#koba la d type beat
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mwakaflex · 3 years ago
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#drilltypebeat
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zuumbiess · 6 years ago
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(PurrpHazeMafia)
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ambassademag · 5 years ago
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Que reste t-il de Chief Keef? (Chronique Musique)
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En explosant à une vitesse folle et à une échelle mondiale en 2012, il s’est déjà imposé comme un artiste solide du rap des années 2010. Mais loin de se cantonner à un impact local sur Chicago il va transformer les continents du rap moderne.
Si vous avez suivi les rétrospectives sur le rap de la décennie 2010 qui ont fleuri tout au long de l’année 2019 c’est quelque chose que vous avez déjà entendu : Chief Keef a influencé énormément d’autres artistes.
Pourtant, cette affirmation ne semble pas évidente pour toustes.
Dans une interview (que je n’ai pas retrouvé, si vous voyez de laquelle je parle signalez la moi), Koba la D parle de l’influence que Chief Keef a eu sur lui. La journaliste de lui répondre que Chief Keef ne fait plus rien aujourd’hui. Koba s’étonne et lui répond « non c’est parce que t’écoutes pas mais il es là ! ».
Toutefois, la journaliste n’est pas à blamer bien sûr. C’est un avis répandu que depuis « I dont like » Chief Keef ne fait plus rien. En effet, révélé grâce à ce hit violent, froid et débordant d’énergie, issu de sa mixtape Back from the Dead, Chief Keef voit tout les projecteurs braqués sur lui. Il signe alors un contrat estimé à 6 millions de dollars chez Interscope, chez qui il produira Finally Rich. Album fort, contenant d’autres morceaux à l’aura planètaire comme Love Sosa, Kobe ou Hate being sober. Toutefois, pour diverses raisons (changement de PDG chez Interscope, déboires judiciaire de Sosa et management hasardeux) Keef voit son contrat lui être rendu plus tôt que prévu par Interscope.
Sosa officiera donc à nouveau dans une forme d’underground , possible raison qui explique son « absence » depuis des années pour beaucoup.
Une question se pose alors, Chief Keef est il réellement influent ? Pourquoi ? Seulement avec I dont like amenant la drill de Chicago à toustes ? Ou alors, celleux qui ont continué à suivre l’artiste en ont extrait quelque chose de plus ?
Voici donc une rétrospective, non exhaustive, de l’impact de Chief Keef sur le rap d’après 2012.
Kaaris – Or Noir / Chief Keef – BFTD , Finally Rich :
Si pour beaucoup, Or Noir sonne l’arrivée de la trap en France, il s’agit d’une erreur. En effet, ce qu’on entend par « trap » est déjà arrivé en France quelques années plus tôt. La trap, au sens premier du terme, naît réellement dans le milieu des années 2000 à Atlanta et ce caractérise par ces productions au tempo lent, couplées à des mélodies portées par des synthétiseurs assez crados (notamment chez Zaytoven, producteur fétiche du Gucci Mane de ces années là) et les basses faites à base de TR-808. La trap musik à Atlanta c’est une musique par des dealers de crack pour d’autres dealers.  De ce fait, l’album Le Général de Mac Tyer marque déjà l’arrivée de ce genre en France. Mac en reprend le son et les thèmes mais les ramènent dans un cadre Français avec brio. La trap est aussi énormément calibrée pour être diffusé dans les strip club d’Atlanta, de ce fait Boulbi de Booba est totalement dans cette optique. Sonnant tel un morceau de Jeezy, le tube est pensée pour les clubs.
Or, quand on écoute Zoo, premier extrait de ON, c’est pas tellement les stroboscopes et les bouteilles de champagne qui nous viennent en tête. Les productions aux mélodies sous harpegiateurs sonnent froides et sont enrobées de lyrics d’une violence inouïe. C’est bien ce qui caractérise la drill de cette époque, une musique froide et violente.
Loin du soleil sudiste d’Atlanta, Chicago se trouve au Nord des Etats-Unis et est surnommée « the Windy City ». Depuis 2001, plus de 7000 personnes sont mortes assassinées à Chicago, soit plus que dans les guerres d’Iran et d’Irak (côté soldat américain). Concentrées en grande partie dans le quartier de South Side, il n’est pas étonnant que cet environnement ultra violent se voit retranscrit dans les paroles de Chief Keef, alors qu’il n’a que 16 ans. En plus donc des productions froides et ultra énergiques, la violence des paroles de Zoo et de tout Or Noir (partie 1 comme partie 2) s’inspire directement de Chicago. Kaaris apparaît lui aussi torse nu entouré de types armés dans le clip de Zoo comme Keef dans I dont like. D’une manière assez prémonitoire, le visage de Kaaris est parfois remplacé par des images subliminale de gorille, effet qu’on retrouvera quelques années plus tard chez Keef dans le clip de Faneto. 
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 Extirpée du soleil lourd de Géorgie, la trap voyage jusqu’à Chicago, où le sang et le froid la modifieront à jamais. Arrivée en France par Therapy airlines, c’est bien par l’intermédiaire de Kaaris que notre pays se verra secouée par la vague drill.
« J’rap comme à Chicago, t’as l’flow d’Patrick Juvet » Kaaris - Intro
Toutefois, loin du bête copier coller, Kaaris apportera une teinte plus française au produit issu de Chiraq. A l’opposé d’une certaine épuration lyricale caractéristique de la drill, K double A y ajoutera un sens de l’image, des métaphores et de rimes très français. C’est là la réelle force du disque bourré de phases toutes plus incroyables les unes que les autres, pour qui aime le rap hardcore.
Or noir apparaît en fait comme l’arrivée non pas de la trap mais bien de la drill en France. Dans les années suivantes, l’impact de Sosa et de Kaaris se mélangera dans les oreilles de beaucoup de rappeurs en France et donnera naissance à des petits Glo Gang Francophone tels que XV Barbar ou même 13 Block.
Néanmoins, l’influence de Chief Keef n’est pas tellement contestée durant cette période. En effet, quiconque tombant sur un morceau de Keef de 2012 et le Kaaris de Or noir ne pourra pas le nier.
Pour certains, c’est là que s’arrête l’héritage de Chief Keef. Avoir remusclé la trap musik. Mais, est-ce bien vrai ?
PNL – Que la famille / Chief Keef – Almighty so
Après sa rupture de contrat avec interscope, Chief Keef retourne donc à une musique hors du circuit des majors. A l’instar d’une de ses influences, Gucci Mane, il se met à produire énormement de mixtapes entre 2013 et 2015, dont beaucoup seront diffusées gratuitement sur Datpiff.
Libéré des contraintes d’une grosse major (volonté d’avoir des hits sur son album etc), Keef va laisser libre court à ses idées, que le ciel lui apporte sous forme de pluie de Sprite violet, de Henessy et, littéralement, d’éclairs de génies. De ce ciel toujours sombre, Keef va tirer des mixtapes dépassant toutes les limites d’alors. Tombant amoureux d’autotune comme Lil Wayne avant lui, Sosa va se livrer à des expérimentations qui n’auront pour seul limite son esprit qui semble habité de tout un tas de choses. Toute cette période folle, sûrement la meilleure de la carrière de l’artiste, est synthétisée dans une mixtape, Almighty so. 15 morceaux qui semble avoir été enregistrés d’une traite, les hosts de Dj Scream étant le seul temps de pause pour que Keef recharge ses batteries en opioïdes liquides, en alcool et loud. En sort un disque fou, un sprint de 38:35 où les envolées autotunées côtoient les lyrics les plus simples. Keef passe maître dans l’art de l’autocongratulation et semble parfois simplement décrire ce qu’il voit/fait sur le moment présent.
« I just spend a lot of money know I’m tired. Rmember when I used to fantasied » « This bitch is blew my high » Chief Keef – Blew My High
Ils ne donnent jamais d’interviews mais on peut sentir à travers leurs disques que Ademo et NOS ont écouté du Chief Keef. Leur street album / mixtape Que la Famille en déborde. Différents est un morceau dans la plus pure tradition de la drill de BFTD. Les onomatopées qui ponctuent le morceau ne sont pas sans rappeler les fameuses ad-libs de Chief Keef. Des références sont même directement faites à Keef. Ces références se trouvent dans le vocabulaire utilisé par les deux frères, leur QLF (Que la famille) étant la traduction du OTF(Only the family) cher à Chief Keef ou Lil Durk notamment.
« Theses bitches love Sosa » Chief Keef- Love Sosa
« My bitchies love Sosaaaa » PNL feat RMK – Athéna
Simulatanément, dans ce même morceau les poussées de chant autotunées à la maîtrise incertaine de NOS ne sont pas sans rappeler Almighty So.
Dans le refrain, et les couplets parfois, d’un morceau comme J’comprends pas, les deux frères semblent crier tel des loups à la lune une mélodie qu’ils cherchent. Alors que le morceau enregistre, ils sortent des sentiers battus et tentent une expérience, poussée par la modification vocale et leurs émotions. Une façon de rapper qu’on retrouve sur Go to jail de Chief Keef, où pendant la première minute trente du morceau, Keef chante sans maîtrise sous autotune, à la recherhce d’une top line. On assiste presque à la création en live de la chanson.
Bien que pas mal de leurs morceaux comme le merveilleux (le magnifique) Je vis, je visser ou J’comprends pas semble aussi porter en eux aussi l’ADN de Lil Durk (Dis ain’t what you want en tête), déjà le rappeur de Chicago le plus mélodique mais aussi le plus empreint de spleen à l’époque. On pourrait expliquer les ressemblances « sonores » de PNL et Keef par des moyens rationnels. Les deux disques sont des disques produits avec peu de moyens et avec des artistes maîtrisant peu les outils dont ils usent par exemple. Toutefois, cette capacité de créer sans se soucier d’un regard méprisant sur l’autotune mal gérée ou les types beats mal mixés mais avec le coeur, on peut la relier à Chief Keef. Sûrement que la drill de Chicago, son énergie créatrice génialement incontrôlée et l’aspect brut de décoffrage des paroles ne peuvent qu’avoir pu libérer une barrière chez les deux frères, dont les premières sorties musicales étaient à des années lumières de ce qui a fait leur succès.
L’influence de Chicago tendra à disparaître au fur et à mesure des disque du duo, dès Le Monde Chico elle se fera moins présente, mais elle restera là, comme une ombre planant sur les disques de PNL. Le refrain de Onizuka ou même le fameux couplet de NOS sur Menace en sont des directs héritiers. Lorsque NOS pousse son rap chanté sous autotune dans d’autres sphères sur Menace, on ne peut qu’y voir une réminiscence de morceaux comme Go to jail. NOS semblent trouver sa bonne mélodie au milieux de son couplet, pour en changer du tout au tout en deux mesures.
De la période de carrière de Chief Keef la plus décriée, les deux frères des Tarterets en on fait la musique la plus écoutée de France. Mélangée, encore une fois, à des références rap bien française (étant du 91 il est évident que du Néochrome a parcouru leur oreille) la drill se voit grandir, modifiée, sans pour autant perdre sa sève. Ce genre souvent présenté comme un rameau de la branche trap du grand arbre rap, la drill de Chief Keef donne maintenant des fruits insoupçonnés.
Playboi Carti – Playboi Carti, Die Lit, @ meh, leaks / Chief Keef- BFTD 2
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En 2014 sort le deuxième volet de Back from the dead. Le premier opus ayant propulsé Chief Keef dans la stratosphère, une attente certaine émane de ce disque d’autant que, comme évoqué plus tôt, Chief Keef a perdu une partie de son public depuis sa rupture avec Interscope. Le public s’attend donc à un retour en terrain connu. Certains morceaux sortis avant le disque avaient même réussi à reséduire d’anciens auditeurs comme War (la section commentaire est pleine de ces commentaires comme « enfin le retour de sosa ! »).
Tous les signaux sont au verts pour la sortie d’une tape déjà couronnée de succès.
Rien de cela. Encore une fois, Chief Keef prend tout le monde à contre courant. Back from the dead 2 est véritablement un projet sorti d’outre tombe. A l’image de la cover, Sosa apparaît en zombie effrayant, venu hanter un monde déjà plongé dans les ténèbres.  
La cover pourrait paraître de mauvais goût aux yeux de certains. Chief Keef y apparaît, dans un montage assez grossier, sortant de sa tombe la moitié du visage squellifiée. Dans un monde noir, la brume cache les détails. Un corbeau sur son épaule, une pelle à sa droite. Tel un fossoyeur, Chief Sosa se serrait déterré lui même. Une image amusante qui prend même tout son sens puisque Keef produit lui même une majeure partie du disque.
Le disque est à l’image de sa pochette. Un mélange savant entre amateurisme certain et génie créatif qui fait que tous les défauts du disque en deviennent une force. La pochette est héritière du travail de Pen & Pixel, elle en reprend le goût pour l’outrance et le mauvais goût mais franchi la barre du « moche » pour devenir magnifiquement laide. C’est aussi ce qui se dégage des productions.
Chief Keef produit à 90 % le disque sans qu’il n’ait pour autant de grandes connaissances en beatmaking. Il s’appuie sur quelques bases classiques de drill comme la légère desturcturation des rythmiques de snares mais s’amuse à déconstruire encore plus. Là ou d’ordinaire la snare est joué au premier temps et est placée selon le producteur ensuite sans suivre un rythme nécessairement en 4 temps, Keef ne place parfois la snare au premier temps et décale ainsi les hi-hats d’un temps. Cela donne une impression étrange de retrouver tout le éléments de la drill du début mais dans une version difforme. Ce son qui ne semble pas toujours en rythme, ce sont les pas du zombie Sosa. Mais c’est au niveau de ce qu’il dit que Sosa brille. Toujours adepte des mêmes thèmes, ses phases courtes sont ponctuées d’ad libs fantomatiques. Ayant toujours occupé une place fort chez Keef, les ad-libs sur BFTD 2 prennent une forme nouvelle. Elles englobent les morceaux, ce sont les grognements d’un boogie man déjà trop proche de toi quand tu l’entends parler. Le rap est presque post-verbale, les lyrics perdent de leur intérêt car tout est bouffé par des petits bruits d’armes à feu faits à la bouche, de machine à compter les billets ou d’onomatopées étranges. Elles ne ponctuent plus les temps forts des phases mais en font parti. Chaque mot est accompagné de son onomatopée qui est là tel l’echo dans une grotte.
« Shootin’ on your face (pow pow) and your nuts (bang bang) » Chief Keef - Cops
Directement héritier de cela, le phénomène Playboi Carti. 
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Dès sa première mixtape, tout y est. Les productions de Pi’erre Bourne sorties d’un album d’easy listening se voient porter vers de nouveaux cieux par Carti. Les ad-libs du broke boi suffiraient presque à rendre les morceaux intéressants à elles seules. Elles sont juste entourées de quelques lines mais elle en sont le coeur. Que les lyrics n’ait pas de sens ou ne soit pas compréhensible n’est pas grave, les phases ne deviennet qu’une couche mélodique de plus, un nouvel instrument dans des morceaux à l’énergie totale. Tout pour que ce soit dansant, les ad-libs devenant presque des baguettes de chefs d’orchestre ordonnant quand bouger.  Mais aujourd’hui, les temps ont changés. Plus le temps passe, plus le joyeux luron Carti mute. Il mute en un vampire. @ meh et le couplet sur Pain 1993 de Drake ne sont pas ceux d’un homme mais bien d’un Carti à la babyvoice poussée à l’extrême (façon autotune sur Almighty so) laisse maintenant planer un Carti fantomatique partout où il passe. La même energie se dégage mais semble avoir atteint un point inatteignable pour beaucoup d’auditeurices.
Toujours accompagné de productions plus carrées et légères que Chief Keef sur BFTD 2, il mute donc peu à peu en un vampire planant prêt à fondre sur sa prochaine cible au côté de son père, ce zombie lourd au visage couvert de dreadlocks.
Lil Pump – Lil Pump/ Chief Keef – Finally Rich, Thot Breaker
Dans la description de leur compilation officieuse de Chief Keef Marcelo Bielsosa, l’équipe du blog Fusil à pompe écrit cela: « Que se cache-t-il dans dans la glacière d’Almighty Bielsosa ? Un cerveau malade ? Le néant ? Des idées folles, que d’autres feront triompher demain ? »
Dès le début de sa carrière, Keef est attaqué pour ses lyrics simples parlant de manière abusive de drogues, de violence, d’argent et de groupies. Un rap certes énergique mais qualifié de stupide ou de débile.
Pourtant, ce rap il parle à un gamin de Miami. Tatoué jusqu’au front, les dreads couleurs arc-en-ciel, Lil Pump va devenir le symbole ultime de cet héritage. Celui qui se vante d’être le rappeur le plus « ignorant » est un fan inconditionnel de Sosa. Chief Keef va lui ouvrir les yeux. « Ils rappent tous comme si ils avaient quequ’chose à dire » eh bien non pas Lil Pump mais il en est fier. 
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L’héritage de Chief Keef c’est aussi d’avoir ouvert les portes d’un rap sans complexe où être stupide fait vendre. Car le rap est une musique qui aime se prendre au sérieux, où tout aurait un sens que ce soit les beats, les lyrics les ad-libs. Lil Pump n’a retenu qu’une leçon de Keef, nique tout ça. Je suis la pour les sous, la drogue et la fame. Je rappe sans qu’on comprenne rien ? Merci papa et ouais j’vais l’faire ! Un jemenfoutisme certains qui n’a pas empêcher sa carrière de sombrer. N’est pas Chief Keef qui veut.
Cette liste n’est pas exhaustive encore une fois. C’est à regret que je n’évoque pas Retro X, Lucki, Koba, Mano Qatsi ou même la période 1017 de Chief Keef et son impact sur Atlanta. L’article est déjà bien assez long, merci à vous d’en être arrivé.e jusqu’ici.
En 8 ans depuis son explosion, Chief Keef a mené une carrière versatile bien que semée d’embûches. Parce que sa musique est en fait plus dense qu’il n’y paraît, Keith Cozart se retrouve donc à influencer des rappeurs aussi divers que variées. Il est désormais partout et nulle part dans l’industrie (ses fans attendent désespérément Almighty So 2). Il est vrai que en terme d’audience, Chief Keef ne sera peut-être plus jamais aussi haut que Love Sosa. Néanmoins, il a déjà laissé une marque forte, le genre qui restera dans l’Histoire du rap au côté de Gucci Mane, Lil Wayne ou Lil B.
RIP Big Boss Fredo
RIP Capo
Ressources Chief Keef :
Un « mix » (je ne sais pas mixer) des différents morceaux évoqués dans cet article :
https://www.mixcloud.com/Jvlos_Thxmxs/chief-keef-children-mix/
La playlist youtube regroupant les morceaux du mix :
https://www.youtube.com/playlist?list=PLB5uYqxdy1P9V6Ve387JffzKkCTPTcTdZ
Une compilation/ best of de Chief Keef par Fusil à pompe, très juste selon moi :
https://fusilsapompe.tumblr.com/post/185925309429/chief-keef-marcelo-bielsosa
Une playlist regroupant mes leaks/unreleased préférés de Chief Keef :
https://www.youtube.com/playlist?list=PLB5uYqxdy1P_X14C9bSgQhzG9qmuq71JP
Noisey Chiraq. C’est noisey donc ça pue le mépris et le script mais ça reste un peu intéressant (l’épisode 8 est marrant surtout car Chief Keef tente de tailler un short au journaliste) :
https://www.youtube.com/watch?v=TybFtK6VTVo&list=PLdoAu1uCjE-il9fohlkEu2d4-H2SzkgJp
Therapist Chief Keef. Assez glaçant surtout que Sosa est assez franc et qu’on voit qu’il est pas à l’aise avec les médias :
https://www.youtube.com/watch?v=P8jP4buNLIQ
Le clip de Hate being sober. Keef n’était pas vu au tournage, le clip est sorti le mois dernier. Sans lui du coup. C’est très marrant:
https://www.youtube.com/watch?v=ISj_j2h9UjA
Tweet mumble rap :
https://twitter.com/ChiefKeef/status/986383918013149184
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D’autres parlent mieux de Keef que moi. Surtout Nicolas Pellion (aka Pure Baking Soda), expert francophone ultime de Sosa. Sélection de ses articles sur Keef et la drill :
https://purebakingsoda.fr/?p=2724
https://purebakingsoda.fr/?p=3946 (petit mot dans l’outro)
https://purebakingsoda.fr/?p=5592
un petit mot magnifique de PBS
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Chief Keef, roi sans couronne. Par Yérim Sar pour mouv’:
https://www.mouv.fr/rap-us/chief-keef-roi-sans-couronne-295236
Nofun show sur Playboi Carti. PBS revient plus en profondeur sur l’influence de Chief Keef sur Carti :
https://www.youtube.com/watch?v=SO-432M5euw&t=295s
Nofun show sur les années 10, à 50:50 ils parlent de Chief Keef :
https://www.youtube.com/watch?v=vf1ZmQR4r7M
Nofun sur Deux Frères. PBS revient sur l’impact de Sosa sur PNL :
https://www.youtube.com/watch?v=Sp95dB2RQRQ&t=569s
Très vite évoqué dans l’article, un article sur les héritiers de Pen & Pixel à lire chez les très bons Swamp Diggers :
http://swampdiggers.com/L-art-de-la-pochette-de-rap
Une itw du créateur de Pen & Pixels à l’ABCDR du son :
https://www.abcdrduson.com/interviews/pen-pixel-graphics/
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hero192 · 4 years ago
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''Finish him'' Damso ft Lefa ft Koba la D type instruTrap Beat
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sayeed182g · 4 years ago
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''Finish him'' Damso ft Lefa ft Koba la D type instruTrap Beat
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fuzzygoateepoetry · 4 years ago
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''Finish him'' Damso ft Lefa ft Koba la D type instruTrap Beat
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macmuzik · 5 years ago
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[FREE] Kodes X Koba La D Type Beat "ALIEN CLUB" Hard | Trap | Banger (Ma...
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nemo-tilus · 5 years ago
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Type Beat koba la D 💿 en travaux à vendre #beat #musicmaker #hiphopsoul #rapfrançais #flstudio #akaifire #dopeness #musiccity #chillbeats #buybeats #hotnewhiphop #hiphopproducer #beatmaking #beatz #trapbeat https://www.instagram.com/p/Bxnl19uiUUz/?igshid=m9gbc36qd37f
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alphaneodesign · 6 years ago
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(YSBEAT)
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alphaneodesign · 6 years ago
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zuumbiess · 6 years ago
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K12 ○ Travis Scott Koba La D Type Beat I 140 BPM I
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