#la maison de himiko
Explore tagged Tumblr posts
notokra · 2 years ago
Text
Tumblr media Tumblr media
20 notes · View notes
antinousamongthereeds · 1 year ago
Text
Tumblr media
1 note · View note
doramafood · 2 years ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
La Maison de Himiko (2005)
5 notes · View notes
kansassire · 4 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Mezon do Himiko (La maison de Himiko), 2005, Isshin Inudo
25 notes · View notes
neoriver · 5 years ago
Text
Tumblr media Tumblr media
0 notes
waxn28 · 5 years ago
Photo
🛤
Tumblr media
32 notes · View notes
ao3feed-shinkami · 5 years ago
Text
La maison de l'oncle Toshinori
by Ilunae
Après la mort de son oncle, Yagi Toshinori, Midoirya Izuku hérite de sa maison. Il décide de s'y rendre pendant les vacances pour ranger les affaires de son oncle. Son frère, Mikumo et, leurs amis décident de l'accompagner. Aucun d'entre eux ne se doute qu'ils vont devoir lutter pour leur survie.
Words: 1399, Chapters: 1/?, Language: Français
Fandoms: 僕のヒーローアカデミア | Boku no Hero Academia | My Hero Academia
Rating: Mature
Warnings: Graphic Depictions Of Violence
Categories: F/F, F/M, M/M
Characters: Midoriya Izuku, Bakugou Katsuki, Akatani "Yamikumo" Mikumo, Toga Himiko, Kaminari Denki, Iida Tenya, Mineta Minoru, Shinsou Hitoshi, Yagi Toshinori | All Might, Aoyama Yuuga, Original Characters, Original Female Character(s)
Relationships: Bakugou Katsuki/Midoriya Izuku, Akatani "Yamikumo" Mikumo/Prototype Bakugou Katsuki, Kaminari Denki/Shinsou Hitoshi, Toga Himiko/Uraraka Ochako, Aoyama Yuuga/Iida Tenya, Ashido Mina/Kirishima Eijirou, Sero Hanta/Todoroki Shouto
Additional Tags: Minor Character Death, Gore, Crack, Crack Treated Seriously, Alternate Universe
source http://archiveofourown.org/works/19755676
0 notes
notokra · 3 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
https://page.auctions.yahoo.co.jp/jp/auction/p738667313
https://page.auctions.yahoo.co.jp/jp/auction/r125302202
https://page.auctions.yahoo.co.jp/jp/auction/u438938962
15 notes · View notes
ao3feed-bakudeku · 5 years ago
Link
by Ilunae
Après la mort de son oncle, Yagi Toshinori, Midoirya Izuku hérite de sa maison. Il décide de s'y rendre pendant les vacances pour ranger les affaires de son oncle. Son frère, Mikumo et, leurs amis décident de l'accompagner. Aucun d'entre eux ne se doute qu'ils vont devoir lutter pour leur survie.
Words: 1399, Chapters: 1/?, Language: Français
Fandoms: 僕のヒーローアカデミア | Boku no Hero Academia | My Hero Academia
Rating: Mature
Warnings: Graphic Depictions Of Violence
Categories: F/F, F/M, M/M
Characters: Midoriya Izuku, Bakugou Katsuki, Akatani "Yamikumo" Mikumo, Toga Himiko, Kaminari Denki, Iida Tenya, Mineta Minoru, Shinsou Hitoshi, Yagi Toshinori | All Might, Aoyama Yuuga, Original Characters, Original Female Character(s)
Relationships: Bakugou Katsuki/Midoriya Izuku, Akatani "Yamikumo" Mikumo/Prototype Bakugou Katsuki, Kaminari Denki/Shinsou Hitoshi, Toga Himiko/Uraraka Ochako, Aoyama Yuuga/Iida Tenya, Ashido Mina/Kirishima Eijirou, Sero Hanta/Todoroki Shouto
Additional Tags: Minor Character Death, Gore, Crack, Crack Treated Seriously, Alternate Universe
0 notes
waha-no-baka · 7 years ago
Photo
Tumblr media
[Forum] [Société - Japon] Onna-bugeisha Onna-bugeisha Je vous propose un mix d'articles de wikipedia, de nautiljon # Description Dans le Japon médiéval, une onna-bugeisha est une femme combattante issue de la haute société. De nombreuses épouses, veuves, filles, et rebelles répondaient à l'appel du devoir en s'engageant dans la bataille, généralement aux côtés de samouraïs. Elles étaient membres de la classe bushi et étaient formées aux armes dans le but de protéger leur maison, leur famille, et leur honneur en temps de guerre. Elles contrastaient avec le rôle traditionnel d'« épouses au foyer » des femmes japonaises. Elles sont parfois considérées comme des samouraïs-femmes bien que ce terme ne soit en fait pas exact. Les onna-bugeisha étaient des personnes très importantes de la société. Des personnages mythiques comme l'impératrice Jingū, Tomoe Gozen, Nakano Takeko, ou Hōjō Masako étaient des onna-bugeisha qui eurent un impact significatif dans l'histoire japonaise. # Histoire Avec la fin de l'ère Heian (794-1185) s'estompe une période de remarquable stabilité, marquée par la prospérité financière et culturelle. L'époque féodale qui lui succède est marquée par de nombreux affrontements, face aux envahisseurs étrangers tout d'abord (les Mongols de Kubilaï Khan au XIIIe siècle), mais principalement entre clans de daimyô rivaux. Ces guerres civiles, qui déchirent le Japon jusqu'à sa réunification au XVIIe siècle, trouvent notamment leur origine dans la convoitise de terres couplée à un système d'héritage qui n'est pas soumis au principe de primogéniture : à la mort d'un seigneur, son domaine ne revient pas à son aîné, mais est divisé entre tous ses descendants. En outre, jusqu'aux réformes menées par Hideyoshi Toyotomi à la fin du XVIe siècle, n'importe quelle personne en mesure de se procurer un sabre et un cheval pouvait prétendre au titre de samouraï, décuplant les effectifs de cette caste guerrière. Les seigneurs daimyô et leurs vassaux se lancent dans des campagnes afin d'asseoir leur pouvoir sur des domaines de plus en plus morcelés. Cet état de guerre est entretenu par le tout nouveau type de régime militaire qui émerge au début de l'époque féodale : le bakufu de Kamakura (1185-1333). Quid des femmes dans ce contexte éminemment guerrier ? Avec l'émergence des samouraïs, le statut des femmes face à l'état de guerre est certes diminué. Pourtant, cela n'a pas toujours été le cas. Durant les périodes précédentes, si le pouvoir administratif était détenu par les hommes, les femmes s'affirmaient dans le domaine spirituel et clérical ; et notamment, sur le champs de bataille, en tant que shamanes : leur rôle était alors de prédire l'issue d'une bataille, d'apporter différentes formes de soins, ou de lancer des malédictions sur les ennemis. En outre, des recherches effectuées sur des tombeaux du IVe siècle ont permis de mettre à jour des corps de femmes en armure, entérinant l'existence d'une caste de guerrières. Ces découvertes ont pu être mises en rapport avec les récits de vie de l'impératrice Jingû, et de la reine Himiko qui vécurent au tournant du IIe et IIIe siècles. La première prit la relève de son défunt mari, l'empereur Chûai, et partit conquérir la Corée alors qu'elle était enceinte. La seconde était dite prêtresse et sorcière, et interprétait la volonté des kamis afin de diriger le pays. Avec l'époque de Kamakura et de l'installation d'un climat de guerre perpétuelle, la place des femmes au combat changea, tout en demeurant nécessaire : on distingua alors la femme « samouraï » (l'onna-bugeisha), et la femme de samouraï. Quoi que différentes, les deux combattirent pour un même but, celui de faire triompher leur clan. On retrouve chez ces femmes des valeurs fortes, retranscrites plus tard dans ce que nous connaissons aujourd'hui comme le Bushidô. L'une et l'autre étaient préparées aux arts de la guerre, que cela soit par inclination personnelle ou par nécessité d'avoir à se défendre en cas de siège. L'arme traditionnellement réservée aux femmes était le naginata, une lance terminée par une lame recourbée. À la base, cette arme était détenue par les guerriers de seconde catégorie, face à l'arc et au sabre, plus nobles. Toutefois, sa maniabilité et sa polyvalence en faisait une arme de choix entre des mains expertes, et très vite son enseignement se généralisa parmi les femmes de la caste des samouraïs. Si le pouvoir des femmes guerrières resta de mise jusqu'à la fin de l'époque de Muromachi (1333-1573), il s'amenuisa progressivement à la faveur de la montée du confucianisme qui redessina les rôles féminins et masculins au sein de la société japonaise. Notamment, en plaçant la femme dans une position inférieure à celle de son mari. Jusqu'ici, et quoique cela soit difficile à considérer, la femme japonaise médiévale jouissait d'une grande autonomie, notamment en matière de travail, mariage, sexualité et divorce. La Française de la même époque aurait difficilement pu en dire autant... Le XIXe siècle, et à plus fortes raisons la Seconde Guerre mondiale, portèrent un coup fatal à ces femmes guerrières en imprimant des standards occidentaux sur la société japonaise. La famille n'était désormais plus un clan élargi où les femmes pouvaient s'épanouir, mais un noyau restreint composé d'un père au travail, d'une mère au foyer, et d'enfants attendant de se marier ou de devenir docteur. Eh oui, le modèle de la femme soumise japonaise a moins d'un siècle et demi, et vient de chez nous. # Onna-bugeisha / épouse de samurai Les différents récits de cette époque qui nous ont été transmis marquent bien le contraste entre la femme comme victime tragique et sans défense de la guerre, et la femme guerrière qui se lance avec détermination dans la bataille : les rouleaux illustrés du Dit de Heiji montrent la mise à sac du Palais Sanjo en 1161, où l'on peut voir des dames de compagnie abattues par des samouraïs. Parallèlement, le Dit des Heike, datant de la même période, retranscrit les exploits de Tomoe Gozen, épouse et compagnon d'armes de Minamoto no Yoshinaka. Connue pour sa beauté et sa fougue, elle suivit son mari sur les champs de bataille, et notamment à la célèbre bataille d'Awazu en 1184 dont elle sortie victorieuse, à la différence de Yoshinaka qui y périt. La légende de Tomoe naquit à cette époque, où l'on raconte qu'elle brillait au combat en décapitant sans relâche ses ennemis. À la mort de son époux, elle se maria une seconde fois et eut un fils, avant de se retirer dans la province d'Echû où elle prit le voile. Être épouse de samouraï demandait parfois de mener le combat sur d'autres plans que sur le champ de bataille lui-même. En l'absence de leur mari, c'était à elles d'assurer l'intendance des forteresses, soumises à des sièges. Il s'agissait de gérer aussi bien le ravitaillement que de superviser les services d'infirmerie et de défense. Dans le Taikoki, on peut lire un hommage à femme d'Okamura Sukie, qui fit preuve de courage et de détermination dans la défense de Suemori en 1584 :« l'épouse d'Okamura était habituellement douce et réservée, c'était une femme dotée de toute la grâce qu'on aurait pu prêter à un jeune saule. Toutefois, cette valeureuse dame de cour - qui surpassait même l'estimée mère du seigneur Nobunaga – s'arma d'un naginata, et, accompagnée de deux ou trois autres personnes, patrouilla de jour comme de nuit dans le château en réprimandant sévèrement les gardes épuisés par les combats, et qui s'étaient assoupis. » # Statut Ce n'est pas seulement au combat que les femmes se sont distinguées durant la guerre. La plupart agissait comme stratèges politiques par le biais de leurs mariages. Outils de diplomatie, ces épouses de samouraïs se retrouvaient bien souvent déchirées entre leur famille, et le clan ennemi auquel elles avaient été liées par souci de trêve. Elles acquéraient plutôt alors le statut d'otage privilégiée, et étaient généralement bien mal perçues par la cour qui considérait ces éléments extérieurs comme des espionnes et des traîtres. Devenir épouse de samouraï par le biais de ces mariages arrangés plaçait ainsi la femme face au choix difficile d'être loyale envers sa famille ou son époux. Ce fut le cas pour Oichi, la plus jeune soeur du célèbre Oda Nobunaga. Celui-ci la donna en mariage à son rival, Nagamasa Asai. Quelques années plus tard, Nagamasa rompit toutefois son alliance avec Nobunaga : sans retenue, ce dernier dévasta le domaine des Asai et demanda à ce que sa soeur lui soit retournée. Nagamasa accepta, avant de mettre fin à ses jours. On raconte qu'Oichi aurait prévenu son frère des plans militaires de Nagamasa en lui faisant parvenir un sachet portebonheur crypté. outefois, toutes n'eurent pas la chance d'être épargnées par les combats. A la chute d'un château, le viol, la mise en esclavage et le meurtre étaient pratiqués sans retenue. Dans ces conditions, le suicide était l'unique possibilité restante. Chacune d'entre elles était dotée d'un tanto, une dague qui ne les quittait jamais. Si l'emploi de cette lame pouvait se faire à des fins offensifs, l'un de ses plus funestes usages était de permettre à la dame de se suicider si jamais elle se retrouvait déshonorée, et sans espoir de salut. À la différence du seppuku pratiqué par les samouraïs, le suicide des femmes s'effectuait par tanto, en s'enfonçant la lame dans la gorge. Les rudiments d'anatomie enseignés aux dames de cour leur apprenaient en quel point exact elles devaient plonger le poignard pour s'ôter correctement la vie. En attendant d'être mis à jour, l'objet était conservé sous les habits, contre la poitrine. Ainsi lorsque Hideyoshi Toyotomi enjoignit Bessho Nagaharu de se soumettre pacifiquement à Nobunaga, Nagaharu refusa et son château fut assiégé. En signe de soutient à son mari, et pour ne pas tomber entre des mains ennemis, sa femme et toutes ses dames de compagnie se donnèrent la mort. # Arme La naginata est une longue lance dotée d'une lame courbée à son sommet. Du fait de sa polyvalence et des conventions, beaucoup de femmes s'initièrent à cette arme. Sa longueur offre de grandes possibilités d'attaques à distance. Cette arme était aussi très efficace contre les maraudeurs qui attaquaient souvent à cheval. L'arc et les flèches étaient également utilisés du fait de la possibilité d'attaquer à distance. De plus, la naginata se montrait très efficace dans le combat proche. Même en considérant que les hommes étaient naturellement plus forts que les femmes, une forte femme armée d'une naginata pouvait garder à distance la plupart de ses adversaires. Durant ces situations, la force, le poids, ou l'épée ne comptaient plus. Parce qu'elle est utilisée par de nombreuses femmes légendaires, la naginata est devenue un symbole de la femme guerrière. Durant l'époque d'Edo, de nombreuses écoles de naginata furent créées à destination des femmes Tags : #societé #japon #femme #samurai Lien vers la fiche : http://ift.tt/2iLfhHT http://ift.tt/2zgosr3
0 notes
kansassire · 4 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Mezon do Himiko (La maison de Himiko), 2005, Isshin Inudo
23 notes · View notes
vagabondedlife · 8 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
La Maison de Himiko - Isshin Inudo
4 notes · View notes
choppyyolk33 · 8 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
메종 드 히미코(2005) 오다기리 죠, 시바사키 코우 뜻밖의 인생영화를 찾았다. 나도 좀 잔잔한 동양풍의 일본영화를 보고 싶어서 예전에 다운받아 놨던건데 최근에서야 봤다. 평점이 호불호가 많이 갈려서 재미없음 어쩌나 걱정이 됐는데 다 보고나서 그런 걱정 했던 시간이 아까웠을 정도로 인상깊은 영화였다. 그리고 애니메이션 빼고는 나한테 처음인 일본영화인데 입문을 이 영화로 해서 앞으로 일본영화 자주 볼 것 같다 :)) 우선 영화의 주제는 조금 생소할 수도 있는 동성애자를 바탕으로 하는데, 전혀 거리낌없고 처음에는 좀 의외일수도 있는데 보다보면 적응된다. 영화 중 사오리(시바사키 코우)의 아빠 히미코가 오다기리 죠의 애인 역할로 나온다. 그래서 사오리는 아빠를 증오하지만 후반부 오다기리 죠에게 좋아하는 감정을 느끼면서 이루어질 수 없는 사랑을 했던 아빠의 처지를 조금씩 이해해 나가는 것 같았다. 오다기리 죠도 점점 사오리에게 감정을 느끼지만 게이라는 현실의 벽 앞에서 포기한 것 같다. ㅠㅠ둘이 잘 어울리는데 ㅠㅠㅠ 근데 오다기리 죠 너무 잘생겨서 몇번 심쿵함 목소리도 좋다. ㅠㅠ시바사키 코우는 진짜 개성있는 외모로 나와서 걸크러쉬 당함. 못생긴 여자 역할인 캐릭터 특성상 노메컵으로 나왔는데 그것마저도 수수해서 예뻤다 루비역 할아버지도 되게 귀여웠음. 뜻밖의 인생영화를 찾은 것 같아 기분이 좋다 가끔 다시 꺼내봐야지 :)))
2 notes · View notes
otott115 · 8 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
house of himiko (2005)
24 notes · View notes
p-afiches · 9 years ago
Photo
Tumblr media
1 note · View note
hyecadence · 10 years ago
Photo
Tumblr media
🎥 Isshin Inudo : La maison de Himiko (House of Himiko) , 2005
6 notes · View notes