#le voyage de pénélope
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crepuscule-pourpre · 6 months ago
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La femme d'argent • Sexy Boy • All I Need • Kelly Watch the Stars • Talisman • Remember • You Make It Easy • Ce matin-là • New Star in the Sky • Le voyage de Pénélope
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bonsoirs37 · 2 years ago
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24/04 étape 20 Lilaire - Pissos . Ce matin petit déjeuner avec Hugues qui nous parle de son environnement et qui nous accompagne sur un km pour continuer la conversation, la chatte Pénélope et la chienne Muse nous accompagnent à travers la forêt des Landes. Il nous indique où trouver le nid du Marsupilami ! En fait,c'est une bizarrerie de la nature, le pin forme une grosse boule de petites branches, c'est curieux. J'ai fait le chemin avec Naomie qui s'arrête à Moustey. Depuis un moment nous voyons loin derrière un petit groupe qui s'avère être des Pèlerins. Je propose à Naomie de les attendre et donc nous faisons une halte à Saugnac. Quelques minutes plus tard j'entends crier mon prénom !!! Les 2 couples qui voyagent avec leurs voitures...que j'ai rencontrés au prieuré de Cayac. Nous faisons un bout de chemin ensemble jusqu'à Moustey ou là, je les laisse filer et déjeune avec Naomie qui, elle est arrivée. J'ai toujours fait les étapes en solo et aujourd'hui avec Noémie, ce n'était pas mon rythme et ensuite avec les 4 autres pèlerins, Pierre n'arrêtait pas de parler de l'actualité. Moi qui suis complètement déconnecté de tout ça, je dois dire que les 5 km effectués ensemble m'ont suffit. Je préfère marcher seul à mon rythme et faire les rencontres aux étapes. A Moustey devant l'église une borne nous indique qu'il ne nous reste plus que 1000 km jusqu'à Santiago, il me restera, en plus, 3 jours pour rejoindre l'océan. Du coup à Moustey, j'ai fait tamponner ma crédential pour marquer les 1000 km restants. Pissos : une trentaine de chalets bois pour les touristes dont un réserver, par la municipalité, pour les Pèlerins au tarif de 10€ la nuit sous condition, bien sûr, de montrer la credencial.
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havaforever · 9 days ago
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CHIHARU SHIOTA pour la réouverture (partielle) du Grand Palais
L'exposition The Soul Trembles s'ouvre sur cette phrase en forme d'avertissement : "Qu'elles intimident, surprennent ou apaisent, les installations de Chiharu Shiota ne manquent pas de fasciner." Rien n'est plus vrai. On pourrait ajouter que les œuvres de la Japonaise Chiharu Shiota, née à Osaka en 1972, questionnent et peuvent aussi choquer.
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Dès l'entrée de cette exposition monographique, co-organisée avec le musée Mori de Tokyo(Nouvelle fenêtre), les visiteurs se font surprendre par une installation suspendue au-dessus de l'escalier monumental. Des cadres métalliques tissés de fils blancs dessinent comme des ailes d'anges s'envolant vers le ciel. Une œuvre monumentale, mais poétique et aérienne en guise de lever de rideau. C'est la seule œuvre qui n'a pas été spécialement composée pour l'expo, elle était déjà présente au Bon Marché, il y a huit ans.
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Le parcours retrace trente ans de création multiforme depuis ses premiers pas d'artiste, dans les années 1990. C'est la plus importante qui ait jamais été dédiée à sa carrière en Europe. À côté des installations immersives les plus spectaculaires, elle réunit des dessins délicats (y compris le tout premier chef-d'œuvre de l'artiste, une fleur et un papillon peints à l'âge de 5 ans), des photos, des vidéos de ses performances (un bain d'eau boueuse, son corps nu escaladant une paroi et se lovant dans une grotte), des décors de théâtre et d'opéra, de vieilles chaussures et des jouets qu'elle collectionne. Elle aime les objets de seconde main ayant déjà vécu.
Le fil rouge de l'exposition, s'il fallait en choisir un, ce serait justement le fil, élément essentiel de son travail. Chiharu Shiota a-t-elle été araignée ou Pénélope dans une vie antérieure ? Toujours est-il qu'elle tisse sa toile et nous capture dans les filets de son imagination. L'installation baptisée Voyage incertain qu'elle recrée pour le Grand Palais plonge les visiteurs, émerveillés, dans un bain de couleur.
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Des barques métalliques noires laissent s'échapper des geysers de fils rouges qui s'entrelacent et créent comme une brume incandescente au plafond. L'artiste explique que "d'une certaine manière, ils symbolisent mon état mental vis-à-vis de la complexité des relations humaines". Ces fils de laine rouge, qu'un petit garçon veut absolument toucher, font penser aux réseaux de neurones dans le cerveau ou encore au flux sanguin dans nos veines. Le visiteur circule dans l'œuvre et lui donne vie.
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Les visiteurs sont invités à ressentir "les frémissements de l'âme" qui rythment le monde intérieur et l'art. La plasticienne s'inspire souvent d'une expérience ou d'une émotion personnelle. Une autre pièce surprenante, entièrement tissée de fil noir, évoque un terrifiant souvenir.
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"Tu as vu la vallée de valises ?", demande une dame. "Oui, quelle imagination !", s'émerveille son amie. La dernière salle de l'exposition laisse de nombreux visiteurs bouche bée. Au plafond pend un régiment de valises anciennes suspendues par des fils rouges. "Quand je regarde une pile de valises, tout ce que je vois, c'est le nombre de vies humaines auxquelles elles correspondent. Pourquoi ces personnes ont-elles quitté leur lieu de naissance, en quête d'une destination ?", explique l'artiste japonaise exilée en Allemagne. "Je pense aux sentiments qui les animaient le matin de leur départ."
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Avec l'affluence, certaines parties de l'exposition sont difficiles d'accès. En particulier, le couloir trop étroit où sont présentées les œuvres de jeunesse de l'artiste. Il est aussi regrettable qu'un seul et unique banc permette de s'asseoir pour profiter du film projeté dans l'exposition. Il retrace intelligemment et intelligiblement, même pour les non-initiés, le parcours de Chiharu Shiota en décryptant les mystères de sa création.
On entend à plusieurs reprises la plasticienne de 52 ans revenir sur ses choix et ses thèmes de prédilection : la vie, la mort, la peur de la mort, l'absence, le souvenir, le traumatisme. Elle finit avec ces mots : "Tant que j'ai de l'imagination, je continue à créer et à rêver."
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englishindubellay · 24 days ago
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ecg 1
Prefer – would rather - like – would like - mind
Jeanne préfère conduire que de voyager en train, pourtant c’est bien moins écologique et économique. Prefer (un quai de gare, réserver un billet, prendre un train, un wagon, to jump on the bandwagon, car-pooling)
Tom préfèrerait aller en vacances à l’étranger car il connaît déjà toutes les régions de France. Il ment ! Rather (la Bretagne, la Bourgogne, la Normandie, up and down the country, la campagne, across the world, worldwide, nationwide)
Axel préfèrerait de pas sortir ce soir car il est fatigué et il a d’autres chats à fouetter comme réviser ses maths. rather not (to hang around, a hangover, drink-driving, enfreindre la loi, un chaton, a fat cat, to fight like cat and dog, to let the cat out of the bag)
Bastian a demandé : « Qui va conduire ? ». Alan a répondu : « Je préfèrerais que tu conduises. Comme ça, je pourrais boire une bière chez Brieuc». rather (to hitchhike, emmener quelqu'un en voiture, a backpacker, to thumb a car, le covoiturage, un automobiliste, un 4x4, can you give me a lift to… ?)
Est-ce que tu vas dire à Pierre-Louis ce que j’ai dit à son sujet ? Je préfèrerais qu’il ne le sache pas. Rather (by word of mouth, to gossip, a friend in need is a friend indeed, to slander, swear words, four letter words, political correctness)
Cyril n’aime pas qu’on le fasse attendre. C’est pourquoi il est toujours en retard. C’est un drôle de comportement, non ? Like (a wait and see attitude, a waiter, a waitress, attendre un train, attendre un bébé, time and tide wait for no man, attends ! Attends moi !)
Sacha m’a dit qu’il n’aimerait pas aller en boite tout seul. La prochaine fois, invite-le. Il sera ravi. Would not like (a venue, sortir en boite, bien s'amuser, a gig, la beuverie expresse, l’a culture de l’alool, une cuite)
Dis-moi Malo ça t’embêterait de fermer la porte. Je ne veux pas que Romane entende ce dont nous allons parler. Mind (fenêtre, plafond, sol, cloison, a lounge, la cave, le grenier, le toit, le sous-sol, le garage, a closet, a wardrobe, a coffee-book table, une table de nuit))
Ca ne gêne pas Shanice de regarder trois épisodes de Game of Thrones d’affilée. Elle est vraiment accro. Mind (binge watching, une série, regarder la télé, a couch-potato, un abonné, s'abonner, se désabonner)
Ca t’embête si je demande à Julia de me déposer à la gare ? Pas du tout. Je me demande pourquoi tu me poses cette question ! Mind (être pressé, être à l'heure, arriver en avance, l'avenir appartient à celui qui se lève tôt, un automobiliste, to commute to work)
Pénélope n’a pas pu venir à mon anniversaire. Elle aurait aimé venir. Tant pis mais j’espère qu’elle me donnera un cadeau. Would like (un cadeau d'anniversaire, une carte d'anniversaire, fêter un anniversaire, a gift, to throw a party, un fêtard, prendre du bon temps)
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processusppc · 2 months ago
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Eureca
Le personnage/acteur essaie de communiquer. La bouche s'est éloignée du corps.
C'est cet Ulysse qui veut revenir à la communication, à la parole, au mot parce qu'il est réel. La parole qui est comprise.
D'abord, ce que je vais travailler, c'est la veborragia, ce corps-mot. la verborragia et la répétition, bla, bla, bla. Une sorte de mantra. Le spectateur ne comprend pas forcément quelque chose, mais il ressent quelque chose. Cela ne passe pas par l'intellect.
Des mots vagues qui n'ont pas nécessairement de lien. Mais il y a un flux inhérent, un rythme.
Le personnage sur l'île - le personnage est le bateau lui-même - flotte dans une eau de langage entourée de microphones, essayant d'atteindre ces microphones en les tirant près de lui, comme s'il pêchait - et à chaque action de parler dans ce microphone, il y a un état différent de ce corps de mots. Le personnage essaie de communiquer et ne parvient pas à se faire comprendre, entendre ou accéder. La lutte du personnage pour revenir aux mots, à la communication.
Un personnage qui découvre le micro et la possibilité de parler. Lorsqu'il parle, il s'entend pour la première fois. Il y a là quelque chose de primitif. L'eau, le son qui résonne.
Le mot devient corps, il devient image.
Des îlots de microphones autour d'un bateau-personnage qui veut voyager à travers le langage mais revenir à la compréhension.
Des îles continentales.
Il sort le micro, l'amène à lui, quand il le prend et parle, qu'est-ce qui sort ? Des mots vagues qui n'aboutissent à rien. À un autre moment, c'est comme si tout ce qu'il disait sortait d'un Wikipedia, débitant des futilités au hasard, sans le moindre lien avec lui-même ou l'espace. Et tout ce dont il parle, c'est de futilités aléatoires. Puis, dans un autre micro, il parle de poésie, de chuchotements, etc. Dans un autre micro, il parle grec. Et ainsi de suite. Il y a une dichotomie, le personnage apprend, mais il prend aussi ses distances parce qu'il atteint une couche d'information, de communication et de regrets. S'amuse-t-il ou commence-t-il à comprendre comment communiquer ?
La communication ouvre, élargit, ferme et détourne l'attention.
Qu'est-ce que cela signifie vraiment ? Le besoin de revenir à la communication, qu'est-ce qui est si important qu'il veut que les gens comprennent ?
La possibilité de recueillir des paroles du public ou d'induire une question au début et les réponses de certains sortent de la bouche du personnage d'une île-microphone-mot.
La possibilité de recueillir les commentaires du public ou de poser une question au début et les réponses de certains viennent de la bouche du personnage sur un îlot de micro. La crise de la communication : la solution ?
Un autre acteur peut être sur le rivage, à côté du public, symbolisant Pénélope, quelqu'un qui tisse un réseau d'informations, recueillant ces lignes du public - Cet acteur peut même poser des questions au public telles que :
Vous avez compris ? Qu'aimeriez-vous dire ? Où voulez-vous en venir ?
Ulysse/personnage a un problème de communication : alors qu'il parle toutes les langues, il n'est pas compris. Et les personnes présentes, le public, sont là pour l'écouter. Et il le sait d'une certaine manière.
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puddleheaart · 4 months ago
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super-caribe-suomi1012 · 9 months ago
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"Ulysse est maintenant un autre Ulysse, qui retrouve une autre Pénélope... Et Ithaque aussi est une autre île, à la même place, mais non pas à la même date ; c'est une patrie d'un autre temps..."
"Le voyageur revient à son point de départ, mais il a vieilli entre-temps !
S'il était agi d'un simple voyage dans l'espace, Ulysse' n'aurait pas été déçu ; l'irrémédiable, ce n'est pas que l'exilé ait quitté la terre natale : l'irrémédiable, c'est que l'exilé ait quitté cette terre natale il y a vingt ans. L'exilé voudrait retrouver non seulement le lieu natal, mais le jeune homme qu'il était lui-même autrefois quand il l'habitait. Ulysse est maintenant un autre Ulysse, qui retrouve une autre Pénélope... Et Ithaque aussi est une autre île, à la même place, mais non pas à la même date ; c'est une patrie d'un autre temps. L'exilé courait à la recherche de lui-même, à la poursuite de sa propre image et de sa propre jeunesse, et il ne se retrouve pas. Et l'exilé courait aussi à la recherche de sa patrie, et maintenant qu'elle est retrouvée il ne la reconnaît plus. Ulysse, Pénélope, Ithaque : chaque être, à chaque instant, devient par altération un autre que lui-même, et un autre que cet autre. Infinie est l'altérité de tout être, universel le flux insaisissable de la temporalité. C'est cette ouverture temporelle dans la clôture spatiale qui passionne et pathétise l'inquiétude nostalgique. Car le retour, de par sa durée même, a toujours quelque chose d'inachevé : si le Revenir renverse l'aller, le «dédevenir», lui, est une manière de devenir ; ou mieux : le retour neutralise l'aller dans l'espace, et le prolonge dans le temps ; et quant au circuit fermé, il prend rang à la suite des expériences antérieures dans une futurition' ouverte qui jamais ne s'interrompt : Ulysse, comme le Fils prodigue, revient à la maison transformé par les aventures, mûri par les épreuves et enrichi par l'expérience d'un long voyage. Mais à un autre point de vue le voyageur revient appauvri, ayant laissé sur son chemin ce que nulle force au monde ne peut lui rendre : la jeunesse, les années perdues, les printemps perdus,les rencontres sans lendemain et toutes les premières-dernières fois perdues dont notre route est semée..."
L'Irréversible et la Nostalgie, 1983.
Vladimir Jankélévitch (1903-1985).
〰️〰️〰️
Léon Belly (1827-1877).
Les Sirènes avec Ulysse, 1867.
Huile sur toile 363 cm X 300 cm,
Musée de l'hôtel Sandelin, Saint-Omer.
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porcelain-tongue · 10 months ago
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Brooklyn, New York / no. 1
on Brooklyn bridge at half past 1 the tower has just finished catching fire and the smoke is settling and the rain is coming I am densely packed into rubber black raincoat and ears of plastic with sound I am- Le voyage de Pénélope a mile-long path to appear at the door of the dead; an umbrella in reverse the Palm reader, a 5 dollar bill I am- rabbit? standing on tiptoes to see the distance to the water visualizing the fall to worry of it is to behold it in its truest form
at half past 2, I have reached Chinatown (again) the lanterns are lit I dream of this place often, I am only spirit— each room beckons with a flourescent light I am-
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to be here again and again
death is imminent and I cannot stay the tower is falling I must reach the Brooklyn bridge at half past 3 I take my time and spin it a home between my breasts I protect the innocence of a telephone whose wires have been snipped I breathe, “Love! love! love!” and cry, and cry the smoke rises again, the pinnacle of The Tower- fades against it
In the rain I am- Space I can wrap my arms around this city and fold them back into my body
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dancing-to-architecture · 2 years ago
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27 - Air - Moon Safari (1998)
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Okay, I'm pretty sure this band is French, since it says "French band" right on the album.
I know *of* Air, and i know a few people from college who will be mad when i say that I've never intentionally listened to this band. Might have heard a song or two out in the world, but I've never said or thought: "i think i'm gonna listen to Air today".
•La femme d'argent-
[Silver Woman]
Okay after Guided By Voices rapid-fire bullshit, I'm fine with an album opening with a 7 minute long song.
Funky fuckin bass (that you can actually HEAR! [surprised_pikachu.jpg]) Some really slick keyboard work here.
I enjoyed the first two minutes of instrumental here more than the entirety of what i heard of the last album.
Kinda spacy, *very*lush, very atmospheric.
~5 minutes in: okay I've decided that i want to listen to this album while on acid at some point in time.
•Sexy Boy-
Oh shit, I know this intro from somewhere. (Hears the lyrics kick in) definitely a few movies have used this one, and i feel pretty confident that other bands have used it as a sample as well. Maybe Girl Talk?
Regardless, i definitely know this one.
Sadly, my knowledge of French has severely diminished in the... oh shit, 25 years since i last spoke it with any kind of regularity, so i can't really comment on any French lyrical content, but this song doesn't just fuck, it *seduces* first.
•All I Need-
Ooh, Beth Hirsch has a pretty voice. This is a song to get naked to. Very sensual, very smooth instrumentation.
•Kelly Watch the Stars-
Typically, I'm not fond of songs that just repeat one line over and over and over but sometimes they just work, e.g. Daft Punk's "Around the World", where the lyrics basically become another part of the instrumentation.
This one works as well.
•Talisman-
Another instrumental. Pretty chilled out, but the steady drumming keeps it from plodding.
If you told me this song was in a spy movie, I'd easily believe you.
•Remember-
Have to make another Daft Punk reference, because "two French guys singing in autotuned English". I'm certain they caught more than a few comparisons to The Robots throughout the years.
Short and sweet, based on the limited French i can remember.
•You Make It Easy-
More Beth Hirsch? Yes, please, don't mind if I do.
Oh, this is a genuinely beautiful song. If i had known about this one at the time, it definitely would have played at my wedding reception.
•Ce matin-la-
[This morning]
Another pretty instrumental. I love the trumpets: jubilant but not overpowering.
Damn, this is a pretty song. Pleasant, with a bit of a funky vibe. Reminds me of another French band, Stereolab.
This is a pretty album.
•New Star in the Sky-
Okay, is that an *electric HARMONICA*!?
Pretty and spacy, but the repeated lyrics don't work as well as on Kelly.. starts to feel a little slow by the end.
•La Voyage de Pénélope-
Ending on another instrumental, with a decidedly Pink Floyd-ian feel to it.
Le voyage de Pénélope est clairement dans l'espace lointain...
Well, that was an album I'm mad at myself for sleeping on for so long.
I'm actually happy with my laziness for once because due to having to play catch-up, i got to hear all of this beauty after hearing about 16 minutes of Guided by Voices.
Favorite Track: Sexy Boy, hands down.
Least Favorite Track: New Star in the Sky is likely the only song I'd want to skip on further listening, so that's it.
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lesparaversdemillina · 2 years ago
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gimmefrisson · 2 years ago
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k--a--r--e--n · 2 years ago
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Laying on my couch with a good book to read and chill music on in the background… this is me at my most relaxed 😌 this is my happy place.
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journaldenimportequi · 2 years ago
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Mardi 7 mars 2023
Oh Caroline !
Encore une fois il a fallu que je me mette un coup de pied au cul pour me forcer à écrire ce soir. Ce n'est pas comme si je n'avais rien à dire mais la motivation n'est pas au rendez-vous. J'ai ouvert mon bloc notes virtuel et j'ai jeté un coup d'oeil à mes notes. Ca concerne essentiellement le concert auquel j'ai assisté il y a un peu plus de deux semaines lors du bond que j'ai fait à Paris.
Alors voilà, comme prévu, j'ai pris un train pour Paris où je ne devais rester qu'une journée pour voir ce fameux concert de Caroline Polachek et rentrer le lendemain après avoir passé une nuit à l'hôtel.
Le voyage en train s'est bien passé, j'avais de quoi lire, j'avais de la musique, aucun souci, en général j'apprécie les voyages en train et les trois heures et demi séparant Clermont-Ferrand de Paris sont passés plutôt vite.
Une jeune fille était assise à côté de moi durant tout le trajet. Elle avait un look intéressant et je me suis dit que j'aurai aimé faire sa connaissance, mais nous nous sommes échangés que quelques mots (je lui ai dit que si elle avait besoin d'utiliser la prise qui se situait de mon côté, elle n'avait pas à hésiter à me faire signe) et ce fut tout.
Arrivé à Paris, je suis allé acheter des tickets de métro (hors de prix) après avoir fait la queue pendant une demi heure interminable (je déteste attendre et j'ai aucune patience pour ces choses là). Puis ce fut direction l'hôtel, le même que celui dans lequel j'avais séjourné quelques mois avant. J'aime bien avoir mes marques, ce qui explique que j'ai choisi de séjourner encore dans cet hôtel relativement modeste.
Le soir venu, je me suis rendu à la salle de concert (salle Pleyel) après des trajets interminables en métro (j'exagère un peu).
J'ai immédiatement constaté qu'il y avait une queue importante devant l'entrée et je m'y suis mis, tout au bout. J'ai dû encore patienter relativement longtemps, ce qui est un peu idiot de ma part, puisque j'avais une place assise et numérotée, alors, nul besoin d'arriver avant tout le monde. Whatever...
Ce qui m'a sauté aux yeux, en voyant tous ces gens venus assister au concert, c'est la nature flamboyante de ces jeunes gens. Ils avaient presque tous des tenues extraordinaires, parfois complétée par un maquillage du même acabit, chez les filles comme chez les garçons. J'ai alors réalisé qu'il s'agissait d'un public essentiellement queer. Naïf comme je suis, je n'avais alors pas encore réalisé que Caroline Polachek était une sorte d'icône gay !
Ce public, je n' l'oublierai jamais parce qu'il était vraiment intéressant, complètement différent de celui que j'ai l'habitude de côtoyer lorsque je vais à mes habituels concerts de rock composés essentiellement de mâles hétérosexuels de plus de 50 ans au look tout ce qu'il y a de plus convenu.
Le fait seul de regarder tous ces jeunes gens extravagants était un divertissement en soi, mention spéciale à ce grand Noir au blouson de moto en cuir qui portait d'immenses platforms shoes, très impressionnant ! Et à côté, il y avait moi, me sentant comme un con dans mon vieux jean et avec mes vieilles Converses... Heureusement, en haut, j'étais vêtu d'un sweat-shirt à l'effigie de David Bowie : l'honneur fut sauf !
En entrant dans la salle Pleyel, j'ai encore eu le loisir d'observé encore un peu plus la faune locale et j'ai même pu croiser Pi Ja Ma, la chanteuse... Je suis très observateur, et il n'est pas rare que je repère des personnalités lorsque je me rend à des concerts parisiens (souvenir de cette fois où à l'Olympia j'avais repéré Pénélope Bagieu).
Ce fut ensuite le moment pour moi de me rendre à ma place située au premier balcon. J'étais en avance et j'ai eu tout le temps d'assister à la prestation de la première partie, une dj mixant de la musique électronique pendant un bon moment. Ca allait, c'était relativement agréable, même,  j'avais vu pire, comme premières partie.
Et le moment qu'on attendait tous est arrivé, Caroline Polachek a fait son entrée en entonnant le titre qui ouvre son nouvel album sous les acclamations d'un public complètement fou de joie. L'album était sorti il y a moins d'une semaine avant et les gens connaissaient et chantaient les paroles par cœur, ce qui m'a bluffé.
J'ai vraiment beaucoup aimé le concert et j'ai pris un pied pas possible au moment ou Caroline a chanté So Hot You're Hurting My Feeling (et je n'étais pas le seul). Je dois même avouer qu'au cours de la chanson, un frisson a parcouru mon corps, chose qui m'arrive rarement, en concert (la fois précédente c'était en écoutant Pete Townshend chanter « don't cry, don't raise your eye, it's only teenage wastland »). Après tout, cette chanson était la chanson que j'avais le plus écoutant depuis quasiment quatre ans, alors, de l'entendre comme ça en live, ça m'a fait quelque chose (je suis un être sensible, vous savez).
Le concert s'est achevé et, comblé, j'ai filé très vite prendre un Uber pour rentrer à l'hôtel (il n'était pas question pour moi de faire le trajet en métro, vous comprenez, j'aime avoir mon petit confort et le taxi est le genre de luxe que je m'octroie à l'occasion).
Je n'ai rien à ajouter concernant ce séjour rapide à la capitale, si ce n'est que j'ai hâte de m'y rendre à nouveau.
Il faut que je prenne le temps d'adresser un clin d'oeil à Gladys qui est une fidèle lectrice (il m'en reste une poignée, je crois) et qui est la seule à me faire part de son attente lorsque je ne poste rien pendant une certain temps : Gladys, merci de me lire !
A la fin de la semaine, je suis censé voir Morrissey à Lyon en compagnie de Justine, alors je suppose que mon prochain récit sera consacré à cet événement.
Bande son : The Fine Art Of Self Destruction, Jesse Malin
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laruedubac · 2 years ago
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Après Ulysse en 1981, et un long voyage, Jean-claude Gallotta arrive à Pénélope. Cette Pénélope brûle et danse, vêtue de noir, s’élance en liberté !!! 6 représentations exceptionnelles les 14, 15,20, 21 et 22 janvier 23 au Théâtre du rond-point #spectaclevivant #sortiraparis #parisculture #recommandation #spectaclededanse https://www.instagram.com/p/CnZ-kvvrbHN/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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