#la justice à géométrie variable c'est pas la justice
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Faut que je trouve l'énergie pour lâcher twitter et l'attaque du Hamas. J'y arrive pas. Mais comme toujours, les très gauchistes (de mon bord donc, en théorie) très sont toujours aussi cons.
Selon eux, Hamas = résistants. Ca laisse coi.
Ils sont incapables de penser que le Hamas est un cancer religio-fasciste tout en restant convaincus que l'état d'Israël est un état d'apartheid colonialiste qui par ses actions, galvanise les organisations terroristes de la région.
Les deux idées ne s'excluent pourtant pas l'une l'autre mais non, leurs opinions ne sont pas une question de réflexion, mais une question de dogme, d'idéologie, de ligne narrative. Avoir une opinion nuancée et risquer d'être vu comme un traître aux luttes? Jamais de la vie, voyons!
Je suis trop neurodivergent que pour pouvoir tolérer la pensée dogmatique. Elle me sort des yeux qu'elle soit d'extrême gauche ou d'extrême droite. Les moutons et moi ça n'a jamais fait bon ménage, pas en primaire, pas en secondaire, pas dans ma vie d'adulte. Peut-être que l'autisme joue un role dans le fait de pouvoir reconnaître le dogmatisme et d'y avoir développé une certaine immunité? Je me souviens déjà tout petit, de cette impression très claire d'être poussé dans certains schémas de pensées par les gens qui m'entouraient. Cela m'a toujours été très désagréable.
L'Ukraine et ce genre de situations comme ce weekend c'est ce qui m'a dégouté de la politique internationale des partis d'extrême gauche, que l'on peut tout à fait entendre lorsqu'il s'agit d'idées de justice socio-économique, mais alors, à l'international c'est la catastrophe.
Ils ont tous un cas de "vers de cerveau" (brainworms) anti-américain, par principe. USA=BAD donc tout ce qui est ANTIUSA=GOOD. C'est de la logique de bac à sable, c'est usant et ce n'est pas une question d'intelligence car ce genre de positions sont tenues par tellement de gens brillants aussi *tousse* Noam Chomsky, vieille crevure *tousse*.
Je crois que les élections qui viennent je serai plutôt à géométrie variable, entre vote utile (social démocrate) et vote pour des personnes dont j'aime le travail en général (peu importe leur parti). Mais le vote de protestation à gauche de la gauche, c'est terminé.
Les relents stalinistes et la myopie volontaire pour ne pas froisser son électorat, ça me sort par tous les pores.
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Vous dirigez deux parquets de banlieue parisienne mais avec des situations sociales très différentes. Cela a-t-il un impact sur l’exercice des poursuites ?
M.C. Oui, naturellement. Par exemple, ce qui à Bobigny sera traité comme un simple usage illicite de stupéfiants passible d’une amende forfaitaire sera poursuivi à Versailles en comparution immédiate pour une autre infraction passible d’emprisonnement. Versailles est une juridiction réputée pour sa sévérité, les services enquêteurs et les mis en cause le savent. La politique pénale est différente car elle est adaptée au territoire. Le ressenti est différent et donc le trouble à l’ordre public est différent et donc la peine est différente. Mais ce n’est pas une raison pour dire qu’à Bobigny ils sont laxistes car ils ne le sont pas.
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Au calme, une procureur explique qu'on donne des peines moins lourdes en banlieue parce que le 'ressenti' de la gravité du délit y est moindre. Oui oui, le pauvre tolère mieux la délinquance et l'impunité et c'est d'ailleurs pour ça que les stats du vote RN explosent mais n'y voyez surtout aucun rapport. Oh et quand les policiers le disent et s'en plaignent, c'est parce que cédéfacho.
#politics#justice#ils ont fumé quoi au syndicat de la magistrature pour se vautrer dans le mépris de classe à ce point#la polisse cé dé factieux#ben non ducon#la police en a marre d'arrêter des délinquants pour que la magistrature les relâche#et les riverains aussi#la justice à géométrie variable c'est pas la justice
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Le périmètre des dépenses est un casse-tête, un labyrinthe où se perdent de nombreux candidats
Une proposition de loi qui simplifie le droit électoral ne peut qu'être soutenue. Exemple : la dispense de recours à un expert-comptable, que je propose d'étendre aux candidats ayant obtenu moins de 7 %, mais ayant dépensé peu. Autre exemple : l'automaticité des peines. N'en déplaise aux monarchistes, le contrôle des comptes de campagne n'est pas une science exacte et le volume de travail comme les délais rendent les erreurs inévitables pour la CNCC. La commission a contrôlé 5 427 comptes en six mois lors des législatives de 2017.
Le périmètre des dépenses est un casse-tête, un labyrinthe où se perdent de nombreux candidats. Ainsi, le déjeuner de l'équipe de campagne n'y entre pas, sauf si un journaliste est invité. Les services à titre gratuit des militants n'y entrent pas, mais les frais de transport, oui. Les rabais de fournisseurs sont acceptés, mais uniquement jusqu'à 20 % des prix du marché - mais comment calculer ces derniers, surtout dans le domaine de la communication ? Lors de la dernière présidentielle, des experts ont été saisis : ils se sont accordés sur le fait qu'il était impossible de les définir.
Que se passe-t-il si le compte de campagne du vainqueur fait l'objet d'une saisine du procureur ? En 1995, alors que le compte du président élu, Jacques Chirac, aurait pu ne pas être validé, c'est celui de Jacques Cheminade qui a été rejeté... C'était M. Roland Dumas qui présidait alors le Conseil. Si Jacques Chirac avait été sanctionné, le deuxième ou troisième candidat aurait en théorie été désigné vainqueur... Politiquement, c'est inimaginable.
De plus, la jurisprudence est à géométrie variable : le président de la République a reconnu que la CNCCFP n'avait pas été saisie pour le dépassement des plafonds de dépenses d'un candidat à la présidentielle de 2012, alors qu'elle l'a été pour d'autres. M. Richard a raison : à la CNCCFP de juger des comptes de campagne. Au juge de décider des suites pénales.
Prudence et justice... Le groupe CRCE votera ces propositions de loi.
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30. La sociologie des entreprises
Patou est en position équerre sur le canapé. Disons pour être plus précis, équerre à 65° avec colonne vertébrale en rapporteur. De temps à autre, ses paupières se soulèvent dans un effort herculéen, son regard houleux me cherche, me devine, il pointe alors un index mou vers moi dans l'intention de révéler un scoop avant d'être happé par un énième vortex mental.
Sa cigarette se consume lentement entre deux doigts qui évoquent un lointain passé d'articulations. Un temps perdu, fini, abrogé, sur lequel le rouleau de cendre gagne inexorablement du terrain.
Jo ne trône pas, enfin il ne trône plus. Il s'écoule, se répand, se dilate peu à peu à 170°, gagnant du terrain lui aussi mais sur le canapé. Putain de géométrie invariable.
Quelques heures auparavant, la conversation avait encore tourné autour de la théorie du grand complot.
Personne d'autre que nous pour supporter le salmigondis d'arguments, tous plus foireux les uns que les autres, que nous dégainions à tour de bras et à qui mieux mieux, comme si notre vie ou notre honneur en dépendait. Il ne s'agit pas de la théorie du complot que vous connaissez peut-être, mais de LA théorie du complot que vous ne connaîtrez jamais, pour des raisons indépendantes de ma volonté à vous épargner.
Il nous est impossible d'en débattre en dehors d'un état de conscience que d'aucuns considèrent, dans le meilleurs des cas, comme altéré. Mais les amibes ne sont pas nos amis.
En remontant le fil de la soirée, je déroule le chemin qui nous avait, une fois de plus, conjointement jetés dans le débat et mon salon.
Juste avant de débouler chez moi, nous nous étions fait virer du restaurant rue Sainte, sur lequel nos ventres affamés avaient jeté leur dévolu. Pourtant, cette fois, nous y étions allés tôt pour s'assurer d'avoir une table.
Cette anticipation ne nous ressemblait guère. En réalité, nous étions simplement usés d'un scénario répétitif où le refus poli du restaurateur débouchait invariablement sur un bordel de magnitude variable. Car, ces fois-là, en plus d'arriver trop tard et trop bourrés, il y en avait toujours un parmi nous trois pour se sentir vexé par un pointage pourtant prévisible, et qui le manifestait en ouvrant largement sa gueule, quand il ne partait pas en pétant deux ou trois verres à vin.
Mais, là, point de ce tointoin.
Bien que l'on nous proposa gentiment une table ici, les deux zigues optèrent pour une autre là, plus protégée, moins éclairée, plus intime. Nous étions les premiers clients.
Nous commandons, devisons avec calme, et flirtons pour une fois avec le raisonnable en terme d'alcools. Non, y avait pas à dire, nos attitudes frôlaient le politiquement sortable. S'assagissait-on ? ou ourdissions-nous, plus ordinairement, quelque cyclique complot ? Nous n'étions pas peu fiers de notre nouvelle conduite, et cette fierté tenait moins d'un conformisme de "savoir-vivre" qu'au vent nouveau que nous apportions à nos systèmes de rébellion un poil éculés.
Mais le glas de notre tranquillité sonna, et avec lui, celui de nos toutes nouvelles et louables dispositions, lorsque la table d'à côté vint se garnir de deux touristes femelles. Le ton saccadé de leur conversation, les salves insupportablement aiguës que crachaient leurs voix et la vertigineuse vacuité du contenu de leurs débats (hélas en français dans le texte), nous firent prendre trois crans en 15 minutes.
Les premiers signes d'énervement de Patou se devinent à son regard : il commence par baisser les yeux afin de soulager sa vue. A ce stade, lui-même croit qu'il cherche encore les limites de sa patience, alors qu'il les a déjà trouvées.
Jo, c'est le contraire, il se met à fixer les pas-d'ici sans piper mot. Et là je sais que c'est engagé. Les pieds nickelés laissent encore passer un bon quart d'heure, histoire d'aiguiser les couteaux de leur haine ordinaire et de préparer les bains de napalm.
C'est toujours pareil, on est là, on ne veut rien, on ne demande rien qu'un peu de répit, et vient toujours ce moment fatal où quelqu'un, quelque part, file rencart à nos colères à la même heure au même carrefour. Que voulez-vous que je vous dise ? Forcément, on finit par comploter. Vous ne comploteriez pas, vous ? On a fait ce qu'on fait d'habitude : on a tendu nos mains à l'aveugle, pleins de bonne volonté et peut-être même d'espoir, et au lieu de dénicher des livres de Bobin, on a trouvé des munitions (et du Pepcidduo pour les brûlures d'estomac).
Il faudrait pouvoir vous expliquer ce que c'est que de partager une haine commune. Il faudrait que je trouve des mots impossibles pour vous faire palper ce qu'elle a d'indiciblement solidaire ; la façon dont elle nous extrait soudain de nos solitudes, pour nous plonger aussitôt dans l'ivresse d'une toute-puissance éphémère : celle où nous ne sommes plus seuls. Je crois que nous donnerions nos vies pour ces instants d'éternité et en un sens, c'est ce que nous faisons. Les calvaires chimiques et alcoolisés que nous infligeons à nos bulbes rachidiens ne sont que l'expression d'une décision autoconsentie, pour être ensemble, rassembler nos singularités et ne pas devenir tout à fait fous.
Jo, les avant-bras sur la table et les mains croisées dans une attitude qui laissait croire à l'élégante initiative d'une conversation civilisée, orienta son buste vers celle qui laissait entendre un accent hispanique fortement marqué. Il chercha du regard son regard et lorsqu'il l'eût accroché, planta ses pupilles dans les siennes, façon picador, avant de lui demander sur le ton de la confidence :
- Vous avez acquis ce langage avec la chaude pisse mexicaine au sein de votre bar à putes natal ou vous profitez de votre mise à pied pour taper dans le whisky ?
Silence, au cours duquel Patou et moi mimons un applaudissement respectueux. Je crois qu'historiquement, nous pouvons parler d'une remarquable entrée en matière.
Chers amis, bienvenue à notre grand jeu de la réplique cinématographique. Un jeu de vitesse, d'esprit et de mémoire où le temps nous est compté.
L'adversaire bicéphale hésite, craignant de comprendre la catapulte syntaxique qui vient de s'abattre sur son hâle touristique naissant. Patou et moi arrivons en renfort pour faire feu nourri sur les radasses :
Patou : J'espère que t'as pas pris un coup de soleil sur les fesses, parce que ça va te coûter cher en Biafine s'il faut que t'étales ! Moi : qu'est-ce que vous diriez si vos lèvres et mon cul se rencontraient ? Jo à la cantonade : j'invite toute personne qui parle en métaphores à me shampooingner les parties ! Patou, fixant l'autre copine : Je voudrais que tu me fasses jouir avec ta langue. Jo : vous êtes du vomi, vous êtes le niveau 0 de la vie sur terre, vous n'êtes même pas humain, bande d'enfoirés ! Vous n'êtes que du branlomane végétatif, des paquets de merde d'amphibiens, de la chiasse !
Alerté par les éclats de voix, le personnel commence à s'activer à l'arrière. La créature de gauche fourbit quant à elle quelques menues menaces où il serait question de sodomie et de nation française.
Moi à elle : t'es mal placée dans la chaîne alimentaire pour pouvoir l'ouvrir. Jo : quand tu as un canon de revolver dans la bouche, il n'y a que les voyelles que tu peux prononcer. Patou : j'te parie que t'es capable de pomper une balle de golf à travers un tuyau d'arrosage !
Le serveur n'a rien capté de l'épisode et croit encore, lorsqu'il arrive à notre table à un simple malentendu de voisinage hôtelier.
Le serveur : Permettez-moi de vous demander de bien vouloir... Jo : Tu ne te permets rien du tout, tu vas d'abord me soigner cette vilaine peau et ensuite tu te permettras.
Sur cette réplique finale, Jo vient de clore en beauté le jeu qu'il a mené de main de maître. Nous nous levons comme un seul homme afin d'aviser à même le trottoir de la suite à donner à cette éclatante soirée. Inutile de préciser que ce petit intermède haineux et ô combien légitime (Dieu merci, il y a parfois une justice ici-bas) nous a redonné une vigueur telle que nous nous sentons prêts à envisager à peu près n'importe quoi. Mais avant, il faut reconnaître les siens. Nous nous congratulons chaleureusement les uns les autres, nous serrant virilement les paluches comme si nous nous retrouvions après trop longtemps. Patou et moi ensevelissons Jo sous des éloges dignes du kamikaze qui aurait cramé sa cible sans se faire péter la gueule, un kamikaze vivant quoi. A toi Jo, la fratrie reconnaissante.
Bien qu'il persiste dans sa rugosité naturelle (il ne sait pas être autrement), il est content ce con. - Merci, merci. Je suis votre avocat et en tant que tel, j'ai toujours été de bon conseil. C'est pourquoi vous pouvez me croire sur parole quand je dis qu'il est pour nous grand temps de remplir les silos. Patou et moi acquiesçons. C'est moi, c'est eux, c'est nous, que vouliez-vous faire d'autre ? Ce type d'inconscience est surtout dure pour les enfants, mais bon on n'en a pas.
Les répliques sont issues des films suivants : Pour le pire et pour le meilleur. Full metal jacket Camping Fight Club Pulp Fiction L'âge de glace C'est arrivé près de chez vous
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Dour 2017, le line-up - 2/2
A une dizaine de jours, aux erreurs de mesure prêt, du début du festival, il est temps de te faire part de nos coups de coeur de la programmation des deux derniers jours de l'événement!
Même si certains ne manqueront pas de rappeler qu'à Dour, passé 22h, on ne trouve guère autre chose que de l'electro à se mettre sous la dent, le festival conserve un caractère plutôt éclectique. On pourra une nouvelle fois le vérifier sur la Last Arena ou se succèderont les deux têtes d'affiche du jour: les polymorphes Die Antwoord et les versaillais de Phoenix dont on se rappelle très bien le dernier passage en 2014, époque Wolfgang Amadeus Phoenix.
Après Kate Tempest 2 jours plus tôt, un autre prodige du hip-hop anglais sera présent de notre coté de la Manche en la personne de Rejjie Snow. Voix profonde et classieuse au programme. Même endroit (Jupiler Boombox), même registre, approche différente, sens aiguisé du sampling: ne pas manquer Jonwayne.
Pour le quota de rock indé du jour, ça se passera une nouvelle fois du coté de La Petite Maison Dans La Prairie avec les résolument dansants Jagwar Ma avant d'enchainer, plus tard dans l'après-midi avec Rone. Sur ce créneaux, Le Labo ne sera pas en reste non plus puisque l'on y croisera les déjantés bidouilleurs de GaBlé, adeptes du DIY et des concerts joyeusement foutraques et les élégants et sensuels canadiens de Timber Timbre. Enfin, Ry X bouclera le line-up de cette scène de la plus belle des manières, avec son savant mélange d'electro et d'instruments classiques sublimé par sa voix crystalline et éthérée. Un moment à ne rater sous aucun prétexte.
Il y aura du pain sur la planche du coté de la Caverne également puisque l'on y croisera la révélation metal belge de ses derniers mois Mont Doré, les Brutus, qui ont sorti l'un de nos albums favoris de 2016, le post-black metal enragé d'Alcest, le mysticisme d'AmenRa et, en fin de journée, la synthwave de Perturbator, évoquant l'univers de Kavinski.
Dimanche, dernier jour, si la présence d'un PNL sur la Last Arena (à Dour en fait) nous laisse dubitatif, celle de Justice serait plutôt du genre à nous ravir tant les shows du combo parisien ont la réputation d'être dévastateurs. Plus tôt dans la journée, nous nous serons probablement déjà arrêtés prêt de l'énorme scène pour Metronomy.
Cette dernière journée sera peut-être la plus faible sur le volet hip-hop. On ira se mêler à l'énorme ambiance qui s'annonce pour le show de Roméo Elvis et le Motel et on fera l'impasse sur Demi Portion et Lorenzo. On ne manquera en revanche pas les écossais de Young Fathers.
Si cette édition ne se sera pas non-plus distinguée par son affiche post-punk, l'organisation pourra tout de même faire valoir la présence des Sleaford Mods. Fort judicieusement, les anglais ont su prendre un peu de distance avec les éternels canons en vigueur dans leur registre, justifiant la hype les entourant ces derniers-temps. Toujous dans la Caverne, plusieurs autres shows à ajouter à notre todo list: le stoner rock de Tim Vanhamel et sa bande aka Millionaire et le retour des Deap Vally. Enfin, ne pas manquer les californiens de Meatbodies et leur rock à géométrie variable, entre psyché, stoner et garage.
Pour terminer la soirée et atterrir en douceur, on ne pourra trop vous recommander les DJ sets, forcément consécutifs, de Jon Hopkins et Kiasmos.
C'est tout pour nous! A toi maintenant de te faire ta propre idée de la programmation de cette 28ème édition.
Autres rappels d'usage:
Billet à la journée au prix de 55€ le mercredi, 65€ les jours suivants
Ticket combi au prix de 155€
Pour le reste c'est par ici
Enjoy!
L.
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Le covoiturage, le vélo, la trottinette électrique ne remplaceront jamais le train
Le débat d'idées est la marque du Sénat. Une fois encore, nous avons prouvé l'utilité de la Haute Assemblée...
M. Roger Karoutchi. - Très bien !
Mme Éliane Assassi. - ... en ces temps où le Gouvernement affiche un certain mépris, mêlé de rancoeur, à l'égard de notre institution. Multiplication des ordonnances, modification de projets de loi par lettre rectificative, introduction par amendement de dispositifs fondamentaux pour s'exonérer d'une étude d'impact et d'un avis du Conseil d'État, ces méthodes, nous les avons dénoncées en déposant une motion. Nous maintenons que le Gouvernement aurait dû attendre la fin du grand débat pour nous soumettre un texte. L'égalité d'accès aux services publics, la justice fiscale, le coût des transports et une transition écologique qui ne rime pas avec déclassement social, aucune de ces questions essentielles n'est traitée dans ce projet de loi.
Pas de recettes nouvelles non plus pour les infrastructures de transport, c'est le statu quo ; vous avez refusé notre proposition d'écotaxe et de rénovation du versement transport. Quand la fiscalité écologique qui rapporte plus de 30 milliards d'euros cessera-t-elle d'être un alibi pour alimenter le budget de l'État ?
Pour autant, il y a eu des avancées. Certaines de nos propositions ont été reprises sur la relance des TET et des trains de nuit, sur le fret ferroviaire qui ne doit être considéré sous le seul prisme des autoroutes ferroviaires, sur l'utilisation des données personnelles afin qu'elles ne soient pas captées par les GAFA, sur la place du vélo ou encore sur la suppression de la charte facultative pour les plateformes numériques.
Madame la ministre, votre vision va à l'encontre de la nôtre qui privilégie un transport en réseau sur notre territoire, avec un service effectué par des agents publics. Le covoiturage, le vélo, la trottinette électrique ne font pas la maille ; ils ne s'inscrivent qu'en complément de modes de transports structurants, dont le ferroviaire.
Madame la ministre, vous ne pouvez pas faire passer le désengagement de l'État pour le monde du futur car c'est bien de cela dont il est question. Le couple intercommunalité et région signe le dépérissement du trio État, département et commune. De même, la fermeture des lignes capillaires et des gares conduit à la rétraction du réseau, comme nous l'avions prédit, ...
M. Martial Bourquin. - Très juste !
Mme Éliane Assassi. - ...alors que la SNCF prospecte déjà en Espagne. Quel intérêt y a-t-il à la mettre en concurrence avec la RATP ? Quel gâchis de temps et d'argent ? Il faudrait, osons le mot, un monopole public. Les élections européennes approchent, c'est l'occasion de mettre fin à ce dogme de la libéralisation à tous crins dans l'intérêt de nos concitoyens.
Quant à votre sac à dos social, ce n'est qu'un parachute percé ! (Moues sur les bancs du groupe Les Républicains) La concurrence n'a d'autre fonction que d'apporter de nouveaux profits aux acteurs privés en mal de dividendes.
Ce modèle détruit ce qui nous est commun, ce qui fonde la République. Quand nos concitoyens n'ont pas tous les mêmes droits, et ce sera le cas avec un service public à géométrie variable, le pacte républicain est rompu. Ajoutez à cela la provocation sur le droit de grève et notre rejet total du Charles-de-Gaulle Express, vous comprendrez les raisons pour lesquelles nous voterons contre.
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Une rupture d'égalité sur le sol français
Une erreur de coordination dans la loi Asile et immigration a harmonisé à deux jours le délai de rétention administrative. Pour une fois, l'impair allait dans le bon sens, mettant fin au délai, spécifique à Mayotte, de cinq jours.
La proposition de loi vise à réinstaurer cette rupture d'égalité sur le sol français, cela n'a qu'un objectif : éloigner les personnes en rétention de leur juge, en violation de l'article 66 de la Constitution...
M. Philippe Bas, président de la commission. - Non.
Mme Esther Benbassa. - ... selon lequel nul ne peut être arbitrairement détenu !
M. Philippe Bas, président de la commission. - Oui.
Mme Esther Benbassa. - Nous pourrons dialoguer ! La pression migratoire justifierait cette différence de traitement et c'est au nom de l'ordre public que le recours au JLD est entravé. Mais c'est une obligation constitutionnelle, pour les Mahorais, aussi. J'ai pu observer, il y a 15 jours, lors de ma dernière visite en centre de rétention administrative, au Mesnil-Amelot, les conditions matérielles indignes de rétention, des mutineries, des mutilations, une gestion administrative très autoritaire, qui laisse les retenus sous-alimentés sans suivi médical digne de ce nom. Je n'ose imaginer la situation à Mayotte, où ont lieu 43 % des placements en rétention, dont plus de 4 000 enfants.
Ma préoccupation est partagée par la Commission nationale consultative des droits de l'Homme (CNCDH) et Adeline Hazan. La possibilité de déposer une demande d'asile ne leur est pas même notifiée, selon la contrôleure générale des lieux de privation de liberté. Or les populations immigrées de Mayotte ont une très faible connaissance de leurs droits, face aux éventuels agissements arbitraires de l'administration. Les principes de la République ont été suffisamment mis à mal par la suppression du droit du sol à Mayotte.
Nous demandons à ce que la politique migratoire en outre-mer soit respectueuse des droits de l'homme et soumise à de nécessaires règles procédurales, d'autant que les alternatives à la rétention existent dans le droit européen.
Ne laissons pas Mayotte seule face à ce défi ! L'État doit donner des moyens et mobiliser du personnel de justice, plutôt que d'instaurer un droit à géométrie variable, indigne de notre République, auquel nous nous opposons avec force.
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