#l'indolente
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Dietro la luce fendente di un flash.
Dietro a quei flash ci sono io, con il mio contrapposto perché. Sono divenuto attore, come uno preso dalla strada, il successo me lo sono costruito, caparbiamente, ma senza nulla a pretendere, e così il successo, mi è piombato addosso. A me, Marcello, simbolo di maschio italiano, incarnazione del good man da ammirare, da divizzare. Certo, Il gioco si fa comodo e divertente, adulatore, per quella certa puttaneria che il mestiere ti richiede ma, faccio sempre i conti con quella parte di me che mette in discussione la mia bravura, la mia discrezione. Come tutti ho fatto i conti con la paura, la stessa che ha governato certe mie eterne insicurezze. Dietro la faccia del successo, alla luce fendente di un flash, resta l'uomo con la sua umanità più poveramente ricca di ogni vizio e virtù, resta l'anti-divo, l'essenzialità, l'indolente, il furbo, il languido vigliacco in cerca di protezione.
Assurdo pensare che un attore faccia di tutto per diventare famoso e poi, indossare un paio di occhiali da sole per nascondersi, con l'illusione di proteggersi.
Ma è proprio questo che mi accade, anche sotto la luce di un flash, capace di amplificare, adulare e trasgredire, mettere in mostra e tradire. Tutto questo è parte di un gioco che ho scelto, le cui regole a volte sono state pesanti da digerire, e allora gioco nel mio stile, in rimessa, in dolcezza, in difesa, in tolleranza, in bellezza.
#marcello mastroianni#best actor#federico fellini#mastroianni marcello gif#latin lover#moviegifs#telefonamitra20anni#original photographers#biografy#actorlife#movies#my love
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Luc Bérimont, illustration Zaü - Chanson pour la nommer
Elle est comme un puits de feuillage Douce comme le flanc du vent Affolée comme un feu flambant Dérivante comme un nuage. Elle est la sueur et la nage Elle est le sable en plein midi Une humide touffe de nuit Prise entre la lune et minuit. Elle est la belle et l'opportune L'indolente, le foin de mai Et parmi ses cheveux défaits La pluie fine sur l'églantier.
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Elle est comme un puits de feuillage
Douce comme le flanc du vent
Affolée comme un feu flambant
Dérivante comme un nuage.
Elle est la sueur et la nage
Elle est le sable en plein midi
Une humide touffe de nuit
Prise entre la lune et minuit.
Elle est la belle et l'opportune
L'indolente, le foin de mai
Et parmi ses cheveux défaits
La pluie fine sur l'églantier
Luc Berimont
Marc Chagall
Clair de lune, 1949
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Je vais vous poser une question. Est-ce que vous vous êtes aperçu a quel point il est rare qu’un amour échoue sur les qualités ou les défauts réels de la personne aimée ? Jacques Lacan, Le Séminaire, Livre II
S’intéresser à Marthe, c’est entrer dans la peinture, se soûler de peinture. Mais pas seulement.
[...] Marthe n’est pas celle que l’on croit, je vois bien qu’il y a du secret.
Je cherche la Maria qu’elle a voulu taire dans les toiles, dans sa famille, dans les livres, dans des articles.
Je ne la trouve pas dans l’ombre de Pierre mais dans la lumière de ses toiles. Il la montre en continu et je ne m’en lasse pas.
J’espère approcher une sorte de vérité de Marthe, donner une image d’elle construite par petits bouts de vie, de pensées. Elle commence à m’obséder.
[...] L’acte de représenter est une intrusion, un viol. Au commencement de toute oeuvre, il y a un crime, ce que Bonnard s’efforce ensuite - et ce sera l’épaisseur de son oeuvre - d’effacer, de se faire pardonner. Pierre Schneider
Marthe habite les toiles de son amant, pourtant, elle ne pose pas comme poserait un modèle d’artiste. Elle vit sans contraintes dans la maison, vaque à ses occupations naturellement. Poser, c’est s’arrêter. Marthe n’interrompt rien de ce qu’elle fait, ne parait pas se préoccuper de la sensation qu’elle génère. Pierre la regarde. Tout le temps. Elle habite son œil. L’un observe, l’autre est observée. Elle ne se préoccupe nullement du peintre. Les yeux de Pierre lui dérobent un geste, une attitude, un émoi, une posture à tout moment. Sans cesse, il la dessine, la croque à la hâte avec son crayon noir. Ensuite il la peint de mémoire, à partir de ses esquisses. Tout part du regard. Depuis le premier jour, elle s’est abandonnée entre ses mains, sous ses yeux. Elle se laisse dessiner, interpréter, presque sanctifier. Elle ne s’inquiète pas, absente, indifférente à sa présence, mais tenue par son regard. Dévêtue, grave et simple, le peintre éclaire sa nudité. Le nu représente un des thèmes favoris de Bonnard, pas celui des ateliers, académique et convenu, mais la pose ordinaire.
La jeune femme se mire dans les miroirs de la maison, dans les yeux de Pierre, sur les toiles. Elle met son corps au service de son amant, autant dire de l’art. Visible et impalpable, Marthe demeure parée des promesses du plaisir.
L’amour pour son modèle, l’originalité et la sensibilité du peintre éclatent. Tout le montre, tout le dit : l’organisation de la lumière, l’harmonie des tons, la perspective hardie, la sensualité impétueuse. Sans retenue devant Pierre, Marthe est plus souvent dévêtue qu’habillée. Elle sait l’atout que représente son corps.
Marthe partout, dessinée, peinte, sacrifiant à des rites immuables, dans la salle de bains, au jardin, à table, faisant la sieste, arrangeant des fleurs, entre deux portes. Elle se tient dans toutes les pièces de la maison, couchée, debout, penchée, la tête inclinée, parlant, lisant, brodant, cambrée, la tête en arrière, pieds nus ou chaussés.
Tellement omniprésente qu’à la fin de la vie de Pierre, elle deviendra presque abstraite, presque dépersonnalisée. Même si elle n’est pas représentée sur la toile, nous la sentons, nous la voyons, elle se fond dans le décor. Toujours là
La peinture et Marthe sont les grandes passions de Bonnard, il peint avec force la beauté triomphale de son amante.
Sujet banal et audacieux, Marthe vit dans son monde, celui de l’eau, de la salle de bains, de leur intimité. La pièce devient au fil des années un lieu de culte, elle inspire un grand nombre de tableaux. Si Marthe nue habite cet espace, elle n’y est pas toujours seule. Bonnard se représente, discrètement : une silhouette, à travers un miroir, une jambe.
Sur le corps de Marthe, la lumière joue, sa chair se couvre d’un mélange de couleurs. Mauves, lilas, bleus intenses, jaunes, roses, verts profonds, rouges, orangés brûlants. Le miroir inverse et permet au peintre une distance qui apaise le corps, le repose. Il réfléchit Marthe, l’ouvre à une autre dimension. Pierre la contemple de face et de dos. La glace, outil privilégié de ses compositions, suggère d’autres points de vue.
Un premier chef-d’oeuvre, en 1899, marque la prééminence de Marthe sur la création de Bonnard : Femme assoupie sur un lit ou l’Indolente. Une toile érotique.
Elle sera exposée chez Durand-Ruel la même année. Le peintre ose l’intime. La volupté évidente n’a rien d’indolent. L’alanguie dans la lumière d’une lampe à huile se cache avec pudeur les seins. Les jambes écartées, le ventre exposé, tout met en doute la chasteté du sujet. La composition vibre d’ondes sensuelles. Tête appuyée sur un bras, jambe arc-boutée sur l’autre cuisse, un orteil s’agrippe, un chat câline l’épaule de la femme, une pipe s’expose sur le marbre d’une table. Les draps en désordre portent la trace des ébats qui viennent d’avoir lieu. Sans parler de la lourde chevelure sombre décoiffée et épandue sur le lit. Bonnard nous donne à voir sa vie privée. C’est peut-être Maria qu’il nous montre sans le savoir.
Cette toile majeure est suivie de L’Homme et la femme où le peintre se représente, sans complaisance, à l’intérieur de son sujet. Il révèle violemment et gravement le paysage de son intériorité. Un amant et sa maîtresse, chacun dans ses pensées, dans une même pièce scindée en deux par un paravent, comme une déchirure. Après l’amour, la pénétration, la fusion, semble arriver la séparation. Chacun retrouve sa solitude, son rêve, sa tristesse. Deux chats jouent sur la couverture, dans le désordre des draps, de lingeries et de vêtements. Derrière le paravent Pierre se met à l’abri de cette femme, il la met à l’abri de lui aussi. La scène est vue à travers un miroir, la femme dans la lumière, l’homme dans l’ombre, solitaire, du linge pêle-mêle fortement éclairé derrière lui. Il partage brutalement avec nous ses questions, peut-être nous expose-t-il ce qu’il ne sait pas. Il se risque au regard de l’autre, il nous invite. Il faut un spectateur pour ouvrir l’espace de l’intime, pour ne pas s’y engloutir. La cloison n’existait pas dans la première version.
[...] Sa manière de peindre ressemble à une chorégraphie lente. Le fusain ou le crayon grattent sur la feuille, caressent, reviennent, hésitent, gomment. Il trace de grandes lignes, recule, s arrête, se rapproche, ferme un œil, puis l’autre. Il s’approche encore, regarde, recule, s’arrête, regarde mieux, découpe le champ de son regard avec les mains pour isoler une partie de la toile, qu’il retourne. Si elle résiste, tient au regard à l’envers, tout va bien. D’un geste familier, il frotte son chiffon. La pâte se mélange, il la prend rapidement à l’aide d’un pinceau dur. Par moments, il ne veut plus d’intermédiaire, son doigt porte la matière. Les couches s’ajoutent aux sous-couches. Il attend que la couleur tout juste posée sèche pour en ajouter une autre. Les contours doux, l’oeil circule sans heurt. Il va, il vient, chantonne, se frotte les mais, le monde extérieur n’existe plus. La nuit intérieure se défait dans la création.
Bonnard ne peint pas une seule toile à la fois, mais plusieurs, il passe de l’une à l’autre. Il va vite, pourtant il peut mettre des semaines, des mois , peut-être des années à déclarer un tableau fini.
Consciencieux, rigoureux, il a noté ce qu’un peintre en bâtiment lui a dit un jour : Monsieur, la première couche en peinture, cela va toujours : je vous attends à la seconde.
Il peint de mémoire à partir des dessins de son carnet.
[...} Il faut bien la rêver faute d’éléments biographiques. Là, je me la représente entre un retour de Normandie et un départ pour le Midi, au début des années 1930. Coiffée d’une sorte de bibi noir, portant un manteau clair assez discret avec de la fourrure au cou et aux manches, elle est toujours à la mode. Talons hauts, sac de cuir jaune. Elle semble sans poids, sensuelle, anémique.
Je me suis toujours demandée ce qui l’avait poussée à changer d’identité. Courage ou lâcheté, fuite, dissimulation, folie, lutte contre la folie ?
Je ne comprends pas pourquoi les Bonnard ne se sont pas mariés avant. Peut-être que ce n’était pas important. Ils n’aimaient guère faire comme ,tout le monde. Le temps n’existait pas, il s’était arrêté au moment de leur rencontre.
Qu’a éprouvé Pierre en découvrant le nom de Maria Boursin en lieu et place de celui de Marthe de Meligny ? De la colère, de l’indifférence ? Que lui a-t-il dit ? Qu’a-t-il dit ? Qu’a-t-elle répondu ?
[...] Bonnard a révolutionné l’art en mettant sa femme sous nos yeux, une femme qui ne voulait rien dire d’elle. Il semble chercher, à chaque tableau, à saisir quelque chose qui lui est dérobé.
Pendant cinquante ans, Marthe partout, avec un chapeau, nue, à demie déshabillée, caressant son chien, au miroir, en jupon, aux bas noirs, sur une chaise, accoudée à une table, alanguie sur un lit; oisive dans un fauteuil, appliquée à se laver. Elle est dans toutes les pièces de la maison, couchée, debout, penchée, la tête inclinée, parlant, lisant, brodant, cambrée, la tête en arrière, pieds nus ou chaussés. Elle est visible et impalpable. Bonnard l’a habillée de son fantasme, de sa perception.
L’indolente, le mystère de Marthe Bonnard - Françoise Cloarec
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"L'indolente nue" | Paul Rouffio | Château-Musée de Nemours.
#art#oil on canvas#painting#L'indolente nue#Paul Rouffio (French 1855–1911)#Château-Musée de Nemours
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Vieni con me a contendere al sonno l'indolente cuscino che naviga nella luna accanto. Teste al riparo da tempeste scivolando insieme dondolando riempiremo la spiaggia di alghe o d'astri. Perché avremo molto vissuto il bagliore delle lacrime e ameremo la giusta calma.
Se non sono angeli gli angeli che con prodighi violini riaccendono le nottate di luci screziate e anime a campana! Flauti mandano per l'aria desideri leggeri, coricati. Baci tormentati o baci perle su remi acquatici. E più dentro nei ribes rossi in fiamme, pian piano i pianoforti della voce bionda, le meduse che ci tratterranno il viaggio votato alla lentezza. Terreni con pochi alberi meditabondi.
Vieni con me a fondare i sogni, vieni con me a vedere la bonaccia. Non ci sarà più nel cielo deserto se non il cuore impregnato di amarezza se non il cuore impregnato d'incanto, non ci sarà se non il cuore che appartiene al nostro cielo deserto.
Vieni sulla mia spalla a sognare perché sei una donna bella. Sì, sei una donna bella. Sì, sei bella. Bella.
Odysseas Elytīs, Adagio
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“Femme Assoupie sur un Lit" ou "L'Indolente" de Pierre Bonnard (1899) à l'exposition “Félix Fénéon (1861-1944) : Les Temps Nouveaux, de Seurat à Matisse” au Musée de l'Orangerie, novembre 2019.
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Il 2019 di Netflix si apre con l’aggiunta di nuovi anime
Inizio d’anno con il botto, fra film e serie tv.
Dopo l’arrivo di “The Seven Deadly Sins the Movie: Prisoners of the Sky” in chiusura di 2018, Netflix inaugura il nuovo anno arricchendo il proprio catalogo con altri titoli d’animazione nipponica, fra serie tv e film. Non si tratta di nulla di inedito, visto che parliamo di produzioni già distribuite nel nostro paese da Yamato Video, Dynit e Nexo Digital, ma sono comunque delle ottime aggiunte alla piattaforma.
DanMachi
Approda sulla piattaforma “Dungeon o Deai wa wo Motomeru non Machigatteiru Darou ka” (Is It Wrong to Try to Pick Up Girls in a Dungeon? o È sbagliato cercare di incontrare ragazze in un dungeon?), l’adattamento animato della popolare opera fantasy di Fujino Omori, edita in Italia da J-POP sia nella versione romanzo che in quella manga. In catalogo trovate la prima stagione della serie tv, Familia Myth, che l’anime basato sullo spin off Sword Oratoria (erroneamente etichettato come seconda stagione), incentrato su Ais Wallenstein, entrambi prodotti dallo studio J.C.Staff.
Il goffo ma simpatico Bell Cranel ha sete d'avventura e, dopo aver conosciuto la dea Estia, troverà pane per i suoi denti.
Sia i 13 episodi di Familia Myth che le 12 puntate di Sword Oratoria sono disponibili in lingua originale con sottotitoli in italiano.
Tutor Hitman Reborn!
Disponibile la trasposizione animata a cura dello studio Artland del celebre shōnen manga firmato da Akira Amano, edito nel nostro paese da Star Comics.
L'indolente Tsuna diventa a sua insaputa un favorito della mafia italiana e incontra un assassino di un anno di nome Reborn, che è stato mandato ad addestrarlo.
Nel catalogo trovate i primi 30 episodi (su 203) della longeva serie tv, sia doppiati che sottotitolati in italiano.
Terror in Resonance
Aggiunta anche la spiazzante serie originale prodotta dallo studio MAPPA, ideata e diretta nientemeno che da Shinichiro Watanabe, geniale regista dietro a serie quali “Cowboy Bebop”, “Samurai Champloo” e “Space Dandy”.
Quando un attacco terroristico devasta Tokyo, un indizio misterioso sull'identità dei sospetti confonde la polizia e la paranoia si diffonde tra la gente.
Gli 11 episodi che compongono la serie sono disponibili in lingua originale, corredati di sottotitoli in italiano.
Fate/Stay Night: Heaven's Feel - I. Presage Flower
Sbarca su Netflix anche il primo capitolo della trilogia cinematografica dedicata da ufotable all’epica e drammatica saga di Fate/Stay Night. La pellicola, diretta da Tomonori Sudou (Kara no Kyoukai), mette in scena il prologo della terza route presente nell’originale visual novel concepita da Kinoko Nasu, illustrata da Takashi Takeuchi e pubblicata Type-Moon. Le vicende partono quindi dagli stessi presupposti di Unlimited Bladeworks, ma si focalizzano sul personaggio di Sakura portando a degli sviluppi (e a delle rivelazioni) molto diversi.
Dieci anni dopo la Guerra del Santo Graal, la battaglia riprende. Un giovane assume il ruolo di protettore dell'amica Sakura e cerca di realizzare un'ultima volontà.
Il film è disponibile sia doppiato che sottotitolato in italiano.
Pokémon - Scelgo te!
Infine, per tutti i fan dei Pokémon approda sulla piattaforma anche il ventesimo film d’animazione della saga che, oltre a commemorare l’amicizia e le prime avventure di Ash e Pikachu, celebra altrettanti anni del popolare franchise ideato da Satoshi Tajiri. La pellicola, prodotta dallo studio OLM, prende il nome proprio dal titolo della prima puntata della serie tv ed è diretta da Kunihiko Yuyama, storico direttore dell’anime.
Il giorno del suo compleanno Ash cerca di prendere il primo Pokémon e finisce con un testardo Pikachu con cui intraprende un viaggio alla ricerca del leggendario Ho-Oh.
Il film è disponibile sia doppiato che sottotitolato in italiano.
SilenziO)))
#anime#serie tv#film#manga#light novel#netflix#streaming#sub ita#dub ita#dynit#nexo digital#yamato video#newsintheshell#news in the shell#terror in resonance#tutor hitman reborn#danmachi#pokémon#fate/stay night
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L'indolente (Après Bonnard), Felix Hemme
Oil on canvas
https://www.saatchiart.com/art/Painting-L-indolente-Apr-s-Bonnard/338603/2419455/view
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L'indolente : Pierre Bonnard "If i was a cat could i sleep in your bed?"
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Elle est comme un puits de feuillage Douce comme le flanc du vent Affolée comme un feu flambant Dérivante comme un nuage. Elle est la sueur et la nage Elle est le sable en plein midi Une humide touffe de nuit Prise entre la lune et minuit. Elle est la belle et l'opportune L'indolente, le foin de mai Et parmi ses cheveux défaits La pluie fine sur l'églantier.
Luc Bérimont
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Tes seins de satin noir frémissant du galop de ton sang bondissant tes bras souples et longs dont le lissé ondule ce blanc sourire des yeux dans la nuit du visage éveillent en moi ce soir les rythmes sourds les mains frappées les lentes mélopées dont s'enivrent là-bas au pays de Guinée nos sœurs noires et nues et font lever en moi ce soir des crépuscules nègres lourds d'un sensuel émoi car l'âme du noir pays où dorment les anciens vit et parle ce soir en la force inquiète le long de tes reins creux en l'indolente allure d'une démarche fière qui laisse quand tu vas – traîner après tes pas le fauve appel des nuits que dilate et qu'emplit l'immense pulsation des tams tams en fièvre car dans ta voix surtout ta voix qui se souvient vibre et pleure ce soir l'âme du noir pays où dorment les anciens –
Black Beauty - Guy Tirolien
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Pierre Bonnard - Woman dozing on a bed (L'indolente) (1899)
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L'indolente - Alain Brassart - 2019
L’indolente – Alain Brassart – 2019
Quatrième de couverture
Qui est Laura, cette blonde éblouissante à la sexualité débridée qui fascine tant le narrateur, un quadragénaire cynique et provocateur? Une séductrice machiavélique? Un pur fantasme sorti de l’imagination d’un homme malade? Une future grande star du cinéma français? Ou tout cela à la fois? Lorsqu’elle disparaît, tous les soupçons se portent sur son amant qui espérait…
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Elle est la sueur et la nage Elle est le sable en plein midi Une humide touffe de nuit Prise entre la lune et minuit. Elle est la belle et l'opportune L'indolente, le foin de mai Et parmi ses cheveux défaits La pluie fine sur l'églantier.
Luc Bérimont
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