#la derniere plongee
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application-android-playvod · 3 months ago
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La DerniĂšre PlongĂ©e Ă  tĂ©lĂ©charger sur l’appli Android PlayVOD
L’appli Android PlayVOD vous invite Ă  regarder le thriller La DerniĂšre PlongĂ©e. Le film est actuellement disponible en tĂ©lĂ©chargement. Munissez-vous de votre tablette ou smartphone et profitez de votre soirĂ©e cinĂ©ma !
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julie-h · 7 months ago
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Connaßtre son avenir, jeter un sort à un rival, se protéger des actes malveillants et maléfiques : la magie noire à Vire http://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/calvados/c-etait-l-equivalent-d-une-poupee-vaudou-plongee-dans-les-rites-de-sorcellerie-et-de-magie-noire-des-siecles-derniers-2950325.html
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kinglandfr · 1 year ago
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Réinventer la Créativité Visuelle : Plongée dans les Tendances Innovantes de l'Art Numérique
DĂ©couvrez comment l'#ArtNumĂ©rique redĂ©finit la #CrĂ©ativitĂ©Visuelle Ă  travers des #TendancesInnovantes ! 🚀 Notre dernier article plonge dans l'univers fascinant de l'#IntelligenceArtificielle, du #DesignFuturiste, et de l'#ArtGĂ©nĂ©ratif. Si vous ĂȘtes passionnĂ© par la #TechnologieCrĂ©ative et dĂ©sirez explorer les frontiĂšres de l'#InnovationArtistique, c'est une lecture incontournable. 🎹✹ Laissez-vous inspirer par les nouvelles avenues de l'#ExpressionCrĂ©ative et dĂ©couvrez comment elles façonnent l'avenir de l'art et du design. Ne manquez pas cette exploration captivante du potentiel illimitĂ© de l'#IA dans l'art ! 👉 Partagez vos impressions et joignez-vous Ă  la conversation sur les derniĂšres #TendancesVisuelles. Votre voix compte dans cette communautĂ© dynamique d'innovateurs et de crĂ©ateurs ! #ArtEtTechnologie #InnovationNumĂ©rique 🔗 https://kingland.fr/reinventer-la-creativite-visuelle-plongee-dans-les-tendances-innovantes-de-lart-numerique/ Partagez ce voyage dans le futur de l'art avec votre rĂ©seau et inspirez une nouvelle vague de crĂ©ativitĂ© ! 🌟
À l’aube d’une nouvelle Ăšre digitale, l’art et la crĂ©ation visuelle traversent une rĂ©volution sans prĂ©cĂ©dent, propulsĂ©e par l’intelligence artificielle et les technologies Ă©mergentes.   RĂ©inventer la CrĂ©ativitĂ© Visuelle : PlongĂ©e dans les Tendances Innovantes de l’Art NumĂ©rique   Cet article explore les tendances visuelles avant-gardistes qui redĂ©finissent notre façon de concevoir, de crĂ©er et

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mirrorontheworld · 5 years ago
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Ces derniers mois, les critiques d’auditeurs se sont multipliĂ©es Ă  l’égard du « Masque et la Plume », Ă©mission phare du service public consacrĂ©e au cinĂ©ma, au thĂ©Ăątre et Ă  la littĂ©rature. Mediapart a Ă©coutĂ© 96 Ă©missions et recensĂ© un flot de propos sexistes et, dans une moindre mesure, des stĂ©rĂ©otypes racistes ou homophobes.
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rollingstonemag · 6 years ago
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/narcos-mexico-plongee-dans-une-spirale-de-violence-dans-le-nouveau-trailer/
"Narcos : Mexico" : plongée dans une spirale de violence dans le nouveau trailer
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Pour sa saison 4, la série Narcos se renouvelle (encore) et se concentre sur les quartiers les plus poisseux du Mexique
AprĂšs l’épopĂ©e Pablo Escobar (les deux premiĂšres saisons, inoubliables) et l’immersion ultra-violente au coeur du Cartel de MedellĂ­n (la saison 3, explosive), la sĂ©rie phare de Netflix Narcos, crĂ©Ă©e en 2015 par Chris Brancato, Carlo Bernard et Doug Miro reprend du service.
Cette fois-ci, bienvenue au Mexique, à Guadalajara, oĂč vous pourrez suivre l’ascension de Miguel Ángel FĂ©lix Gallardo (campĂ© par Diego Luna), aka Le Parrain, dangereux baron de la drogue. Au casting, on retrouvera Ă©galement Michael Peña et Joaquin Cosio. Le personnage rĂ©current du show, l’agent de la DEA Javier Peña, incarnĂ© par Pedro Pascal, n’est malheureusement pas annoncĂ© (de maniĂšre officielle) Ă  l’affiche.
Sang, confrontations, rĂšglements de comptes, tout y est, dans le dernier trailer XXL de cette nouvelle saison. Narcos : Mexico est attendue sur la plateforme de streaming dĂšs le 16 novembre prochain.
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und100 · 4 years ago
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[Recap] Les coups de cƓur de la rĂ©daction d'Avril 2021
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Chaque mois, retrouvez les jeux qui ont gagnĂ© le cƓur des chroniqueurs d'UndĂ©cent. Pour le mois d'Avril, nous avons cinq jeux : Dive, Suspects, Les Pillards de Scythie, Chronicles of Crime 1900 et Save the Patient Zero.
Coup de cƓur : Dive
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1-4 joueurs
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Anthony Perone, Romain Caterdjian
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8 ans
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Alexandre Bonvalot
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30 minutes
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Sit Down
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programmation, observation, course
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Plongée, animaux
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27,90 chez
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, 29€90 chez
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et dans
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Dive J'adore découvrir des jeux avec une mécanique originale. Avec le nombre de sorties par an en ce moment, on peut penser que tout a été essayé, tout a été fait. Force est de constater que non, et, de temps en temps, un OLNI (Objet Ludique Non Identifié) apparaßt sur nos étals. C'est le cas ici, je n'ai pas le souvenir d'avoir vu un tel jeu avant, un jeu à la fois beau, original et accessible. Alors vous le verrez, le revers de la médaille c'est qu'il n'est pas parfait, on essuie un peu les plùtres (et les feuilles plastiques), mais le plaisir de trouver une nouvelle façon de jouer balaye tout sur son passage. Quand j'ai reçu le prototype de Dive, il y a un petit temps déjà, la beauté et la zenitude du titre m'a tout d'abord frappé. Malgré le fait qu'il s'agissait d'un prototype et donc du matériel non définitif, on a bien pu sentir l direction vers laquelle Sit Down voulais aller, et je dois dire qu'ils y sont bien allés. Dans Dive, les joueurs incarnent des plongeurs qui subissent un rite initiatique polynésien qui se déroule chaque solstice d'été. Il s'agit de plonger le plus profondément possible en évitant les requins et en s'aidant des tortues de mer et des raies manta. Les joueurs vont devoir bien regarder la mer pour deviner à quelle profondeur sont les divers animaux et programmer leur descente en fonction. Celui qui arrivera en premier à la pierre sacrée et qui parviendra à la ramener au chef du village remporte la partie.
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Quelle claque qu'est Dive ! Une claque ludique comme rarement on en a. Il est beau, il est original, il y a de la stratégie, les rÚgles sont simples et accessibles. Bref tout y est pour que Dive devienne un des jeux qui va sortir le plus souvent à la maison. Il conviendra à toutes sortes de public. Ce jeu c'est du kif à l'état pur, foncez dessus, il doit intégrer votre ludothÚque à tout prix ! Retrouvez l'article complet : https://undecent.fr/2021/04/17/test-dive-plongee-vers-linconnu/
Coup de cƓur : Suspects
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1 - 6 inspectrices
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Guillaume MONTIAGE, SĂ©bastien DUVERGER NEDELLEC, Paul HALTER
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10 ans et plus
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Émile DENIS
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90 minutes
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Studio H
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DĂ©duction, Énigme, CoopĂ©ratif, Narrative
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EnquĂȘtes, Policier.
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En prĂ©commande Ă  26€50 chez
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et dans
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Dans Suspects vous incarnez Claire Harper. Elle est nĂ©e en 1910. Grande lectrice d'Agatha Christie devant l'Ă©ternel, voyageuse invĂ©tĂ©rĂ©e. L'universitĂ© d'Oxford l'a happĂ©e dĂšs la mise en place des premiers quotas d'Ă©tudiantes en 1927. Marchant dans les pas de son pĂšre, elle en est ressortie avec la clĂ© de son rĂȘve : un diplĂŽme en droit criminel. DĂ©sormais, Claire Harper enquĂȘte, observe, dĂ©niche, et dĂ©joue. Aucune Ă©nigme n'est assez retorse pour son astuce, aucune affaire assez complexe pour lui rĂ©sister. Claire Harper n'est pas qu'une dĂ©tective. Elle est la meilleure. Suspects est une sĂ©rie de jeu d’enquĂȘtes avec des rĂšgles minimales, et centrĂ©es sur les personnages Ă  la maniĂšre des romans d’Agatha Christie. Chaque boĂźte est axĂ©e sur un enquĂȘteur et une Ă©poque, et propose 3 scĂ©narios avec des personnages bien travaillĂ©s et des intrigues solides. C'est avec joie que j'ai pu rĂ©cupĂ©rer en avant-premiĂšre une boĂźte de Suspects. Je suis un grand fan de jeux d’énigme et d'escape en tous genres. Cependant, beaucoup essayent de surfer sur cette niche mais Suspects ne fait pas partie des jeux qui essaient en vain d'Ă©galer "Unlock".
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Ouah, nous tenons avec Suspects le jeu coupable de frissons et de sensation forte. Je dirais mĂȘme plus, d'une expĂ©rience unique. Les preuves sont lĂ  et vous ne pouvez pas nier les faits. Suspects n'est pas un escape game oĂč vous devez rĂ©soudre des Ă©nigmes Ă  ne plus savoir oĂč donner de la tĂȘte. Suspects est une performance narrative de recherche d'information pour comprendre les rouages d'un crime. Vous devez faire preuve de dĂ©duction et de discernement. Dans Suspects, il s'agit de confondre un meurtrier. Vous fonder sur vos convictions ou votre simple intuition sera probablement insuffisant pour rĂ©soudre l'affaire. Il faudra trouver les indices accablants laissĂ©s sur le lieu du crime. On ne vous demande pas non plus de dĂ©chiffrer un code ni mĂȘme de rĂ©soudre une suite qui n'est pas logique. Car oui chaque criminel commet des erreurs et par chance vous ĂȘtes lĂ . En revanche, si vous n'aimez pas le cĂŽtĂ© narratif des jeux, alors Suspects n'est peut-ĂȘtre pas fait pour vous... Vous passerez alors Ă  cĂŽtĂ© d'une belle expĂ©rience ludique. Retrouvez l'article complet : https://undecent.fr/2021/04/02/test-suspects-le-sherlock-holmes-au-feminin/
Coup de cƓur : Les Pillards De Scythie
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1-4 joueurs
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Shem Phillips
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12 ans
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Sam Phillips
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60 Ă  120 minutes
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Pixie Games
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Gestion de ressources, collection, dés, gestion de main, placement d'ouvrier
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Antiquité, pillage,
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40€50 chez
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et dans
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Pillards de Scythie L’annĂ©e derniĂšre, en 2020, j’ai commencĂ© Ă  entrevoir quelques visuels de Pillards de Scythie. Et une fois n’est pas coutume, Shem Philips, l’auteur des excellentes trilogies du Royaume de l’Ouest (voir la chronique de Vicomtes du royaume de l'Ouest), ou de la Mer du Nord (et leurs multiples extensions) nous prĂ©parait un opus prĂ©sentĂ© dans la mĂȘme veine mais sans son illustrateur attitrĂ©, Ă  savoir The Mico ; car cette fois-ci c’est Ă  Sam - l’illustrateur de Circadians (qui sort en français dans quelques mois chez Pixie Games) -, le frĂšre de Shem, de s’y coller. Intrigant. Ensuite lorsque Pixie Games m’annonce sa sortie et me propose de le tester, j’ai Ă©tĂ© encore plus curieux surtout comme on me l’a prĂ©senté : un jeu mettant en scĂšne sur un vaste plateau des cavaliers nomades venant des steppes d’Asie centrale pour piller les contrĂ©es civilisĂ©es d’Europe de l’Est, de MĂ©sopotamie et du bassin mĂ©diterranĂ©en ; du matĂ©riel de grande qualité ; une mĂ©canique s’inspirant de Pillards de la Mer du Nord mais revisitĂ©e et abondĂ©e. J’ai dit banco. Plusieurs parties plus tard : Verdict. Encore un excellent Shem Philips. Mais attention : ceux qui ont dĂ©jĂ  Pillards de la Mer du Nord et ses extensions, ce jeu fera surement doublon si vous ne dĂ©sirez pas vous plonger dans univers totalement diffĂ©rent, celui des Saces (autre nom donnĂ© aux Scythes par leurs voisins perses). Pour les autres, foncez les yeux fermĂ©s, car cĂŽtĂ© jeu intermĂ©diaire, c’est du bon, du trĂšs trĂšs bon ! Il y a plusieurs siĂšcles, les empires grec, perse et assyrien contrĂŽlaient de vastes territoires remplis de richesses. MalgrĂ© leurs fortifications et leurs armĂ©es imposantes, des rumeurs se sont rĂ©pandues d'un ennemi redoutable au Nord de la mer Noire. Ils sont venus Ă  cheval. Guerriers fĂ©roces, hommes et femmes. Habiles avec l'Ă©pĂ©e, la hache et l'arc. Mais ce n'Ă©taient pas des sauvages insensĂ©s. Leurs artisans Ă©taient rĂ©putĂ©s pour leur capacitĂ© Ă  fabriquer des bibelots dĂ©taillĂ©s en or. Ils savaient façonner une armure en cuir et improvisĂ© l'arc classique. Ils ont dressĂ© des aigles pour la chasse et pour la guerre. Certains croient mĂȘme qu'ils ont inspirĂ© les contes grecs des Amazones. Mais ils Ă©taient bien plus qu'une lĂ©gende : ils Ă©taient les Pillards de la Scythie ! Pillards de Scythie est un jeu pour 1 Ă  4 pillards Ă  partir de 12 ans pour des parties de 60 minutes minimum (comptez le double pour la premiĂšre partie explications comprises). Il est localisĂ© et distribuĂ© pour notre plus grand bonheur par Pixie Games depuis mars 2021. Qu'est-ce qui vous attend : Vous ĂȘtes donc des pillards de Scythie, peuple indo-europĂ©en d’Eurasie pour la plupart cavaliers nomades. HĂ©ros de guerre, il vous faudra aller de plus en plus loin pour attaquer les Empires cimmĂ©rien, assyrien, perse et enfin grec. Mais avant de partir piller, vous vous prĂ©parerez dans votre village en recrutant votre cohorte, en accumulant des provisions ou des koumis pour augmenter votre Force. Puis, une fois prĂȘts, vous pillerez avec plus ou moins de fortune puis vous reviendrez au village vous prĂ©parer Ă  nouveau. Et ainsi de suite. Vous rĂ©aliserez des quĂȘtes, le tout pour marquer des points de victoire. Lorsqu’il ne restera plus que deux colonies Ă  piller ou deux quĂȘtes visibles, s’en sera terminĂ©. Vous dĂ©terminerez alors qui sera le meilleur pillard de Scythie.
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Au final, j’ai adorĂ© Pillards de Scythie ; un coup de cƓur pour moi. Shem Philips nous livre avec Pixie Games pour l'Ă©dition française un excellent jeu stratĂ©gique de placement-retrait d’ouvriers et de gestion de ressources. Allez, je vois bien, vous avez l'Ăąme, la carrure, la prestance d'un chef. PrĂ©parez au mieux dans votre village scythe les pillages des colonies moyen-orientales au-delĂ  de la Mer Noire, en recrutant dans votre cohorte des pillards (et mĂȘme beaucoup de pillardes), en accompagnant ces derniers d’aigles de combat ou de chevaux, en gagnant les provisions et les chariots nĂ©cessaires au dĂ©part de vos raids (et plus ils seront lointains, jusqu'aux colonies Grecques par exemple, plus il en faudra !) et en s’octroyant des Koumis qui vous apporteront plus de force ! Une fois prĂȘts, lancez les dĂ©s, passez Ă  l’attaque de l’une des colonies encore disponibles avec le meeple requis. Gagnez encore plus de provisions, des chariots et mĂȘme de l’or ! Mais attention, le pillage ne se fera pas sans mal, vous vous en sortirez rarement sans blessures qu’il faudra parfois soigner dans un baraquement de votre village. Le sacrifice de certains pillards de votre cohorte sera mĂȘme parfois nĂ©cessaire. Surveillez vos adversaires histoire de les freiner autant que faire se peut. Un brin d’opportunisme sera nĂ©cessaire car aprĂšs avoir pillĂ© une colonie une quĂȘte est rĂ©vĂ©lĂ©e. Cette derniĂšre peut ĂȘtre complĂ©tĂ©e par un autre joueur aux tours suivants ce qui rapportera les points de victoire en fin de partie. Pillards de Scythie est un jeu Ă  la frontiĂšre entre la familial + et l’expert mais dont les mĂ©caniques sont vraiment bien pensĂ©es et s’intĂšgrent parfaitement avec le thĂšme. On se prend vraiment pour des envahisseurs qui se prĂ©parent pour attaquer des colonies. J’adore. La lecture des rĂšgles est fluide et relativement simple. Puis on se lance pour une premiĂšre partie et lĂ , tout est limpide, il faut Ă  la fois avancer dans sa propre quĂȘte et en mĂȘme temps bloquer ses adversaires. Comptez 2 heures pour une premiĂšre partie en regardant de temps en temps les rĂšgles et pour bien s'approprier les noms des Ă©lĂ©ments du jeu. Le jeu est vraiment plaisant Ă  jouer et ne fait pas doublon avec le jeu de base Pillards de la Mer du Nord bien qu’il en reprenne les mĂ©caniques efficaces et apprĂ©ciĂ©es. Pillards de Scythie fait naĂźtre quelques interrogations quant Ă  son apport ludique vis Ă  vis de son prĂ©dĂ©cesseur mais si l‘on en possĂšde les extensions. Toutefois, je l’ai trouvĂ© plus captivant, plus agrĂ©able Ă  dĂ©couvrir dans tous ses aspects. L’ajout des HĂ©ros, l’intĂ©gration des Animaux et le systĂšme des blessures reprĂ©sentent une vĂ©ritable plus-value. Alors, en selle, et profitez de cette boĂźte compacte bien remplie pour partir Ă  la chevauchĂ©e des colonies proche et moyen-orientales, affublĂ©s de vos fidĂšles aigles de combat. Aventure et dĂ©paysement garanti. Retrouvez l'article complet : https://undecent.fr/2021/04/16/test-pillards-de-scythie-raids-en-terres-inconnues-pour-un-plaisir-de-jeu-reconnu/
Coup de cƓur : Chronicles of Crime : 1900
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lauvoyage · 8 years ago
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Bapteme de plongee
Lundi 13/03/2017 jai effectue mon bapteme de plongee! J'avais beaucoup d'apprehension parce que la mer, j'en ai peur depuis la Guadeloupe. Mettez moi dans une piscine et je vous fais de magnifiques longueurs. Jetez moi dans la mer et alors cest la panique totale! Ce lieu dangereux dans lequel on ne peut pas vivre, pas respirer et qui regorge de creatures inconnues
 Alors je prends mon courage Ă  deux mains, je suis Ă  l'endroit ideal pour me lancer avec une eau a 29°C et des poissons multicolors. Cest parti pour 45min de bateau et 10min dexplications sur les 10kg de materiels qu'on me mets sur le dos. Je suis la derniere du groupe Ă  sauter, meme mon professeur est deja dans l'eau. Il me voit hĂ©sitante. Pourtant on doit sauter en avant! Lolo reprends toi! A la 1, Ă  la 2
. Non! Je recommence! À la 1, Ă  la 2
 “Allez LOLOOO! Saute!!” me crie le prof. Et PLOOUUF!!! Je flotte! Je rigole! Nous nageons un peu il me fait faire 3 exercices: 1) reussir Ă  respirer par le detenteur si jamais on ne lavait plus dans la bouche sous l'eau ou que l'on devait en utiliser un autre en cas de panne. 2) Retirer l'eau qui pourrait sinfiltrer dans le masque, sous l'eau. 3) Monter et descendre dans l'eau simplement avec la respiration, tete en bas et pieds en l'air afin de ne pas donner de coup de palmes dans les coraux. Les 3 regles Ă suivre: 1) Ne jamais retenir sa respiration 2) Egaliser (en se bouchant le nez et soufflant dans les oreilles) et 3) Ne jamais plonger seul (ça, ça risque pas!). Voila Ă  peine 5min que je m'entraine que je commence Ă  angoisser, me sentir oppressé  Ă  tel point que je ne peux plus me concentrer sur rien d'autre, mon prof me fait des signes sous l'eau mais je ne le vois plus, je ne comprends plus rien. Reprends toiiii!!!! Hop je reprends mes esprits et lui fait signe que tout va bien apres 1 longue minute d'absence. C'est parti! Nous devons descendre trĂšs lentement pour mes oreilles. Tous les 50cm le prof me demande si ca va, il fait tres attention cest top je me sens rassuree, d'autant plus que je le connais cest le copain de la receptioniste et on dejeune souvent ensemble. Wahou! Cest immense! Oppressant mais immense, sensation de balancement avec le courant, de flotter et d'etre comme un cosmonaute dans l'eau translucide. Tout est ralenti, sauf les poissons qui nagent vite. J'ai ressenti quelques genes parfois aux oreilles mais sans plus. J'ai paniquĂ© deux fois encore car je narrivais plus a respirer par le nez et que je realisais que cetait par la bouche qu'il fallait et respirer et expirer! Finalement cest la montĂ©e qui est plus difficile, mes oreilles me font mal alors on remonte encore plus doucement et alors cest bon! 1ere plongee effectuĂ©e. On remonte sur le bateau, on dejeune et puis 1h apres on y retourne pour 50min egalement. La il faut se laisser tomber en arriere et ca devient tout de siite bcp plus stressant pour moi. Ma respiration est haletante mais jarrete de reflechir et jy vais! Je suis descendu a 7m50 ce qui n'est vraiment pas grand chose mais alors ce j'ai vu etait vraiment incroyable! Des poissons en famille (les nĂ©mos), seul ou en banc, des peureux, des joueurs, des curieux ou meme qui attaquent et protegent leur territoire, une grosse murĂšne, des oursins gĂ©ants, les plus grands coquillages du monde vivants (benitiers), des coraux, des anemones de toutes les couleurs qui disparaissent quand on les frole! Cest un spectacle a couper le souffle, a tel point quil me faut me rappeler de respirer. Cetait une tres chouette journee, epuisante tant physiquement quemotionnellement! Ahah! Vraiment chouette! NB: ce soir un autre moniteur de plonge avec lequel nous partageons le diner m explique que cest mon cerveau reptilien qui a reagit quand jai eu du mal a respirer sous leau. En effet, ce nest pas logique pour notre cerveau et donc cela cree du stress et de la panique chez de tres nombreuses personne pour ne pas dire toutes! Cest du travail, ca s'apprends! Ouf, je pensais quil ny avait que moi!
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78682homes · 5 years ago
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Plongée dans les derniÚres usines de Monaco 78682 homes
https://www.78682homes.com/plongee-dans-les-dernieres-usines-de-monaco
Plongée dans les derniÚres usines de Monaco
Non loin des casinos et des boutiques de luxe, Monaco abrite encore, derriĂšre la façade de sages immeubles aux vitres de bureaux, une poignĂ©e d’usines oĂč des ouvriers faisaient les 3×8, rescapĂ©s d’une saga industrielle mĂ©connue dont les jours semblent dĂ©sormais comptĂ©s.EmblĂ©matique de ce secteur nĂ© Ă  partir des annĂ©es 1950, sous l’impulsion du prince Rainier III et grĂące Ă  l’afflux d’entrepreneurs attirĂ©s par la douceur du climat et de la fiscalitĂ©, le plasturgiste Foreplast

homms2013
#Informationsanté
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reseau-actu · 7 years ago
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Quelque 700 .000 Royingyas ont été poussés vers l'exil par les massacres, qui ont suivi les attaques des rebelles.
EnvoyĂ©e spĂ©ciale Ă  Inn Din (État d'Arakan)
Des Ă©paves renversĂ©es, carbonisĂ©es, apparaissent en lisiĂšre du village. Les carcasses des vĂ©los, des mobylettes, des voitures jonchent la terre noire. Les arbres sont dĂ©racinĂ©s, les abris calcinĂ©s. Autant de stigmates d'une vie qui s'est soudain arrĂȘtĂ©e. D'une fuite brutale. Comme dans l'odyssĂ©e apocalyptique de Cormac McCarthy, La Route. Au loin, les vagues de la mer d'Andaman s'Ă©crasent sur le sable brun. Le paysage pourrait ĂȘtre paradisiaque s'il n'y rĂ©gnait pas un climat funĂšbre. Et si le sol ne renfermait pas un charnier de dix hommes sauvagement exĂ©cutĂ©s par des soldats birmans. Inn Din porte le sceau de crimes que le gouvernement peine Ă  cacher.
Un chemin poussiĂ©reux coupe le hameau en deux. D'un cĂŽtĂ©, les bouddhistes, de l'autre les musulmans. D'un cĂŽtĂ©, la vie, les chants, le linge Ă©tendu dans les jardins des maisons. De l'autre, le vide, le silence, les fantĂŽmes. Plus aucun Rohingya ne vit aujourd'hui Ă  Inn Din. SituĂ© Ă  une cinquantaine de kilomĂštres au nord de la capitale de l'Arakan, Sittwe, ce bourg est connu pour ĂȘtre un des hauts lieux des massacres d'aoĂ»t dernier, quand l'armĂ©e a rĂ©pondu violemment aux attaques de l'Arsa (ArmĂ©e du salut des Rohingyas de l'Arakan), poussant prĂšs de 700.000 Rohingyas Ă  l'exil. Deux collaborateurs birmans de Reuters encourent quatorze annĂ©es de prison pour avoir enquĂȘtĂ© sur les assassinats Ă  Inn Din.
«Nous assistons dans l'état d'Arakan à un accaparement massif de terres par l'armée»
Mais pendant la visite organisĂ©e par le gouvernement pour «rĂ©tablir la vĂ©ritĂ© sur ce qui s'est passĂ© dans l'Arakan», les tĂ©moins savamment choisis par le ministĂšre de l'Information ne diront rien de tout cela. «Les terroristes nous ont attaquĂ©s, ils ont brĂ»lĂ© les maisons des musulmans. Un mois avant les attaques, ils avaient tentĂ© de former les musulmans du village au combat et de les monter contre nous. Mes salariĂ©s musulmans m'avaient prĂ©venue», se souvient Shwe Khin, une femme de 45 ans qui s'est enduit le visage de tanaka, une pĂąte jaunĂątre qui protĂšge du soleil. Cette fermiĂšre employait une dizaine de Rohingyas sur ses champs. Pour elle, les «terroristes» portaient des habits noirs, quand pour sa voisine Ayen Way «ils Ă©taient vĂȘtus d'uniformes verts». «Ils avaient des armes, des couteaux, on me l'a dit, je ne les ai pas vus», rapporte cette derniĂšre. Les deux femmes confient leur crainte, tout en avouant ne pas savoir oĂč sont partis les musulmans du village. «Nous pensons que les terroristes sont encore lĂ , qu'ils nous espionnent derriĂšre les collines. Ils peuvent nous attaquer Ă  tout moment. Heureusement, le gouvernement a renforcĂ© la prĂ©sence policiĂšre.»
Sur une parcelle oĂč vivaient des Rohingyas, une base dĂ©diĂ©e Ă  la police aux frontiĂšres est en construction. Des baraquements sont dĂ©jĂ  installĂ©s. CachĂ©s sous des chĂąles pour se prĂ©server de la chaleur et de la poussiĂšre, des ouvriers coulent des blocs de bĂ©ton. Des excavatrices et des bulldozers nivellent le sol. «Cela fait deux mois que nous travaillons ici», lĂąchent les travailleurs. Comme l'a indiquĂ© Amnesty International dans un rapport publiĂ© en mars dernier, «nous assistons dans l'Ă©tat d'Arakan Ă  un accaparement massif de terres par l'armĂ©e». «De nouvelles bases sont construites pour hĂ©berger ces mĂȘmes forces de sĂ©curitĂ© qui ont commis des crimes contre l'humanitĂ© envers les Rohingyas», dĂ©clarait alors Tirana Hassan, la directrice du programme RĂ©action aux crises Ă  Amnesty International.
«Les musulmans ont eux-mĂȘmes brĂ»lĂ© leur maison. Les attaques Ă©taient prĂ©mĂ©ditĂ©es. Ce sont eux qui ont choisi de partir au Bangladesh»
Sur la longue route cahoteuse qui mĂšne dans le nord de l'État, Ă  quelques kilomĂštres de la frontiĂšre avec le Bangladesh, les checkpoints sont nombreux. La vĂ©gĂ©tation noircie, sur le bas-cĂŽtĂ©, rappelle constamment les crimes passĂ©s. Des dizaines de gardes, arme en bandouliĂšre, protĂšgent les bouddhistes d'un ennemi pourtant invisible. Ye Htut, l'administrateur du district de Maungdaw, a prĂ©parĂ© l'arrivĂ©e du convoi de journalistes. Devant l'entrĂ©e de son bureau, des photos de cadavres mises en Ă©vidence par des rubans roses ont Ă©tĂ© accrochĂ©es aux murs. Femmes, hommes, enfants. Tous auraient Ă©tĂ© tuĂ©s par l'Arsa.
» LIRE AUSSI - Les rebelles Rohingyas coupables de plusieurs crimes contre des villageois hindous?
«Les musulmans ont eux-mĂȘmes brĂ»lĂ© leur maison. Les attaques Ă©taient prĂ©mĂ©ditĂ©es. Ce sont eux qui ont choisi de partir au Bangladesh. C'est un coup montĂ©, organisĂ© par les terroristes pour faire croire au monde entier que nous commettons un gĂ©nocide alors que ce sont eux qui nous ont attaquĂ©s», accuse le fonctionnaire. Sa diatribe est appuyĂ©e par une vidĂ©o de mauvaise qualitĂ© montrant des hommes, supposĂ©s membres de l'Arsa, mettre le feu Ă  des habitations. «VoilĂ  nos preuves», lance fiĂšrement Ye Htut. Ces propos seront renforcĂ©s Ă  la fin de la visite par la publication d'un rapport d'Amnesty International sur les meurtres d'Hindous par les rebelles rohingyas. «Vous voyez que nous avons raison. Les terroristes ont mis Ă  sang l'Arakan», martĂšle un journaliste d'État, chargĂ© de retranscrire tout le voyage Ă  son ministĂšre.
«Nous n'avons aucun droit, nous ne pouvons pas nous dĂ©placer, ouvrir de compte bancaire ou mĂȘme pĂȘcher. Nous ne pouvons pas non plus construire de nouvelles maisons»
Les discours sont bien diffĂ©rents de ceux recueillis dans les camps du Bangladesh, oĂč les populations peuvent s'exprimer librement. Tous les exilĂ©s tĂ©moignent des tirs de l'armĂ©e et de la police aux frontiĂšres qui les ont poussĂ©s Ă  partir. Joint par tĂ©lĂ©phone, un habitant rohingya de Maungdaw raconte sa vie d'aujourd'hui. «Depuis le mois de mai, le couvre-feu est passĂ© de 21 heures Ă  4 heures du matin alors qu'il Ă©tait depuis les violences d'aoĂ»t de 18 heures Ă  5 heures. Nous n'avons aucun droit, nous ne pouvons pas nous dĂ©placer, aller d'un district Ă  un autre. Nous ne pouvons pas ouvrir de compte bancaire, nous n'avons pas le droit d'aller pĂȘcher. Nous ne pouvons pas non plus construire de nouvelles maisons. Mais pour l'instant, je ne veux pas aller au Bangladesh, je veux voir ce qui m'attend ici encore», raconte-t-il briĂšvement de peur d'ĂȘtre sur Ă©coute.
Le CICR (ComitĂ© international de la Croix-Rouge) reste une des rares ONG Ă  pouvoir travailler dans le nord de l'Arakan. «Nous avons un accĂšs presque exclusif Ă  la population du nord de l'État. Nous avons Ă©tĂ© en mesure de fournir une assistance et une protection aux personnes touchĂ©es depuis les violences d'aoĂ»t 2017. Toutefois, l'accĂšs peut ĂȘtre inĂ©gal, car les procĂ©dures actuelles sont lentes, lourdes sur le plan procĂ©dural et difficiles Ă  maintenir. Nous sommes en discussion continue avec les autoritĂ©s pour rendre l'accĂšs plus prĂ©visible», assure par tĂ©lĂ©phone Fabrizio Carboni, chef de la dĂ©lĂ©gation en Birmanie. «Le CICR surveille constamment la situation et porte les questions qui touchent les civils Ă  l'attention des autoritĂ©s compĂ©tentes. Il s'agit notamment de la nĂ©cessitĂ© de maintenir l'ordre public, de l'impact des restrictions comme la libertĂ© de circulation sur la vie des gens et des prĂ©occupations relatives Ă  la rĂ©installation», ajoute-t-il. D'aprĂšs les estimations de l'ONU, il resterait entre 530.000 et 600.000 Rohingyas dans tout l'Arakan.
«Vous voyez ce qu'on vit ici, faites quelque chose, on meurt à petit feu»
À Sittwe oĂč, pour la premiĂšre fois depuis de longs mois, l'accĂšs aux camps de dĂ©placĂ©s rohingyas a Ă©tĂ© autorisĂ© pour 45 minutes, la situation dĂ©sespĂšre. PrĂšs de 128.000 personnes vivent parquĂ©es depuis les violences de 2012, selon les derniers chiffres de l'Ocha (Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l'ONU) publiĂ©s en avril. Sans accĂšs Ă  l'Ă©ducation, ni aux services de santĂ©. Sans libertĂ© de mouvement. Sans le droit de travailler. Les officiels permettent Ă  un seul musulman de parler Ă  la presse. Profitant de l'attroupement, certains Rohingyas se cachent pour dĂ©livrer des messages. «Vous voyez ce qu'on vit ici, faites quelque chose, on meurt Ă  petit feu», tente d'alerter discrĂštement l'un d'eux. Un autre, dĂ©jĂ  rencontrĂ© en 2014, se glisse quelques minutes dans la foule. Des cheveux blancs pointent dĂ©sormais sur son crĂąne. Son regard est toujours aussi triste. Il a perdu onze membres de sa famille dans les attaques. À peine le temps de dire bonjour, il est dĂ©jĂ  reparti, par peur des reprĂ©sailles. Pour lui, comme pour les autres, rien n'a changĂ© en six ans
 Ils sont cloĂźtrĂ©s dans ces prisons Ă  ciel ouvert pour ĂȘtre nĂ©s rohingyas.
L'improbable retour des réfugiés
Le gouvernement birman a annoncé avoir conclu un accord avec l'ONU pour le retour possible des Rohingyas. Il a ainsi indiqué que les agences des Nations unies «coopéreraient avec le gouvernement pour le rapatriement des personnes déplacées qui ont été dûment contrÎlées afin qu'elles puissent rentrer volontairement en toute sécurité et dans la dignité.»
Les détails n'ont pas encore été dévoilés. Cet accord constitue une fragile étape dans le processus de rapatriement. Depuis la crise, et sous la pression internationale, la Birmanie construit des camps immenses, ceinturés de barbelés et de miradors, qui doivent servir à accueillir ceux que les agents de l'immigration appellent «les revenants».
Mais pour ĂȘtre hĂ©bergĂ©s dans ces camps, les Rohingyas devront accepter la carte de vĂ©rification nationale sur laquelle ils devront indiquer qu'ils sont des «Bengalis», des migrants venus du Bangladesh. Cette carte les priverait de certains droits comme celui d'Ă©tudier dans des universitĂ©s d'État ou de voyager librement. «Nous ne voulons pas de cette carte, nous voulons la citoyennetĂ© birmane. Je suis birman, comme l'Ă©taient mon pĂšre, mon grand-pĂšre et mon arriĂšre-grand-pĂšre. Ils nous disent qu'avec la carte de vĂ©rification nationale nous pourrons prĂ©tendre Ă  la citoyennetĂ© mais c'est faux, cela n'est jamais arrivĂ© Ă  ceux qui l'ont acceptĂ©e», affirme Dil Mohammed, un Rohingya vivant dans le no man's land entre la Birmanie et le Bangladesh. À ce jour, aucun Rohingya n'est rentrĂ© en Birmanie.
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bienetretoxicbot · 7 years ago
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sixthon-blog · 8 years ago
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Week-end ensoleillé a Nha Trang
Nous etions deja alles a Nha Trang l’annee derniere pour passer notre Open Water (1er diplome de plongee). Nous y sommes retournes ce week-end avec Morgane, une amie de France de passage. Nha Trang ce n’est pas la ville la plus jolie du Vietnam. C’est une ville tres touristique, avec des touristes essentiellement Russes et maintenant pas mal de Chinois. Du coup quand on y va le but c’est de faire les activites sympas qui sont proposees “autour” de Nah Trang. Samedi nous avons fait une grosse matinee plongee, tres sympa. Martin a valide un nouveau diplome, celui de plongees en profondeur (plus de 30m). Puis nous avons passe un peu de temps sur la plage. Et dimanche, apres un copieux petit-dejeuner, nous sommes alles a 15 min de Nha Trang dans un endroit ou il y a des sources d’eaux chaudes, et de bains de boue et un water park... C’etait encore une fois un week-end plutot relax :-) 
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78682homes · 5 years ago
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La préfecture de police une nouvelle fois plongée dans la tourmente 78682 homes
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La préfecture de police une nouvelle fois plongée dans la tourmente
La tuerie survenue jeudi Ă  la prĂ©fecture de police, « frappĂ©e dans son cƓur comme jamais », a plongĂ© cette prestigieuse institution, rĂ©guliĂšrement au centre des tempĂȘtes ces derniers mois, dans la stupeur et la tourmente.L’impensable s’est produit. DerriĂšre les hautes façades de la prĂ©fecture de police, dans les bureaux de son service de renseignement, la DRPP rĂ©putĂ©e ĂȘtre dirigĂ©e d’une main de fer, MickaĂ«l H., un agent administratif employĂ© comme informaticien, a entrepris

homms2013
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reseau-actu · 7 years ago
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Plus de 10.000 morts, 2 millions d'enfants malnutris, un choléra menaçant et une guerre qui n'en finit pas... Coupé en deux par la guerre entre l'Arabie saoudite et l'Iran, le Yémen est livré à la loi des groupes armés.
De notre envoyé spécial à Aden, Lahej et Bab el-Mandab
Du jour au lendemain, Abdel Khalek a troquĂ© ses filets de pĂȘche contre un kalachnikov. Son village d'Abnazer, sur la mer Rouge, Ă©tait menacĂ© par les rebelles houthistes, qui s'en approchaient. «Ils sont rentrĂ©s en progressant maison par maison. Ils avaient des listes d'habitants ayant rejoint la rĂ©sistance, qui leur avait Ă©tĂ© fournies par certains collaborateurs», se rappelle ce jeune pĂȘcheur Ă  la peau cuivrĂ©e, vĂȘtu de la fouta traditionnelle, sorte de kilt version yĂ©mĂ©nite.
Comme tant d'autres, la guerre s'est imposĂ©e Ă  lui. «On Ă©tait incapable de manier un kalachnikov, dit-il. Mais avec mes amis, on a dĂ©cidĂ© de faire le maximum pour chasser les houthistes.» À Abnazer, les miliciens chiites ont transformĂ© certaines maisons en postes d'observation quand d'autres, comme celle d'Abdel Khalek, ont Ă©tĂ© dynamitĂ©es. «DĂšs qu'ils attaquent un village, les houthistes disent Ă  la population: ne vous inquiĂ©tez pas! On est lĂ  pour lutter contre Daech, pas contre le peuple yĂ©mĂ©nite. Le problĂšme, c'est qu'ils nous prennent tous pour des djihadistes.» Abdel Khalek s'est retrouvĂ© «piĂ©gé» : «On pensait que la rĂ©sistance allait rapidement chasser les houthistes», mais les combats ont durĂ©. Ils ont fait plus de quarante martyrs chez les «rĂ©sistants». Finalement, la coalition anti-houthistes a repris Hays. Mais autour, la guerre fait toujours rage.
Comme des milliers d'autres dĂ©placĂ©s, Abdel Khalek a tout laissĂ© derriĂšre lui, avant de partir seul. Puis, son Ă©pouse et leurs deux enfants l'ont rejoint. La famille s'entasse dĂ©sormais dans une masure en brique d'un camp de rĂ©fugiĂ©s Ă  130 km plus au sud, prĂšs du mythique dĂ©troit de Bab al-Mandab, Ă  la pointe sud de la pĂ©ninsule arabique, oĂč se mĂȘlent les eaux de l'ocĂ©an Indien et de la mer Rouge.
«Les houthistes et la coalition sont tous méchants!»
Sans climatisation ni Ă©lectricitĂ©, la chaleur est Ă©crasante. Mais Abdel Khalek est accoutumĂ©. Ce qui manque cruellement, c'est l'eau potable. «On doit aller loin, au pied de la montagne pour en rĂ©cupĂ©rer», se plaint le pĂȘcheur. Ailleurs, sur la ligne de front, les mines laissĂ©es par les houthistes dans leur retraite empĂȘchent les villageois d'aller en quĂȘte du prĂ©cieux liquide. Depuis Moka jusqu'Ă  Bab al-Mandab, la rĂ©gion cĂŽtiĂšre est submergĂ©e de dĂ©placĂ©s. Plus de 100.000 personnes ont Ă©tĂ© jetĂ©es sur les routes, depuis dĂ©cembre. «Bien sĂ»r que je veux rentrer chez moi, mĂȘme si je dois mourir sur une mine, je ne veux pas ĂȘtre un immigré», peste Abdel Khalek, nu-pieds dans le sable.
À deux pas d'une mer turquoise, un autre groupe de dĂ©placĂ©s sort de ses abris de fortune. Eux aussi voudraient rentrer dans leur village de Simar, maintenant qu'il a Ă©tĂ© libĂ©rĂ© par les hommes de Tareq Saleh, le neveu de l'ancien prĂ©sident du YĂ©men, assassinĂ© en fin d'annĂ©e derniĂšre. «Les houthistes et la coalition sont tous mĂ©chants!» s'emporte Ahmed. Pendant de longs mois, les Émiriens leur ont interdit la pĂȘche autour de Moka. Ils redoutaient les attaques houthistes au bateau kamikaze. Maher, 50 ans, enrage, lui aussi, mais pour une autre raison. Depuis deux ans, Dubab, sa ville, un peu plus au nord, a Ă©tĂ© reprise aux houthistes, mais elle reste occupĂ©e par des soldats soudanais de la coalition, qui interdisent le retour des dĂ©placĂ©s. «Il y a un mois, des habitants de Dubab ont essayĂ© de revenir, mais la coalition nous a tirĂ© dessus, regrette Maher. Tout notre matĂ©riel de pĂȘche est lĂ -bas, on voudrait au moins le rĂ©cupĂ©rer pour pĂȘcher ici.» Des femmes et leurs enfants font la queue pour rĂ©cupĂ©rer de la nourriture, au YĂ©men, en mai 2018.
Des femmes yéménites font la queue avec leurs enfants pour récupérer de la nourriture. - Crédits photo : ABDO HYDER/AFP
La ligne de front n'est qu'Ă  quelques dizaines de kilomĂštres. Elle n'a guĂšre bougĂ© en quatre ans de conflit. Le prochain objectif, c'est le port de HodeĂŻda au nord, et une fois de plus, les ONG redoutent un afflux de dĂ©placĂ©s. Les forces de la coalition, qui n'en sont plus qu'Ă  20 km, veulent couper la route de Sanaa aux houthistes qui tiennent la capitale, avant d'encercler HodeĂŻda et son port, par lequel l'Iran livrerait des armes, notamment des missiles, aux houthistes. À 80 km dans les terres, plus Ă  l'est, il y a aussi le front de Taizz, oĂč 39 groupes armĂ©s s'affrontent dans cette guerre oubliĂ©e qui a coupĂ© le YĂ©men en deux. Dans six provinces du Nord, les houthistes. Au sud et Ă  l'ouest, un gouvernement lĂ©gitime d'un pays failli, livrĂ© Ă  une myriade de factions armĂ©es, souvent instrumentalisĂ©es par ses voisins, oĂč l'Arabie saoudite et l'Iran s'affrontent par relais interposĂ©s.
« Le YĂ©men n'existe plus ! » Combien de fois a-t-on entendu cette complainte en une semaine de reportage dans ce pays meurtri ? À cĂŽtĂ©, la Syrie ou l'Irak font presque figure de havre de stabilitĂ©
Depuis 2014, le pays le plus pauvre de la pĂ©ninsule arabique est dĂ©chirĂ© par une guerre entre les forces loyales au prĂ©sident Abd Rabbo Mansour Hadi, soutenues par les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, et les houthistes, des rebelles chiites venus du Nord, appuyĂ©s par l'Iran. Ces derniers, qui se plaignaient d'ĂȘtre marginalisĂ©s, se sont emparĂ©s en septembre 2014 de Sanaa et en ont chassĂ© le gouvernement, avant de progresser jusque dans le Sud. GrĂące Ă  l'intervention en mars 2015 d'une coalition militaire arabe, conduite par l'Arabie saoudite avec les Émirats arabes unis en appui, et Ă©paulĂ©e par les Occidentaux, les troupes gouvernementales ont reconquis une partie du Sud, y compris le siĂšge du gouvernement Ă  Aden.
«Le YĂ©men n'existe plus!» Combien de fois a-t-on entendu cette complainte en une semaine de reportage dans ce pays meurtri? À cĂŽtĂ©, la Syrie ou l'Irak font presque figure de havre de stabilitĂ©. Le YĂ©men et ses 25 millions d'habitants, majoritairement sunnites avec une forte minoritĂ© chiite, est quasiment coupĂ© du monde. L'Arabie a fermĂ© l'aĂ©roport de Sanaa aux vols internationaux. Riyad n'autorise que les avions de certaines ONG Ă  se poser dans la capitale, mais sans journalistes. Celui d'Aden au sud reste ouvert Ă  quelques liaisons improbables vers l'Égypte, la Jordanie et le Soudan. Le bĂątiment sans panache garde encore les stigmates d'affrontements. À la sortie, un premier barrage est tenu par des forces sudistes, qui dĂ©ploient leur drapeau, frappĂ© de l'Ă©toile verte.
«Il n'y a plus d'État, c'est le chaos»
À Aden, le conflit contre les houthistes s'est terminĂ© fin 2015. Mais depuis, c'est le rĂšgne des chefs de guerre, et des liquidations. Le 16 mai, la doyenne de l'UniversitĂ© des sciences a Ă©tĂ© assassinĂ©e avec son fils et sa petite-fille. Avant l'occupation houthiste, Ayman, 27 ans, Ă©tait comptable dans un hĂŽtel. Il a participĂ© Ă  la libĂ©ration d'Aden, mais depuis, il est au chĂŽmage, et rumine sa rancƓur. «Au dĂ©but, dit-il, le rĂŽle de la coalition Ă©tait clair, il s'agissait de chasser les houthistes. Mais depuis leur dĂ©part, l'objectif de la coalition a dĂ©rivĂ© vers une occupation de la rĂ©gion par les Émirats. Ils ont formĂ© des milices armĂ©es, qui opĂšrent en dehors de l'armĂ©e du prĂ©sident Hadi. Dans chaque gouvernorat, Ă  Aden, Lahej, Hadramaout et Shabwa, les Émirats ont Ă©tabli une base militaire qui recrute ce qu'ils appellent les Ă©lites de la rĂ©gion qu'ils paient bien.»
LibĂ©rĂ©s des houthistes, les AdĂ©nis n'en continuent pas moins de tirer le diable par la queue. Dans une rue du quartier de Khor Matsar, trois fois par semaine, des dizaines de personnes attendent pour s'approvisionner en gaz de cuisine. «La vie est trĂšs difficile, s'insurge ZaĂŻd Saleh, 64 ans, en poussant sa bonbonne vide. On ne peut acheter qu'une bouteille par famille. Et le prix a beaucoup augmentĂ©. On n'a de l'Ă©lectricitĂ© que par tranches de deux heures. La plupart des stations d'essence sont fermĂ©es. Il n'y a plus d'État. C'est le chaos.» Ce gĂ©nĂ©ral en retraite de l'ancienne armĂ©e du YĂ©men du Sud est nostalgique de la pĂ©riode (1967-1990) oĂč le Sud s'Ă©tait sĂ©parĂ© du Nord. «Cela fait huit mois que je n'ai pas touchĂ© ma retraite, et 25 ans qu'on rĂ©clame une amĂ©lioration de notre condition», grogne-t-il, les lunettes de soleil sous son chaal, le keffieh yĂ©mĂ©nite.
À Aden, la nostalgie s'est estompĂ©e. Tel un Ă©crin autour de la ville, les crĂȘtes des pitons volcaniques du mont Shamsan se dĂ©coupent sur un ciel invariablement bleu. Mais ses lieux mythiques sont dĂ©labrĂ©s. En face de la mosquĂ©e al-Rihab, la maison, oĂč sĂ©journa Arthur Rimbaud, s'appelle le Rambo Tourist Hotel. Les fenĂȘtres sont murĂ©es, et personne ne se souvient plus de l'Ă©crivain, sauf quelques jeunes, persuadĂ©s qu'il se dĂ©nommait en fait Rambo. L'Ă©poque coloniale britannique, qui prit fin en 1967 avec le dĂ©part de 30.000 soldats, n'est plus qu'un lointain souvenir.
Alors que les chants des muezzins rĂ©sonnent des mosquĂ©es en contrebas, des enfants jouent au ballon au pied de l'Ă©difice en briques grises, dont trois horloges sont arrĂȘtĂ©es depuis bien longtemps
Au coin d'une rue, une pancarte kitsch signale le parc de la reine Victoria. La rĂ©plique en miniature de Big Ben a survĂ©cu tant bien que mal, au sommet du quartier Tawahi. Entre chiens et loups, alors que les chants des muezzins rĂ©sonnent des mosquĂ©es en contrebas, des enfants jouent au ballon au pied de l'Ă©difice en briques grises, dont trois horloges sur quatre sont arrĂȘtĂ©es depuis bien longtemps. Une grappe de jeunes en haillons mĂąche le qat - l'herbe euphorisante dont la culture absorbe la moitiĂ© des rĂ©serves en eau du pays - assis par terre avec une vue imprenable sur le port oĂč quelques navires de commerce mouillent encore. Difficile d'imaginer qu'en 1958, Aden Ă©tait le deuxiĂšme port du monde en volume de trafic, derriĂšre New York. Au pied de Big Ben, une Ă©glise tĂ©moigne encore d'un passĂ© rĂ©volu: il y a bien longtemps qu'il n'y a plus de chrĂ©tiens Ă  Aden, sauf une poignĂ©e d'Indiens.
Les plus jeunes ne regrettent pas l'Aden cosmopolite - sublimĂ©e par Joseph Kessel ou les guĂ©rilleros rĂ©volutionnaires Carlos, Georges Habache et la bande Ă  Baader. Mais certains anciens si. Chaque matin, la canne Ă  la main, Ahmed, un charpentier de 74 ans, s'assoit dans la rue Arwa et ressasse le glorieux passĂ©. «Dans le monde arabe, chaque groupe de musulmans se mange entre eux, dit-il. Mais au YĂ©men, c'est encore pire, chacun dĂ©pĂšce l'autre. À l'Ă©poque des Britanniques, c'Ă©tait parfait. Il y avait des Somaliens, des Juifs, des Perses, des chrĂ©tiens, et personne ne t'empĂȘchait de vivre, comme tu l'entendais. Il y avait des cafĂ©s, des cinĂ©mas! Regardez, en face c'Ă©tait un cinĂ©ma. Maintenant, le bĂątiment est murĂ©.»
L'indépendance du Sud
Sur la corniche, les grands hÎtels, comme le Mercure, sont éventrés. La guerre de libération des houthistes a été sanglante. Mais quand les miliciens chiites ont été chassés d'Aden, ce sont les djihadistes de Daech et d'al-Qaida, qui ont comblé le vide. «Ils tenaient des barrages avec leurs drapeaux noirs dans certains quartiers comme al-Mansoura», se souvient un employé d'une ONG. Des gangs criminels, agissant pour le compte de Daech, pillÚrent le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui fut contraint de quitter Aden.
Le piĂšge se refermait: les djihadistes, qui avaient participĂ© aux cĂŽtĂ©s des sudistes et des forces de Hadi Ă  la guerre contre les houthistes, attaquĂšrent le gouvernement loyaliste et des troupes de la coalition. Les alliĂ©s amĂ©ricains et français de cette derniĂšre s'inquiĂ©tĂšrent de la complaisance saoudienne envers les extrĂ©mistes. En coulisses, les Émirats, alliĂ©s de Riyad mais obsĂ©dĂ©s par la menace islamiste, passĂšrent Ă  l'action et formĂšrent la «ceinture de sĂ©curité». C'est le plus puissant des groupes armĂ©s aujourd'hui Ă  Aden. Milice? Escadrons de la mort? Force rĂ©guliĂšre? Ses hommes circulent sans plaque minĂ©ralogique. «OK, mais en juin 2016, le prĂ©sident Hadi m'a nommĂ© par dĂ©cret Ă  leur tĂȘte», fait valoir leur chef Mounir al-YafeĂŻ, dit Abou Yamamah.
» LIRE AUSSI - Yémen: un Français a été détenu deux mois dans une prison secrÚte
En tenue lĂ©opard, l'Ă©couteur de son portable Ă  l'oreille, il nous reçoit, flanquĂ© d'une escouade de gardes du corps. Sa tĂȘte est mise Ă  prix, il a Ă©chappĂ© Ă  plusieurs attentats. «Notre mission, dit-il, est de rĂ©agir dans l'urgence contre les terroristes». Daech et al-Qaida? «Bien sĂ»r, mais aussi les FrĂšres musulmans, qui ont crĂ©Ă© al-Qaida et Daech.» La preuve? «On a arrĂȘtĂ© le 16 mars le fils de Mohammed al-Makhtiari. Ce dernier Ă©tait le garde du corps d'Abdel Majid al-Zindani, le chef d'al-Islah, le parti liĂ© ici aux FrĂšres musulmans. Un de ses fils est parti au djihad en Syrie, l'autre commandait une cellule de Daech Ă  Aden qui a commis des assassinats, mais le pĂšre lui a rĂ©ussi Ă  fuir Ă  Marib». Le fils a parlĂ© pendant les interrogatoires, probablement musclĂ©s. S'en est suivie l'arrestation d'une centaine de personnes liĂ©es Ă  cette cellule, dont des anciens prisonniers yĂ©mĂ©nites, rentrĂ©s de Guantanamo.
De son portable, Abou Yamamah exhibe des photos montrant des talkies-walkies, des ordinateurs, des caméras, de nombreux téléphones portables, pris aux djihadistes. «Et regardez ça: des caméras de haute qualité que les terroristes collaient à leur front pour filmer leurs crimes. Elles ont été données par la CIA aux unités antiterroristes du gouvernement, avant la révolution de 2011!»
«Les généraux de la garde présidentielle ont été écartés, ne restent que les troufions comme moi qui n'ont qu'une arme légÚre et restent à la maison»
Un combattant pro-saoudiens
Au YĂ©men, la lutte antiterroriste a toujours pris la forme d'un gruyĂšre. Dans ce pays de tribus, les alliances sont Ă©minemment fragiles. Mais ce qui rend furieux Abou Yamamah, c'est que le pĂšre Makhtiari ait rĂ©ussi Ă  trouver refuge dans la province de Marib plus au nord, oĂč al-Qaida dispose encore de sanctuaires, ainsi que dans la rĂ©gion d'al-Bayda oĂč les drones amĂ©ricains Ă©liminent rĂ©guliĂšrement des tĂ©nors djihadistes. «Il est protĂ©gĂ© par Ali Mohsen», jure-t-il. Qui est Ali Mohsen? Le vice-prĂ©sident de Hadi, que tout le monde accuse d'avoir partie liĂ©e avec des islamistes radicaux. «Comment la France peut-elle appuyer un tel gouvernement?» interpelle Abou Yamamah.
À Aden et dans le Sud, le prĂ©sident soutenu par la communautĂ© internationale est nu. Ses portraits jalonnent les artĂšres du bord de mer. Mais ses ministres sont absents. «C'est un gouvernement en dĂ©composition», confirme un humanitaire. Depuis plus d'un an, Hadi lui-mĂȘme n'a pas remis les pieds Ă  Aden. Et lorsqu'il venait, il prenait un hĂ©licoptĂšre de l'aĂ©roport jusqu'au siĂšge de la garde prĂ©sidentielle au camp d'al-Maashiq sur un fortin. Un camp presque vide aujourd'hui. En janvier, les hommes de la «ceinture de sĂ©curité» ont affrontĂ© pendant 40 heures les militaires pro-Hadi, retranchĂ©s dans le camp. Il a fallu une intervention des Émirats pour que leurs relais ne fassent pas une bouchĂ©e des pro-saoudiens. Depuis, se plaint un de ces derniers, «les gĂ©nĂ©raux de la garde prĂ©sidentielle ont Ă©tĂ© Ă©cartĂ©s, ne restent que les troufions comme moi qui n'ont qu'une arme lĂ©gĂšre et restent Ă  la maison».
Gouvernement fantoche
Surfant sur l'impopularitĂ© du gouvernement Hadi, les Sudistes poussent les feux de l'indĂ©pendance. «C'est notre objectif Ă  moyen terme que mĂȘme nos enfants rĂ©pĂštent chaque matin dans les Ă©coles», affirme Ahmed Lamlas, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du Conseil de transition du Sud, sorte de gouvernement en attente.
AprĂšs l'Ă©pisode djihadiste, les Sudistes ont ramenĂ© un certain calme Ă  Aden grĂące Ă  la «ceinture de sĂ©curité». Mais Ă  quel prix? Certains les soupçonnent d'ĂȘtre derriĂšre la rĂ©cente campagne d'assassinats d'une vingtaine d'imams, proches des islamistes d'al-Islah, leur bĂȘte noire. Les Sudistes ne contrĂŽlent qu'une partie d'Aden. Certains quartiers oĂč vivent de nombreux islamistes leur Ă©chappent encore. Entre Sudistes pro-Ă©miriens et islamistes soutenus par l'Arabie, l'indĂ©pendance du Sud ne sera pas une partie de plaisir.
Des échanges de tirs ont eu lieu entre les troupes yéménites, soutenues par les Saoudiens, et les rebelles houthistes, lors d'une offensive sur la ville portuaire d'al-Hodeïda, le 15 mai. - Crédits photo : Asmaa Waguih/REDUX-REA/Asmaa Waguih/REDUX-REA
Émiriens et Saoudiens sont alliĂ©s Ă  l'ouest et au nord contre les houthistes, mais ils n'ont pas le mĂȘme ordre de prioritĂ©. Riyad veut d'abord le dĂ©part des miliciens pro-iraniens de Sanaa, pour sĂ©curiser sa frontiĂšre sud avec le YĂ©men. Les Émirats, de leur cĂŽtĂ©, jouent Ă  fond la carte d'un Sud indĂ©pendant qui leur donnerait un contrĂŽle sur le trafic maritime dans l'ocĂ©an Indien. Entre alliĂ©s, le fossĂ© s'est encore creusĂ© avec la tentative rĂ©cente d'OPA des Émirats sur l'Ăźle yĂ©mĂ©nite de Socotra, oĂč Abu Dhabi a installĂ© une base militaire.
«Les Saoudiens qui dirigent la coalition sont agacĂ©s, relĂšve un autre humanitaire, mais comme c'est du sud que l'offensive anti-houthistes progresse, les Émiriens peuvent leur rĂ©pondre que ce sont eux qui se battent au sol, tandis que les Saoudiens ne font que bombarder depuis le ciel.» Et les Sudistes sont, dĂ©sormais, Ă©coutĂ©s du nouvel envoyĂ© des Nations unies pour le YĂ©men, le Britannique Martin Griffith, qui vient de rencontrer les leaders sudistes Ă  Abu Dhabi, aprĂšs avoir Ă©tĂ© interdit de le faire Ă  Aden, par le gouvernement Hadi.
L'effondrement des structures de santé
AllongĂ© sur son lit Ă  l'hĂŽpital Ibn-Khaldoun de Lahej, Racha crie. Visage dĂ©charnĂ©, joues creuses, le bĂ©bĂ© de deux mois a contractĂ© une diarrhĂ©e aiguĂ« et souffre de malnutrition, un flĂ©au qui touche deux millions d'enfants. Racha fait partie du flot des dĂ©placĂ©s de Moka. Ses parents ont dĂ» parcourir 200 km avant de trouver un centre de santĂ©. «La pauvretĂ©, la mauvaise qualitĂ© de l'eau et l'Ă©ducation familiale sont les causes de ces maladies», rĂ©pond Dounia, l'infirmiĂšre qui veille sur Racha. Ses parents sont rĂ©fugiĂ©s au camp de Fiyouch Ă  une dizaine de kilomĂštres. Une sĂ©ance de vaccination se tient ce matin-lĂ  au centre de l'ONG Save The Children. «Ah, vous ĂȘtres français!» lance Mohammed, un assistant. «On avait des Français au centre salafiste de Fiyouch, se rappelle notre interlocuteur. Mais au dĂ©but de la guerre, le cheikh qui dirige la madrasa leur a demandĂ© de partir. Il avait peur qu'ils rejoignent les djihadistes. Le gouverneur de Lahej et le consul algĂ©rien Ă  Aden sont venus. Le consul leur a fourni des passeports algĂ©riens. La plupart sont rentrĂ©s en France ou en AlgĂ©rie, mais deux ou trois Français sont restĂ©s et ont ouvert des restaurants Ă  Aden.» Quant au cheikh, il a Ă©tĂ© liquidĂ© ensuite par al-Qaida.
«L'Ă©cole qu'on voulait intĂ©grer rĂ©clamait nos certificats de naissance, mais comme on a tout laissĂ© au village, on ne les avait pas. Ils nous ont alors demandĂ© de retourner dans notre village !»
Rima, 15 ans
Sans chef pour tenir les composantes de la mosaĂŻque tribale, le YĂ©men se meurt, mais Ubu y est roi. Dans le bidonville d'al-Eswa, prĂšs d'Aden, Rima, 15 ans et ses trois sƓurs, des dĂ©placĂ©s du front de l'ouest, ont voulu retourner Ă  l'Ă©cole. «L'Ă©cole qu'on voulait intĂ©grer rĂ©clamait nos certificats de naissance, mais comme on a tout laissĂ© au village, on ne les avait pas. Ils nous ont alors demandĂ© de retourner dans notre village! Mais il est occupĂ©, leur a-t-on rĂ©pondu.» C'est pourtant dans ce pays maudit que dĂ©barquent encore chaque jour des dizaines de migrants, venus de la Corne de l'Afrique. CroisĂ©s sur la route de Bab al-Mandab, Ali et cinq copains, ĂągĂ©s de 15 Ă  20 ans, Ă©taient arrivĂ©s la veille de Somalie. Ils marchaient sous le soleil, avec une bouteille d'eau sous le bras. «On cherche Ă  rejoindre Marib. Peut-ĂȘtre qu'il y a du travail lĂ -bas», lĂąche Ali. VĂ©rification faite, il s'agissait d'ÉrythrĂ©ens chrĂ©tiens qui, de peur de reprĂ©sailles, se faisaient passer pour des Somaliens musulmans.
Un million de cas de cholĂ©ra ont Ă©tĂ© recensĂ©s dans le pays l'an dernier, 10.000 Ă  12.000 morts liĂ©s directement au conflit. Mais au-delĂ , s'alarme Alexandre Faite, qui a fait le tour des capitales occidentales aprĂšs avoir passĂ© trois ans Ă  la tĂȘte du CICR Ă  Sanaa, «le plus inquiĂ©tant, c'est l'effondrement des structures sanitaires et en eau du pays, mais aussi de ses ministĂšres, oĂč les fonctionnaires ne sont plus payĂ©s depuis trois ans». Le tableau est encore plus dramatique chez les houthistes au Nord, inaccessible Ă  la presse, soumis Ă  un blocus Ă©touffant de la part de l'Arabie et des Émirats. «J'ai fait au YĂ©men ce que je n'ai jamais fait en 22 ans de Croix-Rouge, lĂąche Alexandre Faite: fournir des kits de dialyse pour malades.» Emmanuel Macron organise le 25 juin une confĂ©rence internationale pour sauver le YĂ©men. Il y a urgence.
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