#la derniere plongee
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La Dernière Plongée à télécharger sur l’appli Android PlayVOD
L’appli Android PlayVOD vous invite à regarder le thriller La Dernière Plongée. Le film est actuellement disponible en téléchargement. Munissez-vous de votre tablette ou smartphone et profitez de votre soirée cinéma !
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julie-h · 6 months ago
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Connaître son avenir, jeter un sort à un rival, se protéger des actes malveillants et maléfiques : la magie noire à Vire http://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/calvados/c-etait-l-equivalent-d-une-poupee-vaudou-plongee-dans-les-rites-de-sorcellerie-et-de-magie-noire-des-siecles-derniers-2950325.html
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kinglandfr · 10 months ago
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Réinventer la Créativité Visuelle : Plongée dans les Tendances Innovantes de l'Art Numérique
Découvrez comment l'#ArtNumérique redéfinit la #CréativitéVisuelle à travers des #TendancesInnovantes ! 🚀 Notre dernier article plonge dans l'univers fascinant de l'#IntelligenceArtificielle, du #DesignFuturiste, et de l'#ArtGénératif. Si vous êtes passionné par la #TechnologieCréative et désirez explorer les frontières de l'#InnovationArtistique, c'est une lecture incontournable. 🎨✨ Laissez-vous inspirer par les nouvelles avenues de l'#ExpressionCréative et découvrez comment elles façonnent l'avenir de l'art et du design. Ne manquez pas cette exploration captivante du potentiel illimité de l'#IA dans l'art ! 👉 Partagez vos impressions et joignez-vous à la conversation sur les dernières #TendancesVisuelles. Votre voix compte dans cette communauté dynamique d'innovateurs et de créateurs ! #ArtEtTechnologie #InnovationNumérique 🔗 https://kingland.fr/reinventer-la-creativite-visuelle-plongee-dans-les-tendances-innovantes-de-lart-numerique/ Partagez ce voyage dans le futur de l'art avec votre réseau et inspirez une nouvelle vague de créativité ! 🌟
À l’aube d’une nouvelle ère digitale, l’art et la création visuelle traversent une révolution sans précédent, propulsée par l’intelligence artificielle et les technologies émergentes.   Réinventer la Créativité Visuelle : Plongée dans les Tendances Innovantes de l’Art Numérique   Cet article explore les tendances visuelles avant-gardistes qui redéfinissent notre façon de concevoir, de créer et…
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mirrorontheworld · 5 years ago
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Ces derniers mois, les critiques d’auditeurs se sont multipliées à l’égard du « Masque et la Plume », émission phare du service public consacrée au cinéma, au théâtre et à la littérature. Mediapart a écouté 96 émissions et recensé un flot de propos sexistes et, dans une moindre mesure, des stéréotypes racistes ou homophobes.
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rollingstonemag · 6 years ago
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/narcos-mexico-plongee-dans-une-spirale-de-violence-dans-le-nouveau-trailer/
"Narcos : Mexico" : plongée dans une spirale de violence dans le nouveau trailer
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Pour sa saison 4, la série Narcos se renouvelle (encore) et se concentre sur les quartiers les plus poisseux du Mexique
Après l’épopée Pablo Escobar (les deux premières saisons, inoubliables) et l’immersion ultra-violente au coeur du Cartel de Medellín (la saison 3, explosive), la série phare de Netflix Narcos, créée en 2015 par Chris Brancato, Carlo Bernard et Doug Miro reprend du service.
Cette fois-ci, bienvenue au Mexique, à Guadalajara, où vous pourrez suivre l’ascension de Miguel Ángel Félix Gallardo (campé par Diego Luna), aka Le Parrain, dangereux baron de la drogue. Au casting, on retrouvera également Michael Peña et Joaquin Cosio. Le personnage récurrent du show, l’agent de la DEA Javier Peña, incarné par Pedro Pascal, n’est malheureusement pas annoncé (de manière officielle) à l’affiche.
Sang, confrontations, règlements de comptes, tout y est, dans le dernier trailer XXL de cette nouvelle saison. Narcos : Mexico est attendue sur la plateforme de streaming dès le 16 novembre prochain.
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und100 · 4 years ago
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[Recap] Les coups de cœur de la rédaction d'Avril 2021
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Chaque mois, retrouvez les jeux qui ont gagné le cœur des chroniqueurs d'Undécent. Pour le mois d'Avril, nous avons cinq jeux : Dive, Suspects, Les Pillards de Scythie, Chronicles of Crime 1900 et Save the Patient Zero.
Coup de cœur : Dive
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1-4 joueurs
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Anthony Perone, Romain Caterdjian
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8 ans
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Alexandre Bonvalot
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30 minutes
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Sit Down
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programmation, observation, course
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Plongée, animaux
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27,90 chez
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, 29€90 chez
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et dans
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Dive J'adore découvrir des jeux avec une mécanique originale. Avec le nombre de sorties par an en ce moment, on peut penser que tout a été essayé, tout a été fait. Force est de constater que non, et, de temps en temps, un OLNI (Objet Ludique Non Identifié) apparaît sur nos étals. C'est le cas ici, je n'ai pas le souvenir d'avoir vu un tel jeu avant, un jeu à la fois beau, original et accessible. Alors vous le verrez, le revers de la médaille c'est qu'il n'est pas parfait, on essuie un peu les plâtres (et les feuilles plastiques), mais le plaisir de trouver une nouvelle façon de jouer balaye tout sur son passage. Quand j'ai reçu le prototype de Dive, il y a un petit temps déjà, la beauté et la zenitude du titre m'a tout d'abord frappé. Malgré le fait qu'il s'agissait d'un prototype et donc du matériel non définitif, on a bien pu sentir l direction vers laquelle Sit Down voulais aller, et je dois dire qu'ils y sont bien allés. Dans Dive, les joueurs incarnent des plongeurs qui subissent un rite initiatique polynésien qui se déroule chaque solstice d'été. Il s'agit de plonger le plus profondément possible en évitant les requins et en s'aidant des tortues de mer et des raies manta. Les joueurs vont devoir bien regarder la mer pour deviner à quelle profondeur sont les divers animaux et programmer leur descente en fonction. Celui qui arrivera en premier à la pierre sacrée et qui parviendra à la ramener au chef du village remporte la partie.
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Quelle claque qu'est Dive ! Une claque ludique comme rarement on en a. Il est beau, il est original, il y a de la stratégie, les règles sont simples et accessibles. Bref tout y est pour que Dive devienne un des jeux qui va sortir le plus souvent à la maison. Il conviendra à toutes sortes de public. Ce jeu c'est du kif à l'état pur, foncez dessus, il doit intégrer votre ludothèque à tout prix ! Retrouvez l'article complet : https://undecent.fr/2021/04/17/test-dive-plongee-vers-linconnu/
Coup de cœur : Suspects
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1 - 6 inspectrices
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Guillaume MONTIAGE, Sébastien DUVERGER NEDELLEC, Paul HALTER
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10 ans et plus
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Émile DENIS
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90 minutes
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Studio H
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Déduction, Énigme, Coopératif, Narrative
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Enquêtes, Policier.
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En précommande à 26€50 chez
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et dans
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Dans Suspects vous incarnez Claire Harper. Elle est née en 1910. Grande lectrice d'Agatha Christie devant l'éternel, voyageuse invétérée. L'université d'Oxford l'a happée dès la mise en place des premiers quotas d'étudiantes en 1927. Marchant dans les pas de son père, elle en est ressortie avec la clé de son rêve : un diplôme en droit criminel. Désormais, Claire Harper enquête, observe, déniche, et déjoue. Aucune énigme n'est assez retorse pour son astuce, aucune affaire assez complexe pour lui résister. Claire Harper n'est pas qu'une détective. Elle est la meilleure. Suspects est une série de jeu d’enquêtes avec des règles minimales, et centrées sur les personnages à la manière des romans d’Agatha Christie. Chaque boîte est axée sur un enquêteur et une époque, et propose 3 scénarios avec des personnages bien travaillés et des intrigues solides. C'est avec joie que j'ai pu récupérer en avant-première une boîte de Suspects. Je suis un grand fan de jeux d’énigme et d'escape en tous genres. Cependant, beaucoup essayent de surfer sur cette niche mais Suspects ne fait pas partie des jeux qui essaient en vain d'égaler "Unlock".
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Ouah, nous tenons avec Suspects le jeu coupable de frissons et de sensation forte. Je dirais même plus, d'une expérience unique. Les preuves sont là et vous ne pouvez pas nier les faits. Suspects n'est pas un escape game où vous devez résoudre des énigmes à ne plus savoir où donner de la tête. Suspects est une performance narrative de recherche d'information pour comprendre les rouages d'un crime. Vous devez faire preuve de déduction et de discernement. Dans Suspects, il s'agit de confondre un meurtrier. Vous fonder sur vos convictions ou votre simple intuition sera probablement insuffisant pour résoudre l'affaire. Il faudra trouver les indices accablants laissés sur le lieu du crime. On ne vous demande pas non plus de déchiffrer un code ni même de résoudre une suite qui n'est pas logique. Car oui chaque criminel commet des erreurs et par chance vous êtes là. En revanche, si vous n'aimez pas le côté narratif des jeux, alors Suspects n'est peut-être pas fait pour vous... Vous passerez alors à côté d'une belle expérience ludique. Retrouvez l'article complet : https://undecent.fr/2021/04/02/test-suspects-le-sherlock-holmes-au-feminin/
Coup de cœur : Les Pillards De Scythie
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1-4 joueurs
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Shem Phillips
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12 ans
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Sam Phillips
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60 à 120 minutes
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Pixie Games
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Gestion de ressources, collection, dés, gestion de main, placement d'ouvrier
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Antiquité, pillage,
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40€50 chez
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et dans
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Pillards de Scythie L’année dernière, en 2020, j’ai commencé à entrevoir quelques visuels de Pillards de Scythie. Et une fois n’est pas coutume, Shem Philips, l’auteur des excellentes trilogies du Royaume de l’Ouest (voir la chronique de Vicomtes du royaume de l'Ouest), ou de la Mer du Nord (et leurs multiples extensions) nous préparait un opus présenté dans la même veine mais sans son illustrateur attitré, à savoir The Mico ; car cette fois-ci c’est à Sam - l’illustrateur de Circadians (qui sort en français dans quelques mois chez Pixie Games) -, le frère de Shem, de s’y coller. Intrigant. Ensuite lorsque Pixie Games m’annonce sa sortie et me propose de le tester, j’ai été encore plus curieux surtout comme on me l’a présenté : un jeu mettant en scène sur un vaste plateau des cavaliers nomades venant des steppes d’Asie centrale pour piller les contrées civilisées d’Europe de l’Est, de Mésopotamie et du bassin méditerranéen ; du matériel de grande qualité ; une mécanique s’inspirant de Pillards de la Mer du Nord mais revisitée et abondée. J’ai dit banco. Plusieurs parties plus tard : Verdict. Encore un excellent Shem Philips. Mais attention : ceux qui ont déjà Pillards de la Mer du Nord et ses extensions, ce jeu fera surement doublon si vous ne désirez pas vous plonger dans univers totalement différent, celui des Saces (autre nom donné aux Scythes par leurs voisins perses). Pour les autres, foncez les yeux fermés, car côté jeu intermédiaire, c’est du bon, du très très bon ! Il y a plusieurs siècles, les empires grec, perse et assyrien contrôlaient de vastes territoires remplis de richesses. Malgré leurs fortifications et leurs armées imposantes, des rumeurs se sont répandues d'un ennemi redoutable au Nord de la mer Noire. Ils sont venus à cheval. Guerriers féroces, hommes et femmes. Habiles avec l'épée, la hache et l'arc. Mais ce n'étaient pas des sauvages insensés. Leurs artisans étaient réputés pour leur capacité à fabriquer des bibelots détaillés en or. Ils savaient façonner une armure en cuir et improvisé l'arc classique. Ils ont dressé des aigles pour la chasse et pour la guerre. Certains croient même qu'ils ont inspiré les contes grecs des Amazones. Mais ils étaient bien plus qu'une légende : ils étaient les Pillards de la Scythie ! Pillards de Scythie est un jeu pour 1 à 4 pillards à partir de 12 ans pour des parties de 60 minutes minimum (comptez le double pour la première partie explications comprises). Il est localisé et distribué pour notre plus grand bonheur par Pixie Games depuis mars 2021. Qu'est-ce qui vous attend : Vous êtes donc des pillards de Scythie, peuple indo-européen d’Eurasie pour la plupart cavaliers nomades. Héros de guerre, il vous faudra aller de plus en plus loin pour attaquer les Empires cimmérien, assyrien, perse et enfin grec. Mais avant de partir piller, vous vous préparerez dans votre village en recrutant votre cohorte, en accumulant des provisions ou des koumis pour augmenter votre Force. Puis, une fois prêts, vous pillerez avec plus ou moins de fortune puis vous reviendrez au village vous préparer à nouveau. Et ainsi de suite. Vous réaliserez des quêtes, le tout pour marquer des points de victoire. Lorsqu’il ne restera plus que deux colonies à piller ou deux quêtes visibles, s’en sera terminé. Vous déterminerez alors qui sera le meilleur pillard de Scythie.
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Au final, j’ai adoré Pillards de Scythie ; un coup de cœur pour moi. Shem Philips nous livre avec Pixie Games pour l'édition française un excellent jeu stratégique de placement-retrait d’ouvriers et de gestion de ressources. Allez, je vois bien, vous avez l'âme, la carrure, la prestance d'un chef. Préparez au mieux dans votre village scythe les pillages des colonies moyen-orientales au-delà de la Mer Noire, en recrutant dans votre cohorte des pillards (et même beaucoup de pillardes), en accompagnant ces derniers d’aigles de combat ou de chevaux, en gagnant les provisions et les chariots nécessaires au départ de vos raids (et plus ils seront lointains, jusqu'aux colonies Grecques par exemple, plus il en faudra !) et en s’octroyant des Koumis qui vous apporteront plus de force ! Une fois prêts, lancez les dés, passez à l’attaque de l’une des colonies encore disponibles avec le meeple requis. Gagnez encore plus de provisions, des chariots et même de l’or ! Mais attention, le pillage ne se fera pas sans mal, vous vous en sortirez rarement sans blessures qu’il faudra parfois soigner dans un baraquement de votre village. Le sacrifice de certains pillards de votre cohorte sera même parfois nécessaire. Surveillez vos adversaires histoire de les freiner autant que faire se peut. Un brin d’opportunisme sera nécessaire car après avoir pillé une colonie une quête est révélée. Cette dernière peut être complétée par un autre joueur aux tours suivants ce qui rapportera les points de victoire en fin de partie. Pillards de Scythie est un jeu à la frontière entre la familial + et l’expert mais dont les mécaniques sont vraiment bien pensées et s’intègrent parfaitement avec le thème. On se prend vraiment pour des envahisseurs qui se préparent pour attaquer des colonies. J’adore. La lecture des règles est fluide et relativement simple. Puis on se lance pour une première partie et là, tout est limpide, il faut à la fois avancer dans sa propre quête et en même temps bloquer ses adversaires. Comptez 2 heures pour une première partie en regardant de temps en temps les règles et pour bien s'approprier les noms des éléments du jeu. Le jeu est vraiment plaisant à jouer et ne fait pas doublon avec le jeu de base Pillards de la Mer du Nord bien qu’il en reprenne les mécaniques efficaces et appréciées. Pillards de Scythie fait naître quelques interrogations quant à son apport ludique vis à vis de son prédécesseur mais si l‘on en possède les extensions. Toutefois, je l’ai trouvé plus captivant, plus agréable à découvrir dans tous ses aspects. L’ajout des Héros, l’intégration des Animaux et le système des blessures représentent une véritable plus-value. Alors, en selle, et profitez de cette boîte compacte bien remplie pour partir à la chevauchée des colonies proche et moyen-orientales, affublés de vos fidèles aigles de combat. Aventure et dépaysement garanti. Retrouvez l'article complet : https://undecent.fr/2021/04/16/test-pillards-de-scythie-raids-en-terres-inconnues-pour-un-plaisir-de-jeu-reconnu/
Coup de cœur : Chronicles of Crime : 1900
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lauvoyage · 8 years ago
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Bapteme de plongee
Lundi 13/03/2017 jai effectue mon bapteme de plongee! J'avais beaucoup d'apprehension parce que la mer, j'en ai peur depuis la Guadeloupe. Mettez moi dans une piscine et je vous fais de magnifiques longueurs. Jetez moi dans la mer et alors cest la panique totale! Ce lieu dangereux dans lequel on ne peut pas vivre, pas respirer et qui regorge de creatures inconnues… Alors je prends mon courage à deux mains, je suis à l'endroit ideal pour me lancer avec une eau a 29°C et des poissons multicolors. Cest parti pour 45min de bateau et 10min dexplications sur les 10kg de materiels qu'on me mets sur le dos. Je suis la derniere du groupe à sauter, meme mon professeur est deja dans l'eau. Il me voit hésitante. Pourtant on doit sauter en avant! Lolo reprends toi! A la 1, à la 2…. Non! Je recommence! À la 1, à la 2… “Allez LOLOOO! Saute!!” me crie le prof. Et PLOOUUF!!! Je flotte! Je rigole! Nous nageons un peu il me fait faire 3 exercices: 1) reussir à respirer par le detenteur si jamais on ne lavait plus dans la bouche sous l'eau ou que l'on devait en utiliser un autre en cas de panne. 2) Retirer l'eau qui pourrait sinfiltrer dans le masque, sous l'eau. 3) Monter et descendre dans l'eau simplement avec la respiration, tete en bas et pieds en l'air afin de ne pas donner de coup de palmes dans les coraux. Les 3 regles àsuivre: 1) Ne jamais retenir sa respiration 2) Egaliser (en se bouchant le nez et soufflant dans les oreilles) et 3) Ne jamais plonger seul (ça, ça risque pas!). Voila à peine 5min que je m'entraine que je commence à angoisser, me sentir oppressé… à tel point que je ne peux plus me concentrer sur rien d'autre, mon prof me fait des signes sous l'eau mais je ne le vois plus, je ne comprends plus rien. Reprends toiiii!!!! Hop je reprends mes esprits et lui fait signe que tout va bien apres 1 longue minute d'absence. C'est parti! Nous devons descendre très lentement pour mes oreilles. Tous les 50cm le prof me demande si ca va, il fait tres attention cest top je me sens rassuree, d'autant plus que je le connais cest le copain de la receptioniste et on dejeune souvent ensemble. Wahou! Cest immense! Oppressant mais immense, sensation de balancement avec le courant, de flotter et d'etre comme un cosmonaute dans l'eau translucide. Tout est ralenti, sauf les poissons qui nagent vite. J'ai ressenti quelques genes parfois aux oreilles mais sans plus. J'ai paniqué deux fois encore car je narrivais plus a respirer par le nez et que je realisais que cetait par la bouche qu'il fallait et respirer et expirer! Finalement cest la montée qui est plus difficile, mes oreilles me font mal alors on remonte encore plus doucement et alors cest bon! 1ere plongee effectuée. On remonte sur le bateau, on dejeune et puis 1h apres on y retourne pour 50min egalement. La il faut se laisser tomber en arriere et ca devient tout de siite bcp plus stressant pour moi. Ma respiration est haletante mais jarrete de reflechir et jy vais! Je suis descendu a 7m50 ce qui n'est vraiment pas grand chose mais alors ce j'ai vu etait vraiment incroyable! Des poissons en famille (les némos), seul ou en banc, des peureux, des joueurs, des curieux ou meme qui attaquent et protegent leur territoire, une grosse murène, des oursins géants, les plus grands coquillages du monde vivants (benitiers), des coraux, des anemones de toutes les couleurs qui disparaissent quand on les frole! Cest un spectacle a couper le souffle, a tel point quil me faut me rappeler de respirer. Cetait une tres chouette journee, epuisante tant physiquement quemotionnellement! Ahah! Vraiment chouette! NB: ce soir un autre moniteur de plonge avec lequel nous partageons le diner m explique que cest mon cerveau reptilien qui a reagit quand jai eu du mal a respirer sous leau. En effet, ce nest pas logique pour notre cerveau et donc cela cree du stress et de la panique chez de tres nombreuses personne pour ne pas dire toutes! Cest du travail, ca s'apprends! Ouf, je pensais quil ny avait que moi!
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78682homes · 5 years ago
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Plongée dans les dernières usines de Monaco 78682 homes
https://www.78682homes.com/plongee-dans-les-dernieres-usines-de-monaco
Plongée dans les dernières usines de Monaco
Non loin des casinos et des boutiques de luxe, Monaco abrite encore, derrière la façade de sages immeubles aux vitres de bureaux, une poignée d’usines où des ouvriers faisaient les 3×8, rescapés d’une saga industrielle méconnue dont les jours semblent désormais comptés.Emblématique de ce secteur né à partir des années 1950, sous l’impulsion du prince Rainier III et grâce à l’afflux d’entrepreneurs attirés par la douceur du climat et de la fiscalité, le plasturgiste Foreplast…
homms2013
#Informationsanté
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reseau-actu · 7 years ago
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Quelque 700 .000 Royingyas ont été poussés vers l'exil par les massacres, qui ont suivi les attaques des rebelles.
Envoyée spéciale à Inn Din (État d'Arakan)
Des épaves renversées, carbonisées, apparaissent en lisière du village. Les carcasses des vélos, des mobylettes, des voitures jonchent la terre noire. Les arbres sont déracinés, les abris calcinés. Autant de stigmates d'une vie qui s'est soudain arrêtée. D'une fuite brutale. Comme dans l'odyssée apocalyptique de Cormac McCarthy, La Route. Au loin, les vagues de la mer d'Andaman s'écrasent sur le sable brun. Le paysage pourrait être paradisiaque s'il n'y régnait pas un climat funèbre. Et si le sol ne renfermait pas un charnier de dix hommes sauvagement exécutés par des soldats birmans. Inn Din porte le sceau de crimes que le gouvernement peine à cacher.
Un chemin poussiéreux coupe le hameau en deux. D'un côté, les bouddhistes, de l'autre les musulmans. D'un côté, la vie, les chants, le linge étendu dans les jardins des maisons. De l'autre, le vide, le silence, les fantômes. Plus aucun Rohingya ne vit aujourd'hui à Inn Din. Situé à une cinquantaine de kilomètres au nord de la capitale de l'Arakan, Sittwe, ce bourg est connu pour être un des hauts lieux des massacres d'août dernier, quand l'armée a répondu violemment aux attaques de l'Arsa (Armée du salut des Rohingyas de l'Arakan), poussant près de 700.000 Rohingyas à l'exil. Deux collaborateurs birmans de Reuters encourent quatorze années de prison pour avoir enquêté sur les assassinats à Inn Din.
«Nous assistons dans l'état d'Arakan à un accaparement massif de terres par l'armée»
Mais pendant la visite organisée par le gouvernement pour «rétablir la vérité sur ce qui s'est passé dans l'Arakan», les témoins savamment choisis par le ministère de l'Information ne diront rien de tout cela. «Les terroristes nous ont attaqués, ils ont brûlé les maisons des musulmans. Un mois avant les attaques, ils avaient tenté de former les musulmans du village au combat et de les monter contre nous. Mes salariés musulmans m'avaient prévenue», se souvient Shwe Khin, une femme de 45 ans qui s'est enduit le visage de tanaka, une pâte jaunâtre qui protège du soleil. Cette fermière employait une dizaine de Rohingyas sur ses champs. Pour elle, les «terroristes» portaient des habits noirs, quand pour sa voisine Ayen Way «ils étaient vêtus d'uniformes verts». «Ils avaient des armes, des couteaux, on me l'a dit, je ne les ai pas vus», rapporte cette dernière. Les deux femmes confient leur crainte, tout en avouant ne pas savoir où sont partis les musulmans du village. «Nous pensons que les terroristes sont encore là, qu'ils nous espionnent derrière les collines. Ils peuvent nous attaquer à tout moment. Heureusement, le gouvernement a renforcé la présence policière.»
Sur une parcelle où vivaient des Rohingyas, une base dédiée à la police aux frontières est en construction. Des baraquements sont déjà installés. Cachés sous des châles pour se préserver de la chaleur et de la poussière, des ouvriers coulent des blocs de béton. Des excavatrices et des bulldozers nivellent le sol. «Cela fait deux mois que nous travaillons ici», lâchent les travailleurs. Comme l'a indiqué Amnesty International dans un rapport publié en mars dernier, «nous assistons dans l'état d'Arakan à un accaparement massif de terres par l'armée». «De nouvelles bases sont construites pour héberger ces mêmes forces de sécurité qui ont commis des crimes contre l'humanité envers les Rohingyas», déclarait alors Tirana Hassan, la directrice du programme Réaction aux crises à Amnesty International.
«Les musulmans ont eux-mêmes brûlé leur maison. Les attaques étaient préméditées. Ce sont eux qui ont choisi de partir au Bangladesh»
Sur la longue route cahoteuse qui mène dans le nord de l'État, à quelques kilomètres de la frontière avec le Bangladesh, les checkpoints sont nombreux. La végétation noircie, sur le bas-côté, rappelle constamment les crimes passés. Des dizaines de gardes, arme en bandoulière, protègent les bouddhistes d'un ennemi pourtant invisible. Ye Htut, l'administrateur du district de Maungdaw, a préparé l'arrivée du convoi de journalistes. Devant l'entrée de son bureau, des photos de cadavres mises en évidence par des rubans roses ont été accrochées aux murs. Femmes, hommes, enfants. Tous auraient été tués par l'Arsa.
» LIRE AUSSI - Les rebelles Rohingyas coupables de plusieurs crimes contre des villageois hindous?
«Les musulmans ont eux-mêmes brûlé leur maison. Les attaques étaient préméditées. Ce sont eux qui ont choisi de partir au Bangladesh. C'est un coup monté, organisé par les terroristes pour faire croire au monde entier que nous commettons un génocide alors que ce sont eux qui nous ont attaqués», accuse le fonctionnaire. Sa diatribe est appuyée par une vidéo de mauvaise qualité montrant des hommes, supposés membres de l'Arsa, mettre le feu à des habitations. «Voilà nos preuves», lance fièrement Ye Htut. Ces propos seront renforcés à la fin de la visite par la publication d'un rapport d'Amnesty International sur les meurtres d'Hindous par les rebelles rohingyas. «Vous voyez que nous avons raison. Les terroristes ont mis à sang l'Arakan», martèle un journaliste d'État, chargé de retranscrire tout le voyage à son ministère.
«Nous n'avons aucun droit, nous ne pouvons pas nous déplacer, ouvrir de compte bancaire ou même pêcher. Nous ne pouvons pas non plus construire de nouvelles maisons»
Les discours sont bien différents de ceux recueillis dans les camps du Bangladesh, où les populations peuvent s'exprimer librement. Tous les exilés témoignent des tirs de l'armée et de la police aux frontières qui les ont poussés à partir. Joint par téléphone, un habitant rohingya de Maungdaw raconte sa vie d'aujourd'hui. «Depuis le mois de mai, le couvre-feu est passé de 21 heures à 4 heures du matin alors qu'il était depuis les violences d'août de 18 heures à 5 heures. Nous n'avons aucun droit, nous ne pouvons pas nous déplacer, aller d'un district à un autre. Nous ne pouvons pas ouvrir de compte bancaire, nous n'avons pas le droit d'aller pêcher. Nous ne pouvons pas non plus construire de nouvelles maisons. Mais pour l'instant, je ne veux pas aller au Bangladesh, je veux voir ce qui m'attend ici encore», raconte-t-il brièvement de peur d'être sur écoute.
Le CICR (Comité international de la Croix-Rouge) reste une des rares ONG à pouvoir travailler dans le nord de l'Arakan. «Nous avons un accès presque exclusif à la population du nord de l'État. Nous avons été en mesure de fournir une assistance et une protection aux personnes touchées depuis les violences d'août 2017. Toutefois, l'accès peut être inégal, car les procédures actuelles sont lentes, lourdes sur le plan procédural et difficiles à maintenir. Nous sommes en discussion continue avec les autorités pour rendre l'accès plus prévisible», assure par téléphone Fabrizio Carboni, chef de la délégation en Birmanie. «Le CICR surveille constamment la situation et porte les questions qui touchent les civils à l'attention des autorités compétentes. Il s'agit notamment de la nécessité de maintenir l'ordre public, de l'impact des restrictions comme la liberté de circulation sur la vie des gens et des préoccupations relatives à la réinstallation», ajoute-t-il. D'après les estimations de l'ONU, il resterait entre 530.000 et 600.000 Rohingyas dans tout l'Arakan.
«Vous voyez ce qu'on vit ici, faites quelque chose, on meurt à petit feu»
À Sittwe où, pour la première fois depuis de longs mois, l'accès aux camps de déplacés rohingyas a été autorisé pour 45 minutes, la situation désespère. Près de 128.000 personnes vivent parquées depuis les violences de 2012, selon les derniers chiffres de l'Ocha (Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l'ONU) publiés en avril. Sans accès à l'éducation, ni aux services de santé. Sans liberté de mouvement. Sans le droit de travailler. Les officiels permettent à un seul musulman de parler à la presse. Profitant de l'attroupement, certains Rohingyas se cachent pour délivrer des messages. «Vous voyez ce qu'on vit ici, faites quelque chose, on meurt à petit feu», tente d'alerter discrètement l'un d'eux. Un autre, déjà rencontré en 2014, se glisse quelques minutes dans la foule. Des cheveux blancs pointent désormais sur son crâne. Son regard est toujours aussi triste. Il a perdu onze membres de sa famille dans les attaques. À peine le temps de dire bonjour, il est déjà reparti, par peur des représailles. Pour lui, comme pour les autres, rien n'a changé en six ans… Ils sont cloîtrés dans ces prisons à ciel ouvert pour être nés rohingyas.
L'improbable retour des réfugiés
Le gouvernement birman a annoncé avoir conclu un accord avec l'ONU pour le retour possible des Rohingyas. Il a ainsi indiqué que les agences des Nations unies «coopéreraient avec le gouvernement pour le rapatriement des personnes déplacées qui ont été dûment contrôlées afin qu'elles puissent rentrer volontairement en toute sécurité et dans la dignité.»
Les détails n'ont pas encore été dévoilés. Cet accord constitue une fragile étape dans le processus de rapatriement. Depuis la crise, et sous la pression internationale, la Birmanie construit des camps immenses, ceinturés de barbelés et de miradors, qui doivent servir à accueillir ceux que les agents de l'immigration appellent «les revenants».
Mais pour être hébergés dans ces camps, les Rohingyas devront accepter la carte de vérification nationale sur laquelle ils devront indiquer qu'ils sont des «Bengalis», des migrants venus du Bangladesh. Cette carte les priverait de certains droits comme celui d'étudier dans des universités d'État ou de voyager librement. «Nous ne voulons pas de cette carte, nous voulons la citoyenneté birmane. Je suis birman, comme l'étaient mon père, mon grand-père et mon arrière-grand-père. Ils nous disent qu'avec la carte de vérification nationale nous pourrons prétendre à la citoyenneté mais c'est faux, cela n'est jamais arrivé à ceux qui l'ont acceptée», affirme Dil Mohammed, un Rohingya vivant dans le no man's land entre la Birmanie et le Bangladesh. À ce jour, aucun Rohingya n'est rentré en Birmanie.
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bienetretoxicbot · 7 years ago
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Vigne rouge feuilles Biotope Des Montagnes
Produit bio Vigne rouge feuilles Biotope Des Montagnes Plante de la circulation, astringente, anti-diarrhee. La vigne rouge est une vigne specifique qui donne des feuilles rouges que l on cueille dans la belle saison jusqu en automne. C est une des dernieres recoltes de l annee. Selon Cazin, on estimait autrefois que les parties sur lesquelles la vigne agit sont plongees dans un calme que les…
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BALI 2
bali bali 
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Dernier coucher de soleil a KUTA avant de retourner en australie
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Nusa Lembongan, le paradis (petit gin to)
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Les jeunes de mon auberge que jai rencontre le dernier jour a KUTA
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Max, le mono de plongee, aussi habile sur une planche de surf
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La plongee cest rock and roll
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Max, notre Dive Master
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Coucou petite raie manta
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TOUT EST OKAY
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Joe, Chloe et l’instructeur de Lichhhh
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Imitation de raie manta!!!
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pas tres joli joli cette petite murraine
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sixthon-blog · 8 years ago
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Week-end ensoleillé a Nha Trang
Nous etions deja alles a Nha Trang l’annee derniere pour passer notre Open Water (1er diplome de plongee). Nous y sommes retournes ce week-end avec Morgane, une amie de France de passage. Nha Trang ce n’est pas la ville la plus jolie du Vietnam. C’est une ville tres touristique, avec des touristes essentiellement Russes et maintenant pas mal de Chinois. Du coup quand on y va le but c’est de faire les activites sympas qui sont proposees “autour” de Nah Trang. Samedi nous avons fait une grosse matinee plongee, tres sympa. Martin a valide un nouveau diplome, celui de plongees en profondeur (plus de 30m). Puis nous avons passe un peu de temps sur la plage. Et dimanche, apres un copieux petit-dejeuner, nous sommes alles a 15 min de Nha Trang dans un endroit ou il y a des sources d’eaux chaudes, et de bains de boue et un water park... C’etait encore une fois un week-end plutot relax :-) 
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La Réunion
Clichés : 
« La Réunion ?!…C’est un petit paradis tropical aux Caraïbes ou aux mers du Sud, ou attendez…n’était-elle pas à l’océan Indien? ». C’est comme ça que commencent les clichés sur l’île. Beaucoup de personnes ne savent pas où se situe l’île de la Réunion.il suffit de savoir qu’elle appartient aux DOM-TOM de la France. Et peu importe qu’ils soient séparés par de milliers de kilomètres, tous les DOM-TOM sont égaux. Tropicaux, pauvres, sous-développés, mais assez ravissants pour une ou deux semaines de vacances.
En ce qui concerne les habitants, encore appelés les ultramarins, ils sont décrits comme un peuple particulier : des personnes aux traits du visage très exotiques dus à leurs origines diverses et indevinables, qui parlent le créole au quotidien. Des gens pauvres qui sont au chômage ou qui, lorsqu'ils travaillent, ont une autre façon de le faire : ils sont un peu plus paresseux et lents que les français de l'hexagone. Ainsi il n’est pas trop mal vu de dormir au travail de temps en temps.  Des bonnes blagues font également partie de l’ambiance au travail. En réalité ces stéréotypes sont rarement exacts. Mais une chose est certaine : qui arrive à la Réunion sera reçu d’une façon très amicale, parce que les Réunionnais sont connus comme étant les champions de la courtoisie.
 Particularités linguistiques :
Bien que la langue officielle de la Réunion soit le français, la majorité des réunionnais parlent le créole à la maison et au travail. Le créole réunionnais se distingue beaucoup du créole des autres département d’outre-mer et même au sein du créole réunionnais il existe une variété régionale et intergénérationnelle. Le développement de la langue est lié à l’histoire de la migration à l’île. La langue d’origine était le français qui a été modifié par des autres langues au fil de temps. Les influences les plus notables sont le malgache, le tamoul et l’indo-portugais.
Et voici deux expressions et un proverbe en créole et ses significations en français :
Le fénoir                            -->     La nuit
Un zoreil, une zoreille        -->     Un français ou une française métropolitain(e)
Kass pa la tèt la plï i farin, Soley va rovnir  -->    Après la pluie, le beau temps
 La cuisine :
Le métissage intense se reflète aussi dans la cuisine de l’île qui a avant tout des influences françaises, malgaches, africains, chinoises et indiennes. Toutes ces influences se réunissent dans des « caris », les plats plus communs à la Réunion, une variante modifiée du « curry » indien. C’est un plat avec du poisson, de la viande ou des œufs à base d’oignons, d’ail, de tomates, épicé avec du curcuma (sur l'île connu comme le « safran péi ») et avec du gingembre. Presque tous les plats sont accompagnés du riz et un bon cari se sert toujours avec des « grains » (des haricots ou des lentilles), des « brédes » (des légumes cuites, comme le chouchou, la citrouille ou le manioc) et du « rougail » préparé avec des dés de tomate, des tranches de mangue verte, du gingembre pilé, des piments et si désiré avec des saucisses créoles.
Pour l’apéritif les Réunionnais aiment prendre une gorgée d’un rhum arrangé dont il existe des nombreuses saveurs comme cannelle, gingembre, fruit de la passion ou des fruits régionaux comme le letchi ou le « bibasse ». Ceux qui renoncent à l’alcool peuvent savourer un soda régional de citron, letchis ou ananas ou un verre de sirop, une boisson typique préparé à partir du tamarin. En ouvrant l’appétit, on déguste des « bonbons de piment », une sorte de beignet pimenté à base d’une purée de pois du Cap ou de lentilles ou bien des « samoussas », des beignets d’une pâte fine farcie au poisson, à la viande, aux légumes ou au fromage.
Par rapport au dessert, l’île de la Réunion offre une grande variété de fruits régionaux spécifiques à chaque saison, par exemple les letchis, la mangue, l’ananas les longanis en saison chaude et les goyaviers en hiver. En plus, il existe une rangée de friandises, comme les bonbons de saveurs différentes (par exemple le bonbon cravate à base de fécule de riz, le bonbon miel ou le bonbon coco), des beignets de fruits différents et un nombre de gâteaux (par exemple aux patates douces ou au maïs).
Voici nous vous présentons la recette des petits bonbons coco douces et croquants :
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Bonbons coco 
Source: http://pourquoijegrossis.com/2016/02/bonbons-coco-de-ma-reunion/
Ingrédients (pour une douzaine de bonbons) :
125 g de noix de coco (râpée gros)
125 g de sucre (roux ou blanc)
70 ml de lait
les graines d’une gousse de vanille
quelques gouttes de sirop (facultatif)
Préparation :
1. Dans une casserole portez à ébullition le lait, le sucre et les graines de vanille.
2. Ajoutez la noix de coco et le sirop et laissez frémir à feu moyen en remuent avec une cuillère en bois. Attendez jusqu’à le lait se soit évaporé et la pâte ne colle plus aux parois de la casserole et retirez du feu.
3. Formez des petites boules ou quenelles et posez-les sur un plateau de papier sulfurisé.
4. Laissez-les figer à température ambient au moins 12 heures. Plus vous laissez sécher les bonbons, plus ils deviendraient croquants.
 La Réunion pour les explorateurs :
La Réunion est minuscule avec une seule superficie de 2500 km2 et en voiture on peut faire le tour de l’île en une seule journée. Mais vous serez surpris parce qu’on voit et on éprouve plein de choses magnifiques. En bref, la Réunion est l’endroit idéal pour les explorateurs.
L’île est née, il y a 3 millions d’ans à cause de l’activité volcanique du Piton de la Neige et les traces de l’histoire sont visibles jusqu’à aujourd’hui. Le volcan Piton de la Neige avec 3070 m d’altitude est le sommet le plus haut de l’île mais en fait c’est son petit frère le Piton de la Fournaise (2631 m) qui fait les gros titres, quand il est en éruption. Les deux volcans font partie d’une chaîne de montagnes qui croise l’île et qui réalise les rêves de chaque randonneur. Les lève-tôt et les tenaces peuvent profiter d’un lever de soleil inoubliable au sommet du Piton de la Neige. Ceux qui veulent passer leurs fins de semaine un peu plus tranquillement peuvent choisir entre une grande variété de circuits de randonnée plus faciles et plus courts pour apprécier les paysages merveilleux et faire connaissance des forêts et de la végétation tropicale. Les plus aventureuses ont l’opportunité de faire la randonnée du Piton de la Fournaise et être face à face avec un volcan actif. Les amateurs de sensation peuvent encore se jeter aux cascades pendant un tour de canyoning dans une des trois canyons bien connues « Fleur Jeune », « Bras Rouge », et « Trou Blanc à Salazie ».
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Piton de la Fournaise en éruption
Source: http://www.spektrum.de/news/der-ausbruch-des-piton-de-la-fournaise-und-flug-mh370/1358827
Après l'exploration des canyons, des montagnes et des forêts de la Réunion, il est temps de découvrir le monde aquatique. Pour ceux qui préfèrent la baignade, il y existe un large choix de plages de sable blanc ou noir sur le littoral de l’île, qui créent une ambiance parfaite pour les adorateurs du soleil. Ces derniers peuvent se relaxer aux ombres des cocotiers, profiter de la douce brise, boire un cocktail glacé et admirer les surfeurs qui font leurs manœuvres dans les vagues superbes.
Sous les eaux, les nombreux récifs coralliens multicolores sont un paradis pour les amoureux de la plongée sous-marine, puisqu’ils hébergent une grande diversité de poissons et d'autres espèces marines tropicaux à l'exemple des poissons-coffres, des cochers, des murènes, des balistes, des ballons, des raies et des requins.
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Récif corallien à la Réunion
Source: http://www.indian-ocean.com/la-plongee-a-la-reunion/
La Réunion n'offre pas uniquement des merveilles naturelles mais aussi des richesses culturelles diversifiées et appréciées par de nombreux touristes. Le métissage de la population entraîne plusieurs cultes qui coexistent en harmonie à tel point qu’on peut visiter des églises chrétiennes, des mosquées, des pagodes ou des temples tamouls qui datent du XVIII ou du XIX siècle. Par ailleurs il y existe une variété de festivités hautes en couleur, comme la fête des lumières « Dipavali », qui a ses origines dans l’Inde, la « Fêt Caf » qui célèbre l’abolition de l’esclavage ou le nouvel an chinois.  Par rapport aux produits culturels, le « Maloya », un type de danse, de chant et de musique à la fois, représente une partie essentielle du patrimoine culturel de la Réunion.
Après avoir considéré les différentes facettes quant aux paysages et à la culture de la Réunion, on peut dire qu’elle mérite pleinement son nom de « l’île intense » et qu’elle représente un destin extraordinaire et plein de charme.
                                                                                                     - Nikola Gayer
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78682homes · 5 years ago
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La préfecture de police une nouvelle fois plongée dans la tourmente 78682 homes
http://www.78682homes.com/la-prefecture-de-police-une-nouvelle-fois-plongee-dans-la-tourmente
La préfecture de police une nouvelle fois plongée dans la tourmente
La tuerie survenue jeudi à la préfecture de police, « frappée dans son cœur comme jamais », a plongé cette prestigieuse institution, régulièrement au centre des tempêtes ces derniers mois, dans la stupeur et la tourmente.L’impensable s’est produit. Derrière les hautes façades de la préfecture de police, dans les bureaux de son service de renseignement, la DRPP réputée être dirigée d’une main de fer, Mickaël H., un agent administratif employé comme informaticien, a entrepris…
homms2013
#Informationsanté
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reseau-actu · 7 years ago
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Plus de 10.000 morts, 2 millions d'enfants malnutris, un choléra menaçant et une guerre qui n'en finit pas... Coupé en deux par la guerre entre l'Arabie saoudite et l'Iran, le Yémen est livré à la loi des groupes armés.
De notre envoyé spécial à Aden, Lahej et Bab el-Mandab
Du jour au lendemain, Abdel Khalek a troqué ses filets de pêche contre un kalachnikov. Son village d'Abnazer, sur la mer Rouge, était menacé par les rebelles houthistes, qui s'en approchaient. «Ils sont rentrés en progressant maison par maison. Ils avaient des listes d'habitants ayant rejoint la résistance, qui leur avait été fournies par certains collaborateurs», se rappelle ce jeune pêcheur à la peau cuivrée, vêtu de la fouta traditionnelle, sorte de kilt version yéménite.
Comme tant d'autres, la guerre s'est imposée à lui. «On était incapable de manier un kalachnikov, dit-il. Mais avec mes amis, on a décidé de faire le maximum pour chasser les houthistes.» À Abnazer, les miliciens chiites ont transformé certaines maisons en postes d'observation quand d'autres, comme celle d'Abdel Khalek, ont été dynamitées. «Dès qu'ils attaquent un village, les houthistes disent à la population: ne vous inquiétez pas! On est là pour lutter contre Daech, pas contre le peuple yéménite. Le problème, c'est qu'ils nous prennent tous pour des djihadistes.» Abdel Khalek s'est retrouvé «piégé» : «On pensait que la résistance allait rapidement chasser les houthistes», mais les combats ont duré. Ils ont fait plus de quarante martyrs chez les «résistants». Finalement, la coalition anti-houthistes a repris Hays. Mais autour, la guerre fait toujours rage.
Comme des milliers d'autres déplacés, Abdel Khalek a tout laissé derrière lui, avant de partir seul. Puis, son épouse et leurs deux enfants l'ont rejoint. La famille s'entasse désormais dans une masure en brique d'un camp de réfugiés à 130 km plus au sud, près du mythique détroit de Bab al-Mandab, à la pointe sud de la péninsule arabique, où se mêlent les eaux de l'océan Indien et de la mer Rouge.
«Les houthistes et la coalition sont tous méchants!»
Sans climatisation ni électricité, la chaleur est écrasante. Mais Abdel Khalek est accoutumé. Ce qui manque cruellement, c'est l'eau potable. «On doit aller loin, au pied de la montagne pour en récupérer», se plaint le pêcheur. Ailleurs, sur la ligne de front, les mines laissées par les houthistes dans leur retraite empêchent les villageois d'aller en quête du précieux liquide. Depuis Moka jusqu'à Bab al-Mandab, la région côtière est submergée de déplacés. Plus de 100.000 personnes ont été jetées sur les routes, depuis décembre. «Bien sûr que je veux rentrer chez moi, même si je dois mourir sur une mine, je ne veux pas être un immigré», peste Abdel Khalek, nu-pieds dans le sable.
À deux pas d'une mer turquoise, un autre groupe de déplacés sort de ses abris de fortune. Eux aussi voudraient rentrer dans leur village de Simar, maintenant qu'il a été libéré par les hommes de Tareq Saleh, le neveu de l'ancien président du Yémen, assassiné en fin d'année dernière. «Les houthistes et la coalition sont tous méchants!» s'emporte Ahmed. Pendant de longs mois, les Émiriens leur ont interdit la pêche autour de Moka. Ils redoutaient les attaques houthistes au bateau kamikaze. Maher, 50 ans, enrage, lui aussi, mais pour une autre raison. Depuis deux ans, Dubab, sa ville, un peu plus au nord, a été reprise aux houthistes, mais elle reste occupée par des soldats soudanais de la coalition, qui interdisent le retour des déplacés. «Il y a un mois, des habitants de Dubab ont essayé de revenir, mais la coalition nous a tiré dessus, regrette Maher. Tout notre matériel de pêche est là-bas, on voudrait au moins le récupérer pour pêcher ici.» Des femmes et leurs enfants font la queue pour récupérer de la nourriture, au Yémen, en mai 2018.
Des femmes yéménites font la queue avec leurs enfants pour récupérer de la nourriture. - Crédits photo : ABDO HYDER/AFP
La ligne de front n'est qu'à quelques dizaines de kilomètres. Elle n'a guère bougé en quatre ans de conflit. Le prochain objectif, c'est le port de Hodeïda au nord, et une fois de plus, les ONG redoutent un afflux de déplacés. Les forces de la coalition, qui n'en sont plus qu'à 20 km, veulent couper la route de Sanaa aux houthistes qui tiennent la capitale, avant d'encercler Hodeïda et son port, par lequel l'Iran livrerait des armes, notamment des missiles, aux houthistes. À 80 km dans les terres, plus à l'est, il y a aussi le front de Taizz, où 39 groupes armés s'affrontent dans cette guerre oubliée qui a coupé le Yémen en deux. Dans six provinces du Nord, les houthistes. Au sud et à l'ouest, un gouvernement légitime d'un pays failli, livré à une myriade de factions armées, souvent instrumentalisées par ses voisins, où l'Arabie saoudite et l'Iran s'affrontent par relais interposés.
« Le Yémen n'existe plus ! » Combien de fois a-t-on entendu cette complainte en une semaine de reportage dans ce pays meurtri ? À côté, la Syrie ou l'Irak font presque figure de havre de stabilité
Depuis 2014, le pays le plus pauvre de la péninsule arabique est déchiré par une guerre entre les forces loyales au président Abd Rabbo Mansour Hadi, soutenues par les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, et les houthistes, des rebelles chiites venus du Nord, appuyés par l'Iran. Ces derniers, qui se plaignaient d'être marginalisés, se sont emparés en septembre 2014 de Sanaa et en ont chassé le gouvernement, avant de progresser jusque dans le Sud. Grâce à l'intervention en mars 2015 d'une coalition militaire arabe, conduite par l'Arabie saoudite avec les Émirats arabes unis en appui, et épaulée par les Occidentaux, les troupes gouvernementales ont reconquis une partie du Sud, y compris le siège du gouvernement à Aden.
«Le Yémen n'existe plus!» Combien de fois a-t-on entendu cette complainte en une semaine de reportage dans ce pays meurtri? À côté, la Syrie ou l'Irak font presque figure de havre de stabilité. Le Yémen et ses 25 millions d'habitants, majoritairement sunnites avec une forte minorité chiite, est quasiment coupé du monde. L'Arabie a fermé l'aéroport de Sanaa aux vols internationaux. Riyad n'autorise que les avions de certaines ONG à se poser dans la capitale, mais sans journalistes. Celui d'Aden au sud reste ouvert à quelques liaisons improbables vers l'Égypte, la Jordanie et le Soudan. Le bâtiment sans panache garde encore les stigmates d'affrontements. À la sortie, un premier barrage est tenu par des forces sudistes, qui déploient leur drapeau, frappé de l'étoile verte.
«Il n'y a plus d'État, c'est le chaos»
À Aden, le conflit contre les houthistes s'est terminé fin 2015. Mais depuis, c'est le règne des chefs de guerre, et des liquidations. Le 16 mai, la doyenne de l'Université des sciences a été assassinée avec son fils et sa petite-fille. Avant l'occupation houthiste, Ayman, 27 ans, était comptable dans un hôtel. Il a participé à la libération d'Aden, mais depuis, il est au chômage, et rumine sa rancœur. «Au début, dit-il, le rôle de la coalition était clair, il s'agissait de chasser les houthistes. Mais depuis leur départ, l'objectif de la coalition a dérivé vers une occupation de la région par les Émirats. Ils ont formé des milices armées, qui opèrent en dehors de l'armée du président Hadi. Dans chaque gouvernorat, à Aden, Lahej, Hadramaout et Shabwa, les Émirats ont établi une base militaire qui recrute ce qu'ils appellent les élites de la région qu'ils paient bien.»
Libérés des houthistes, les Adénis n'en continuent pas moins de tirer le diable par la queue. Dans une rue du quartier de Khor Matsar, trois fois par semaine, des dizaines de personnes attendent pour s'approvisionner en gaz de cuisine. «La vie est très difficile, s'insurge Zaïd Saleh, 64 ans, en poussant sa bonbonne vide. On ne peut acheter qu'une bouteille par famille. Et le prix a beaucoup augmenté. On n'a de l'électricité que par tranches de deux heures. La plupart des stations d'essence sont fermées. Il n'y a plus d'État. C'est le chaos.» Ce général en retraite de l'ancienne armée du Yémen du Sud est nostalgique de la période (1967-1990) où le Sud s'était séparé du Nord. «Cela fait huit mois que je n'ai pas touché ma retraite, et 25 ans qu'on réclame une amélioration de notre condition», grogne-t-il, les lunettes de soleil sous son chaal, le keffieh yéménite.
À Aden, la nostalgie s'est estompée. Tel un écrin autour de la ville, les crêtes des pitons volcaniques du mont Shamsan se découpent sur un ciel invariablement bleu. Mais ses lieux mythiques sont délabrés. En face de la mosquée al-Rihab, la maison, où séjourna Arthur Rimbaud, s'appelle le Rambo Tourist Hotel. Les fenêtres sont murées, et personne ne se souvient plus de l'écrivain, sauf quelques jeunes, persuadés qu'il se dénommait en fait Rambo. L'époque coloniale britannique, qui prit fin en 1967 avec le départ de 30.000 soldats, n'est plus qu'un lointain souvenir.
Alors que les chants des muezzins résonnent des mosquées en contrebas, des enfants jouent au ballon au pied de l'édifice en briques grises, dont trois horloges sont arrêtées depuis bien longtemps
Au coin d'une rue, une pancarte kitsch signale le parc de la reine Victoria. La réplique en miniature de Big Ben a survécu tant bien que mal, au sommet du quartier Tawahi. Entre chiens et loups, alors que les chants des muezzins résonnent des mosquées en contrebas, des enfants jouent au ballon au pied de l'édifice en briques grises, dont trois horloges sur quatre sont arrêtées depuis bien longtemps. Une grappe de jeunes en haillons mâche le qat - l'herbe euphorisante dont la culture absorbe la moitié des réserves en eau du pays - assis par terre avec une vue imprenable sur le port où quelques navires de commerce mouillent encore. Difficile d'imaginer qu'en 1958, Aden était le deuxième port du monde en volume de trafic, derrière New York. Au pied de Big Ben, une église témoigne encore d'un passé révolu: il y a bien longtemps qu'il n'y a plus de chrétiens à Aden, sauf une poignée d'Indiens.
Les plus jeunes ne regrettent pas l'Aden cosmopolite - sublimée par Joseph Kessel ou les guérilleros révolutionnaires Carlos, Georges Habache et la bande à Baader. Mais certains anciens si. Chaque matin, la canne à la main, Ahmed, un charpentier de 74 ans, s'assoit dans la rue Arwa et ressasse le glorieux passé. «Dans le monde arabe, chaque groupe de musulmans se mange entre eux, dit-il. Mais au Yémen, c'est encore pire, chacun dépèce l'autre. À l'époque des Britanniques, c'était parfait. Il y avait des Somaliens, des Juifs, des Perses, des chrétiens, et personne ne t'empêchait de vivre, comme tu l'entendais. Il y avait des cafés, des cinémas! Regardez, en face c'était un cinéma. Maintenant, le bâtiment est muré.»
L'indépendance du Sud
Sur la corniche, les grands hôtels, comme le Mercure, sont éventrés. La guerre de libération des houthistes a été sanglante. Mais quand les miliciens chiites ont été chassés d'Aden, ce sont les djihadistes de Daech et d'al-Qaida, qui ont comblé le vide. «Ils tenaient des barrages avec leurs drapeaux noirs dans certains quartiers comme al-Mansoura», se souvient un employé d'une ONG. Des gangs criminels, agissant pour le compte de Daech, pillèrent le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui fut contraint de quitter Aden.
Le piège se refermait: les djihadistes, qui avaient participé aux côtés des sudistes et des forces de Hadi à la guerre contre les houthistes, attaquèrent le gouvernement loyaliste et des troupes de la coalition. Les alliés américains et français de cette dernière s'inquiétèrent de la complaisance saoudienne envers les extrémistes. En coulisses, les Émirats, alliés de Riyad mais obsédés par la menace islamiste, passèrent à l'action et formèrent la «ceinture de sécurité». C'est le plus puissant des groupes armés aujourd'hui à Aden. Milice? Escadrons de la mort? Force régulière? Ses hommes circulent sans plaque minéralogique. «OK, mais en juin 2016, le président Hadi m'a nommé par décret à leur tête», fait valoir leur chef Mounir al-Yafeï, dit Abou Yamamah.
» LIRE AUSSI - Yémen: un Français a été détenu deux mois dans une prison secrète
En tenue léopard, l'écouteur de son portable à l'oreille, il nous reçoit, flanqué d'une escouade de gardes du corps. Sa tête est mise à prix, il a échappé à plusieurs attentats. «Notre mission, dit-il, est de réagir dans l'urgence contre les terroristes». Daech et al-Qaida? «Bien sûr, mais aussi les Frères musulmans, qui ont créé al-Qaida et Daech.» La preuve? «On a arrêté le 16 mars le fils de Mohammed al-Makhtiari. Ce dernier était le garde du corps d'Abdel Majid al-Zindani, le chef d'al-Islah, le parti lié ici aux Frères musulmans. Un de ses fils est parti au djihad en Syrie, l'autre commandait une cellule de Daech à Aden qui a commis des assassinats, mais le père lui a réussi à fuir à Marib». Le fils a parlé pendant les interrogatoires, probablement musclés. S'en est suivie l'arrestation d'une centaine de personnes liées à cette cellule, dont des anciens prisonniers yéménites, rentrés de Guantanamo.
De son portable, Abou Yamamah exhibe des photos montrant des talkies-walkies, des ordinateurs, des caméras, de nombreux téléphones portables, pris aux djihadistes. «Et regardez ça: des caméras de haute qualité que les terroristes collaient à leur front pour filmer leurs crimes. Elles ont été données par la CIA aux unités antiterroristes du gouvernement, avant la révolution de 2011!»
«Les généraux de la garde présidentielle ont été écartés, ne restent que les troufions comme moi qui n'ont qu'une arme légère et restent à la maison»
Un combattant pro-saoudiens
Au Yémen, la lutte antiterroriste a toujours pris la forme d'un gruyère. Dans ce pays de tribus, les alliances sont éminemment fragiles. Mais ce qui rend furieux Abou Yamamah, c'est que le père Makhtiari ait réussi à trouver refuge dans la province de Marib plus au nord, où al-Qaida dispose encore de sanctuaires, ainsi que dans la région d'al-Bayda où les drones américains éliminent régulièrement des ténors djihadistes. «Il est protégé par Ali Mohsen», jure-t-il. Qui est Ali Mohsen? Le vice-président de Hadi, que tout le monde accuse d'avoir partie liée avec des islamistes radicaux. «Comment la France peut-elle appuyer un tel gouvernement?» interpelle Abou Yamamah.
À Aden et dans le Sud, le président soutenu par la communauté internationale est nu. Ses portraits jalonnent les artères du bord de mer. Mais ses ministres sont absents. «C'est un gouvernement en décomposition», confirme un humanitaire. Depuis plus d'un an, Hadi lui-même n'a pas remis les pieds à Aden. Et lorsqu'il venait, il prenait un hélicoptère de l'aéroport jusqu'au siège de la garde présidentielle au camp d'al-Maashiq sur un fortin. Un camp presque vide aujourd'hui. En janvier, les hommes de la «ceinture de sécurité» ont affronté pendant 40 heures les militaires pro-Hadi, retranchés dans le camp. Il a fallu une intervention des Émirats pour que leurs relais ne fassent pas une bouchée des pro-saoudiens. Depuis, se plaint un de ces derniers, «les généraux de la garde présidentielle ont été écartés, ne restent que les troufions comme moi qui n'ont qu'une arme légère et restent à la maison».
Gouvernement fantoche
Surfant sur l'impopularité du gouvernement Hadi, les Sudistes poussent les feux de l'indépendance. «C'est notre objectif à moyen terme que même nos enfants répètent chaque matin dans les écoles», affirme Ahmed Lamlas, secrétaire général du Conseil de transition du Sud, sorte de gouvernement en attente.
Après l'épisode djihadiste, les Sudistes ont ramené un certain calme à Aden grâce à la «ceinture de sécurité». Mais à quel prix? Certains les soupçonnent d'être derrière la récente campagne d'assassinats d'une vingtaine d'imams, proches des islamistes d'al-Islah, leur bête noire. Les Sudistes ne contrôlent qu'une partie d'Aden. Certains quartiers où vivent de nombreux islamistes leur échappent encore. Entre Sudistes pro-émiriens et islamistes soutenus par l'Arabie, l'indépendance du Sud ne sera pas une partie de plaisir.
Des échanges de tirs ont eu lieu entre les troupes yéménites, soutenues par les Saoudiens, et les rebelles houthistes, lors d'une offensive sur la ville portuaire d'al-Hodeïda, le 15 mai. - Crédits photo : Asmaa Waguih/REDUX-REA/Asmaa Waguih/REDUX-REA
Émiriens et Saoudiens sont alliés à l'ouest et au nord contre les houthistes, mais ils n'ont pas le même ordre de priorité. Riyad veut d'abord le départ des miliciens pro-iraniens de Sanaa, pour sécuriser sa frontière sud avec le Yémen. Les Émirats, de leur côté, jouent à fond la carte d'un Sud indépendant qui leur donnerait un contrôle sur le trafic maritime dans l'océan Indien. Entre alliés, le fossé s'est encore creusé avec la tentative récente d'OPA des Émirats sur l'île yéménite de Socotra, où Abu Dhabi a installé une base militaire.
«Les Saoudiens qui dirigent la coalition sont agacés, relève un autre humanitaire, mais comme c'est du sud que l'offensive anti-houthistes progresse, les Émiriens peuvent leur répondre que ce sont eux qui se battent au sol, tandis que les Saoudiens ne font que bombarder depuis le ciel.» Et les Sudistes sont, désormais, écoutés du nouvel envoyé des Nations unies pour le Yémen, le Britannique Martin Griffith, qui vient de rencontrer les leaders sudistes à Abu Dhabi, après avoir été interdit de le faire à Aden, par le gouvernement Hadi.
L'effondrement des structures de santé
Allongé sur son lit à l'hôpital Ibn-Khaldoun de Lahej, Racha crie. Visage décharné, joues creuses, le bébé de deux mois a contracté une diarrhée aiguë et souffre de malnutrition, un fléau qui touche deux millions d'enfants. Racha fait partie du flot des déplacés de Moka. Ses parents ont dû parcourir 200 km avant de trouver un centre de santé. «La pauvreté, la mauvaise qualité de l'eau et l'éducation familiale sont les causes de ces maladies», répond Dounia, l'infirmière qui veille sur Racha. Ses parents sont réfugiés au camp de Fiyouch à une dizaine de kilomètres. Une séance de vaccination se tient ce matin-là au centre de l'ONG Save The Children. «Ah, vous êtres français!» lance Mohammed, un assistant. «On avait des Français au centre salafiste de Fiyouch, se rappelle notre interlocuteur. Mais au début de la guerre, le cheikh qui dirige la madrasa leur a demandé de partir. Il avait peur qu'ils rejoignent les djihadistes. Le gouverneur de Lahej et le consul algérien à Aden sont venus. Le consul leur a fourni des passeports algériens. La plupart sont rentrés en France ou en Algérie, mais deux ou trois Français sont restés et ont ouvert des restaurants à Aden.» Quant au cheikh, il a été liquidé ensuite par al-Qaida.
«L'école qu'on voulait intégrer réclamait nos certificats de naissance, mais comme on a tout laissé au village, on ne les avait pas. Ils nous ont alors demandé de retourner dans notre village !»
Rima, 15 ans
Sans chef pour tenir les composantes de la mosaïque tribale, le Yémen se meurt, mais Ubu y est roi. Dans le bidonville d'al-Eswa, près d'Aden, Rima, 15 ans et ses trois sœurs, des déplacés du front de l'ouest, ont voulu retourner à l'école. «L'école qu'on voulait intégrer réclamait nos certificats de naissance, mais comme on a tout laissé au village, on ne les avait pas. Ils nous ont alors demandé de retourner dans notre village! Mais il est occupé, leur a-t-on répondu.» C'est pourtant dans ce pays maudit que débarquent encore chaque jour des dizaines de migrants, venus de la Corne de l'Afrique. Croisés sur la route de Bab al-Mandab, Ali et cinq copains, âgés de 15 à 20 ans, étaient arrivés la veille de Somalie. Ils marchaient sous le soleil, avec une bouteille d'eau sous le bras. «On cherche à rejoindre Marib. Peut-être qu'il y a du travail là-bas», lâche Ali. Vérification faite, il s'agissait d'Érythréens chrétiens qui, de peur de représailles, se faisaient passer pour des Somaliens musulmans.
Un million de cas de choléra ont été recensés dans le pays l'an dernier, 10.000 à 12.000 morts liés directement au conflit. Mais au-delà, s'alarme Alexandre Faite, qui a fait le tour des capitales occidentales après avoir passé trois ans à la tête du CICR à Sanaa, «le plus inquiétant, c'est l'effondrement des structures sanitaires et en eau du pays, mais aussi de ses ministères, où les fonctionnaires ne sont plus payés depuis trois ans». Le tableau est encore plus dramatique chez les houthistes au Nord, inaccessible à la presse, soumis à un blocus étouffant de la part de l'Arabie et des Émirats. «J'ai fait au Yémen ce que je n'ai jamais fait en 22 ans de Croix-Rouge, lâche Alexandre Faite: fournir des kits de dialyse pour malades.» Emmanuel Macron organise le 25 juin une conférence internationale pour sauver le Yémen. Il y a urgence.
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