Tumgik
#langoureux
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T'embrasser langoureusement,
En me délectant de la douceur
Sucrée de ta bouche
Baiser tes lèvres avec ardeur
Sentir ta langue se mêler à la mienne
Dans une danse fougueuse !
T'embrassant à pleine bouche,
Dans un souffle chaud et profond
Qui réchauffe nos peaux,
Pour un séisme langoureux.
L.A.
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fidjiefidjie · 5 months
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"Mai frileux : An langoureux. Mai fleuri : An réjoui. Mai venteux : An douteux."
Proverbe français
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wandajetaime · 5 months
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The Alchemy
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♡ Ship: Jason Mendal x Ysaline
♡ résumé : Ysaline se réveille dans le même lit que Jason Mendal...
♡ words: 1283
♡ ps : Bonjour! Avec la sortie d'Amour sucré NewGen, j'ai eu une envie d'écrire quelque chose sur Jason Mendal et... j'en suis plutôt fière de ce one shot ^^ qui continuera peut être ou peut être pas. Il n'y rien d'explicite. Merci de prendre le temps de lire ! <3
♡ ps 2: je l'ai écrit en écoutant Fortnight et The Alchemy de Taylor Swift ^^ beaucoup de mes écrits seront inspirées de ses chansons :D
♡ ps 3: Pas besoin d'avoir joué au jeu pour lire ;)
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Le doux soleil de printemps caressait avec délicatesse le visage d'Ysaline. Elle ouvrit légèrement ses yeux avant de les refermer aussitôt à cause de la lumière vive. La brune se retourna avant de cacher son visage du soleil et de gagner quelques minutes de sommeil en plus.
Néanmoins, elle heurta un mur. Enfin, ce qu'elle pensait qui était un mur n'était autre que le dos d'un homme, torse nu à côté d'elle. Aussitôt elle se souvint.
Pourquoi avait-elle fait ça ? La personne avec qui elle partageait ce lit, n'était autre que Jason Mendal, qu'elle avait rencontré la nuit dernière. Enfin, " rencontré " si l'on peut dire... Jason l'avait invité à dîner dans un restaurant privé d'Amoris.
Ce qui était étrange, c'était les circonstances de leur rencontre. Les deux amants travaillent dans des boîtes concurrentes dans l'événementiel. Ysaline, suite à sa démission dans son ancienne boîte, a déménagé chez sa mère et a posé ses bagages dans cette ville. Bien vite, la jeune femme a retrouvé du travail, avec un entretien téléphonique d'à peine dix minutes. À l'entreprise Devenementiel.
Ysaline s'est très vite accommodé à cette entreprise et ses collègues plus... loufoques qu'elle n'ait jamais eu ! Elle les appréciait énormément.
Elle sentit une pointe de culpabilité lui provoquer une douleur à son cœur à cette pensée, ses yeux ambrés toujours fixés sur le dos nu de Jason, qui semblait dormir à poing fermés.
Que penserait ses collègues en la voyant ainsi ? Dans le lit de leur concurrent ?
Contrairement à ce que la scène pourrait laisser croire, il ne s'était rien passé entre les deux tourtereaux. Enfin, hormis des baisers langoureux, rien de plus. Ysaline ne souhaitait pas franchir ce pas, ça rendrait sa trahison trop... réelle pour elle.
Et Jason l'avait compris, sans qu'elle n'ait eu besoin de le verbaliser. Ils avaient un lien particulier où ils semblaient se comprendre par un regard, sans parole.
Après une longue contemplation de ce dos nu, Ysaline se tourna et regarda l'heure du le réveil high tech à sa droite. 8h13.
Elle pourrait s'éclipser discrètement, en laissant un petit post-it... ou rester ici et faire la grasse matinée, c'était Mercredi, elle ne travaillait que d'après-midi. Sa mère était en déplacement en Allemagne et sa sœur chez leur père. Personne ne l'a dérangerait.
L'idée de s'éclipser discrètement lui semblait être une bonne idée, elle se décala doucement du matelas afin de ne pas réveiller Jason. Elle rattrapa ses vêtements éparpillés dans la pièce et les enfila à une vitesse impressionnante. Ysaline remit son pantalon en état et s'arrêta à l'encadrement de la porte.
Pendant quelques secondes, elle ne bougea pas et réfléchit. Elle ne pouvait pas laisser Jason dans ce si grand lit. Elle mordait sa lèvre inférieure de culpabilité, décidément elle ne savait pas s'y prendre.
La brune se rapprocha donc du lit et se glissa par-dessus la couette, s'approchant du jeune homme. Son visage fin et séduisant semblait tellement… apaisé quand il dormait, Ysaline se surprit à apprécier cette moue. Elle passa une douce main dans les cheveux décoiffés de Jason, jouant délicatement avec les mèches grisées.
—  La belle au bois dormant... on se réveille... Roucoula Ysaline, un sourire taquin aux lèvres.
La dite belle au bois dormant, grimaça un peu et ouvrit difficilement les yeux. Jason n'était pas quelqu'un de matinale, et encore moins avec quelqu'un qui partage son lit. Il mit quelque secondes à émerger de son réveil, Jason remarqua enfin Ysaline, qui était quasiment allongée sur lui.
— Bonjour à toi aussi chaton... Croassa Jason en glissant avec tendresse sa main droite dans les mèches rebelle de la femme au dessus de lui. Tu es déjà habillé ? Dit-il en baissant les yeux sur les vêtements d'Ysaline.
— Hmm hmm. Répondit la brune, sans entrer dans les détails. Avec son majeur et son index, Ysaline traça très délicatement les traits de Jason, partant de l'implantation de ses cheveux à la naissance de son oreille gauche, puis glissa avec douceur sur les traits fins de sa mâchoire avant d'arriver à ses lèvres, sans qu'elle ne le contrôle, son pouce passa instinctivement sur les lèvres légèrement rosées de Jason, celui ci l'a regardait avec tendresse.
— Je sais que je ne devrais pas mais... j'ai très envie de t'embrasser. Murmura Ysaline, de façon si discrète que Jason ne l'aurait pas entendu s'il n'y avait pas toute son attention sur elle.
Un sourcil levé, un petit air de défi sur son visage et Jason renchérit.
— Il n'y personne pour te retenir. Pendant qu'il parlait, les mains qui s'était, plus tôt, glissé dans la chevelure de Ysaline, descendirent sur les hanches de la jeune femme, les mains de Jason s'était refermé sur leur prises, tenant fermement la brune.
Ysaline hésita quelques secondes. Ce n'était pas du tout correct ce qu'elle faisait...On ne fricote pas avec l'ennemi... Enfin, dans ce lit, les deux n'étaient plus concurrents... Non ?
Ysaline se positionna correctement, enroula ses bras autour des épaules de Jason, une de ses mains passa derrière la tête de son compagnon et attrapa ses cheveux, elle faisait ça pour ne pas perdre pied, et puis ça ne dérangeait pas du tout Jason.
— Ferme là et embrasse-moi. Répondit Ysaline, ses lèvres frôlant celle de Jason, leurs souffles étaient liés. Elle avait bien senti que le corps de Jason s'était crispé à sa phrase. Il pouvait dire ce qu'il voulait mais il aimait bien quand Ysaline lui donnait des ordres.
Ni une ni deux, Jason suivit les ordres de son amante et l'embrassa. Il avait dû se relever et était désormais assis avec sa bien-aimée sur lui. Pendant une quinzaine de secondes, leurs baisers se contentaient d'être des baisers vifs. Mais Jason n'était pas satisfait, il en voulait plus, il était complètement addict à ses lèvres.
Sans hésitation, Jason attrapa la nuque de la brune et l'allongea rapidement sous lui. Leurs lèvres ne se quittant jamais. Désormais, Ysaline était sous lui. Sa main toujours sur sa hanche, se décala sur le côté de sa cuisse et la souleva doucement.
Jason allait retirer le t-shirt de son amante pour couvrir son ventre de baisers. Mais la poigne d'Ysaline dans les cheveux du brun se fit plus forte, lui disant d'arrêter
— Jason... avertit Ysaline. Jason releva la tête et eut un petit rire nerveux, heureusement qu'elle était là pour le ramener à la raison.
— Désolé...Répondit Jason, avec un petit sourire désolé, en remettant le t-shirt de la femme sous lui. Elle lui était reconnaissante de ne pas tenter plus. Jason se leva et s'allongea juste à côté d'elle. Il la contempla quelques secondes.
— Je peux t'embrasser ? Demanda Jason sa main droite caressant la joue d'Ysaline qui accepta d'un geste de la tête. Elle aimait qu'il lui demande son autorisation.
Après une longue séance de baisers humide, Jason allait renchérir pour un nouveau baiser quand une Ysaline essoufflée et rouge bloqua les lèvres de Jason avec sa main, il était presque 9h00 elle devait d'abord rentrer chez elle se changer et prendre une bonne douche.
— T'es mignon Jason mais je vais devoir y aller. Dit Ysaline un petit sourire aux lèvres. Jason fronça un peu les sourcils, il aurait voulu rester toute la matinée dans ce lit avec elle.
—  Un dernier ? Demanda Jason en enlevant la main de la brune. Elle soupira, il avait le comportement d'un enfant de huit ans. Mais Ysaline lui posa un baiser vif sur ses lèvres avant de se lever. Elle caressa doucement les cheveux de Jason avant de s'en aller.
— Passe une bonne journée. Rit Ysaline en voyant la moue de Jason, puis elle s'en allait enfin.
Quand la porte d'entrée claqua, Jason tomba dans son grand lit vide qui sera froid dans quelques minutes. Il soupira. Elle lui manquait déjà.
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sushisensei171197 · 2 months
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𝔻𝕚𝕝𝕦𝕔 | Sway
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*↷◌ Info:
||Personnage : Diluc ||Origine : Genshin Impact ||Nombre de mots : 3 560 ||Inspiration musicale : Sway de Michael Bubblé ||Synopsis : [T/P] est une chanteuse connu à Mondstadt, et performe régulièrement dans la taverne de Diluc. On dit que les deux sont de bon amis, mais n'entretiendraient-ils pas une relation plus intime lorsque les portes sont closes?
⁎↣♡↢⁎
     Ce soir, à Angel's Share, taverne emblématique de Mondstadt, un évènement sortant de l'ordinaire allait prendre place à l'intérieur. Au rez-de-chaussée, une petite scène avait été installée, où quelques instruments reposaient dessus. Puis à l'avant, au centre, un micro solitaire. Cette petite mise en scène intriguait les nouveaux clients, se questionnant sur la raison de ce décor différent de l'habitude. Mais les habitués de la petite taverne savaient ce qui allait se passer. Un vendredi soir sur deux, une chanteuse à la voix mielleuse venait faire son spectacle, remplissant à l'occasion la taverne de client friand de son chant.
     Pour Diluc, barman et propriétaire de ce repère chaleureux, la venue de cette chanteuse lui permettait de venir gonfler ses recettes si la semaine n'avait pas été assez florissante pour lui. Bien évidemment, ce n'était pas l'unique raison pour laquelle il appréciait particulièrement ces soirées. Mais étant fidèle à lui-même, Diluc n'admettrait jamais l'effet que cette présence féminine avait sur lui, tout du moins, pas en public. PDV [T/P] :
     La taverne commençait petit à petit à se remplir, créant un brouhaha joyeux au sein de cette dernière. Diluc, lui, était au comptoir, nettoyant des verres ou servait des boissons. Son air sérieux même dans cette ambiance de fête me fit sourire. Rare sont les moments où j'ai pu le voir sourire, mais je les chéries comme rien au monde. Mon regard continua son chemin de son visage vers cette chevelure d'un rouge flamboyant, lui donnant un air sauvage et élégant en même temps. Puis mes yeux descendirent le long de sa nuque pour atteindre son torse musclé et pourtant, regorgeant de finesse. Je ne pouvais détacher mes yeux de cette silhouette envoutante. « Arrête de le fixer comme ça, tu vas baver [T/P]. » dit l'un de mes musiciens en rigolant. Je me retournais en laissant échapper un léger soupir avant de lui répondre quelque peu blessée. « Ce n'est pas de ma faute s'il est bel homme! Comment ne pas vouloir admirer ce profil si charmant? » dis-je, un léger sourire sur les lèvres, jetant un dernier regard sur ce visage de marbre.
- Haha, non mais regardé moi ces yeux langoureux. Est-ce que notre cher [T/P] n'aurait pas un petit béguin pour le barman distant et mystérieux? » renchérit un autre musicien. Je fronçais les sourcils et regardais à l'opposé de Diluc en croisant les bras.
« Je ne vois pas ce qui te fait dire ça. Allez, trêve de bavardage, nous allons bientôt rentrer en scène! »
     La petite troupe s'échangea quelques regards complices avant de rigoler. Un rictus se dessina sur mes lèvres avant que je ne prenne la poignée de la porte de derrière, nous faisant rentrer directement à côté de la petite scène. À peine avions-nous passé le pas de la porte que tous les regards de la taverne se dirigèrent vers nous, devenant le centre de l'attention. Il faut dire aussi que nous étions plutôt chics. Chacun des musiciens portaient un costume trois pièces blanc crème, le tout accompagné d'un nœud papillon rose pastel. De mon côté, j'avais opté pour une robe noire en satin avec un col bateau. Cette robe enveloppait mon corps délicatement, adoucissant les courbes de mon corps. Finalement, je portais des gants en dentelle rose pastel, remontant jusqu'au coude, rappelant le nœud papillon des musiciens. Le tout était assez minimaliste, tout en ayant de l'élégance.      Nous sourîmes à toute la salle, ravis de voir qu'il y a toujours autant de monde prêt à venir nous écouter; ça réchauffe le cœur. Pendant que les musiciens s'installaient, je pouvais entendre les murmures qui parcourraient la taverne à notre sujet. Des murmures d'excitation, de questionnement, d'appréhension. C'est alors que je me plaçais en face du micro, testais si le son fonctionnait, et la taverne devint silencieuse, impatience de savoir le déroulement de la soirée.
« Bonsoir à tous! Je vois que, ce soir encore, nous sommes nombreux et impatient que la soirée commence, n'est-ce pas? » dis-je dans le micro, le sourire aux lèvres à cause de l'excitation qui commençait à monter.
- OUAIS! » cria toute la taverne dans un élan de joie et de bonne humeur.
- Haha, bien bien. Je vois que tout le monde est en forme aussi encore ce soir. Eh bien, commençons sans plus tarder avec la première chanson qui est dédiée à la personne qui a su faire tambouriner mon cœur avec passion, qui a su faire frissonner ma peau de plaisir, et qui d'un simple toucher enflamma tout mon être du grand brasier qu'est l'amour. J'ai choisi la chanson Sway! »
     Suite à cette déclamation, une vague de sifflement parcourut le public intrigué de savoir qui était cet heureux élu. J'en profitais d'ailleurs pour lancer un regard furtif dans la direction de Diluc. Ce dernier restait impassible devant le comptoir à s'occuper des clients; il ne daignait même pas m'adresser un regard. Mais je savais que mes dires ne l'avaient pas laissé si indifférent que cela, bien qu'il montrât le contraire. Le bout de ses oreilles ainsi que ses pommettes prirent une teinte légèrement rosée, un changement très discret, mais qui n'échappait pas à mes yeux. À la vue de cette réaction chez Diluc, je reportais mon attention face à la salle, un sourire satisfait scotcher aux lèvres.
« Musiciens! »
     Ils s'échangèrent un regard, tous souriant et commencèrent aussitôt à jouer la mélodie. Je pris une grande inspiration et calmais ma respiration en fermant les yeux quelques secondes, avant de commencer à chanter de plus belle.
« . »
When marimba rhythms start play Dance with me, make me sway Like a lazy ocean hugs the shore Hold me close, sway me more
Like a flower bending in the breeze Bend with me, sway with ease When we dance, you have a way with me Stay with me, sway with me
Other dancers may be on the floor Dear, but my eyes will see only you Only you have that magic technique When we sway, I go weak
I can hear the sounds of violons Long before it begins Make me thrill as only you know how Sway me smooth, sway me now
Other dancers may be on the floor Dear, but my eyes will see only you Only you have that magic technique When we sway, I go weak
I can hear the sounds of violons Long before it begins Make me thrill as only you know how Sway me smooth, sway me now
When marimba rhythms start play Dance with me, make me sway Like a lazy ocean hugs the shore Hold me close, sway me more
Like a flower bending in the breeze Bend with me, sway with ease When we dance, you have a way with me Stay with me, sway with me
When marimba rhythms start play Dance with me, make me sway Like a lazy ocean hugs the shore Hold me close, sway me more
Like a flower bending in the breeze Bend with me, sway with ease When we dance, you have a way with me Stay with me, sway with me
« . »
     À la fin de ma performance, j'en profitais pour faire un petit clin d'œil dans la direction de Diluc, espérant cette fois une réaction plus prononcée chez le barman. Mais il n'en fut rien, malheureusement.
      Après seulement une chanson, la taverne était déjà en ébullition et en redemandait. Mes compagnons et moi-même ne pouvions nous arrêter de sourire face à l'engouement du public. Je repris mon souffle avant de ne reprendre le micro dans mes mains.
« Vous en revoulez encore ? »
     Un « Oui » unanime émergea dans toute la taverne, nous faisant comprendre que la soirée ne s'arrêterait pas en si bon chemin. C'est alors, qu'après deux trois gorgées d'eau, les musiciens se remirent à jouer, moi les accompagnant avec ma voix qui résonnait à travers tous les murs de la petite taverne.
PDV Diluc :
     La première chanson venait à peine de finir, et pourtant, la salle en redemandait déjà encore. Du coin de l'œil je l'avais vu m'adresser un clin d'œil, mais je ne réagis pas. Du moins, je ne le montrais pas, car je savais très bien qu'au fond de moi, mon cœur battait légèrement plus rapidement contre ma cage thoracique simplement à cause de ce clin d'œil.
     Je continuais ainsi de servir les clients qui se faisaient nombreux au comptoir. Evidemment, Venti était présent, mais je crains que les 10 bouteilles de vin n'aient eu raison de sa conscience. Je soupirais, découragé, de le voir ainsi avachi sur une table de ma taverne, encore une bouteille à la main et un sourire d'idiot accroché à ses lèvres. Parfois je me demande s'il est celui qu'il prétend vraiment être ; l'archon Anemo. Je secouais, désespéré, la tête de droite à gauche avant de reprendre la tâche que j'étais en train d'effectuer.
     De l'autre côté de la salle, [T/P] continuait de chanter de plus belle, sans jamais s'arrêter. Je lançais de temps à autre quelques regards furtifs dans sa direction tout en restant le plus discret possible ne voulant éveiller quelques soupçons. Et pourtant, plus je la regardais, plus il m'était difficile de détacher mon regard de sa silhouette. Ce corps sublime devenait enivrant, et ce visage, un visage d'ange, qui transpire la tendresse et l'amour. Ses traits fins et délicats, ses yeux remplis d'un feu ardent de passion, ses lèvres légèrement rosées dues au rouge à lèvres les rendaient encore plus délicieuses. Et sa voix, comment ne pas en parler. Le timbre de sa voix pouvait être à la fois fort et doux, agressif et tendre, sensuel et délicat. Sa voix n'était comparable à rien en ce monde tellement elle était unique et envoutante. Et ce vibrato grave et lent qu'elle pouvait produire en allant chercher un son du plus profond de ses entrailles ; j'en avais des frissons d'excitation. C'est incroyable l'effet que [T/P] a sur moi.
     Je souris tendrement en la regardant prendre plaisir à chanter devant cette foule en effervescence. Plongé dans mes pensées, je l'admirais paisiblement avant qu'une certaine voix un peu trop familière ne me sorte de mes songes.
« Elle est ravissante, tu ne trouves pas ? » dit-il avec un ton enjoué, les yeux rivés sur la silhouette de [T/P].
     Pas besoin de relever la tête pour savoir à qui appartenait la voix. Je décidais simplement de continuer à effectuer mes différentes tâches sans lui prêter trop d'attention.
« N'as-tu donc rien d'autre à faire que de venir boire dans ma taverne ? »
« Hahaha, même rendre visite à mon frère m'est interdit désormais ? » dit-il un verre de liqueur à la main, son air espiègle ne quittant jamais son visage.
     Je relevais la tête et le fixais du regard. Ne voulant pas envenimer la situation, je décidais simplement de le laisser faire, après tout, j'avais plus important à faire en ce moment.
« Eh bien reste, si cela te convient, mais tâche de boire raisonnablement dans mon établissement. Je n'ai pas envie de me retrouver à gérer un ivrogne de plus dans ma taverne. »
     Il laissa échapper un petit ricanement avant d'acquiescer et de s'éloigner, son verre à la main.
PDV [T/P] :
     La soirée commençait à toucher à sa fin et la taverne ne comptait plus que quelques clients en son sein. Épuisée de cette soirée de fête, je décidais d'aller me poser quelques instants au comptoir pour retrouver mon cher barman. Les musiciens, quant à eux, venaient de rentrer chez eux, tout aussi exténués de la soirée. Je m'assis sur une des chaises hautes du comptoir, et observais amoureusement le visage sérieux de Diluc, concentré sur une tâche à la fois. Il releva sa tête dans ma direction en me demandant ce que je voudrais prendre. A cet instant, mes lèvres s'étirèrent dans un sourire affectueux, n'ayant d'yeux que pour lui.
« Je vais vous prendre un verre de wiskey, mon cher. »
     A peine ma commande énoncée qu'il se mit au travail pour finalement me servir mon verre quelques minutes plus tard. Je bus quelques gorgées de ma liqueur avant de reposer le verre sur le comptoir verni de la taverne. Je relevais yeux afin d'avoir son visage dans mon champ de vision.
« Alors, que penses-tu de la performance de ce soir ? » demandais-je intriguée de connaître son impression ce soir encore.
- On peut dire encore une fois qu'elle a été réussie vu le nombre de clients qui se sont attroupés autour de toi et de la scène. » me répondit-il, un air indifférent sur le visage. Un soupir s'échappa de mes lèvres, quelque peu déçue de ce manque de réaction. Mais bon, à quoi est-ce que je m'attendais, c'est de Diluc dont on parle. Et pourtant, c'est une des raisons pour lesquelles mon petit cœur a craqué pour lui.
- Toujours neutre à ce que je vois. Et qu'en est-il de ma première chanson ? A-t-elle fait frissonner ton cœur de passion ? » le questionnais-je à nouveau, cette fois un petit rictus espiègle au coin de la bouche. C'est à ce moment que je pus voir à nouveau le bout de ces oreilles ainsi que très légèrement ces pommettes prendre une teinte rosée. Mon sourire s'élargit, connaissant déjà la réponse à ma question, mais je voulais tout de même savoir quel commentaire désintéressé Diluc allait me fournir.
- Je ne vois pas pourquoi une chanson aurait un tel effet sur ma condition cardiaque [T/P]. Toute fois, il se fait tard, tu devrais rentrer pour te reposer. » son sérieux ne quittait jamais son visage.
- Roooohhh la la, toujours aussi pragmatique à ce que je vois. Tu pourrais au moins dire que tu as apprécié mon chant au lieu de faire des remarques désobligeantes. » Je soufflais avant de ne reprendre une gorgée de mon whisky, le terminant à la même occasion.
- Mais, est-ce que l'impassible barman de la taverne Angel's Share serait en train de s'inquiéter pour moi en me demandant de rentrer tôt ?
- Pas nécessairement. Je m'inquiète plus du fait de devoir faire encore des heures supplémentaires.
- Tu sais, ce n'est pas en restant aussi froid que tu vas réussir à gagner mon cœur. » répondis-je dramatiquement, exagérant la situation.
- Veux-tu donc bien arrêter ta comédie et rentrer à la maison s'il te plaît ? Nous sommes en public ici, dans la taverne. » dit-il doucement en jetant de furtifs regards à droite et à gauche pour savoir si un client n'écoutait pas silencieusement la conversation.
- Haha, aurais-tu peur que quelqu'un se méprenne sur notre relation ? Eh bien soit, je rentre. Je réchaufferais le lit en t'attendant, mon chou ~ »
     Je lui susurrais les derniers mots à son oreille avant de me retourner pour sortir de la taverne. Du coin de l'œil, je le vis rougir me faisant sourire, satisfaite. Seulement, je ne me doutais pas qu'une certaine personne avait tout vu, et entendu qui plus ait.
« ... »
Lendemain matin
     Les quelques rayons qui traversèrent le rideau de la chambre vinrent effleurer mon visage, me réveillant doucement. Tranquillement, j'ouvris les yeux, ne voulant pas me faire aveugler par la lumière matinale. J'étendis mon bras à côté de moi et tâtai le lit, mais rien. Je ne sentis que les résidus de chaleur de son corps, ainsi que les quelques effluves encore présentes de son odeur dans les draps. Je me redressais donc sur le lit avant d'en sortir.
     Alors que je me dirigeais vers la cuisine, une douce odeur de nourriture vint remplir mes narines, me donnant l'eau à la bouche. J'accélérais le pas afin de me retrouver au plus vite dans la cuisine. Lorsque j'arrivais dans la pièce, je fus accueilli par un Diluc au fourneau, concentré sur chaque mouvement qu'il faisait. Un sourire se dessina sur mes lèvres et je m'avançais vers lui.
« Bonjour Diluc. Alors, bien dormi ? » lui dis-je en faisant un petit clin d'œil.
     Il releva la tête et posa son regard dans le mien, cette fois, je pouvais clairement voir la tendresse épouser les traits de son visage. Comme quoi, dans un endroit à l'abri des regards, même le plus désintéresser des barmans pouvait se révéler tendre et attentionné pour sa douce moitié. Il me sourit tendrement avant de déposer ce qu'il tenait dans les mains sur le comptoir pour se rapprocher de moi.
« Très bien, et toi mon amour ? »
     Il glissa ses bras le long de ma taille me rapprochant de lui. Un rire étouffé sortit de ma bouche tandis que je le laissai faire.
« Pourquoi ne m'as-tu pas réveillée lorsque tu es rentré ? Je n'ai même pas pu te faire un bisou pour te souhaiter bonne nuit.
- Tu dormais si paisiblement. Et puis, tu sais qu'il n'est pas conseiller de réveiller un ange qui dort, surtout lorsque ce dernier s'appelle [T/P]. Mais tu peux toujours me faire un bisou pour me souhaiter une bonne journée. »
     Il déposa un bref bisou sur mon front tout en resserrant l'étreinte. Cette fois, c'était à mon tour de rougir comme une tomate. Il a le don de, avec seulement quelques mots, me faire chavirer et perdre mes repères. J'enfouis mon visage dans son torse pour qu'il ne voit pas à quel point l'on pouvait me confondre avec sa chevelure d'un rouge flamboyant. Toutefois, il devait surement avoir remarqué ma timidité car, l'oreille contre son torse, j'entendis sa cage thoracique résonner dans un rire léger avant qu'il n'approche ses lèvres de mes oreilles pour venir me susurrer ces quelques mots
« Je t'aime, [T/P]. »
     Ce par quoi je répondis évidemment par l'affirmative, un sourire enfantin sur le visage. Puis, je relevais la tête et plongeai mon regard dans le sien. Nous nous observions tous les deux amoureusement, aucun ne voulant briser l'étreinte. Mes yeux descendirent légèrement pour venir se poser sur ses lèvres rosées et fines ; si délicieuses qu'on avait envie de croquer dedans. Je plaçais mes mains sur chacune de ses joues, et sur la pointe des pieds, posais mes lèvres contre les siennes. Il m'embrassa passionnément, comme s'il s'agissait encore de la première fois. Ses bras se refermèrent davantage autour de ma silhouette ne laissant ainsi quasiment plus d'espace entre nos deux corps, tandis que nos lèvres dansaient à l'unisson suivant un rythme rapide. Hâtivement, ce baiser devint passionnel et remplit d'amour pour l'autre, tout en y gardant une forme de tendresse. Je profitais de cette intimité pour venir glisser ma main le long de son dos avant d'atteindre son fessier. Ma main le caressa avant de le prendre fermement, nous collant davantage. Face à cette initiative, Diluc eut le souffle coupé, visiblement surpris de cette action. Je pus même voir un Diluc rougissant, presque timide et embarrassé. Mais je dois le reconnaitre, le fait de voir Diluc dans cet état pour la première fois le rendait si mignon et sexy à la fois, me fit encore une fois tomber sous son charme.
« Diluc, je te cherchais justement pour te dire que- »
     Soudain, on entendit une voix masculine résonner dans la pièce. Nous nous arrêtâmes net avant de tourner nos visages vers ladite voix. C'est alors qu'on vit un Kaeya, droit comme un i, trop choqué pour dire ou faire quoi que se soit. Un silence s'installa dans la cuisine, un long silence lourd de sens. Personne ne disait rien, mais tout le monde comprenait la situation.
« JE SAVAIS QUE TU AVAIS UNE AFFAIRE AVEC [T/P] ! »
     Kaeya s'écria soudainement, nous faisant sursauter Diluc et moi. Puis, un autre silence avant que je n'éclate de rire. Seulement, Diluc, lui, ne trouvait pas la situation aussi drôle que moi. En un clin d'œil il avait repris son air sérieux et sévère en regardant son frère. Pour ma part, je ne pouvais m'arrêter de rire, tellement le comique de situation était parfait. Visiblement, même son propre frère n'était pas au courant de tout.
« Tu n'as même pas prévenu ton frère ? Hahaha, tu es vraiment sans cœur mon cher Diluc. »
     Je me retournais dans la direction de Kaeya, un air perplexe au visage. J'essuyais quelques larmes de joie avant de reprendre.
« Nous sommes bien plus qu'une simple affaire, Kaeya. »
     En disant cela, je lui montrais mon annulaire gauche ainsi que celui de Diluc, mettant à présent bien en évidence nos alliances. La réaction de Kaeya fut des plus divertissante. Ce dernier s'attendait à tout sauf à cette fin, je pense. Rien qu'à voir sa tête de six pieds de long sous l'effet du choc, il s'agissait de la dernière possibilité. Diluc, lui, ne paraissait pas très ravi que son frère apprenne la nouvelle. Je souris et embrassais brièvement Diluc avant de sortir de la cuisine pour leur laisser un petit moment d'explication.
« Bon, je pense que des explications doivent se faire, en attendant, je vais aller prendre une douche. »
-T'as intérêt à m'expliquer pourquoi je n'étais pas au courant Diluc. »
     Alors que je m'éloignais tranquillement de la cuisine, je m'arrêtais avant d'intervenir une dernière fois.
« Ah, et pas de duel entre frères, hein, je compte sur toi mon chou ~ »
     Je quittais finalement la salle, un air satisfait sur le visage.
Ne pas prévenir son frère d'un tel changement, il faut le faire quand même.
⁎↣♡↢⁎
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waloli22 · 1 year
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@titus6312 un après-midi où, moi Maîtresse Waly, avait rendez vous avec mon soumis...
Quand j'ai penetré dans son appartement je l'ai trouvé là où je lui avais demandé et dans la tenue exigée.
Assis sur une chaise, en face de son lit dans la tenue d'adam...
Après un baiser langoureux marquant mon arrivée je me suis dirigée vers la salle de bain pour faire un petit brin de toilette et enfiler la tenue qu'il m'avait préparée. Bas, porte jarretelle, string bien fendu là où il fallait, haut en dentelle et escarpins noirs brillant. Très excitant...
Je l'ai rejoins, lui ai bandé les yeux et je l'ai chevauché afin de sentir son sexe par l'ouverture que le string laissait à ma chatte déjà humide...
Quand j'ai jugé que sa bite avait atteint un degré de bandage correct, très correct même, je lui ai ordonné d'enfiler sa cage de chasteté. Il n'a eu qu'une parole avant de s'exécuter non sans mal mais s'exécuter " la salope". Je n'ai pas trop compris pourquoi de cette réflexion 🤭.
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chicinsilk · 17 days
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Harper's Bazaar September 1972
Yves Saint Laurent Haute Couture Fall/Winter 1972-73 Collection Pat Cleveland looking languid and supple in a dark burgundy crocheted cardigan jacket with foxing at the collar and cuffs. A thin chain belt on a burgundy and navy harlequin-print wool dress. Cut on the bias, gracefully tied at the neck, feminine and flared. Doubly dramatic when worn with an elegant, fitted cap.
Yves Saint Laurent Haute Couture Collection Automne/Hiver 1972-73 Pat Cleveland l'air langoureux et souple, dans une veste en cardigan crocheté bordeaux foncé noyée de renard au col et aux poignets. Ceinture fine en chaîne sur une robe en laine à imprimé arlequin bordeaux et bleu marine. Coupe en biais, gracieusement nouée au niveau du cou, féminine et évasée. Doublement dramatique portée avec une calotte élégante et ajustée.
Photo Hiro Wakabayashi archives HB
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olympic-paris · 1 month
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saga: soumission & Domination 240
s retrouver sur place.
Nous attendons une petite demi-heure et arrive un jeune homme, un peu plus âgé que moi, assez grand, cheveux noirs mi-longs, de grands yeux gris éclairent son visage. Sous un nez droit une bouche aux lèvres pleines et rouges attire mon attention. En moi-même je la définie comme propre aux baisers langoureux.
Je continu ma revue de détail. Son T-shirt moule un torse large et musclé. Sa taille est serrée par la ceinture d'un jeans qui serre d'aussi près de ses jambes que son T-shirt ses pecs.
Quand mon regard remonte à son visage c'est pour lire dans ses yeux un sourire absent de sa bouche.
Il se présente : Alban. Je lui serre la main et lui dis que je suis l'acquéreur de son oeuvre.
Et là, il me sort : si je veux.
Je me tourne, surpris, vers Bo-gosse qui hausse les épaules à mon regard interrogatif.
Alban reprend la parole et me dit que cela dépend de moi et de mon compagnon.
J'attire vers moi PH et nous nous roulons un patin. Quand je me détache, je lui présente PH. C'est à son tour d'être examiné sous toutes les coutures. Le résultat doit être satisfaisant puis qu'à son issu, Alban nous dit accepter la vente.
Il nous explique qu'il n'aurait pas voulu que l'oeuvre parte chez des vieux, juste pour leur servir à se rincer l'oeil.
Finalement je commence à bien l'aimer ce taré ! Du coup je lui explique où nous comptons la mettre en scène. Il aime bien l'idée qu'elle soit le centre d'un jardin suspendu.
Bo-gosse annonce la fermeture et retient le sculpteur à diner avec nous.
Il a du se rendre compte que son délire collait bien avec nos caractères à PH et moi.
Nous partons à pieds, occupant, à nous 6, toute la largeur du trottoir.
Notre passage ne laisse pas indifférents et, les mecs comme les filles se retournent sur nous.
Nous sommes accueillis par le chef (un ami de Bo-gosse) qui nous a réservé sa meilleure table.
Alban se place à ma droite, Kev à ma gauche, en face PH est encadré par Bo-Gosse et Moitié.
Le diner est très agréable, les plats sont délicieux et la conversation très intéressante, et non, pas sur le sexe !
Kev dit à Alban que son oeuvre sera en bonne compagnie puisque nous avions déjà acquis plusieurs productions de Moitié. Et Bo-gosse de renchérir qu'en plus elle (la sculpture) prendra place dans une habitation très particulière.
Alban nous dit qu'il faudra alors qu'il veille lui-même à sa livraison. Depuis déjà quelques temps sa cuisse était collée contre la mienne et sa main gauche en caressait l'intérieur.
PH s'est aperçu de la chose et me sourit de toutes ses dents.
Je prends ça pour une autorisation et ma main droite divague et, de sa cuisse remonte plus haut.
Monsieur semble assez bien équipé et de plus un peu excité ou alors sacrément bien monté !
Alors que nous passons au café, il est déjà minuit, Alban nous propose de visiter son atelier. Kev est partant et nous pousse gentiment à accepter.
Bo-Gosse et Moitié déclinent l'invitation. Il me glissera à l'oreille, alors que nous nous disons au revoir, que le seul artiste qu'il vent et avec qui il couche est Moitié. Il ajoute que, selon les commérages, Alban serait un bon coup.
Nous nous entassons dans un taxi et pendant le trajet, les mains s'égarent et nous sommes tous 4 bandants en sortant devant la porte d'Alban.
Nous le suivons. Passage sous une porte cochère et traversée de la cour jusqu'au fond. Son appart/atelier prend toute la largeur. Une grosse porte à double battant nous donne accès à un immense atelier où trois sculptures sont en chantier, recouvertes de draps humides.
Au fond, ouverts sur l'atelier nous voyons l'appartement : une cuisine/séjour puis une salle d'eau et la chambre.
Alban nous entraine sur les canapés et revient après avoir lancé un café. Il se cale entre PH et moi et attaque aussitôt. Je me retrouve avec sa langue dans ma bouche et PH sa main sur le paquet.
Kev ne reste pas de coté et nous rejoint torse nu. Quelques minutes plus tard nous sommes tous à poil.
Comme je l'avais pressenti, Alban est un sacré beau mec. Poilu, il tond tous ses poils (torse, bras et jambes) à 2 ou 3mm, son pubis et la ligne jusqu'à son nombril sont un peu plus long. Les couilles sont rasées.
Bien qu'il ne soit pas imberbe, ses muscles sont bien visible et l'ensemble et très sex.
De ce coté là, il se défend et, sans triple décimètre, je le pense de 20/21cm sur 6 de large, circoncis avec un beau gland plutôt rond et légèrement plus gros.
Kev est le premier à se jeter dessus. Alban est surpris de le voir l'avaler entièrement, agréablement surpris.
Je suis encore à lui rouler un patin comme PH s'occupe de ses tétons (le droit est percé et orné d'une couronne dorée, travaillée, maintenue par une petite barre transversale).
Ses deux mains branlent mon sexe et celui de PH.
Je me décolle de lui et lui mets ma bite devant sa bouche. Il ne fait aucune difficulté pour me tailler une pipe et à la troisième " plongée ", vient buter son front sur mes abdos, à son tour m'avalant tout entier.
Je suis passé facilement dans sa gorge, je ne suis sûrement pas le premier !
Il se dégage de nos trois attentions et, debout, repousse la table basse pour dégager le tapis avant de nous inviter à le rejoindre dessus.
En carré, chacun suce celui qui est devant lui, trop bon ! Nous continuons avec un glissement vers l'arrière et nos salives oeuvrent à lubrifier nos rondelles. Avant d'aller plus loin, il attire vers nous une poignée de kpotes et deux tubes de gel.
Sa bite me plait trop et j'attire PH sous moi pour, en 69, laisser nos deux " portes arrière " libres d'être enfoncées.
Nos deux amis ne s'y trompent pas et comme je vois la queue de Kev venir défoncer le cul de PH, je devine sans mal que c'est celle d'Alban qui force ma rondelle. Je me détends bien et il s'enfonce sans résistance de ma part. Arrivé au fond, il attrape mes épaules et d'un coup sec vérifie qu'il ne peut s'enfoncer plus.
Je le laisse me limer quelques minutes avant de brusquement serrer mon anneau. Il est bloqué à mi pénétration et ne peut plus bouger. Il est surpris ne s'attendant pas à ça. Je lui dis, en relâchant la pression, que c'était juste pour lui montrer que s'il m'avait si facilement pénétré, c'était parce que je l'avais bien voulu.
Je relâche la pression et il se remet à me sodomiser. Son gland légèrement plus large que sa hampe me fait un bien fou à passer et repasser sur ma prostate.
Et c'est dans cette position que nous prenons nos pieds. PH est le premier à juter. J'avale sa production et cela, plus le limage en règle de ma rondelle, me fait jouir à mon tour. Il me boit totalement, c'est l'avantage de vivre ensemble !
Sous les pulsions de nos anneaux consécutives à nos éjaculations, nos deux enculeurs jutent de leur coté. Ils se fixent au fond de nos culs et remplissent leurs kpotes.
Quelques minutes plus tard, ils déculent avant de débander complètement. Du coup, je peux me retourner et avec PH nous nous roulons un patin où se mélangent nos derniers gamètes cachés entre nos dents.
Alban demande à Kev s'il nous connait bien et, devant sa réponse positive, lui demande si nous sommes toujours aussi chauds.
Nous sommes encore à nous rouler une pelle que j'entends Kev lui confirmer que là, c'était juste tiède et qu'il m'a vu assurer grave lors de touzes mémorables.
Je me détache de PH et leur dit qu'il est très impoli de parler de personnes quand elles sont devant eux.
Alban me dit alors directement qu'il est preneur quand il effectuera l'implantation. Ça le changera des " habituels " parisiens.
Nous prenons enfin le café et alors que je souhaite voir les oeuvres en cours, Alban refuse de soulever les draps. Il ne laisse voir que les oeuvres terminées.
Alors que nous prenons congés de l'artiste, PH lui glisse à l'oreille que la prochaine fois il devra tester son cul à lui aussi.
Nous regagnons l'appart de Kev à pied. Nous mettons 3/4 d'heure mais les rues sont vides et nous marchons rapidement. Deux fois nous croisons des mecs. Un des groupes fait mine de revenir sur nous mais notre assurance les convainc de renoncer à nous embêter. Ils ont beau être deux de plus que nous, leurs carrures ne plaident pas en leur faveur !
Après une douche rapide, nous dormons dans le même lit.
C'est le téléphone qui, à 13h nous réveille. Kev peine à se dégager de nos deux corps entassés sur lui.
C'est Henri qui nous attend pour déjeuner. Nouvelle douche et nous le retrouvons chez lui.
Nous partons déjeuner. Nouveau restaurant, encore celui d'un ami. Très bon évidemment. Je lui parle de la sculpture que nous avons acheté hier soir et lui montre les photos prises sur mon i-phone. Il la trouve pas mal du tout. Kev lui dit qu'il en a fait d'autres moins imposantes.
Comme avec Moitié, je suis sûr qu'il va acquérir une de ses oeuvres.
Il nous raccompagne jusque chez Kev et comme nous nous équipons pour rentrer, il me demande les disponibilités de Viktor car il doit bientôt retourner en Russie.
Je lui dis de m'envoyer un mail.
Une fois nos combis sur le dos, nous retrouvons nos montures et direction la province. A peine 3h plus tard nous les garons au rez de chaussée du blockhaus.
La Ducati de Franck est là. Au 4ème, il nous attend avec Louis. Ils venaient d'arriver et Samir les avait invités à rester sachant que nous arrivions.
Ils nous aident à nous dépouiller de nos combis. Devant un thé bien chaud alors que nous sommes assis devant le feu " numérique ", je raconte notre WE et surtout l'achat que nous avons fait. Ils nous racontent le leur, comme si nous n'avions pas deviné, devant leurs airs comblés, qu'ils avaient passé leur temps au lit à baiser !
Ils nous quittent après diner et j'organise le voyage de Viktor selon les besoins d'Henri avant de lui envoyer sa convocation par mail.
Le lundi nous arborons PH et moi les perles que nous venons de nous offrir.
Evidemment, mes Escorts nous en font la remarque.
Morgan (mon Escort et collègue de fac) me dit qu'ils (mes Escorts) pourraient tous arborer un signe commun.
Je refuse le tatouage, trop indélébile. Il me propose un piercing. Ils en avaient discuté entre eux et me proposaient le téton droit ou le nombril.
Avec le souvenir du bijou arborant le sein d'Alban, je lui dis que je vais y réfléchir.
Quelques jours plus tard, à l'occasion du cours de Krav maga, je leur donne ma réponse.
C'est OK pour leurs tétons et je leur montre un dessin de ce qu'ils y accrocheront après la cicatrisation.
A l'image de ce que porte Alban, je vais leur faire faire un anneau découpé. A droite d'une tête de tigre et à gauche de celle de l'animal de leur choix. C'est aussitôt la cacophonie. L'idée les a emballés et ils discutent à qui choisira quel animal. Ils choisissent :
Morgan, un Boxer,
Simon, un Boxer aussi ! (j'airais du m'en douter, depuis qu'ils sont ensemble !)
Jonathan, préfère un Pit-bull, cela correspond mieux a son caractère explosif,
Viktor, un ours Kodiak (rapport à ses origines),
Maxime, un Lion,
Benoit, un Taureau,
Clément, grand amateur d'eau, voulait un dauphin mais devant les rires des autres, il finit par opter plutôt pour une Loutre,
Daniel, un Guépard,
Jimmy, un Loup
Ed à qui j'ai téléphoné la nouvelle est partant et me dit vouloir un Labrador.
Pour finaliser les bijoux, je fais appel à un orfèvre local. J'avais repéré sa devanture et les oeuvres originales qu'il y avait exposées.
Je débarque donc avec mes croquis. Après avoir expliqué ce que je désirais, nous nous mettons d'accord sur le matériau. Je voulais de l'or jaune et lui me proposait plutôt de l'or blanc pour plus de contraste avec la peau bronzée. J'ai suivi son idée. Il me dit qu'il cherchera aussi le moyen de les faire le plus léger possible.
Pour les découpes, avec les silhouettes prévues, il me dit pouvoir me faire passer ses propres croquis dans la semaine avec le devis définitif.
Quand je reçois ses versions, je m'aperçois qu'il me propose deux versions de la tête de tigre. Museau fermé ou bien gueule ouverte. C'est cette dernière que je choisis, elle fait plus virile. Les autres têtes d'animaux sont bien faites aussi.
Je lui téléphone mon accord. Il ne reste plus qu'à faire percer tout ce petit monde.
Quand j'appel le tatoueur pour demander un rendez vous pour percer 10 tétons, il croit à un blague et j'ai tout le mal du monde à le persuade du contraire.
Je passe même le voir et pour prouver mon sérieux, lui dépose la moitié du coût de l'opération. Là seulement il y croit.
Jardinier
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notrebellefrance · 9 months
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Harmonie du soir
Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir ;
Les sons et les parfums tournent dans l’air du soir ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir ;
Le violon frémit comme un coeur qu’on afflige ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Le violon frémit comme un coeur qu’on afflige,
Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ;
Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige.
Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir,
Du passé lumineux recueille tout vestige !
Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige ...
Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir !
— Charles Baudelaire (1821-1867)
Les fleurs du mal. ( photo depuis Marseille )
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C'est samedi le jour J...celui du premier rendez-vous tant attendu qui rime avec des papillons dans le ventre, cœur qui s'accélère et surtout, un baiser des plus langoureux...on est si bien...oui...on est amoureux et tellement heureux ! 💘
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tournevole · 2 months
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Dans les bois
D'autres, ― des innocents ou bien des lymphatiques, ― Ne trouvent dans les bois que charmes langoureux, Souffles frais et parfums tièdes. Ils sont heureux ! D'autres s'y sentent pris ― rêveurs ― d'effrois mystiques. Ils sont heureux ! Pour moi, nerveux, et qu'un remords Épouvantable et vague affole sans relâche, Par les forêts je tremble à la façon d'un lâche Qui craindrait une embûche ou qui verrait des morts. Ces grands rameaux jamais apaisés, comme l'onde, D'où tombe un noir silence avec une ombre encor Plus noire, tout ce morne et sinistre décor Me remplit d'une horreur triviale et profonde. Surtout les soirs d'été : la rougeur du couchant Se fond dans le gris bleu des brumes qu'elle teinte D'incendie et de sang ; et l'angélus qui tinte Au lointain semble un cri plaintif se rapprochant.
Le vent se lève chaud et lourd, un frisson passe Et repasse, toujours plus fort, dans l'épaisseur Toujours plus sombre des hauts chênes, obsesseur, Et s'éparpille, ainsi qu'un miasme, dans l'espace. La nuit vient. Le hibou s'envole. C'est l'instant Où l'on songe aux récits des aïeules naïves... Sous un fourré, là-bas, là-bas, des sources vives Font un bruit d'assassins postés se concertant
.(Poèmes saturniens, Verlaine, Livre de poche, 2004, p97,98)
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vicstoyold · 3 months
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J’ai tellement envie de partager une relation intime avec une femme…
J’ai besoin de caresser et de l’être…
J’ai ce désir d’allers-retours entre des cuisses…
J’aimerais un baiser langoureux et affectueux…
L’âge m’interdirait-il le bonheur ?
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irritants · 4 months
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J'AI NOYÉ TA COULEUR DANS UN RIVIÈRE BLEUE, LE RUBAN DE TES CHEVEUX JE L'AI COUSU SUR MES YEUX... TA JOIE, SI CHALEUREUSE, FOND SUR UN FEU... FAIT DE TES RIRES ET DE MES SOUPIRS LANGOUREUX
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bibliobouc · 1 year
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Sieste
Début d'après-midi langoureux
Sous une chaleur épaisse
A l'ombre des volets clos
Temps suspendu
Corps au repos
Cœur au ralenti
Paupières fermées
L'Homme
Se pose
Se repose
Et s'endort
( )
L'Homme
S'éveille
S'étire
Et se lève
Corps reposé
Cœur raffermi
Paupières relevées
Apaisé
Après cette parenthèse
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grain-de-rien · 2 years
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See you in the orange light
C'était doux, cet été-là, d'espérer te retrouver. Monter, traverser le Faubourg, monter encore, apercevoir la rotonde qui se dévoile, apprécier le balancement des wagons sur leurs canaux d'acier.
Maladroitement, le souvenir et l'espoir diffusaient leurs battements du creux de mon coeur jusqu'au bout de mes doigts. Parfois vifs comme les ailes à l'orée du bois, souvent langoureux comme l’enchevêtrement de nos corps sous tes draps.
Il s'en est fallu de peu, on le sait. Mais les poupées morcelées restent à jamais dispersées dans le noir. Évidement.
Si deux épaves s'attirent, ça n'peut finir qu'en naufrage.
Grain de rien; 2023
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gai2024 · 7 months
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Un été inoubliable
La beauté de la saison la plus chaude de l'année est incomparable, et cet été-là... oh, cet été était définitivement inoubliable. Tout a commencé avec l'anticipation des mois qui se terminaient, des valises faites et des rêves se réalisant sous le ciel bleu immaculé et le soleil qui reflétait la lueur dorée dans le cœur des aventuriers.
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Le voyage a commencé avec un kaléidoscope de paysages qui passait à travers la vitre de la vieille voiture qui, malgré ses bruits et ses caprices mécaniques, était la capsule temporelle qui nous transportait dans un univers parallèle où les soucis quotidiens n'existaient tout simplement pas. Les chansons jouées étaient la bande originale d'un film d'été, où chaque chanson mélodieuse portait en elle la promesse de moments éternels.
La destinée? Un petit village côtier accueillant, dont les plages étaient des franges de pure magie baignées par l'océan. Chaque grain de sable, chaque coquillage sur le rivage, chaque vague déferlant avec une force délicate sur la plage était une invitation à recommencer, à inspirer quelque chose de nouveau. C'était comme si le temps avait son propre rythme, une sorte de cadence paisible qui apaisait l'âme.
Et c’est là, dans la douceur des après-midi langoureux et des nuits étoilées, que les amitiés se sont renforcées. Les rires partagés à l'ombre des cocotiers, les jeux et défis improvisés que seul le détachement des routines permet, les saveurs tropicales qui se marient parfaitement avec la brise marine... Tout a contribué à construire la tapisserie d'expériences que l'on en viendrait à appeler " le meilleur été de notre vie."
L'amour donnait également un air de grâce, d'une manière aussi naturelle qu'un coucher de soleil qui teinte le ciel d'une palette incroyablement vibrante. Les amours estivales sont faites de différentes matières, tissées avec la lumière dorée du soleil et la liberté du vent qui ne connaît pas de frontières. Et même si toutes ne durent pas au-delà de la saison, leur saveur est ravivée à chaque vague qui embrasse la plage dans un éternel retour.
Il y a eu aussi des moments d'introspection : les promenades solitaires le long de la plage à l'aube, quand le soleil répète ses premiers accords à l'horizon et que la brise porte encore la fraîcheur de la nuit qui s'en va. Dans ces moments-là, des conversations silencieuses avec soi-même étaient possibles et la mer devenait la meilleure auditrice des confidences et des rêves.
Alors que le mois d'août touchait à sa fin, la nostalgie commençait déjà à projeter son ombre, mais c'était une ombre douce, car chaque souvenir était déjà enregistré dans des couleurs vives, prêtes à être consultées lorsque le froid des autres saisons soufflerait à travers les feuilles mortes du futur. jours. .
Cet été inoubliable nous a appris à vivre, à aimer, à être libres. Il a montré que le bonheur est fait d'instants et que la beauté de la vie réside souvent dans la simplicité : une baignade dans la mer, un sourire partagé, la chaleur du soleil sur la peau.
Lorsque les sacs ont été refaits et que la vieille voiture nous a ramenés à la maison, nous avons compris que quelque chose en nous avait changé. Nous étions chargés non seulement de souvenirs, mais aussi d'une expérience qui nous avait transformés. Ainsi, chaque été porterait ensuite un peu de cette magie, une flamme éternelle qui nous réchaufferait avec le souvenir de jours d'un été absolument inoubliable.
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wittylittle · 8 months
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C’est moi, l’autre délurée… j’ai ce jeune amant avec qui j’échange trois messages textes par semaine, toujours le samedi avant-midi. Il me salue, je l’invite et il m’avise qu’il s’en vient.
Quand il arrive, on échange trois mots avant que nos langues se retrouvent… préliminaires longs et langoureux… ensuite on baise intensément… on jouit, on se rhabille et on se dit à la prochaine!!!
C’est certainement la plus belle de mes relations.
Bisous coquine 😈
Pas de niaisage, j’aime ça
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