#la police c'est des merde
Explore tagged Tumblr posts
Text
Wesh. Macron qui dit qu'il est triste pour Naël qui s'est fait tirer dessus a bout portant par la police?!
Mon gars pourquoi la police est plus présente, agressive et puissante que jamais en France?! C'EST TOI QUI AIME LES FLICS!
Et puis la présomption d'innocence pour la police?! ZÉRO! Le mec qui a tiré c'est pas une sorte de super humain de la protection de l'ordre. C'est juste un mec. Et c'est un meurtrier aussi. Homicide volontaire et en plus mise en danger d'autrui pour l'autre mec dans la voiture et les autres automobilistes présents sur la route.
Le gars il a tiré sur un conducteur dans une voiture en marche en toute détente. Mais c'est quoi cette merde?! Déjà pourquoi il avait sorti son flingue? Le seul crime de Naël qu'ils nous répète en boucle c'est refus d'obtempérer. Ça mérite une balle dans le buffet?! Dans ce cas le flic c'est à genoux et une balle dans la tête. Pour que ce soit logique et équilibré (d'après la logique du flic).
#my snipping 🦀#je sais pas si je vais garder le poste.#mais je suis super en colère#la police c'est des merde#je suis sure il doit y'en avoir des biens#mais il s'agirait de trier!!! virez les cons#violences policières#police violence#police murder#fuck the pigs
2 notes
·
View notes
Text
Vous allez automatiquement vivre l'une où l'autre situation suivante pour 2025 qui est enfin arrivé !
1. Être au bout du rouleau : Situation très peu confortable, surtout quand on est aux toilettes.
2. Meta : Le seul endroit où tu parles à un mur sans être ridicule.
3. GPS : Seule femme que les hommes écoutent pour trouver leur chemin.
4. Autobus : Véhicule qui roule deux fois plus vite quand on court après que quand on est assis dedans.
5. Taser : Instrument utilisé afin de mieux faire passer le courant entre la police et la jeunesse.
6. Mozart : Célèbre compositeur que l'on écoute le plus souvent dans les pizzerias car on sent bien que mozzarella.
7. Sudoku : Qui a le nord en face.
8. Porte-clefs : Invention très pratique qui permet de perdre toutes ses clefs d'un coup au lieu de les perdre une par une.
9. État : Système mafieux le mieux organisé de tous les temps.
10. Cravate : Accessoire servant à indiquer la direction du cerveau de l'homme.
11. Voiture : Invention ingénieuse, permettant de contenir 110 chevaux dans le moteur et un âne au volant.
12. Orteil : Appendice servant à détecter les coins de portes.
13. Égalité des sexes : Nouveau concept créé par les hommes pour ne plus payer le restaurant.
14. Monter un meuble Ikea : Expression moderne signifiant “passer un week-end de merde”.
15. Suppositoire : Invention qui restera dans les annales.
16. Les ex : C'est comme la prison, si tu y retournes c'est que tu n'as pas compris la leçon.
17. La beauté intérieure : Concept inventé par les moches pour pouvoir se reproduire.
18. Pruneau : Synonyme de personne âgée. Qui est ridé et qui fait chier.
19. Aides internationales : Aides payées par les pauvres des pays riches pour aider les riches des pays pauvres.
20. Pharmacie : Confiserie pour vieux.
21. Blonde : Concept pour faire croire que les autres femmes sont intelligentes.
22. Un meurtre de sang froid : Un ice crime
23. Archipel : Outil pour creuser des archi trous.
24. Cellulite : Couche graisseuse qui enveloppe souvent les femmes mais emballe rarement les hommes.
25. Les ciseaux à bois : Les chiens aussi.
26. Femme : C'est comme le café, au début ça excite mais rapidement ça énerve.
27. Carte de crédit : Viagra féminin.
28. Masochisme : Concept proche de la politesse : frapper avant d'entrer.
29. L'amour : C'est comme un jeu de cartes, si tu n'as pas un bon partenaire, il vaut mieux avoir une bonne main.
30. Femme facile : Femme ayant les mêmes besoins sexuels qu'un homme.
31. Homme riche : Celui qui gagne plus d'argent que ce que sa femme n'en dépense.
32. Grand amour : Expression datant du 15ème siècle, lorsque l'espérance de vie était de 35 ans.
10 notes
·
View notes
Text
@voluxpa a dit : "[...] on va sortir mon pseudo pour dire que j’interdis et censure la politique sur mon forum quand j’ai dit à deux membres (je t’ai vu être fier de toi dans les reblog, bravo du coup?) que les messages de haine, je cite « pays de merde » « envie de brûler la france » pouvaient heurter."
— — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — — tu as quand même enlevé une sacrée partie du contexte autour des "messages de haine" dont tu parles : nous sommes le DIMANCHE 9 JUIN 2024 au soir, le FN vient d'obtenir la majorité des voix aux européennes 2024, on est tous collectivement au bout de notre vie (pour celleux qui ont encore les pieds sur terre en tout cas). pour certaines personnes dont je fais partie, ça a déjà et ça aura un impact considérable sur la qualité de nos vies au sein de ce pays qu'est la france (et à plus grande échelle, l'europe). dans le flood coup de gueule du forum beyond the myths, dont lux est la fondatrice, forum qu'on considérait à ce moment là comme un espace un minimum déconstruit et lucide par rapport à la réalité de ce qui se passe en ce moment même en france, on poste respectivement les messages suivants :
pour lesquels on reçoit le dm suivant :
à moins d'être un profond bandeur de la france ou complètement déconnecté de la réalité, je ne vois pas qui ces messages auraient pu "heurté" (ses mots), et pour le reste des milles et unes excuses condensées dans les mps de lux, je vous renvoie au concept de safe space qu'@alien-superst4r avait super bien décortiqué et expliqué, ainsi qu'à la notion de tone policing, toujours aussi omniprésente dans la commu rp-france depuis qu'elle existe visiblement! pour rappel, à quiconque aurait pour projet futur de créer ou d'administrer un forum : on peut tout à fait créer un espace politisé sans que ce soit "la guerre parce qu'au sein même d'un parti, les avis divergent" (ses mots). ça fait des années que je fais parti de serveurs discord, d'espaces créatifs où la politique est omniprésente, des espaces qui nous permettent tout autant de 1) nous évader, 2) nous éduquer, 3) être créatif, 4) nous faire des amis, 5) s'amuser, 6) passer des coups de gueule sans avoir besoin de les lisser à la convenance des autres. pour que ça marche faut juste un peu de bonne volonté et mettre de côté son gros égo ("je veux leur donner ce droit" you are not their savior! who do you think you are!). j'avais déjà répondu ce que je pensais à lux dans ses mp, comme à d'autres d'ailleurs, je partage ça pour les autres, qui auraient encore un doute sur le genre de communauté que désire avoir lux : un environnement aseptisé et apolitique dans lequel on coupe tout lien avec la réalité (jolis mots d'un alien au gros cerveau). @ lux : merci pour le fou rire les quelques fois que t'as passé dans mes dm et ceux de nornir à chouiner que tu comprenais pas pourquoi les militant.e.s de tumblr t'avaient toustes bloquée, tout ça pendant que de l'autre côté j'entendais ton pseudo à toutes les sauces (c'est dire!!!), merci pour ta mauvaise foi tout du long, continue à croire que t'es une bonne personne surtout!
14 notes
·
View notes
Note
Ce n'était pas violent mais c'était condescendant au possible. IRL, ça ne passerait pas et faut arrêter de mentir en faisant semblant qu'il y avait le moindre chill dans le pointage d'origine.
En plus, cet échange n'était pas particulièrement utile, on le sait. D'un côté, y'a des indécrottables qui ne changeront pas leurs habitudes de jeu et de l'autre des gens qui ont potentiellement raison mais dont le point se perd quand on se souvient qu'ils n'ont pas la moindre intention d'un jour rejoindre le projet concerné et qu'on sait qu'ils pointent ça du doigt juste pour faire de la provocation.
De toute façon, de part et d'autre, les gens sont coincés dans un complexe de supériorité. Vouloir évoluer les consciences, c'est super et oui, le RPG reflète le monde dans lequel on vit mais faudrait pas non plus se fourvoyer à penser qu'on sauve le monde ou qu'on change la société en boycottant trois avatars ou en faisant des call out de merde.
C'est aussi bien hypocrite que les fc juifs ne comptent dans la case "not white" que lorsque ça arrange le discours, parce que les calculs ne sont pas bons.
Toujours changer les règles tacites pour toujours pouvoir gueuler.
Être moqueur pour se la jouer bad bitch et dire aux gens de fermer leur gueule mais crier au tone policing quand un peu plus de CNV est demandée.
Bref, laissez les cons entre eux, on sait, pas besoin de se rabaisser à les malmener, je ne vois vraiment pas l'intérêt. En dehors de poser les truffes qui se sont faites attaquer en martyre pour les whities à la recherche de justification pour leur racisme et leur entre-soi, vraiment, je ne vois pas ce que ça peut accomplir.
mais personne ne dit que le message de base était chill? de toute façon, il n'avait pas à l'être. on a, et quand je dis on je dis nous les racisé·es, on a disais-je le droit d'être en colère et de l'exprimer comme bon nous semble en voyant pour la énième fois une majorité de fcs blanc·hes dans la liste d'un projet/forum rpg. pcq hey ça fait chier de voir que même dans l'un de nos loisirs, on n'existe peu/pas du tout, que même là les blanc·hes sont la norme. et ça fait d'autant plus chier que quand on ose prendre la parole, on soit pointé·s du doigts comme des personnes violentes, qui se plaignent pour rien, etc. on le connaît le discours, on l'a vu et entendu mille fois, c'est un vrai running gag et il s'appelle les white tears 101.
et honnêtement osef de l'intention de s'inscrire ou pas à l'ouverture, le truc est public, il est là pour être commenté si on le désire. et je suis content·e que quelqu'un ait pris l'initiative de le faire, donc merci à toi si tu passes par ici.
pour les fcs juif·ves, je comprends pas tu sors ça d'où. ils sont racisé·es, point.
bref, je suis fatigué·e.
#forum rpg#jspr c clair#flemme de me relire#no beta we die like la blanchité#l'espoir fait vivre askip
6 notes
·
View notes
Text
"Ordure multipliée par merde" Céline.
L'affaire Crépol accumule tous les éléments de scénario rêvés par le pouvoir profond en France .
Des Français "font la fête" dans une salle polyvalente réservée pour l'occasion. En 2023 en pleine invasion on ne fait pas la fête. On ne vit pas sous occupation comme on vivait libre il y a 35 ans. "Faire la fête" c'est prendre le risque de voir rappliquer des intrus qui n'ont rien à perdre et tout à gagner. Les pires horreurs adviennent toujours parce que des cons font la fête, qu'ils ont avec eux des meufs et contre eux des prédateurs. Lire une page de faits divers de n'importe quel journal depuis les années 80.
Des intrus sont arrivés. Qui les a appelé ? Des meufs de la fête ? Si oui elles doivent en porter la responsabilité devant les parents des victimes et payer pour les conséquences ultérieures, elles en tout premier lieu, et les meurtriers en second. Celles qui ont de près ou de loin participé à légitimer les barbares se sont mises elles-même hors de la Civilisation et ne peuvent plus recevoir ni bienveillance ni protection.
Rieu et Bassem prennent des positions. Chacun a ses raisons mais chacun se garde bien de parler des intermédiaires qui se trouvent derrière. Rieu a Gilles-William et Bassem a David. Le jour où chacun congédiera son encombrant agent la vrai paix sur le terrain se fera entre les vrais gens de terrain. N'avez-vous pas étudié le processus libanais ? Ce sont les triangulations absurdes et les alliances contre-Nature qui ont détruit le Liban maronite et ismaëlite (pays jadis florissant), au bénéfice d'une troisième équipe. À E&R (dont la vocation profonde est d'empêcher la guerre civile) AS nous à toujours dit "surtout, n'appelez pas aux vengeances, et pour parler évitez les intermédiaires !"
Des natios organisent une contre-manif avec les pires slogans possibles. Qui a scandé ces mots le premier? Qui les ont fait reprendre ces slogans ? Pourquoi le seul terme qu'il fallait mentionner, et qui est "racaille", est-il absent des slogans?
La police manœuvre de manière curieuse sur le terrain. Rappel en actes pour ceux qui croient encore que la police protège les Blancs. Il est impossible que les services n'aient pu anticiper la venue de 80 jeunes natios sur les lieux. Voilà les méthodes du pouvoir et de ses préfets, commissaires-divisionnaires tous franc-maçons.
Les images tournent en boucle partout, avec leur effet désastreux, elles renforcent les médias, la troisième équipe, tous les prédateurs, tous les salopards. Tous les attentistes, tous les profiteurs se frottent leurs sales mains. On ne lutte pas contre la racaille en attaquant un château-fort à 1 contre 10 mais se retirant du terrain afin que le poids des racailles repose entièrement sur les bobos/FM/médias/canaille comme lors des émeutes de juin 23. La Libération du pays commence lorsque la canaille d'occupation supporte seule le poids de la racaille d'occupation sans aucune intervention des Français. Relisez Bagatelles pour un massacre.
Crépol est la contraction des termes crépu et créole, c'est là un signe qui nous rappelle la véritable menace qui pèse sur la civilisation: non pas l'ismaëlisme mais l'invasion crépue et la créolisation (métissage, abrutissement) au profit du sémitisme (ingénierie sociale de prédation sur les Blancs). Dans cette vraie lutte les femmes sont le vrai enjeu. Les hommes de bonne volonté qui connaissent l'Histoire savent ce qu'il convient de faire avec les femmes qui franchissent la ligne en période d'invasion aggravée. "Ils nous persécutent, ils nous tuent, tu leur ouvres ton cul? D'accord alors voilà ce qui va se passer..."
Il reste à attendre la prochaine "fête" d'imbéciles, les prochaines putes pour les livrer à la racaille, les prochaines racailles pour rafler les putes et poignarder les imbéciles, les prochains David et Gilles-William pour en tirer la sève dans les médias, tout le bordel de merde habituel puisque tout le monde aime cela et ne comprend jamais la leçon. En vrai tout le monde s'en fout et personne n'aime son frère. "May God help us all".
20 notes
·
View notes
Text
TW — police, corps militaire, oppression, surveillance, toxicophobie, violence policière.
A-BISSE
Altéré — Bloc d’Intervention Spécialisé en Surveillance et en Encadrement
Les gosses paumés, ça se retrouve toujours dans des coins sombres. Parce qu'on a tous peur du noir, mais on a chacun notre façon de fuir : il y a les Misérables et l'A-BISSE qui s'battent pour la lumière. On le définit en corps armé, rempli d'altéré·es, dont le but est d'intervenir quand il y a des altérations dans le merdier. C'est un peloton d'intervention avec chiens, colonnes et boucliers : rangers alignées et ordres grésillés au talkie.
Ils ont été créé dans les années 70, parce que l'État ne voulait "plus de bavures", "plus de conneries". L'idée de base n'étais pas conne : former des altéré·es à en gérer ceux qui perdaient le contrôle de leur altération. Positionner dans une idée de médiation, ça a vite dérapé sur du contrôle et de la surveillance. L'érythryle en bouc émissaire, ils font passer beaucoup de lois liberticides "pour notre bien". En première ligne d'une manif altérée, c'est eux qui calment les ardeurs des casseurs. Tu t'amuses à voler avec ton altération, c'est eux qui t'interpellent à 6h du mat.
Pour la plupart de la population, même chez les altéré·es, ce sont des bons gars qui font leur boulot. Ils éviteraient la guerre civile, maintiendraient la paix. Pour ceux qui se terrent dans les catacombes, et tous les survivants, c'est un putain de cauchemar éveillé.
ALPHA. BRAVO. INDIA. SIERRA. SIERRA. ECHO. A-BISSE
LIEUTENANT SYLLA — m / nb (libre) • +45 ans TW — description graphique, mort, répression, toxicophobie, overdose.
Son père était flic, c'est comme ça qu'une passion nait. À son époque, le service militaire obligatoire n'était qu'une porte ouverte à son rêve. Pas d'études supp', direct dans le corps de gendarmerie : il a toujours connu l'A-BISSE comme des bons gars. Il a connu le projet un peu avant son shift : une médiation courtoise entre altéré·es. Par cliché : on aurait pu dire qu'une perte proche l'a rendu un peu plus morne, sévère, qu'à ses débuts. Mais non. Il a vu de plus en plus d'altéré·es perdre pied, de plus en plus de synapses exploser rouge sang. Tant de mioches morts trop tôt, tant de vies injustement brisées : il a fini par s'rapprocher de la politique pour (trop) prévenir des dangers de la came. Ça fait un peu plus de cinq piges qu'il dirige l'unité de terrain, mais on sait pas si c'est pour le mieux.
À l'époque, c'était un grand ami de La Matriache de Bescel, aujourd'hui : même elle a tendance à dire qu'elle le reconnait plus trop.
FT. Tom Hardy, ...
ADJUDANT-CHEF DANTE — m / nb (libre) • +45 ans TW — répression.
Rien de pire que d’arriver la tête pleine de rêves. Lui il a grandi dans la galère, les yeux grands ouvert. L’envie de changer la merde de l’intérieur. Une fois plongé il a perdu pied. Parce qu’un homme seul ça résiste pas à la marée. Sa force, elle s’est perdue entre deux convocations pour insubordination. Tout ce qui lui reste c’est la douleur. Mais c’est vrai vous savez, chez lui, il y a encore du bon. Sa spécialisation il l’a fait avec les chiens. Parce qu’ils sont moins pourris qu’les hommes. Virgule c’est sa coéquipière. Malinoise renifleuse d’Érythryle. Quand à deux ils se pointent, tu sais que t’es dans la merde.
FT. Rahul Kohli, ...
MARÉCHAL DES LOGIS-CHEF MEZOX — m (joué par Ekkymose) • 27 ans TW — mort, dépendance, drogue.
Il trompe la mort, Lazare, arrache de ses mains celles et ceux qu'elle avait pris. Il y a pourtant pas plus honnête que la mort : elle aime bien sans détour et elle prend ce qu'elle désire. Mais lui, c'est un menteur, un trompeur. Il tronque les chiffres, parce qu'il n'y a pas de bavures s'il n'y a pas de morts. En fardeau, chaque vie arrachée à la faucheuse s'marque dans sa peau, si bien que sa grande carcasse se traine sur des béquilles ou sur un fauteuil. C'est à lui maintenant de teinter ses synapses de rouge. Il tape dans les stocks confisqués : les collègues acceptent, « lui au moins l'utilise bien ». Pourtant, Lazare ; il voulait bien faire. Gosse sans étude, sans avenir, gosse à la porte de l'oubli qu'a été aveuglé par la lumière que lui a présentée l'A-BISSE. Il suit les opérations, dirige quand il se fait pas couper la parole. C'est qu'il doute de plus en plus, surtout depuis les échecs récents à choper les Misérables. Alors, il y a son partenaire (secret) qui l'épaule, enfin qui tente. Mais leur couple aussi bat de l'aide. C'est-à-dire qu'il voit flou, le gamin : à force de regarder dans le noir de l'uniforme, l'uniforme s'est mis à le regarder en retour.
FT. Tamino Amir
MARÉCHAL DES LOGIS-CHEF AELLO — nb (libre) • 25 - 30 ans TW — mort, expérience de mort imminente.
C'est un·e ami·e d'enfance de Lazare, c'est ellui qui volait la bouffe quand il y avait plus rien dans les placards. Aello connaît le Refuge de Bescel, il connaît aussi les façons d'en fuguer. L'insubordonné·e n'a jamais marché droit, sauf dans l'ombre de son partenaire. C'était pas son idée la brigade, c'était celle de Lazare : iel a juste suivi parce que dans les catacombes il fait noir tout·e seul·e. Aello, c'est une harpie. Alors, iel a monté vite dans le corps armé. C'est les bras, les griffes, les ongles. C'est le monstre au service du bien, celui qu'on aime bien parce qu'il suit les ordres. Iel protège Lazare, parfois un peu trop ; faut dire qu'iel lui doit beaucoup. La vie, pour commencer. Aello a été tué·e par un altéré, il y a deux ans. Lazare l'a ressuscité·e et ils se sont embrassés. C'était bizarre, intense. Et depuis, c'est trop tout et jamais assez le reste.
Et lui, il doute et ellui, le sent. Sauf qu'iel panique, alors iel merde. Parce qu'iel a le trouille du noir, encore plus foutrement la trouille du noir. Iel veut pas que les ténèbres la regardent de nouveau. Ce serait comme mourir deux fois, ce serait comme mourir pour toujours.
FT. King Princess, ...
GENDARME NARCISSE — m (libre) • ≈ 30 ans TW — maladie, drogues, sang.
Il est chiant. Nos excuses, une description se doit d'être objective : il est insupportable. Monsieur fait mieux que toi et le sait. Monsieur sait mieux que toi et le fait. Il rabaisse pas, cependant ; ou alors, il le fait pas exprès. Il bosse à fond comme s'il avait peur de plus être vu. Il joue solo, c'est vrai : mais si un·e collègue est dans la merde, il reste joignable n'importe quand. Il dirige la visite des petits nouveaux, s'applique à bien faire, à un humour simple (parfois trop), mais divertis de son petit spectacle. Narcisse, c'est une taupe : une taupe sortie du terrier par une vie pas facile. Il a une sœur malade à en crever. Il n'y a jamais eu de traitement, jamais eu d'espoir. Elle s'fait tuer par son altération, ça arrive parfois : c'est pas de chance. Au plus mal, il y a une personne qui s'est pointée par miracle. Un drôle de phénomène : ses crachats, c'est des anti-douleurs. Elle fait des médocs avec son sang, de la drogue avec ses larmes. Mithridate, c'est l'un·e des principales sources d'Erythryle à Paris. Mais c'est aussi cellui qui sauve sa sœur. On pourrait penser à un pacte horrible, déchirant. Mais les deux sont devenus bizarrement potes de galères, unis par des cicatrices communes.
Narcisse a un reflet : c'est un mec bien sur lui, tête à claque. Un sourire corpo clean et un soldat courageux droit dans ses bottes. Personne le suspecte, il a une telle dévotion pour son métier. Il est en amoureux, parfois, de ce reflet. Sauf que ça reste un chien galeux, blessé et meurtri : comme absolument tous les autres.
FT. Austin Butler, ...
GENDARME DE NOAILLES — f / nb (libre) • 25 - 30 ans TW — mort (description graphique).
Bien gentille sur elle, bonne tête. Ne fait pas de vague, si ce n'est pour être célébrée de ses résultats. Bonne soldate, bien polie : « bonjour, merci ! », « avec plaisir monsieur, au revoir ! ». La gendarme file vers une vie d'officier dans quelques années. Sa prochaine étape, être maréchal des logis-chef. Ses buts s'alignent comme un escalier aussi droit que solide. A des tendances madame-je-sais-tout, mais ne le fait pas méchamment. Elle aspirait à être médecin, infirmière, mais son altération la conduite sur le terrain sous l'uniforme bleue. Ça ne la dérange pas, elle aime le cadre, elle aime suivre. Un peu candide, elle s'est enrôlée pour aider les concitoyen·nes française·s. Elle souhaite aider son prochain, remettre sur les rails des altéré·es perdu·es, combattre le terrible Érythryle ! Puis, elle a vu Aello crever devant elle, la bouche ouverte et les yeux révulsés. Il y a un truc qu'a claqué au fond de ses rétines, à De Noailles. Depuis, elle est bizarre, mais on ne sait pas trop de quelque côté sa nuque va pencher.
FT. Natalia Dyer, ...
---
DISCLAIMER : Le PL n'a pas pour but de glorifier ou d'embellir les FDO. Au contraire, on rappelle qu'il s'agit d'un corps étatique qui oppresse, contrôle et tue. Si le PL vous intéresse, n'oubliez pas de vous renseigner sur cela !
Si vous souhaitez réserver l'un de ses PLs, n'hésitez pas à passer dans nos asks ou de nous rejoindre sur le discord ! En espérant qu'ils vous inspirent !!
#projet forum#projet rpg#forumactif#rpg city#rpg fantastique#rpg forum#rpg francophone#rpg faceclaim#préliens
6 notes
·
View notes
Text
TUMEURS URBAINES
Épisode 30
- exactement ! j'adore le jazz dit-elle
- vous venez souvent ?
- quelquefois dit Ava
Ils échangèrent sur le jazz et la musique en général en buvant plusieurs verres.
L'orchestre continuait à jouer, les gens qui étaient attablés, applaudissaient à chaque fin des morceaux.
- si vous voulez je peux vous faire écouter des inédits !
- où ça ? demanda Ava qui connaissait déjà la réponse
- chez moi
- d'accord ! dit Ava enthousiaste en pensant à cette aubaine que l'invitation de l'homme lui offrait. Ça lui permettait de garder les flics à distance et d'envisager une fuite un peu plus tranquille.
Ils sortirent du club , Adrien lui passa son bras sur ses épaules , puis le couple s'éloigna sur le trottoir.
- merde ! grogna Ray
Il suivit le couple à une distance respectable , Ginette les suivait de l'autre trottoir.
Ray vit que la jeune femme regardait si elle était toujours suivie , l'homme lui parlait sans arrêt en riant fort parfois. Elle se serrait contre lui en le regardant avec admiration.
Tout ce cirque énervait Ray.
Bientôt une ruelle se présente sur la droite , Ray voit Ava et son compagnon y bifurquer , c'est une petite rue étroite enserrée entre de vieux immeubles insalubres, sombres ne laissant pas passer le soleil. Ray et Ginette suivaient le couple sans se cacher.
La rue était encombrée de containers et de sacs poubelle.
Bientôt l'avenue , Ray le savait il fit signe à Ginette de se rapprocher encore , dix mètres les séparait de la fille.
Ray évita une grosse flaque d'huile, le bas de la rue était encore plus étroit et sombre que le haut , les trottoirs étaient bourrés d'imposantes poubelles.
Ray entendait les pas et le souffle de Ginette , cela le rassurait. Au moment de passer sur la place Ava plaqua sa feuille de boucher sur le cou de l'homme.
- arrêtez de me suivre bande de con ! je vais le buter !
- lache le ! hurla Ray
- va te faire foutre !
- Tu t'en sortiras pas ! dit Ray
- ta gueule ! hurla t-elle en appuyant sur la gorge du mec , celui-ci était tout congestionné , essayant de s'exprimer d'une manière audible.
Elle serra encore plus fort l'homme s'en servant comme bouclier.
Ray voyait qu'elle s'énervait et qu'elle paniquait, Ray ne calma pas le jeu . La pointe de sa feuille piquait l'homme au creux du cou, elle lui lacéra la chemise, maintenant elle tremblait, la peur , l'impasse des événements l'enivrait.
Ray vit qu'elle avait l'air de sangloter. Ava écarta les jambes du mec et lui donna un coup de son arme et jeta l'homme sur le trottoir.
Des badauds qui observaient la scène agglutinés non loin de là s'éparpillèrent en criant des horreurs.
Ray gueula :
- dispersez-vous ! police !
- attention ! cria Ginette, elle sort un flingue
Ava les pointa et tira une balle , l'éclair de lumière et le bruit dechirèrent cette partie de la place , un car de flics présent fit reculer les badauds, Ava tira sur Ray qui accompagné de sa collègue se collèrent contre un mur .
Une autre balle siffla suffisamment pour éclater un morceau de mur.
- sortez de lâ ! hurla Ava , je vais vous fumer !
Ray sortit son arme et tira en direction de la femme.
A cet instant là place était vide , les flics en barraient toutes les issues.
La forcenée tira en direction de Ray ... un silence pesant , il étudiait la situation, ça lui semblait irréel.
Ava totalement acculée devant le nombre important de policiers décida de fonçer arme à la main sur Ray et sa collègue.
- je vais vous buter bande d'enculés ! hurla t-elle
Ray ajusta son tire , trait de lumière, bruit sourd , Ava s'écroula sur le trottoir...avec un petit choc.
- Michel ! Michel ! j'arrive.
Ray au dessus d'elle lui dit :
- tient bon !
- Michel ! ...
Ava s'éteignait allongée sur ce trottoir.
Ray fit signe que c'était terminé.
Plus tard dans la soirée Anna regardera la scène sur un journal télévisé, puis sur les réseaux sociaux. Elle pleure, elle se souvient de leur rencontre , de l'appartement , de Michel . Elle écoute ce flic raconter l'enquête, la poursuite et les derniers mots qu'elle aurait prononcé au moment de son dernier souffle . Les reportages et témoignages prirent fin en même temps que ce journal.
Maintenant les larmes inondaient son visage.
.......................................................un grand merci pour les photos que j'ai emprunté.
- redcatblog avec ses belles photos.
- Genix_x qui éclaire mes matins avec ses textes .
- un grand merci à Patricia pour son soutien très précieux.
Une pensée pour :
aldomag, mon petit cœur noir ,
jgrjgr, cruel....et les autres .
2 notes
·
View notes
Text
comment peut t'on tolérer que des merdes brunes publient ce genre d'horreurs ???? je suis dégoutés de ce que des belges osent publier , traitant les palestiniens pire que des cafards , c'est honteux , mais que fait la police , la justice ??? la modération
0 notes
Text
quelle sale vie je descends déposer un colis le colis est mal fait en plus d'être en retard, l'emballage j'ai récupéré ce matin même à monoprix, bien trop gros pour la commande concernée donc l'objet flottait dedans, bon pour une fois le mec du lycamobile m'a pas fait chier, il pleut un peu mais pas trop voilà encore du flottant (de la flotte flottante même), on entend que des bruits de sirène la manif à châtelet interdite, j'arrive à monoprix parce que j'ai plus de café mais une ambulance gêne le passage piéton, un gars par terre m'attire le regard, y a une voiture de police à côté ah merde c'est un vieillard mort ils essaient de le sauver avec le défibrillateur, je rentre dans le monop tout est trop cher, je pense à tout et rien en même temps, je prends des bananes et du café, je vais aux caisses la queue est longue, la dame à l'accueil harcèle une meuf qui fait ses achats et fouille dans son sac avant même qu'elle sort des caisses mais tout est bon dieu merci, ils font que hurler les vigils entre eux les pompiers veulent ramener le vieux dans le magasin dans les rayons mode depuis une porte normalement fermée, je sors les pompiers nous hurlent dessus parce qu'on est trop proche qu'entends-je de loin ah c'est des restes de la manif à châtelet qui bloquent l'avenue, ils sont enrobés de camions de crs c'est des fourmis, deux personnes à l'angle se prennent la tête avec un vélo je leur demande s'ils ont besoin d'une pompe mais non c'est là où je capte que c'est le proprio du vélo victime d'un hit and run au bout de la rue, roue devant très fortement voilée, je lui dis quand-même que il s'est pas fait piquer grande chose au moins parce que bon y a pire, un mec m'arrête en bas de chez moi il parle de « cambrai », je regarde les boîtes à lettre mais c'est pas ça monsieur cherche la rue de cambrai, je sais pas où c'est mais je peux regarder, il sait pas comment mettre son gps, il est perdu
0 notes
Text
Vous allez automatiquement vivre l'une où l'autre situation suivante pour 2025 qui est enfin arrivé !
1. Être au bout du rouleau : Situation très peu confortable, surtout quand on est aux toilettes.
2. Meta : Le seul endroit où tu parles à un mur sans être ridicule.
3. GPS : Seule femme que les hommes écoutent pour trouver leur chemin.
4. Autobus : Véhicule qui roule deux fois plus vite quand on court après que quand on est assis dedans.
5. Taser : Instrument utilisé afin de mieux faire passer le courant entre la police et la jeunesse.
6. Mozart : Célèbre compositeur que l'on écoute le plus souvent dans les pizzerias car on sent bien que mozzarella.
7. Sudoku : Qui a le nord en face.
8. Porte-clefs : Invention très pratique qui permet de perdre toutes ses clefs d'un coup au lieu de les perdre une par une.
9. État : Système mafieux le mieux organisé de tous les temps.
10. Cravate : Accessoire servant à indiquer la direction du cerveau de l'homme.
11. Voiture : Invention ingénieuse, permettant de contenir 110 chevaux dans le moteur et un âne au volant.
12. Orteil : Appendice servant à détecter les coins de portes.
13. Égalité des sexes : Nouveau concept créé par les hommes pour ne plus payer le restaurant.
14. Monter un meuble Ikea : Expression moderne signifiant “passer un week-end de merde”.
15. Suppositoire : Invention qui restera dans les annales.
16. Les ex : C'est comme la prison, si tu y retournes c'est que tu n'as pas compris la leçon.
17. La beauté intérieure : Concept inventé par les moches pour pouvoir se reproduire.
18. Pruneau : Synonyme de personne âgée. Qui est ridé et qui fait chier.
19. Aides internationales : Aides payées par les pauvres des pays riches pour aider les riches des pays pauvres.
20. Pharmacie : Confiserie pour vieux.
21. Blonde : Concept pour faire croire que les autres femmes sont intelligentes.
22. Un meurtre de sang froid : Un ice crime
23. Archipel : Outil pour creuser des archi trous.
24. Cellulite : Couche graisseuse qui enveloppe souvent les femmes mais emballe rarement les hommes.
25. Les ciseaux à bois : Les chiens aussi.
26. Femme : C'est comme le café, au début ça excite mais rapidement ça énerve.
27. Carte de crédit : Viagra féminin.
28. Masochisme : Concept proche de la politesse : frapper avant d'entrer.
29. L'amour : C'est comme un jeu de cartes, si tu n'as pas un bon partenaire, il vaut mieux avoir une bonne main.
30. Femme facile : Femme ayant les mêmes besoins sexuels qu'un homme.
31. Homme riche : Celui qui gagne plus d'argent que ce que sa femme n'en dépense.
32. Grand amour : Expression datant du 15ème siècle, lorsque l'espérance de vie était de 35 ans.
De tout coeur avec toi
25 notes
·
View notes
Text
Chapitre 6 (Suite)
Grand, les épaules carrées, barbue. Drôle d'homme. Homme des cavernes ? Non, je rigole pourtant il y ressemble assez. Je ne vais pas être méchante, je ne le connais pas, mais il n'a pas l'air d'être très sociale...
« Groumf ! grogna-t-il. Qui êtes-vous ? »
« Heu, je m'appelle Yulia et voici Lena. Votre maison est très jolie, nous y avons passé la nuit, si vous voulez, on vous paiera... »
« Me payer ? Haha, ce n'est pas une auberge ici ! Vous n'avez rien déplacé d'important ? »
« Non, pas que je sache. » assura Lena.
« Bien. Quel age avez-vous ? »
« 15 ans. »
« Vous n'avez pas cours ? »
« Merde Yul' ! Heu... Excusez-nous, monsieur, du dérangement, mais nous devons y allez ! »
« Vous n'allez pas partir comme ça ! Peut-être, m'avez-vous volé des choses... »
« Ecoutez, monsieur, nous n'avons rien voler, s'il vous manque quelque chose, signalez-le à la police et décrivez notre portrait, ce sera suffisant ! »
Je ne suis pas sûr des mots qui viennent de sortir de ma bouche, mais le temps était contre nous. Lena ouvrit la porte, me prit la main et courut. Je me sentais coupable de laisser, cet homme ainsi, très malpoli en plus. Sans affaires de cours, ce n'était pas la peine d'aller en cours.
Lena arriva chez elle, ses parents n'étaient pas là, elle monta dans sa chambre avec moi, prépara son sac nerveusement.
Je posai ma main sur la sienne, elle releva la tête et souffla :
« Il faut se grouillez, on va... »
Trop tard, la suite avait été absorbée par mes lèvres. Elle se laissa guider sur le lit. Louper une journée de cours ? Je m'en ferais un plaisir ! Je ne voulais pas y allez, il était trop tard maintenant. Ma main glissa le long de sa jambe, puis une hésitation. De ma main, je cherchais quelque chose, il n'y avait plus son plâtre, celui que j'oubliais à chaque fois, normal, Lena n'avait jamais de béquille.
« Où est ton plâtre ? Tu l'as enlevé ? »
« Je n'ai jamais eu mal à la jambe, je suis sûre que les médecins se sont trompés. »
« Eh bien, pas moi ! Lena, c'est très dangereux ! »
« Yul' arrêtes, j'ai réussi à courir, j'ai réussi à marcher, même à faire quelque chose de très sportif... » dit-t-elle perversement.
Je lui souris, je me rappellerais toujours de cette nuit, cette pensée me fait sourire, tout le temps.
« Je te fais confiance ! Bon si ta jambe a réussi à faire des prouesses pareilles, je veux bien te croire ! » confiais-je, en ajoutant un air plus que coquin pour mettre un peu d'ambiance.
« Bon, je dois préparer mon sac. »
Cette phrase me fait sortir de mes souvenirs de hier soir, j'empêche sa main de se poser sur sa trousse, la ramène sur mon ventre et l'embrasse tendrement.
« Toi, t'as vraiment pas envie d'allez en cours ! »
« Comment t'as deviné ? »
Elle m'embrasse et rigole, puis se redresse et reprend son sac, elle cherche vraiment la petite bête, je le prends fermement et le balance n'importe où, il dégringole, atterrit lourdement et laisse échapper quelques affaires.
« Voila ! Il ne nous embêtera plus ! »
« T'es vraiment folle toi ! » rigola ma rouquine.
« J'aime pas les gens ou bien sûr, les sacs qui m'empêche de flirter avec ma copine. »
« Mmh, t'es accro d'une fille, toi ! »
« Devines, qui c'est. »
« Je sais pas, faut que je réfléchisse ! »
« Prends ton temps ! Sinon, tu savais que je la trompais avec une jolie rousse qui m'empêche de faire de grosses conneries ? »
« Ca dépend de quelle rousse tu parles... » taquina-t-elle en jouant le jeu.
Je lui prend la main, lui vole rapidement un baiser, et l'embarque en dehors de la maison. Je tourne sur moi-même pour trouver quel chemin prendre, Lena pousse un petit cri d'étonnement :
« Oh ! Un petit chat regarde ! »
Elle courut vers lui joyeusement tandis que je marche pour la rejoindre.
Soudain, des crissements de pneus, un bruit sourd, le choc.
Les larmes ruissèlent sur mon visage, je m'agenouille près d'elle, son corps fragile, son esprit inconscient, je lui prend la main, le conducteur sort de sa voiture affolé, Lena est allongée sur le sol, ne réagissant pas. Je sens mon cœur se serrer, je fixe le conducteur avec haine, je vois le petit chat noir, qui est plus loin, derrière un buisson, lui, il a eu de la chance, si Lena ne s'en sort pas, je m'en voudrais toute ma vie. Elle est la seule chose qui me tienne debout. La voir dans cet état, me forme une boule dans la gorge, les secours vont bientôt arriver, je ne peux rien faire, je me sens désarmer... Un ange ne peut pas mourir, non pas maintenant, je l'aime tellement, si je la perds, je me perds aussi...
Les chambres d'hôpitaux. J'espère ne plus en voir de si tôt. Et cette odeur, si infecte. Je me demande comment je peux respirer. Mais là, n'est pas la question.
Lena respire, je n'ai jamais été aussi heureuse, qu'une personne respire si bien. Elle ne s'est pas éteinte, elle est restée aussi forte qu'un feu de forêt. Mais sa jambe est mal en point. Elle s'était aggravée.
Je suis seule, devant un ange, paradis sur terre. Enfin, peut-être pas le paradis d'être ici mais le paradis d'avoir encore la moitié de mon âme vivante.
Les secours ont été rapide,pour une fois. Je ne cesserais jamais de les remercier.
Ma main est posée sur la sienne, j'essaye de penser positivement. Puis, notre nuit ensemble me revient...Je souris. C'était le plus beau cadeau qu'elle puisse m'offrir. Sur son lit blanc comme neige, elle est endormie, aussi silencieuse que la belle au bois dormant, elle a le sourire aux lèvres. Peut-être qu'elle est heureuse de respirer où même heureuse, tout court.
Sa tête bouge, ses sourcils se froncent. Elle se met à gigoter, et ensuite elle ouvre les yeux faiblement et pousse des gémissements qu'on entend à peine.
« Lena ?! Ca va ?! Dis-moi quelque chose ! »
« ... »
« N'importe quoi, dis-moi n'importe quoi ! »
Puis après quelques secondes de silence prit par un échange de regards mystérieux, je me penche vers elle et lui dit :
« Rien que pour entendre ta voix. »
Elle ferme et ouvre les yeux plusieurs fois, et essaye d'ouvrir la bouche pour dire quelque chose, elle étouffe des petits cris de douleur pour enfin parvenir à balbutier :
« L..Les..Sa..Sacs...Ca..Ca..Vo...Volent... »
Elle racle sa gorge pour mieux parler.
« Les sacs,ça volent... »
Elle fait un sourire amusé, et moi je fais un rire de bonheur, mais, oui, il y en a toujours un, il fut de courte durée. Lena repartit dans un sommeil plus que profond pour me laisser avec sa plaisanterie de bon cœur. Je me lève, m'étire et sors dehors, boire un verre d'eau.
« C'est comme ça quand on ne vas pas en cours. »
« Tu essayes de me faire culpabiliser ? »
« Non, j'essaye de te faire réaliser la gravité de la chose ! » réplique Aleksandr partagé entre le tristesse et la colère.
« Lena est vivante, c'est l'essentiel. Les choses appartiennent au passé désormais. »
« Mais les choses vont sûrement s'aggraver dans le futur. »
« Aleksandr. Arrêtes. »
« Tu sais que j'ai cru que je n'entendais pas clair quand on m'a dit que Lena était à l'hôpital ? »
« Je sais que tu as eu un choc et j'approuve. Mais maintenant, n'y pensons plus. »
« Yulia, vous êtes mes deux meilleures amies, je ne supporterais pas de vous perdre. »
Il perd son sérieux pour laisser place à un chagrin qui me déstabilise. Je ne l'ai jamais vu dans un état pareil. Je le prend dans mes bras, lui caresse le dos pour le rassurer. Ces paroles m'ont fait plaisir, et en même temps, je culpabilise avec lui.
« Famille Katina ? » intervint le docteur.
« Oui. »
Ses parents, Aleksandr et moi répondirent en même temps. Le docteur fit un sourire et reprit son sérieux rapidement. J'attendais avec un trac terrible les résultats des tests...
« Hum... La jambe de votre fille s'est très aggravée, il va falloir l'opérer. »
L'angoisse s'empare de mon corps, mon cœur se serre, je regarde ses parents avec une certaine peur et incompréhension. Cela pouvait-il vraiment se faire ?
« Elle devra alors rester à l'hôpital, non ? »
« Nous ne savons pas encore tout à fait, mais je pense que oui. »
Eh merde ! Désolé, pour mon expression met la colère ne peut pas me retenir, j'vais le tuer ce chat noir ! Tout ça c'est à cause de lui ! Je m'en fous, je sèche les cours !
Je tape dans un banc qui est installer dans le couloir pour me défouler, Natalia passe son bras autour de mes épaules.
« Calme toi Yulia. Ce n'est pas si grave, tu pourras la voir tous les jours. »
« Tout les soirs, oui. »
« Oui, c'est vrai. Allez viens, on va la voir. »
Mes mains sont enfoncés dans mes poches, mes sourcils fronçaient et ma tête baissée.
« Ca ne vas pas ma Yul' ? »
Ce sont les seuls mots qui lui viennent à la bouche quand elle se réveille, je m'approche d'elle afin de respirer son odeur pour ensuite lui chuchoter :
« Si, ça va depuis que tu es réveiller ma belle. »
« Mmh,... Ce lit me fait penser à quelque chose... » dit Lena en me provoquant.
« Je...Hum... Lena, ça va ta jambe ? »
Elle se redresse sur son coussin et me confie :
« Disons, que ça pourrait allez mieux, mais ça va. »
Je l'embrasse, Natalia avait disparut, nous étions seules, en tête à tête. Ses lèvres m'avaient manquées, elle entière m'avait manquée plutôt.
Nous ne redoutions pas l'arrivée de l'un des parents à Lena, au contraire, on s'en foutait complètement.
Lena est la seule personne qui compte dans ma vie, Lena est l'ange qui m'a sauvée des ténèbres, nos lèvres se joignent, nos langues se cherchent et nos mains se baladent n'importe où. Je sens la fièvre monter en moi comme si j'étais ivre, mais de plaisir.
Mon cœur lui appartient, elle sait qu'elle est dedans, elle sait que seule elle peut le détruire, elle sait que je l'aime.
Que dire de plus quand les mots sont insuffisants ? Que dire de plus quand les mots ne viennent pas ? Que dire de plus quand on aime quelqu'un à en mourir ?
Tout ce que j'ai à dire c'est que... Lena est ma seule raison de vivre...
Fin du chapitre pour Yul' !
Commencement du chapitre 7 pour notre Lena !
#Posté le vendredi 15 septembre 2006 19:25
0 notes
Text
Rei Mekaru x Female!Reader
Je m'approche de la porte d'entrée, prête à sortir, lorsqu'une voix derrière moi m'interpelle.
Hey, tu pars déjà ?
Il ne me faut que quelques secondes pour reconnaître la voix de l'ultime professeure. Sans même me retourner vers elle, je lance :
Oui. De toute façon, c'est inutile de rester ici à faire ami-ami.
Sans attendre de réplique de la part de Rei, je pose ma main sur la poignée de la porte. La seule chose que j'entends avant de sortir est la voix de Teruya murmurant :
Elle a l'air pire que Mekaru...
Puis, je sors définitivement et me rend au gymnase. Une fois arrivée, je me mets dos au mur dans un coin.
Hmpf, ça ne me sert à rien de rester avec eux. Ils sont tous inutiles.
Juste après cette pensées, un moniteur non loin de moi s'allume et une silhouette apparaît sur l'écran, ordonnant à tout le monde de se rendre au gymnase. Puis, l'écran s'éteint et, cinq minutes après, les autres ultimes débarquent dans le gymnase. Dès qu'ils me voient, ils semblent surpris, à part Mikako. Rei s'avance vers moi.
Hey, comment tu savais que ça allait arriver ?!
Ça ne te regarde pas. Mais si tu veux vraiment savoir, pourquoi ne chercherais-tu pas la réponse par toi-même, miss ultime professeure~ ?
Tsurugi, qui commençait à être agacé par mon comportement, s'approche à son tour.
Je n'aime pas ta façon de te comporter, tu sais !
Ça tombe bien, moi non plus je t'aime pas.
L'officier de police reste bouche-bée devant ma froideur tandis qu'un ours noir et blanc fait son apparition. Cette fois, c'est de l'incompréhension qui apparaît sur le visage de mes camarades, excepté pour Mikako.
Hm... Ils semblent tous surpris, à part Kurokawa... Je la soupçonne d'avoir toujours ses souvenirs...
Après son apparition, l'ours se présente comme étant Monokuma et nous informe que nous sommes dans une tuerie et que nous allons devoir nous entretuer. Après ça, il disparaît, laissant la panique gagner tout le monde. Je soupire.
Non mais sérieusement, vous n'êtes qu'une bande de gosses. Vous croyez sincèrement aux mots de ce jouet en peluche ? Vous devriez avoir honte.
T'apprend qu'on doit s'entretuer et c'est comme ça que tu réagis ?! T'es vraiment encore plus chelou que la binoclarde rousse !
Premièrement, ne me compare pas à l'ultime professeure. Deuxièmement, quand on est aussi inutile qu'une tondeuse en panne, on ferme sa gueule, Kizuna Tomori.
La jeune pom-pom girl se tait, abasourdie, tandis que les autres sont choqués de mes propos. À part Rei, qui affiche un sourire en coin, et Mikako, qui semble se dire que Kizuna l'a mérité. Sur ces mots, je m'apprête à sortir mais me ravise au dernier moment.
Vous voulez vraiment savoir pourquoi ça ne m'affecte pas ?
Les autres restent silencieux. Je m'approche de Yuki et fouille ses poches. J'y trouve un petit boîtier avec un gros bouton rouge au milieu.
Voyons voir, qu'avons-nous là~ ? Tu ne m'en voudra pas si je t'emprunte ça, hm, "Maeda"~ ?
Sans qu'il puisse répondre ou bouger, je m'éloigne et appuie sur le bouton. Aussitôt, un blackout survient, Mikako perd connaissance et "Yuki" n'est plus avec nous.
Qu'est-ce que- ?!
Qu'est-ce qu'il s'est passé ?! Où est passé Maeda ?!
Au lieu de vous inquiéter de ce traitre, vous feriez mieux de vous occuper de miss exorciste, bande d'idiots.
Sur ces mots, je sors de la pièce, suivie par Rei. Sans un mot, je me rend dans l'entrepôt. Soudain, je suis surprise par une secousse et manque de tomber.
Merde, le bâtiment commence déjà à s'effondrer !
Je me retourne. Rei semble aller toujours bien, mais en levant la tête, je vois qu'elle n'ira pas bien longtemps si elle reste plantée là comme un arbre.
Mekaru, bouge !
Hein ?
Voyant qu'elle ne bougerait pas, je me précipite vers elle et l'entraîne en arrière, tombant sur elle au moment où un morceau du plafond se détache et tombe non loin de nous.
... Ça va ?
La professeure me regarde, mi-surprise mi-inquiète.
Tu m'a...
Elle ne termine pas sa phrase. Au lieu de ça, elle murmure :
Pourquoi...?
Quoi ? Tu aurais préféré que je te laisse mourir bêtement ? Désolé mais c'est pas dans mes plans.
Je me relève et lui prend le bras avant de la relever.
Bon, puisque maintenant tu es coincée avec moi, autant que tu me sois utile. Suis-moi.
Elle hoche la tête et je la conduis à l'entrepôt. Une fois arrivée, je m'approche d'une étagère.
Aide-moi à la déplacer.
Elle s'approche à son tour et, à nous deux, nous déplaçons la lourde étagère en veillant à ne rien faire tomber. Puis, je m'approche du trou qu'il y avait dans le mur derrière l'étagère.
Bingo.
Qu'est-ce que- ?!
Je m'avance dans le passage secret et fais signe à Rei de me suivre. Nous descendons toutes les deux l'escalier jusqu'à arriver dans une sorte de prison. Derrière les barreaux, nous voyons un jeune garçon aux cheveux bleu foncé avec une casquette sur laquelle se trouve le symbole de la Fondation Kisaragi.
Le voilà. Yamato Kisaragi, l'ultime inventeur.
Comment... tu sais tout ça ?!
À toi de le découvrir, très chère~
Sur ces mots, je donne un grand coup dans le cadenas fermant la porte, le brisant. Puis, j'ouvre la porte et m'approche de l'inventeur avant de le libérer de ses chaînes. Une fois qu'il est libre, je lui colle une pichenette pour le faire reprendre ses esprits. Lorsqu'il nous voit, sa réaction est immédiate.
(T/N) ? Mekaru ?
Hein ? Il nous connait ?
Bien sûr, il est dans notre classe. C'est bien ce que je pensais, lui et Kurokawa n'ont pas eu la mémoire effacée.
Mémoire effacée...?
Tout sera expliqué plus tard. Pour l'heure, on doit déguerpir avant de finir sous l'eau.
(T/N) a raison, Mekaru. Les explications attendront.
... D'accord...
Sur ces mots, nous remontons tous les trois puis courons vers la sortie. Après une bonne vingtaine de minutes, nous parvenons enfin à sortir à l'air libre. Les autres sont déjà là, devant un hélicoptère qui n'attend que nous.
Nous voilà !
Ah, Mekaru et (T/N) sont là ! Avec, euh...
Les autres regardent Yamato, à part Mikako qui lui saute dans les bras.
Yamato-ni !
Haha, doucement, Mikako !
Aaaww~ C'est si adorable.
Huh ? Qui est-ce ? Tu le connais, (T/N) ?
On connaît tous Yamato Kisaragi. Mais avec l'effacement de votre mémoire, vous ne vous en rappelez pas.
De quoi tu parle ?
Montons dans l'hélicoptère, je vous expliquerais tout.
D'accord !
Sur ces mots, nous montons donc tous dans l'hélico. Puis, Yamato le démarre et le met sur pilote automatique avant de s'assoir parmi nous. Il commence alors à nous raconter toute la vérité, aidé par Mikako et moi. À la fin de son récit, certaines questions subsistent, mais personne n'ose dire quoi que ce soit jusqu'à ce que Rei pose la question que tout le monde se pose.
Mais du coup, comment ça se fait que (T/N) n'ait pas eu la mémoire effacée alors que tu n'a pas utilisé ta machine sur elle ?
Je l'ignore. Pourquoi ne pas demander à l'intéressée elle-même ?
Le regard de la professeure se pose donc sur moi. Je lui fais un sourire en coin.
Tu vois, tu a fini par deviner toute seule~ Enfin, pour répondre à ta question... J'imagine que Taira et Utsuro ont fait un très mauvais job pendant qu'ils utilisé leur machine sur nous. En tout cas, quand je me suis réveillée, je me suis immédiatement demandé où vous étiez, et quand je vous ai rejoint, j'ai cherché Kisaragi du regard. Il me semble d'ailleurs que Kurokawa l'avait remarqué.
Et comment tu savais pour le passage secret ?
Je ne le savais pas. En vous cherchant après mon réveil, je suis entrée dans l'entrepôt par hasard et j'ai eu une sorte de pressentiment. Quand j'ai vu que Yamato était absent, j'ai légèrement compris quel était ce pressentiment, puis quand le blackout a eu lieu, j'ai voulu confirmer mes pensées. Et on dirait que j'ai bien fait.
Et tu avais vraiment besoin de l'aide de Mekaru ?
Hm... Au départ, je pensais que je n'aurais pas besoin d'aide, donc je suis partie seule, mais j'ai senti que Mekaru me suivait. Après, elle a failli finir sous un rocher et je l'ai sauvée, et comme nous n'avions aucun moyen de retourner vers vous, j'ai décidé de l'embarquer avec moi. Quand j'ai regardé l'étagère, j'ai très vite compris que je n'arriverais pas à la bouger seule.
Je vois...
Eh bien, qui aurait cru qu'une fille avec autant de caractère pourrait être une héroïne ?
Du caractère ? Kobashikawa, tu dois te tromper.
Nan nan, Kobashikawa a raison. (T/N) était totalement désagréable avec nous ! Si t'avais entendu c'qu'elle a balancé dans la tronche de Tomori !
Je dis ça, je dis rien, mais elle le méritait.
Sérieux ?
Mekaru aussi était désagréable.
Ça a sûrement un rapport avec l'effacement de notre mémoire, non ?
Hm... Il semblerait que le fait d'effacer votre mémoire a également changé votre comportement... En revanche, pourquoi (T/N) agissait comme ça alors qu'elle n'a pas eu la mémoire effacée ?
... C'était juste de la comédie. À part pour ce que j'ai dit à Tomori et quand je vous ai ordonné de vous occuper de Kurokawa, tout n'était rien d'autre qu'un rôle que je jouais. J'ai fais ça pour éviter de trop en révéler avant le blackout, et pour ne pas paraître suspecte.
Je soupire.
C'était peut-être une mauvaise idée... Au final, vous avez fini par être plus suspicieux à cause de mon comportement...
Non, on est désolé. On aurait pas dû agir ainsi envers toi. Au final, c'est un peu toi qui nous a tous sauvés, alors merci.
K-Kinjo...
Ouais, Kinjo a raison ! À partir de maintenant, tu sera la tête pensante du groupe !
... Merci.
Je détourne le regard, un peu gênée.
Sinon... Que va-t-on faire, maintenant ?
La question de Kinji laisse passer un très long silence avant que Yamato ne finisse par parler.
Aucune idée. Avec vos familles dans le désespoir, ça va être compliqué...
Eh bien, pourquoi on ne créerait pas une Fondation qui aurait pour but de les retrouver et les capturer ?
En voilà une bonne idée, (T/N) !
Je confirme ! Faisons ça !
Tout le monde ayant retrouvé la bonne humeur, le trajet se termine sans encombres.
Quelques jours plus tard
Je sors de la Fondation en compagnie de Rei. La jeune fille et moi nous sommes beaucoup rapproché depuis notre retour en ville. Aujourd'hui, nous avons décidé d'aller voir les ruines de l'ancienne Hope's Peak.
Ils n'y sont pas allé de main morte...
Elle s'approche des ruines et pose sa main sur un des murs détruit. Je la regarde en silence en la détaillant de la tête aux pieds. Seulement quelques jours étaient passés depuis qu'on était revenus, mais l'ancienne professeure avait déjà commencé à changer physiquement. Elle avait coupé ses longs cheveux roux et avait changé de lunettes, et elle avait également gagné quelques centimètres. Elle avait aussi adopté un style vestimentaire plus formel, là où d'autres ne s'étaient même pas donné cette peine. Aussi, le badge de la Fondation Kisaragi était visible sur le côté gauche du haut de son corps. De mon côté, je n'avais pas vraiment grandi, mais mes cheveux (C/C) avaient légèrement poussé et j'avais également adopté une tenue un peu plus professionnelle. Quant à mon badge, je le portais autour du cou grâce à une chaîne en argent.
Je sors de ma rêverie après que Rei se soit tournée vers moi.
Tout va bien, (T/P) ?
Hein ? Ah, euh, oui, t'en fais pas !
Tu es sûre ? Tu me fixe depuis tout à l'heure.
Je sens mes joues virer au rouge. J'hésite un moment avant de dire timidement :
H-Hum... R-Rei ? J-J'ai... q-quelque chose à te dire...
Je t'écoute.
Elle me regarde fixement, légèrement surprise. Il faut dire qu'habituellement elle est la dernière personne à qui je parle si j'ai des problèmes.
H-Hum...
Qu'y a-t-il ? Tu a besoin de quelque chose ?
J'hésite encore un peu, avant de dire dans un souffle :
Je t'aime.
Un long silence se fait. Puis, l'ancienne professeure s'approche de moi. Je la sens prendre mon menton entre deux de ses doigts, puis elle pose ses lèvres sur les miennes. En la regardant, je vois qu'elle est légèrement rouge. Je ferme les yeux et répond au baiser. Elle s'éloigne quelques minutes après, un léger sourire sur les lèvres.
Moi aussi.
Je souris à mon tour, heureuse que mes sentiments soient réciproques. Nous étions dans notre petit monde, si bien que ni elle ni moi n'avions remarqué que nous étions toujours devant les ruines de l'ancienne académie.
Comme quoi, même les endroits les moins romantiques peuvent le devenir, il suffit juste d'un peu d'imagination.
0 notes
Text
La racaille est un nemesis. Les destructions ont visé pour le moment des marques et des structures qui ont speculé sur la persécution des Blancs depuis 20 ans : - Five Guys (Obama) - Foot Korner (pro-racailles) - Action (produits plastiques ultra-discount sur le modèle americain) - Lidl (regardez la clientèle d'un Lidl) - Chatelêt (sans commentaire) - Macdo - Centres des impôts - Concessions Yamaha (T-Max) - Zoo (symbolique du singe lâché) - Mediathèques (livres débilisants pour enfants lus par grosses dames vengeresses) - Mairies - Écoles (école obligatoire 2023 = gynécée autour d'un octogone de MMA, présence obligatoire) - caméras de surveillance
Voilà. Qui veut bouger pour défendre ces moyens de coercition? Toutefois il faut raison garder. Les récentes algarades nocturnes sont le fait de très parcimonieux dilettantes racailles. Il n'y a là rien qui annonce "la vraie grande pluie qui balaie les trottoirs" (Taxi Driver). Tous ces paresseux se sont excités sur ce qu'ils avaient à portée de main mais ils ne sont pas "allé chercher" hors de leur zone de confort (ce sont des bourgeois) les vrais leviers de vrai pouvoir, et ils n'en n'ont même pas seulement eu l'idée (ce sont des primitifs): - Skyrock - CAF - Sièges de banques agressives style Goldman Sachs, Rotschild - Sièges de partis politiques - Journaux, presse, TV, médias (un seul journaliste de Libé dépouillé de son appareil photo, c'est ça une "jeunesse révoltée en lutte"?) - Les fourrières - Les Influenceurs - Les fauteurs de guerre - Les gens qui ont touché au business de la pornographie. - ambassades étrangères - dépôts de carburant
C'est dire comme ces remueurs de merde estampillés lutteurs pour la justice sont loin du compte. Zéro conscience politique, cent pour cent cerveau reptilien.
Quand à la police lâchée par sa hiérarchie elle a pris grand soin de ne pas abîmer la racaille alors qu'elle mutilait exprès les Gilets Jaunes en visant la tête ("a voté") pendant 2 ans.
Les Gilets Jaunes d'ailleurs, doivent ne surtout pas sortir du bois. Dès lors qu'il y aurait 2 fronts le pouvoir se débrouillerait pour les envoyer l'un sur l'autre. C'est là une des grandes prédictions de Roger Holeindre, Dieu ait son âme: "si on descendait dans la rue le pouvoir armerait les banlieues dans le quart d'heure pour sauver la république", et on peut croire sur parole cet homme dont chaque mot fût payé par des actes dans sa vie, et quels actes!
Il ne faut pas s'affoler pour 3 supermarchés pillés, 2 caméras sciées et quelques infrastructures de parc à bestiaux momentanément endommagées. "Y a tchi" comme on disait à Grenoble. Est-ce cela le chaos? Mais alors l'ordre public est cent fois pire avec sa mort lente unanimement admise, le "bah c'est la vie hein c'est comme ça" de tous les mouligasses qui y sont rois, qui vous imposent leur sale rythme et vous rendent faibles.
L'ordre public, "l'apaisement", pour quoi faire ? Pour que des trans éduquent des racailles dans les écoles ? Pour que des dindes masquées DRH virent des pères de famille de 55 ans? Pour que des prédatrices fanatisées dépouillent par divorces des acharnés réglos bosseurs pacifiques? Tous ceux, police et braves gens qui essaient d'empêcher le nemesis de faire son œuvre, se battront à leurs risques et périls pour la parité, pour le "mois des fiertés", pour les foules sorties du néolithique il y a 2 semaines et qui frappent à la porte, pour le masque et l'asepsie, ils se battront pour ce qui les tue et cela au profit de la syna, des loges, des bourges, et de toute la nomenclature hispano-romagnole "européenne" des Nunez/Hidalgo/Valls/Castaner.
Les masques tombent, y compris ceux des états "alliés" algériens, américains. Lisez leurs récentes circulaires officielles concernant nos malheurs. La manière dont ces fissdep entassés devant le KFC en flammes suent d'impatience de grapiller quelques chicken wings dans la curée promise est le plus merveilleux tombé de masque en plein jour depuis Yalta. Ils n'ont pas compris que l'histoire de France a toujours précédé l'histoire de leurs nations: 1776, 1830, etc. Et l'Allemagne, l'Italie, l'Espagne... s'il arrive malheur à la France ce qu'à Dieu ne plaise toutes ces nations qui la jugent se mangeront l'onde de choc comme sous Bonaparte. La France, faute d'être aidée et aimée, est la nation "seule contre tous" mais tous ceux de l'intérieur et de l'extérieur qui ricanent de la voir sans défense se trouvent un jour fort dépourvus lorsque confrontés à de surprenants nemesis.
"Je vais dormir tranquille maintenant car je sais que mon pire ennemi veille sur moi"
youtube
25 notes
·
View notes
Text
Faut dire que David était complètement torché. Vodka redbull était sa boisson alcoolisé préféré avec un soupçon de sirop de cerise. Alors quand la bande lui a demander de se mettre au milieu de la plateforme parce qu'il avait perdu son pari il n'a pas hésiter une seule seconde à se déshabiller clope à la main. Les autres, V, Kevin, Mathieu, Karkala, Zacharia, étaient en train de filmer la scène en se marrant comme des enfants complètement con. Karkala mis le jeton dans la machine et Elias pris le piston. Le jet d'eau arriva à grande vitesse sur le corps de David. ça le fouettait mais il était mort de rire. Il vomi. Il tenait encore debout. Le zeg à l'air. Quand on lui demanda de tourner le jet d'eau arriva sur ses fesses. Croyez moi que David était très bien nettoyer. Puis encore pour rigoler, Karkala remis un jeton et appuya sur le bouton savon. ça glissait tellement que David se cassa la gueule tombant sur les dents il saignait de la bouche. C'était une porcherie ! Il s'est même chier dessus ce con ! Heureusement qu'on pouvait le nettoyer ... Mais David montrait de la faiblesse. Il voulait se relever mais c'était impossible pour lui, même quand il n'était plus touché par le jet. On avait achevé David. Le son a fond de la bagnole faisait quelque grésille mais était perturbé par la sirène d'un service d'urgence. On a jamais su faire la différence entre les sirènes du Samu, des pompiers et de la police. Mais cette fois-ci il s'agit du dernier. C'était pour nous. Un officier est sortie de sa caisse de merde et est venu à notre rencontre. V, lui, voulait foutre le premier coup de poing à l'officier comme ça sans raison juste pour le fun mais c'est Kevin qui assigna le premier coup par derrière. Le policier n'a rien vu venir il s'est effondrer de suite sans même avoir eu le temps de tituber. V lui donna un gros coup de pied dans les côtes et tous partirent en laissant David et le policier dans leur sang.
0 notes
Link
0 notes
Text
MAUVAIS GENRES
Épisode 19
- demain je verrai avec toi, je vais t'adjoindre plusieurs gars , tu me diras tes besoins, à demain vieux !
- à demain répondit son collègue, heureux d'avoir fait du bon boulot
Les longues mains fines et souples de Sophie agitaient fébrilement mais avec un rythme soutenu le sexe de Ray , elle s'allonge sur le lit , Ray en fait autant puis elle enfourne le sexe turgescent de Ray dans son vagin.
Celui-ci exité s'engage dans un va et vient frénétique qui se termine par deux grands cris rauques suivis par d'énormes expirations.
- c'était qui au téléphone ? demanda Sophie
- un des collègues qui s'occupe de l'enquête
- il t'as donné des nouvelles ?
- Oui, ils ont trouvé deux personnes sur la liste qui pourraient être suspects...
- Comment ça ?
- Ils n'existent pas légalement, ils vont approfondir les recherches
- tant mieux ! on va peut-être en finir murmura t-elle...
Il prit son ordinateur et s'exclama :
- tiens regarde !
C'était un dossier qui récapitulait l'enquête, il n'avait pas le droit de le montrer. Il espérait que cela la calmerait un peu .elle vit les comptes rendus de la presse ... les notes internes des collègues de Ray.
Les analyses d'enquête, les notes sur les pistes à explorer et les conclusions ...
- le tour des assassins
- la route infernale
- le tour de France du crime
C'était les titres de la presse nationale et régionale...
- ouah c'est terrible ! dit-elle interloquée
- comme tu dis ! ça promet murmura Ray
Il commençait à l'embrasser doucement, puis des petits coups de langue et des baisers humides sur la poitrine , elle gémissait, Ray descendait sur le ventre , il lui fit un cunilingus.
Sur la fente déjà humide , sa langue faisait des va et vient en lui mordillant le clitoris.
Ray pénétra Sophie avec vigueur , celle-ci poussa un petit cris....
Dans leur appartement haussmanien au long couloir désservant toutes les pièces , Leo consultait son ordinateur dans une petite pièce qui servait de bureau, il regardait les nouvelles et les articles de presse concernant les crimes , la totalité des crimes sur les derniers mois.
Il tomba sur les unes :
- le tour des assassins
- la route infernale
- le tour de France du crime
Les articles s'étalaient sur plusieurs colonnes pour ce qui concernaient les explications de cette enquête, les équipes, puis l'interview d'un haut gradé du ministère de l'intérieur qui disait que l'enquête avançait rapidement, que l'équipe s'était aperçue que deux personnes de l'auditoire de ce concert n'avaient pas d'existence légale. Il disait qu'il n'y avait aucune trace de ces individus dans les administrations leurs patronymes étaient faux, il soulignait que les services de police étaient à leur recherche.
A certaines questions du journaliste il répondait qu'il ne savait pas si c'était un couple ou des personnes distincts.
- Dana vient voir ! vite !
- qu'est-ce qui y'a ? hurla t-elle, j'arrive !
Léo lui montra les articles, notamment celui du haut fonctionnaire.
- merde ! s'exclama t-elle
- Eh oui !
- qu'est-ce qu'on fait Léo ?
- On vide le petit meuble et on met le tout au coffre !
- à la banque ? ça sera en sécurité ?
- Oui ! t'inquiètes pas ma chérie
2 notes
·
View notes