#lalo prado
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thoroughlymodernminutia · 2 years ago
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-Little Dixie, 2023
This is the end my friends.
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jpbjazz · 8 months ago
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LÉGENDES DU JAZZ
GATO BARBIERI, LE CHAT AUX NEUF VIES
‘’When I play, I try to sing without words."
- Gato Barbieri
Né le 28 novembre 1932 à Rosario, en Argentine, Leandro ‘’Gato’’ Barbieri est né dans une famille de musiciens. Son oncle jouait du saxophone et son frère de la trompette.
Barbieri a commencé à jouer de la musique après avoir entendu l’enregistrement de ‘’Now’s the time’’ de Charlie Parker qui avait été sa première influence. Barbieri avait commencé à jouer de la clarinette à l’âge de douze ans. Barbieri s’était installé à Buenos Aires avec sa famille en 1947. Par la suite, Barbieri avait pris des cours privés de saxophone alto, de clarinette et de composition durant cinq ans avant de passer au saxophone ténor.
Barbieri s’était mérité le surnom de ‘’Gato’’ (qui signifie chat en espagnol) dans les années 1950 en raison de la facilité avec laquelle il passait d’un club à l’autre pour donner sa prochaine prestation.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Barbieri avait amorcé sa carrière musicale à la fin des années 1950. À l’époque, l’Argentine étant toujours placée sous la dictature de Juan Peron, Barbieri avait fait ses débuts en Bolivie en jouant du saxophone alto avec le pianiste et compositeur argentin Lalo Schifrin. Ce n’est que par la suite qu’il avait adopté le saxophone ténor sous l’influence de John Coltrane. Décrivant cette période comme une sorte de libération, Barbari avait expliqué: “During that time, Juan Peron was in power. We weren’t allowed to play all jazz; we had to include some traditional music, too. So we played tango and other things like carnavalito.” À Buenos Aires, Barbieri avait également eu l’occasion de jouer avec des musiciens en visite comme le roi du mambo cubain Perez Prado, ainsi que des grands noms du jazz comme Coleman Hawkins, Herbie Mann, Dizzy Gillespie et João Gilberto.
Après avoir quitté l’orchestre de Schifrin, Barbieri avait formé son propre groupe. Après avoir passé quelques années à jouer en Argentine, Barbieri avait décidé de déménager aux États-Unis, puis à Rome, en Italie où il s’était installé en 1962 avec sa femme Michelle, qui était elle-même d’origine italienne.
Mais même si Barbieri était rapidement devenu un incontournable des clubs italiens, le couple était loin d’être heureux dans son nouvel environnement. À l’époque, beaucoup de gens avaient encore la perception qu’un véritable musicien de jazz devait être nécessairement noir. Avec son nom à consonance italienne et sa peau blanche, Barbieri avait d’ailleurs été plutôt mal accueilli par plusieurs musiciens qui lui avaient clairement laissé entendre que sa carrière était vouée à l’échec.
En 1963, Barbieri se produisait à Rome lorsqu’il avait rencontré le trompettiste Don Cherry qui l’avait invité à faire partie de son groupe. Véritable groupe multiracial, l’ensemble de Cherry, qui se produisait à l’époque à Paris, en France, comprenait un Allemand, un Italien et un Français. À Paris, Barbieri avait rapidement trouvé sa place, comme l’avaient fait plusieurs musiciens américains en exil à une certaine époque. Avec Cherry comme mentor, Barbieri avait enregistré deux albums de free jazz pour les disques Blue Note au milieu des années 1960. Barbieri avait d’abord joué du saxophone ténor sur l’album de Cherry intitulé ‘’Symphony for Improvisers’’ aux côtés de Phaoah Sanders avant de collaborer à l’enregistrement de l’album de Cherry ‘’Complete Communion’’ (1965). Les deux albums sont aujourd’hui considérés comme des classiques du free jazz. Parallèlement à sa collaboration avec Cherry, Barbieri avait également enregistré avec Steve Lacy et Dollar Brand (Abdullah Ibrahim).
Barbieri avait finalement quitté le groupe de Cherry en 1965 pour s’installer à New York où il avait lancé sa carrière solo. Influencé par le mouvement des droits civiques qui avait contribué à revaloriser la culture afro-américaine à l’époque, Barberi avait commencé à revendiquer sa propre culture et à incorporer les sons de son Amérique du Sud natale dans sa propre musique. Comme Barbieri l’avait précisé au cours d’une entrevue accordée au magazine Down Beat, "So slowly, slowly, I changed. Many people are concerned about technique but I'm concerned about sound."
Sous l’influence des dernier albums de John Coltrane et des autres musiciens de free jazz comme Albert Ayler et Pharoah Sanders, Barbieri avait progressivement commencé à développer la sonorité chaude et intense qui l’avait caractérisé au cours de sa carrière. À la fin des années 1960, Barbieri avait continué  d’intégrer des éléments de musique sud-américaine dans son jeu tout en collaborant avec des projets d’envergure comme le Liberation Music Orchestra de Charlie Haden et l’opéra ‘’Escalator Over the Hill’’ de Carla Bley.
En mars 1967, Barbieri avait publié un premier album comme leader intitulé ‘’Search of Mystery’’ sur laquelle il avait poursuivi les expérimentations qu’il avait amorcées avec Cherry. Très influencé par le free jazz, l’album, qui avait été enregistré avec un groupe composé d’un violoncelle, d’une contrebasse et d’un batterie, avait été assez bien accueilli par la critique. À peine trois mois plus tard, Barbieri avait enchaîné avec ‘’Obsession’’, un album en trio. Après avoir collaboré avec le pianiste Dollar Brand (Abdullah Ibrahim) dans le cadre de l’enregistrement de l’album ‘’Confluence’’ (mars 1968), le Jazz Composer’s Orchestra de Micharl Mantler (1968) et le Liberation Music Orchestra de Charlie Haden (1969) et avoir signé un contrat avec les disques Flying Dutchman de Bob Thiele, Barbieri avait finalement trouvé son propre son sur l’album ‘’Third World’’ (novembre 1969) dans lequel il avait tenté de réaliser une fusion du free jazz avec la musique latino-américaine. Trois des quatre pièces de l’album rendaient d’ailleurs hommage à des compositeurs argentins. Enregistré avec des sommités du jazz comme Charlie Haden et Roswell Rudd, l’album est aujourd’hui considéré comme un des meilleurs de la carrière de Barbieri. Barbieri avait enregistré cinq albums avec les disques Flying Dutchman, ce qui lui avait permis de jouer avec de grands noms du jazz comme Roswell Rudd, Lonnie Liston Smith, Charlie Haden, Ron Carter, Naná Vasconcelos, John Abercrombie, Stanley Clarke, Roy Haynes et Airto Moreira. Durant cette période, Barbieri s’était également établi comme un des saxophonistes plus originaux du début des années 1970.
De plus en plus intéressé à fournir au public américain des versions ‘’jazzy’’ de classiques latino-américains, Barbieri était retourné en Argentine afin de se retremper dans la musique de sa terre natale. En avril 1971, Barbieri avait publié ‘’Carnavalito on Fenix’’, un album influencé par la musique du Brésil et des Caraïbes. L’album avait été enregistré avec un groupe composé de Pharoah Sanders au saxophone ténor, de Lonnie Liston Smith au piano, de Joe Beck à la guitare, de Ron Carter à la contrebasse, de Lenny White à la batterie et de Nana Vasconcellos aux percussions. Avaient suivi des albums comme ‘’El Pampero on the live El Pampero’’ (publié en juin 1971) et ‘’El Parana on Under Fire’’ (enregistré en 1971), qui mettait en vedette Smith au piano, John Abercrombie à la guitare, Stanley Clarke à la basse et Airto Moreira aux percussions. Chaque album comprenait au moins une composition de Barbieri, qui avait continué de manifester son intérêt pour la musique latino-américaine. Barbieri avait enchaîné en 1973 avec l’album ‘’Bolivia’’ qui comprenait le même personnel que ses albums précédents.
À partir de 1973, Barbieri avait commencé à publier une oeuvre beaucoup plus ambitieuse. Mettant en vedette de larges ensembles composés principalement de musiciens latino-américains, l’oeuvre qui prenait la forme d’une tétralogie comprenait les albums ‘’Latin America’’ (avril 1973), un des sommets artistiques de la carrière de Barbieri qui incluait notamment la suite en quatre parties ‘’La China Leoncia’’, ‘’Hasta Siempre’’ (avril 1973), ‘’Viva Emiliano Zapata’’ (juin 1974) et ‘’Alive In New York’’ (février 1975).
Par la suite, Barbieri était retourné en Europe, où il avait de nouveau connu un grand succès. Le succès remporté par Barbieri en Europe avait cependant eu l’effet pervers de diminuer son intérêt pour la musique de sa terre natale, transformant ainsi l’album ‘’Third World’’ en une sorte d’adieu aux rythmes traditionnels argentins.
Barbieri avait déjà composé quelques bandes sonores en Argentine et en Europe lorsqu’il avait été contacté par le réalisateur italien Bernardo Bertolucci qui lui avait offert d’écrire la musique du film ‘’Last Tango In Paris’’ en 1972. Barbieri avait accepté l’offre même si le fait de collaborer avec un réalisateur aussi prestigieux risquait de le le confiner à un genre musical en particulier. Décrivant sa collaboration avec Bertolucci, Barbieri avait commenté: “It was like a marriage between the film and the music. Bernardo told me, ‘I don’t want the music to be too much Hollywood or too much European, which is more intellectual. I want a median.’”
La trame sonore, qui combinait le tango traditionnel argentin à la musique européenne, avait remporté un grand succès et avait mérité à Barbieri un contrat avec les disques Impulse ainsi qu’un prix Grammy dans la catégorie de la meilleure musique de film originale. De fait, la bande sonore était devenue si populaire que des musiciens comme Herb Alpert et Willie Mitchell l’avaient bientôt ajoutée à leur répertoire. La version intégrale de la bande sonore n’avait cependant été publiée qu’en 1998.
Malheureusement, en raison des goûts pour le moins changeants du public et de la perte d’intérêt du public européen, la célébrité de Barbieri avait été plutôt éphémère.
En 1973, Barbieri était de nouveau rentré en Amérique du Sud, d’abord à Buenos Aires, puis à Rio de Janeiro, au Brésil. Barbieri avait alors enregistré une série de quatre albums intitulés ‘’Chapters’’ pour les disques Impulse qui mettaient en vedette des musiciens et des instruments latino-américains et témoignaient de l’atmosphère politique plutôt tendue qui prévalait en Amérique du Sud dans les années 1970. Un critique du magazine Down Beat avait écrit au sujet de cette période de la carrière de Barbieri: ‘’There was an almost overloaded thickness to the music, a texture of electric and acoustic, ancient, and modern instruments."
Malgré tout l’intérêt de ces albums, c’est surtout après avoir fait un virage vers un jazz plus accessible dans le cadre de l’album Caliente en 1976 que Barbieri avait recommencé à connaître un certain succès. Après la faillite de disques Flying Dutchman et Impulse, Barbieri avait été contacté par le fondateur des disques A & M, le saxophoniste Herb Alpert, qui lui avait fait enregistrer un album de jazz soul comprenant des succès de Santana et de Marvin Gaye. Dans une autre de ses nombreuses métamorphoses, Barbieri avait abandonné son style éclectique pour devenir un artiste très populaire à la radio. Vendu à 225 000 copies, l’album ‘’Caliente’’, publié en 1976, était devenu le disque le plus populaire de la carrière de Barbieri. L’album comprenait la pièce la plus connue de Barbieri, une version de la composition de Carlos Santana, ‘’Europa.’’ L’album, ainsi que le disque suivant de Barbieri, ‘’Ruby Ruby’’ (1977), était produit par le musicien et co-fondateur de la maison de disques, Herb Alpert. Dans le cadre de sa collaboration avec A & M, Barbieri avait aussi également avec des grands noms du jazz comme Randy Brecker, Bernard Purdie, Steve Gadd et Lee Ritenour. 
Durant le reste de sa carrière, Barbieri avait surtout joué des ballades pop.
Dans les années 1980, Barbieri avait aussi continué d’enregistrer et de composer des bandes sonores de film comme ‘’Firepower’’ (1979), et ‘’Strangers Kiss’’ (1983).
Barbieri avait été très affecté par la mort de son épouse Michelle qui était décédée en 1995 à la suite d’un long combat de dix ans contre le cancer. Le couple s’était marié en 1960. Très proche de son mari, Michelle était également sa gérante et sa conseillère musicale. Barbieri et Michelle avaient toujours été insérables, et vivaient une sorte d’existence d’ermite qu’ils avaient qualifiée d’auto-isolement insulaire.
Lorsque Michelle était tombée malade, Barbieri avait cessé de faire des tournées pour prendre soin de sa femme. Après la mort de Michelle, Barbieri avait fait la rencontre de sa seconde épouse Laura, avec qui il avait eu un fils en 1998, Christian.
DERNIÈRES ANNÉES
Il faut dire que déjà au début des années 1980, Barbieri avait commencé à se retirer de la scène du jazz afin de redéfinir son style et son identité musicales. Depuis son virage vers un jazz plus commercial, Barbieri avait perdu une grande partie de sa crédibilité auprès des critiques. La santé de Barbieri avait également commencé à se détériorer. Seulement quelques mois après le décès de son épouse Michelle, le saxophoniste avait été victime d’une crise cardiaque.
Après la mort de sa femme, Barbieri s’était replié sur la seule autre constante de sa vie: son saxophone. Barbieri avait fait un retour en 1997 en publiant l’album ‘’Que Pasa?’’ Enregistré avec une nouvelle génération d’artistes ‘’smooth jazz’’, l’album, selon les dires du critique Jim Macnie du magazine Billboard, "stresses the hallmark of Barbieri's work: a fervent attack and commitment to melody."
Barbieri avait recommencé à enregistrer et à donner des concerts à la fin des années 1990. Il avait également composé d’autres musiques de film, dont les trames sonores de ‘’Manhattan by Numbers’’ (1991) d’Amir Naderi et ‘’Seven Servants’’ (1996) de Daryush Shokof. Sur le plan musical, l’album ‘’Qué Pasa’’ (1997) l’avait encore accru ses liens avec le ‘’smooth jazz.’’ En 1999, Barbieri avait enchaîné avec l’album ‘’Che Corazon’’, qui avait été suivi en 2002 d’une oeuvre au titre passablement prophétique, ‘’The Shadow of the Cat.’’
Gato Barbieri est mort de pneumonie le 2 avril 2016 à New York à l’âge de quatre-vingt-trois ans. Saxophoniste apatride, Barbieri avait des résidences en Argentine, à New York et à Rome. Il laissait dans le deuil son épouse Laura, son fils Christian et une soeur, Raquel Barbieri.
Au moment de sa mort, Barbieri venait de terminer une période de résidence d’un mois au club Blue Note de New York. Barbieri était d’ailleurs un habitué du club, où il se produisait à tous les mois depuis plusieurs années. Barbieri avait joué pour la première fois au club Blue Note en 1985. Barbieri avait présenté un dernier concert au club le 23 novembre. Le gérant du club avait commenté : “He was a worldly free spirit, a really sweet man. He really was a pioneer.”
Même si les critiques l’avaient souvent comparé à John Coltrane et Pharoah Sanders, Barbieri se considérait plus proche du groupe rock Santana et du chanteur Marvin Gaye. Il expliquait: "When I play, I try to sing without words."
Si Barbieri avait adopté le surnom de Gato pour décrire son intensité comme saxophoniste, le surnom était progressivement devenu une référence aux nombreux changements de cap qu’il avait adoptées au cours de sa carrière. Tel un phoenix qui renaissait toujours de ses cendres, le penchant de Barbieri pour l’innovation reflétait ce perpétuel recommencement. Saxophoniste passionné, Barbieri avait un son d’une grande fraîcheur qui combinait les rythmes sud-américains au free jazz ou à des musiques plus ‘’mainstream’’ comme le Smooth jazz.
Doté d’une des sonorités les plus facilement identifiables du jazz, Barbieri a enregistré des dizaines d’albums tant comme leader qu’accompagnateur. Décrivant le son de Barbieri, le critique Jon Pareles du New York Times avait écrit en 1983 que le saxophoniste avait ‘’some of the most raucous sounds ever to emerge from a tenor saxophone.”. Pareles avait ajouté: “His horn screams, grunts, honks, bleats, groans. Even in ballads, he works up to a hefty, throbbing tone that sounds like it could burst at any moment.” 
Un an avant sa mort, Barbieri avait reçu un Lifetime Achievement Grammy Award de la Latin Recording Academy pour couronner l’ensemble de sa carrière. Lors de la remise du prix, l’Académie avait notamment reconnu le mérite à Barbieri d’avoir donné naissance ‘’à un style musical rebelle mais accessible qui combinait le jazz contemporain à la musique latino-américaine tout en incorporant des éléments de musique pop instrumentale.’’ Barbieri avait aussi servi de modèle au personnage de Zoot dans le groupe fictif Dr. Teeth and The Electric Mayhem qui faisait partie de la série pour enfants The Muppet Show.
La musique avait toujours été une expérience un peu spéciale pour Barbieri. Comme sa veuve Laura l’avait expliqué après son décès, ‘’Music was a mystery to Gato, and each time he played was a new experience for him, and he wanted it to be that way for his audience”. Faisant le bilan de sa carrière en 2006, Barbieri avait exprimé sa fierté d’avoir pu jouer dans différents styles musicaux. Il précisait: “In those days the jazz people they don’t consider me a jazz musician. If I am Latin, they don’t consider me Latin. So I am here in the middle. It’s a good thing,”You know why? Because they say, ‘What do you play?’ I say, ‘I play my music — Gato Barbieri.’”
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Gato Barbieri.’’ Wikipedia, 2023.
‘’Gato Barbieri Biography.’’ Net Industries, 2023.
KEEPNEWS, Peter et Christopher Merle. ‘’Trailblazer With a Saxophone, Is Dead at 83.’’ New York Times, 2 avril 2016.
SCARUFFI, Piero. ‘’Gato Barbieri.’’ Piero Scaruffi, 2006.
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ivanreycristo · 1 year ago
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GONZAVENTURAS..ha acabado su 1er Entrena_miento con su RIEJU AVENTURA de cara a ir a CABO NORTE [NO_RUEGA] x OFF ROAD [x cierto..lo veo muy ARRIESGADO para un INEXPERTO en CONDUCCION Y MECANICA]..en TUREGANO q me recuerda 3 Cosas:
1 Que el día del TRABAJADOR de 2007 fui a COMER CORDERO con RAMON VALLE_INCLAN LAPIDO [hijo de ex_presidente de TABACALERA y bisnieto del escritor del ESPERPENTO=algo ridículo y absurdo] y CASANDRA SAINTE_MARIE DEL AGUA [nieta del fundador de diario chileno CLARIN "DARIO SAINTE_MARIE " alias VOLPONE exiliado en MADRID donde escribió sus desaparecidas MEMORIAS en la BAÑERA de su apartamento en CENTRO COLON.. a la q me reencontré trabajando en la tienda de REAL MADRID del BERNABEU tras fotografiarme a sus PUERTAS Y A CONTRA_LUZ ..con CLIFORD LUYK cuyo malogrado hijo jugo 5 años en los TORMENTA ROJA de la UNIVERSIDAD DE ST JOHN sita en PKWAY UTOPIA en QUEENS , NY..y al q me presentaron en sala ROJA de disco AVE NOX donde tenía una barra alquilada y hacía de DJ diciéndome q negociaba con DI_AMANTES tras retirarse del Basket donde además jugo en REAL MADRID entrenado x su padre y en FORUM FILATELICO q fue una ESTAFA PIRAMIDAL a cientos de miles y cuyo jugador Franquicia LALO GARCIA heredó la cartera de clientes de su padre, por lo q se arruino, se divorcio 2 veces y al final se suicido ahogandose en el Río PISUERGA]..q entonces al parecer se acababan de enrollar [aunque RAMON es 20 años mayor y ella decía tener un novio escritor] tras VOLVER a ver solos la película 300 q vimos antes los 3 juntos [luego me llamó casandra para decirme q no íbamos a salir los 3 juntos más xq RAMON se enfado al preferir continuar con su novio..x lo q solo me iba a invitar a su cumple con sus amigas viendo en el cine MORA_SOL el estreno de PIRATAS DEL CARIBE: EN EL FIN DEL MUNDO]..también estuvimos x las HOCES del RIO DURATON donde mi tía arrojó las cenizas de mi primo q murió con 26 años al quedarse dormido tras llevar a su novia a casa
2 la Madre de Miguel BOSE puso en TUREGANO un MUSEO SOBRE ANGELES q quebró y donde murio al vivir allí x lo q según mi compañero de colegio SANTA MARIA DE LA HISPANIDAD Javier Sierra fue a TUREGANO a VISITARLA en su libro EL MAESTRO DEL PRADO Y LAS PINTURAS PROFETICAS centrado en el libro APOCALIPSIS NOVA q segun dice esta en el MONASTERIO DEL ESCORIAL
3 A la 1era reportera de fútbol en TV "EVA TUREGANO" a la q conocía de ponerme muchas Copas como camarera en el ZIPANGO [=JAPON para EUROPEOS]..donde se pusieron junto a MI Alfonso REYES y Piculin ORTIZ cuando jugaban en CB MALAGA..luego paso a la disco BARNON como la mujer de RAUL de REAL MADRID o MAMEN [=CHUPEN..q es lo q hace falta q hagan pero gratis y libre o x AMOR de dios.. en vez de tanto vicio e idolatria, prostitucion, pornografia, consoladores, esclavitud sexual, falso amor, soledad, etc]..actualmente es la directora de comunicación de LA LIGA
X cierto..desde TARIFA [precio x un servicio] a CABO NORTE fue una pareja en BICI..q parecian uña y carne x como vivieron y relataron la aventura x su canal de YouTube.. y al volver para convivir juntos..enseguida se separaron y ella se quedó el perro q compartían y q fue al viaje jaja
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tonipires · 2 years ago
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17ª Mostra Anual de Fotojornalismo ARFOC-SP Projeção inaugura exposição virtual, que reúne as imagens que marcaram 2022   Em sua 17ª edição a Associação de Repórteres Fotográficos e Cinematográficos no Estado de São Paulo, apresenta a Mostra Anual de Fotojornalismo, composta por 73 imagens, 6 ensaios e 6 reportagens em vídeo, produzidos por 51 de seus associados. Essa edição será realizada de modo virtual, disponível no site da entidade e por meio de uma projeção no Minhocão, adaptando novos formatos para das exposições da ARFOC-SP. O público ainda poderá conhecer o trabalho de dois fotojornalistas que ganharam destaque na edição desse ano: Yan Boechat, eleito ‘profissional do ano’ pelo destaque na cobertura da guerra na Ucrânia, e pela série de reportagens que denunciaram a história dos trabalhadores do Nepal, que morreram durante a construção dos estádios da Copa do Mundo do Qatar. E uma homenagem a Antônio Gaudério, um dos grandes mestres do nosso Fotojornalismo, que merece nosso reconhecimento.     REALIZAÇÃO ARFOC-SP CURADORIA 
Ale Cabral, Luiz Fernando Menezes, Marcos Muzi, Mônica Zarattini, e Toni Pires   PARTICIPANTES Adriana Spaca · Adriano Machado · Ale Frata · Alexandre Schneider · Amanda Perobelli · André Penner · Antônio Gaudério · Apu Gomes · Avener Prado · Bruno Kelly · Bruno Motta · Caio Guatelli Carla Carniel · Claudia Martini · Cesar Greco · Danilo Verpa · Edmar Barros · Eduardo Anizelli · Eduardo Carmim · Ettore Chiereguini · Felipe Beltrame · Grasiela Gonzaga · Isaac Fontana · Joca Duarte · Karime Xavier · Lalo de Almeida · Leonardo Benassatto · Léo Pinheiro · Levi Bianco · Maira Erlich · Marcelo Machado de Melo · Marcelo Chello · Marco Galvão · Marx Vasconcelos · Mathilde Missioneiro · Maurício Rummens · Michael Dantas · Paulo Pinto · Raphael Alves · Reinaldo Canato · Ricardo Nogueira · Ricardo Stuckert · Roberto Sungi · Tarso Sarraf · Thomaz Vita Neto · Tiago Queiroz · Ueslei Marcelino · Wander Roberto · Wilian Oliveira · William Volcov · Yan Boechat       SERVIÇO 
Mega Projeção da 17ª Mostra ARFOC-SP 
Abertura: Domingo, 05/03, das 19h30 às 22h Elevado João Goulart (Minhocão) Acesso pela rampa ao lado do Metrô Marechal Deodoro (em Elevado João Goulart - Minhocão) https://www.instagram.com/p/CpU-DH_rg43/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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cgus2014 · 2 years ago
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La causa de Lalo: cuando la Justicia pierde el rumbo
La causa de Lalo: cuando la Justicia pierde el rumbo
En 2018 la editorial Cathedra Jurídica publicó el libro, “La Causa de Lalo-cuando la Justicia pierde el rumbo”, del abogado Juan José Prado, nuestro habitual columnista. Lalo fue un joven al que Prado defendió en los años ´70, durante la dictadura de Alejandro Lanusse. A Lalo le armaron una causa, al detenerlo “al voleo” cerca de una manifestación contra el régimen. Y no cualquier manifestación.…
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denorteanorte · 2 years ago
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La causa de Lalo: cuando la Justicia pierde el rumbo
La causa de Lalo: cuando la Justicia pierde el rumbo
En 2018 la editorial Cathedra Jurídica publicó el libro, “La Causa de Lalo-cuando la Justicia pierde el rumbo”, del abogado Juan José Prado, nuestro habitual columnista. Lalo fue un joven al que Prado defendió en los años ´70, durante la dictadura de Alejandro Lanusse. A Lalo le armaron una causa, al detenerlo “al voleo” cerca de una manifestación contra el régimen. Y no cualquier manifestación.…
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anniekoh · 5 years ago
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Syllabus revision/creating time is an excuse to read all the things. But how else can I teach my social context class without cultural 
A Burning Desire: Los Angeles as Femme Fatale by Tatiana Reinoza (2012) in Hemisphere: Visual Cultures of the Americas 
In BURNBABYBURN, Vincent Valdez opens up the Pandora's box and asks viewers to question why Chavez Ravine is on fire, and what really happened there. His is a seductive form of visual rhetoric -- the city is a muse, the muse a femme fatale -- that causes pleasure, anxiety, and hopefully awareness, "off the record on the QT, and very hush-hush."
The Tide Was Always High: The Music of Latin America in Los Angeles edited by Josh Kun (2017)
In 1980, the celebrated new wave band Blondie headed to Los Angeles to record a new album and along with it, the cover song “The Tide Is High,” originally written by Jamaican legend John Holt. Featuring percussion by Peruvian drummer and veteran LA session musician “Alex” Acuña, and with horns and violins that were pure LA mariachi by way of Mexico, “The Tide Is High” demonstrates just one of the ways in which Los Angeles and the music of Latin America have been intertwined since the birth of the city in the eighteenth century. The Tide Was Always High gathers together essays, interviews, and analysis from leading academics, artists, journalists, and iconic Latin American musicians to explore the vibrant connections between Los Angeles and Latin America. Published in conjunction with the Getty's Pacific Standard Time: LA/LA, the book shows how Latin American musicians and music have helped shape the city’s culture—from Hollywood film sets to recording studios, from vaudeville theaters to Sunset Strip nightclubs, and from Carmen Miranda to Pérez Prado and Juan García Esquivel.
Josh Kun also curated some playlists for the book.
Mexican-American Mojo: Popular Music, Dance, and Urban Culture in Los Angeles, 1935–1968 by Anthony Macias (2008)
Stretching from the years during the Second World War when young couples jitterbugged across the dance floor at the Zenda Ballroom, through the early 1950s when honking tenor saxophones could be heard at the Angelus Hall, to the Spanish-language cosmopolitanism of the late 1950s and 1960s, Mexican American Mojo is a lively account of Mexican American urban culture in wartime and postwar Los Angeles as seen through the evolution of dance styles, nightlife, and, above all, popular music. Revealing the links between a vibrant Chicano music culture and postwar social and geographic mobility, Anthony Macías shows how by participating in jazz, the zoot suit phenomenon, car culture, rhythm and blues, rock and roll, and Latin music, Mexican Americans not only rejected second-class citizenship and demeaning stereotypes, but also transformed Los Angeles.
Macías conducted numerous interviews for Mexican American Mojo, and the voices of little-known artists and fans fill its pages. In addition, more famous musicians such as Ritchie Valens and Lalo Guerrero are considered anew in relation to their contemporaries and the city. Macías examines language, fashion, and subcultures to trace the history of hip and cool in Los Angeles as well as the Chicano influence on urban culture. He argues that a grass-roots “multicultural urban civility” that challenged the attempted containment of Mexican Americans and African Americans emerged in the neighborhoods, schools, nightclubs, dance halls, and auditoriums of mid-twentieth-century Los Angeles. So take a little trip with Macías, via streetcar or freeway, to a time when Los Angeles had advanced public high school music programs, segregated musicians’ union locals, a highbrow municipal Bureau of Music, independent R & B labels, and robust rock and roll and Latin music scenes.
Mex/L.A.: “Mexican” Modernism(s) in Los Angeles, 1930-1985 by Mariana Botey, Harry Gamboa Jr, Ana Elena Mallet (2011)
The years from 1945 to 1985 are often identified as the moment in which Los Angeles established itself as a leading cultural center in America. However, this conception of its history entirely excludes the very controversial presence of the Mexican muralists, as well as the work of other artists who were influenced by them and responded to their ideas. It is likewise often thought that Los Angeles' Mexican culture arrived full formed from outside it, when in fact that culture originated within the city--it was in Los Angeles and Southern California that Jose Vasconcelos, Ricardo Flores Magon, Octavio Paz and other intellectuals developed the iconography of modern Mexico, while Anglos and Chicanos were developing their own. David Alfaro Siqueiros, Clemente Orozco, Alfredo Ramos Martinez and Jean Charlot made some of their earliest murals in Los Angeles, influencing the Mexican, Mexican-American and Chicano artists of the 1970s and 80s. "MEX/LA: Mexican Modernism(s) in Los Angeles 1930-1985" focuses on the construction of different notions of "Mexicanidad" within modernist and contemporary art created in Los Angeles. From the Olvera Street mural by Siqueiros, to the Golden Age of Mexican cinema and the Disney silver-screen productions, to the revitalization of the street mural, up to the performance art of Guillermo Gomez-Pena, "MEX/LA" explores the bi-national and hybrid forms of artistic practices, popular culture and mass-media arts that have so uniquely shaped Los Angeles' cultural panorama.
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ifreakingloveroyals · 3 years ago
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Through the Years → Felipe VI of Spain (689/∞)
29 October 2007 | Prince Felipe and Princess Letizia attend a gala dinner for the opening of the El Prado museum extension at Cason del Buen Retiro in Madrid, Spain. (Photo by Lalo Yasky/WireImage)
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thoroughlymodernminutia · 2 years ago
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-Little Dixie, 2023
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trendingph · 3 years ago
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Janus del Prado on Gerald Anderson saying sorry to Bea Alonzo Muli na namang pinaringgan ni Janus del Prado si Gerald Anderson matapos humingi ng sorry ang huli kay Bea Alonzo. Ex-boyfriend ni Bea si Gerald. Matalik namang magkaibigan sina Janus at Bea. Si Janus ang isa sa masugid na tagapagtanggol ni Bea, lalo... https://trendingph.net/janus-del-prado-on-gerald-anderson-saying-sorry-to-bea-alonzo/?feed_id=342972&_unique_id=6123627ed2f44 #alonzo #anderson #bea #del #gerald #janus #philippinenews #philippinesnews #prado #trendingph
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tonipires · 3 years ago
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Vai ter projeção da exposição "TURI" na 11ª edição do Festival de Fotografia de Tiradentes. ARFOC-SP levando o trabalho de seus associados a um dos maiores e mais respeitados festivais de fotografia do país. Palavra de origem indígena, que significa fogo, dá nome à projeção fotográfica coletiva sobre o desmatamento ao longo dos anos no Brasil. A ARFOC-SP apresenta imagens produzidas por seus associados em diferentes épocas, sobre focos de incêndios florestais. O projeto desenvolvido pela diretoria da entidade em 2021, continua atual à medida que as queimadas avançam deixando um rastro de destruição país a fora. A projeção das imagens que compõem a TURI no Festival de Fotografia de Tiradentes é mais uma oportunidade de trazer o debate por meio do fotojornalismo, e quem sabe, uma maior conscientização da importância da preservação do meio ambiente, e da própria espécie humana. PARTICIPANTES: ALAN MORICI, ANDRE PENNER, AVENER PRADO, BRUNO KELLY, BRUNO SANTOS, CAIO GUATELLI, CARLA CARNIEL, CELSO JUNIOR, EDILSON DANTAS, ETTORE CHIEREGUINI, FELIPE BELTRAME, GABRIELA BILÓ, JOSÉ LUIS DA CONCEIÇÃO, LALO DE ALMEIDA, LEONARDO BENASSATTO, LILO CLARETO, MARLENE BERGAMO, PEDRO CHAVEDAR, ROGÉRIO FLORENTINO, TARSO SARRAF, THOMAZ VITA NETO, UESLEI MARCELINO, WERTHER SANTANA, YAN BOECHAT 11º Festival de Fotografia de Tiradentes 18 e 19 de março | 20h Museu Casa Padre Toledo Tiradentes - MG (em Tiradentes, Minas Gerais) https://www.instagram.com/p/CbQYiDzLmdc/?utm_medium=tumblr
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jbgravereaux · 7 years ago
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Benny Moré - Cienfuegos (Benny Moré)                                                                                                                                                                                                 Un jeune troubadour inconnu, en provenance de Santa Isabel de Las Lajas, arrive en 1943 à La Havane, avec sans autre bagage que sa guitare. Bartolomé Maximiliano Moré Benitez deviendra célèbre sous le nom de Benny Moré. Ses débuts dans la capitale cubaine sont très difficiles. Condamné à errer d’un bar à l’autre avec sa guitare, il fait aussi l’expérience de la radio, où il cachetonne pour vingt centavos par émission.                                                                                                                                                                                                           En 1944, il est amené à remplacer Miguel Matamoros au chant dans le Conjunto Matamoros. Ce n’est qu’à partir de 1945 que la chance sourit au chanteur, deux ans après son arrivée. Le grand Miguel Matamoros remarque Bartolomé et décide de l’intégrer aussitôt dans son groupe Baconao. Avec Ciro Rodriguez, Rafel Cueto et Miguel Matamoros en personne, Bartolomé enregistre ses premiers disques pour le label RCA Victor.                                                                                                                                                                   Avec Bacanao, il effectue ses premières tournées à l’étranger, et c’est au Mexique, où il demeure jusqu’en 1951, qu’il remporte ses premiers succès. Il décide d’y prolonger son séjour et Miguel Matamoros lui conseille alors d’adopter un pseudonyme plus commercial. Benny Moré signe ainsi son propre acte de naissance à Mexico. A la fin des années 40, il est partout : radios, cabarets, films, rien ne lui échappe ! Il chante avec les orchestres de Rafael de Paz et de Lalo Montané, puis intègre finalement l’orchestre d’un autre Cubain, le pianiste Damaso Pérez Prado, l’inventeur controversé du fameux mambo. Grâce aux disques enregistrés pour le label RCA Victor, Pérez Prado et Benny Moré deviennent des figures de tout premier plan. De retour à Cuba, Benny Moré rejoint fin 1951 l’orchestre du saxophoniste Mariano Merceron et ses Muchachos Pimienta (garçons piquants) à Santiago. Deux chanteurs locaux complètent ensuite le trio vocal du groupe Pacho Alonso et Fernando Alvarez.                                                                                                                                                                                                             Benny a conquis les faveurs du public, et dans l’orchestre d’Ernesto Duarte, il contribue à populariser quelques-uns des thèmes du compositeur, tel le " bolero como fue . Mais le triomphe absolu n’est au rendez-vous qu’en août 1953 lorsqu’il parvient enfin à fonder son propre orchestre. La Banda Gigante, son groupe qu’il appelle tendrement sa " tribu ", l’aide à mettre en valeur ses inimitables dons de chanteur de sones, de montunos ou de boleros, interprétés avec grâce et un talent exceptionnel. Benny Moré devient un mythe vivant ! Il accumule succès sur succès, citons " Cienfuegos ", " Te quedaras ", "Dolor y perdon ", " Mi amor fugaz ", " Bonito y sabroso ", et tant d’autres désormais grands classiques de la musique cubaine.                                                                                                                                                                                             Sa vie et sa carrière artistique seront rapides et agitées. Benny était un homme simple, humble et immensément populaire qui n’hésitait pas à combattre les préjugés et les conventions sociales injustes ou dépassées. Il vivait pleinement sa vie, parfois à outrance, et goûtait à tous les plaisirs sans aucune restriction. Son art demeurait intact, mais ses trop nombreux engagements professionnels, la vie de bohême et ses excès lui ruinaient lentement la santé. Le 19 février 1963, Benny Moré meurt à quarante-trois ans, et entre directement dans la légende. Plus de deux cent mille personnes se massent sur le parcours suivi par son cercueil, le peuple cubain lui accorde des funérailles quasi nationales pour un dernier vibrant hommage. Il est enterré au son d’un rite funéraire " Mayombero " d’origine bantù, joué par La Sociedad de los Congos de son quartier natal de La Guinea.                                                                                                                                                            http://www.cubalatina.com/decouverte/benny_more.php3                                                                                                                                                                et aussi : http://www.montunocubano.com/Tumbao/biographies/more,%20benny.htm
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basalocastillo · 5 years ago
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#luismariñas murió el 27 de diciembre de 2010. #periodistaespañol Comenzó su trayectoria profesional en 1969, en #televisionespañola , donde permaneció durante los siguientes veinte años. Trabajó en el centro territorial de TVE en Galicia, del que llegó a ser director entre 1973 y 1976, después de Luis Salguero Prieto, que estuvo al frente entre 1971 y 1973. Con 19 años comenzó a trabajar en los estudios de Prado del Rey de TVE, en Madrid, en los tiempos de Victoriano Fernández Asís, Jesús Álvarez y Miguel de la Quadra Salcedo. Por entonces participó en la fundación de una de las primeras revistas de información general de gran tirada que se tituló Personas. Fue colaborador asiduo de RNE. Trabajó en el centro territorial de TVE en Galicia, del que llegó a ser director entre 1973 y 1976 y donde puso en marcha el programa Panorama de Galicia, primer programa regional informativo de la historia de la televisión. Fue también el primero en utilizar el gallego en un programa informativo. En 1977, de nuevo en Madrid, dirigió dos programas: 19 provincias y el Informativo 1, destinados a las comunidades que por aquel entonces no disponían de centro regional. En marzo de 1982, fue nombrado director y presentador de la primera edición del Telediario, con lo que se convirtió en el segundo profesional más joven —el primero fue Lalo Azcona— que compatibilizó ambas funciones en la cadena pública. En aquellos tiempos, sin televisiones privadas, las audiencias medias eran de 16 millones de personas. En 1987 comenzó a hacerse más popular cuando se le asignó, de nuevo, la dirección y además la presentación de la primera edición telediario, con Pilar Miró de directora general, de ámbito nacional, labor en la que permaneció hasta 1990. Entre su trabajos más destacados figura, asimismo, la entrevista en Bagdad con el entonces presidente de Irak, Sadam Hussein, poco antes de la primera guerra del Golfo. También entrevistó a Gorbachov después de la desintegración de la URSS. #locutoresinformativos #presentadoresdetelevision #luismariñas (en Getafe, Madrid) https://www.instagram.com/p/B6mNY4Mi4-a/?igshid=9vnadhyf87uw
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ifreakingloveroyals · 3 years ago
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Through the Years → Felipe VI of Spain (373/∞)
19 October 2004 | Crown Prince Felipe and Princess Letizia during a Visit Opening of the Exhibition "The Spanish Portrait" at El Prado Museum in Madrid, Spain. (Photo by Lalo Yasky/WireImage)
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rodrigoslay · 6 years ago
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Crítica de tv: La Reina de Franklin, un comercial de tienda
Crítica de tv: La Reina de Franklin, un comercial de tienda
Mi viejo está súper orgulloso de mí, ahora que me las doy de comentarista de teleseries. “Juanita, por fin tienes el lugar que tanto merecías”, me dice, inflando el pecho, y subiéndome las cejas coqueto. Ya les dije que mi viejo es igual al pelao de Los Venegas, tiene su pinta, con su bigote coquetón, vieran como era cuando joven: ¡un churro! En lo Prado todas las mujeres le hacían ojitos. Bueno, ponte seria Juanita. Quiero decir que después de haber comentado Pacto de sangre, pensé que nada podría ser peor. Pero me equivoqué, siempre hay cosas peores.
Se vino La Reina de Franklin, ay que diosito me pille confesada. Antes de seguir adelante con este doloroso comentario, me prometo por dios y la vírgen, no decir nada en contra de mi ídola de toda la vida, la Claudia Di Girólamo, ella lo que haga, siempre, siempre le saldrá bien. Yo soy mujer y tengo que respetar a las mías, ella junto con la Amparito Noguera son mis preferidas. Todavía me acuerdo, cómo no me voy acordar, que para mi aniversario de matrimonio, mi peladito, como regalo, me invitó a ver la obra de teatro Hedda Gabler. Ay, ¡siempre las tuve a ellas dos en un altar! Pero cuando las vi actuar juntas sobre las tablas, juré protegerlas y quererlas para toda la vida. Así que todos los hocicones y misóginos, que andan por ahí, tirando malas vibras, fuchile, respeto, por favor ¡respeto!
Para ser bien franca, quedé harto mareada con el primer capítulo de La Reina de Franklin, más lo que esperé ansiosa la cuestión y me encontré con una cosa que no tenía forma, como hecha a la rápida. Llena de efectos truchos, que nada tiene que ver con los dramas antiguos, ni menos con la comedia. Pobrecita la Quena Gómez (Casado con hijos), ella no tiene la culpa. Siempre tocando la misma nota como actriz. Mejor déjenla en uno de sus comerciales, que harto bien le deben pagar por esas leseras. Además, esa cuestión de que los actores hagan comerciales siempre para mí es bien decepcionante, como si todo el cariño que ganan por sus teleseries o películas, lo rentabilizaran haciendo que la gente compre o se endeude. Zabaleta, en ti estoy pensando también, soy lindo, chiquillo, pero soy harto leso, qué querí que te diga.
Bueno, estaba diciendo que Yolanda (La reina de Franklin), o sea la Quena, no tiene la culpa. Nadie tiene la culpa en realidad. Los quiero a todos, pero pucha que se ve rasca la cabra, con esos colores colorinches salidos de una teleserie mexicana, y ese sombrero, qué me dicen de ese sombrero. Como si el barrio de Franklin fuera una versión de un canal Disney.
Toda la culpa la tiene don Elías, el papá de Yolanda, que firmó (engañado) después de perder una carrera de caballos, y endeudado hasta las patas, la venta del famoso galpón de la reina de Franklin. O sea los que la vean se van a pasar 70 capítulos en eso: este es mí galpón, no, no es tu galpón, es mío. Puros tires y afloje, que son bastante fomes. Y pucha, de nuevo el mismo problema, cero asesoría jurídica, si hasta pa’ vender un auto una tiene que ir a la notaría, y a este caballero le pasan un papel y firma, y queda la tendalá. Si hasta le da un ataque al corazón en plena fiesta, super artificial todo, parece que los que hacen estas cuestiones no tienen abogados. El Código Civil para ellos es como los Manuscritos del Mar Muerto. Chiquillos, una venta como esa se se hace bajo Escritura Pública, no sean chantas. Pero ahí estamos nosotras las señoras Juanitas, que se supone le debemos comprar todo lo que dicen, como si nos vieran la cara de lesas, o fuéramos analfabetas funcionales, viendo una lesera, que desde el principio viene trucha, mal cociná, cruda y hasta con pelos en la sopa.
Toda la parafernalia del cumpleaños de la reina de Franklin del primer capítulo, la fiestoca en la calle, no tiene mucho sentido, si hasta apareció Yerko Puchento al baile. Esta teleserie es lo mismo de siempre, los ricos contra los pobres, no hay clase media, todos se rotean o son caricaturas de sí mismos. O sea, el barrio Franklin, que tanto queremos, vienen y lo transforman en Fantasilandia, así no más, de un plumazo.
Vladimir Putin y la Quena, qué cosa más espantosa ¿Alguien le cree a esa pareja? Me refiero a Pancho Pérez Bannen, que cada vez que tiene que mostrar una emoción con el rostro, es lo más parecido al presidente ruso, no se le mueve ningún músculo. Los cabros que sí funcionan como pareja son el Lalo y la Diana, pucha el cabro talentoso ese, Nicolás Poblete, pero qué pena por él que tenga tan poco protagonismo. ¿La Cata Guerra? siempre divina, en su tono, sobria, pero fuerte. Los demás son una pila de cabros jóvenes que me cuestan los nombres, a no ser por la Moniquita Godoy. Tiene algo triste ella, no sé qué ¿será el color de sus ojos? Hace comedia con Vladimir Putin, y no les sale. Ella tampoco tiene la culpa. No tienen flato, perdón, se dice fiato, me sopla mi peladito hermoso.
Este estreno tan colorido y bullicioso, tan rasca por decirlo clarito, es una mezcla entre el Jappening con ja con una serie de Disney. Aunque hablen del choripán y se peguen una cuequita por ahí, los colores, la luz, no sé… me hacen ver que todo es artificial. Ni comparado a Sabatini, cuando hacía por ejemplo: El Circo de las Montini. Pucha, ¡realidad chiquillos! ¡realidad! que uno en la casa los vea y les crea. Y no todo parezca como un comercial de tienda.
La posible construcción de un mall, por una compraventa chanta, poco seria, para las que vemos teleserie desde mucho antes que nos llegara la menopausia, es bastante poco creíble. No por nada dicen que es el peor estreno de una teleserie vespertina. Si hasta en Casado con Hijos, bastaba un sillón y un par de sillas y unos les creía. Si no cuesta tanto. Un poco de calle señores del 13, embárrense las patitas, hagan un tour por el bajo pueblo, aunque tengan que tragar saliva y aguantar la respiración por el olor a fritanga. Si quieren hablar de nosotros, no nos devuelvan una caricatura, un chicle masticado con gusto a ná. Debo decir que, con tooooodo el dolor del mundo, tuve que cambiarme de canal, y ojo, eso significa dejar de ver a una de las mejores actrices de todos los tiempos de la televisión chilena. Eso sí que duele.
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#ExtraNews: https://www.slaymultimedios.com/critica-de-tv-la-reina-de-franklin-un-comercial-de-tienda/
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thoroughlymodernminutia · 2 years ago
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-Little Dixie, 2023
(gif set twelve)
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