ecoute !… Les entends-tu gémir ?… Les entends-tu ramper ?… Dis-moi que tu entends leurs grincements ! »
Bien entendu je ne percevais rien, et il s’endormait à nouveau, haletant et couvert de sueur.
Et puis, il y eut ce fameux soir qui fut la cause de mon départ. Je m'en souviendrai jusqu'à mon dernier souffle.
Dès l’aube, il s'était enfermé dans son bureau et ne voulait voir personne. Au crépuscule, je l'entendis vociférer des choses horribles. Ses hurlements rauques résonnaient dans toute la maison. Dehors, le ciel exprimait la plus terrible des colères. Je n'en pouvais plus de ce chaos ! Je tentai d’ouvrir sa porte, mais elle était fermée à clé. Alors j’ai regardé par le trou de la serrure… C'était horrible ! Il… Comment dire… Il était figé au milieu de la pièce... Et son visage… Mon dieu !… (elle se signa). Son visage était déformé par une hideuse grimace… Ses yeux étaient révulsés !… Son corps tout entier était pris de nombreux spasmes… violents… et intenses !... »
La voix de la veuve devenait hystérique.
« Ensuite, il y eut une coupure de courant suivie d'une forte odeur de soufre, puis un terrible fracas de verre brisé.
N'en pouvant plus, je forçai la serrure, suffocante. La pièce était vide. Burt avait disparu. Je me précipitai à l’extérieur en courant… Mais rien !
Seul le murmure du vent à travers les arbres me parvenait. »
Elle éclata en sanglots.
Lerov l'avait poussée à dire des choses qu'elle s'était efforcée d’oublier. C'était une terrible épreuve. Mon maître, qui ne semblait pas affecté par cette douloureuse confession, lui demanda le manuscrit dans le but de poursuivre les recherches de Burt O’Williams. Elle le lui donna spontanément, se souvenant qu’il avait été un intime de son mari avant ces tragiques événements. Après quoi, nous repartîmes à destination des Philippines, pour obtenir la seconde et avant-dernière partie de ce manuscrit maudit.
La première partie en disait déjà beaucoup, à la condition toutefois de savoir lire entre les lignes et d'être un érudit tel que Lerov, pour saisir les termes obscurs en lesquels s'exprimait Burt O’Williams.
C'est dans la cabine 321 à bord du cargo qui nous transportait vers les Philippines, que Lerov parcourut le manuscrit. Il me le passa, et me conseilla d’en lire un passage.
« ... Je dois préciser certains faits. Dans mon premier manuscrit, je fais allusion à une statuette pourvue d'une vie chimérique aux yeux de tous, mais qui aux miens, est douée d'une vie primitive et ancestrale, renfermant les secrets enterrés à jamais de diverses civilisations passées, ayant servi des siècles durant à aviver les légendes.
Désormais, je crois savoir à quelle époque elle a été façonnée, et à qui elle a appartenu.
Mais, j'espère me tromper... »
A ce moment du récit, son écriture devient illisible comme s'il avait été profondément troublé par quelque chose ou quelqu’un...
« ... Et pourtant, la datation au carbone 14 prouve que la statuette provient de l’ère antédiluvienne. Il faut savoir qu'en ces temps reculés, la vie, si vie il y avait, ne pouvait être que cellulaire. Qui alors, aurait pu façonner une statuette de la sorte ?
Y aurait-il eu effectivement une espèce vivante bien avant qu’on le suppose ?
L'homme avant l'homme en quelque sorte. Mais bien sûr, ce n'est là qu'une hypothèse. Ma femme souhaite que j'arrête au plus tôt mes recherches. Elle me trouve changé. D’ailleurs, ce manuscrit servira plus de mémoire que d’ouvrage.
Je ne peux prendre le risque que de tels écrits tombent entre des mains non initiées.
J'avais mentionné dans mon premier recueil qu’à la nuit tombée, il me semblait entendre des bruits évoquant des gargouillements, hors de la maison. Cela se confirme maintenant. Je sens une odeur âcre et putride et j’entends d’étranges mélopées aux sonorités inhabituelles, une sorte de chant des sirènes…
Bien sûr, ma femme me dit qu’elle ne sent, ni n’entend. Je la soupçonne d'avoir passé un pacte maudit avec eux... Ho ! Mon dieu !… Comment puis-je en arriver à cette conclusion sordide et douter ainsi de ma bien-aimée ? Celle que je chéris au-delà de tout ! »
Ce fut la dernière ligne du manuscrit.
A première vue, l'éminent géologue était en proie à des crises de délire.
Mon maître Lerov était silencieux. Quel curieux personnage, rien ne semblait le troubler.
« La soeur de Burt O’Williams tient un cabinet médical aux Philippines, me dit-il. Espérons qu'elle soit toujours en possession du manuscrit. »
Je décidai de goûter un moment de solitude, et me rendis sur le ponton pour y respirer l'air frais du large. Je laissai errer mon regard vers ces étendues infinies, la nuit recouvrant de son manteau huileux ces abysses inexplorés...
Deux jours plus tard, nous accostions à Ozamiz, dans l’archipel des Philippines.
Dès notre arrivée au cabinet médical, la soeur de Burt O’Williams nous remit le manuscrit et nous conseilla vivement de quitter le pays.
Sans mot dire, mon maître Lerov m’entraîna au dehors et nous mîmes le cap sur le Tibet, région où demeurait le frère du géologue.
Dans l'avion qui devait nous déposer dans le village d'Ikra, Lerov, après avoir parcouru la deuxième partie du manuscrit, m’en fit lire un extrait.
Si ces lignes n’eussent été écrites par un éminent géologue de réputation mondiale, j'eûs probablement cru à une fable pour adultes. Voici ce que je pus lire :
« ... Je viens de faire une découverte extraordinaire, mais je ne peux la dévoiler aux scientifiques, de peur qu’ils me prennent pour un fou. Coucher sur le papier le cheminement de mes recherches m’est difficile. Je vais toutefois tâcher de m'expliquer clairement.
Lorsque l'être humain pénètre dans l’univers de Morphée, il parcourt des mondes extraordinaires dans la plus totale inconscience. Le lendemain, il aura oublié ces visions oniriques dans la plupart des cas. Maintenant, si l'on s'efforçait de donner à nos rêves une forme matérielle et concrète grâce au psychisme, si la pensée artificielle devenait réalité, si un sentiment pouvait se toucher, si l’on pouvait respirer l’air des étoiles, si le don d’ubiquité devenait accessible à tous, si le rêve d’Icare n’était plus un rêve, si vous croyez en l’immortalité et que vous êtes prêts à accepter cette théorie, alors vous comprendrez le fruit de mon travail. J'en ai fait l'expérience à l’aide de la statuette... »
C’est là que s’achevait la deuxième partie du manuscrit.
Lorsque nous arrivâmes au Tibet, aucun guide ne voulut nous conduire au village d'Ikra.
« C’est un endroit maudit depuis qu’il fut la scène d'un terrible massacre », nous expliqua un autochtone.
« Cela remonte à la nuit des temps. Afin d’apaiser la colère des dieux, le sorcier du village ordonna à la population de se mutiler puis de se tuer, dans la noire vallée longeant Ikra. Des os humains furent retrouvés. Certains étaient réduits en poussière, laissant imaginer avec quelle sauvagerie ils s'étaient suicidés. »
On entend, aux dires des habitants, d'étranges cris remontant de la vallée les soirs sans lune. Certains affirment que des esprits damnés hanteraient ce lieu à la recherche de l’âme du sorcier, pour sauver leurs âmes. Seuls quelques fanatiques ont décidé de s'implanter au village.
L’homme qui nous avait renseignés disparut, visiblement terrorisé.
« Superstition », pensai-je...
Mon maître Lerov demeurait, quant à lui, toujours aussi imperturbable. Nous nous mîmes en route, seuls avec quelques éléments d’orientation, et après deux jours de marche éprouvante, nous arrivâmes au village.
Ikra était quasi désert, presque abandonné. L’humilité que dégageait le monastère devant nous, imposait le recueillement.
Un bonze vint nous accueillir et nous demanda le but de notre visite.
Mon maître Lerov lui expliqua que nous étions à la recherche d’un dénommé O’Williams. Il nous conduisit alors dans un temple où nous traversâmes un hall au centre duquel coulait une fontaine. Son doux murmure était le seul écho qui me parvînt, dans ce lieu hors du temps.
« Nous sommes arrivés pendant leur méditation », me chuchota mon maître.
Ils devaient être une dizaine, disposés en cercle. De grandes toiles tissées, symbolisant la souffrance et la délivrance, étaient accrochées dans la salle des prières. Lorsque leur méditation prit fin, les lamas sortirent en silence pour vaquer à leurs tâches respectives, puis un bonze de type européen vint dans notre direction.
Lerov lui expliqua l’objet de notre visite.
Sans la moindre réticence, il nous remit la dernière partie du manuscrit.
« Mon frère est mort fou, nous dit-il, cet écrit est l'oeuvre d'un aliéné. Tout ce qui y est conté n'est que délire et hallucinations. J'ai bien peur que vous ayez entrepris ce voyage pour rien. »
Nous partîmes sur le champ.
Je ne sais si c’était à la lecture de cette dernière partie du manuscrit, ou à cause de cette fabuleuse odyssée, mais à dater de ce jour mes pensées furent un peu plus confuses, et mes nuits agitées n’arrangèrent pas les choses. Mon esprit est embrumé. J’ai de vagues souvenirs de silhouettes sombres qui s’évaporent en chuchotant dans une langue qui me semble familière, juste un peu avant mon réveil au moment même ou mes yeux s’ouvrent difficilement. Je ne sais qu’en penser.
«Relis la dernière partie ! m'ordonna mon maître.
- Je ne peux pas… » sanglotai-je.
- Tu le peux et tu le dois ! Je veux que cela reste gravé en toi jusqu'à ta mort. »
- Mais c'est horrible ! Aucun être humain ne peut concevoir ça… Seul un fou a pu écrire de telles choses !
- Oui, reprit-il, un fou génial qui a vu des choses que nous ne comprenons pas dans notre monde basé sur la géométrie à trois dimensions. Il a suivi la courbe de l'espace, franchi les barrières de l'infini, supplanté les limites de l'inconnu, pénétré l’intimité des morts !… Et alors il a vu… Il a compris… et il en a perdu la raison, ainsi que la vie. Allons ! Relis-le à haute voix. »
Malgré moi, je m’exécutai :
« ... Je pense rester chez moi, pour la dernière nuit. Ma femme pleure tout le temps, elle prétend que je hurle dans mon sommeil.
Ainsi que je l'ai exprimé, il est possible de projeter une pensée en une forme matérielle. Eh bien, cette expérience, je l'ai réalisée, je l'ai vécue, et je n'ose en imaginer les conséquences... La statuette trône sur mon bureau, elle me fixe à travers ses fines entailles. Seule la lune, de sa clarté blafarde, éclaire les lieux. Et l’astre des nuits, ce soir, doit impérativement briller. Les sept étoiles de la constellation de la pléiade sont alignées. Ce phénomène se produit une fois tout les trois cents ans, et nous sommes parvenus précisément en ce jour. Alors à mon tour, je scrute la statuette. Au plus profond de mon être, je pense jusqu’à entrer en totale communion avec elle… »
A cet endroit, l’écriture d’O’Williams devint illisible, mais Lerov, le regard perdu dans l’infini, semblant ne plus me voir, poursuivit à haute voix comme s’il revivait la scène :
« Soudain la pièce bascula, les murs s’effacèrent, la lumière qui m'entourait se fit son, et le son se fit image. Je réalisai dans quel univers chaotique je me trouvais. Je n'étais plus Burt O’Williams, j'étais bien plus. Je devenais un gaz éthéré. Mieux encore, j'étais devenu à moi seul une entité. Je vis défiler le passé et le présent... Je vis Attila et sa horde crasseuse, s’adonner à des actes barbares innommables, Je fus témoin de guerres abominables et destructrices qu’aucun livre d’histoire ne relate… j’assistai au règne, sur terre, d’un roi unique, assis sur un trône qui flottait au milieu du Pacifique.
Je vis aussi ma femme pleurer derrière la porte.
Je constatais tout cela, et j'étais impuissant. Je ne pouvais rien dire ni rien faire. De plus, je vis la réincarnation de la statuette, hideuse, aux formes humaines, se matérialiser devant moi. Elle me fit signe de venir, avec ses mains aux prolongements griffus, afin que je rejoigne son monde. Sa silhouette m’était familière sans pourtant que je la reconnaisse, et elle m’appelait d’une voix sifflante par mon deuxième prénom que peu de mes intimes connaissent.
Mais je ne voulais pas lui obéir, car j’avais peur ! Je suis victime de mes recherches, avide d’un savoir interdit réservé seulement aux dieux. Soudain, un brouillard glauque vint envahir mon cerveau, laissant place de nouveau au présent auquel j’appartiens.
Les murs réapparurent… Je me trouve dans ma pièce, glaciale, reprenant p��niblement mes esprits. La statuette est sur mon bureau, figée et insolente. J’entends ma femme qui tente d'entrer, et puis, il y a ces bruits de reptation dans mon dos, ces sifflements venus de nulle part... Non... La lune est recouverte par les nuages… Il ne faut pas ! Les bruits...La vitre qui explose... Toi ! Comment est-ce possible ? !...
Non ! !...N’approche pas ! !...Non ! !...Non ! !...Non ! !... »
Lerov était transfiguré, il semblait possédé. Les images bleutées de ces réminiscences se dissipèrent peu à peu pour laisser place au tombeau, qui se présentait méprisant et glacial à mes yeux rougis par les pleurs.
Après avoir ouvert le cercueil, je crois que je tombai évanoui. J’ai le souvenir des yeux perçants de Lerov, puis celui de mon propre regard qui dérivait à l'intérieur de la sépulture. Mais ce n'était pas le corps du géologue Burt O’Williams qui s’y trouvait, tel que je l'avais vu sur des photographies. Non, c'était l'horreur à l'état pur, l'indicible momifié. A ses côtés, arrogante, se trouvait la statuette. Mon maître se l’appropria d’un geste vif, brûla le manuscrit puis mit le feu au cercueil.
« Partons à présent ! Notre mission est achevée ! » me dit-il d’une voix victorieuse.
Ces événements se sont déroulés il y a trois ans. Et pourtant, dans mon sommeil agité, je ne parviens pas à chasser la vision des yeux exorbités du géologue, semblables à ceux d'un homme ayant vu une porte ouverte sur le surnaturel. Et pourquoi le rictus imprimé sur ses lèvres m’évoque-t-il un sourire si familier ?
Pourquoi ?...
ANNEXE.
Seize ans plus tard.
15 juin 1949 carnet de bord.
Je m’appelle Philippe Mac Grégoire. Je n’ai plus revu mon Maître Lerov depuis bientôt 19 ans. Je suis devenu géologue et chercheur à mon tour. Peut-être pour rendre un ultime hommage à Burt O’Williams.
Hélas… et combien je le déplore, je ne suis pour ma part, jamais parvenu à découvrir d’autres statuettes semblables à la sienne.
Quatre ans déjà que le musée d’histoire naturelle de Londres a brûlé, emportant avec lui tous ses secrets. Après la rédaction d’un mémoire traitant des recherches de Burt
O’Williams, j’entreprends l’écriture d’un livre rapportant ses découvertes mais malheureusement, jusqu’ici je n’ai pas retrouvé la trace de son ouvrage Les Cultes oubliés à la Bibliothèque Nationale. Pas plus que je n’ai pu localiser celui qui en fut l’éditeur. Je dois me résoudre à penser que tout a été manigancé pour effacer à tout jamais la trace des découvertes de cette personnalité hors du commun...
Il était écrit dans la dernière partie du manuscrit, que la silhouette à l'apparence humaine de la statuette réincarnée lui était familière. Il mentionnait aussi que la chose l’avait appelé par son deuxième prénom. Mais comment pouvait-elle le connaître, à moins d’être l’une de ses proches connaissances ?...
Après de multiples recherches, je viens de comprendre une infime partie de ce que Burt O’Williams a pu vivre à travers ses expériences. En revanche, je sais à présent et de manière précise, qui est la réincarnation se cachant derrière la statuette, appartenant à un monde souterrain et différent du nôtre. Le géologue a dérangé des êtres monstrueux plongés en état de léthargie depuis des siècles, et réveillé leur instinct de domination en ouvrant une brèche sur notre univers. L’approfondissement de mes ��tudes a déclenché en moi le syndrome qui perdit O’Williams. Coïncidences ou symptôme paranoïaque, j’entends à mon tour d’étranges grognements...
Mes cauchemars ont recommencé. Les silhouettes qui avaient disparu hantent de nouveau mes nuits. Et cela devient de plus en plus fréquent, à tel point que j’ai peur de dormir. J’essaye de rester éveillé le plus longtemps possible mais la pression du sommeil se fait trop intense et je tombe dans un sommeil lourd et profond. C’est sans doute à ce moment-là qu’elles se manifestent.
Je crois percevoir que ces choses habillées de capes noires ont un rapport avec mon histoire. Mais je n’arrive pas réellement à décrypter leurs chuchotements inquiétants. Je me refuse à croire ce qu’elles veulent me faire admettre entre deux sifflements hideux. Mais hélas ! Ce que je ne devrais pas entendre, je le comprends désormais. Ces bribes de phrases qui n’auraient jamais dû être écoutées me révèlent froidement mon lien de sang avec elles, arretez, ARRETEZ...
Je suis alors confronté à mon propre miroir d'une connaissance que je croyais savoir et d'un savoir que j'imaginais connaitre.
Confronté à mes angoisses et aux buts manqués comme à l'image du père qu'on a pas eu le temps de "tuer" par faute de temps ou par lacheté, mais il est désormais trop tard...
Je n'ai d'autres choix que de venir à vous...
Résigné, triste et heureux à la fois.
Oui, c'est décidé j'arrive. Je veux que cesse mon tourment.
Oui père... J'arrive !
Un an plus tard, à l’hôpital psychiatrique de Sainte-Anne à Paris.
13 février 1950 : 23 heures 50
« Que se passe-t-il, mademoiselle ?
- C’est le patient de la chambre 24, docteur. Il est en proie à des hallucinations de plus en plus rapprochées... Il parle constamment d’une statuette ainsi que de monstres aquatiques surgis du passé. Il prétend que ces choses l’interpellent, et qu’elles se manifestent à lui par légions durant son sommeil. Il affirme aussi que le chef de ces hordes imaginaires a un nom, qu’il marmonne sans cesse : un nom comme Lerov, je crois... »
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