#l’atelier rouge
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Quelques trucs bien. Novembre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
Apprécier de dormir du sommeil du juste
Dire au revoir à ma sœur en pleurant et en se serrant dans les bras. En tout, 10 jours de séparation comme une éternité de solitude pour moi et un séjour de vacances pour elle
Apercevoir un renard détaler et se planquer dans la nuit des fourrés
Participer avec les jeunes à l’atelier de peinture. Laisser libre cours à la couleur
Ramener maman à la maison après quelques jours d’hospitalisation. Savoir qu’elle sera bientôt soignée
Fêter l’anniversaire de ma sœur dans une soirée folle avec des plumes, des paillettes et du champagne ! Retrouver les amis qui ont joué le jeu déguisé et s’amuser !
Voir un faisan dans le jardin, près de l’olivier. Penser que l’oiseau a trouvé là un espace de sécurité pendant la chasse qui est de saison
Valider l’inscription à une formation professionnelle. Sentir s’ouvrir une fenêtre dans la routine
Craquer pour deux décos de Bambi pour mon petit M. : « mon premier Noël »
Prêter une robe toute neuve à ma sœur afin qu’elle soit à son aise et à son avantage lors d’une fête familiale par alliance, et qu’elle se sente « magnifaïque », moi qui ne suis pas la reine du shopping
Aller dans les bimbeloteries avec ma meilleure amie pour acheter des décos de Noël pour elle, des décos d’anniversaire pour ma sœur : il y a de la paillette, de l’or et de l’argent. Tout ce qui fait chaud au cœur
Savourer la douceur de l’automne porté par le vent chaud du Sirocco. Enlever des couches de vêtements au fil de la journée
Entendre chanter le rouge-gorge dans le froid du matin
Constater que les jours raccourcissent à vue d’œil et avoir quand même du plaisir à allumer la lampe de chevet pour bouquiner
Recevoir un message élogieux sur ma poésie. Ressentir de la reconnaissance et le regret du silence actuel
Aller à l’atelier de peinture. Retrouver le plaisir du geste au pinceau et la joie de la couleur pure. Partager ces ressentis avec les jeunes
Entendre hurler la chouette dans la nuit puisque je me lève de très bonne heure chaque matin
Discuter avec ma cousine au téléphone en buvant du vin blanc. La sentir plus forte et indépendante. Lui confier quelques conseils de ma grand-mère pour continuer à avancer
Passer du temps avec maman. Préparer de la soupe et des tenues vestimentaires pour la semaine. Être là, juste là
Accueillir une amie qui se sépare. Écouter et accompagner la prise de conscience. Faire confiance avec de la tisane
Échanger des ouvrages avec un auteur. S’essayer à la critique littéraire. Attendre aussi son retour sur mes poèmes
Envoyer un message amical à un collègue en arrêt de travail. Lui dire qu’il manque
Savoir que maman m’attend pour aller se coucher. Prendre le temps pour elle aussi
Voir et câliner mon petit M. quasi quotidiennement. Bonheur
Constater les énormes progrès de deux de mes jeunes patients. Me sentir si fière pour eux désormais apaisés pour pouvoir scolarité presque normalisée
Accompagner maman pour la visite de l’appartement de ma fille. La sentir heureuse de cette sortie exceptionnelle
Apprécier comme une grâce les étoiles scintillantes du petit matin dans le ciel lavé par la pluie et nettoyé par le vent. Trouver de bons côtés à l’insomnie
Aller au cinéma avec mon fils pour voir le dernier Miyazaki en VOSTFR
Manger des gaufres ensemble. Monter et/ou descendre d’un ou deux étages dans la maison pour partager avec la famille et les amis présents. Se régaler ensemble
Bricoler avec mon fils. Améliorer la possibilité d’aérer sa chambre pendant l’hiver puisqu’il aime le froid
Envoyer à une amie virtuelle une enveloppe avec un de mes bouquins dedans. Donner de la matière et du concret par les mots
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Henri Matisse | Matisse, L’Atelier rouge https://www.artlimited.net/agenda/henri-matisse-matisse-l-atelier-rouge-exposition-fondation-louis-vuitton-paris/fr/7585913
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Reiko Kruk Métamorphose
Bijutsu Shuppan-Sha Ltd. Tokyo 1997, 200 pages, 25x20cm., softcover, Text in French and Japanese, ISBN 4568170451
euro 80,00
email if you want to buy [email protected]
Née à Nagasaki. Elle travaille pour TV Nagasaki NBC comme responsable de films publicitaires, puis s’installe à Osaka ou elle développe de nouveaux produits pour une société de cosmétique. En 1971, elle arrive à Paris. D’abord conseillère artistique en cosmétique pour L’Oréal et Guerlain, elle souhaite élargir son champs d’action dans le milieu du spectacle.
Elle crée l’atelier Métamorphose, se concentrant sur le développement de maquillage d’effets spéciaux. Métamorphose est renommé pour son travail de haute qualité et créativité, dans les domaines du cinéma, du théâtre, de l’opéra et de la publicité. Reiko Kruk a collaboré avec de nombreux metteurs en scène tels que Werner Herzog, Claude Lelouch, Arnaud Desplechin, Patrice Chereau, Rudolf Noureev, Antoine Vitez, Bob Wilson, Julie Taymor, Hiroshi Teshigawara, Jean-Paul Goude, Just Jaeckin, Etienne Chatillez… Elle est directrice artistique du film Madame Butterfly de Frédéric Mitterand, et conseillère sur de nombreux autres projets. Elle écrit et réalise plusieurs court-métrages pour la télévision française et japonaise, ainsi que des clips.
Son parcours et ses désirs l’amènent à la sculpture, et ses travaux ont été exposés à la Fondation Cartier, “Skin-Art” au Japon, dans les galleries d’Artium, Parco, Kirin Plaza, chez Enrico Navarra, à Paris et au Musée de la Civilisation de Quebec au Canada. Elle publie Métamorphose chez Bijutsu Shuppansha en 1997, Bakeshoshi chez Little More en 2010, et Akatombo – La libellule rouge, Journal de Keiko, 1945 chez Nagasaki Bunken-sha en 2013.
13/10/23
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30–06–23 Avec le pommeau de la douche, j’arrose un tampon hygiénique ensanglanté abandonné par une amie dans des douches collectives. Un filet rouge s’en écoule qui ruisselle sur le carrelage blanc. Je continue de l’asperger jusqu’à ce que l’eau qui s’en échappe rosisse pour devenir parfaitement claire. On m’a offert une plante verte enveloppée dans de la bulle. Il faut, paraît-il, la conserver à l’abri de la lumière dans un endroit frais. Je la place dans la réserve de tableaux derrière le rideau marron de l’atelier en la laissant entourée de sa bulle. Seules émergent les extrémités effilées des feuilles vert sombre qui pointent vers le haut.
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THE RED ROOM જ⁀➴ CHAPTER ONE
2:00 AM, OCT. 12TH
Y/n hated the club. The pounding music rattled her skull, and the kaleidoscope of blue, purple, and pink lights turned the room into a blur of chaos she couldn’t quite escape. Yet here she was again, perched on a bar stool, nursing a whiskey that barely burned anymore. She didn’t belong here. She didn’t even want to be here. So why did her feet always drag her back to this place that fed her exhaustion more than her soul? Old habits die hard, I guess.
The bartender silently filled her empty shot glass with more alcohol, and without a word, she swallowed it in one gulp. It stung, but the bitter flavor kept her grounded in reality. It kept her awake.
Her headache felt like a dull, relentless throb now, and she could feel herself slipping further from sobriety with each shot she forced down. Pathetic—that’s what it was, and she knew it. Wallowing in her sorrows at a nightclub because her fifth job application had been rejected. Five. Ever since graduation, her father had cut her off entirely, insisting it was “time for her to grow up”—whatever *the fuck* that meant.
Not that she dared argue with the man. Her father had a talent for making things worse. Push him too far, and she’d probably find her bank account frozen or her credit cards mysteriously deactivated. The idea of being a homeless drunk—the estranged daughter of a famous politician, no less—would have been funny if it weren’t her life at stake. She let out a bitter laugh. Oh, the scandal that would unleash.
“Hey, miss, your phone’s dinging,” the bartender muttered, breaking through the haze of alcohol clogging her brain. She could barely make out his silhouette, much less what they were saying. She waved them off with a lazy nod, assuming it was just another spam notification.
But the phone kept buzzing. Annoyed, she fumbled for it, her fingers unsteady as she tried to unlock the screen. Face ID barely worked with how much her hands were trembling, but after a few tries, the lock screen slid away. Her bleary vision struggled to focus on the message, but the words at the top stopped her cold.
Unknown: Hey Ms. L/N! We have reviewed your application and decided you seem fit enough to work for our corporation. You are required to follow the rules in the links I sent below and to bring your ID and Driver's License with you on your first day. It’s a pleasure doing business with you, Ms. L/N. Thank you for deciding to work for L’Atelier Rouge. Links of application Links for working rules + etiquette Sincerely, the President
She read the words twice, her heart pounding faster with each line. Then a third time, just to make sure she hadn’t imagined it.
Holy shit.
She stared at the screen, her pulse racing as the words fully sunk in. You’re hired. At L’Atelier Rouge.
Her brain was swimming with alcohol, but even in her intoxicated state, she could tell she wasn’t imagining it.. It didn’t make sense—she wasn’t anything special, just a Psychology graduate trying to scrape together a living. But right now, none of that mattered.
A surge of energy shot through her, banishing the weight of the night as she practically launched herself off the barstool. The room spun for a moment, but she didn’t care. She felt like a little kid on Christmas morning, grinning wide enough to make her cheeks ache.
Grabbing her car keys, she shoved her chair back into place and threw on her black denim jacket. Drunk logic told her it was a great idea to drive to L’Atelier Rouge at 2 a.m. and… do what, exactly? She didn’t know, but that didn’t stop her.
“Hey, young lady! You’re not thinking of driving, are you?” The bouncer at the door gave her a hesitant look, his hand hovering near the doorframe as though ready to stop her.
She flashed a crooked smile, hiccupping as she gave him an exaggerated thumbs-up. “Don’t… don’t worry. I’m fine.”
The bouncer hesitated but eventually stepped aside. Pretty stupid move on his part, but it was too late to take it back now. She stumbled into the night, her headache forgotten. Whether it was the fresh air or the thrill of finally securing a job, she didn’t know, and honestly, she didn’t care.
For the first time in weeks, she felt alive.
The night was still young, and the streets outside were unusually quiet. The crescent moon hung low, its silvery glow barely lighting the sidewalk as Y/N staggered along. On any other night, she might’ve admired the stars or the peaceful chill in the air, but tonight she could barely keep her footing. The cold burned her lungs with each breath, and the alcohol buzzing through her system didn’t help.
Her denim jacket shielded her from the worst of the cold, but she still pulled it tighter as she made her way to the car. She wasn’t exactly sure why she’d thought coming here was a good idea. Some desperate need to prove herself? To do *something*? She didn’t know. All she knew was that she was too far gone to turn back now.
Sliding into the driver’s seat, she stared at the steering wheel for a moment before jamming the key into the ignition. "Fuck it. YOLO," she muttered under her breath, ignoring the voice in the back of her mind warning her to stop. If the cops pulled her over, well… her dad would bail her out. Begrudgingly, but he would.
The drive was mostly uneventful, though her lack of coordination earned her an angry honk and a middle finger when she nearly sideswiped another car. Y/N grumbled to herself, blaming the other driver as she focused hard on Google Maps guiding her to her destination.
When she finally pulled up to the restaurant, she couldn’t help but feel a sense of awe. Even in her tipsy state, L’Atelier Rouge looked magnificent, as if it belonged in another world entirely.
Tall marble columns flanked the entrance, their surfaces glowing faintly in the moonlight. Neon-red lights lit up the bold lettering above the doors, and two massive stone lions stood guard on either side of the pathway. Y/N swore the statue’s eyes followed her as she parked the car, and a chill ran down her spine.
The circular driveway wrapped around a small fountain, adorned with cherubic figures spouting water from their mouths. It was stunning in its detail but unsettlingly out of place in the middle of Seoul. The sleek luxury cars and black limousines lining the lot only added to the surreal atmosphere.
Y/N hesitated for a moment, gripping the steering wheel tightly. What was she even doing here? She could just turn back, pretend this impulsive decision never happened. But she was already here, and if she backed out now, she’d never forgive herself.
Pushing open the car door, she made her way to the towering glass entrance.
The air inside was warm, a sharp contrast to the night outside. She was immediately hit with the cloying scent of floral incense, mingled with the lingering aroma of roasted meat and rich wine. Her stomach growled audibly, and she quickly glanced around to make sure no one heard it. The restaurant’s interior was even more extravagant than its exterior. Three massive fountains lined the marble lobby, their cascading waters catching the glow of the ornate chandelier hanging overhead. Vines of faux flowers draped artfully over every corner, and the checkered black-and-white floor guided her toward the reception desk.
And then she saw him.
Standing under the chandelier was a man talking to what was seemingly an employee. His sharp yet pale features were lit by the warm light above, and his deeply furrowed brows gave him a serious, almost intimidating expression. Something about him radiated authority, the kind of presence that filled a room without trying.
Y/N froze, unsure of what to do. Should she approach him? Was he someone important? And why is he so damn handsome? She didn’t even know his name, but something about the way he carried himself told her he wasn’t just another employee. Before she could decide, his gaze momentarily shifted to her, locking eyes with hers.
“Hey, newbie!” he called out, his serious expression melting into a disarming smile.
Y/N's face burned with embarrassment. Newbie? How did he already know who she was? She awkwardly shuffled closer, suddenly hyperaware of how she must look and—oh god—how she must smell.
“Jesus, you reek of alcohol,” he said, laughing softly as he dismissed the other employee and stepped toward her.
“Yeah… I’m sorry,” Y/N mumbled, recoiling slightly as he placed a hand on her shoulder.
“So, you must have gotten my email?” he asked casually, looking down at her with an amused expression.
She nodded quickly. “Yeah, I was already out, so…” She trailed off, unsure how to explain her impulsive decision to come here unannounced. A small hiccup escaped her lips, and she wished she could evaporate on the spot.
I wish I was dead.
He chuckled, his grip on her shoulder reassuring rather than intimidating. “Well, at least you’re here now. Come on, let’s talk in my office.”
She followed him through the restaurant, past the main dining area, and down a long hallway. The further they went, the more uneasy she felt. The silence was deafening compared to the warmth and calming hum of the lobby. The bright red and gold colors slowly shifted to a dull grey, and the air started smelling like cigarettes and cleaning spray.
After what felt like ages, they finally stopped in front of a large wooden door. Her eyes widened as she noticed the numerous locks lining its edges, and at the top, engraved in bold, elegant letters, was a name: Park Sunghoon, President.
So that was his name. Reading the word “President” nearly prompted her to throw up on the spot.
Her stomach twisted. She wasn’t sure what she’d expected, but she certainly hadn’t imagined the owner of a place like this to be so… approachable. Or intimidating. Or both.
“Go ahead, take a seat,” he said, opening the door and gesturing to the chair in front of his desk.
Y/N hesitated, glancing at the chaotic mess of papers, coffee cups, and Post-it notes scattered across the desk. The only clean space was the small area around his computer, seemingly big enough only to fit his arms. Despite her nerves, she sat down, trying to suppress the wave of nausea creeping up her throat.
“Relax,” he said, leaning back in his chair and lighting a cigarette. The sharp smell of smoke filled the air, and Y/N waved it away with a cough.
“You look like a deer in headlights,” he teased, his voice playful with an edge of venom. “I’m not going to eat you.”
She laughed nervously, her hands clasped tightly in her lap. “Sorry. Just anxious, I guess.”
“You’ll be fine,” he said, leaning back in his chair with a casual ease that felt oddly rehearsed. His mischievous smile returned, but there was something beneath it—something she couldn’t quite place. “Come back tomorrow, sober this time, and I’ll introduce you to the team.”
Y/N’s heart lifted, relief flooding her chest like a warm tide. “Really?” she asked, her voice tinged with cautious optimism.
Sunghoon’s head tilted slightly as his gaze lingered on her, assessing. His smile deepened, but it didn’t reach his eyes. “Of course,” he said, his voice almost too smooth. “You’ll fit right in here.”
Something about the way he said it made her pause, but before she could dwell on it, he stood abruptly and gestured toward the door.
“Get some rest. You’ll need your energy.”
Y/N nodded and offered a polite smile, though her nerves made it falter. As she stepped out into the night, the tension she hadn’t even realized was weighing on her shoulders began to ease. The cool air hit her like a welcome embrace, soothing the warmth of her flushed cheeks.
But even as she walked to her car, she couldn’t shake the sensation of being watched.
From the glass doors, Sunghoon’s figure was barely visible in the dim lobby. His sharp gaze followed her every step, his smile unwavering as though frozen in place. When she glanced back toward the building, her stomach flipped—his silhouette was still there, standing perfectly still.
She looked away quickly, shaking her head. You’re imagining things, she told herself, gripping her car keys tightly. The night had been strange enough without her paranoia adding to it.
Back inside, the faint click of the front door locking echoed through the now-silent restaurant. Sunghoon turned, his expression unreadable, and strode toward the kitchen with purposeful steps.
The atmosphere shifted as he entered, the soft hum of the refrigeration units doing little to mask the growing tension in the air. Pausing beside the walk-in freezer, he ran a hand along the edge of the wall, his fingers finding a hidden keypad. With practiced precision, he punched in a code.
A faint beep followed, and a section of the wall slid open, revealing a narrow staircase descending into darkness. The temperature dropped noticeably as he stepped inside, and the faint scent of copper and antiseptic hung in the air.
At the bottom of the staircase, the muffled sounds of screams broke through the stillness, distant but unmistakable.
Sunghoon stopped momentarily, his head tilting as if savoring the sound. His grin stretched unnaturally wide, sharp, and feral in the dim light.
“How exciting,” he murmured, his voice a low purr that echoed off the cold walls.
He stepped forward, the door sliding shut behind him with a metallic clang, sealing him—and his secrets—away from the quiet night above.
author note: first chapter! it's a little short (2k words), and im not sure how to format this on tumblr lolll but i hope you guys enjoy :D taglist is open!
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A retrouver dans Votre Actualité Littéraire : 📗 “La tigresse de Sumatra” de Patrice Montaigu-Williams 📒 “Le poids des maux, Paroles de militaires blessés” de Maria-Paule Audegond Chiappini (Editions Poisson Rouge) 📓 “Out of NYX” de Ellie Cerine 📕 “Ours, Retour sur Terre” de Joan Heliot 📕📙📒📗📘📔📓 Vₒₜᵣₑ Acₜᵤaₗᵢₜₑ́ Lᵢₜₜₑ́ᵣaᵢᵣₑ une création Book’In Family (tous droits réservés) – Emission diffusée le mercredi à 18h25 sur Tele Kreol Officiel 🎵 : Dominique Beauté 🎥 : Vidéo non modifiée – Capcut – Visuels des ouvrages non contractuels 👗 : Célio – 💍 : L’Atelier Miu 💄 : @Boho Green Make Up Partenariat commercial non-rémunéré (livre offert)
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Matisse - 23
L’atelier rouge / numeric etching / Briat 2024 – – – – Le journal du peintre Les tableaux du peintre Instagram Mastodon – – – – Le journal du peintre Les tableaux du peintre Instagram Mastodon – – – – Le journal du peintre Les tableaux du peintre Instagram Mastodon – – – –
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MATISSE - L'atelier Rouge
« Lorsque vous regardez ce tableau, vous devenez cette couleur, vous en êtes totalement saturé », disait Rothko de L’Atelier rouge de Matisse. À peine les œuvres de l’artiste américain ont-elles quitté les cimaises de la Fondation Louis Vuitton que cette toile mythique débarque du MoMA de New York, trente ans après sa dernière apparition au Centre Pompidou.
Conçue à la manière d’une enquête policière, l’exposition qui lui est consacrée s’interroge : Comment a-t-elle été réalisée ? Que représente-t-elle ? Quel itinéraire a-t-elle suivi ? Quel effet a-t-elle eu sur l’œuvre de Matisse ?
Absolument pas intéressante, mais trop pointu, trop restreint, trop spécialiste et donc élitiste.
Bref, surtout trop court, tout simplement.
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Matisse, L'Atelier Rouge
Présentation de l'exposition à la Fondation L. Vuitton, le tableau L'Atelier rouge de Matisse, son contexte, sa réception et les œuvres qui la composent.
Fondation LV Histoire d’une œuvre de l’art moderne Matisse a 41 ans et vient de déménager à Issy-Les-Moulineaux où il prend ses marques dans son premier vrai atelier qu’il vient d’acquérir. Reconnu lors de la période fauve, au début du siècle, l’artiste est sûr de son art, après avoir présenté deux tableaux représentants La Danse. On est en 1911. C’est l’hiver ! Intérieur de l’atelier…
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#art#art moderne#Atelier#Bric à brac de culture#Chronique culturelle#Chronique d&039;une visite#Expositions#Expositions 2024#Fondation#Fondation Louis VuitTon#Fondation LVMH#Henri Matisse#Matisse#Peintre#Peintres#Peinture#Peinture du début du XXè
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Goma Dango à la pâte de haricots rouges
Ce qu’il faut savoir sur l’atelier Goma Dango: Durée de l’atelier: L’atelier dure 2h; Une dégustation est prévue à la fin de l’atelier. Il est également possible d’emporter son repas, il est alors recommandé de prévoir une boite hermétique. Adresse: Salle à Cesson Sévigné au Chêne Morand, Rennes Pôle association, Espace 2 rives Moyen de transport: Un parking est disponible devant le local. Les…
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La première image dont je me souvienne est celle d’une grève, à Douarnenez, au début des années vingt : j’ai trois ou quatre ans. Nous habitons à l’école. Un potager le jouxte. Je suis assis sur le muret qui le borde. Ma grand-mère maternelle me tient dans ses bras. Elle porte la coiffe de Fouesnant. Comme elle est veuve, les rubans lui pendent dans le dos. C’est la tradition. Son visage est long et triste, avec un grand nez, des yeux gris et doux, où passent parfois des éclairs de férocité. J’aime beaucoup ma grand-mère. Parfois je regrette qu’elle prise, quand elle m’embrasse.
Ma vie commence là. Le soir tombe. En contrebas, au pied d’une sorte de ravin, une sombre procession descend la route de Ploaré. Des drapeaux rouges se déploient dans le vent. La rumeur monte, avec des chants de colère. Soudain, il y a des fouets qui claquent et aussitôt des cris, des clameurs qui nous arrivent, par bouffées. Des lueurs pourpres s’allument, sans doute des torches. On distingue des remous dans la foule. Des grappes d’hommes se forment. Elles s’empoignent. Ça cogne partout. On voit tournoyer des gourdins qu’on appelle pen-bas, en breton. Manifestants, contre-manifestants (« Les jaunes », dira mon père), forces de l’ordre casquées, la bagarre devient générale. Les fouets étaient des armes à feu. Il y a des rafales. Ma grand-mère m’arrache. Je n’ai pas le temps de souhaiter bonne nuit à Arthur, mon lapin préféré, qui grignote à longueur de journée des carottes dans son clapier. Ma grand-mère se met à courir.
- Vite, potic (petit), vite... C’est la révolution !
Malgré le milieu républicain où elle vit, ma grand-mère a la Révolution en horreur. Elle ne lui pardonne pas d’avoir guillotiné Marie-Antoinette et mis au bout d’une pique la tête de Mme de Lamballe. Elle est beaucoup moins sensible avec les lapins.
Le soir beaucoup de personnes s’entassent dans la cuisine qui est la salle à manger, l’atelier de couture de ma mère et la salle de séjour. A travers la cloison, le brouhaha des voix accompagne mon sommeil. Un mot revient : « La grève ». Pour moi, la grève, c’est la petite plage, sous les pins de Plomarc’h, où je vais jouer, à marée basse. Que vient faire la grève là-dedans ?
Mon père m’expliquera, plus tard... La grève, c’est aussi la guerre qui oppose les ouvriers et leurs patrons. Depuis des siècles et des siècles, pour obtenir des améliorations de salaire ou de conditions d’existence, les ouvriers n’ont jamais eu qu’un moyen : pratiquer la cessation collective du travail. Mon père n’était pas qu’un maître d’école de métier. Il était pédagogue de vocation. Il aimait expliquer : la cause, les effets, le pourquoi du parce que, etc. Le mot grève vient de la place de Grève, où les chômeur attendaient l’embauche. La grève est une épreuve terrible. Une fois lancée, il faut tenir. Pour vivre et faire vivre sa famille, le travailleur n’a que le salaire de son travail. S’il ne travaille plus et que la grève dure des semaines, voire des mois, les maigres économies sont vite épuisées. L’argent manque pour l’essentiel : le loyer, le charbon, le pain. On était pauvre. On devient miséreux. Se priver, on peut. Mais les enfants ? Les femmes s’encolèrent. Elles accusent les "meneurs". On arrive à des mots qui ne s’oublient plus. Des ménages craquent. Des esprits s’aigrissent. Des patrons, concurrents du patron frappé par la grève, l’utilisent contre lui. Des partis politiques et même des dirigeants de syndicats s’en servent. Le climat se détériore. Des incidents naissent. Ils dégénèrent entre ceux qui ne veulent pas céder, et ceux qui souhaitent reprendre le travail. Ces derniers l’emportent souvent. C’est dur de rester là, des jours et des jours, à tourner en rond, inutiles, fatigués de ne rien faire, sous l’oeil anxieux de la femme... Il faut alors rentrer à l’usine, avec, dans la tête et au coeur, le désespoir de l’impuissance, l’aigreur que laissent les batailles perdues, la honte d’avoir condamné les siens à la mouscaille, pour longtemps.
- Tu comprends ? disait mon père.
François Brigneau
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Henri Matisse | Matisse, L’Atelier rouge https://www.artlimited.net/agenda/henri-matisse-matisse-l-atelier-rouge-exposition-fondation-louis-vuitton-paris/fr/7585913
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Jacques Livchine : comment on a accueilli le Président Chirac en 1996 dans le Pays de Montbéliard ?
Jacques Livchine s'exprime suite aux réactions après à la cérémonie d'ouverture "Joyeux bazar" de Pays de Montbéliard Agglomération Capitale française de la Culture 2024 : "Pour faire taire ceux qui sont en train de nous faire un procès sur l’accueil du Premier Ministre, nous avons reçu le 7 mars 1996 le Président de la République Jacques Chirac dans l’atelier de Claude Acquart, le troisième de l’Unité. Zéro cérémonie, zéro tapis rouge. Les apprentis de l’atelier n’ont même pas pris la peine de se lever pour saluer le président. C’est Chirac qui sert le café. Moussa a juste dit : "si c’est toi le Président obtiens moi des papiers". Ce qui fut fait. Chirac a été ravi et Louis Souvet, Maire de l’époque, n’est pas venu nous emmerder pour nous dire : c’est pas comme ça qu’on reçoit un Président. Chers élus de PMA vous qui êtes des démocrates souvenez-vous que la démocratie c’est le pouvoir du peuple, le peuple c’est nous, votre devoir c’est de nous écouter". Read the full article
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27–06–23 J’ouvre la porte de la chambre occupée autrefois par mon frère aîné dans notre appartement de Clamart. Celle dans le long couloir menant à la salle de bain. Une bouffée de chaleur me saute au visage tellement la pièce, dont les volets et les fenêtres sont clos, est surchauffée. J’ai la sensation d’entrer dans une étuve. Ma belle-fille en chemise de nuit se lève du lit en sueur, sa petite fille dans les bras qu’elle me tend. À l’odeur, je devine qu’elle s’est salie. Je vais lui donner un bain, dis-je sa mère qui me répond : Non surtout pas, elle vient de manger. Je me contenterai donc de lui donner un bain de siège dans le lavabo. Ma belle-fille attend sa sœur qui doit la rejoindre en voiture. Elle est en train de manœuvrer pour se garer au pied de l’immeuble. En effectuant une marche arrière, elle vient froisser l’aile droite de ma voiture. Elle est paniquée. Je lui dis que ce n’est pas grave. Il a fait chaud toute la journée. J’ai besoin d’aller marcher dans le quartier. Je pénètre dans un pressing où je tombe sur le docteur Fournil, mon accoucheur à la retraite depuis longtemps. Il tient contre son buste quatre blouses opératoires rouges, dans lesquelles sont glissés des cintres. Il me dit que quelque chose ne va pas dans mon visage : une disproportion entre ma bouche et mes yeux qui le dérange. Déstabilisée, je m’éloigne du comptoir pour déambuler dans l’atelier de nettoyage. Je suis vêtue d’une robe d’été jaune et juchée sur deux hauts talons aiguilles blancs qui rendent ma démarche chaotique. Me sachant observée, j’essaie malgré tout de faire bonne figure, en tentant de réassurer mes pas. Le docteur veut absolument me fourguer ses quatre blouses pour que je les dépose chez le garagiste où je dois aller faire réparer ma voiture. Après les avoir débarrassées de leurs cintres, je les fourre dans mon sac et sors dans la rue.
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« Ce matin, on a vu un monsieur qui avait plein d’objets. Et c’était très joli. On à bien fait de la peinture. Avec un tablier et une pince derrière pour tenir le tablier. On a peint avec quatre copains sur la même feuille, mais on n’avait pas de table, c’était bien. Igor nous a prêté ses pinceaux. Igor nous a fait faire des choses qu’on ne connait pas. C’était beaucoup bien. C’était méga bien. Aussi, il ya avait plein de tableaux. On a vu des guitares avec des objets coincés dans les cordes, ça faisait plein de musique, un son qui nous cassait les oreilles. Après on à vu un masque de Spiderman, plein de paires de chaussures. Il y a avait plein de chiffres par terre et des morceaux de papier, une poupée rouge. On a écouté de la musique : le roi Dagobert qui met sa culotte à l’envers. On a écouté du Rock & Roll, la chanson des cowboys. Aussi, on a vu un serpent, mais c’était un faux en jouet.Igor a dansé le rap. Il tournait partout avec une jambe et sa main. Ca nous a plu. Avec les copains, on est allé se promener pendant que les autres ont caché des objets. Et après on les retrouvait. Après on est parti de l’atelier pour rentrer à l’école.
ATELIER SHARAV / Villefranche de Rouergue / Novembre 2009.
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Gustave Wappers, Antoine Van Dyck courtisant sa modèle (1827)
"Je suis fouuu de vous", semble clamer Van Dyck dans ce tableau, à la façon d’un Michel Polnareff, en dardant sa modèle de ses yeux de daim énamouré. Il s’agit visiblement de l’épilogue d’une séance de pose, puisque le peintre semble avoir saisi la modèle en ayant encore ses pinceaux en main, et que la modèle donne l’air de renfiler ses savates. Comme de nombreuses œuvres de ce genre, celle-ci joue du contraste entre les sujets d’études matériels de l’artiste, à savoir la modèle, ses vêtements et les accessoires, et leur transfiguration sur la toile. Cette toile montre une Vierge-Marie, avec le voile bleu et la robe rouge de rigueur. La robe de la modèle est elle aussi rouge, mais c’est une robe de servante, et le voile bleu, un tissu riche qui ne saurait lui appartenir en propre, traîne dans un panier en osier. Un tissu descend de la taille de la modèle, qui a les contours d’un drapé comme les peintures classiques en regorgent et sert la composition, mais qui n’est en fait qu’un tablier. L’ensemble de la scène est bien sûr une énième variation sur les relations amoureuses supposées entre artistes et modèles, avec beaucoup d’eau de rose. On ne peut s’empêcher de remarquer à quel point l’atelier de Van Dyck est décrit comme intimiste et plus que modeste, fidèle aux clichés du genre, alors même que Van Dyck était un artiste à succès, décoré par le roi d’Angleterre, et dont l’atelier était forcément vibrillonnant d’assistants que le maître dirigeait en chef d’entreprise.
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