#l'affreuse
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spilladabalia · 11 months ago
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Nina Harker - l'affreuse
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oviri7 · 10 months ago
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« Regardez-les! Mais regardez-les! Regardez les affreuses gueules molles et toujours souriantes (« Keep smiling») de nos hommes politiques. Des têtes courtisanes de chefs de rayon. De vrai, ils vendent puisque la puissance des nations se mesure aujourd'hui à leur activité mercantile. Dans leur regard, l'affreuse bienveillance mollasse du larbin qui souhaite vous fourguer la paire de chaussures. La lueur humide de soumission à la foule, à la masse, au nombre. Où est le visage exemplaire? La voix sévère et exemplaire? La parole dure qui, dans la foule, fait que se rassemblent les meilleurs et que cette foule, domptée, est hantée par un vouloir au lieu d'être agitée par des fièvres maussades. »
Jean Cau - Les écuries de l’Occident
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claudehenrion · 3 months ago
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Notre Dame de Paris
Nous venons de palpiter un week-end comme on en vit peu, dans une vie ! Notre merveilleuse cathédrale, que nous avions eu l'impression de voir disparaître par un triste soir d'avril 2019, est née une troisième fois, des mains de 2000 artistes, talentueux et modestes, au sommet de leur art (chacun le sien, mais tous ensemble) et de la volonté de 345000 donateurs et mécènes. Le monde entier (les dons en sont la preuve) a vibré devant cette catastrophe... Mais l'espoir renaît... Au moment de la réouverture des portes, j'étais au bord des larmes...
Ne nous plaignons pas, et ne boudons pas notre plaisir : le résultat est magnifique, d'autant plus que nous avons frôlé la catastrophe irrémédiable, avec les cauchemars des fantaisies dont rêvait l'actuel président-de-notre-république-en-sursis . Mis à part quelques fautes (que les modernistes ont branché sur la perfection d'origine, tels le maître-autel-bis et le Baptistère en forme de cuvettes, formes arrondies qui insultent l'harmonie, parfaite sans eux !), il ne reste plus que l'affreuse idée des vitraux ''à la mode macron'' qui doit être tuée, avant dégâts irréversibles. Ou encore les choix musicaux du ''réveil de l'orgue'' ! (NB : me souvenant des improvisations ''sortie de messe'' de Pierre Cochereau, sur le Bourdon 32 pouces, j'en aurais pleuré : tirer ces platitudes sans relief d'un tel instrument... il faut presque le vouloir ! Il a fallu attendre, là aussi, l'improvisation finale et la messe du lendemain pour comprendre le joyau inutilisé que les 4 organistes qui se sont succédé pendant le cérémonie de ré-ouverture avaient entre les mains).
Paris, la France et le monde entier --et la catholicité, au premier chef, bien sûr,-- ont récupéré un trésor irremplaçable : un lien personnel et même intime entre chacun d'entre nous et l'Absolu. Tous ne s'en rendent pas compte et un tout petit nombre prétend avoir des arguments pour lutter contre... ce que la Loi de Gauss, dite ''Courbe normale'', prévoit, avec la possibilité de l'existence, parmi tout échantillon d'humains, de 10% d'idiots, de fadas et de cons ! Depuis une dizaine d'années, on a assez perdu de temps avec eux. Laissons-les suivre leur triste chemin, et restons avec notre glorieuse émotion : Notre Dame est de retour... la période noire va t-elle se terminer ?
Une chance unique nous est donnée : la convergence de la déconfiture (attendue, sans être espérée : ne pêchons pas par où ils fautent !) des vilaines gens qui croient que le progressisme peut les (et nous) mener ailleurs que de catastrophe en cassage de gueule, d'une part... et un retour possible, à travers cette renaissance de notre Cathédrale blessée mais sauvée, du catholicisme sous une forme dérivée : sa richesse culturelle, unique entre toutes, complémentaire à sa transcendance consubstantielle : le catholicisme, longtemps seul, puis du christianisme, a en effet été le créateur d'un raz de marée culturel qui a illuminé tous les âges et --pratiquement-- tous les pays, comme le rappelait récemment le cher Bouallem Sansal .
Notre si belle religion, offerte à qui la veut, pas seulement à ses pratiquants, ce qu'elle est seule à proposer --nous en reparlerons) a donné de jolies couleurs à la Vie, à toute vie, à travers la peinture, la sculpture, l'architecture, la littérature, puis la philosophie, toutes richesses dont elle s'est nourrie en retour, imprégnant, le plus souvent sans la moindre contrainte, nos conduites, nos manières d'être, nos visions du monde... et même les mots dont se servent ses ennemis pour chercher à lui nuire : très vite, le christianisme est sorti du cadre rigide et limitant de la seule pratique religieuse pour exploser dans une culture qui est vite devenue une ''civilisation''. Pourquoi ? Comment ?
C'est là que se trouvent les grandes questions qui ont certainement contribué à ce que ce succès indiscutable se transforme, au fil des siècles, en échec (qu'il faut souhaiter temporaire, car si ce n'est pas le cas... tout est foutu : un arbre coupé de ses racines ne peut que mourir). Où commencent (et où s'arrêtent) l'intelligence et la foi ? Où commence le religieux et où s'arrêtent la laïcité et sa fausse jumelle la tolérance devenue intolérante ? La réponse est sans doute que foi et raison, ou que intelligence et religion ne doivent --ne peuvent-- exister l'une sans l'autre et qu'il est bon et sain qu'elles s'entremêlent, se marient, se mélangent, se séparent ... et se disputent, comme le transcendant et la culture qui en naît...
Si le vrai sens --unique et non négociable-- de Noël ou du Dimanche a été perdu en chemin au profit de laideurs insultantes pour notre honneur d'Humains, et n'ont pratiquement plus de signification religieuse, ils en ont malgré tout conservé une : malgré les efforts ridicules des tenants de la mort de tout ce qu'ils trouvent irrationnel chez nous (au profit de ce que nous démontrons facilement être dix fois plus irrationnel, chez eux !), les fêtes --et les vacances qui les escortent-- ont conservé leur vrai nom originel : Noël, Pâques ou la Toussaint pour les premiers, et ''le jour du Seigneur'' (dimanche vient, de loin, de Dominicus Dies) pour le second.
Notre société est certes largement déchristianisée (et même polythéiste, à en croire Laurence Devillers, la grande spécialiste des interactions ''homme/machine), et la responsabilité de ce ''laisser filer'' aux conséquences dramatiques est à chercher dans l’appauvrissement de ce que nous avons gardé pour le transmettre. La trahison impardonnable des clercs et notre passivité à tous (profiter du moment... sans se prendre la tête, ''Carpe diem'' devenu Carpe horam) ont bradé puis détruit l'héritage commun. Sous le prétexte mensonger de l'actualiser, nous l'avons dilué jusqu'à n'en conserver que ... ce qui ne vaut même pas la peine d'être transmis. Le message était trop beau, trop ambitieux, trop à contre-courant des slogans mensongers (creux mais ''fastoches'' : il n'y a qu'à se laisser glisser !) : la mode ne serait pas, disent les propagateurs de ces absurdités mortelles, à l'élévation de l'homme, à la quête d'une dimension prophétique, et à l’exaltation du sacré''... Foutaises !
La renaissance de Notre Dame et la résonance de cette prouesse dans le monde entier démontre (s'il le fallait !) que la Foi n'est pas une simple abstraction ni un joli patrimoine à conserver dans un musée : c'est une réalité où se mêlent le sens et la croyance, le matériel et le divin, le court et le long termes, ''l'avoir été'' et ''le devoir être''. Cette idée ''sur le retour'' est une idée nouvelle infiniment plus moderne que leur faux modernisme dépassé et leur progressisme mortifère.
Cette année, les USA ont décidé de tourner la page de la médiocrité agressive et de l'erreur promue ''Institution'' et de ''revenir dans la course '' : Trump est à Notre Dame et, Elon Musk aidant, le pays repart conquérir la Lune, et puis Mars... se ressaisir, chasser les idées noires (non, je ne suis pas raciste !), reprendre les bonnes vieilles pratiques qui avaient fait des américains... ce qu'ils étaient : les meilleurs en tout ou presque. Mais personne n'a rapporté que, en parallèle, les illuminations de Time Square sont, pour la première fois depuis longtemps, exclusivement destinées à l'Histoire Sainte et à un vrai Noël, autour d'un enfant nouveau né, le tout surmonté (dominé ?) par une grand croix lumineuse, avec les vrais chants de Noël dont la France (la pauvre !) a égaré jusqu'aux partitions. On se met à espérer que, folie pour folie, le soleil va se mette à se lever à l'ouest ! Notre Dame, priez pour nous...
H-Cl.
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altarimage · 5 months ago
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Adieu
L'automne, déjà ! - Mais pourquoi regretter un éternel soleil, si nous sommes engagés à la découverte de la clarté divine, - loin des gens qui meurent sur les saisons.
L'automne. Notre barque élevée dans les brumes immobiles tourne vers le port de la misère, la cité énorme au ciel taché de feu et de boue. Ah ! les haillons pourris, le pain trempé de pluie, l'ivresse, les mille amours qui m'ont crucifié ! Elle ne finira donc point cette goule reine de millions d'âmes et de corps morts et qui seront jugés ! Je me revois la peau rongée par la boue et la peste, des vers plein les cheveux et les aisselles et encore de plus gros vers dans le coeur, étendu parmi des inconnus sans âge, sans sentiment... J'aurais pu y mourir... L'affreuse évocation ! J'exècre la misère.
Et je redoute l'hiver parce que c'est la saison du comfort !
(...)
Arthur Rimbaud
Une saison en enfer, août 1873
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Arthur Rimbaud 1873, by Balthazar
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mauvais--sang · 2 years ago
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«  En vue de nous édifier sur notre néant, les orateurs de la chaire ont parfois abusé du ver de la tombe. N'accordons créance à leur lugubre rhétorique. La chimie de la dissolution finale parle assez éloquemment de nos misères sans qu'il soit nécessaire d'y adjoindre d'imaginaires horreurs. Le ver du sépulcre est invention d'esprits moroses, incapables de voir les choses telles qu'elles sont. Sous quelques pouces de terre seulement, les trépassés peuvent dormir leur tranquille sommeil ; jamais le diptère n'y viendra les exploiter. À la surface du sol, en plein air, oui, l'affreuse invasion est possible ; elle est même la règle absolue. Dans la remise en fusion de la matière pour d'autres ouvrages, cadavre pour cadavre l'homme ne vaut pas mieux que la dernière des brutes. Alors le diptère use de ses droits ; il nous traite comme il le fait à l'égard d'une vulgaire loque animale. Dans ses ateliers de rénovation, la Nature est pour nous d'une superbe indifférence ; au fond de ses creusets, bêtes et gens, gueux et monarques sont absolument même chose. Voilà vraiment l'égalité, la seule de ce monde, l'égalité devant l'asticot. »
—Jean-Henri Fabre, Souvenirs entomologiques, 1879
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patriciacointelaurent · 2 years ago
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Il y a deux versions à chaque histoire , disait une citation de revenge !
Et si on écrivait simplement la deuxième version du roman Paula ici
une deuxième version encore plus réelle que la première .
Ils voulaient la faire tomber . La tuer longuement s'il le fallait , avec précaution , application et déléctation . Combien étaient-ils ? . Sans doute qu'un détective comme Hercule Poirot aurait su le découvrir .
Mais c'est lui , l'autre détective caché dans l'ombre qui avait découvert le livre , ce manuscrit qui gisait à même ses draps ce jour là de sa mort ! . Elle l'avait appelé quelques secondes avant de mourir .
Quand le chiffre fût enfin découvert du nombres de protagonistes aux profils douteux qui cherchaient à anéantir une femme , une mère , le fils de J.J.H assassiné un jour au bord d'un Océan , eût les cheveux qui se dréssèrent sur sa tête .
Tous la fouettait , la ridiculisait , la faisait passer pour folle , ignarde et conne partout où elle allait ! . Plus d'une fois , ils l'avait poussée à bout , cachant précautionneusement les sévices moraux et physiques qu'ils lui affigeait quotidiennement comme la goutte d'eau lancinente qui se déverse au bout d'un robinet . Mais n'était-ce pas simplement qu'une question d'héritage et d'argent comme on en trouve bien souvent expliqué dans d'autres romans ?.
Arthur se frottait la tête , épongeait son front en sueur . Il faisait chaud nous étions à la fin de l'été . Il fallait donc rechercher des témoins de ce qui était arrivé à cette femme .
Le hasard avait bien fait les choses et ils en avaient tous profiter ! . Il l'avait poussée au suicide lentement mais sûrement . Une petite clique , pareille à des voyous en bande organisée qui pratiquerai le chantage , et l'extorsion future qui leur permettrait de mieux vivre ! . D'ailleurs qui était elle pour eux ? Ils avaient même un jour refusé de lui porter secours ! . Et dire que c'était sa propre famille à elle ! . Elle l'avait mentonné dans son journal . Je comprends pas disait-elle j'étais en train de mourir !
On est occupé , tu nous emmerde avaient-ils froidement répondu . Mais eux disaient qu'ils étaient bien éduqués .
Comme dans les familles d'Agatha , tout est feutré , tout est secret . Rien ne doit transpirer à l'extérieur . Rien ! sauf ses fautes à elle . D'ailleurs n'était-elle pas l'affreuse femme qui l'avait quitté un jour . Lui le fortuné , l'héritier aussi . Ne méritait-elle pas la potence ? . Enfin elle était morte et ils étaient bien heureux s'en être enfin débarrassé .
Son héritage à elle claquait désormais au dessus de leurs têtes comme des billets seraient comptés en liasse dans une machine infernale . Non ! se dit Arthur c'est impossible , impossible qu'ils l'aie tuer et qu'ils héritent . Personne n'héritera tant que je serai vivant pensa le détective . Je prouverai cette cabale infâme , sans doute y metttrai-je du temps , des années peut-être . Mais prouver un crime , sans couteau et sans poison , n'étais-ce pas déjà passionnant ?
PATRICIA COINTE LAURENT ( mes droits d'auteure réservés )
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polisgru · 2 years ago
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"C'était l'oasis, la salle noire de l'après-midi, la nuit des solitaires, la nuit artificielle et démocratique, la grande nuit égalitaire du cinéma, plus vraie que la vraie nuit, plus ravissante, plus consolante que toutes les vraies nuits, la nuit choisie, offerte a tous, plus généreuse, plus dispensatrice de bienfaits que toutes les institutions de charité et que toutes les églises, la nuit où se consolent toutes les hontes, où vont se perdre tous les désespoirs, et où se lave toute la jeunesse de l'affreuse crasse d'adolescence"
Un barrage contre le pacifique - Marguerite Duras
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douceconstellation · 2 years ago
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Être.
Il y a quelques temps, j'avais complètement oublié de vivre,
Ayant plutôt la cruelle impression de survivre.
En effet, j'étais prête à la suivre,
J'attendais qu'elle me délivre.
Mais les choses ont changé.
Désormais, c'est fini de déprimer,
Parce que je réapprends à m'aimer,
Voulant réparer mon cœur abîmé,
Forçant pour mon bien, mes sentiments pour cette personne à partir en fumée.
Peut-être es-tu ou as-tu déjà été dans la même situation que moi ?
Dans tous les cas, tu sais
Une peine de cœur peut arriver à n'importe quel âge,
Venant faire rouler le long de nos joues notre maquillage,
Mais pour ton bonheur, fais dans ta vie un énorme nettoyage,
En espérant que cela t'aidera à tourner la page.
Évidemment, tu ne peux effacer tous vos souvenirs,
Mais cela ne vaudra jamais le coup de t'autopunir,
Cesse de penser à lui réappartenir,
Laisse plutôt un nouvel amour vers toi, peu à peu, venir.
Je ne te cache pas que cela sera difficile. Ça a été même très dur.
Mon cœur était plein de blessures,
La douleur probablement pire que celle de la torture,
Mais j'ai songé l'espace d'un instant à mon ancien bonheur si pur,
De mon lit je me suis alors levée, envoyant valser la couverture.
Parce que j'ai compris.
Si quelqu'un ne veut plus de toi, alors une autre personne voudra probablement à nouveau de toi,
Et celle-ci fera envoler ton désarroi,
Deviendra peut-être ton nouveau "chez-toi".
Ne te laisse pas aller.
L'amour, ça fait mal.
L'amour, revient à l'affreuse douleur d'une balle.
L'amour, c'est viscéral.
Mais l'amour malgré tout, peut aussi être idéal.
Alors n'oublie jamais de vivre.
Aime à en devenir ivre,
Bâtis un amour semblable à ceux dans les livres,
Le bonheur, ne cesse jamais de le poursuivre.
Ta peine, envoie la au diable,
Ta vie n'est pas si désagréable,
Parce qu'une peine de cœur, même si elle est impitoyable,
Sera un jour ou l'autre, surmontable.
Réapprends à
Vivre.
Vivre.
Vivre.
Vivre.
Vivre.
Au lieu de survivre.
2018
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lesondupapillon · 2 years ago
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l'affreuse, cette même affreuse solitude
qui ronge les vivants —
d'une gangrène d'or qui les rend invisibles.
/ Benjamin Fondane
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appeler-un-chat-un-chat · 2 years ago
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Baie d'Alger
1975: Destination Alger
J'ai 24 ans
Premier d'une longue série de nombreux déplacements professionnels
Premier voyage en avion au départ de Lyon-Satolas (devenu Lyon-St Exupéry)
Retour à Orly en flambant neuf Airbus A300....
Image gravée : la Caravelle opère un long virage sur l'aile en direction de l’aéroport de Maison Blanche (Dar El Baida) renommé ultérieurement Aéroport H. Boumediene. Vue extraordinaire sur Alger la Blanche avec la Casbah ocre sur les hauteurs (et aussi l'affreuse barre de l’hôtel Auressi).
Cette année 1975, Giscard d'Estaing président français rend visite à l’Algérie dirigée par Houari Boumediene.
Quelques mois plus tard, signature de l'Accord d'Alger, accord entre l'Iran and l'Iraq supposé régler le conflit de délimitation de la frontière du Shatt el Arab.
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1975 : Reza Pahlavi (Shah d'Iran) H. Boumediene (Président de l'Algerie) Saddam Hussein (Président de l'Iraq) à Alger...
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goodbysunball · 4 years ago
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Ten weeks away, six beats off
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Been a whirlwind year so far but I'm back in the saddle. I'm busting at the seams with drivel on records and the best way to unleash it is in these grouped posts. Small plates, quick bites - bon apétit.
Bobby Would, World Wide World (Low Company)
Can Low Company just come back as a label and a record store already? These releases trickling out after its demise are cruel reminders of how essential those self-effacing tastemakers were. The Anti-Clock LP is a doozy, and this second Bobby Would record sounds like a classic right off the bat. Mr. Would sticks to the same stuff that made Baby so damn good: dusty loops, barely discernible vocals with a catchy melody, bright spindly guitar lines for days. Songs like "Natural Killer" and "Walk Away" are the immediate favorites, upbeat on the exterior but bleary-eyed upon close inspection. Repeated listens have revealed that the hungover haze of "Maybe You Should" and the last call sway of "Raft," which might be my favorite, are where he really shines, tempos slowed to a crawl to make room for the rich warmth of his reverb'd mumble and his sparkling guitar. Yeah, I'm crushin' on Bobby Would, but so's everyone I've forced this record upon. Sharp but unassuming, and endlessly listenable, World Wide World is the balm until better days arrive. Top notch, highest recommendation, all the fixin's.
The Begotten, Temidden Laaghangende Wolken (Aguirre)
I'm a new dad and that means I'm searching for music that I can listen to with my daughter without disturbing her, and music that isn't Raffi. Typically that means a lot of drone, and a lot more quiet, introspective music, like the reissue of Lol Coxhill & Morgan Fisher's Slow Music that Aguirre did. Because the reissue job on that record is so good, I decided to roll the dice on a contemporary offering from Aguirre that also sounded like it fit my needs. My initial reaction to hearing the Begotten's music online was that this trio was approaching zones tread upon by Fabulous Diamonds circa Commercial Music, but subsequent listens have decidedly not taken me that far out. While it's clear the band is made up of exceptionally talented musicians, the music tends to be pretty safe and stays close to the shore. The B-side's a bit better: "Eiland Zonder Oceaan" and "60 Manen" are as close as this record gets to the "dub with tears" descriptor from the label, and the gossamer drone of closer "Klauwzeer" is cool, but nothing really sticks once it's over. Seems like these guys could probably freak out the crowd at a traditional jazz club, but Temidden Laaghangende Wolken keeps the listener at arms' length, simmering but ultimately tepid once you're beneath the surface.
Cube, Drug of Choice (Alter)
Fave record of the year so far! I caught Cube (aka Adam Keith) burning down the Pilot Light what seems like an eternity ago, touring on his last LP, Decoy Street. Nothing on that LP approached the fiery performance I saw, but he's definitely harnessed that energy on Drug of Choice. The record flows seamlessly, corroded breakcore flooding into all corners, causing machines to gasp and whirr and burst, and Keith's intermittent vocalizations are as sinister and biting as they are introspective and philosophical. "Natural Selector" has all of the above, but for my money it's the closing duo - the frenzy of "Moderator" and the terrifying strobelight beatdown of "Cusp" - that really show the piledriving exterior/groaning interior dichotomy that makes the record so magnetic. The label said it best: Drug of Choice "deliver[s] something that feels as much focused on artful constructions of private experiences as it does the cathartic qualities of noise." Alter's quietly releasing some of the best contemporary records, but Cube's Drug of Choice has all the right stuff to justifiably blow up their profile. Wildly intense and devious record; grip a copy and lose your mind with me. While you're at it, check out Adam Keith's amazing Baited Area zine - some of the most engaging arts 'n culture writing/interviews this side of Demystification.
The Gagmen, s/t (iDEAL)
Aaron Dilloway, Nate Young, Joachim Nordwall and apparently Andrew W.K. teamed up as the Gagmen for a performance a few years ago, captured here and put to wax by Nordwall himself for his iDEAL label. I was expecting a pretty blistering assault given the clientele, but what you get is the opposite: slow loops, spare instrumentation, Young's sleepy vocals, all stark and creepy and forcing you to lean into it. The end of the second track gets a little intense, with some wailing loop and white noise combining to tickle your ear hairs, but aside from those couple of minutes, the bulk of The Gagmen is like a black breezy night forcing things to move that usually don't. Puts a knot in your stomach, it does. Hey, it's not for everyone, but if you loved the Komare LP from last year like me, you're gonna find a lot to enjoy here.
Monokultur, Ormens Väg (ever/never)
Glad to see Monokultur continuing their relationship with ever/never, not least of all because those overseas shipping costs hurt. Ormens Väg is the Swedish duo's second LP, and right from the jump they're seemingly headed in a more accessible pop direction. It's a good look for them: opener "Decennium" features big warm keyboards and probably the most exposed vocals from the band yet, kinda coming across like the Knife covering Berlin. It's followed by my favorite track, "För sent," which has a bass line that melts and soothes your ears, topped by JJ Ulius' forlorn (I'm assuming) spoke-sung vocals. The band nods at an earlier incantation of themselves on the buzzed descent of "Kanske blir det sämre", but for the most part the rest of Ormens Väg continues in this gorgeous, warm and spare mode. Take the beautiful instrumental "Vårdagjämning," which almost sounds like it was lifted from the xx's cutting floor until the tape loops emerge like swirling smoke to cloud the proceedings. By the track's end the band somehow ends up on Robert Turman's turf but everything feels cohesive, all of it delicately presented. Shit, even the snippet of "Silent Night" emerging at the end of the title track doesn't take the record off course. Pretty much perfect little record, and yet another early favorite from this year.
Nina Harker, s/t (Animal Biscuit/La République des Granges/Le Syndicat des Scorpions)
This record came out in the middle of 2020, but I missed it then and it's a current obsession now. Shoutout to @dustedandsocial, Yellow Green Red, Fuckin' Record Reviews and everyone else who pointed me in its direction, late as I may be. I don't have a whole lot of info on Nina Harker but it appears that it's the work of one Valentin Noiret, some mad multilingual genius working between the lines connecting Dome, La Grande Triple Alliance and Enhet För Fri Musik. "L'affreuse" is pretty illustrative of how Nina Harker condenses genres into bite-size packets: the woozy, seasick synth topped by Xasthur-like vocals, which are then joined by what sounds like despairing Japanese, the shuffling song slowly building up to this terribly simple guitar part that just levels you when it hits. Not everything is so busy: "Müssen Wir Noch Aufblühen⁇" is a fantastic slice of minimal synth, and the two late night strummers "το κορίτσι γαβγίζει" and "Muto" are disarming in their stripped-down simplicity. The hum that overwhelms "Muto" razes the field to make way for the robotic waltz and maniacal ravings on "Du Schaffst es Nicht," one of many catchy, totally bizarre moments on the record. Nina Harker is riddled with anxiety, moving from frenzied to haunting without batting an eye, but it's also an absolutely singular approach to the dread and restlessness lurking in the corners. Perhaps more prescient than they would've guessed when they made this record. Stunning, hits the spot every time, track down a copy posthaste.
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oviri7 · 1 year ago
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Cette blessure qu'il ne faut pas laisser se cicatriser, mais qui doit demeurer toujours douloureuse et saignante, cette blessure au contact de l'affreuse réalité.
André Gide - Journal
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claudehenrion · 1 year ago
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Changement, ou progrès ?
Oouuppss ! un ''machin-truc'' inconnu de moi a bloqué la parution de l'édotorial de ce jour. Une lectrice avisée, qui vit en Catalogne, me le signale, bientôt suivie d'autres... . Merci à elle et à eux tous..
Ces deux vocables ont ceci de bien pratique qu'on y met ce qu'on veut. Tout ''distinguo'' entre eux échappe à la plupart des gens, et c'est sur ce flou recherché que sont nés la plupart des malentendus qui expliquent le désenchantement du monde, notre désarroi actuel, et la violence par laquelle s'exprime le mal-être contemporain. Et, en plus, les français sont si désabusés que personne ne va avoir le courage de dire : ''Mais c'est tout faux, ce que tu racontes !''. Un més-usage de concepts indéfinis nous a mis dans notre situation actuelle, celle des ''Grenouilles qui voulaient un roi'' de la fable de la Fontaine...
Le refus de faire l'amalgame entre deux vocables si mal utilisés peut seul nous faire entrevoir la vérité --à l'opposé, souvent, de tout le discours ambiant, qui n'est que mensonges, lui. Pour montrer combien un concept peut en cacher un autre (ou plusieurs), et fausser des pans entiers de l'histoire du monde, un seul exemple suffira : le devenir écologique de la planète. Montesquieu, déjà, avait eu l’intuition que le climat avait une influence sur l’histoire, mais on sait maintenant, comme Jared Diamond l’a démontré dans son célèbre essai Effondrements, que plusieurs civilisations ont disparu à la suite de catastrophes écologiques : les Khmers d’Angkor, les Vikings, les Mayas… et bientôt, disent certains, nous-mêmes et la nôtre... si on a la faiblesse de croire le GIEC, l'affreuse Greta, et Macron... ce qu'il est sage et prudent de ne jamais faire...
Car chaque jour, des éruptions, des raz-de-marée, des tremblements de terre ou des incendies immenses nous font frôler un risque de chamboulement ''XXL''. Chaque jour, des espèces animales disparaissent, épuisées ou étouffées, et des forêts entières meurent, brûlées ou transformées en échangeurs auto-routiers, en ZAC ou en ZAD… Dans tous ces cas, ce sont des ''changements'' dont aucun n'est un ''progrès'', et notre intervention éventuelle se résume à la prière, à des discours incantatoires du genre ''plus jamais ça'', et à des ''marches blanches'', depuis peu. A ma connaissance, notre ''science'' (qui, dans ce cas, ne sait pas grand chose), ne peut pas prévoir avec certitude certaines catégories d’événements, ni dans leurs dates, ni dans leur dimension, ni dans les dévastations qu’ils sont susceptibles d’entraîner, hélas ! Il est arrivé, sans explication, que certains de ces changements révèlent ''progrès'', mais ce cas est loin d'être le plus fréquent..
Un exemple, d'actualité, hélas, de la relation ''trouble'' qui réunit ou sépare le changement du progrès : la guerre dépendit, plus qu’on ne le croit généralement, des progrès de la technologie aux différentes époques de l’histoire : le remplacement du bois par le cuivre, puis par le bronze, puis par le fer, puis par l’acier dans les armements a été la cause majeure du sort des batailles entre, suivant les époques, les sumériens, les égyptiens, les macédoniens, les perses, les grecs ou les romains, ce qui a dessiné la carte du monde antique et, au-delà, du nôtre… Cette remarque a continué à se vérifier, pour notre malheur, dans les temps modernes, où les piqués des ''Stukas'' de Goering et les ruées des chars Panthers II de Guderian ont vite écrabouillé l’Armée française, moins bien préparée, technologiquement, et dépendant, elle, des ''40 heures'' et des ''congés payés''.
La même constatation s'est appliquée, à la fin de la seconde guerre mondiale, à la rupture que fut la première bombe ''atomique'' larguée par la Forteresse Volante B-29 ''Enola Gay'' sur Hiroshima : par une immense ironie du destin, une violence technologique absolue s’avérait être le chemin le plus rapide vers la Paix, ce qui pose la question : ces changements techniques furent-ils autant de progrès ? En tout cas, il est indéniable que la géographie politique du monde actuel est bel et bien un reflet de ces divers ''changements'' dont certains devinrent des ''progrès'' : bien des crises actuelles trouvent là leur origine (cf. le respect convenu –sans raison réelle-- des frontières de '45).
Le changement, qu’on le veuille ou non, s’est donc imposé comme un facteur fondamental de l’évolution de la société, et par conséquent, des rapports de l’Homme avec son environnement, avec son présent et, donc son devenir dont il est à la fois le signe –la vie et la mort n’ont d’autre facteur séparateur que le changement, et non le progrès !– et la preuve, une évolution n’existant que s’il y a présence de changements ! Un changement est perceptible dès lors qu’il se manifeste, alors qu’un progrès peut mettre des années à devenir simplement perceptible (au hasard : la boussole -plusieurs siècles, les principes de Babbage -un siècle, ou l'intelligence artificielle -25 ans et plus).
Un ''changement'' se définit comme le passage d’un état A à un état B, sans autre conséquence que la création d’une différence perceptible, qu’elle soit positive, négative ou nulle quant à ses résultats et à ses conséquences, ou, plus simplement, comme le passage à quelque chose de différent… Au contraire, un progrès est un changement qui marque une amélioration mesurable par rapport à une situation précédente. Un changement n’engage à rien, alors qu’un progrès, comme son nom l’indique, (du latin pro-gressio = pas vers l’avant) constitue une amélioration identifiable, quel que soit le domaine dans lequel il s’est exercé.
Un exemple concret ? La perte d’un organe sensoriel spécifique (suite à un accident ou au simple vieillissement) est un changement, et non des plus drôles, annonciateur d'autres problèmes à venir... On ne peut dire en aucun cas que cela puisse être catalogué comme ''progrès''. En revanche, l’acquisition d’une orthèse –une paire de lunettes dans le cas de la vision– représente indéniablement un progrès dans le processus de vision. Si une prothèse est possible –une main artificielle, par exemple– le progrès est encore plus visible.
Une remarque connexe sur cette opposition entre Changement et Progrès, qui n’a peut-être pas directement sa place ici, mais que je ne peux m’empêcher de faire : sans doute est-ce pour cette raison que c’est devenu une habitude uniformément monomaniaque chez la plupart des hommes politiques de tous les pays que de proposer ''le changement'' comme seul programme… laissant, un peu plus tard, tous leurs électeurs profondément déçus – à tort, car s’ils attendaient des ''progrès'' là où on ne leur avait promis que le ''changement'', ils ne doivent s’en prendre qu’à eux seuls ! Cette erreur de langage permet d'expliquer le gouffre qui sépare tout discours politique (qui propose des changements) des besoins réels des populations (qui ne veulent que des progrès).
Ce mauvais usage systématique – je n’ose pas écrire ''volontaire'' – de deux concepts que l’on fait croire synonymes alors qu’ils sont antagonistes, est certainement largement responsable du désamour que nous constatons depuis quelques années pour la politique et les politiciens, la démocratie et, plus généralement, la res publica. Depuis Giscard, qui a vu (sic !) dans les yeux de la France ''un désir de changement'' (il était fortiche, le gars ! il disait, d'ailleurs, ''la Fronche'' et ''un déjir de chongemont'', ce qui est nettement mieux !), tous les candidats à l'élection présidentielle nous ont promis ''le'' (pas ''des'', ce qui serait ''moins pire'') changement. Même Obama, qui n'était pas à ça près, l'a fait ! Mais pour un ''politique'', le sens exclusif du mot changement est : ''Ote-toi de là que je m'y mette'' … et cela aide à comprendre leurs gros mensonges, devenus chez certains une seconde nature..
Résumons : d'un côté, des professionnels du flou, de l'à-peu-près et du mensonge, qui promettent ''le changement'' (dont, au fond des choses, personne ne veut : il vient déjà tout seul, plus que nécessaire !). En face, des électeurs qui croient entendre des promesses de ''progrès'' (cette sorte de Graal espéré par tous) et qui se révoltent, bonne foi contre mauvaise foi, lorsqu'ils se rendent compte qu'il a eu plein de changements (par exemple, toutes les lois ''sociétales'', perverses à en mourir, ou la sanctification d'un soi-disant ''droit à l'avortement'' qui est une redéfinition des ''principes'' relatifs à la vie et à la mort) qui sont terribles dans leurs conséquences (NDLR : c'est la dernière fois que je le dis sans courir de risques disproportionnés),. Et certains s'étonnent de cet état de fait ! N'allons pas chercher plus loin : avec le diptyque ''changement-progrès'', nous tenons une des causes majeures de nos dérives actuelles, immenses. Et de notre malheur profond...
H–Cl.
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borderloune · 5 years ago
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Et j'ai chialé, j'ai fondue en larme lorsque j'ai compris, lorsque l'affreuse réalité s'est posée devant moi, celle où tu vas partir. Tu m'as dis ces mots qui m'ont fait comprendre que tu allais bientôt quitter ma vie pour faire la tienne.
Je ne suis pas en colère, enfin je l'étais au début, je me disais que tes explications n'était pas valable et que tu n'avais pas le droit de me faire ça.
Mais... aujourd'hui j'ai compris ce qui te poussait à faire tout ça et, maintenant, je suis seulement anéanti. Mon coeur s'arrête et ma vie suit le même chemin.
Lorsque je serais devant ces médicaments, ce pont, cette lame ou devant ce vide, ma dernière pensée te sera dédiée, par ce que je t'aime jusqu'au dernier instant.
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madamecercle · 5 years ago
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Oh, Princesse, bleu, c'est fatiguant
     — C'est que, dans Stripgenerator, pour avoir du bleu, il faut être Alpha user.      Et être Apha user, dans Stripgenerator, c'est fatigant.      Il faut suer sang et eau, tuer pères et mères, et tontons et tantines, si on en a, si on en a mettre ses enfants à l'assistance ou les refiler à un ogre, si on en connaît un, manger des pizzas froides, boire les cafés renversés d'Asha, louper toutes les conneries de la télé, et enfin, et surtout : striper à tout va, à tour de bras, jour et nuit, hiver comme été pendant tout un mois ...      ... et tout ça pour écraser La Concurrence et finir seule (pas valable pour les mecs), affreusement jalousée (idem, pas valab' pour zeux) et au final de la fin fatale, devoir répondre à l'affreuse question : — Et le bleu, comment vous faites, di'don ?
pour prince_s & gladtobe
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protego-maxima-rpg · 5 years ago
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LA PEGRE MAGIQUE
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Cela fait bien longtemps que la pègre a installé ses quartiers en plein coeur de la capitale anglaise. L'Allée des Embrumes a longtemps été le repaire des truands, escrocs, voleurs en tout genre, mais avec le temps, plusieurs gangs se sont détachés et ont pris possession du marché. Ils se livrent ainsi à une guerre sans merci pour abattre les autres et obtenir le monopole. Coups bas, pots de vin, assassinats sont monnaie courante au sein de cette communauté que le ministère n'a jamais réussi à endiguer. La vermine est tenace comme certains l'ont si souvent répétés. Cependant, force est de constater qu'aujourd'hui, la pègre a évolué et joue un rôle non négligeable dans la politique du pays. Les gangs ont rassemblé assez d'argent et de puissance pour imposer certaines de leurs volontés, faire taire ceux qui osent les défier et ont une méthode imparable pour éviter une quelconque trahison, l'usage abusif du serment inviolable.
Ci-dessous, voici les deux gangs qui dominent la pègre au sein de la capitale, ils sont connus et craints de tous.
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ACROMENTULA : 
L'Acromentule est un gang fondé par la famille Nott au début des années 1900, sous la volonté d'Octave Nott qui n'a cessé de prendre de l'ampleur. Sous le symbole de l'araignée géante, l'Acromentule s'est très vite emparée du marché de vente de potions, élixirs en tout genre et surtout, de la vente de poisons. Les empoisonneurs comme on aime surnommer les Nott. La réputation de l'Acromentule n'est plus à faire. Quiconque veut se procurer un poison pour tuer ou simplement, faire souffrir quelqu'un va toquer chez l'araignée, mais attention, celle-ci est très dure en affaire et ne rend pas accessible ses élixirs à tous. Les plus aisés et les plus fortunés seulement peuvent se permettre de s'offrir ses services. Ayant la main mise sur ce marché plus que juteux, l'Acromentule s'adonne également à la contrebande concernant les ingrédients de potions divers et variés, notamment les plus recherchés et les plus rares. Nombreux sont les potionnistes, amateurs comme professionnels qui n'avoueront pas avoir obtenu tel ingrédient grâce à l'araignée et pourtant, tous reconnaissent l'efficacité de ce gang. Ce dernier fait d'ailleurs la chasse à tous les vendeurs et contrebandiers indépendants de potions, souhaitant conserver le monopole absolu sur le trafic des potions. A noter que l'on reconnaît facilement un membre de l'araignée, car ils ont tous une rune tatouée sur une partie de leur corps au choix. Depuis peu, l'Araignée s'est associée à la famille Potter, une alliance intéressante pour les deux parties puisque pour les Potter, c'est un moyen de redorer son blason et de remplir les coffres vides, tandis que le gang peut utiliser à sa guise le grand domaine des Potter. L'Acromentule a ainsi installé un de ses laboratoires à Redcliff Park et cultive des ingrédients dans les vieilles serres de la famille, longtemps laissées à l'abandon.
Leader du gang : Matriarche Nott. Bras-droit : libre. QG du gang : le Cabaret le Lotus Noir à Londres côté moldu. Trafics : la vente et la revente de potions, élixirs en tout genre, la vente et la revente de poisons, la vente et la revente d'ingrédients pour concevoir les potions et d'herbes botaniques. Familles de sorciers associées au gang : les Nott (fondateurs), les Potter.
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MANDRAGORA : 
La Mandragore est le nom que s'est donné le gang fondé par l'affreuse famille Crabbe. Sa spécialité est simple, la prostitution. En effet, les Crabbe ont tout simplement écrasé par la violence et le sang l'ancien gang qui détenait ce marché à l'aube des années 1930 et se sont emparés du marché, récupérant les bordels et les employés par la même occasion. Ainsi, malgré la très mauvaise réputation de cette famille, tous se sont accordés à les reconnaître et à obéir aux bons vouloirs de la Mandragore pour continuer à bénéficier des services qu'elle peut offrir. Violente, brutale, la Mandragore n'accepte ni l'échec, ni la concurrence et n'apprécie qu'une chose, le résultat. Surtout quand celui-ci est lucratif. Mais la Mandragore est maligne et rapidement, les Crabbe ont compris qu'il fallait développer leur business pour ne pas se contenter de répondre aux vices des clients. Ainsi, les employés ne sont pas simplement chargés de répondre aux doux plaisirs de ceux qui les paient, mais aussi de récolte diverses informations que le client peut avouer sur un oreiller sans se doute de l'erreur commise. Ainsi, en moins de dix ans, la Mandragore a réussi à se construire une réputation de maîtresse dans l'espionnage et dans l'obtention d'informations compromettantes sur telle ou telle personne. A noter que la Mandragore ne tolère aucune trahison et que celle-ci, si elle se produit, se règle par le sang. Les employés sont fidèles par crainte et de nombreux hybrides sont recrutés par la Mandragore pour rejoindre le gang et ainsi, proposer un panel plus large de diversités. Enfin, la Mandragore possède de nombreux bordels et maisons closes partout dans la capitale, le plus important qui fait office de fief pour le gang est la Joyeuse Licorne.
Leader du gang : libre, (un membre de la famille Crabbe) Bras-droit : poste vacant. QG du gang : le bordel La Joyeuse Licorne à l'Allée des Embrumes. Trafics : la prostitution de sorciers et d'hybrides, la vente d'informations compromettantes aux plus offrants. Familles de sorciers associées au gang : les Crabbe.
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REJOINDRE LES GANGS DE LONDRES :
La pègre est un endroit malsain et malhonnête où les gangs s'affrontent pour obtenir sans cesse plus d'or. Nous vous avons proposé ici deux gangs qui ont la main mise sur des trafics majeurs. Vous pouvez bien entendu les rejoindre, mais vous pouvez aussi créer votre propre gang et faire la guerre aux autres ou sceller des alliances pour faire tomber d'autres gangs. Les possibilités sont nombreuses et c'est pour cette raison que nous avons choisi de ne pas imposer tous les gangs dès le début. Comme vous avez pu le voir avec les deux gangs ici présents, nous avons décidé de les associer à des familles, néanmoins, cela n'est en aucun cas une obligation, vous pouvez très bien créer un gang à partir d'un groupe de sorciers aux origines diverses, tant que cela reste cohérent et plausible. Par ailleurs, chaque gang se doit de posséder un marché/un trafic qui va lui permettre de se détacher des autres gangs. Vous pouvez aussi essayer de voler le trafic d'un gang déjà existant, mais ceci est à vos risques et périls (pensez à écrire votre testament avant, par mesure de précaution).
A PRENDRE EN COMPTE INRP POUR VOS SORCIERS :
Voici un listing de quelques éléments à prendre en compte si votre sorcier rejoint la pègre, car ce n'est pas une vie simple, loin de là.
- Vous ne pouvez pas divulguer des informations importantes à n'importe qui. - Vous avez de forte chance d'être soumis à un serment inviolable. - La trahison est possible, mais les conséquences peuvent être terribles. - Les relations entre gangs sont compliquées, les guerres existent et les règlements de compte aussi. - La hiérarchie est respectée à la lettre. - Vous pouvez obtenir une promotion ou à l'inverse, perdre votre place suivant vos actions. - Changer de gang n'est pas impossible, mais cela doit se faire de façon logique et cohérente. - Les coups bas sont possibles, mais soyez ingénieux dans vos actes pour ne pas vous faire prendre !
RELATIONS ENTRE GANGS :
Ci-dessous, voici un récapitulatif des relations entre les gangs.
Acromentula & Mandragora : Mésentente, tensions à son comble, l'Acromentule n'apprécie pas que la Mandragore divulgue des informations sur ses clients et ses potionnistes. La Mandragore s'en moque et ne pense qu'à l'or, désireux de faire chuter l'araignée de son piédestal.
LISTE NON EXHAUSTIVE DES TRAFICS DISPONIBLES : 
Si vous souhaitez intégrer la pègre et créer votre propre gang, vous pouvez choisir un trafic disponible dans cette liste.
- les elfes de maison. - les artefacts/objets de magie noire. - l'import d'objets magiques interdits venus de l'étranger. - les oeuvres d'arts. - les créatures magiques. - les baguettes magiques. - les contrats d'assassinat et/ou chasseurs de primes. - les cadavres.
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