#lartducrime

[syldana]

[thegirlfromoverthepond]

@lartducrime, un petit quelque chose ...

post S3x02.

Pour Antoine Verlay, Capitaine de police auprès de l’OCBC le plus dur, après une blessure n’avait jamais été de se remettre physiquement. Non, le physique revenait toujours après quelque temps.

Non, le plus dur a toujours été le contrecoup. Comprendre. Analyser comment il a pu finir dans un lit d’hôpital. Quelle erreur il a pu commettre. 

Mais cette fois, il y a les rêves en plus.

Des choses étranges.

Des mots, des odeurs. ‘Je t’aime” et chèvrefeuille.

Le parfum de Juliette est citronné.

Le chèvrefeuille est entêtant.

Mais il n’arrive pas à faire le lien avec ces sensations bizarres. Il est à peu près sûr de ne pas avoir été marabouté par Jaumard, à peu près certain d’avoir recouvré ses facultés.

Sauf sa mémoire.

Des bribes sont revenues, des images. Nathalie Vallon le menaçant. Des poteries bizarres. Un labyrinthe dans une pyramide. Florence Chassagne. Antoine Verlay. Deux noms sur du papier.

Il sait qu’il y a un lien, quelque part.

Il faut juste le trouver.

Il aimerait être comme elle, quand elle parle aux peintres pour s’éclaircir les idées. Réussir à trouver un indice.

D’habitude, il est plutôt bon en indices, plutôt bon à dénouer les fils d’une enquête.

Mais celle-ci lui résiste. 

Les semaines passent.

Sylvain aussi.

Juliette prend de la distance, un poste à Toulouse plus important que leur relation.

Ca clique un jour, dans les couloirs du Louvre. Son regard tombe sur une statue d’un ange embrassant une femme allongée. Hugo continue de lui parler, mais il n’entend plus.

Il se souvient.

De ce rêve, de ce baiser qu’il a donné, des questions qu’il n’a pas posées.

De ses mains sur sa peau nue, du réconfort de ses mots, du fil qu’elle ne sait pas qu’elle a tissé, de ce fil qui lui a sauvé la vie.

De ces mots qu’elle a murmurés.

De son prénom sur ses lèvres, comme un cadeau.

De l’odeur entêtante du chèvrefeuille.

Son coeur bat plus fort, plus vite, plus gros.

Hugo parle, mais Antoine n’entend plus.

Il a un coup de fil à passer.  

[river-pos-23]

Fan de L'art du crime, on est le premier décembre et on a eu une fin de saison 5 wahou

Deux très bonne raison de sortir mon fluff Antoine x Florence special Noël ❤️🎄

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Lien AO3 :

https://archiveofourown.org/works/33842374/chapters/88372333

Hâte de voir la prochaine saison !!

@lartducrime

[antoinexflorence]

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ELLE EST VRAIMENT TROP TROP TROP TROP TROP TROP BELLE CETTE IMAGE J'ADORE

[lartducrime]

début du tournage de la Saison 4 - Jour 1 @lartducrime

[syldana]

[syldana]

Tournage de la saison 7 c’est repartiiii !!!

  Source Facebook

[thegirlfromoverthepond]

Une saison 4 de @lartducrime

Yesss !!!

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[river-pos-23]

Qui à trop hâte d'être au 22 novembre ?

@lartducrime

[river-pos-23]

Chapters: 3/? Fandom: L'art du crime | The Art of Crime (TV) Rating: General Audiences Warnings: No Archive Warnings Apply Relationships: Antoine Verlay/Florence Chassagne, Antoine Verlay et Florence Chassagne, Doudou/Flo-Flo Characters: Antoine Verlay, Florence Chassagne, Alex Pardo, Greg Additional Tags: One Shot, Romance, Art, Partners to Lovers, Fluff Summary:

Des one shoot sur la relation Antoine/Florence

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J’ai poster mes fic l’art du crime sur AO3

@lartducrime

[river-pos-23]

J'ai écrit un nouvel OS sur Floflo et Doudou de la série @lartducrime. C'est ma version de la suite de la saison 4.

❤️

[river-pos-23]

Fanfiction en 3 partie publié sur l'art du crime. Florence et Antoine parte en mission d'infiltration par arrêté un trafiquant d'art @lartducrime

[thegirlfromoverthepond]

Joyeux Noël

Joyeux Noël, @lartducrime et à tous ceux qui vous suivent !

Le sapin scintille dans le salon presque vide. Rouge, vert, blanc. 

Il est assis, sur le canapé défraîchi, une bière à la main.

C’est son premier Noël sans ses enfants. Il les verra demain, mais ce soir, le 24, il est seul. Il voit bien les paquets empilés sous le sapin, avec leurs emballages de magasin de jouets. Peut-être qu’il en a fait trop, peut-être qu’il se sent coupable du divorce.

Il soupire avant de prendre une dernière gorgée de sa bière, essayant d’éviter de regarder ce paquet, incongru qui dépareille.

Les doutes l’assaillent.

A-t-il bien fait de lui prendre un cadeau? 

Ses yeux sont fixés sur l’emballage rouge, sur le noeud en bolduc doré dessus. 

“Mais qu’est ce qu’il m’a pris!” 

Il maugrée dans son coin, ruminant sa solitude. Il a posé sa bière et fait tourner son téléphone dans ses mains, se posant la question de téléphoner.

Appeler, mais qui? 

Son père? Hors de question, les blessures sont encore à vif, elles prendront du temps à se cicatriser.

Ses enfants? Difficile pour lui d’entendre leurs voix lui demandant quand il arrive  ce soir .. parce qu’il se peut pas venir. 

Elle? Rien qu’à y penser, les images de ses rêves lui reviennent. Des images de plus en plus claires, de plus en plus détaillées. De leurs bouches mêlées, de leurs corps mélangés, de mains frôlées, de regards croisés… 

Non, pas elle, certainement pas elle.

Si Juliette était toujours là, il l’aurait appelée.

Mais elle est loin, de Paris, loin de lui.

Elle a toujours été trop loin.

Au moment où il s’apprête à poser son téléphone sur la table basse, sa sonnerie le fait presque sursauter.

Parce qu’il a fini par lui mettre une sonnerie à elle. Pour être sûr de ne pas manquer ses appels. Quelque chose de pas trop voyant. Mais elle a sa mélodie.

Bord de mer.

Parce qu’elle est fraîche et revigorante comme un grand bol d’air.

Il hésite deux ou trois secondes avant de décrocher.

“Capitaine Verlay? C’est Florence Chassagne!” 

Comme si son numéro n’était pas enregistré depuis leur première affaire.

“Je suis avec mon père et justement on se demandait ce que vous faisiez pour le réveillon. Parce que vous avez dit à Greg que vos fils étaient dans la famille de votre femme, enfin de votre ex femme et du coup, peut-être que vous voudriez passer le repas avec nous?”

Il pourrait dire non, prétexter qu’il est invité. Qu’il va chez son père.

Mais il y a un paquet pour elle sous le sapin. Et s’il se dépêche, il peut attraper une bouteille de vin pour son père.

Il pourrait ne pas y aller. Il a une liste d’arguments.

Peut-être qu’il ne veut plus résister.

Alors il répond.

“Ce serait bien, oui. Laissez-moi quelques minutes et je me mets en route, Florence.”

Il y a un temps. Suspendu, certains diraient. Une pause.

Et c’est comme s’il l’entendait sourire.

“Rendez-vous à vingt heures chez papa, alors.” Une autre pause. “Antoine.”

Il sourit.

Joyeux Noël !