#là il n'y a plus rien?
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randomnameless · 2 days ago
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Ah, des nouvelles de Pokémon Légende de Paris?
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...
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Merde Nintendo, faut pas prendre ça comme exemple enfin! Paris c'est propre quand, les éboueurs ne font pas grève (ou quand la Mairie de Paris les paie, plutôt que de faire des voyages à 10k euros à Tahiti).
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"Ne t'en fais pas, nous ne sommes plus en période de Jeux Olympiques, je ne te fais plus des chambres avec un surcoût de 800%, elles seront juste sept fois plus chères que ce qui est affiché sur le site, je ne l'ai même pas mis à jour de toutes façons."
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Et bien, il a bien changé le siège de Bouygues Immobilier.
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C'est moi où la présidente de Bouygues me fait penser à Mme Balkany?
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Ah, les fameuses "zones de non-droit" chères à notre ministre de l'intérieur!
Donc dans cet univers alternatif, le bois de Boulogne a été redonné à la nature, c'est ça? Ou c'est le Parc des Princes?
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Mon mauvais, étant donné que c'est la seule voiture qu'on voit (qui en plus, n'a pas de vignette crit'air), les zones de non-droit ne peuvent qu'être le périph ou pire, les voies sur berges!
Tout se tient, dans cette uchronie, Annie Dalgo met ses plans en oeuvre et "re-nature" les voies utilisées par les véhicules, comme ça, plus de voitures dans Paris! C'est bien pensé!
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N'empêche, quelle idée de consacrer des zones où il y a des habitations et des commerces en zones sans voiture exclusivement destinées à être occupées par les pokémons du coin... Quid des humains qui occupaient ces zones, ils ont été déplacés au-delà du périphérique ou quoi?
C'est un peu bizarre comme concept de "coexistence"...
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Ah, dieu merci cette vidéo nous montre Dragonfeu. Je me demandais quand même si on parlait bien de Pokémon, puisqu'il n'y avait pas d'image de Dragonfeu.
Et Pharamp chill devant une fac de Jussieu enfin désamiantée? Il n'est pas si mal, cet univers alternatif!
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Tiens, ils ont aussi des stands de street-food qui n'est peut-être pas hors de prix, mais quelqu'un a fait tomber sa barbe à papa par terre, et un rat, euh, un surmulot, mange les invendus du marché de la matinée.
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Une ville pour les humains et les Pokémons? Tu m'étonnes que personne en veut se baigner dans la Seine s'il y a ça dedans!
Sauf l'actuel premier magistrat de Paris, quel courage tout de même!
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"La bouteille? C'est une cuvée spéciale faite par un ami producteur de vin biodynamique en circuit court, ce n'est pas compris dans le prix de la chambre, mais franchement c'est un petit vin très tendance qui fait vivre un producteur local, alors pourquoi s'en priver? Ah, le prix? Oui, évidemment, c'est de la qualité là, pas quelque chose fait pour le grand public tu vois, allez, je te fais une réduction à 90 poké-euros la bouteille, et encore, c'est un cadeau de ma part!"
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Fin 2025?
Mais les municipales, c'est en mai-juin 2026 non?
Est-ce que ce jeu va aider Annie Dalgo à briguer un troisième mandat? On y croit!!
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jezatalks · 1 year ago
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L'aventure du soir : Jez en maillot de bain. Avec 2 hommes nus. En plein milieu de la nuit. Dans une source chaude naturelle. Paumée dans la montagne accessible par un chemin quasi pas praticable. Seulement éclairés par la pleine lune et les constellations.
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jawnressources · 3 months ago
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Message d'intérêt général -
Quand vous achetez mes skins, je vous en remercie profondément mais ça ne vous donne en rien le droit de demander des services gratuits par derrière. Juste au cas où ça échappe à certains, il y a un être humain derrière l'écran qui a donné de son temps pour réunir quelques skins à vendre pour arrondir ses fins de mois. Quand vous me demandez de modifier un skin en y ENLEVANT des choses pour ensuite vous plaindre de ne pas utiliser l'entiéreté du skin, vous ne pouvez pas demander des choses gratuites par derrière. Quand je prend une soirée entière pour modifier GRATUITEMENT les codes pour que ça colle à votre vision, ça ne vous donne pas le droit de profiter encore plus. Venir par la suite me culpabiliser de ne pas avoir utilisé entièrement le skin pour que je vous offre des choses gratuites, c'est non. Me culpabiliser d'avoir un jour dit "oui" pour installer quelque chose pour me forcer à le faire quand je dis ensuite non... le consentement ça vous dit quelque chose ?
Donc là je me retrouve face à un cas d'une personne qui n'a pas utilisé tout le skin, m'a demandé de retirer des éléments du dit skin, m'a fait installé toutes les catégories différentes parce que "je ne savais pas que le code serait si compliqué", puis se sert de cette excuse pour me demander de lui offrir le pack de fiches. Puis cette personne me demande ensuite de lui installer autre chose, screens à l'appui, bien que j'ai finalement dit plus tard ne pas savoir comment totalement faire.
Donc on va être clair. Oui, merci d'avoir acheté mes skins et si vous avez besoin d'aide, il n'y a aucun souci. Oui, j'ai aidé à peu près tous ceux qui ont acheté les skins et les fiches à les installer correctement parce que oui, on est pas tous calés en code. Non, je ne suis pas à votre disposition. Non, je ne vous doit rien, si ça n'est un merci. Non, quand je taff gratuitement à littéralement vous installer la moindre catégorie jusque dans le panneau d'administration, la moindre fiche, la moindre couleur, ça ne vous donne ni le droit de venir me demander de l'aide pour la moindre petite chose en MP tous les jours sur Discord, et encore moins de me demander des choses gratuites par derrière.
Je commence à être fatiguée de rappeler à certains que j'ai une vie en dehors de mon écran et que reçevoir tous les jours des demandes à l'aide est franchement épuisant alors qu'il existe je ne sais trop combien de forums d'entraide qui pourraient le faire tout aussi vite.
Je vends mes codes non seulement pour aider ceux qui le veulent à installer entièrement un forum entier sans se prendre la tête, et aussi pour pouvoir mettre un peu d'argent de côté. Je vous demande de me respecter en tant que personne, et c'est bien triste d'en arriver à demander ne serait-ce qu'un peu de respect. Soyons clairs, non je n'offre plus rien gratuitement depuis très longtemps, les raisons sont diverses et variées et peut-être qu'un jour je vous ferais ici un joli long post pour vous expliquer chaque situation qui m'a poussé un peu plus à m'isoler de la commu' RP.
En attendant, merde pour certains, merci pour les autres.
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camisoledadparis · 2 months ago
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saga: Soumission & Domination 370
Novembre en France-2
Blockhaus Jour 2
Pendant le déjeuner j'essaye d'en savoir plus sur notre nouveau voisin mais PH et Ludovic me disent qu'ils ne savent pas qui il est.
Du coup je les charge de voir à qui appartient l'immeuble de droite qui est du même type avec mission de le racheter si c'est possible.
Dans la soirée je fais visiter le second étage (celui dédié à ma société) à Dane.
Il mate la frise de mon bureau. Il ne pensait pas que ma " petite affaire " représentait autant de mecs. Je le vois fixer son intérêt sur notre petit Maxou !
Pour le remercier de s'être occupé de moi pour mon retour en catastrophe, j'appelle mon escort et lui demande de venir nous rejoindre illico. Quand je raccroche, Dane se rend compte que je le fais venir pour lui. Pour avoir discuté avec Tyler et lui de ma société et des tarifs que je pratiquais, il me demande combien il va me devoir.
Evidemment rien bien sûr !! Je ne fais pas payer mes amis même si moi, je rétribuerais Maxou, mais ça je ne lui dis pas.
Maxou arrive après ses cours et nous rejoint en salle de sport. Il y a déjà une 10aine de mes escorts à s'entrainer avec nous.
Comme je m'étonne de l'absence de Jona et de François, PH me glisse qu'ils ont été rappelés au " service ". Du coup le coaching muscu et combat a échu à nos deux gymnastes fraichement intégrés avec surveillance de Ludovic pour la partie fighting. Le tout sous la gestion de notre Maitre-nageur. Pour les prestations d'Escorting, PH a pris l'affaire en main. Je ne peux qu'admettre que cette organisation est la plus efficiente.
Le temps que je me mette à jour, Maxou s'est attaqué à Dane en le provoquant à un combat sur le tatami de la serre. Arrêt de quasiment tous les entrainements pour voir le défi.
Si au départ Dane avec sa carrure d'adulte n'y allait pas trop fort au regard du format toujours crevette de son adversaire, quand il a gouté pour la deuxième fois le tapis, il s'est aperçu que le niveau de son adversaire valait bien le sien. Après quelques 15 minutes, profitant de son allonge et de son poids supérieur, il réussit à coincer Maxou sur le tapis. Jusqu'à ce que déloyalement, ce dernier ne lui roule un patin ! Fin d'entrainement pour tous, douche et évidement c'est parti en touze !! Dane, nouveau pour beaucoup, s'est retrouvé très sollicité et après avoir profité de Maxou, s'est laissé entrainer par mes autres escorts.
Une bonne heure et demi plus tard, il me rejoint et épuisé me dit que mes mecs sont trop bon. Il a particulièrement apprécié le fait qu'ils utilisent leurs potentiels physiques comme des pros. Puis il se rend compte que c'est évidement à des pros qu'il avait eu à faire !
Je garde Maxou alors que les autres nous quittent. Dane et un peu gêné et il lui demande si cela ne l'embête pas trop de rester pour lui.
Réponse de l'intéressé : " quand il bosse, il ne prend pas en compte ses avis personnels, mais là en plus il n'a aucunement à se forcer pour me faire plaisir " (à moi Sasha). Il ponctue sa déclaration d'un bisou sur ses lèvres.
Pendant le diner la conversation passe des évènements Parisiens à notre vie à San Francisco. Maxou est super intéressé et quand il apprend que le petit frère de Dane viendra en France pour la fin d'année, il n'a de cesse d'en savoir plus sur ce dernier.
Pour faire cesser le harcèlement de question, je lui dis de s'adresser à Enguerrand ou à Max, car je suis sûr que ces deux-là l'ont pris en photo au minimum. Pas garanti qu'ils n'aient pas réalisé en plus une sextape !!
Dane, qui depuis le passage de la triplette, s'est rapproché de son frère notamment sur le sujet du sexe et de son utilisation, confirme que ces derniers en ont même fait plusieurs lors de leur passage en Californie.
 La soirée se passe calmement, enfin à recouvrer des forces !
La nuit nous restons de part et d'autre. Moi je retrouve mes deux amours et nous faisons l'amour. Comme cela fait longtemps que nous ne nous étions retrouvés tous les trois seuls, cela prend un parfum de tendresse rarement présent quand nous sommes plus nombreux.
A côté je suis sûr que Maxou donne à notre yankee un aperçu des petits Français qu'il ne sera pas près d'oublier.
Retour
Les quelques jours passent rapidement et quand nous remontons à Paris pour prendre notre avion, nous trouvons Kev chez Henri (pas question qu'il reste seul dans son duplex). Un infirmier beau comme un dieu s'occupe de lui dans la journée quand Henri est au travail.
Que voulez-vous ? On ne se refait pas et nous ne quittons l'appartement qu'après que j'ai sodomisé le corps médical.
Déjà en blouse et pantalon blanc relativement large, il paraissait canon mais à poil (enfin nu) il l'est vraiment ! Une bouche bien profonde idéale pour abriter les 21x5,5 de Kev, et une musculature lui permettant de s'occuper de tout lors des sodos. Il m'en fait une démonstration alors que, couché sur le dos, il se plante sur mes 20x5 et me les pompe avec sa rondelle sans que j'aie à faire de mouvement.
Pour les plus curieux, il fait dans les 1m80 et porte au moins 70Kg de muscles secs. Une belle bite de 18/19 épaisse et surtout un petit cul bien rond cachant une rondelle souple mais nerveuse.
Alors que nous quittons l'appart d'Henri pour l'atelier d'Alban, Kev me demande comment j'avais trouvé son " garde malade ". Réponse " avec lui tu ne vas pas être en manque de tes potes " !! Il me dit que pendant que je m'amusais avec son " garde malade ", il avait profité de mon américain. Un simple 69 mais qui avait tenu toutes ses promesses.
Quant à ses copains habituels de baises, Kev me réponds que certains passeront quand même le voir pour éviter la routine. Je le reconnais bien là, aussi chaud que moi !
Passage chez Alban. Il héberge encore Ric que son père est venu voir quelques jours plus tôt. Avec juste un bandage autour du biceps, Ric est tout content de nous voir. Il nous dit s'être inscrit pour un mois à la salle de gym de Kev, puisqu'ils ont décidé qu'il ferait sa convalescence à Paris. Déjà la semaine et demi d'arrêt lui pèse et il va vite reprendre au moins le cardio et tout ce qu'il peut travailler. Les cuisses, les abdos et tout le haut avec son bras droit avant de reprendre doucement avec le gauche en fonction de l'autorisation de la faculté.
Le taxi nous dépose à Roissy juste à temps pour l'enregistrement. Pas de bagages de soute, cela rend l'enregistrement plus rapide. Mais du coup le passage de la douane est plus fouillé. Si Dane passe rapidement, c'est limite si les douaniers ne m'auraient pas mis à poil. Bon j'aurais bien aimé car un des mecs qui me palpait était tout à fait baisable. J'ai eu le plaisir de le voir rougir alors qu'il s'apercevait avec sa mains tout le bien que je pensais de lui (bandant comme un âne, il aurait eu du mal de ne pas capter !).
J'ai eu l'espoir un moment que la barre dure qui déformait mes jeans allait l'amener à me faire une fouille au corps, mais non, dommage !!
Attente dans le salon des premières, puis embarquement. Compagnie américaine, personnel de bord charmant, à nos petits soins mais loin d'être de première jeunesse !!
A l'arrivée Tyler nous attend. On se raconte notre petite semaine en France. Dan est le plus disert. Je m'aperçois que notre passage à Paris l'avait fortement impressionné (surtout mes amis Henri, Kev et la musculature hors norme de Ric). Il lui décrit aussi le blockhaus comme un endroit de folie et les mecs qui y passent.
Du coup Tyler est pressé que l'on soit un mois plus tard !!
Quand il apprend que Duke a fait des sextapes avec mes " petits frères ", il est surpris tout en étant pas plus étonné que ça venant de 4 obsédés de la bite !!
Duke nous attendait chez Tyler. Lui aussi voulait des nouvelles et surtout de ses nouveaux copains Frenchies. Dan répète pour lui. C'est à son tour de devenir impatient d'arriver à Noël !!
Le mois passe vite et les nouvelles de France qui me parviennent régulièrement sont bonnes. Tellement que mes deux amis blessés le 13 novembre pourront être des nôtres en fin d'année.
Coté immobilier, PH me prévient qu'il a pu acquérir l'immeuble qui nous jouxte pour une bouchée de pain et me propose de transformer le rez-de-chaussée en garage d'entretien pour nos motos dont Cyril prendrait la charge et l'étage pour faire un grand appartement pour Samir et Ammed. Même s'ils restent à notre service, ils auront ainsi un peu plus d'intimité.
 Quant à la cour, il comptait, si j'étais d'accord, la raccorder à la nôtre en y organisant un jardin toute saison avec quelques fruitiers.
J'accepte toutes ses propositions et le questionne sur ce qu'il se passe de l'autre côté du blockhaus chez notre nouveau voisin.
Là, les travaux seraient finis avec en copie une verrière comme la nôtre mais 2 étages plus basse.
Ça m'intrigue que l'on ne réussisse pas à savoir qui est le propriétaire !!
Coté sexe, j'ai repris mes apartés qui ne le sont plus trop vu le nombre de mecs qui participent à ceux-ci. Depuis nos virées " touristiques ", je suis le point focal des deux groupes de sportifs (arts martiaux et natation) du moins pour les plus Pd d'entre eux ! Heureusement que quelques-uns sont originaires de cet état, ça nous permet de nous retrouver en dehors de l'université. Même si nous avons trouvés des coins où nous pouvons baiser sans trop de risque de nous faire surprendre !
Les installations sportives sont nos préférées. Ce sont les vestiaires, les douches, certaines salles un peu isolées qui abritent nos turpitudes.
Ça me rappelle un peu les touzes que je faisais en France après nos séances de sport au Blockhaus. La seule différence c'est que j'entends plus " Fuck me " que " vas-y défonce moi ".
Je me fais plaisir aussi bien à défoncer les rondelles américaines qu'à me faire prendre.
Sans qu'ils soient prudes, mes partenaires étaient plutôt à baiser par deux parfois trois qu'à touzer comme des bêtes en rut ! Maintenant ce n'est plus le cas et j'ai l'impression qu'ils aiment ça.
Il n'est pas rare que je me prenne deux ou trois bites dans le cul (pas toutes en même temps !!) et que je fasse subir à autant de cul mes coups de rein. J'aime particulièrement à m'accrocher aux épaules hypertrophiées des nageurs alors que je les encule en levrette. Épaules larges associées à des tailles fines bien cambrées et de beaux fessiers ronds, que demander de plus pour bander comme un âne ?  Avec les " combattants ", c'est plus hard. On ne peut s'empêcher inconsciemment de voir qui sera le " dominant " de la relation. Les embrassades sont plus rudes et les préliminaires plus musclés jusqu'à ce que l'un d'entre nous cède ou décide d'être cette fois-là le passif du moment.
Je ne suis pas le dernier à me mesurer aux autres et grâce à l'entrainement de Don j'ai le dessus quand je veux. Ce qui ne m'interdit pas de laisser couler quand je suis en manque de saillie !!
Hé, on ne se refait pas, je suis recto/verso et je prends mon pied dans toutes les relations sexuelles possibles (entre mecs).
Au tout début de mon séjour, quelques filles m'ont dragué. Je pense dans l'idée de se faire un petit français. Mais de ce côté-là je suis fidèle à Emma !! Elles ont dû se rendre à l'évidence que pour moi c'était mecs uniquement.
Un des derniers plans a eu lieu dans une des salles de sport du campus. Un des fighters nous a emmenés dans une salle de boxe et nous avons pu baiser sur le ring. Les cordes et les 4 coins ont bien servis à soutenir les corps en train de se faire défoncer. Je pense que ces installations n'avaient encore jamais vu ça depuis leurs installations.
Je me souviens m'être fait défoncer par un nageur alors que je me tenais, les jambes écartées et les bras accrochés autour d'un sac de sable, alors qu'un autre des mecs me pompait la bite. Chaque coup de rein qui enfonçait la belle queue de mon assaillant au fond de mon trou, faisait progresser mon gland derrière la glotte de mon pompeur. A nos côtés, les couples, trio ou plus ne se retenaient pas de bruits significatifs.
Nous avons été tellement discrets qu'à un moment j'ai vu la tête de l'entraineur principal des sports de combats passer la tête par une des portes. Trop emporté par mon plaisir je n'ai pas réagi ni prévenu mes potes. Mais il n'est pas entré nous faire cesser. Il nous a matés quelques instants puis s'est retiré sans bruit.
Le lendemain matin je séchais un de mes cours pour aller le trouver. Avant même que je n'essaye de le convaincre de ne pas divulguer notre touze, il me dit comprendre le besoin des étudiants de se détendre et de faire tomber la pression que les études peuvent produire. Il ajoute que nous devrions les prochaines fois prendre soin de bloquer les issues, tous les encadrants n'ayant pas la même tolérance envers nos pratiques, même si nous étions en Californie.
Jardinier
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chic-a-gigot · 7 months ago
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Les Modes : revue mensuelle illustrée des arts décoratifs appliqués à la femme, no. 163, juillet 1914, Paris. "Lettre sur la mode: La silhouette actuelle et l'attitude-tango." Francis de Miomandre. Bibliothèque nationale de France
English translation by Google Translate (and edited for relative clarity).
Ma chère amie,
Vous me demandez mon avis sur la mode actuelle, comme ça, simplement?… Voilà bien une idée de femme!… Comme si Fou pouvait professer une opinion sur un pareil sujet, si ondoyant! Tout ce que peut faire un homme de goût, c'est d'admirer ses contemporaines qui passent, et de respecter cet effort martyrisant qu'elles t'imposent pour diversifier à l'infini leur séduisante figure. Je sais que cet effort n'est pas toujours heureux. Mais n'allez pas en incriminer la mode, qui n'y est pour rien. Il y a deux sortes de femmes, celles qui ont du goût… et les autres. Ces dernières ont le génie d'élire parmi les accoutrements du jour celui précisément qui les rendra ridicules.
Il arrive un moment où nous ne remarquons plus combien sont gracieuses les femmes de goût qui portent encore les choses à la mode le mois dernier, mais nous n'avons plus d'yeux que pour leurs malheureuses imitatrices. C'est à ce moment-là qu'une mode est démodée. Il faut la changer.
La question de changer ne se pose pas pour la mode actuelle, puisque sa caractéristique est d'etre au contraire en perpétuelle évolution. Une évolution! que dis-je? un vertige… On n'a pas le temps s'y reconnaitre… Il semble que toutes les les pays soient conviés à nous fournir des motifs d'inspiration sans cesse renouvelés. Et c'est la Perse et bientôt l'Inde, et c'est la Grèce, la Grèce de M. Pierre Loüys, la Grèce à demi orientale d'Alexandrie, et c'est la Turquie et demain ce sera la Chine. Et puis après, on remontera dans le moyen âge. On pillera les musées. La mode actuelle? Ah! bien quinaud celui qui essaierait de s'en moquer! Car il n'aurait pas plutôt achevé sa petite diatribe, si vaine ! que déjà on pourrait lui répondre: « Mais, Monsieur, vous datez, vous vous raillez d'une très vieille chose. Ce que vous trouvez ridicule, il y a au moins quinze jours que nous en avons assez nous-mêmes… » Consultez les caricatures des journaux amusants, et vous serez édifiée. La mode actuelle, qui a le désavantage de coûter très cher à celles qui veulent la suivre, et de les ahurir un peu, a au moins la supériorité d'échapper au ridicule. Elle court si vite!…
Et cependant, me direz-vous, elle existe. On s'habille, que diable ! A vous d'extraire de tout cela la ligne générale, je ne sais pas moi, la synthèse…
Je veux bien. Voyons. Cherchons ensemble. Est-ce la tunique ? Mais non, puisque la bonne moitié des toilettes ne comporte pas de tunique. Est-ce la cape? La cape donne une jolie silhouette, mais que de femmes restent fidèles à des manteaux d'une tout autre forme, et cependant demeurent très dans le train! La note serait-elle donnée par le chapeau? Je veux bien, mais alors lequel? Le petit, le grand, le plat, le large, l'immense, le rond, le roulé en cornet, le lourd ou l'aérien?… Ne cherchez pas plus avant et reconnaissez avec moi que ce qui caractérise la mode actuelle n'est pas tant une ligne plus ou moins souple et gracieuse du vêtement qu'une attitude de la femme qui porte ce vêtement, cette attitude molle, hanchée, abandonnée, douce, passive, un peu veule et que, pour tout dire, j'appellerai l'attitude-tango.
On a souvent dit: « Le ventre s'est beaucoup porté cette année. » Quelle impropriété fâcheuse d'expression! Vous le savez bien, vous qui vous habillez à ravir et vous tenez de même, qu'il n'a jamais été question de ventre, mais qu'il a été énormément question de tango. Or, dans l'exercice de cette danse charmante, et qui, malgré de retentissantes interdictions ecclésiastiques, n'est pas près de disparaître, on se trouve fort souvent le bras en l'air et le talon relevé, portant tout le poids du corps sur un seul côté, ce qui donne aussitôt aux dames un petit air langoureux et vide, une attitude molle et déjetée.
A force de s'adonner à cette danse, nos élégantes ont pris l'habitude de se tenir ainsi dans toutes les autres circonstances de la vie. Et c'est en tanguant qu'elles entrent dans un salon, qu'elles y prennent le thé, qu'elles écoutent les hommes d'esprit, qu'elles regagnent leur automobile, qu'elles essaient leurs robes, qu'elles attendent la balle au tennis, enfin qu'elles vivent.
Rappelez-vous comment elles étaient il y a seulement trois ans. Droites, fières, faisant valoir le moindre pouce de leur taille, et minces, si minces ! C'étaient des Florentines, des reines, d'inaccessibles idoles. Le tango a changé tout cela. Le tango les a humanisées, assouplies, le tango les a brisées.
Il y a même là un profond mystère. Car, enfin, le corset, lui, n'a rien abdiqué de son inflexible nature. Il a beau porter des noms de nixes et d'ondines, de fées, de magiciennes ou de déesses, tout ce qu'on peut dire c'est qu'il commence un peu moins haut pour finir beaucoup plus bas. Et certains ressemblent davantage à des culottes baleinées qu'à des corsets proprement dits. Mais le fait est que cet instrument n'a de suave que le nom et qu'il se compose toujours d'un buse rigide comme un principe, d'agrafes solides comme des crampons et de fanons qui rompent parfois, mais ne plient sous aucun prétexte. Comment une femme aussi farouchement maintenue peut-elle trouver le moyen de se pencher avec une langueur si délicieuse? Comment arrive-t-elle à donner l'impression de n'être, en dessous, couverte que de linons impondérables et de souples batistes? Énigme, vous dis-je. Enigme de courage et d'héroïsme. La femme d'aujourd'hui est cent fois plus étonnante que le jeune Spartiate qui souriait tandis qu'il était dévoré par son renard. Cet adolescent, en effet, personne ne lui demandait dé remuer. Mais la femme à la mode, non seulement elle sourit, mais encore elle va et vient, elle penche le buste à droite et à gauche, elle marche, elle danse, cependant qu'un appareil ingénieux et terrible lui froisse les côtes, lui comprime le ventre, lui lacère les jambes, lui meurtrit les genoux. Que lui importe ? Un sourire d'extase illuminant sa figure enivrée, elle s'avance, désarticulée et engageante, suivant toutes les règles de l'attitude, qui lui donne son grand cachet de chic, de l'attitude-tango.
My dear friend,
You ask me my opinion on current fashion, just like that?… That's a woman's idea!… As if Fou could profess an opinion on such a subject, so undulating! All a man of taste can do is admire his passing contemporaries, and respect this tormenting effort that they impose on you to infinitely diversify their seductive figure. I know that this effort is not always successful. But don't blame fashion, which has nothing to do with it. There are two kinds of women, those who have taste… and those who don't. The latter have the genius to choose from among the outfits of the day precisely the one that will make them look ridiculous.
There comes a time when we no longer notice how graceful the women of taste are who still wear fashionable things last month, but we only have eyes for their unfortunate imitators. That’s when a fashion goes out of fashion. It needs to be changed.
The question of changing does not arise for current fashion, since its characteristic is, on the contrary, to be in perpetual evolution. An evolution! what did I say? a dizziness… We don't have time to relate… It seems that all countries are invited to provide us with constantly renewed sources of inspiration. And it is Persia and soon India, and it is Greece, the Greece of Mr. Pierre Loüys, the semi-eastern Greece of Alexandria, and it is Turkey and tomorrow it will be China. And then afterwards, we will go back to the Middle Ages. We will loot the museums. Current fashion? Ah! very stupid anyone who tries to make fun of it! Because he would not have sooner finished his little diatribe, so vain! that one could already reply to him: “But, Sir, you are dating, you are making fun of a very old thing. What you find ridiculous, we have had enough of it ourselves for at least a fortnight…" Look at the caricatures in the amusing newspapers, and you will be edified. Current fashion, which has the disadvantage of being very expensive for those who want to follow it, and of bewildering them a little, at least has the superiority of escaping ridicule. She runs so fast!…
And yet, you will tell me, it exists. Let's get dressed, damn it! It's up to you to extract the general line from all this, I don't know, the synthesis…
I don't mind. Let's see. Let's search together. Is it the tunic? But no, since a good half of the toilets do not have a tunic. Is it the cape? The cape gives a pretty silhouette, but how many women remain faithful to coats of a completely different shape, and yet remain very in tune! Would the score be given by the hat? I'm willing, but which one? The small, the large, the flat, the wide, the immense, the round, the rolled into a cone, the heavy or the airy?… Look no further and agree with me that what characterizes current fashion is not so much a more or less supple and graceful line of the garment as an attitude of the woman who wears this garment, this soft, hip, abandoned, gentle, passive, a little spineless attitude and which, to tell the truth, I'll call it attitude-tango.
It has often been said: “The stomach has worn a lot this year." What an unfortunate impropriety of expression! You know well, you who dress beautifully and carry yourself the same, that it was never a question of stomach, but that it was very much a question of tango. Now, in the exercise of this charming dance, which, despite resounding ecclesiastical prohibitions, is not about to disappear, one very often finds oneself with one's arm in the air and one's heel raised, carrying the entire weight of one's body, on one side only, which immediately gives the ladies a little languorous and empty air, a limp and lopsided attitude.
By devoting themselves to this dance, our elegant ladies have gotten into the habit of holding themselves like this in all other circumstances of life. And it is while swaying that they enter a salon, that they take tea there, that they listen to men of wit, that they return to their car, that they try on their dresses, that they wait the tennis ball, finally let them live.
Remember how they were just three years ago. Straight, proud, showing off every inch of their waist, and thin, so thin! They were Florentines, queens, inaccessible idols. Tango changed all that. Tango humanized them, softened them, tango broke them.
There is even a deep mystery there. Because, finally, the corset has not abdicated any of its inflexible nature. It may bear the names of nixes and undines, fairies, magicians or goddesses, all we can say is that it starts a little lower and ends much lower. And some look more like boned panties than actual corsets. But the fact is that this instrument is sweet only in name and that it always consists of a nozzle as rigid as a principle, of solid staples like crampons and of baleen which sometimes break, but do not bend under any circumstances. Pretext. How can such a fiercely held woman find a way to bend over with such delicious languor? How does it manage to give the impression of being, underneath, covered only with imponderable lawns and soft cambric? Enigma, I tell you. Riddle of courage and heroism. The woman of today is a hundred times more astonishing than the young Spartan who smiled as he was devoured by his fox. This teenager, in fact, no one asked him to move. But the fashionable woman not only smiles, but also comes and goes, she leans her bust to the right and to the left, she walks, she dances, while an ingenious and terrible device crumples her ribs, compresses her stomach, lacerates his legs, bruises his knees. What does it matter to him? A smile of ecstasy illuminating her intoxicated face, she advances, disjointed and engaging, following all the rules of attitude, which gives her her great stamp of chic, of the tango attitude.
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kiariaaaa · 7 days ago
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Les réactions des garçons HSL après leur premier baiser 💋
Ce que les cdc de HSL ont fait une fois avoir laissé Candy après leur premier baiser, un thread :
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Nathaniel 🏵
Nathaniel était rentré chez lui, le cœur léger. Sur le chemin, il souriait sans s'en rendre compte en repensant à ce moment. Il sentait encore l'adrénaline qui avait parcouru son corps quand il s'était approché d'elle, quand elle l'avait regardé avec des yeux de biches, paralysée. En y repensant, il se cachait le visage dans son manteau de gêne devant l'audace dont il avait fait preuve, une audace que seule Candy avait pu faire émerger en lui. Elle faisait ressortir le meilleur en lui, et ça lui procurait une chaleur intense dans son cœur.
Il était rentré chez lui, le cœur léger, et avait caliné Blanche pendant des heures parce que son esprit divaguait vers le souvenir de ses nouvelles sensations que lui avaient donné ce baiser. Si doux, si franc, si sincère. Il serrait Blanche contre lui en souhaitant que ce soit Candy dans ses bras.
Il avait passé le reste de la soirée et la nuit allongé sur son lit, à fixer le plafond, le sourire aux lèvres. Heureux. Depuis bien longtemps, il se sentait entièrement vivant.
Armin 🌸
Armin avait parcouru le trajet vers chez lui complètement dans les nuages. Il tentait d'occuper son trajet en jouant sur son téléphone, mais il ne faisait pas attention à ses parties, il pouvait gagner ou perdre il s'en fichait, Candy envahissait son esprit, surtout ses lèvres et sa petite moue boudeuse qu'il adorait.
Rien que de penser à la suite le faisait vibrer d'avance, tout son corps s'extasiait d'avoir passé une nouvelle étape de leur relation, qu'il croyait inespérée. Jamais il n'aurait pu espérer toucher le cœur de Candy, mais il n'y avait qu'elle pour réussir à le faire sortir de sa zone de confort. Depuis qu'il la connaissait, Armin avait expérimenté des choses qu'il pensait au delà de sa portée.
En rentrant chez lui, il se doutait qu'Alexy lui sauterait dessus pour tout lui raconter. Mais il ne se laissa pas démonter et lui partagea le minimum dont il devait savoir. Sa connexion avec Candy devait rester intime, partagée d'eux seuls. Et c'est tout ce qu'il lui fallait.
Il n'arriva pas à jouer cette nuit-là, toutes ses pensées n'avaient d'yeux que pour elle.
Castiel🌹
Castiel n'avait pas été aussi détendu depuis longtemps. Depuis très longtemps, la carapace qu'il s'était forgé avec enfin montré des fissures. Et c'était Candy qui avait réussi à la briser. Il n'avait même pas allumé de cigarette sur la route de chez lui, il profitait du beau temps en observant le paysage, ailleurs. Il imaginait déjà tout ce qu'il pourrait faire découvrir à Candy, ses passions, ses envies, mais aussi d'autres expériences...
A peine était il rentré chez lui qu'il avait emprunté sa guitare et commencé à gratter des lignes. Une mélodie avait germé dans son esprit sur le chemin, il ne pouvait décidément pas se l'enlever de la tête. Il passa la soirée dessus, sans penser à manger ni même à sortir Demon. Candy avait accaparé son être, cette fille allait lui en faire voir de toutes les couleurs, il le savait. Et il avait hâte.
Kentin 🌻
Kentin n'arrivait plus à se contenir. En rentrant chez lui, il sautillait sans s'en rendre compte, agitait les mains et fredonnait, puis frissonnait d'excitation quand il repensait à ce qu'il avait fait, au visage de Candy quand il s'était jeté à l'eau. Il avait enfin réussi à l'embrasser, après toutes ces années ! Il n'y croyait pas encore, c'était trop beau pour être vrai. Mais les sensations étaient bien là : Candy l'aimait, il lui avait enfin dévoilé ses sentiments.
Dès qu'il fut rentré, il emmena Cookie faire un footing car il avait de l'énergie à revendre, il ne pouvait pas rester en place. Malgré tout, ses pensées ne quittaient pas Candy même quand il avait couru. Il voulait déjà la revoir, l'embrasser, lui faire une déclaration d'amour, la couvrir d'affection et la traiter comme une véritable princesse.
Dans la nuit, il se repassait en boucle le meilleur moment de sa vie, se faisant des films sur leur futur, leur mariage et leurs trois enfants, un rêve qui désormais pourrait paraître réalisable.
Lysandre 🌺
Lysandre avait pris son temps pour rentrer chez lui. Il était passé par le parc et s'était posé sur un banc, au soleil, s'imprégnant de la brise et de l'atmosphère joyeuse, reflétant son état intérieur. Il revoyait Candy dès qu'il fermait les yeux et voyait son visage, chaque trait, si magnifique et unique. Pour la première fois de sa vie, il ressentait une joie intérieure si paisible que toutes ses inquiétudes, ses pensées s'étaient envolées.
Il sortit son carnet de notes en pensant une fois encore à Candy, qui sans elle aurait été perdu à jamais. Et commença à écrire. Des mots. Des phrases. Des poèmes entiers. Des sentiments. Tout ce que Candy lui faisait ressentir. Ce carnet, auparavant hésitant sur les mots, se remplissait désormais de la présence de Candy. Car c'est ce qu'elle signifiait pour lui. Tout.
Il oublia le temps en écrivant ses poèmes, il fallut que la nuit tombe pour que Lysandre se décide à rentrer, et passer la nuit à rêver d'elle.
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Merci d'avoir lu ! 😘
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angelap3 · 2 months ago
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"Le vieil homme et son chien
Seul et fatigué par les années, j'avais cru qu'un chien remplirait le vide de mon existence.
Je l'ai trouvé un soir d'automne, errant sur le chemin. Sale, maigre, l'espoir absent dans ses yeux ternis. Je me suis accroupi et, doucement, j'ai tendu la main. Il n'a pas reculé. Au contraire, il s'est approché, son museau froid contre ma paume, comme s'il m'attendait depuis toujours. Depuis ce jour, il est devenu mon chien, et moi, son maître.
Je lui parle comme à un vieil ami, et lui me répond par des battements de queue et des léchouilles au creux des mains. Chaque soir, il me regarde avec une patience infinie.
— "Fido, demain il n'y aura rien à manger. La retraite est finie, il va falloir attendre."
Il penche la tête, comme s'il comprenait. Et il attend avec moi.
Le jour tant espéré finit par arriver. Dans la longue file des retraités, je serre entre mes mains mon vieux livret aux coins usés par le temps. Chacun ici porte son âge sur les épaules. Fido, lui, ne se soucie pas de l'attente. Sa queue bat joyeusement contre mes jambes. Il sait qu'aujourd'hui, nous mangerons plus, peut-être même un peu mieux.
L'hiver s'installe, implacable. Ma maison est glaciale. Pas de feu pour réchauffer les murs, mais qu'importe. Fido est là, blotti contre moi. Sa chaleur vaut tous les feux de cheminée du monde.
Quand le printemps éclot enfin, il nous trouve dehors, assis côte à côte sous le premier soleil. Je ferme les yeux, et dans le silence embaumé de terre humide, une prière me traverse le cœur :
— "Merci, Seigneur, d'avoir créé le chien."
- Charles Bernal.
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christian-dubuis-santini · 2 months ago
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Le rapport de l'homme et de la femme, en tant qu'il est radicalement faussé par la loi, la loi dite sexuelle, laisse quand même à désirer qu'à chacun il y ait sa chacune pour y répondre.
Si ça arrive, qu'est-ce qu'on dira?
Non pas certes que c'était là chose naturelle, puisqu'il n'y a pas à cet égard de nature, puisque LA femme n'existe pas.
Qu'elle existe, c'est un rêve de femme, et c'est le rêve d'où est sorti Don Juan.
S'il y avait un homme pour qui La femme existe, ce serait une merveille, on serait sûr de son désir.
C'est une élucubration féminine.
Pour qu'un homme trouve sa femme, quoi d'autre sinon la formule romantique - c'était fatal, c'était écrit. (Jacques Lacan, D'un discours qui ne serait pas du semblant)
Lorsque nous aimons une femme, nous la considérons rarement comme celle qu'elle est en son être propre ; nous nous arrangeons plutôt pour la faire entrer dans le cadre de notre fantasme, la fenêtre par laquelle nous voyons le monde, les coordonnées qui déterminent notre capacité à désirer.
Nous n'identifions donc pas correctement l'être de l'autre, ou plutôt nous nous bouchons les oreilles à son sujet, car hors la médiation du sujet, il n'existe aucun accès à l'être de l'autre.
Aussi n'est-il pas étonnant que, constatant que que nous nous sommes trompés, que le fantasme de l’autre est incompatible avec le principe de plaisir qui domine notre appareil psychique gouverné par le signifiant, l'amour se change en mépris, en violence ou en haine.
La haine n’est que l’impossible de l’amour, sa matrice formelle. Plus on aime, plus on est, plus on hait.
Comment sortir de ce contresens de l'amour dit «romantique» pour lequel il s'agit d'idéaliser la partenaire au risque de la rendre inaccessible, et qui conduit toujours au malheur?
Il n’y a pas d’amour sans haine, mais pas au sens de l’alternative: ou bien l'amour...ou bien la haine, l’hainamoration cela veut dire qu’amour et haine — et ignorance! — sont toujours déjà noués de façon indissociable.
Plus on aime, plus on est, et donc plus on hait.
Voilà pourquoi Eros s'obstine toujours à vouloir trouver ce qu'il y a de réel dans l'affaire, ce qui n’a rien à voir avec vouloir le bien-être de l'autre.
La vérité dans tout ça, c’est une autre paire de manches, dans l'antiquité grecque on le savait très bien, il suffisait qu'une une femme rencontre un dieu (il y'en avait une multitude à l'époque), aussitôt il la poursuivait jusqu'à ce qu'elle se transforme en arbre ou se fige en statue de sel....
«Le parlêtre n’aspire qu’au bien, d’où il s’enfonce toujours dans le pire.» (JL)
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ernestinee · 4 months ago
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Ça ne sert à rien de lire ce qui suit, je le note surtout pour me souvenir de mon état qd je relirai tout ça en janvier prochain.
Tout a commencé par une vieille voiture jaune, apparemment rare, que l'homme veut retaper.
La voiture est en ce moment garée dans l'abri de jardin. Pour qu'elle soit garée là, on a enlevé tous les outils, vélos etc. et on les a mis sous l'abri à bois que j'avais construit seule l'année dernière souvenez-vous j'avais fait un billet tellement j'étais fière d'avoir fait ça pour y ranger le bois. Bah c'est rempli d'outils, de vélos, de motos, d'un quad, et de zéro bois.
Donc on a fait une grande dalle de béton devant l'abri de jardin. Ça n'a l'air de rien mais ça demande de:
- Faire un trou: retirer la terre sur 30 cm. Stocker cette terre, le tas est immense.
- commander des tonnes de graviers et de sable, qui seront livrés à l'avant de la maison alors que l'abri de jardin est à l'autre bout du terrain.
- déplacer ces tonnes de graviers et de sable vers l'arrière du jardin. Des brouettes et des brouettes.
- stocker 50 sacs de ciment de 25kg chacun au sec. Donc dans l'entrée de la maison parce qu'il y a rien de sec à l'extérieur et l'abri de jardin est envahi par la voiture. Donc enlever de cette entrée le meuble, le porte-manteaux, les manteaux, les chaussures, les trucs qu'on trouve dans une entrée de maison. Donc avoir tout ça en vrac dans la maison.
- Remplir la moitié du trou d'une sorte de gravier fin qui s'agglutine qd on l'écrase. Écraser tout pour que ce soit bien plat. Mettre un plastique au dessus.
- Aller chercher une bétonnière (elle a 50 ans) avec la remorque. 1h de route. Pire trajet de ma vie, je vais faire de la tachycardie si j'y repense. Et je ne parle même pas de comment on l'a mise dans la remorque. Il va falloir faire le chemin inverse qd on va la rendre, ça me rend déjà malade.
- faire du béton. 10 pelles de graviers+ 8 pelles de sable + un seau de ciment+ 1/2 seau d'eau. Puis transporter cet amas dans le trou. 15 cm d'épaisseur de béton à mettre de niveau et à lisser. Des brouettes et des brouettes.
- laisser sécher.
Dans deux semaines, la dalle durcie pourra accueillir sa voiture. Du coup l'abri de jardin pourra retrouver les vélos, le quad, les motos, les outils,etc.
Du coup mon abri pour le bois pourra accueillir du bois. Qui poireaute sans abri depuis mars dernier.
Alors. Le tas de terre. L'immense tas de terre. Il y a un projet qui est de décaisser un sentier pour l'instant en graviers, se débarrasser de tout ça et y mettre la terre toute propre du fameux tas. L'autre projet est de laisser les graviers et se débarrasser de la terre mais je sais qu'un jour on fera ce sentier en herbe et on devra acheter de la bonne terre. Alors que là, elle est là. Donc ça va me casser les couilles mais ce sentier est le prochain projet d'envergure. Un sentier de 60m de long, pour que la voiture jaune puisse aller et venir de son abri jusqu'à la route - quand elle roulera. A l'emplacement des roues, on va mettre des dalles creuses pour que l'herbe continue de pousser mais que le sol ne s'écrase pas, et éviter les grosses flaques. En gros, il va falloir creuser sur 20 cm de profondeur, mettre 10 cm de stabilisé, puis 5 cm de terre puis les dalles creuses, et remplir ces dalles de 5 autres cm de terre, puis semer de l'herbe. Je veux aussi que ce soit un couloir pour que les animaux du champ en face de la maison puissent rejoindre la prairie de l'autre côté de la maison quand les tracteurs sont dans les champs. Tous les voisins ont des chiens, il n'y a que chez moi que la faune est tranquille (à en croire par la quantité de lapin et de hérissons qui se réfugient).
Autre projet plus sympa et rapide pour cet automne, refaire un gazon, pcq là ça a été le chantier trop longtemps. Et aussi, planter des bulbes de crocus dans l'herbe.
Faire des abris pour les hérissons déjà maintenant avec les feuilles mortes, pour augmenter la quantité de bestioles à ces endroits là.
Élaguer le chêne en janvier.
Délimiter un nouveau sentier de brouette pour la gestion du bois l'année prochaine. Pcq on va recevoir 8 stères à fendre courant février.
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rollinginthedeep-swan · 1 year ago
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En ajout au texte important de @crococookie juste ici
Je voulais reblog et poster à la suite mais mon texte est vraiment trop long.
Poster ça, ça m'angoisse énormément. J'ai toujours peur qu'on m'interprète de travers. J'ai donc hésité longuement mais j'ai envie de rebloguer parce que même si j'ai pas été diag de troubles dys liés à la lecture et l'écriture (ce qui ne veut pas dire que je n'en ai pas, l'errance médicale, tout ça) je suis terriblement étourdie. Et si je me décide à l'écrire, c'est parce que l'an dernier, une personne a osé me demander de me relire et de corriger mes fautes, sur un paragraphe que j'ai écris rapidement en étant au téléphone un jour où j'étais sollicitée toutes les deux minutes. Avec les troubles qui me sont propres, mon vécu et j'en passe, j'ai mis du temps à me réconcilier avec l'orthographe et la grammaire. Le scolaire ne m'a pas aidé (du tout).
C'est le RP qui l'a fait.
Attention, il n'y a aucune agressivité dans ce poste (je pense que maintenant vous avez assez pigé mon mood de meuf pacifiste qui lève le drapeau blanc et veut qu'une chose : LA PAIX BORDEL.) , je partage juste mon expérience et mes conseils sur le sujet des fautes et du rapport à L'orthographe dans la commu RP. C'est aussi un petit appel à la bienveillance et à une direction vers un comportement plus chill envers vos partenaires qui font des fautes.
L'autre raison qui me pousse à poster, c'est parce qu'à la minute où j'écris je n'arrête pas de me relire. Et ça montre bien que je suis encore marquée par mes débuts dans la sphère du RP.
J'aimerais beaucoup vous dire que c'est exclusivement grâce à la bienveillance d’autrui, mais ce serait mentir. En quinze ans et surtout au début, j'ai eu le droit à des commentaires assez (trop) désagréables. C'est la capacité des autres à ne rien laisser passer qui a heurté ma confiance en moi et qui m'a donné l'impulsion de ne plus leur donner aucuns prétextes pour me reprendre. Et vous savez, je ne leur en veux même pas, à ces personnes. Je leur pardonne même assez facilement et je suis persuadée qu'iels ne sont pas tous-tes malveillant-e-s. L'humain est plus complexe que ça.
Ce qui m'a poussé à ne plus vouloir faire de fautes, c'est mon foutu caractère et ma tendance à vouloir contredire les personnes qui ne laissent rien passer. (Parfois ça peut être un problème, d'autre, un vrai coup de pied aux fesses pour faire face aux détracteurs. Et là, notez toujours qu'on parle de mon expérience personnelle avec mon profil à moi. Je ne parle pas pour tout le monde. Pitié, ne demandez pas à une personne dys de 'faire un effort', c'est validiste et grossier. Et si vous avez du mal, on a beaucoup de personnes concernées qui sont là pour donner des sources et aider à comprendre.)
Je fais encore des fautes d'étourderie aujourd'hui. Je vous raconte pas le nombre de fois où j'édite des postes parce que j'ai vu une boulette d'étourderie. (Rien que ce matin j'ai dû éditer un petit poste d'intrigue parce que j'ai réalisé que j'avais oublié un fuc$$ng mot pour que ma phrase fasse sens.) Y a un truc que je peux conseiller pour les gens maniaques de l'orthographe (dont je fais partie, faut pas croire) : S'il-vous-plaît (vraiment, je demande gentiment) attendez qu'on vous demande ? (En supposant que ça puisse arriver.) C'est frustrant et même blessant. Et si on vous demande : Ne pas jouer les profs avec des formules telles que : 'Ceci ne s'écrit pas comme ça, mais comme ci'. Vous partez ainsi du principe qu'on ne sait pas. Et même si c'est le cas, n'oubliez pas que les troubles dys existent et que vous ne connaissez ni la personne ni son vécu. Derrière l'écran, c'est toujours un être humain.
J'rp par exemple avec une personne Dys qui me pond les textes les plus élaborés et qui passe un temps fou à se relire. Chaque profil est différent. N'oubliez pas qu'on est aussi souvent crevé-e-s de nos semaines et que même s'il y a des gens qui pondent des textes sans fautes hyper facilement, c'est pas le cas de tout le monde et derrière, on peut se retrouver à être nombreux-ses à complexer, à vouloir poster des trucs parfaits parce qu'on a encore le souvenirs de ces remarques qu'on ne veut plus affronter. Même si derrière, on a les partenaires les plus adorables et les moins regardants de la sphère. Ça peut gâcher le plaisir d'écrire, alors que le RP est un loisir. Pas un job. On ne va pas publier nos écrits, on le fait pour se changer les idées et s'amuser. Un rappel constant de nos étourderie ne va rien arranger, ça ne va rien changer. Même si vous pensez sincèrement bien faire, et quand c'est le cas - parce qu'on ne peut pas espérer que ça le sera toujours malheureusement - merci de vouloir aider, même si c'est maladroitement. (Mais écoutez les conseils svp)
Bref, restons indulgent-e-s et humain-e-s, on a une passion commune vraiment géniale. <3
Si vous avez tout lu, merci d'avoir pris le temps pour ce pavé qui complète un poste à lire absolument !
Des bises,
Swan (qui va lutter contre l'envie de relire et éditer ce texte pour la cinquantième fois.)
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la-ptite-schtroumpfette · 5 months ago
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Si seulement tu pouvais te voir...
À travers le prisme de mon regard
Tu comprendrais peut être mieux
Pourquoi je te trouves merveilleux.
Détrompes toi, je ne t'idéalise pas
Je vois aussi ce qui causerait des dégâts
Ce fichu caractère têtu et renfrogné
Cette manière de t'isoler, de ne pas communiquer
Qui souvent réveille mes insécurités...
Mais au final ce n'est pas un problème
Car même cette partie-là au fond je l'aime...
Elle révelle tes blessures et ton humanité
Et il n'y a rien que je voudrais changer.
On peut tout aussi bien se compléter,
Se rendre la vie plus douce qu'elle ne l'a été
Préserver la paix, sans s'inonder
Se respecter...
Se retrouver dans l'amour et la volupté
Qu'importe le reste, pas besoin que ce soit parfait
Ni même conforme à cette société...
Alors n'ayons crainte pour l'avenir
Malgré nos différences, nous avons vu pire !
J'ai foi en nous...
Parce que c'est un amour unique et fou !
Il nous transcende, nous pousse à nous élever
Vers une meilleure version de nous même
Là où d'autres se contenteraient de dire "je t'aime"
Pour ensuite tout effacer...
C'est vrai, depuis toi j'y vois plus clair
J'apprends, et j'ai encore du chemin à faire
Mais je marche mieux quand je suis à tes côtés
Car ici bas personne ne peut t'égaler
Alors... si seulement l'ego pouvait se taire parfois
Et laisser l'âme exprimer tout son émoi
Tu verrais alors toute ta lumière
Tu verrais combien elle éclaire
Tu saurais...
Et plus jamais tu ne douterais.
LPS
05.10.24
© tout droits réservés - 2024
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Image : Kelogsloops "dreamers"
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rageauventre · 6 months ago
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10 CHOSES QUE JE DETESTE SUR LES FORUMS. Part 01.
les avis longs comme une baguette de pain sous une fiche alors qu'elle est a moitié rempli, ou parce-que c'est soit l'amie, soit un avatar de folie, soit un pseudo de folie, soit un caractère de folie. Mais il n'y a encore ni histoire, ni réellement de fond de matière. Et parfois ça arrive sur des fiches presque vide. En plus saucer quelqu'un comme ça, je souffle fort.
Les forums avec des designs en petits caractères. Allô ? Revoyez vos normes, on a mal aux yeux !
Les demandes de liens a tout va juste pour du smut ou alors sans réel fond de base rp. "Tiens, nos persos ont vu le même arbre, on les fait potes ?" Bah non ?
Les demandes et établissements de liens pour strictement rien faire derrière ou abandonner le rp au bout de deux réponses. Bah oui on sait tous que brainstorm un lien ça ne demande pas de prendre du temps hein.
Les fétichistes des fcs.
Les fétichistes du smut.
Les relations toxiques entre les personnages type dark romance avec des relation hyper anti-féministes mais les joueurs.euses derrière l'écran se disent féministes. Lol, t'aimes que ton personnage se fassent traiter comme de la merde avec des actes immorales (séquestration, violence et j'en passe) mais t'es féministe. Alala la romantisation...
Le manque de recherche. Et ça va pour tout : utilisation/vendre de drogue, alcoolisme, maladie etc.
Les créas(teurs/trices) impatients. Vous êtes chiants.
Cette communauté qui essaie pas de se remettre un peu en question. Je ne prône pas la perfection sur ma personne, je suis loin de l'être (très loin), mais vraiment là depuis quelques années c'est de pire en pire.
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coolvieilledentelle · 1 year ago
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En Inde, on enseigne ; " Les quatre lois de la spiritualité ".
La première dit : " La personne qui arrive est la bonne personne ", c'est-à-dire personne n'entre dans notre vie par hasard, toutes les personnes autour de nous, toutes celles qui interagissent avec nous, sont là pour une raison, pour nous apprendre et progresser dans toutes les situations.
La deuxième loi dit : " Ce qui s’est passé est la seule chose qui aurait pu arriver." rien, mais rien, absolument rien de ce qui s’est passé dans notre vie n’aurait pu être autrement. Même le plus petit détail. Il n'y a pas de " Si j'avais fait ce qui s’était passé autrement ..." Non. Ce qui s'est passé était la seule chose qui aurait pu arriver, et c'est comme ça que nous apprenons la leçon et que nous allons de l'avant. Chacune des situations qui se produisent dans notre vie est l'idéal, même si notre esprit et notre ego sont réticents et non disposés à l'accepter.
La troisième dit : " Le moment où c'est le moment est le bon moment :" Tout commence au bon moment, pas avant ni plus tard. Quand nous sommes prêts à commencer quelque chose de nouveau dans notre vie, c'est alors qu'il aura lieu.
La quatrième et dernière : " Quand quelque chose se termine, c'est fini. " C'est ça. Si quelque chose est terminé dans notre vie, c'est pour notre évolution, donc il est préférable de le laisser, aller de l'avant et continuer désormais enrichis par l'expérience.
Je pense que ce n'est pas un hasard si vous lisez ceci, si ce texte est entré dans nos vies aujourd'hui c'est parce que nous sommes prêts à comprendre qu'aucun flocon de neige ne tombe jamais au mauvais endroit .....
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jawnressources · 1 month ago
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Témoignage - pourquoi j'ai quitté les forums RPG pour de bon et pourquoi je n'y reviendrai plus jamais.
(TW : Allusions sexuelles, manipulation)
Vu que je vois un peu partout des témoignages de gens qui osent briser la loi du silence et s’exprimer sur certaines choses sur les forums, il était donc temps que je vous explique, après quelques “tease”, la raison pour laquelle je ne suis plus sur aucun forum et la raison pour laquelle je ne mettrai jamais les pieds sur les forums RPG. Petite note cependant; oui je suis sur PRD, oui j’ai mon propre forum de libre-service. Je ne communique avec personne ou presque sur PRD, il n’y a aucun système d’inscription sur mon propre fofo de LS qui permet seulement de venir poser quelques questions pour des soucis de code et ça s’arrête là. Ça me va parfaitement, et après des années et des années à voir ce que ça donne que d’être dans un communauté RP, je ne souhaite en aucun cas rencontrer qui que ce soit venant de quelque forum que ce soit.
La première goutte d’eau, c’est un vieux forum RPG type manga se passant dans une université dont je ne me rappelle plus le nom; parce que soyez sympas, c’était y’a plus de 10 ans de ça. Je m’inscris tranquillement, tombe sur un.e partenaire RP plutôt motivé et on commencé à écrire ensemble; comme ça se fait normalement. Tout roule, mais la personne répond vite. Très, très très vite. Je lui explique qu’il m’arrive également de répondre très vite mais que, le lien de nos personnages étant en train de forger et que nos personnages n’étant pas encore importants l’un pour l’autre, quelqu’un qui me répond aussi vite me fiche une pression immense. J’ai l’impression de ne jamais être à jour, ça me pousse à toujours sur-consommer du RP là où parfois j’aimerais pouvoir chill. Oui chez moi; une réponse implique une certaine pression, on est tous différents c’est comme ça. La personne, malgré tout, a continué à me répondre très vite suivi d’un “tu réponds quand tu veux”. Green flag ? Pas vraiment. Je l’ai prévenu que ça allait juste me dégoûter. La personne a tout simplement ignoré tout cela et a continué. J’ai quitté le forum le mois suivant.
Il m’a fallu une bonne année avant de réussir à me réinscrire sur un forum. Dark And Cold, qu’il s'appelait. Si aujourd’hui vous tombez dessus, sachez que ça n’est plus devenu qu’un simple forum test. Je ne le savais pas encore, mais en m’inscrivant sur cette plateforme, j’allais signer le glas de mon envie d’RP. Bref. C’était un forum où l’on pouvait jouer la réincarnation d’un personnage de conte, de roman, etc. Naturellement et grande fan du travail de Sir Arthur Conan Doyle, je me suis inscrite sous le pseudonyme de John Watson (voilà maintenant tu sais d’où vient mon pseudo Jawn) et quelle ne fut pas ma joie en voyant qu’un Sherlock Holmes débarquait ! Nous avons parlé parce que le lien de nos personnages était évident et fort; et nous avons RP. Puis les demandes de RP en privé sont devenues de plus en plus étranges. De plus en plus sex*elles. Je ne donne pas les détails, parce que si ça m’a marqué après tant de temps, imaginez vous bien que ça ne parlait pas juste de faire s’envoyer en l’air nos personnages.  On est arrivé au stade, il y a une décennie de cela, où je recevais des appels étranges après que cette partenaire RP ait eu accès à mon numéro. Stupide que j’étais de le donner à l’époque. Stupide.
Six mois après mon arrivée sur ce forum, le staff décide d’abandonner le forum. Le membre problématique jouant Sherlock Holmes étant parti (ne me demandez pas comment ni pourquoi, je ne m’en rappelle plus), je décide de reprendre la tête du forum avec une autre membre, jouant Charles Dickens. Je l’ai tenu à bras le corps pendant près de deux ans pendant que ma partenaire au staff ne faisait rien. Et quand je dis rien, c’est rien. Profiter de la “fame” d’être staffeux oui, construire des liens qui n’amenaient jamais à aucun RP oui, administrer un forum de 80 personnes, non. Le sujet de la fermeture est encore disponible aujourd’hui parce qu’au bout d’un an comme ça, j’ai décidé d’abandonner. De simplement baisser les bras et de laisser derrière moi cet univers dont j’étais tombée amoureuse. Tant pis pour les RP, tant pis pour les liens, tant pis.
La personne avec qui j’administrais ce forum était contrôlante; manipulatrice, m’a fait passer des nuits entières à pleurer, mais m’offrait des cadeaux par derrière à mon anniversaire. Ouép, ouép, ce genre de comportement ultra toxique. Je n’étais qu’une bonne à rien qui la forçait, tout simplement. Et pourtant, pour fêter Noël, j’avais dessiné tous les personnages inscrits pour en faire des bannières aléatoires. 84 personnages, des semaines de travail pour tout finir dans les temps. Bref, le craquage à eu lieu, le forum a fermé. Libération.
Il y a eu ce forum aussi, Bronx-2023 pour ceux qui l’ont connu. Un staff misérable de personnes se pensant au-dessus de tout le monde. L’une des staffeuse, sur un second compte, se faisait passer pour une toute autre personne pour recueillir les blâmes que j’avais à dire contre le staff, puis s’en servait contre ensuite. Cette personne a envoyé une photo d’une personne lambda prise sur Google pour me faire croire à tout ça. Oui, oui, de l'usurpation d’identité. J’ai du écouter une des staffeuse qui avait lancé un recrutement du staff dire qu’elle allait finalement prendre quelqu’un qui n’avait pas postuler parce que, je cite “j’ai envie de baiser son avatar”. Personne qui était le cousin du sien. Et à côté ? Et bien je réglais tous les petits soucis de code du forum, j’écrivais des textes, je gérais des choses dans l’ombre (PS : certains libres services viennent de ces codes fait pour ce forum, et je possède encore tout un dossier). Mais oui, on m’a dit qu’il fallait que je reste dans l’ombre parce que “Jawn, y’a des gens qui t'aiment pas”. Quand j’ai finalement posé mes balls sur la table et attrapé lesdites personnes en vocal, personne n’avait rien à me reprocher. Peut-être que ça n’était que de l’hypocrisie de leur part, je ne sais pas; ça fait longtemps. Toujours est-il que ce genre de comportement toxique m’a marqué. De part le fait qu’ielles ont préféré fermer toute une partie du forum pour ne pas que tout un groupe puisse jouer et dévier de leur scénario. Au point de mettre de force nos personnages en prison après avoir fait d’eux des meurtriers alors qu’on avait exposé tout le plan au staff à l’avance pour être certain que les conséquences ne soient pas trop graves. Bref, tout le groupe en question a quitté le forum après ça, et je ne vous parle pas de la seule graphiste de la commu’ qui était traité comme un chien par l’une des staffeuse; qui ne s’adressait à elle que pour des avatars, sans bonjour, sans merci, sans rien. Ce groupe à d’ailleurs plus tard plagié un design et un contexte entier du nouveau forum… du fondateur d’Ariesten dont je parle un peu plus bas. Décidément, le monde était trop petit, et j’en suffoquais.
Durant les trois mois suivants, j’ai redécouvert le plaisir que c’était d’avoir le temps de faire le ménage chez moi. J’ai même écrit un roman. En trois mois, ouép; c’est dire si l’envie d’écrire était si forte qu’il fallait que ça sorte d’une façon ou d’une autre. Et dans ces trois mois, j’ai tellement aimé gérer un forum, au final, que j’ai appris à coder. Pour le fun, parce que ça me plaisait, parce que j’avais réellement envie d’apprendre à comprendre tout cela. Aujourd’hui encore, plus d’une dizaine d’années plus tard; il me reste quelques vestiges dans mon ordinateur et la version craquée de Photoshop que j’utilise est toujours la même.
Vous allez dire que je cherche le bâton pour me faire battre, mais avec quelques membres, j’ai décidé de rouvrir D&C sans un autre nom : Insomnia. Dans l’équipe, j’avais en co-admin une membre réputée toxique sur D&C, détestée du staff; mais avec qui je m’étais bien entendue sur la fin. La nostalgie aidant et l’excitation de rouvrir un contexte qui m’avait tant fait aimé l’écriture, j’ai tout laissé passer. Et quand je dis tout, c’est tout. Le red flag était évident, mais je voulais tellement retrouver mon personnages, des liens; et cet univers que j’adorais que j’ai tout laissé passer.
Premier exemple : Une membre a commencé parler sur le Discord de choses franchement affreuses, très gores; sans TW ni rien. Je lui ai gentiment fait remarquer que là, j’allais mettre ma casquette de fonda et ne pas prendre des pincettes pour lui dire d’arrêter ça parce que d’autres membres étaient dérangés par tout ça. Ma politique a toujours été : si plus de deux personnes se plaignent, j’interviens, que je sois moi-même gêné ou pas par le comportement. Je ne comptais pas; puisqu’en tant que staffeuse, mon rôle était de gérer l’univers et pas de m’insurger au premier comportement qui me gênait; je ne voulais en aucun cas que l’on m’accuse d’abuser de mes pouvoirs de staffeux ou je ne sais quoi. Pour vous remettre dans le contexte, à l’époque, avec le fondateur du forum Ariesten, nous avions ouvert un Discord pour réunir, à la base, tous les fondateurs/staffeux des forums que nous connaissions parce que je voulais créer un espace d’entraide. Pour qu’on puisse s’aider au code, au graphisme, savoir comment  gérer les membres un peu compliqués et éventuellement se faire tourner les noms des personnes très problématiques. La personne dont je parle plus haut, pour se venger d’avoir été réprimandée, a profité d’une réunion entre le staff et elle pour c/c des bouts de conversation qui l’intéressait et a débarqué sur ce Discord là pour dire “regardez Jawn elle est trop méchante”. Des gens que je pensais être des amis m’ont tout simplement retirés de leurs partenaires du jour au lendemain sans un mot, et j’ai été éjecté de ce Discord-là. Personne ne m’a jamais demandé ma version des faits.
Finalement, le coup de grâce est venu deux semaines avant les deux ans du forum, de la part de trois personnes. Entre temps, nous manquions de bras dans le staff et c’est là que j’y ai connu ma meilleure amie, qui ironiquement jouait Sherlock Holmes. Elle est devenue ma modératrice, et ça n’a pas plus à mon staff, et une autre membre. Pourquoi ? Parce que le ship était évident, qu’on voulait le faire, et qu’on ne désirait plus, ni l’une, ni l’autre, écrire non stop du cul sur Discord. Ma co-admin et cette autre membre (que j'ai accueilli chez moi quelques jours pendant les vacances d'été) avaient le même schéma; ce qui commençait toujours comme un rp Discord innocent finissait toujours par du cul. Qu’on se le dise, oui je suis une RPgiste qui écrit du cul, oui j’aime ça, mais quand c’est trop, c’est trop. Ma co-admin voulait continuellement en écrire, l’autre membre en question aussi. En parallèle, une autre personne du forum et ship de l’un de mes comptes, devenant de plus en plus… well, comment dire, toxique. J’étais là quand elle est partie vivre au Japon et je restais tard le soir pour l’écouter dire que sa famille lui manquait. Je restait éveillée pour ne pas qu’elle se sente trop dépaysée parce que je l’adorais sincèrement. Quand j’ai fini par passer le premier de l’an en larmes dans les bras de mes voisins après avoir perdu tant de poids que je ne m’alimentais plus, j’ai réalisé que ça allait trop loin.
La semaine suivante, ma co-admin avait totalement vidé du moindre message (deux ans quand même) sur le canal staff, avait prit des screens de pics de haine qu’elle lançait sans cesse dans le canal en question contre des membres lamba, et est allé balancer les screens à ces mêmes personnes pour leur dire “regardez, moi j’suis gentille, Jawn elle vous crache dessus dans le dos”.
Tout ça, pour une affaire de cul.
Vous voulez le plus "drôle" ? Ces personnes-là, deux semaines après la fermeture d'Insomnia, ont lancé un forum sous un autre nom, qui plagiait tout mon contexte, mes annexes; mes groupes, qui plagiait même l'un de mes personnages, le dit-ship de la personne très contrôlante qui, bien sûr, faisait partie de l'équipe.
Avec Sherlock; qui est aujourd’hui encore ma meilleure amie et une personne très importante à mes yeux, nous avons prit la décision douloureuse de fermer Insomnia. Aujourd’hui encore, il m’arrive de nourrir l’espoir de le faire revenir d’entre les morts. Ce forum m’a appris le code, le graphisme; il m’a appris à gérer, l’administration, il m’a appris à connaître un panneau d’administration, il m’a appris à savoir me débrouiller, à écrire, tout simplement. Le fermer, deux semaines avant les deux ans, alors que je travaillais à l’époque depuis six mois sur la MaJ, m’a brisé le cœur. Et petite preuve supplémentaire : le design est encore aujourd’hui trouvable, je ne donne juste pas le lien du forum test pour des soucis dont je parlerai plus tard. Autant dire qu’à ce stade, après ce que j’ai vécu comme une trahison; j’étais très éprouvée et résolue à ne plus revenir sur le moindre RPG. Avec Sherlock, vous ne pouvez pas encore aujourd'hui prononcer le mot “Chaton” comme pseudo sans qu’on ait des nœuds dans l’estomac. Parce que l'histoire ne s'arrête pas là. Vous savez ce qui a réellement mis un clou dans le cercueil ? Ces screens dont je parle plus haut. Mon ancienne co-admin les a envoyé aux gens sur qui elle crachait à la base, n’a screen que mes réponses et avec Sherlock, nous nous sommes retrouvé à recevoir des messages de haine en privé. On l’a menacé physiquement. On m’a balancé “de toute façon si ta santé va mal c’est bien fait pour ta gueule”. Voilà voilà voilà.
Trois ans se sont écoulés avant que j’ose remettre les pieds sur un forum. Attirée par l’idée d’un ship; j’ai mis deux bonnes semaines à être convaincue tellement j’avais la trouille. Entre-temps, j’avais pris le pseudo de Myrddin; et je me faisais toute petite. Personne ne me voyait plus, je codais sur d’autres forums tests bien cachés pour être certaine que rien ne change sur Insomnia et qu’on ne me retrouve pas.
Et puis je suis tombée sur Loukoum, Sailor Guimauve, Milouri; la clique de Howgart Legacy dont j’ai déjà parlé sur mon forum de LS > Have fun. Pas envie de réexpliquer l’histoire, tout est écrit ici, faites en ce que vous voulez.
Après HL, j’ai rejoint une équipe pour fonder notre propre plateforme mais très franchement après une dizaine d’années à encaisser, l’envie n’y était plus. Les polémiques autour de l’autrice de HP étant de plus en plus fortes, ça a joué; et j’ai fini par partir.
Un dernier exemple ? Récemment, quelqu’un débarque dans mes DM Discord pour papoter. Jusque là tout va bien, la personne semble gentille et ça faisait longtemps qu’on avait pas parlé; jusqu’à ce que je remarque une affiliation avec une harceleuse notoire. Quelqu’un que j’ai déjà dénoncé dans un post (oui celui dont je parle juste plus haut sur mon fofo de libre-service) et à en croire l'affluence sur le forum à ce moment-là et dans les semaines qui ont suivi, ça a fait “grand bruit”. Avant que l’on me tombe dessus pour avoir dénoncé qui que ce soit; sachez que je fais ça depuis très longtemps. J’en ai marre de me cacher derrière “machin a été méchant mais parce que j’essaye d’être quelqu’un de bien on va cacher le nom des harceleurs.ses”. Non. C’est fini ça. Maintenant je dénonce publiquement. Tu crédites pas, tant pis pour toi.  Bref tout ça pour dire qu’au final, ça me donne juste l’impression que les harceleurs.ses auront toujours des connexions ci et là et qu’ils feront toujours en sorte de toujours se présenter comme des personnes adorables. Rentrez dans leurs cercles, et c’est foutu.
Vous n’avez pas idée comme j’ai passé des années à me cacher. Des années à changer de pseudo et désormais, ça fait cinq ans que mon Discord personnel n’est plus donné; qu’on ne peut plus me parler directement même en étant sur un serveur commun parce que j’ai bloqué cette fonctionnalité. Si on veut me parler en MP, faut m’envoyer une demande d’ami, et faut encore que je l’accepte. On en est arrivé à ce stade où une simple application de discussion directe est devenue dangereuse et que je dois m’en protéger.
Vous n’avez pas idée d’à quel point mes professeurs de l’époque de la primaire me le disaient : l’écriture est une boulimie pour moi dont j’ai besoin. Je n’ai plus écrit et les idées de romans qui me viennent sont bloquées dans ma tête, je suis incapable de les écrire parce que maintenant, écrire fait peur. Parce que maintenant, quand je me pose face à un document vide pour commencer à taper quelques phrases, j’ai la boule au ventre. Et pourtant, c’est bête hein, parce qu’après des années et des années à subir une famille toxique et physiquement violente, je m’en suis sortie de tout ça. J’ai enfin tout ce qu’il faut pour commencer à guérir; mais à plus de trente ans, je suis bloquée. J’ai même tenté de faire des commandes en dehors du cercle RP pour mettre un peu d’argent de côté; mais les arnaques ont été un peu trop violentes à mon goût. Chacun son seuil, le mien n’était plus très élevé depuis le temps. J’ai finalement mis fin aux commandes au bout de trois ans, épuisée mentalement.
J’avais parlé un peu plus tôt qu’un jour, j’allais expliquer la raison pour laquelle je n’étais plus sur aucun forum et la raison pour laquelle je n’y reviendrai plus. Voilà les raisons. Voilà les pseudos. Voilà le nom des forums. Je n’ai plus peur. Je n’ai plus peur de vous, je n’ai plus peur de rien; ces gens-là m’ont tant pris mentalement qu’il ne me reste plus rien à perdre. Vous m’avez chassé de l’écriture dont j’ai toujours eu tant besoin, vous m’avez dégoûté d’un art qui me permettait à lui seul à un moment de survivre dans une famille ultra toxique qui m’a poussé à vouloir faire des choses irréversibles plus d’une fois.
Et je sais ce qu’on va me dire. “Mais on savait pas tout ça Jawn, bouhou”. Bah ouais. Mais petit rappel. Il y a des êtres humains derrière chaque clavier. Il y a des gens dont vous ignorez tout de l’existence, de l’état mental et physique. Il y a des gens qui se battent contre des démons intérieurs, et d’autres qui vont parfaitement bien. Il y en a qui ont des traumatismes profonds, et d’autres qui se débattent simplement avec eux-mêmes. Il y en a qui ont des enfants, une vie de famille; il y en a qui sont uniquement animés par la passion de l’écriture et de découvrir de nouveaux univers comme on peut si vite plonger dans un nouveau livre. Et la bienveillance, c’est pas juste pour faire un joli sourire à la boulangerie quand on va acheter sa baguette de pain, ça fonctionne aussi derrière un clavier.
Je n’ai pas prétention à vouloir changer la communauté. Très franchement, je la pense pourrie de l’intérieur et gangrénée par des personnes qui franchement devraient sortir de chez elles.eux et toucher un peu d’herbe; et ça vient de la part d’une nana agoraphobe qui sort une fois par an de chez elle.
Bref, un petit témoignage haut en couleur.
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camisoledadparis · 1 month ago
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saga: Soumission & Domination 386
Mes Escorts-1
Tout fonctionnant sans moi, conséquence de mon absence prolongée, j'ai beaucoup de temps libre après les cours. Je profite de ça pour revoir mes Escorts un par un et faire un point sur leurs besoins et leurs désirs.
Je laisse de côté ceux qui sont en contrat exclusif (Jean, Phil et Luc) ou spécialisés (Jonathan et François) et commence par :
Jimmy.
A 24ans, comme il n'a pas beaucoup grandi (il fait 1m70), on lui en donnerait toujours 18. Il adore son travail de jardinier pour quelques clients dont Pierre et Olivier, les parents d'Ed et Théo entre autre et kiffe toujours de se faire défoncer par mes clients les plus grossement membrés. Bien qu'il soit Escort depuis 5 ans, il ne lasse pas ma clientèle qui continue à me le demander régulièrement. Il m'explique qu'il est quand même le meilleur de tous en gorge profonde et en dilatation anale. Il me raconte que lors d'une prestation, le client s'était masturbé dans son cul. Je demande quelques explications. Il me dit que le client l'avait réservé pour un fist et une sodo Il avait commencé par la sodo puis enchaîné par le fist. C'est lui-même (Jimmy) qui, bien parti, lui avait proposé d'ajouter sa bite à sa main. Le mec avait pris un pied comme jamais et ça lui avait rapporté une prime équivalente à la prestation négociée. Il me dit qu'il avait vu avec Jona pour requalifier la prestation et partager le surplus. Maintenant ce client le commandait exclusivement pour refaire ça.
Je lui demande si côté privé, il s'était trouvé un petit copain.
Réponse : pas encore, bien qu'il ait des demandes, il me dit qu'il se casera avec un mec du type de mes clients quand il aura fait le tour de la question. Et vu son imagination, c'est pas pour demain ! Sa vie entre notre campagne, et ses déplacements lui convient tout à fait. Il a son havre de paix et ses périodes de sexe intense.
Charles-Edouard (Ed)
Maintenant 21 ans, il s'est allongé et malgré les heures de muscu reste longiligne. Ce physique plus sa blondeur en fait un de mes Escorts les plus classe. Mes clients l'adorent car sous un dehors " bien sous tous rapport ", se cache une chaudasse de la pire espèce. Certains de mes clients blacks ne le retiennent qu'à cause de la différence de couleur extrême qu'ils ont avec lui. C'est un blond à la peau très blanche et les premières fois où je l'ai accompagné, dans certaines positions j'avais l'impression de voir un domino géant. Ses études vont bien et ses parents qui maintenant savent qu'il travaille pour moi, n'y voient aucun inconvénient. Ils auraient du mal à lui reprocher ce qu'eux même achètent auprès de mes amis (Second et Julien) ou mes escorts. Chacun d'eux apprécie les doubles- sodo devant l'autre.
Ed me dit que cela va faire un moment qu'ils ne se cachent même plus quand ils se font baiser. Souvent il leur est arrivé à lui et son petit frère Théo d'entrer dans le salon ou d'aller nager dans la piscine alors qu'ils se faisaient démonter la rondelle dans ces endroits.
Lui kiffe toujours autant de travailler pour moi et voit son " trésors de guerre " augmenter gentiment tous les mois ce qui lui convient tout à fait. Il aime ses vacances tous frais payés en palace, même si maintenant il a les moyens de se les offrir tout seul. Ce qu'il adore le plus c'est de choquer les bien-pensants. Les autres se doutent bien qu'il n'est pas le " fils " ou " neveu " qui accompagne son parent. Il ajoute qu'il est rarement le seul jeune dans ce cas et que ça lui est arrivé souvent, pour ne pas dire toujours, d'en profiter pour organiser avec ses homologues des touzes qui les changeaient agréablement de leurs clients. Souvent aussi, il a pu profiter des " gens de service " qui, sans les assimiler à leur condition, reconnaissaient en eux des serviteurs de la classe aisée.
Certains clients le sort comme un trophée de chasse, dans ces cas-là il fait en sorte de rendre jaloux tous les autres hommes avec lesquels ils entrent en contact. Il n'adore rien tant que de recevoir des propositions en douce pour soit changer de " papa " ou de délaisser le sien temporaire pour quelques instants, moyennant une très grosse enveloppe.
Il me rassure en m'affirmant qu'il a toujours décliné ces propositions. Il sait que cela aurait porté préjudice à la réputation de ma boite.
Daniel :
Depuis qu'il a accepté ma proposition, il taffe et double ou triple son salaire de vendeur chez Suzuki (et c'est un bon vendeur qui se fait de confortables commissions).  Avec lui, tout roule. Il fait kiffer les clients qui pensent s'encanailler avec un motard. Ils ont l'impression de risquer leur vie en faisant venir un " loubard ". Daniel accentue cet aspect en arrivant toujours bardé de cuir noir. Il me dit avoir même acheté quelques bracelets et chaines en acier pour augmenter leurs frissons ! Pas au courant je lui demande s'il avait fait passer les factures à Jona. Comme il me répond non, je lui dis que tout ce qui est équipement de travail est pris en charge. J'insiste et il me dit qu'il le fera. Du coup ça lui arrive de plus en plus qu'on lui demande d'être actif. Souvent il commence par se faire enculer et doit (scénario organisé) se rebeller et " forcer " le client jusqu'à l'enculer. J'admets que c'est original comme plan. Quand il me dit qui il a déjà enculé parmi mes clients, sur certains noms je tombe de haut ! Il me confirme que lui aussi ça n'aurait pas été ces noms-là qui lui seraient venu en premier à l'esprit.  Il s'amuse de cette évolution qui lui va bien puisqu'il est actif/passif à la base.
Morgan :
Mon collègue d'école de commerce, comme moi en dernière année. Il a laissé tomber le foot pour se consacrer totalement à son activité d'escort et aux séances de sport maison. Ses parents sont ravi du travail qu'il a trouvé à coté de ses études (ils ne savent pas le contenu du poste !) qui lui permet d'être aussi bien payé.
Avec Simon, c'est le grand amour et il n'envisage pas sa vie sans lui. C'est en plus réciproque. Ça été le premier " couple " qui s'est créé entre mes escorts.
On discute un peu. Il m'assure que même quand il aura commencé à travailler, il ne cessera pas ses prestations pour moi, enfin en fonction de son travail et que je pourrais toujours compter sur lui. Il a fait son cursus à l'étranger en Afrique du sud et sa séparation d'avec Simon a été dure, même s'ils se sont vus tous les mois. Il me dit qu'il s'était fait un ami là-bas qui a comblé partiellement son manque, surtout des grosses queues de mes clients ! Ils ont dû rester discrets car même avec l'abandon de l'apartheid, les relations sexuelles entre blancs et noirs pouvaient poser des problèmes surtout quand elles sont homosexuelles. En attendant ça lui a permis de tenir sans trop déprimer d'être sans son Simon. Coté physique ses 65Kg tout mouillés sont loin et comme moi il accuse 85Kg de muscles sur la balance. Je ne peux m'empêcher de lui demander de se mettre à poil, même si cette occasion m'est donnée lors des séances sportives, là je peux prendre mon temps pour voir les changements. Il est superbe. Epilés nickel, ses 19x6 même non bandés en imposent en haut de ses grosses cuisses. J'aime beaucoup cette différences : grosses cuisses >< petit cul et épaules larges. Il me fait bander et il s'en aperçoit et bande à son tour. Comme je suis assis à mon bureau, il me tire et me pousse contre le plateau. Sa langue fraiche vient se battre avec la mienne. Il recule juste pour me dire que cela faisait longtemps qu'il ne m'avait remercié pour ce qui lui était arrivé. On colle nos peaux, pecs contre pecs, nos tétons bandent eux aussi et on reprend notre pelle. Nos queues se touchent, nos glands mouillent et leurs frottements l'un contre l'autre attisent notre excitation commune.
Il se baisse et embouche ma bite. Ses cheveux courts touchent mes abdos quand il fait passer mon gland dans sa gorge. J'aime ! J'aime surtout quand il pompe profond, couvrant ma queue de salive. Sans faiblir, il continu pendant au moins un bon 1/4 d'heure avant de se redresser, me tourner le dos et se pencher tout en restant cambré. Un véritable appel au viol. Comme il est consentant, je me kpote vite fait et plonge entre ses fesses. Je sens le passage de sa rondelle, brève résistance, puis sa douce chaleur interne. C'est tellement bon que je reste bloqué au fond de son cul quelques instants avant d'entamer le limage de son oignon. Limage qui se transforme en labourage de grande ampleur avec l'utilisation complète des 20cm de mon appendice. Je pousse les papiers derrière moi qui encombre mon bureau et d'une rotation propulse Morgan dos sur le plateau, ses jambes entre mes bras en appui sur mes épaules. Il se retient au bord car sinon mes coups d rein l'auraient propulsé de l'autre côté. Je pousse sur ses jambes pour venir lui cueillir les lèvres. Sa grosse bite se trouve compressée entre elles et je sens ses couilles contre mon bas ventre.je me redresse, attrape un kpote et sans cesser de lui défoncer le cul la lui enfile sur son sexe. Quand il est prêt, je décule, monte sur le bureau (béton) et m'assois dessus. Bon format, les diamètres de 6 cm ça a du bon ! Je fais l'ascenseur sur cet axe de plaisir et comme nous sommes déjà très excités tous les deux, il ne nous faut pas longtemps pour jouir. Mon sperme lui zèbre le torse et le visage. N'étant pas encore prêt, il se redresse et se lève, portant mes 85Kg sans problème. Enfin pour les trois coups de reins qui m'ont décollé les fesses de lui avant que la pesanteur ne me fasse reprendre ma position initiale avec une brutalité propre à le faire exploser.
Sous la douche commune, on rit de ce dérapage impromptu mais pas non contrôlé.
Simon :
Quand je le vois il sait déjà que j'ai profité de son mec. Il me propose d'évacuer cette dimension en faisant de même d'entrée de jeux, qu'on aura qu'à discuter après.
Je l'attrape par le cou et écrase mes lèvres sur les siennes. Pulpeuses elles ont toujours eues sur moi l'attrait d'un aimant. Il le sait et m'en fait profiter. Je passe de pelles en morsure et suçage de sa lèvre inférieure. Dans mes bras je n'ai plus, comme pour Morgan, un garçon longiligne (en 2011 il pesait 66Kg pour ses 1m80) mais un très beau mec aux muscles bien formés qui doit accuser au moins 80Kg sur la balance. Il a gardé ses cheveux mi- longs qui vont si bien avec ses yeux bleus. En plus quand on agrippe sa crinière, il y a de quoi s'accrocher contrairement à la plupart de mes escorts aux cheveux plutôt courts.
On se fait donc un peu plaisir ensemble. Je reconnais dans sa façon de faire l'amour la marque de Morgan. L'enthousiasme qu'il avait quand je l'ai pris dans mon équipe est toujours la même et sa fraîcheur intacte. La chose expédiée (façon de dire d'une petite séance de baise d'une bonne heure et demie), on discute de son avenir.
Il me confirme qu'il ne l'envisage pas sans son Morgan et qu'il s'établira comme avocat là où ce dernier trouvera du taf. Je lui dis alors que j'avais quelques idées là-dessus et voulait son ressenti quant à l'orienter vers certains de mes " contact " professionnel, collègues d'AG des boites de ma mère. D'après lui, Morgan ne s'offusquera pas d'un petit coup de pouce et ce se sera pas son employeur qui sera lésé vu ses compétences... officielles. Je lui offre de l'aider aussi si l'intégration dans une cellule  juridique privée l'intéresse. Je sais et certaines des sociétés d'Emma ont sous contrat des juristes. Il me dit qu'il y réfléchira et me le dira en temps et heure, selon où Morgan atterrira.
Il me plait bien ce petit couple, la prochaine fois je m'inviterai entre eux, ça devrait être intéressant !
Viktor et Nicolaï :
Je reçois mes deux " Russes " ensemble. De toutes les manières ils sont collés ensembles dans leurs études de langues comme dans leur appartement et souvent dans leurs prestations. Même quand mes clients n'ont besoin que d'un traducteur, ils me commandent les deux en prévision de leurs " troisièmes mi-temps ". 22ans chacun, il se ressemble de plus en plus. Seule la blondeur qui confine au blanc de Nicolaï les distingue d'autant plus que souvent ils sont habillés pareil. Faisant partie de ceux qui voyagent le plus (contrats de traducteur oblige) ils ont négocié avec leur fac les absences que cela provoque. Sans dévoiler de secret, je crois bien qu'un petit coup de fil de mon correspondant dans les services de l'état à leur doyen à bien aidé pour cette tolérance. Nicolaï a trouvé auprès de Victor et surtout sa mère, un rappel de sa Russie natale. Sa nouvelle identité lui a même permis de retourner à Moscou en toute sécurité. Ils me disent que quelques-uns de mes clients leur demandent de baiser entre eux avant de participer. Au point que parfois ils en oublient que le client les mate jusqu'à ce que l'un d'eux se fasse ouvrir l'oignon par son gros ou très gros morceau.
A l'examen de leurs physiques, pas de surprise. Même nus ils sont jumeaux. Seule la queue de Nicolaï légèrement plus longue mais aussi plus fine (enfin 5.5 c'est déjà pas mal), ajoute une différence, car ce n'est pas leurs pilosités réduites à un minimum qui frise l'inexistence qui le feraient. Alors que nous discutons encore, ils m'approchent  de chaque côté avant de me lever de mon fauteuil et de me mettre à poil en 30 seconde chrono. On ne se refait pas, je bande comme un fou (faudrait peut-être que je consulte ça pourrait être maladif ?!).
Je les laisse faire, ça me permettra de voir comment ils ont évolués. Quand un s'occupe de me sucer la langue et de me rouler un patin, l'autre embouche ma bite dans une fellation que je ne renierais pas moi-même. Quand ils me trouvent suffisamment chaud, alors que Nicolaï continue sa pipe en mode gorge profonde, Victor me travaille la rondelle. Qu'on s'occupe de moi des deux coté c'est jouissif. Surtout que la langue qui travaille ma rondelle est très efficace. Elle me détend bien l'oignon et je me sens prêt, après une telle préparation, à enculer l'un tout en me prenant l'autre dans le cul.
C'est chose faites quelques minutes plus tard. Viktor sur le dos, moi au-dessus avec ma bite dans son cule et derrière moi Nicolaï qui me stimule la prostate de l'intérieur. Mes 20cm font merveilles dans Viktor qui mouline du cul pour augmenter ses sensations. Comme il serre bien ma bite, ça me fait aussi pas mal d'effets ! Le corps de ma queue pistonne son trou alors que la peau qui le recouvre, elle, se vrille. Excitation augmentée garantie. A cela s'ajoute la pénétration des 20 x 5.5 de son partenaire entre mes fesses et, à l'aide de mes va et vient, au plus profond de moi. Me voilà pris en sandwich et quelque part c'est terriblement efficace !!
Ils me changent plusieurs fois de position, toutes sont aussi bonnes que la première. Quelques intermèdes où je me retrouve en 69 avec Viktor ou Nicolaï après leurs échanges de ma rondelle. Quelques autres où j'encule L'un ou l'autre lui-même faisant son affaire à son partenaire. On se retrouve à s'achever d'un coup de main pour se juter dessus et réciproquement.
Sous les douches ils m'expliquent qu'ils comptent bien continuer à bosser comme maintenant. Ils sont en train de se constituer un carnet d'adresse avec lequel ils n'auront aucun mal à trouver du travail en tant qu'indépendants. Dès que l'attrait sexuel qu'ils génèrent se sera tassé.         
Ce qui, vu leur gueules encore très " juvéniles " ne risque pas d'arriver demain !
Jardinier
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18 notes · View notes
egnidres · 2 years ago
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Happy birthday to my little baby ꒰♡ˊ͈ ु꒳ ूˋ͈꒱.⑅*♡
It's a bit short, but there's no angst, miracle. One day I'll publish some stuff about him ♪♪(o*゜∇゜)o~♪♪
Aim and Post Dark Cream belong to @zu-is-here
⊰✧⊱
Les deux enfants rentrèrent dans la boulangerie, accompagnés de Killer et saluant le vendeur, une tortue plutôt âgé. Ils se dirigèrent vers les vitrines, regardant les nombreuses tapisseries et viennoiseries disposés : des forêt noires, des gâteaux fruités remplis de crème, des milles-feuilles, des chou à la crème, des tartes au citron meringuée, des macarons, des éclairs au chocolat et au café, des pains au chocolat et des croissants.
— Ça a l'air trop bon, s'extasia Aim devant la vitrine, les étoiles dans les yeux.
Après avoir choisi deux gâteaux, une forêt noire et un gâteau au fruit, Killer demanda le plus naturellement du monde :
— Lequel vous voulez ?
— Mais Papa a dit que on devait juste chercher deux gâteaux, et qu'on devait pas prendre autre chose au sinon on allait pas finir de manger.
Nuisance avait dit ça en regardant le plus grand, comme s'il essayait de déceler si cela était un simple test ou oubli de sa part. En voyant son sourire confiant, il comprit qu'il n'avait pas oublier ça ou quoi que se soit d'autre, il n'avait juste pas envi d'écouter cet ordre qui lui avait initialement été donné.
— Night sais bien que quand on rentre dans une boulangerie avec des enfants il faut aussi prendre une petite pâtisserie pour le gouter. Et si on les mange sur le chemin du retour, il n'en saura rien. Alors, vous voulez quoi ?
— Celui au chocolat là-bas, répondit rapidement le plus petit.
— On appelle ça un éclair au chocolat... Mais j'aurais pensé que tu aurais pris le chou à la crème.
Tout en disant cela, il désigna la fameuse pâtisserie, sachant que Aim ne pouvait pas lire les petites pancartes devant la nourriture.
— C'est vrai que ça a l'air bon, mais il n'y a pas de chocolat.
Le plus grand sourit avant de demander la fameuse pâtisserie, ainsi qu'un mille-feuille au vendeur. Pendant que ce dernier commencer à prendre la nourriture pour les mettre dans une des petites boites en carton fins, il redemanda la même question à l'enfant aux yeux vairons, ne voulant pas qu'il soit le seul à ne rien avoir. Ce dernier regarda de nouveau le plus grand dans les yeux, avant de retourner son attention sur son cousin qui lui souriait comme pour l'encourager à prendre quelque chose. Finalement il bredouilla d'une petite voix :
— Des macarons.
Le squelette à l'âme bicolore lui frotta la tête, pas surpris le moins du monde par ce choix. Puis lorsqu'ils partirent de la boulangerie, remerciant la tortue, il donna les petits gâteaux aux deux enfants, qui s'empressèrent d'en prendre un morceau. Nuisance tendit un macaron marron à Aim avant de rajouter :
— C'est au chocolat si tu veux gouter... Kills, Papa va être en colère contre nous s'il découvre qu'on lui a désobéit.
— Ne t'inquiète pas, il ne saura pas. Et puis, s'il le découvre, ce ne sera pas contre vous qu'il sera en colère, mais contre moi.
⊰✧⊱
The two children entered the bakery, accompanied by Killer and greeting the shop assistant, a rather elderly turtle. They walked towards the shop windows, looking at the many tapestries and pastries on display: black forest, fruity cakes filled with cream, mille-feuilles, cream puffs, lemon meringue tarts, macaroons, chocolate and coffee eclairs, pains au chocolat and croissants.
"It looks so good", Aim exclaimed in front of the window with stars in his eyes.
After choosing two cakes, a black forest and a fruit cake, Killer asked most naturally:
"Which one do you want?"
"But Papa said we should just get two cakes, and that we shouldn't get anything else or we wouldn't finish eating."
Nuisance had said this while looking at the taller boy, as if trying to detect whether this was a simple test or an oversight on his part. Seeing his confident smile, he knew he hadn't forgotten that or anything else, he just didn't feel like listening to the order that had originally been given to him.
"Night knows that when you go into a bakery with children you have to take a little pastry for a snack. And if you eat them on the way home, he won't know. So what do you want?"
"The chocolate one over there," the little one answered quickly.
"It's called a chocolate eclair... But I would have thought you would have taken the cream puff."
As he said this, he pointed to the famous pastry, knowing that Aim couldn't read the little signs in front of the food.
"It does look good, but there's no chocolate."
The taller boy smiled before asking the vendor for the famous pastry and a mille-feuille. As the latter started to take the food and put it in one of the small thin cardboard boxes, he asked the same question to the child with the minnow eyes, not wanting him to be the only one without anything. The latter looked the taller boy in the eye again, before returning his attention to his cousin who was smiling at him as if to encourage him to take something. Finally he stammered in a small voice:
"Macaroons."
The skeleton with the two-tone soul rubbed his head, not surprised in the least by this choice. Then as they left the bakery, thanking the turtle, he gave the little cakes to the two children, who hurried to take a piece. Nuisance handed Aim a brown macaroon before adding:
"It's chocolate if you want a taste... Kills, Dad will be angry with us if he finds out we disobeyed him."
"Don't worry, he won't find out. Besides, if he does find out, he won't be mad at you, he'll be mad at me."
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