#le chant d'apollon
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asnowperson · 1 year ago
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I'm reading Tezuka's Apollo no Uta (アポロの歌, 1970) from the French edition. Reading print manga after dozens of digital volumes feels great.
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histoire-de-vivre · 1 year ago
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Spiritualité Hellénistique - les divinités
Comète n°17 : Apollon et la musique
Apollon est principalement lié au soleil, on le sait. Mais aujourd'hui je voulais vous parler de son lien avec les arts et, en premier lieu, la musique.
En magie, la musique peut avoir une place très importante : on y retrouve les chants, les bols chantants, les cloches... Les sons sont un vrai vecteur d'énergies.
Alors il est très possible d'utiliser la musique et Apollon durant vos rituels. Pour cela, faites vos recherches sur les correspondances dont vous aurez besoin et vous apporterez de la force à vos sorts.
Commencez par dresser votre autel pour Apollon : couleur jaune, bougie, statue, instruments de musique... Créez un rituel en fonction des caractéristiques d'Apollon, quelque chose sur lequel il pourra influer. Enfin, la musique : que ce soit un chant ou une simple cloche, utilisez les vibrations énergétiques pour renforcer votre rituel en lien avec Apollon.
Bonne méditation, et de douceur je vous encense ! 💜✨
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tournevole · 3 years ago
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APOLLODORE, BIBLIOTHÈQUE Livre I, 3, 1-6
1. Zeus épousa Héra, avec laquelle il eut Hébé, Ilithyie et Arès. Mais il s'unit aussi avec beaucoup d'autres femmes, mortelles et immortelles. Avec Thémis, la fille d'Ouranos, Zeus engendra les Saisons - Eirênê [la Paix], Eunomie [l'Ordre] et Dikè [la Justice] -, et les Moires : Clothô, Lachésis et Atropos. De Dioné, il eut Aphrodite, et d'Eurynomé, fille d'Océan, il eut les Grâces - Aglaé, Euphrosyne et Thalie. De Styx il eut Perséphone, et de Mnémosyne, il eut les Muses : d'abord Calliope, puis Clio, Melpomène, Euterpe, Érato, Terpsichore, Uranie, Thalie et Polymnie.
2. De Calliope et d'Oagre (ou peut-être d'Apollon, c'est la version la plus répandue) naquirent Linos, qui fut ensuite tué par Héraclès, et Orphée, le grand musicien : avec son chant il savait émouvoir même les pierres, même les arbres. Un jour, son épouse Eurydice fut mordue par un serpent, et mourut ; alors Orphée descendit dans les Enfers, décidé à la récupérer, et il persuada Hadès de la renvoyer sur terre. Le dieu posa une condition à sa promesse : sur le chemin du retour, Orphée ne devrait jamais se retourner pour regarder son épouse avant d'arriver chez lui. Mais Orphée désobéit : il se retourna, regarda Eurydice et elle dut redescendre aux Enfers. Orphée fut le fondateur des Mystères de Dionysos. Les Ménades le tuèrent, et le mirent en pièces, puis il fut enseveli en Piérie.
3. Clio tomba amoureuse de Piéros, le fils de Magnétès : c'était la vengeance d'Aphrodite, pour le mépris avec lequel Clio avait parlé de son amour avec Adonis. La Muse, donc, s'unit à Piéros, dont elle eut Hyacinthos : Thamyris, le fils de Philammon et de la Nymphe Argiopé, tomba amoureux de lui, et c'est ainsi que naquit pour la première fois l'amour homosexuel. Apollon, lui aussi ensuite, tomba amoureux de Hyacinthos. Mais un jour, en lançant un disque, involontairement il le tua. Thamyris était d'une beauté exceptionnelle, et jouait de la lyre à la perfection, si bien d'ailleurs qu'il osa défier les Muses dans une compétition musicale. Les conditions étaient les suivantes : si Thamyris était vainqueur, il pourrait faire l'amour avec toutes les muses ; si au contraire il perdait, elles pourraient lui ôter ce qu'elles voulaient. Naturellement les muses se montrèrent supérieures, sans conteste. Et elles enlevèrent à Thamyris et la vue et l'art de la lyre.
4. Euterpe s'unit au fleuve Strymon, et de lui elle eut Rhésos, qui fut ensuite tué par Diomède à Troie ; mais il y en a qui disent qu'il naquit de Calliope. De Thalie et d'Apollon naquirent les Corybantes, et de Melpomène et d'Achéloos les Sirènes, dont nous reparlerons dans le récit des aventures d'Ulysse.
5. Héra engendra Héphaïstos sans aucun rapport sexuel. Homère soutient au contraire qu'Héphaïstos également est le fils de Zeus. Ce fut justement Zeus qui le jeta du haut du ciel, la fois où Héphaïstos chercha à aider Héra qui était enchaînée. Zeus l'avait suspendue en dehors de l'Olympe, parce qu'elle avait osé provoquer une tempête contre Héraclès, alors qu'il naviguait à la conquête de Troie. Héphaïstos tomba sur l'île de Lemnos et en resta boiteux ; mais Thétis le sauva.
6. Zeus s'unit aussi avec Métis, qui avait tenté de lui échapper en prenant sans arrêt des formes diverses, mais en vain. Quand elle fut enceinte, Zeus, par la ruse, l'avala, avant qu'elle puisse accoucher. On avait en effet prédit qu'elle aurait une fille ; mais si après elle avait accouché à nouveau, ce serait un garçon destiné à devenir le maître du Ciel. À cause de cette crainte, Zeus avait avalé Métis ; et quand arriva le moment de la délivrance, il ordonna à Prométhée de lui frapper la tête avec sa hache (d'autres disent au contraire que ce fut Héphaïstos qui le fit) : et hors de la tête de Zeus bondit Athéna, toute armée, là, sur les rives du fleuve Triton.
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nuit-obscure · 4 years ago
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[...] il n'est pas nécessaire d'être un des grands héros pour avoir, chez Homère, ni l'honneur du tragique ni le droit à la pitié. L'un et l'autre valent pour tous indistinctement. Aussi bien, cette pitié, les dieux eux-mêmes l'éprouvent ! Zeus plaint ainsi les chevaux immortels qu'Achille a reçus de son père Pélée et qui sont, par là même, mêlés aux souffrances du destin humain. Achille les prête à Patrocle ; et Patrocle est tué. Les chevaux alors pleurent des larmes brûlantes. Et Zeus s'émeut de leur douleur : « Pauvres bêtes ! pourquoi vous ai-je donc données à sire Pélée - un mortel ! -, vous que ne touche ni l'âge ni la mort ! est-ce donc pour que vous ayez votre part de douleurs avec les malheureux humains ? Rien n'est plus misérable que l'homme entre tous les êtres qui respirent et qui marchent sur la terre...» (XVII, 443 et suiv.). Et à ces mots font écho ceux d'Apollon au chant XXI, lorsqu'il se refuse à combattre d'autres dieux pour une cause humaine : « Ebranleur du sol, tu me dirais que j'ai l'esprit atteint si je partais en guerre contre toi pour de pauvres humains, pareils à des feuilles, qui tantôt vivent pleins d'éclats, en mangeant le fruit de la terre et tantôt se consument et tombent au néant... » (462-466). La sympathie des dieux, comme celle des lecteurs d'Homère, dépasse alors les individus pour se porter sur les hommes en tant que tels.
Pourquoi la Grèce ?, Jacqueline de Romilly.
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maria-von-schwangau · 5 years ago
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Un roman à découvrir :
Les Chevaliers d'Apollon https://www.amazon.fr/dp/1532775075/ref=cm_sw_r_cp_apa_i_KW48CbTENAPJE
Maria est une passionnée : de mythologie, de science-fiction, de bonne chère et de bon vin. Elle surfe sur les réseaux sociaux. C’est une fille de son temps, mais c’est surtout une passionnée d’opéra. Comment expliquer cette fascination qui la propulse dans toutes les salles lyriques d’Europe ? Et cette répulsion physique pour les musiques actuelles ?Apolliniens ou dionysiaques, les sons ont un impact direct sur le corps et le cerveau humains. Le mystérieux agent artistique Marsyas, le sait bien. Ne les utilise-t-il pas pour manipuler les foules et pour sa quête de dépassement de soi ?L’apparition d’un étrange morceau de partition de Richard Wagner, liée au meurtre d’un grand professeur de chant viennois, les intrigue. Quel est le mystère révélé par le grand compositeur ? Maria et ses amis mélomanes prendront tous les risques pour reconstituer l’intégralité du document. Entre thriller moderne et fantastique, Les Chevaliers d'Apollon s'inscrit dans la lignée du Da Vinci Code de Dan Brown et du Huit de Katherine Neville.Tout en nous plongeant dans les coulisses du monde de l’opéra, Julia Le Brun n'hésite pas à réunir toutes les connaissances acquises des mythes et légendes pour résoudre un problème bien actuel : Jusqu'où s'étend le pouvoir de la musique ? Et peut-on aller jusqu'à tuer pour ouvrir la porte qui mène à l'Atlantide ?
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arborescences · 7 years ago
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Le premier, Phébus, après avoir lancé [le disque] de sa main, l'envoie à travers les espaces de l'air, où il fend de tout son poids les nuées qu'il rencontre sur son passage. Longtemps après, cette lourde masse retombe sur la terre, prouvant à la fois l'adresse et la force du dieu. Aussitôt, l'impudent enfant du Ténare, emportée par l'ardeur du jeu, accourt pour ramasser le disque ; mais la dure surface de la terre, renvoyant le coup qui l'a frappée du haut des airs, le fait rebondir, ô Hyacinthe, sur ton visage. L'enfant a pâli ; le dieu, non moins pâle que lui, reçoit son corps défaillant ; tantôt il essaie de le ranimer ; tantôt il étanche son affreuse blessure, ou bien il y applique des herbes pour retenir son âme qui s'enfuit. L'art est impuissant, la blessure inguérissable. Si dans un jardin bien arrosé on vient à briser des giroflées, des pavots, des lis dressant leurs jaunes étamines, ils se flétrissent aussitôt, penchent leurs têtes languissantes, et, incapables de se soutenir, tournent leurs fronts vers la terre ; ainsi le visage d'Hyacinthe mourant s'incline ; son cou, que la force abandonne, est à lui-même un fardeau et tombe sur son épaule. "Tu péris, enfant de Oebalie, enlevé à la fleur de l'âge, dit alors Phébus ; je vois ta blessure qui m'accuse. Tu es ma douleur et mon forfait ; il faut inscrire sur ta tombe que c'est moi qui t'ai tué ; c'est moi qui suis l'auteur de ta mort. Et pourtant quel est mon crime ? Peut-on dire que c'est un crime de jouer, un autre crime d'aimer. Que ne puis-je, comme je le mérite, mourir avec toi ! Puisque la loi du destin me l'interdit, tu seras toujours présent à ma pensée et ma bouche fidèle ne cessera point de répéter ton nom. En ton honneur retentiront mes chants et ma lyre vibrant sous ma main ; fleur nouvelle, tu rappelleras mes gémissements par un mot que tu porteras écrit sur toi. Un temps viendra où un vaillant héros prendra, lui aussi, la forme de cette fleur et où son nom se lira sur les mêmes pétales." Tandis que ces mots s'exhalent de la bouche véridique d'Apollon, voilà que le sang, qui, en se répandant sur la terre, avait coloré l'herbe, cesse d'être du sang ; plus brillante que la pourpre de Tyr, une fleur apparaît, qui ressemblerait au lis, si elle n'était pas vermeille et le lis, argenté. Ce n'est point assez pour Phébus (car c'est de lui que venait cet hommage) ; il rappelle lui-même ses gémissements par un mot qui se lit sur les pétales ; la fleur porte l'inscription AI AI, lettres funèbres tracées par le dieu.
Ovide, Les Métamorphoses, Livre X
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loveechoingvoice-blog · 7 years ago
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Les supplices d’Orphée l’éternel amant  19/05/2017
Les supplices d'Orphée  l'éternel amant
19/05/2017
 Par ses chants mélodieux apaisant toute peine  Orphée obtint des dieux de libérer sa reine  retenue aux Enfers pour avoir refusé  de se laisser séduire par l'infâme Aristée
 De sa lyre reçue autrefois d'Apollon  il sut trouver les notes il sut tirer les sons  et de sa voix si pure vibrante d'émotions  par tant d'incantations que l'amour inspirait  de son coeur déchiré lamentations sincères    il endormit Cerbère qui le laissa passer  Perséphone et Hadès attendris s'éplorèrent
 L'amour qu'il nourrissait pour la nymphe Eurydce  le mettait à l'épreuve de nombreux sacrifices!  A force de sincérité  de douceur et de tendre passion  Orphée obtint des dieux cette résurrection
 Hélas leur liberté était conditionnelle!  Ne point se retourner pour regarder la belle  Telle était la consigne des gardiens du Léthé
 Orphée ouvrit la marche commençant l'ascension  Eurydice suivait en faisant attention  de ne pas trébucher
 Il entendait ses pas ce qui le rassurait  et sa respiration les deux amants grimpaient  en craignant de céder à toute tentation
 Se toucher ou se voir environnés d'esprits  de fantômes geignant peut-être d'Erynies  car il faisait bien sombre au royaume des ombres!
 Pour Orphée quel supplice de ne pouvoir étreindre  sa princesse Eurydice au risque de l'enfreindre  cette loi fatidique Ô cruel maléfice!
 Approchant la sortie il n'entendit plus rien  aucun souffle aucun bruit soudain seul comme un chien  la terreur le saisit  poussant à l'hérésie  Ne pouvant plus tenir il se retourne enfin!
 Eurydice n'est plus A nouveau disparue  Orphée en devient fou  En est-il donc coupable? Et cette condition était-elle tenable?  Non les dieux de l'Erèbe cruellement l'accablent!
 Chanter ne suffit pas à fléchir le destin  Orphée en perd la voix submergé de chagrin  Sa lyre désormais le laisse indifférent  il a perdu son âme est-il malheur plus grand?
 Il n'est plus qu'une mâne  Cet amour c'est son sang
 Revenu sur la terre en habit de mendiant  Solitaire Orphée erre  anonyme passant
 Et ces femmes de Thrace voulant le consoler  sans cesse le pourchassent de leurs assiduités!  Rien à faire c'est non!La défunte Eurydice vit dans le coeur d'Orphée  Est-il plus grand supplice qu'un deuil prématuré?
 Quand du mont Cythéron accourront les ménades  Orphée déjà brisé manquera la parade  De son corps mutilé par la mer charrié  on retrouva la tête et la lyre enchantée
 Sur l'île de Lesbos on lui fit une fête  Orphée y fut sacré le plus grand des poètes
 Fleur d'Oranger
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