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#le livre de la mer
chtulhuu · 10 months
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Tu es mienne, avait-il dit jalousement. Tout ton mystère et ta beauté, je me les réserve, ma dame de mer. Il me plaît qu'on te regarde avec crainte et émerveillement. Préservons ce côté mystique.
Les Aventuriers de la mer, T6 ''L'éveil des eaux dormantes'' – Robin Hobb
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prosedumonde · 10 months
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Actualité dystopique « Traiter ces morts comme des marchandises est une infamie qui restera dans l’histoire. » DF, petite ville portuaire italienne. Tout s’y déroule sans accro. Village de pêcheur tout d’un coup envahit par l’étranger. Tout commence lors de la découverte d’un corps par Giovanni Ventimiglia. Un homme, un étranger, un mort. C’est par la suite la découverte d’un deuxième corps. Peu à peu la ville est envahie, une véritable marée humaine investit le village, le recouvre, l’abîme. Les habitants, le maire, même Rome, tout le monde est dépassé. Qui sont ces morts qui se ressemblent tous ? D’où viennent-ils ? Que viennent-ils faire ici ? Avec un fléau digne des meilleurs passages bibliques, DF doit compiler avec l’urgence de la situation. Seule face à tous ces corps anonymes mais en même temps identiques, il faut trouver une solution. Et le moins qu’on puisse dire c’est que les solutions sont vite trouvées. Elles débordent d’ingéniosité. Mais elles sont d’une glaçante barbarie. À l’autre bout de la mer est un roman d’une grande force. En conjuguant différents points de vue, du plus abject au plus acceptable, le lecteur ne peut rester de marbre face aux exactions commises par certains personnages au nom de la préservation de DF ou du bénéfice. La lecture se fait de plus en plus difficile à mesure que les solutions inhumaines sont trouvées. Et c’est dans la normalité, la légèreté avec laquelle parlent certains personnages que les scènes sont les plus abominables. « Quelque chose s’est brisé, a-t-elle sangloté. Oui, tu me les brises, lui ai-je rétorqué. Elle a fait semblant de chercher un objet dans un tiroir vide, pour éviter de me regarder. Je ne veux pas rester ici, vous êtes en train de devenir des bêtes, murmurait-elle le nez dans le tiroir. Tu parles au tiroir ? lui ai-je demandé. » […] De nouveau les éditions de l’Observatoire éblouissent avec leur littérature étrangère. J’ai adoré ce roman parce que comme toute bonne dystopie, il nous révèle quelque chose de notre monde, il dénonce une réalité connue mais évidemment largement exacerbée. Traduit par Lise Caillat @editionsdelobservatoire // •
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Clôture
Je fais peu à peu le deuil de la vie que j’ai essayé de vivre. Je croyais qu’il était possible de sortir de soi-même pour devenir une autre, je croyais que mille autres filles étaient cachées sous ma peau, et que je pouvais les incarner une à une. J’ai la capacité de me dissocier très fortement de mes émotions et de mes désirs propres, ce qui a rendu cette errance identitaire plus facile que si j’étais stable et ancrée.
Je voulais rejoindre l’agitation du monde. Avoir beaucoup d’amis, être socialement acceptée, suivre les tendances et la mode, sortir, boire, aller à des concerts. Les concerts ont toujours été difficiles : les sons longs et prolongés me font peur, j’ai peur de perdre l’audition. Je tentais de me convaincre que c’était irrationnel. En mars, j’ai eu un mini trauma sonore et je n’ai pas pu ignorer plus longtemps le fait que mes sensations étaient valides. Je dissociais de plus en plus. Je ne voulais pas écouter mon corps, mon intuition, mon anxiété. À trop l’ignorer, l'anxiété sociale est devenue prépondérante et marcher dans la rue devenait impossible.
Je suis passée à mi-temps au travail et depuis je vais un peu mieux. Ce changement de rythme m’a permis de réaliser que je suis fondamentalement lente, et très sensible à tout changement de rythme. Je ne pense pas vivre sur la même temporalité que les autres. J’ai besoin de plages de temps extrêmement longues où « je ne fais rien » - c’est ce que je dis aux autres. Mais en réalité, je contemple, je réfléchis, je poétise et j’imagine. C’est le temps qu’il me faut pour me recharger. Je déteste que l’on me presse. Je déteste faire vite. Ça me rend très en colère. Je déteste la colère.
Je fais marche arrière. Je suis très triste. J’ai testé la vie des autres et je n’y arrive pas. Travailler à temps plein, sortir, vivre vite, le bruit, la foule : je n’y arrive pas. C’était intense, c’était fort, c’était drôle, c’était beau, c’était une illusion. J’ai repris mes livres. J’ai recommencé à écrire. J'ai abandonné instagram. Je continue la randonnée, et même ça, je le fais plus lentement : je regarde les plantes, je note, je prends des photos. Je fais tout plus lentement. Je fais tout à mon rythme. Et c’est mieux. La colère n’a pas disparu. Je crois qu’elle ne disparaîtra plus jamais. Elle restera là en souvenir de ces 5 ans passés à tricher, à croire que j’étais une autre personne. J’étais une adolescente qui ne s’énervait jamais, qui ne détestait jamais personne. Je suis une adulte qui a du mal à gérer sa colère et ne supporte plus les gens dans le bus. Mais je vais déjà mieux. Je suis sereine et je prie. Dimanche dernier, j’ai marché seize kilomètres pour aller à la messe dans mon lieu préféré, alors que je n’avais pas communié depuis dix ans, et il s’est passé une chose magnifique. Je ne crois pas que je l’écrirai ici. C’est une histoire de foi et les histoires de foi sont très intimes.
Je ne sais pas encore précisément quelle direction prendront ces prochains mois. J’ai très peur de redevenir triste. J’ai entendu une émission l’autre jour à la radio où un psychiatre disait qu’autrefois, quand il y avait des dépressions saisonnières, on envoyait les femmes, c’étaient souvent des femmes, faire des cures à la mer. On les autorisait à mettre leur vie sur pause et à se reconnecter à la nature. J’aimerais avoir ce temps. C’est pareil pour les cycles, je rêverais d’une société qui autorise les congés menstruels. Bref. Je crois que même si je suis lente par rapport aux autres, la société va beaucoup trop vite, pour tout le monde, et qu’on a perdu le lien à son corps et à la nature, et que ça amplifie tout symptôme. Les femmes dépressives qui partaient faire des cures à la mer ne revenaient pas guéries de leurs dépressions : mais au moins, elles avaient le temps d’accueillir la maladie, le temps de composer avec. Je voudrais le temps de pouvoir composer avec mes dépressions. Je ne voudrais plus avoir à me forcer à être vive, belle, douce ou bienveillante, quand je voudrais seulement m’enfouir six pieds sous terre. Je voudrais avoir le temps d'accueillir ma tristesse.
J’irai à mon rythme. Cette décision me rend nostalgique. Ce que j’ai vécu, je ne le vivrai probablement plus jamais. C’était beau, mais c’était mauvais. C’était comme nourrir le chien avec les aliments du chat : le chien adore, mais à long terme, sa santé se dégrade. Ce n’est pas la plus belle des comparaisons. Mais voilà. Je ne peux plus me nourrir du bruit, ni de la foule, ni de la course à la réussite. J’ai besoin de me nourrir du ciel, des arbres et de la poésie. J'irai à mon rythme. Cette décision me rend nostalgique, mais d'une nostalgie qui se rapproche de la résignation. Je sais intimement que c'est la bonne décision.
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coovieilledentelle · 2 months
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La bouillabaisse fait partie de ces plats qui me rappellent les vacances au bord de la mer !
Cette recette de bouillabaisse (avec sa rouille maison !) est très proche de la recette traditionnelle , tout en restant relativement simple à réaliser.
Pour la bouillabaisse
1 oignon jaune
1 fenouil , petit
1 poireau
4-5 tomates
1 c. à soupe de c oncentré de tomates
1 livre de pommes de terre
1 c. à soupe de graines de fenouil
10 fils de safran
3 feuilles de laurier
1 orange
500 g poisson frais rascasse, rouget barbet, Saint Pierre ou autre poisson blanc (cabillaud, lotte etc.)
200 g crevettes 200 g
1 livre moules 500 g
1 litre fumet de poisson
125 ml vin blanc sec
40 ml pastis Pernod Ricard
Sel
Persil frais
Pour la rouille
150 ml d’huile d’olive
2 jaunes d’œuf
3 gousses d’ail
1 c. à soupe de moutarde de Dijon
2 tranches de pain
6 fils de safran
1 pincée de sel
1 c. à café paprika
1 c. à café Piment d’espelette
Quelques gouttes de jus de citron
Instructions 
Émincer l’oignon, le fenouil et le poireau. Couper les tomates et les pommes de terre en cubes.
Dans une grande casserole ou un cocotte, faire chauffer l’huile d’olive à feu moyen. Ajouter l’oignon, le fenouil et les poireaux. Faire revenir pendant quelques minutes jusqu’à ce que l’oignon soit translucide.
Ajouter les graines de fenouil, les fils de safran, les tomates, le concentré de tomates et le zeste d’orange. Remuer et laisser cuire quelques minutes pour libérer les arômes.
Déglacer avec le pastis et le vin blanc. Retirer le zeste d’orange, puis verser le fumet de poisson.
Option : mixer la soupe et la passer au tamis pour éliminer les morceaux. Reverser dans la casserole.
Ajouter les pommes de terre, la feuille de laurier et le zeste d’orange et faire cuire à feu moyen pendant 20 minutes.
Rincez bien les moules sous l’eau froide et retirez celles qui sont ouvertes ou cassées. Couper le poisson en cubes. Ajouter sur le poisson, les crevettes et les moules.
Couvrir la cocotte avec un couvercle et laisser mijoter pendant 5 à 7 minutes à feu doux, ou jusqu’à ce que le poisson soit cuit, que les crevettes soient roses et que les moules soient ouvertes. Jeter les moules qui ne se sont pas ouvertes pendant la cuisson.
Retirer la cocotte du feu et verser la bouillabaisse dans des bols. Garnir de persil frais haché.
Sauce rouille
Faire tremper le pain dans de l’eau ou un peu de soupe de poisson. Dans un petit bol, mélanger les fils de safran avec quelques gouttes de jus de citron et laisser infuser quelques minutes.Dans le bol de votre robot ou dans un petit bocal, ajoutez les jaunes d’œufs, les gousses d’ail, la moutarde de Dijon, le pain trempé, le safran avec le jus de citron, une pincée de sel, le paprika et le piment.
À l’aide d’un mixeur ou d’un robot, mixer le mélange jusqu’à ce que tous les ingrédients soient bien combinés.Le robot étant toujours en marche, verser lentement l’huile d’olive en un filet régulier. Continuer à ajouter de l’huile d’olive petit à petit jusqu’à obtenir la consistance souhaitée.Goûter la rouille et rectifier l’assaisonnement si nécessaire.Transférer la rouille dans un bol de service et la réfrigérer pendant au moins 30 minutes avant de la servir.
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yurizzsblog · 4 months
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French Facts:
International Language: French is spoken in over 29 countries across five continents. It is the official language in countries like France, Canada (Quebec), Belgium, Switzerland, and many African nations.
Global Influence: French was the dominant international language in diplomacy, science, literature, and art from the 17th to the mid-20th century. Even today, it's one of the working languages of the United Nations and the European Union.
Words and Phrases in English: English has borrowed many words and phrases from French. Some examples include "rendezvous," "fiancé," "déjà vu," "cul-de-sac," and "sauté."
Gendered Nouns: French nouns have genders; they are either masculine or feminine. For example, "le livre" (the book) is masculine, and "la table" (the table) is feminine. This can be a challenge for learners, as the gender affects the article and adjective forms.
Accents: French uses five different accents: acute (é), grave (è, à, ù), circumflex (â, ê, î, ô, û), diaeresis (ë, ï, ü), and cedilla (ç). These accents can change the pronunciation and meaning of words.
The Longest French Word: The longest officially recognized French word is "anticonstitutionnellement," which means "in an unconstitutional manner." It has 25 letters.
Silent Letters: French has many silent letters, especially at the end of words. For example, in "vous" (you) and "frais" (fresh), the final "s" is silent.
Tongue Twisters: French has its own set of tongue twisters, like "Un chasseur sachant chasser doit savoir chasser sans son chien" (A hunter knowing how to hunt must know how to hunt without his dog).
Cultural Expressions: French is rich in idiomatic expressions that often don't translate directly into English. For example, "avoir le cafard" literally means "to have the cockroach" but actually means "to feel down."
Learning French: French is considered one of the easier languages for English speakers to learn due to its significant lexical similarities with English. However, mastering pronunciation and grammar can still be challenging.
Verlan: This is a type of French slang where syllables of words are reversed. For example, "fou" (crazy) becomes "ouf." It's especially popular among younger speakers.
French Academy: The Académie Française is an institution founded in 1635 tasked with preserving the French language. It regulates French grammar, spelling, and literature.
Multiple Dialects: Besides standard French (le français standard), there are many regional dialects and languages in France, including Breton, Occitan, and Alsatian.
French in Space: French is one of the official languages of the International Space Station (ISS), alongside English and Russian.
Rich Literary Tradition: French has a rich literary tradition with renowned authors like Victor Hugo, Marcel Proust, and Albert Camus contributing to world literature.
Homophones: French has many homophones (words that sound the same but have different meanings), such as "mer" (sea), "mère" (mother), and "maire" (mayor). This can make listening comprehension tricky.
Loanwords: French continues to borrow words from other languages. For example, "le week-end" and "le parking" are borrowed from English.
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valerielemercier · 3 months
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" Il arrive qu'un journal illustré, entrouvert il y a des années, laisse en nous des traces aussi profondes qu'un grand livre ou qu'une rencontre mémorable. À l'époque où Life était l'hebdomadaire américain par excellence, dans un numéro tourné probablement par une main négligente ( toujours ce qu'on s'attendait à voir : la guerre du Vietnam ou celle de Corée, mêlée à des vedettes de cinéma, du sport, ou de la politique du moment ), je tombai sur la dernière page, réservée d'ordinaire à la "photographie de la semaine", sans référence  aux événements d'actualité, élue seulement pour ce que l'image présentait  d'exceptionnel, de beau ou de saisissant. Cette fois, c'était, en pleine page, un instantané de femme vue de dos. Une dame quelconque, un peu épaisse, sans doute située entre la quarantaine et la soixantaine, un manteau de voyage qu'on devinait beige, souliers de ville à talons mi-haut, petit chapeau sûrement acheté dans un grand magasin, sac volumineux, serré sous le bras avec ce geste possessif qu'ont souvent les femmes un peu mûres, et qui contenait à n'en pas douter le porte-monnaie, quelques billets de banque, l'assurance-santé, le portrait des enfants ou des petits-enfants, peut-être un de ces petits carrés de papier de soie imprégnés de produit chimique qui donnent à l'Américain en voyage l'impression de s'être lavé les mains. Une rombière américaine telle qu'on les rencontre, innombrables, dans les magasins de souvenirs et les restaurants convenablement bien côtés. Celle-ci était debout devant une mer calme ; une vaguelette léchait le sable à quelques mètres de ses souliers. Cette photographie prise sans doute au cours d'un petit voyage en Californie, par un mari ou un fils un peu en retrait sur la plage, avait eu les honneurs de la semaine parce que, l'instant qui suivit le déclic, une énorme lame de fond emporta la femme, le chapeau du grand magasin, le manteau, le sac, les papiers d'identité avec les portraits des enfants ou des petits-enfants, en fait, toute une vie. Ce qui avait été une forme, une forme reconnaissable, chérie peut-être, ou détestée, ou l'objet pour les siens d'une tranquille indifférence, tricotant ou jouant ou jouant au bridge, aimant la glace aux framboises, en parfaite santé ou atteinte de varices ou peut-être d'un cancer au sein, et jusqu'aux accessoires et au tout-fait de la société de consommation, s'était d'un seul coup amalgamé à la mer informe. Mrs Smith ( si c'était son nom ), ou Jones, ou Hopkins, avait disparu dans le primordial et l'illimité. J'ai repensé plusieurs fois à elle. J'y pense encore. À l'heure qu'il est, je suis peut-être la seule personne sur la terre à me souvenir qu'elle a été. " M. Yourcenar
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artnstick · 5 months
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De l'influence des RPG sur les PAL
J'ai commencé les RPG il y a 18 ans. Et forcée de constater que les forums qui m'ont le plus marqués m'ont aussi ouvert la voie de la lecture, de romans, de saga, de série que j'ai eu beaucoup de plaisir à dévorer. De Twilight à Harry Potter (j'avais les livres depuis longtemps mais c'est en jouant sur un rpg HP que j'ai décidé de les lire), en passant par Hunger Games, ou Eragon, les forums RPG ont toujours influencé ma Pile A Lire pour me plonger dans des univers toujours plus fantastiques et magiques.
Ma bibliothèque est bien remplie, mais je me rends compte que les livres que j'apprécie le plus - encore aujourd'hui - ce sont ceux qui ont un potentiel de role play. S'il est de plus en plus difficile de voir des forums émerger sur des nouvelles idées, il m'est aussi de plus en plus difficile de me plonger dans de nouveaux bouquins.
Alors j'envoie cette bouteille à la mer, espérant voir ma PAL s'agrandir encore, et - peut être - des forums s'inspirer de nouveaux univers prochainement :
Quel est le dernier livre qui vous a fait dire un forum sur ce thème ça serait fou ?
Quel est le dernier livre que vous ayez lu parce qu'un partenaire de RP vous a dit tu dois lire ça ?
Quel est le dernier livre qui vous a inspiré un contexte, un personnage et/ou une intrigue ?
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o-link · 3 months
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Antoine de Saint-Exupéry
Né à Lyon le 29 juin 1900, Antoine de Saint-Exupéry rêvait de voler dès son plus jeune âge. À seulement 12 ans, il réalise son premier vol à bord d’un Berthaud-Wroblewski piloté par son créateur, Gabriel Wroblewski. Dans les années 1920, c’est un véritable pionnier de l’avion pour l’Aéropostale (en 1918 à Toulouse par Pierre-Georges Latécoère et officiellement appelée « Lignes Latécoère Aéropostale », il s’agit de la première compagnie d’aviation postale française à réaliser des liaisons transatlantiques), opérant au Sahara occidental et en Amérique du Sud.
Saint-Exupéry a également effectué des tentatives de record spectaculaires qui ont failli lui coûter la vie à de multiples reprises, à l’image d’un Paris-Saïgon (Vietnam) en 1935 ou d’un raid entre New York et la Terre de Feu (Patagonie) en 1938.
Son autre grande passion était l’écriture et il fut de son vivant un auteur reconnu internationalement. Son œuvre la plus célèbre est Le Petit Prince, qui a été traduit dans plus de 440 langues ce jour. À travers l’histoire de ce petit prince, le livre s’intéresse aux thématiques de l’isolation, de la solitude et de l’amitié et cherche à déterminer l’essence même de la nature humaine.
Le 31 juillet 1944, le commandant Antoine de Saint-Exupéry a décollé de Borgo, en Corse, à bord d’un Lockheed P-38 Lightning, pour son dernier vol de reconnaissance au-dessus de la France occupée, dont il n’est jamais revenu. Les débris de son P-38 Lightning n’ont été retrouvés qu’en 2000 dans la mer Méditerranée. Pour préserver l’héritage spirituel de ce pionnier de l’aviation, ses descendants ont créé en 2009 la Fondation Antoine de Saint-Exupéry pour la jeunesse. Principalement dédiée à la lutte contre l’illettrisme, l’organisation soutient des projets scolaires et éducatifs spécialement destinés aux enfants et aux jeunes défavorisés dans le monde entier.
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iranondeaira · 10 months
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Dans son livre "Promenades en bord de mer et étonnements heureux", Olivier de Kersauson parle de son amour de la mer et, plus largement, de son amour de la vie.
« Vieillissant, je ne me dis pas que les promenades en bord de mer seront de moins en moins nombreuses mais je me dis que les attaques de la nostalgie vont se faire de plus en plus fréquentes. Et c’est normal car j’ai plus de passé que d’avenir, donc dans l’équilibre de mon psychisme, il y a davantage de choses faites que de choses à faire. La tentation est grande de se laisser rattraper par le souvenir. Mais je veux encore me fabriquer des moments et non pas en revivre. Le jour où je vais disparaître, j’aurai été poli avec la vie car je l’aurai bien aimée et beaucoup respectée.
Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis.
Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés.
Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir.
Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a. On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité !
Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir-vivre. »
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carraways-son · 22 days
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Mardi
Vingt-quatre heures plus tôt... Quand on ressent le besoin de bouger sans pouvoir partir, on monte au lac de St-Ferréol. Une heure plus tard, on déjeune sur une terrasse qui domine le lac, puis on va s'étendre au bord de l'eau, caressé par le vent qui descend de la Montagne noire. On ouvre un livre qu'on ne lit pas, préférant regarder les oies (bernache du Canada et oie de Chine), les canards, aigrette et héron. Et le monde s'éloigne doucement, le temps s"oublie, et tout va mieux, d'autant qu'on vient d'apprendre que le typhon qui menaçait Osaka et Kyôto est allé se perdre en mer, que la rentrée scolaire des kids s'est très bien passée, et que le palais se souvient de la fraîcheur fruitée de la sangria savourée plus tôt.
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NOTE DE LECTURE : Charlotte. David Foenkinos. 2014
Voilà un livre que je voulais lire depuis si longtemps et je réalise qu'il s'est déjà passé 10 ans depuis sa sortie !  David Foenkinos est un auteur que j'ai peu lu, étant parfois déçue... mais pour ce bouquin le sujet m'attirait : une biographie d'une artiste peintre, et je savais le succès qu'avait eu cet ouvrage.  Bref je l'ai littéralement dévoré, à bout de souffle, comme l'écriture incite à le faire, avec le retour à la ligne à chaque phrase. Ce n'est pas un effet de style poétique comme je le pensais tout d'abord, mais une écriture brève, incisive, lapidaire pour inscrire le passé et l'absence dans la marge blanche à droite de chaque page.  Et puis l'auteur évoque son obsession pour Charlotte Salomon, sans trouver d'explication si ce n'est l'authenticité de sa personnalité, forte et fragile. C'est donc un roman extrêmement touchant de Charlotte, cette jeune femme qui a réussi à survivre jusqu'à nous grâce à sa peinture, grâce à son oeuvre autobiographique malgré son destin fatal, celui de son histoire familiale avec tous ces suicides à répétition, et celui de la grande Histoire avec l'extermination de son sang juif. Oeuvre prolifique et colorée réalisée entre 1940 et 1942, en zone libre dans le sud de la France, à Villefranche-sur-mer et St jean-Cap-Ferrat (près de chez moi) pendant son exil de l''Allemagne nazie.  La raison de la vie et de la mort n'a parfois aucun sens, c'est ce que j'ai ressenti en lisant cette fiction tirée de faits réels. L'art, du roman ou de la peinture, permet pourtant de lui en donner un. Merci alors aux artistes.
Ici un tableau de Charlotte Salomon illustrant cette note.
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chtulhuu · 10 months
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Il était difficile de trouver un sujet de conversation qui ne les conduisît pas plus loin dans le désespoir.
Les Aventuriers de la mer, T5 ''Prisons d'eau et de bois'' – Robin Hobb
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prosedumonde · 2 years
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🌊 La Mer sans étoiles ou une mise en abîme suprême du récit 💙 Retrouvez mon avis sur La Mer sans étoiles d’Erin Morgenstern
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lesdamesmures · 6 months
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Scène 1 "Une femme mure sur la plage"
Déjà presque une année écoulée depuis ces vacances passées chez mes parents dans le sud-ouest de la France. C’était en pleine saison au mois d'août, je me souviens encore des senteurs et sensations d’aller courir chaque matin avant d’aller piquer une tête dans l’océan pour conclure cette activité de remise en forme. Ces sensations qui restent dans la mémoire comme des moments marquants de la vie où tout est calme, où on ressent la sérénité du présent, où la vie semble sans contraintes. 
J’avais passé l’âge de passer des vacances chez mes parents mais cette année là les voyages étaient encore limités et j’avais à coeur de voir mes parents après cette période surréaliste où la moitié de la planète avait passé plusieurs mois confinée. Ce virus COVID-19 qui a touché tous les pays du monde et cette mise en quarantaine qui nous a coupé de nos proches pendant plusieurs semaines et tant de victimes. Comme la plupart des gens, les vacances d’été se réduisaient à des distances accessibles en train ou en voiture, les vols à l’autre bout de bout monde encore déconseillés.
J'aimais me lever tôt pour aller courir, profiter de la fraîcheur matinale et du calme avant le trafic des vacanciers qui abondaient sur les plages et les coins touristiques. 
Depuis quelques jours j’avais remarqué cette femme venant profiter de la plage, comme moi elle semblait préférer la tranquillité avant l'arrivée de la foule. La 1ère fois que je l’avais aperçu, étant seul sur la plage avec elle, je me disais qu’elle m'avait obligatoirement remarqué. Je me souviens comme si c’était hier, je voulais me rafraichir après mon footing matinal, je n’avais pas résisté à l'envie de rester sur la plage alors que je n'avais ni serviette ni affaires de rechange. J'étais étonné de voir cette femme seule à cette heure, comme si elle commençait sa journée de plage, installée sur sa serviette, en maillot de bain avec un petit haut couvrant son buste de la fraîcheur
Elle lisait et avait tourné la tête en me voyant passer pour aller me baigner. J'avais posé mes runing, mon short et mon tee-shirt au bord de l'eau avant de plonger dans la mer encore fraîche. Je lui tournais le dos, elle était installé à une 20aine de mètre plus haut sur la plage, je n'avais pas osé me retourner mais bien qu'étant allongée sur le ventre, tournant le dos à la mer, j’avais imaginé qu’elle avait tourné la tête pour me regarder me dévêtir avant de plonger en boxer dans l’eau calme comme si la mer accueillait son 1er baigneur de la journée. Quand je revenais vers le bord, elle avait changé de position, assise sur sa serviette, le regard plongé dans son livre mais elle s'était retournée, peut-être pour profiter de l'océan et me regarder nager. Je trouvais cet instant troublant et la situation presque intime.
Depuis ce jour là, je revenais tous les matins, à la même heure, espérant retrouver cette femme qui lisait sur la plage. Avait-elle remarqué que je la regardais ? Pensait-elle que je venais dans l'espoir de l'aborder, la draguer ? Raisonnablement je n'y croyais pas trop, j'étais beaucoup plus jeune qu'elle, et visiblement ce n'était pas le genre de femme qu’on aborde facilement. C'était l'impression qu'elle me donnait. 
Une belle femme mure, qui devait avoir 55 ans bien sonnés, des formes matures, des cuisses charnues, un belle peau soignée. Malgré le soleil estival, sa peau à peine hâlée, encore assez blanche me laissait imaginer qu'elle avait dû arriver depuis peu. Un détail avait capté mon attention plus particulièrement, cette femme aux airs et attitudes un peu « bourgeoises » semblait prendre soin d’elle, elle n’était pas grosse mais des formes qui s’arrondissent avec les années de manière plus ou moins harmonieuses mais pleines de charme. Un visage assez fin encore mais quand elle s’était levée pour aller se baigner, son fessier m’avait captivé, il était large, charnu et marqué par les années tout en étant très agréable au regard. Un cul assez gros pour dire les choses de manière trivial mais un cul comme je les aimais et qui me faisait rêver surtout chez une femme mure. J'avais remarqué cette femme il y a 3 jours, depuis je suis repassé le matin à la même heure, elle était là au même endroit. Depuis je m'étais calé sur son horaire pour venir profiter de la plage et de sa présence qui agrémentait mes sorties footing et ma baignade matinale
Est-ce qu'elle se demandait ou se doutait qu'elle me faisait fantasmer ? moi un jeune homme de 27 ans qui venait tous les matins en même temps qu'elle, toujours au même endroit, un peu en retrait à quelques 10aines de mètre d'elle. Suffisamment en retrait pour ne pas l'agresser, comme si je voulais faire parti de son décors, l'habituer à ma présence pour me donner le droit de lui dire « bonjour ! », de lui parler comme un habitué de la même plage, à la même heure. Comme pour partager cette discrète complicité et la rassurer de ma présence à quelques mètres d'elle. Pour vivre ce moment, à la surprise de mes parents, j’avais pris cette habitude de me lever tôt tous les matins, pour profiter de ce moment privilégié qui devenait onirique et alimentait mon fantasme pour les femmes mures.
Chaque matins elle allait se baigner, faire quelques brasses et revenait sur sa serviette en profitant de l’océan calme avant de se replonger dans son livre le temps que les 1er touristes arrivent bruyamment sur la plage. Je n'avais pas encore osé aller me baigner en même temps, lui parler ne serait-ce que lui dire bonjour comme si elle devait forcement me reconnaitre. Je ne savais pas combien de temps elle resterait mais elle était en vacances et j'avais la sensation que j'avais le temps, qu'elle resterait indéfiniment le temps de mes vacances. Je sentais qu'elle s'habituait à ma présence, que je faisais parti de ce moment qu'elle s'octroyait tous les matins, avant que les vacanciers viennent encombrer la plage.
Depuis 3 matins elle était là, entre 7h30 et 7h45, l'heure où les gens dormaient encore, où l'eau est encore froide et chaque matin depuis 3 jours j'étais là en espérant la retrouver à la même place sans personnes aux alentours. Je ne savais pas comment l'aborder à part un simple bonjour mais elle était trop loin pour lui parler et je n’osais pas aller l’aborder et pour quelle raison d’ailleurs ! je voulais pas qu'elle se sente agressée. Je m’encourageais en me disant que je devrais aller me baigner en même temps qu'elle, ça serait plus facile de discuter, lui parler de la température de l'eau, du calme, de l'heure matinale ... des choses banales, anodines qui me permettraient de créer un contact, d'entendre sa voix et sentir si elle était ouverte à la discussion. "Demain je le ferai" me disais-je ! comme un défi à relever mais ça faisait 2 jours que j'essayais d'imaginer un moyen de l'aborder et que je finissais par me convaincre que ce serait mieux le lendemain. Comme si j'espérais que l’initiative vienne d’elle, considérant que mon âge ne me permettait pas d’aborder cette femme devenant de plus en plus inaccessible.
Je la regardais du coin de l'oeil, elle se levait pour aller se baigner, j'hésitais à me lever, attendre un moment pour la rejoindre mais je craignais de casser la magie de ce moment matinal qui agrémentait mes vacances et j'avoue aussi mes soirées. J’étais troublé en pensant à elle le soir en me couchant. J'imaginais des situations qui finissaient par réveiller mon sexe au point de me caresser en échafaudent des plans que je savais pertinemment irréalisables mais ces rêves érotiques étaient des plus agréables. J’essayais de l’imaginer, telle que je l’avais vu, je me remémorais régulièrement ce moment qui m’avait marqué et ému : son cul qui ondulait quand elle se dirigeait vers la mer pour aller nager. 
Ce matin encore en la voyant nager, je me résignais, me promettant que demain j'irai me baigner en même temps qu'elle, que je l'aborderai. Je me détendais en gagnant ce nouveau délais. Elle nageait à quelques mètres du bord, je la regardais, elle avait l'air sereine, douce, sensuelle, comme si elle savourait l'instant, je me réjouissais et me consolait en me disant que je faisais parti de ce moment, de ce décors qu'elle garderait en tête comme ses bons moments de vacances.
Ces moments matinaux alimentaient de plus en plus mes fantasmes nocturnes et mes pensées en journée. Je retournais parfois sur la plage pour tenter de la retrouver mais depuis que j’étais arrivé je n'avais pas encore eu l'occasion de la voir ou la croiser ailleurs que sur la plage le matin tôt. Il m'arrivait de parcourir les lieux où les touristes se promenaient, j’avais même fait le tour du marché en matinée, espérant la croiser, me demandant qui elle était, si elle était seule, en couple, avec sa famille, des amis mais étant seule chaque matin je l’imaginais seule. 
Toutes ces questions occupaient maintenant mon esprit et une bonne partie de mon temps. J'avais envie de savoir, de découvrir cette femme qui nourrissait mes fantasmes depuis que je l’avais vu ce 1er matin sur la plage.
Qui était cette femme mure sur la plage, venant seule tous les matins vers 7h30 et repartait avant l'arrivée des touristes. Jusque là, je n’avais pas osé quitter la plage en même temps qu'elle, je ne voulais pas lui paraitre entreprenant ou passer à ses yeux pour un dragueur de plage en quête d’aventure sans lendemain. Je ne savais pas si elle venait à pied, à vélo ou  en voiture mais je commençais à échafauder des plans pour en savoir plus.
Peut-être venir un peu avant 7h30 pour voir d'où elle venait ? peut-être attendre d'être hors de vu et la suivre de loin pour en savoir plus, savoir ou elle habitait. Ces plans tenaient en haleine mon esprit une partie de la journée mais je ne faisais que repousser la moindre initiative pour l'aborder. D'abord en savoir plus et aller me baigner en même temps qu'elle. Je me sentais presque rassuré d’obtenir ce délais tout en redoutant qu’elle ne vienne plus et disparaisse à jamais sans avoir rien tenté ni entendu le son de sa voix.
Le lendemain était un samedi, un jour de turn-over pour les touristes. J’angoissais presque en imaginant qu'elle risquait de disparaitre, que je n'en saurai pas plus sur elle et que j'aurai raté l'occasion de l'aborder. Je m'arrêtais un moment, j'hésitais entre me changer les idées en allant voir un copain et continuer à errer dans les alentours de la plage en espérant la croiser. Je me sentais comme un détective privé à la recherche d'informations sur une femme sur laquelle je menais une enquête.
Ces moments excitaient ma curiosité, je finissais par décider de retourner sur la plage en scrutant les environs mais il y avait tellement de monde à cette heure que mon espoir de la retrouver dans cette foule s'estompait vite. Pourtant je restais un moment à scruter du regard la foule peuplant cette plage si tranquille le matin. Je décidais d'aller voir un copain en projetant de repasser en début de soirée quand la foule aurait quitté les lieux.
A suivre ... (Scène 2 le 21 mars 2024 à 06h00)
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coovieilledentelle · 4 months
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Salade de burrata printanière au melon et prosciutto
Ingrédients
1/2 livre de burrata fraîche
1/2 lb de cantaloup, coupé en croissants
1/4 livre de prosciutto
2 tomates anciennes, tranchées finement en rondelles
quelques figues fraîches coupées en deux ou des tranches de pêche
une poignée de basilic frais, grossièrement déchiré
Huile d'olive vierge extra 
vinaigre balsamique
sel de mer
poivre noir concassé
Pour assembler la salade, placez les rondelles de burrata sur le plateau, soit une seule au centre, soit autour du plateau selon le nombre de rondelles dont vous disposez.
À l’aide de vos mains, enveloppez chaque quartier du melon au centre avec une bande de prosciutto.
Alternez en superposant les tranches de tomates et les tranches de cantaloup autour de la burrata.
Rentrez les tranches de figues ou de pêches dans les espaces restants.
Saupoudrer le dessus de basilic frais.
Ajoutez un bon verre d’huile d’olive extra vierge et un peu de vinaigre balsamique.
Assaisonner avec une pincée de sel marin et de poivre noir concass
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ameretat · 1 year
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Bonjour à tous,
J’ai hérité d’une partie de la bibliothèque de mon arrière grand-père ! Grand germanophile et passionné d’Histoire. Il avait pour habitude d’offrir un de ses livres à chaque arrière petit-enfant pour Noël. Alors, pour perpétuer cette tradition à ma façon, voilà les livres que je ne lirai pas et que je peux vous donner s’il y en a qui vous intéresse !
Vous pouvez m’envoyer un message privé. N’hésitez pas à partager ce post et à en parler autour de vous ✨
Ps : quand il n’y en a plus, il y en a encore !
Je donne également :
Lettres et Propos sur l'Art, Nicolas Poussin
La tentation de l'Occident, André Malraux
Le Ciel et l'Arcadie, Maurice Denis
Face au drapeau, Jules Verne
Les vieux souvenirs, Prince de Joinville
Vielles Maisons - Vieux papiers, G. Lenotre
Le mystère français, Emmanuel Todd et Hervé Le Bras
Discours sur l'Histoire universelle, Bossuet
l'Histoire du sentiment religieux en France + La poésie pure, Henri Bremond
Histoire de France + Histoire de deux peuples, Jacques Bainville
Histoire contemporaine : philosophie mathématiques
Le XVIIème siècle, Lagarde et Michard
Récits du temps Mérovingien, Augustin Thierry
Histoire d'Allemagne, Charles Bonnefon
L'Allemagne, Edmond Vermeil
L'Allemand, Jacque Rivières
Français et Allemands, Louis Reynaud
La guerre sous les mers, Edmond Dellage
Précis de droit maritime, Georges Ripert
Chronique des Pasquiers, Georges Duhamel
Les coulisse de l'Histoire, Octave Homberg
Splendeurs et misère de M. de Chateaubriand
Des livres sur Charles de Gaulle ainsi que sur sa femme, des oeuvres d'André Maurois, Emmanuel Mounier, et Katherine Mansfield. Une grande collection de l'oeuvre de Jules Romain. Certains volumes de la collection Semaines sociales de France, ainsi que de l'A.E.S.
Et si vous parlez allemand, il y a toute une collection de livres allemands !
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