#la maison des bories
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theconstantnymph · 1 year ago
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La maison des Bories, 1970
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kino51 · 9 months ago
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La Maison des bories 1970
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tournevole · 7 months ago
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Si les poètes étaient moins bêtes
Si les poètes étaient moins bêtes
Et s'ils étaient moins paresseux
Ils rendraient tout le monde heureux
Pour pouvoir s'occuper en paix
De leurs souffrances littéraires
Ils construiraient des maisons jaunes
Avec des grands jardins devant
Et des arbres pleins de zoizeaux
De mirliflûtes et de lizeaux
Des mésongres et des feuvertes
Des plumuches, des picassiettes
Et des petits corbeaux tout rouges
Qui diraient la bonne aventure
Il y aurait de grands jets d'eau
Avec des lumières dedans
Il y aurait deux cents poissons
Depuis le croûsque au ramusson
De la libelle au pépamule
De l'orphie au rara curule
Et de l'avoile au canisson
Il y aurait de l'air tout neuf
Parfumé de l'odeur des feuilles
On mangerait quand on voudrait
Et l'on travaillerait sans hâte
A construire des escaliers
De formes encor jamais vues
Avec des bois veinés de mauve
Lisses comme elle sous les doigts
Mais les poètes sont très bêtes
Ils écrivent pour commencer
Au lieu de s'mettre à travailler
Et ça leur donne des remords
Qu'ils conservent jusqu'à la mort
Ravis d'avoir tellement souffert
On leur donne des grands discours
Et on les oublie en un jour
Mais s'ils étaient moins paresseux
On ne les oublierait qu'en deux.
Boris Vian (1920-1959), recueil : « Je voudrais pas crever », éd. Jean-Jacques Pauvert, 1962.
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alain-keler · 2 years ago
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Journal du mercredi 15 mars 2023.
Résumé des épisodes précédents :
  Je travaille sur un projet personnel sur les minorités dans l’ex-monde communiste d’Europe, projet qui verra la parution d’un livre en 2000 « vents d’Est » et qui obtiendra en 1997 à New York le prix Eugene Smith.
  Mon troisième voyage me conduit dans l’enclave arménienne du Haut-Karabakh, enclave découpée par Staline selon un adage connu : diviser pour mieux régner, et  dont les résultats amèneront jusqu’à aujourd’hui des conflits après la dislocation de l’empire soviétique. Je loge dans la maison de MSF à Stepanakert, capitale du Haut-Karabakh.
Lundi 4 avril 1994.
 En allant au centre ville je vois un autobus arrêté devant le cimetière, et beaucoup de monde s’y rendant. Je suis le mouvement.
 Les funérailles sont quotidiennes et regroupent à chaque fois plusieurs enterrements. Beaucoup de monde, beaucoup de pleurs. Beaucoup de femmes qui perdent leur mari, leur fiancé, leur fils. Dans tous le conflits, ce sont elles qui paient le plus lourd tribut. On l’oublie souvent.
 Un violoniste joue entre les tombes un ultime Adieu aux morts. Les bouteilles de vodka passent entre les mains des hommes. Le Haut-Karabakh est un bout de monde où personne ne va. J’aime ces endroits loin de tout, difficiles d’accès, où le temps s’est arrêté.
 Boris Babayan était le violoniste sur la photo. Il est mort le 10 décembre 2020 des suites du Covid. Il avait de graves problèmes cardiaques.
 Vingt six ans après ce voyage, la guerre est revenue sur le devant de l’actualité. D’après une source citée par le journal La Croix du 4 décembre 2020, le bilan total de ce dernier conflit de quarante-quatre jours entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan aurait fait aux alentours de huit-mille morts.
 Ce texte est visible sur le magazine en ligne What’s Up, chroniques de l’agence MYOP, édité par l’agence et réalisé par Olivier Laban-Mattei : https://online.flippingbook.com/view/988466/44-45/, https://online.flippingbook.com/view/988466/46-47/, et pour voir l’intégralité du magazine n°1 : https://online.flippingbook.com/view/988466/
Les autres numéros sont visibles sur le site de l’agence.
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kiki-de-la-petite-flaque · 1 year ago
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Boris Vian (10 mars 1920 - 23 juin 1959), extrait de Berceuse pour les ours partis. 1951.
Le 23 juin 1959, le coeur, fatigué et malade, de Boris Vian ne résiste pas à un ultime mouvement de colère : tandis qu'il assiste à l'avant-première de l'adaptation cinématographique de son livre "J'irai cracher sur vos tombes", contre laquelle il s'est battu, Vian s'effondre sur son siège.
À 39 ans. Il ne se relèvera pas.
Le Collège de 'Pataphysique, dont il était un pilier, parlera de "mort apparente du Transcendant Satrape".
Né le 10 mars 1920 à Ville-d'Avray, dans une famille de grands bourgeois ruinés (mais qui continuent à faire comme si), Boris Vian est un enfant à la santé fragile, couvé par sa mère. Bon élève, il intègre l'École centrale et y décroche son diplôme d'ingénieur en 1942. Il entre à l'AFNOR (Association française de normalisation), s'y ennuie ferme, ce qui le pousse à rédiger ses premiers écrits... tous déjà marqués par l'absurde.
Après la guerre, devenu la figure de Saint-Germain-des-prés avec ses amis Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir, ce touche-à-tout de génie est à la fois trompettiste et critique de jazz, parolier et chanteur - employé par la maison Philips, il écrit des parodies de rock avec Henri Salvador, comme "Rock and roll mops" - dramaturge ("Cinémassacre", "Le goûter des généraux"), peintre, journaliste, traducteur et romancier. Si "L'écume des jours", "L'arrache-coeur", "Les fourmis" ou "L'automne à Pékin" ne se vendent guère, "J'irai cracher sur vos tombes", fausse traduction d'un roman noir signé Vernon Sullivan - Vian ne cesse de multiplier les pseudonymes - obtient un succès de scandale. Scandaleux aussi, le texte "Le déserteur", contre la guerre d'Indochine, que la radio censure.
Ses problèmes conjuguaux, d'argent et de santé l'épuisent à la fin de sa vie. Et ce n'est vraiment qu'après sa mort que son oeuvre est reconnue à sa juste valeur, et pas seulement par la jeunesse, comme résolument originale, poétique et engagée.
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latribune · 2 months ago
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lionelnivelle · 2 months ago
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La mort de Didon
Mons, 1975. Je suis dans ma chambre. Une télé noir et blanc s’y trouve !
J’étais arrivé du Maroc deux ans auparavant, précédemment c’était l’Algérie pour huit ans. Ici, à Mons, débutait ma connaissance de la musique classique… pour l’écoute.
Je regarde un film en noir et blanc, une sorte de polar dont j’ai oublié le titre, le nom, l’histoire. Dans un passage, une dame apparaît en tutu, une énorme dame, ridicule peut-être mais pas vraiment, amusante et joyeuse. Ça oui. Elle danse, sautille sur un chant… une voix… Mes oreilles furent alors plus attentives, bien plus que mes yeux. Quel est ce chant ?
Je déplace ma chaise pour être au plus près de l’écran et j’attends le générique du film et ses enseignements.
Pendant ce temps, la dame danse dans un rythme qui n’a rien à voir avec le chant, elle s’éclate en pointes, pirouettes, chutes et trébuchements.
Le générique arrive… enfin… Mais que retenir, que lire dans toutes ces infos… Mes yeux captent un truc… “la mort de Didon”, rien de plus ! C’est quoi ce truc ? “La mort de Didon”… À l’époque, pas d’internet, que le QUID où je ne trouve aucune piste. Et me voilà donc passant les ans en ne me rappelant que cela : “la mort de Didon”.
Et les années passent… et elles passent… Études, photographe, Marine nationale, mariage, Algérie encore, enfants, retour, et ça tourne et retourne.
Me voici travaillant à Marseille en 1988 ou 89, dans un garage Total près de la Timone dans la mécanique. Travail que je maîtrise… gentiment, pas vraiment, mais je suis présent…
Une dame se pointe avec sa petite R5 rouge : “Monsieur, monsieur, mon câble de vitesse est cassé, déboîté et je ne sais pas passer les vitesses, aidez-moi !” La seule aide que je puisse lui conférer est “Patientez, mon collègue va venir !” ou bien “Madame, sauvez-vous”. Il n’y a pas de collègue en vrai, mais comment lui dire que je ne peux pas l’aider ?
En fait, je me débrouille sur mes voitures. Dans un garage, on me payait à démonter et à remonter des embrayages, des carburateurs, des vis platinées réglées à l’oreille, mais je ne suis pas mécanicien.
La veille, j’ai déchiré le pneu d’une roue de secours avec une machine de démontage que je ne maîtrise pas non plus. Le propriétaire m’a dit “STOP, je me casse…”, il n’a rien dit à la direction… ouf !
Revenons à la dame du jour et à sa R5. Je papote avec elle pour passer le temps, je regarde sa voiture, l’intérieur et je vois des livres sur la banquette arrière… dont un, blanc à lignes oranges : “Didon et Énée” écrit sur la couverture. Didon… ? WHAT… !!! Didon… !!! J’en suis à des années-lumière de Didon… je n’y pense jamais. C’est la deuxième fois de ma vie que je vois ce nom, ce mot. J’assure mon regard, cherche d’autres infos, “livre de chant… Purcell…”. Je demande à la dame de la R5 “C’est quoi votre livre ?”, “Un livre de répétition”, la dame est chanteuse classique. Waaaa…
J’avais maintenant des d’infos, en clair “Didon et Énée, Purcell”. Il faudra un retour en Belgique et encore quelques années (96 ou 97) pour qu’à la médiathèque de Mons je loue enfin “Dido and Æneas - Henry Purcell (Dido’s Lament)”. Puis de là, j’ai découvert le travail de Purcell, le baroque anglais, français aussi !
J'avais 18 ans, comment un chant pareil, une voix pareille a pu m'accrocher, evidement je ne sais pas qui chantait dans le film, mais l'air reste le même.
Et voilà, en 2024, je vous gonfle avec ce récit et ce chant ! Moi, je n’ai pas aidé la dame à la R5, elle… elle m’a aidé… et comblé cette lacune, enrichi mon savoir bien maigre.
D’autres fois dans ma vie, des airs ont traîné avant de revenir : Tchaïkovski pour un concerto, huit ans d’attente de 67 à 75. Mozart, un air entendu dans un film (La Maison de Bories), 68 à 75. Une chanson de Laura Moore de 84 à 2002 et surtout, surtout un morceau de trompette entendu à Rabat en 73 retrouvé par hasard, mais quel hasard, je suis presque tombé de ma chaise en… 2024.
Cela sera pour un autre récit. .
Le voila l'air de Didon : Marianne Beate Kielland sings Dido's lament: https://www.youtube.com/watch?v=wI2Jrxx2ou0
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le-mzungu · 11 months ago
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Le goût de la liberté...
C'est se promener à moto partout, tous les jours. Pas que j'aime pas me promener en auto, mais quand t'as pas le vent dans la face et des odeurs plein les narines, c'est pas pareil. Même si ladite odeur, c'est celle des camions qui brûlent de l'huile...
Notre chance, on se la fait nous-mêmes...
en jasant avec n'importe qui dans les cafés. J'aime bien une enseigne en particulier, Indabo Café (y'en a deux, dans chacun des deux quartiers voisins). Ils ont une garderie, un parc à chien, un bon menu bien exécuté, des bières de la seule microbrasserie du pays (vous devinerez qu'elle sera le sujet d'un de mes prochains articles, pas question de la plugger à la sauvette) un jardin, etc. (Une des deux a même une cabane dans un arbre pour les enfants!)
Et ce que je trouve le plus intéressant, ils ont des grandes tables "partagées" où on peut s'installer pour travailler avec d'autres inconnus. Ça permet de rencontrer des gens et de discuter un peu, pour briser la monotonie.
Un des matins où on n'avait pas internet à l'appartement, je suis allé déjeuner dans celui du quartier Kimihurura et, assis à l'une des shared tables, qui ne vient pas s'installer au bout? Le représentant d'une compagnie de vélos et de motos électriques, pour rencontrer un client potentiel.
Dans l'une des pauses de leur discussion, j'interroge le représentant, savoir s'il ne connaîtrait pas quelqu'un qui me vendrait une moto à essence (Les motos électriques, c'est surtout bon en ville, avec une autonomie d'environ 65 Km).
J'ai droit à deux noms, et une forte recommandation sur le premier, qui est un mécanicien avec un bon réseau de contacts, semble-t-il.
De retour à la maison, je prends contact avec lui et lui envoie mes modèles préférés parmi les motos d'ici ainsi que mon budget (ça fait drôle, d'écrire que t'as un budget de 1 million).
Après quelques échanges, on convient de se rencontrer le lendemain vers 10h pour essayer la moto qui m'intéresse.
Arrivé sur place, devant une station de recharge pour les motos électriques, on se retrouve, Olivier (le mécano), Boris (un ami d'Olivier qui parle bien français, anglais et Kinyarwanda), Émilie et moi... et j'apprends, qu'en fait, aucun des deux n'a la moto.
Donc on attend, quinze, vingt, trente, quarante minutes, le tout entrecoupé d'appels de plus en plus envenimés avec leur ami qui veut vendre sa moto (il s'est acheté une auto pour donner des cours de conduite). J'ai même la chance de comprendre une bribe de Kinyarwanda du genre "des excuses, encore des excuses". Après tout, on a beau être au Africa's Time, il est quand même supposé être arrivé depuis longtemps. Et les deux autres sont supposés être au travail, alors je les comprends d'être fâchés.
��tant un peu malades, Émilie et moi, on décidera finalement de repartir pour aller chercher les résultats de nos tests à l'hôpital. Comme y'a le paludisme (malaria) ici et qu'on feel vraiment pas depuis deux jours, aller faire une prise de sang pour être bien certains qu'on n'a rien de grave n'était pas de trop. Bonne nouvelle, on n'a rien, mais selon si on se fie au niveau élevé de globules blancs, on a sûrement la grippe, selon le médecin. Ouf.
De retour à la maison, Olivier nous informe qu'ils ont finalement le vendeur avec eux. Ils viennent nous rejoindre, on négocie un peu et tout est conclu en une trentaine de minutes. La moto est au maximum du budget que je me suis fixé, mais c'est aussi exactement celle que je voulais, alors j'avais pas envie de forcer les choses et repartir bredouille.
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La bureaucratie locale c'est...
vraiment pas si terrible, mais c'est similaire à la SAAQ. Peu importe où on va, on se sauve rarement de la bureaucratie. Ce qui est étonnant, c'est qu'il y a beaucoup plus d'étapes pour acheter un véhicule, mais rien qui presse vraiment, tant que le véhicule est assuré. Et ici, les assurances sont pas chères, transférables et annuelles, au moins.
Et puis j'ai la chance extraordinaire d'avoir rencontré Boris, qui est l'un des vendeurs (et semble avoir le rôle de manager) de la nouvelle succursale des concessionnaires Haojin, une marque de petites motos chinoises, qui avait vendu la moto à Jacques à l'origine.
Faut savoir que sur les routes du Rwanda, plus de 95% des motos sont identiques : toutes de marque TVS, modèle Victor GLX 125cc. Et la plupart sont rouges. Pourquoi me direz-vous? Boris m'expliquera que pendant près de 20 ans, c'était la seule marque installée et importée dans le pays. C'est depuis tout juste 5 ans que de nouvelles marques se sont ajoutées, pour leur faire compétition, et briser le monopole déjà installé ne se fera pas en criant Ciseaux. Leurs motos, ils les usent et les réparent jusqu'à ce qu'elles tombent en ruine.
Le notaire
Ben oui, faut passer chez le notaire pour officialiser la vente. Ici, rien n'est officiel sans un sceau estampillé. Le lendemain des négociations, Boris, Jacques et moi nous rendrons chez le notaire pour faire l'acte de vente et remplir une procuration, pour que je puisse m'occuper du reste sans Jacques (qui semble, on ne se le cachera pas, un peu du genre grognon comme personne). Tout ça prendra une heure à faire, pour un prix d'environ 15$. Loin du tarif des notaires québécois.
La Rwanda Revenue Agency (RRA)
C'est au bureau du revenu, dans le département du Service des véhicules à moteur, qu'on se rendra ensuite Boris et moi pour faire la paperasse. Arrivés là, le superviseur dira à Boris qu'il faut maintenant avoir fait l'enregistrement du transfert par leur système automatisé en ligne, avant de se rendre sur place. Bouette.
Mais tant qu'à être là, il valide tout de même que j'ai mon TIN, le Tax Identification Number (équivalent du No d'assurance sociale). Et comme je l'ai pas, ben on va au bureau du registraire pour régler ça. Après quelques minutes avec l'agente, où on entre mes informations (adresse Canadienne et cie), j'ai mon TIN. Je suis officiellement prêt à payer des taxes au Rwanda. Qui l'aurait cru!?
On retournera finalement bredouille à la maison. Mais Boris m'assure qu'il fera la paperasse en ligne pour qu'on puisse régler ça une fois pour toutes.
En fin de soirée, je recevrai de leur système informatique un rendez-vous en date du 8 janvier pour recevoir ma nouvelle plaque, la Yellow Card (certificat d'immatriculation) et faire inspecter la moto. On y est presque.
Ne pas avoir eu mon ange gardien avec moi, j'aurais galéré pas mal. Merci encore, Boris.
Un petit passage au garage
Avec notre road trip jusqu'au au lac Kivu prévu entre Noël et le Jour de l'an, faut être sûr que la moto est top shape. J'irai donc passer une petite heure et demie avec Boris pour que leurs mécanos y jettent un oeil.
En me fiant aux conditions mécaniques douteuses des moto-taxis, je ne m'attends pas que la moto soit dans une condition mécanique parfaite, surtout que ce sont encore toutes les pièces d'origine, 2 ans et 45000Km plus tard.
Mais on est pas au Québec, donc ajuster la poignée de la clutch, les deux freins, changer le câble du speed-meter, les deux sprockets et la chaîne, c'est 25$ tout compris. Je pense que juste les pièces m'auraient coûté 250$ dans mon beau Québec natal.
J'avais même Boris et le mécanicien avec qui jaser pendant que tout se fait. Y'a pire. Et en ayant supervisé les travaux, j'ai la certitude que la mécanique est A1.
Une fois tout ça réglé, mon bolide est fin prêt pour les aventures qui l'attendent. J'ai même une semaine pour m'habituer avant le premier road trip!
Petit cadeau de départ que je ferai à Boris: ajouter sa succursale à Google Maps, car bien qu'elle soit ouvert depuis longtemps, elle n'y est toujours pas!
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lesombresnomades · 1 year ago
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Les ombres dans le Quercy
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Nous sommes partis dans le Lot faire le tour du Quercy en randonnée (133 km) en octobre 2023 durant une semaine. Il s'agit d'une boucle à partir de Saint Cirq Lapopie en suivant les GR36, 65 et 651. Nous avons réservé les chambres d'hôtes en avance et avons choisi de faire transporter nos bagages par la malle postale. Nous avons laissé notre véhicule sur le parking P1 gratuit, situé en bas du village (non loin du camping) après avoir informé la mairie (seul parking autorisé pour une longue durée).
Etape 1 – Saint Cirq – Varaire - 23km :
Nous commençons cette première étape assez tôt le matin, en grimpant jusqu'au village de Saint Cirq par un petit sentier assez raide. C'est un site médiéval, tout en pierre perché au dessus du Lot. En ce matin brumeux tout est calme et les rues sont désertes.
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Après avoir franchi le village nous parvenons à la chapelle Sainte Croix, au-dessus de la mer de nuages, le ciel est magnifiquement bleu.
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Après 2h de marche, nous arrivons au village de Concots où se trouve un petit marché en ce dimanche matin. Nous en profitons pour acheter le pique-nique du déjeuner.Nous poursuivons notre marche sur un plateau traversant champs et sous-bois et pique niquons au bord d'un champs assis sur de grandes pierres plates. Nous reprenons notre escapade sur un sentier bordé de murs en pierres sèches ; nous découvrons les premières bories (constructions traditionnelles en pierres sèches ).
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La végétation est encore bien verte pour la saison, noyers et châtaigners ont encore leurs feuilles.
Nous finissons par arriver à Varaires et à notre première auberge, « le mouton à deux pattes ». C'est une petite auberge de deux chambres, située sur le GR et ouverte depuis le 1er juin 2023. Nous dînons un rougail saucisses sur une grande tablée en compagnie d'un couple de coréens (Yoon et Jin) qui fait le chemin de St Jacques de Compostelle.
Etape 2 – Varaire – Gaillac 22km :
Nous reprenons le chemin en faisant un détour par Varaire pour nous ravitailler à l'épicerie du village. La brume matinale rend l'atmosphère un peu mélancolique. Nous empruntons un chemin large toujours bordé par les murs en pierres recouverts de mousse. Comme le déplorait Yoon et Jin, c'est un chemin assez pierreux, qui monte régulièrement dans un sous-bois clairsemé.
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Nous passons par Limogne en Quercy, où nous profitons d'une belle place ensoleillée pour prendre un verre en terrasse. En fin de matinée nous sommes surpris par une grosse averse et sommes obligés de nous abriter sous un chêne afin de mettre nos pantalons de pluie et couvrir nos sacs à dos.
Nous pique niquons à l'abri d'un vieux lavoir, non loin du Mas des Bories.
Nous poursuivons notre chemin par une montée importante, la pluie a stoppé. Nous profitons de la vue sur les champs et pâturages où paissent des brebis et moutons.
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Nous redescendons vers Gaillac à travers la forêt et arrivons à l'auberge des « chats malicieux » après 6h de marche. Nous sommes accueillis par Valérie qui est déjà aux fourneaux pour le repas du soir. Ancienne éleveuse de chats, elle en a encore quatre dont deux chats de race sphynx. Nous dînons en compagnie d'un cycliste qui réalise le trajet Toulouse – Lons le Saulnier.
Etape 3 – Gaillac - Béduer 24km :
Après avoir petit déjeuner de gourmands pancakes « maison », nous entamons une belle montée jusqu'au château de Gaillac.
De là, nous dominons cette belle vallée du Lot sinueuse.
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Après 4 km de marche et une succession de pentes et descentes, nous parvenons au bourg de Cajarc non sans peine où nous en profitons pour acheter les sandwichs. C'est un petit village médiéval composé de ruelles étroites et pavées resserrées autour de l'église.
A la sortie du village, face aux falaises, le chemin grimpe brusquement et passe à proximité d'une grotte avec une résurgence et nous offre, après quelques sueurs, une superbe vue sur le bourg et la vallée du Lot.
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Nous parvenons enfin sur un plateau, doté d'une belle forêt de chênes aux couleurs d'automne. Nous poursuivons, notre marche jusqu'à un dolmen situé à proximité de Gréalou où nous en profitons pour déjeuner. L'atmosphère est paisible sous ce soleil, personne à l'horizon.
Nous reprenons le chemin bordé par des murs en pierres dont certains sont peintes par un artiste locale à l'effigie des pèlerins. Cette longue étape nous semble interminable sous ce ciel azur.
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Après 7h de marche nous arrivons à la « Forge de Béduer », gîte tenu par Sandrine et ayant ouvert en juin 2023. Il est situé au bord de la RD19, la chambre est assez bruyante.
Etape 4 – Béduer - Brengues 19km :
Nous partons ce matin sous une légère pluie et nous arrêtons au restaurant-épicerie du village où règne une ambiance chaleureuse, avec un feu de cheminée dans la boutique. Nous faisons attention d'emprunter le bon chemin, ici plusieurs GR passent dans le village. Nous prenons le GR651, en direction de la Vallée du Célé. Le chemin descend jusqu'au bord du Célé en passant par un petit sous bois. Le terrain est glissant à cause des feuilles mortes mouillées, la prudence est de mise. Nous longeons la rivière à travers champs sur un large chemin à un rythme élevé du fait de la pluie. Les eaux du Célé paraissent boueuses du fait des pluies récentes.
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Après avoir passé le pont de Boussac, nous grimpons quelques temps avant de redescendre en fond de vallée jusqu'à Corn, village typique de la région avec ses maisons en pierre.
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Nous poursuivons le chemin en alternant les montées et descentes pour atteindre vers 13h le village d'Espagnac Sainte Eulalie. C'est un lieu médiéval et très religieux avec la présence d'un ancien prieuré du XIIème siècle, formant une cour intérieure. Nous nous abritons sous le cloître de l'édifice où se trouve un bar fermé.
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Nous pique niquons dans ce lieu paisible avant de repartir sur le sentier. Le GR se poursuit par un chemin pierreux et glissant nous faisant parvenir sur une colline où se dresse le château des anglais. Il ne reste qu'un pan de mur plaqué contre la falaise, dominant la vallée du Célé.
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Nous marchons sous ces falaises durant quelques temps, ce qui n'est pas très sécurisant. Ça et là, nous apercevons des maisons troglodytes. Nous finissons par descendre jusqu'au village de Brengues.
Le gîte du Ricochet, situé le long du GR se trouve tout au bout du village. C'est une maison entièrement dédiée aux randonneurs, la propriétaire Bénédicte vivant dans un autre bâtiment. Cette dernière nous accueille chaleureusement et a préparé un feu de cheminée très réconfortant après cette journée pluvieuse.
Etape 5 – Brengues - Marcilhac 12km :
Après avoir pris un petit-déjeuner copieux, nous repartons sous la pluie pour cette petite étape. Le chemin est étroit et caillouteux, bordé de ces murs en pierres sèches. Les nuages sont bas et nous prenons conscience que cette journée sera humide. Une montée rapide nous amène sur le causse.
Le paysage change : les forêts ont laissé la place aux prairies entrecoupées de murets en pierres sèches. Malgré le temps, ce secteur paraît beaucoup plus aride.
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Nous parvenons au village de Saint Sulpice et nous arrêtons sous un abri médiéval troglodyte, où subsistent encore un vieux four à pain ainsi qu'une ancienne fontaine. Nous profitons d'une accalmie pour reprendre le chemin et remontons sur le causse où nous retrouvons les bories le long du chemin.
Nous apercevons Marcilhac au pied des falaises.
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Nous arrivons rapidement au gîte de Galance où nous attend notre chambre très spartiate. A cette époque toutes les boutiques et restaurants sont fermés à l'exception du café associatif géré par l'association Olterra. Nous y passons un agréable moment en échangeant avec les bénévoles et villageois.
Etape 6 – Marcilhac – Cabrerets 20km :
Notre hébergement ne proposant aucun repas, nous sommes contraints de prendre un petit déjeuner frugal au bord de la rivière, entre deux averses.
C'est une étape assez escarpée avec une succession de montées et descentes qui nous attend. Nous arrivons à Sauliac non sans mal et découvrons le village ancien (le Vieux Sauliac) qui est accroché à la falaise, percée de grottes fortifiées qui servaient de refuge pendant les guerres. Toutes les maisons sont en pierre, certains abandonnes d'autres en reconstruction.
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Le temps se dégage, le soleil fait enfin une apparition et profitons de la vue dégagée sur la vallée du Célé en contrebas. Nous poursuivons le chemin sur un haut plateau venté. Avec derrière nous, les nuages noirs menaçant, et face à nous ces champs éclairés par les rayons du soleil : ce contraste est magnifique et donne une lumière magique !
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Enfin, après 6h de marche, nous distinguons un château puis le village de Cabrerets en contrebas. Le chemin débouche sur un hameau, nommé le « bout du lieu », doté de maisons adossées à la falaise.
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C'était une étape difficile mais peut être la plus jolie grâce à ses paysages diversifiés, son habitat atypique et cette lumière saisissante.
Nous traversons le village de Cabrerets pour atteindre l'auberge de la Sagne où nous sommes chaleureusement accueillis par les propriétaires anglais.
C'est un endroit très cosy et chaleureux. Nous retirons nos chaussures de marches afin de ne pas salir la jolie moquette épaisse de l'auberge. Le soir, nous dégustons un succulent dîner préparé et servi par le propriétaire en personne.
Etape 7 – Cabrerets – Saint Cirq 13km :
Nous repartons en passant au droit de la grotte de PechMerle et nous retrouvons rapidement sur les hauteurs. La brume de la vallée du Célé s'élève petit à petit face à nous. Nous poursuivons dans un sous bois avant de redescendre dans la vallée du Lot à hauteur de Conduché. Nous traversons la rivière à Bouziès en empruntant le magnifique pont suspendu accroché à la falaise.
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Après avoir traversé le village très calme en cette saison, nous parvenons au bord du Lot et à ce fameux chemin de halage creusé dans la falaise. C'est un lieu peu commun que nous parcourons sans touriste.
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La falaise blanche et la végétation encore verdoyante se reflètent dans les eaux claires du Lot. Le chemin serpente à travers champs en s'éloignant petit à petit de la rivière.
Face à nous se dresse le village de Saint Cirq.
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Notre marche se termine après avoir parcouru 133km et découvert une région magnifique aux paysages contrastés entre les causses, les fonds de vallées, les falaises, les murets en pierres sèches et les bories.
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theconstantnymph · 1 year ago
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La maison des Bories, 1970  
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leehamwriting · 2 years ago
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Boris Vian - Les Araignées
Dans les maisons où les enfants meurent Il entre de très vieilles personnes Elles s’asseyent dans l’antichambre Leur canne entre leurs genoux noirs Elles écoutent, hochent la tête. Toutes les fois que l’enfant tousse Leurs mains s’agrippent à leurs cœurs Et font des grandes araignées jaunes Et la toux se déchire au coin des meubles En s’élevant, molle comme un papillon pâle Et se heurte au…
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news24fr · 2 years ago
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Rishi Sunak et Boris Johnson ont tous deux accordé des interviews à TalkTV. Le Guardian a pu voir les prises.Piers Morgan: C'est bon de vous voir premier ministre. Ce doit être un honneur pour vous de venir dans mon émission.Rishi Sunak: C'est un plaisir d'être dans une émission dont les cotes d'écoute sont inférieures aux miennes.Morgan: Commençons par le plus gros problème. Meghan Markle. Elle est un bon morceau de travail.Sunak: Je ne suis pas sûr d'avoir quelque chose à dire...Morgan: Et le Prince Harry alors ? Quel mauviette éveillé cet homme. Il ne devrait pas être invité au couronnement, n'est-ce pas ? Il est une honte...Sunak: Euh…Morgan: Je vais prendre ça pour un oui. À vous, Premier ministre. Aujourd'hui marque votre 100e jour de mandat. Comment pensez-vous que ça va?Sunak: Merci. Bien mieux que prévu. À un moment donné, je n'étais pas sûr que j'allais tenir 100 jours. Mes priorités sont les priorités du pays.Morgan: Alors vos priorités sont de faire élire un gouvernement travailliste.Sunak: Précisément. Et nous sommes totalement sur la bonne voie.Morgan: Passons d'abord à quelques dernières nouvelles. Shell vient d'annoncer des bénéfices records. Avez-vous des doutes sur la mise en place d'un impôt sur les gains exceptionnels plus efficace?Sunak: Nous sommes le parti de la faible fiscalité…Morgan: Tu aurais pu me tromper. Les impôts sont à des niveaux record…Sunak: En tant que conservateur, mon instinct est de ne pas augmenter les impôts. C'est une erreur de punir les entreprises parce qu'elles se trouvent au bon endroit au bon moment. C'est pourquoi Infosys opère toujours en Russie. Si une entreprise ne peut pas devenir riche grâce à une guerre illégale, alors quand le pourra-t-elle ?Morgan: Pensez-vous que tout le monde devrait payer ses impôts ?Sunak: Bien sûr que non. Je suis conservateur. Les riches devraient payer le moins possible. Et il devrait y avoir des pauses pour les oligarques qui font des dons au parti.Morgan: Je blâme Meghan...Sunak: Pourquoi?Morgan: Tout. La Banque d'Angleterre vient de relever ses taux d'intérêt à 4 %. Craignez-vous que de nombreuses personnes fassent défaut sur leurs hypothèques ?Sunak: Qu'est-ce qu'une hypothèque ?Morgan: C'est quand les gens empruntent à la banque pour acheter une maison.Sunak: Pourquoi voudraient-ils faire ça ? Pourquoi n'achètent-ils pas simplement une maison avec leur propre argent ? Cela n'a aucun sens. Les gens devraient vivre selon leurs moyens.Morgan: Craignez-vous que tous les sondages d'opinion suggèrent que vous êtes déconnecté ?Sunak: Non pourquoi?Morgan: Vous avez promis de réduire de moitié l'inflation…Sunak: Oui. C'est mon objectif numéro un.Morgan: Mais il est prévu de tomber de toute façon. Peu importe ce que vous faites.Sunak: Je sais. C'est exactement pourquoi j'ai promis de le faire. Il est important que les gens puissent être sûrs que le gouvernement fera ce qu'il dit.Morgan: Passons aux grèves. Nous savons tous que vous allez devoir conclure une entente avec les syndicats. Quand allez-vous commencer à négocier ?Sunak: Pardon?Morgan: Négocier. Comme en parler…Sunak: Oh. Je n'avais pas pensé à ça. Les infirmières ne sont-elles pas toutes des gauchistes militantes dans la poche de barons syndicaux ? C'est ce que dit Grant Shapps. Parfois, la bonne chose à faire est de ne rien faire et de laisser les choses empirer. Et en tant que leader fort, je n'hésiterai pas à ne rien faire.Morgan: Revenons à votre premier jour à Downing Street, premier ministre. Vous avez dit que vous gouverneriez avec professionnalisme, responsabilité et intégrité. Comment pensez-vous que ça se passe?Sunak: Plutôt bien. Je veux dire, je dois être une amélioration par rapport à Boris Johnson et Liz Truss, n'est-ce pas ? Au moins sous moi, il y a un sentiment d'échec géré.ignorer la promotion de la newsletterInscrivez-vous pour Première éditionNewsletter quotidienne gratuiteArchie Bland et Nimo Omer vous guident à travers les meilleures
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philippedurand8900 · 2 years ago
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RETRAITES - Meetings unitaire partout en France !
Retrouvez les meetings unitaires près de chez vous !
(Ordre chronologique. Liste mise à jour régulièrement avec les compléments d'informations et de nouvelles dates. )
PARIS - 25/01 à 19h30 Digital Village, 21 rue Albert Bayet. Avec Elsa Faucillon pour le PCF, Sandrine Rousseau (EELV), Arthur Delaporte ( PS), Sophie Taillé-Polian (EELV), Danielle Simonnet (LFI).
BEAUVAIS - 26/01 à 19h30 Salle du Pré-Martinet. Avec Stéphane Peu pour le PCF, Cyrielle Châtelain (EELV), Antoine Léaument ( LFI), Benjamin Lucas (Génération·s), Philippe Brun (PS).
AUXERRE - 27/01 à 19h - Salle de réception Jules Ferry rive droite. Avec Pascal Savoldelli pour le PCF, Florence Loury (EELV), Mani Cambfort (secrétaire départementale PS), Arnaud Legall (LFI).
NYONS - 27/01. Avec Jean-Marc Durand pour le PCF, Manuel Bompard (LFI), Marie Pochon (EELV).
MOULINS - 27/01 à 18h30. Avec Yannick Monnet pour le PCF, Marianne Maximi (LFI).
SOTTEVILLE-LES-ROUEN - 30/01 à 19h Salle buddicum. Avec Hubert Wulfranc pour le PCF, Alma Dufour (LFI), Gérard Leseul (PS), Julie Godichaud (conseillère municipale EELV).
TULLE - 30/01 à 19h30 Salle Latreille bas. Avec Nicolas Marlin pour le PCF, Damien Maudet (LFI), François Piquemal (LFI), Chloé Herzhaft (EELV).
LA COURNEUVE - 1/02 Salle des fêtes rue Gabriel Péri. Avec Soumya Bourouaha pour le PCF, Raquel Garrido (LFI), Fathia Keloua-Hachi et Stéphane Troussel (PS), parlementaire EELV.
SAINT-NAZAIRE - 1/02 à 20h Salle Alvéole. Avec Véronique Mahé pour le PCF, Matthias Tavel (LFI), Mathilde Panot (présidente du groupe parlementaire LFI), Philippe Brun (PS), Julie Laernoes (EELV), Arash Saedi (coordinateur national Generation·s).
DIEPPE - 2/02 à 18H Salle des congrès. Avec Sébastien Jumel et Fabien Gay pour le PCF, François Ruffin (LFI), Marie-Charlotte Garin (EELV).
LILLE - 2/02 à 19h. Avec Fabien Roussel pour le PCF, Marine Tondelier (EELV) ; Roger Vicot (PS), LFI, Generation·s.
TOURS - 2/02 à 19h30 Centre de vie du Sanitas, 10 Pl. Neuve avec Ian Brossat pour le PCF, François Piquemal (LFI), Charles Fournier (EELV), Evelyne Dourille-Feer, (économiste et membre d’Attac).
SAINT-AGATHON - 3/02 à 19h30 Salle de la Grande Ourse, 9 rue de Hent Meur. Avec Pascal Bonneau pour le PCF, Murielle LEPVRAUD, Manon AUBRY et François Piquemal (LFI), Hervé Guihard (Place publique), Gérard Mauduit (Ensemble), Christian Renard (POI), Tugdual Le Lay (Génération·s).
NÎMES - 10/02 à 19h Centre Andre Malraux 2 Avenue de Lattre de Tassigny 30000 Nîmes. Avec Fabien Roussel pour le PCF, Boris Vallaud (PS), Manuel Bompard (LFI), Raymonde Poncet (EELV).
CLERMONT-FERRAND - 10/02 à 19h Maison du Peuple. Avec André Chassaigne pour le PCF, Sophie Taillé-Polian (Génération·s), Christine Pires-Beaune (PS), Marianne Maximi (LFI).
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tynatunis · 2 years ago
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J'adore cet appartement parisien habité par un couple de Canadiens amoureux du patrimoine français. L'appartement, qui n'a nécessité aucun gros œuvre, a subi quelques légères mises à jour esthétiques : "Nous voulions préserver la structure et l'intégrité de la maison. Nous nous considérons comme les gardiens de l'histoire" The two Canadians that took charge of their own home design, John Gerhardt, global creative director at Moët Hennessy, and his husband, Boris Masip, a fintech entrepreneur, fell in love with the apartment’s original structure as soon as they entered, even though the apartment was not located in what they first thought would be the neighborhood they planned to settle in, in Paris.  Now, after two years, the couple couldn’t be happier with their choice. The apartment is beautiful, has amazing views and incredible natural lighting throughout the day, especially in the afternoon, and after furnishing the way they like, it looks exactly how they imagined it would be, modern and filled with pieces that combine and match and are chosen by them.  Source @hommesstudio @archdigest Photo: Nicolas Mathéus https://www.instagram.com/p/CnutOsdta-R/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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latribune · 1 year ago
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skillstopallmedia · 2 years ago
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Boris Johnson compares Putin to Dickens' 'fat boy'
Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos Dans un discours prononcé depuis la Maison de l’Ukraine à Davos (Suisse), où se déroule le forum économique mondial, l’ancien Premier ministre britannique Boris Johnson a comparé le dirigeant russe Vladimir Poutine au personnage du « gros garçon », présent dans le roman Les Papiers posthumes du Pickwick Club de Charles Dickens. « [Poutine]…
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