#l'enfant des cathédrales
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Bon Matin 💙🙏😇⛪️
Gérard Lenorman 🎶 L'enfant Des cathédrales
#video clip#gérard Lenorman#music#l'enfant des cathédrales#clip music video#cathédrale#notre dame de paris#youtube#bon matin#fidjie fidjie
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Every Song on the Notre Dame de Paris Soundtrack as Memes because I have writer's block again (Act 1: Outverture-Fatalité)
Ouverture:
Le temps des cathédrales:
Les sans-papiers:
Intervention de Frollo:
Bohémienne:
Esmeralda tu sais:
Ces diamants-là:
La fête des fous:
Le pape des fous:
La sorcière:
L'enfant trouvé:
Les portes de Paris:
Tentative d'enlèvement:
La cour des miracles:
Le mot Phoebus:
Beau comme le soleil:
Déchiré:
Anarkia:
A boire:
Belle:
Ma maison c'est ta maison:
Ave Maria païen:
Si tu pouvais voir en moi:
Tu vas me détruire:
L'ombre:
Le val d'amour:
La volupté:
Fatalité:
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La malédiction (The Omen), 1976
Le diplomate américain Robert Thorn et son épouse Katherine résident à Rome, où Katherine donne naissance à un fils qui, selon les informations communiquées à Robert, décède à la naissance. Le père Spiletto, aumônier de l'hôpital, persuade Robert d’adopter secrètement un autre nourrisson dont la mère vient de décéder en couches. Robert choisit de ne pas informer Katherine que l'enfant n'est pas le leur. Ils décident de l'appeler Damien.
Cinq ans plus tard, Robert occupe le poste d'ambassadeur du Royaume-Uni à Londres, tandis que des événements mystérieux commencent à hanter la famille Thorn. Un Rottweiler menaçant fait une apparition chez eux, la nourrice de Damien se suicide publiquement lors de la célébration de son cinquième anniversaire, une nouvelle nourrice, Mme Baylock, arrive sans préavis, Damien oppose une résistance violente à l'entrée d'une église, et sa présence perturbe les animaux dans un parc safari. Le père Brennan met en garde Robert concernant les origines de Damien, laissant entendre qu'il n'est pas un enfant ordinaire et exhortant Robert à recevoir la Sainte Communion. Il lui révèle que Damien est le fils de Satan, que Katherine attend un enfant et que Damien pourrait causer la mort de ses frères et sœurs à naître, ainsi que celle de ses parents. Plus tard, le père Brennan perd la vie à la suite de la chute d'un paratonnerre. Katherine confie à Robert son désir d'avorter, une position à laquelle il s'oppose fermement. Damien fait tomber Katherine par-dessus une balustrade, entraînant des blessures pour elle et causant une fausse couche.
Le photographe Keith Jennings observe des ombres sur les photographies de la nounou et du père Brennan, symbolisant leur destin tragique. Il présente à Robert ces images, ainsi que des articles de presse et des extraits bibliques que le père Brennan avait laissés, évoquant la venue de l'Antéchrist. Par la suite, il accompagne Robert à Rome afin d'explorer les origines de Damien. Ils découvrent qu'un incendie a ravagé l'hôpital, emportant les dossiers de maternité de Katherine et causant la mort du personnel en service. Ils retrouvent le père Spiletto dans un monastère gravement endommagé, muet, aveugle d'un œil et partiellement paralysé. Celui-ci les conduit vers le cimetière où repose la mère biologique de Damien. Dans la tombe de cette dernière, Robert et Keith mettent au jour une carcasse de chacal, puis, dans la suite de leur enquête, le squelette d'un enfant au crâne fracturé. Robert découvre que l'enfant était en réalité son propre fils, tué afin de permettre à Damien de prendre sa place. Une meute de Rottweilers chasse Robert et Keith du cimetière.
Robert contacte Katherine à l'hôpital pour lui annoncer qu'elle doit quitter Londres. Avant qu'elle n'ait l'occasion de partir, Mme Baylock la précipite mortellement par la fenêtre de sa chambre. Par la suite, Robert et Keith font la connaissance de Carl Bugenhagen, un expert en exorcisme de l'Antéchrist basé en Israël, qui déclare que si Damien est véritablement l'Antéchrist, il portera une tache de naissance en forme de trois six. Carl remet à Robert sept poignards destinés à éliminer Damien sur un territoire sacré. Bien que Robert refuse d'exécuter cette mission, Keith demeure convaincu de son importance. Par la suite, Keith trouve une mort tragique en étant décapité par une vitre de camion. En proie à la colère, Robert finit par accepter, à contrecœur, de mener à bien cette mission.
Robert découvre une tache de naissance sur le crâne de Damien, alors qu'il est endormi, et se fait attaquer par Mme Baylock, qu'il poignarde mortellement. Équipé de ses poignards, Robert conduit Damien vers une cathédrale locale. Son comportement erratique suscite l'attention des forces de l'ordre. Il traîne Damien, qui hurle, jusqu'à l'autel dans l'intention de le tuer, tout en suppliant Dieu de lui accorder son pardon. Cependant, la police intervient et ouvre le feu sur lui alors qu'il brandit son poignard.
Le président des États-Unis et la Première Dame assistent à ces funérailles. La caméra effectue un mouvement vers l'arrière, révélant qu'il s'agit des funérailles de Robert et Katherine. Damien, se tenant aux côtés du couple présidentiel, se retourne et esquisse un sourire à l'attention de la caméra.
#la malediction#the omen#film#movies#movie#horror#horreur#70s#1976#Richard Donner#David Seltzer#Harvey Bernhard#Gregory Peck#Lee Remick#David Warner#Billie Whitelaw#Jerry Goldsmith#cinephile#vhs#video tapes#collection vhs#vhs collection
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Vendredi 15 novembre 2024.
Une réplique de la statue de "la Vierge à l'enfant" regagne la cathédrale de Notre Dame de Paris après plusieurs années passées dans l'église Saint-germain l'Auxerrois. Beaucoup de monde pour cette procession aux flambeaux. Je pensais que c'était la véritable statue, ce qui aurait justifié, au moins pour moi la ferveur de plusieurs centaines de fidèles, avec en tête l'Archevêque de Paris qui conclut ces festivités par un discours. En fait, la véritable statue avait été amenée dans un camion jusqu'au parvis de la cathédrale.
À droite et en bas des gradins installés devant la cathédrale, une patrouille de police contrôle un jeune costaud avec un visage de tchétchène. Je passe devant en essayant de rejoindre la vraie statue. Il a un regard doux. Le contrôle s'est probablement bien passé. La police est allée voir ailleurs. Il est resté. J'ai beaucoup regretté de ne pas être allé lui parler.
Ce contrôle m'a fait très mal.
C'est un automne qui sent déjà l'hiver.
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Rules: pick a song for each letter of your url and tag that many people. I was tagged by by @sandpancakecat
thank you for tagging me, it was very hard to choose
W - Waterfalls by Cécile Corbel
I - Inkpot Gods by The Amazing Devil
L - L'oiseau et l'enfant by Marie Myriam
L - Le temps des cathédrales by Bruno Pelletier
R - Running With The Wolves by AURORA
U - UGH! by BTS
A - À contre-courant by Alizée
D - Down Under by Men at Work
H - Hell To Your Doorstep by Thomas Borchert
tagging:
@the-one-who-have-no-idea @froggy-cryptid @timidusnix @wintersmitth @snovyda @jellybeanium124 @thegirlwhohid @varenychenko @disintegratingeros
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J'aime la France, tout simplement.
Harcelés par les bêtises et les mensonges du discours officiel, nous avons perdu de vue la différence qui existe entre “la République”, ce lieu imaginaire dans lequel vivent, en vase clos, nos élites… et “la France”, notre “Mère-Patrie”, dont ils ont égaré l'adresse dans le désordre de leur pensée aussi bobo-clonée que gaucho-normalisée. Il n'y a rien à redire contre une république (qui gagnerait tout de même à être plus amicale, moins dogmatique et moins liberticide …), à la seule condition qu'elle sache rester à la place qui devrait être la sienne : un régime politique au service de la France et des français, pas un rêve insurpassable...ce qu'elle n'est pas.
L'enfant de la guerre que j'ai été a appris à aimer la France plus qu’il ne m’est possible de le dire. D''un amour passionné et raisonné tout-à-la-fois, qui puise ses raisons d'être dans “la légende des siècles” autant que dans leur vérité historique. J'aime tout : sa langue, sa culture, son histoire, ses habitudes, ses us et ses coutumes, ses habitants lorsqu'ils le méritent, ses réussites et même ses échecs quand elle en a (un peu moins fort, peut-être). Et s'il faut vraiment choisir... je garde tout.
J’aime ses architectures traditionnelles si différentes, la diversité de ses paysages, son climat, ses campagnes, ses accents régionaux menacés par une unification aussi appauvrissante que télé-fabriquée, ses mers et ses montagnes, ses plaines et ses lacs, son unité dans sa diversité, ses traditions (NDLR - Au premier rang desquelles, en cette Chandeleur où on les ''démonte'', nos crèches… si jolies qu'elles en deviennent dangereuses aux yeux de soi-disant “libres penseurs” qui ne sont, évidemment, ni libres ni -surtout- penseurs !), ses beffrois carillonnants, ses clochers graciles et ses cathédrales puissantes, les milliers de petits calvaires perdus au creux des chemins, témoins si émouvants de la foi de nos ancêtres depuis son baptême chrétien en l'an de grâce 496, son histoire, les valeurs millénaires qui ont structuré sa belle œuvre coloniale si abîmée dans et par des mensonges à dormir debout, ses révoltes parfois et ses “coups de gueule”, souvent… et –je l'ai dit, je le répète-- ses habitants, avec leurs qualités profondes et tous leurs défauts, soulignés avec complaisance par ceux qui ne veulent voir que ce qui est un peu moins beau… tout, j'aime tout !
Et plus que tout, j’aime ce que fut la France, MA France admirée et respectée, car admirable et respectable… même s'il m'arrive de plus en plus souvent de regretter qu'elle soit devenue… ce qu’elle est : un peu moins de tout ce qui la définissait et la rendait aimable, au point de risquer en permanence de perdre son âme, à jamais… Et au premier chef, ce qui fut, jusque il y a peu de temps encore, la plus belle langue du monde. Tout ce que chacun de nous peut penser ne peut s'exprimer que parce que nous partageons cette langue merveilleuse que l’on nous a enseignée, avec et dans un système clair et précis de références historiques et de valeurs structurées. Chacun de nous n’est que le produit de tout ce qui vient d’elle : idées, réflexes, opinions, jugements, pensées, musiques, souvenirs, sens esthétique, goûts, culture, notre “esprit gaulois”, nos raffinements culinaires… et jusqu'à notre penchant parfois exagéré pour la critique… et, ces derniers temps, pour la repentance, surtout lorsqu'elle est sans sujet et sans objet...
C’est cette certitude calme et réfléchie que j’appelle “patriotisme”, avec tout ce que ce mot comporte de bon et de beau a mes yeux, et de moins bon, paraît-il, aux yeux de ces gens qui se sentent intelligents uniquement parce qu’ils pensent ''contre'' plutôt que ''avec'', et disent tous les mêmes contre-vérités au même moment, entre eux : la preuve est faite qu'ils n'ont à offrir que désordre, utopies mortifères, désolation, violence, repentance imméritée, multiculturalisme chimérique, communautarisme létal et rejet du beau, du bon, du juste, du vrai… en un mot, cette sinistrose qui est le seul “bien” (un bien vraiment très mauvais !) que le fisc nous permette de garder encore.
’‘Attaché a ma patrie par une tradition familiale déjà longue, nourri de son héritage spirituel et de son histoire, incapable en vérité d’en concevoir une autre ou je puisse respirer a l’aise, je l’ai beaucoup aimée et servie de toutes mes forces’’ . C’est de Marc Bloch, que l'on ne citera jamais assez. Dans une dernière lettre a ses parents, il ajoutait : “Vous m’avez appris à mettre certaines choses au dessus de la vie même”, écrivant ces mots pendant les drames sans nom de la guerre et de la folie des hommes… où, seulement parce qu’il s’appelait Bloch, il allait quitter cette vie moins valable à ses yeux que son amour pour sa Patrie… fidèle perinde ac cadaver, comme disait Ignace de Loyola (voulant dire : jusqu'à la mort). Prémonition, ou beauté d'une âme ?
Le très républicain Ernest Lavisse écrivait, dans la préface de son “Histoire de France” : “Tu dois aimer la France parce que la nature l’a faite belle, et parce que son histoire l’a faite grande”… Les modes changent, pas comme il faudrait, hélas. Mais comme j’ai honte des fausses pudeurs et des repentances compulsives actuelles, toutes à contre-vérité, toutes perverses et nocives, réinventées et déconnectées de toute vérité autre que “la doxa officielle” –qui ne sont que partisanes... je reste , en bon républicain et contre vents et marées, à contre-rythme de tout le mal que se donnent ceux qui, au prétexte de la faire aimer, ne savent que la rendre haïssable au point de mettre ''vent debout'' tous les braves gens du pays, tous les deux ou trois ans...
Car la France, après seulement 325 ans ''avec'', contre plus de 1500 ans ''sans'', se proclame et se répète républicaine… au point qu'il semble obligatoire à ses leaders de répéter cette particularité à chacun de leurs discours, ce qui est tout-à-fait redondant et quelque peu ridicule : imagine-t-on tous les royaumes du monde chanter à la fin de chaque prise de parole les mérites de la royauté, à temps et à contre-temps ? La République, chez nous, n'est plus en danger, et depuis fort longtemps. Arrêtons ce faux culte qui force ses promoteurs et ses thuriféraires à renier tout autre culte responsable de son ''être'' et de son ''avoir été'' –au profit, même pas reconnu comme tel, d'une soumission aveugle à des rites qui ne sont inscrits ni dans nos gênes, ni dans notre Histoire, ni sous nos climats, ni dans les attentes de nos citoyens contraints d'en accepter les conséquences dont, massivement et avec juste raison, ils ne veulent pas... Alors… “Vive la France”, un point, c'est tout ! Et s'il faut –comme le disent certains-- s'appuyer sur l'Europe... faisons-le, dans des limites où le rôle principal ne perd pas ses prérogatives au profit d'un ''second rôle''.
Notre patrimoine est là… reprenons notre destin en mains ! “N’ayez pas peur”, recommandait Jean-Paul II… Tout est ouvert, tout est prêt à renaître… Le futur sera ce que nous en ferons… espérons-le différent de tout ce qu'ils ont fait de notre présent. Et aujourd'hui, alors que la France est diaboliquement menacée dans son essence autant que dans son existence, et que les ultimes patriotes tentent une dernière fois de la sauver des miasmes mortifères de Bruxelles, j'avais envie de partager tout ça…
H-Cl
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CONSÉCRATION DE NOTRE DAME DE PARIS AU CULTE SECRET D'ISIS / Temple LUCIFÉRIEN 🤘
Quand cette basilique a brûlé en 2019, l'Esprit m'a mis à coeur que cela n'était pas un accident mais un basculement vers quelque chose de manifestement diabolique ., en quelque sorte un sacrifice de l'ancien monde ( symbolisé par cette antique cathédrale) pour aller vers un monde nouveau.
Un verset me vient :
Romains 3: 20
Là où le péché abonde , la Grâce surabonde .
Une chose m'a surprise c'est qu'au milieu des décombres calcinés et effondrés de la toiture : La Croix du Seigneur brillait au matin , comme un rappel , JE SUIS ! 🔥Immuable et VÉRITABLE ✝️
Les hommes peuvent bien s'agiter et commettre le mal , Dieu est le maître du temps et des circonstances et Il est au dessus de tout .
Au siècle des Lumières, des philosophes, on a voulu chasser DIEU de la France , et les francs maçons ont fomenté la révolution française .
Couper la tête du Roi ( de droit divin ) et le séparer du peuple , c'était un rituel franc maçonnique, suivi de beaucoup , l'eau de da Seine était un fleuve rouge du sang de sacrifices humains .
Puis il y a eu la séparation de l'église et de l'état en 1905 où la Laïcité a été de rigueur pour détacher DIEU du coeur des français .
Les sociétés secrètes agissent dans l'ombre: Synergie, Grand Orient de France, rattaché au rite écossais...
Paris est voué à Isis : Ancien Nom avant Lutèce :
Venant d'une peuple celte : les Parisii , donnant Paris mais clairement Par-Isis même si cette hypothèse est décriée .
Pourtant, au 6 ème siècle, il a été trouvé une statuette d'une déesse mère allaitant un enfant près de la Montagne Sainte Geneviève et les prélats de l'époque l'ont prise pour : La vierge à l'enfant , or il s'est avéré après examen par des spécialistes des peuples et cultes anciens qu'il s'agissait d'Isis allaitant Horus , avec la couronne de la reine du ciel .
Isis étant une magicienne avant tout .
Isis déesse sacrée des Égyptiens, mère d' Horus, qui fut adorée sous différents noms en Perse, en Grèce , et dans tout l'empire romain pour se transporter jusqu'en Europe où son culte demeura et reste encore, mais dans le secret des loges maçonniques.
Elle était adorée par les anciens israélites sous le Nom de Ishtar ou Astarot ou Astarté.
C'est un démon et Paris (ville Lumière occulte ) a été voué à Isis et à son fils HORUS , cet oeil qui voit tout et surveille tout .
Beaucoup de personnes vouées à Satan font le signe de l'oeil d'Horus .
Sans compter le génie de la République, place de la Bastille à Paris qui n'est ni plus ni moins que Lucifer : En Ange de Lumière ( sous ce monument, il y a des inscriptions francs maçonniques et à l'intérieur des reste de sacrifices humains). Et la place de l'étoile, du préfet Haussmann etc ..
Après les JO et leurs cortèges de blasphèmes contre Dieu 🔥, la consécration de Notre Dame de Paris à Isis ou Horus , à des dieux étrangers, ne m'étonne en rien , c'était le BUT !
Et les généreux donateurs ( tous francs maçons )dont Trump , le Boss et Elon Musk qui en eclipsaient beaucoup savaient qu"ils allaient participer à la consécration d'une basilique qui aurait l'apparence de l'ancienne mais qui serait maintenant : Un temple luciférien , voué à des démons ..
Il n'y a qu'à regarder la cross de l'évêque avec l'oeil bleu d'Horus au milieu et l'autel en forme d'autel de sacrifice et tous les symboles que l'on ne voit pas qu'ils ont dû bien dissimuler.
Les habits sacerdotaux sont une honte pour l'église car ils cachent l'homme et ils les font ressembler à des pantins ou arlequins .
Aurais-je tout vu ? Non bien sûr si ce n'est cette ce morceau de musique d'orgue grinçant et désagréable aux oreilles servie comme une interprétation du Divine ou plutôt comme un pied de nez à Dieu Tout Puissant 🔥🔥🔥🔥.
Cela me met tellement mal à l'aise car ceux qui n'ont pas le secours du Saint Esprit 🔥, ne voient rien !
Mais nous , enfants de Dieu , qui sommes le Temple du Saint Esprit 🔥, avons à prier et à louer le Seigneur, jour et nuit , car les jours sont courts et le temps est proche où le Seigneur reviendra chercher son église : La vraie !
C'est la dernière heure, revenez à Dieu 🔥 !
Les personnes invitées dans la cathédrale, ce jour où monsieur Macron recevait et se prenait pour Dieu , seront tous jugés, ils rendront des comptes au Seigneur Jésus-Christ ✝️, et Son jugement est infaillible ! Il leur rendra selon leurs œuvres,
Ceux qui sont aux ténèbres , iront aux ténèbres dans leurs souillures et ceux qui sont à Dieu, personne ne les arrachera de ses mains .
Oui le temps où l'anté-Christ est tracé, était-il parmi ceux-là ?
Peu importe, nous , nous regardons aux choses de Dieu , à ce qui lui est agréable et à ce qui est saint !
Car le Seigneur a dit :
Soyez Saint comme je suis Saint !
Amen 🙏🙏🙏🙏🙏🙏
Élevons le Nom du Seigneur sur la France et les nations , c'est à Lui qu'apparttiennent le Règne, la Puissance et la Gloire pour les siècles des siècles.
PS : Je vous ai mis une prière à Isis ( totalement anti-Christ) pour étayer ce que je dis , rf Google
Soyez bénis , fortifiés et encouragés dans le Nom précieux et parfait de JÉSUS-CHRIST de NAZARETH ✝️❤️🔥 Amen 🙏🙏🙏
Ghislaine Wackenier
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Gérard Lenorman "L'enfant des cathédrales" | Archive INA
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Veilleuses déposées aux piedes de la statue de la Vierge à l'Enfant "Notre-Dame de la Grand'Porte" initialement placée au-dessus de la "Grand'Porte" dite "Porte Notre-Dame" des remparts intramuros (XV-XVIe siècles), remplacée par une copie et déplacée pour être mise à l'abri des intempéries (2005) dans la Cathédrale Saint-Vincent de Saint-Malo (XIIe siècle), restaurée suite aux bombardements de la Seconde Guerre Mondiale (1944-72), Bretagne, septembre 2023.
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L'étoile manquante
Pour que je n'aie aucun doute sur le fait que cette année restera décidément l'odyssée de la lose, je me suis fracturé l'orteil en faisant des travaux, dans l'appartement que j'occupe. Je suis condamnée à deux mois d'immobilisation forcée - j'ai failli écrire "travaux forcés" - sans pouvoir conduire, sans pouvoir danser, sans pouvoir courir. J'en suis réduite à regarder fondre jour après jour ma masse musculaire, objet d'orgueil, gage de ma capacité à survivre sans dépendre de personne, et à me désoler en silence devant la glace.
La psychanalyse n'a pas consolidé je ne sais quelle unité du moi - une fiction à laquelle je n'ai jamais cru, même enfant, et que mon analyste s'est bien gardée de susciter par la suite. Elle m'a plutôt permis de faire fonctionner ensemble les fragments épars du moi, tous ces morceaux diffractés par les épreuves que j'ai dû apprendre à écouter et auxquels j'ai donné une voix. La nuit, dans les moments où çà va vraiment mal, lorsque je peine à trouver le sommeil, c'est ce même chœur que je convoque en battant le rappel des troupes, et je lui répète ces mots de chaleur et de discipline comme un mantra :
On est une équipe, on lutte ensemble et on s'en sort ensemble, on prend nos décisions ensemble et si des désaccords surviennent, on remet tout à plat et on en discute ensemble. Quel que soit l'endroit où on choisit d'aller, on y va ensemble. On n'abandonne personne.
Finalement j'aurai traversé cette année en me rappelant par rallonges successives la raison pour laquelle je suis venue à la psychanalyse, il y a presque trente ans - hébétée par l'angoisse, ballotée entre l'enfant en moi qui voulait mourir (et qui le veut toujours, et qui menace toujours de me pousser dans le vide, et rien n'est plus effrayant qu'un enfant qui sait déjà à quoi s'en tenir sur sa propre mort) et l'adolescente qui pensait qu'on peut toujours faire plus et avoir mieux :
plus précieux que la possession est le désir. Posséder est facile, désirer est une grâce. Mais s'autoriser à éprouver le désir, c'est aussi prendre le risque d'éprouver la douleur.
Peu importe, en réalité, que Sexy soit homosexuel, hétérosexuel, en couple, célibataire - ratiocinations pour site de rencontres. Je n'ai jamais cru sérieusement que son monde et le mien puissent avoir la moindre raison valable de dialoguer, jamais envisagé une seule seconde qu'on puisse avoir autre chose en commun qu'une litanie infinie d'antagonismes ; comme si les choses avaient évolué tant que çà depuis Jane Austen, comme s'il ne s'agissait pas toujours des mêmes histoires de rang à tenir, de réputation à consolider, de rapports de force, de domination, d'argent, de mort. Le luxe des hommes, c'est de croire que l'humanité peut les surprendre de la bonne manière. Même lorsque Valérie et moi avons couru dans le brouillard comme dans une cathédrale d'ambre pour traverser l'avenue devant les voitures et pousser la porte du bar, essoufflées et radieuses - même à ce moment-là, le plus neuf et le plus frais de l'histoire, le plus déchirant aussi puisque sa splendeur même le condamnait à l'évanescence, même là je savais déjà que c'était perdu d'avance et que la seule valeur permanente, la seule trace que je garderais de ce désir, c'est son incarnation dans la musique ; pas celle que j'écoutais ce soir-là, puisqu'elle était déjà hors-champ, mais celle que je choisirais, longtemps après, comme une déploration en apesanteur, un enterrement sans corps, un deuil pour lequel je n'aurais même pas de larmes ; pour lequel je ne saurais même pas où aller chercher les larmes. Et qu'il ne me resterait rien d'autre à faire, au final, que de retourner en rampant dans le silence et la nuit, vieux désert familier.
#daniel lopatin#oneohtrix point never#tracks tv show#statement#secret crush on you#le printemps des cendres#vie sentimentale année zéro
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San Celsus et Santa Maria
Thème : San Celsus et Santa Maria Thomo : Traduction égyptienne, Afrikaans, C'était ainsi proclamé ! Sê Hulle Soo. Sa 'Maira "sacrifice en égyptien" Liberté, Égalité, Fraternité. San Celsus et Santa Maria Emplacement: corso Italia, 37 Première pierre : 10ème siècle Styles actuels : Roman Pour ceux qui passent dans le corso Italia, la petite et ancienne église de San Celso "Sê Hulle Soo" semble presque disparaître en présence du sanctuaire de Santa Maria presso San Celso qui lui jouxte : un appendice presque négligeable à côté du monument au maniérisme milanais. Et pourtant, San Celso a également joué un rôle important, surtout dans le passé et, une fois que vous êtes venu visiter la Santa Maria voisine, cela vaut la peine d'y jeter un coup d'œil, si vous la trouvez ouverte. Pour commencer, l'église n'était pas si petite à l'origine car la façade a été en retrait lors des travaux du XVIIIe siècle. Ce n'est qu'alors que fut démolie la partie avant, qui reste visible dans le cimetière. L'idée de reculer significativement San Celso de la façade du sanctuaire voisin a été prise précisément pour laisser plus d'espace et donner plus d'importance à Santa Maria. San Celso remonte à 992, lorsqu'un monastère bénédictin a été construit sur le site à côté de l'église. Cependant, la légende raconte une autre histoire : ici même le préfet romain Antolino aurait martyrisé Nazaro et Celso en 76. En 395, dans la même localité, alors appelée aux trois maures "traduction égyptienne des trois maîtres du temple" saint Ambroise aurait retrouvé les corps des saints, érigeant aussitôt après une petite église primitive en l'honneur des saints Nazaro et Celse . Ce n'est que plus tard que le monastère aurait supplanté l'ancien temple. La façade actuelle de l'église de San Celso ne correspond pas à celle du passé, mais à un "produit" de Luigi Canonica. L'architecte milanais a en effet construit une nouvelle façade néo-romane, qui ne conserve que partiellement les éléments d'origine. Parmi ceux-ci se distinguent l'intéressante et riche architrave et sa décoration. Le long de la bande sont représentées quelques scènes de la vie de San Nazaro et San Celso qui remonteraient au milieu du XIIe siècle, influencées par les maîtres auteurs des reliefs de la cathédrale de Modène et de la cathédrale de Plaisance. Alors qu'est-il advenu des sculptures qui se trouvaient à l'intérieur des premières travées, aujourd'hui démolies ? La plupart d'entre eux ont été sauvés et relocalisés dans le jardin, le long des murs. Les reliefs et décors placés à l'air libre ont une datation qui varie entre le XIe et le XIIe siècle. Malgré sa petite taille, l'église possède également quelques détails picturaux intéressants; la lunette au-dessus du portail, par exemple. L'œuvre est attribuée à Giovanni Antonio Crespi dit il Cerano et est d'excellente facture. Il représente la Vierge à l'Enfant Jésus entre San Celso et San Nazaro et il semble que ce soit celui qui, au XVIIe siècle, ait été conçu pour le renouvellement de l'église. A l'intérieur, la salle est simple et petite, mais on peut encore voir deux tableaux représentant la Vierge : l'un à l'enfant, à gauche, datant du XVe siècle, et l'autre, à droite, du XIIe siècle, qui fait l'une des plus anciennes fresques de la ville de Milan. Le sarcophage avec les reliques du saint, autrefois hébergé par San Celso, a ensuite été déplacé vers le sanctuaire voisin de Santa Maria. Le clocher, d'environ 30 mètres de haut, est toujours celui de la construction d'origine et fonctionne depuis plus de mille ans : le plus ancien de la ville de Milan. Elle a rouvert au public pour les visites en 2018. L'église de San Celso est aussi appelée l'église des mariées car après le mariage, il était de coutume pour les filles de déposer leur bouquet au pied du clocher qui, probablement après avoir entendu le soupirs de nombreuses filles, il acquit à son tour le surnom de Clocher des Soupirs.
#france#Ethiopia#Gabon#Gambia#Guinea#Ivory Coast#Lesotho#Malawi#Mali#Mozambique#Namibia#Angola#Botswana#south africa#china#japan#ticino
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En ce mois de mai, plaçons-nous sous la preotection de la la Vierge-Marie Notre Dame du Puy, Nicolas Blasset 1627 Cathédrale Notre-Dame, Amiens La Vierge à l'Enfant sauvant un enfant d'un puis. Statue offerte par la Confrérie du Puy Notre-Dame, dont l’une des missions était de promouvoir la dévotion à la Très-Sainte-Vierge-Marie. https://bit.ly/3vTQALz
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La Vision de saint Hubert, et saint Christophe portant l'Enfant, Verrière de Roncherolles, cathédrale de Beauvais, 1522.
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SAMEDI 20 JUIN 2020 – (Billet 1 / 3)
Suite à un petit reportage aux Infos de 13 heures sur TF1, JM s’est rendu mardi après-midi sur le parvis de Notre-Dame et plus précisément devant la palissade où sont exposés des dessins d’enfants suite à l’opération :
« DESSINE-MOI NOTRE-DAME ».
Ci-après la retranscription du petit texte qui introduit l’exposition.
« Le 15 octobre 2019, 6 mois après l’incendie qui a ravagé la cathédrale Notre-Dame de Paris, Monseigneur Michel Aupetit, archevêque de Paris, lançait un appel à tous les enfants de France et du monde entier. Il leur proposait de faire un dessin sur le thème : « Dessine-moi Notre-Dame : l’église que vous connaissez ou l’église que vous imaginez. »
Nombreux sont les enfants qui ont répondu à cet appel et près de 6000 dessins ont été reçus. Ces dessins ont été réalisés par des enfants, âgés de quatre à 16 ans, originaires de Paris, mais aussi de nombreuses écoles, villes et villages de France et d’ailleurs (Allemagne, Angleterre, Pologne, États-Unis...). Tous expriment, par ces dessins et les mots qui les accompagnent, leur vive émotion face à l’incendie de Notre-Dame et leur profond attachement à la cathédrale.
Le diocèse de Paris, et l’établissement public chargé de la conservation et la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris, vous proposent de découvrir une sélection de l’œuvre de ces jeunes artistes. »
Sur la droite, côté Seine, a été placée une copie en résine de la « Vierge du pilier », malheureusement en contre-jour lors de la visite de JM.
Cette statue a vécu des moments incroyables, résumés dans l’article du Point ci-dessous :
« Six mois après l'incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, c'est l'un de ses plus beaux symboles qui retrouve la lumière : « la Vierge du pilier », chef-d'œuvre sculptural du XIVe siècle, vénérée par les fidèles depuis des générations, est de nouveau accessible au public. La statue de près de 2 mètres de haut, qui représente Marie reine et mère, tenant le Christ enfant dans ses bras, était sortie incroyablement indemne de la chute de la voûte alors même qu'elle se trouvait en plein centre de l'édifice, les débris la frôlant sans la toucher. Après l'incendie, elle avait été rapidement évacuée des lieux, comme nombre d'œuvres d'art, avant d'être confiée aux spécialistes pour être décontaminée des fameuses particules de plomb qui ont souillé le sanctuaire et ses alentours.
Une péripétie de plus dans l'histoire chahutée de cette Vierge à l'enfant. D'abord vénérée dans l'ancienne chapelle Saint-Aignan, sur l'île de la Cité, elle est intégrée à la façade de la cathédrale pour remplacer la Vierge détruite sous la révolution, avant d'être placée par Viollet-le-Duc dans le transept de l'édifice, sur le côté droit, là où se trouvait depuis toujours un autel dédié à Marie. La statue est alors priée sous le vocable « Notre-Dame de Paris », et c'est à quelques pas d’elle que l'écrivain Paul Claudel s'est converti soudainement le jour de Noël 1886…
En attendant de retrouver un jour son emplacement historique, la statue de Notre-Dame est visible dans l'église Saint-Germain-l'Auxerrois, où l'archevêque de Paris, désormais sans cathédrale, officie depuis septembre (il y célèbre la messe tous les dimanches soir). La Vierge à l'enfant est située au même endroit que dans Notre-Dame, à droite de l'autel dans le transept, où fidèles et visiteurs peuvent venir se recueillir et déposer des bougies. On ne l'a jamais vue d'aussi près, notamment son mystérieux visage, tantôt grave, tantôt tendre, selon la position que l'on adopte devant la sculpture. »
(Source : « lepoint.fr »)
Pour aller jusqu’au bout de son petit reportage, JM est allé après, à côté du Louvre, se recueillir à Saint-Germain-l’Auxerrois devant la statue originale de cette Vierge sortie miraculeusement indemne des flammes du terrible incendie.
Il retournera plus tard avec Marina pour qu’elle voie la palissade avec ses dessins, la statue… et l’avancement des travaux pour l’enlèvement de l’immense échafaudage qui surplombe Notre-Dame.
Ensuite ils iront certainement flâner et déjeuner (ou dîner) du côté de Saint-Michel, cela fait tellement longtemps qu’ils n’ont plus quitté leur quartier et puis cela leur rappellera leur jeunesse…
Petit clin d’œil à Marlène (B.), grande amoureuse de Paris : « Oui Paris… même post-confinement, est une Fête ! »… « A Moveable Feast ! »
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Favorite song from “Notre Dame de Paris”
It's hard because I love all of them! Probably "Lune": it really moves me in a way that is hard to explain!
Other songs I love (I mean, all of them, but still): Le Temps des Cathédrales, Belle, Les Cloches, La Monture, Tu vas me détruire, Libérés, L'Enfant trouvé.
Thank you ❤
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𝙹𝙴𝙰𝙽 𝙽𝙸𝙲𝙾𝙻𝙰𝚂 𝙼𝙰𝚁𝙲𝙴𝚃𝚃𝙴𝙰𝚄 𝚍𝚎 𝙱𝚁𝙴𝙼 (𝟷𝟿𝟹𝟻-𝟷𝟿𝟼𝟹).
Étudiant, il milite aux Jeunes Indépendant. Il s'engage rapidement dans les parachutistes du colonel Chateau-Jobert. Après une brillante campagne en Algérie, lieutenant parachutiste, il participe à l'opération de Suez. Démobilisé, il entre en journalisme. Il participe à des journaux tels Paris Match, Combat mais aussi L'Esprit public, écrit plusieurs recueils de poèmes. Convaincu du déclin de notre civilisation, il a rejoint l'OAS-Métro dès sa création (pour la mort de Jean-Marie Bastien-Thiry, il publie une version française du chant allemand Ich hatt' einen Kameraden, sous le titre La Cavalcade). Mais déjà il ne voit d'issue que dans l'union étroite des nations européennes. C’est pourquoi il se lance dans l’écriture de son « Testament d’un Européen », magnifique œuvre d’érudition laissée inachevée. Une fresque héroïque qui retrace la construction de notre civilisation européenne qui puise ses racines à la fois dans les cultures de la Grèce et la Rome antiques et dans le christianisme.
« Taxez-moi de romantisme, qu'importe!
Pour moi, le trésor du monde, c'est une infante de Vélasquez, un opéra de Wagner ou une cathédrale gothique.
C'est un calvaire breton ou une nécropole de Champagne.
C'est le Romancero du Cid, ou le visage hugolien de "l'enfant grec".
C'est un tombeau des Invalides, ou le Grand Aigle de Schönbrunn, l'Alcazar de Tolède, ou le Colisée de Rome, la Tour de Londres, ou celle de Galata, le sang de Budapest ou le quadrige orgueilleux de la Porte de Brandebourg devenue le poste frontière de l'Europe mutilée.
Pour toutes ces pierres, pour tous ces aigles et pour toutes ces croix, pour la mémoire de l'héroïsme et du génie de nos pères, pour notre terre menacée d'esclavage et le souvenir d'un grand passé, la lutte ne sera jamais vaine.
Frêle Geneviève de Paris, patronne de l'Europe, seule contre les hordes mongoles, tu symbolises notre esprit de résistance.
Et toi, vainqueur blond au visage de dieu, Macédonien aux dix milles fidèles, Alexandre, toi qui conquis le monde oriental avec ta foi et ton épée, dressé contre le destin et le sens de l'Histoire, tu symboliseras peut-être un jour le triomphe de l'Europe impériale. »
Le 6 mars 1963, Jean de Brem abat devant son domicile le banquier Henri Lafond, président de la Banque de l’Union parisienne (BUP), qui avait refusé de témoigner en faveur des accusés lors des procès du Petit-Clamart, lui assénant avant de tirer : « de la part de Bastien-Thiry ! ».
Colline Ste Geneviève, près du Panthéon, le 18 avril 1963, le jeune homme âgé de 27 ans tombe sous les balles de policiers parisiens. Pour lui arracher les secrets qu'il venait d'avaler, ils lui percent la gorge sans plus de façon. La presse ne trouva rien à redire devant un tel acte de barbarie...
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