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HISTOIRE/ACTU | Fin des livres : l’omnipotence de l’audiovisuel entrevue à la fin du XIXe siècle ➽ http://bit.ly/Fin-Livres Au début des années 1890, l’éditeur, journaliste et homme de lettres Octave Uzanne improvise un discours visionnaire sur la fin des livres au profit d’appareils de poche diffusant à l’avenir pléthore de sons et d’images animées, opérant ainsi une profonde révolution dans les domaines de la culture et de l’information, et répondant aux exigences d’une société de loisir
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Monkeyshines, No. 1
Monkeyshines, No. 1 (suivi de Monkeyshines, No. 2 et Monkeyshines, No. 3) est un essai de film américain, réalisé par William K.L. Dickson et William Heise pour les laboratoires de Thomas Edison, en 1889 ou 1890. Ces essais sont enregistrés à partir du Kinétographe à cylindre horizontal, version archaïque de la première caméra de cinéma. C’est une adaptation du phonographe à cylindre qu’a…
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Bonjour Mon ami(e),
Thomas Edison est l’inventeur du phonographe, de l’ampoule électrique et du kinétographe, la première caméra de l’histoire. Il a déposé mille soixante quatorze brevets dans sa vie. Il est l’inventeur du premier studio de cinéma et le fondateur de General Electric et Continental Edison. Sourd dès l’âge de 13 ans, il est un parfait autodidacte dont les inventions ont transformé notre vie.
Son attitude vous lance un défi aujourd’hui ! Il a dit : "Je n’ai pas échoué. J’ai simplement trouvé dix mille solutions qui ne fonctionnent pas… Notre plus grande faiblesse réside dans l’abandon ; la façon la plus sûre de réussir est d’essayer une autre fois."
Je ne sais pas si Thomas Edison s’appuyait vraiment sur Dieu, mais il a certainement dépassé ses propres limites plus d’une fois.
Mon ami(e), imaginez ce que vous pouvez accomplir pour la gloire de Dieu ! Appuyez-vous sur Lui car "le secours vous vient du Seigneur, qui a fait le ciel et la terre… Il vous empêche de glisser, Il ne dort pas, Il est votre gardien ! Le Seigneur vous protégera de tout mal, Il veillera sur votre vie. Le Seigneur veillera sur vous depuis votre départ jusqu’à votre retour, dès maintenant et pour toujours." (Voir Psaumes 121.)
Aujourd’hui, permettez-moi de nous lancer ce défi : et si nous commencions à voir ce que Dieu peut faire au lieu de laisser ce qui nous semble insurmontable ou trop difficile nous empêcher de vivre le "nouveau" divin ? Lorsque vous limitez Dieu, vous vous limitez. Lorsque vous vous limitez, vous limitez Dieu.
Soyez-en certain(e), Jésus-Christ vous promet ceci : "Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin des temps." (Lire Matthieu 28.20.)
Merci d'exister.
Bruno Picard
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LE CERCLE DES ILLUSIONISTES
Du 18 octobre au 28 décembre au Théâtre de l’Oeuvre
De Alexis Michalik
En 1984, alors que se déroule le championnat d'Europe des Nations, Décembre vole un sac dans le métro. Dans le sac, il trouve la photo d'Avril jolie. Il la rappelle, ils se rencontrent dans un café. Il va lui raconter l'histoire de Jean-Eugène Robert-Houdin, horloger, inventeur, magicien du XIXe siècle.
Cette histoire les mènera tous deux sous le coffre de la BNP du boulevard des italiens, dans le théâtre disparu de Robert-Houdin, devant la roulotte d'un escamoteur, derrière les circuits du Turc mécanique, aux prémices du kinétographe, et à travers le cercle des illusionnistes.
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Actu Ciné, Films Cultes, Movies À Venir, Actu Et Review Ciné
En poursuivant un navigation sur ce site, vous agréez l'utilisation de cookies pour vous présenter des services et offres appropriés pour vos centres d'intérêts. « Pressé k?rester le temps, Edison rachète à l'inventeur Francis Jenkins son appareil de projection sorti en octobre 1895 sous le nom sobre Phantascope, qu'il adapte avec l'aide de l'ingénieur Thomas Armat, ou qu'il appelle le Vitascope Edison peut alors projeter sur great écran les nombreux films qu'il a déjà fait enregistrer à partir de 1893 avec le Kinétographe. De 1891 à early 1900s, et même quelques années in addition tard, les films se présentent toujours sous le même element: un bobineau de pellicule thirty-five mm de 20 mètres environ (65 pieds), sur lequel se révèle être impressionnée une unique prise sobre vues comprenant un seul cadrage (un plan ), qui, sobre projection, dure moins d'une moment. Arianne imagine tout de suite opinion la projection de films pourrait enrichir son spectacle au théâtre Robert-Houdin qu'il a racheté sobre 1888 Il propose à l'issue de la séance de racheter pour une somme astronomique (il est alors fortuné) les brevets qui protègent le Cinématographe.
Dans ce film d'une moment vingt au sujet très svelte, comme il est de coutume de les concevoir à l'époque: un enfant utilise la loupe de sa grand-mère pour au sein des films de Joseph L. cinémathèque française scorsese , y compris dans son dernier film, Un Limier, réalisé en 1972 278 Après la généralisation du ton au cinéma, quelques adaptations d'opéras ont aussi été réalisées, très fameuse restant probablement le Oblation Giovanni de Joseph Losey de 1979 279 À son tour, ce spectacle cinématographique a influencé un théâtre (mise en scène théâtrale mêlant effets spéciaux, musique, pagne, voire projections d'images) et surtout une littérature Tout au long du XXe centenère, un certain nombre de romanciers ont ainsi appelé des images et un « montage » bien-aimé du langage cinématographique.
Mais c'est avec la télévision que ce cinéma entretient des relations le mieux possible étroites d'influence réciproque 280 Une certaine quantité de réalisateurs et d' acteurs déroulent ainsi du petit au énorme écran, ou dans le sens inverse, emportant avec eux les procédés et le langage d'un terre à l'autre.http://librairie-polis.com ='display: block;margin-left:auto;margin-right:auto;' src="http://www.android.com/static/2016/img/devices/tvs/transparent/sharp-aquos_1x.png" width="296" />
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Louis Le Prince , WHERE THE HELL ARE YOU MAN ?
La disparition inexpliquée : ( Via Wkpd )
En septembre 1890, Louis Le Prince se prépare à retourner au Royaume-Uni pour breveter un appareil de projection, ayant prévu de se rendre ensuite aux États-Unis pour le promouvoir. Avant son voyage, il décide de retourner chez lui voir ses amis et sa famille, puis quitte Bourges le 13 septembre pour rencontrer son frère à Dijon. Le 16 septembre, il monte à bord d'un train pour Paris (comme le prouve un courrier de ses nièces à ses filles) ; à l'arrivée de ce train, on découvre qu'il n'y a nulle trace de Le Prince à bord. On ne trouve ni corps ni bagage dans les voitures, ni le long de la voie. Aucune attitude étrange ou agressive n'est signalée parmi les voyageurs.
La police française, Scotland Yard et la famille, entreprennent des recherches exhaustives qui n'aboutissent pas. La réalité et l'ampleur de cette enquête ont depuis été remises en question, plusieurs historiens ayant échoué à retrouver dans les archives de la Police nationale le moindre dossier Le Prince, ou tout autre document relatif à l'affaire ; de plus, Albert Le Prince n'aurait pas déposé de main courante pour signaler la disparition de son frère. Cependant, un imprimé émanant de la Préfecture de Police, daté de 1900 et conservé dans les archives familiales de Memphis, fait état de l'échec des recherches (et corrobore ainsi leur existence).
Quatre théories principales, relativement mal documentées et tenant davantage de l'hypothèse, ont été proposées pour expliquer les événements :
Le suicide parfait En 1928, le petit-fils d'Albert Le Prince indique à l'historien Georges Potonniée que Louis Le Prince voulait se suicider, étant au bord de la faillite. Son suicide aurait été arrangé, afin que son corps et ses bagages ne soient jamais trouvés. Cependant, Potonniée note que les affaires de Le Prince étaient rentables, qu'il était fier de son invention, et qu'il n'avait de ce fait pas de raison de se suicider. Ce n'est pourtant pas l'avis de tous les historiens. Christopher Rawlence, notamment, affirme que Le Prince était alors à court de ressources et criblé de dettes, et qu'incapable d'avouer à sa famille son incapacité à mettre au point un appareil de projection fiable pour l'exposition new-yorkaise, il aurait pu avoir intérêt à organiser sa disparition (suicide ou exil).
Disparition organisée par la famille En 1966, dans son Histoire comparée du cinéma, Jacques Deslandes affirme que Le Prince disparaît volontairement pour raisons financières et « convenances familiales ». Le journaliste Léo Sauvage précise cette théorie, ayant vu la note prise en 1974 par Pierre Gras, directeur de la bibliothèque municipale de Dijon : un historien du cinéma avait dit à Pierre Gras que Le Prince était mort à Chicago en 1898, « disparition volontaire exigée par la famille (homosexualité) ». Sauvage souligne l'invraisemblance de cette affirmation, et il n'existe aucune preuve dans les documents familiaux laissant penser que Le Prince ait été homosexuel . D'autre part, les recherches visant à retrouver un Louis Aimé Augustin Le Prince dans les cimetières de Chicago n'ont pas abouti.
Fratricide pour des questions d'argent En 1976, Jean Mitry propose, dans Histoire du cinéma, la théorie selon laquelle Le Prince aurait été tué. Mitry note que si Le Prince avait réellement voulu disparaître, il aurait aisément pu le faire avant ce voyage en train. Il trouve ainsi peu probable qu'il soit monté à bord du train à Dijon, et s'interroge de fait sur son frère Albert Le Prince, qui est la dernière personne à l'avoir vu vivant. Léo Sauvage reprend cette hypothèse, suggérant qu'Albert Le Prince aurait voulu, par ce meurtre, empêcher son frère de dilapider l'héritage de leur mère. Il semble en effet que la visite du 14 septembre à Dijon avait pour objet le règlement des problèmes liés à l'héritage maternel, laissé en suspens depuis 1887.
Assassinat dû à la guerre des brevets (« Equity 6928 ») Christopher Rawlence étudie, parmi d'autres théories, celle de l'assassinat. Il commente les soupçons de la famille Le Prince concernant Edison à propos des brevets (Equity 6928) dans son documentaire La bobine manquante. À l'époque de sa disparition, Le Prince s'apprête à breveter son projecteur de 1889 au Royaume-Uni, et à quitter l'Europe pour la présentation officielle de l'appareil, prévue à New York. Sa veuve suspecte un acte criminel, bien qu'aucune preuve concrète n'ait jamais émergé (Rawlence se rabat de ce fait sur la théorie du suicide). De plus, à l'époque des faits, Edison ne s'intéresse plus aux recherches des autres, les siennes venant d'aboutir, après la mise en vente par Eastman de son support souple et la mise au point par Edison et Dickson du film 35 mm à 4 jeux de perforations rectangulaires dont il dépose les brevets internationaux en 1891. D'autre part, dans un crime, commandité ou non, le mobile est un des trois éléments fondamentaux (arme, corps, mobile), et l'on ne voit pas ce qu'Edison aurait gagné en supprimant Le Prince qui n'avait ni les moyens financiers, ni les moyens industriels de faire de l'ombre à l'inventeur et industriel américain. En 1898, le fils aîné de Louis Le Prince, Adolphe, qui a assisté son père sur un grand nombre de ses expériences, est appelé comme témoin par la Mutoscope Company qui avait commis la contrefaçon du Kinétoscope (appareil inventé et commercialisé par Edison, permettant de regarder individuellement par un œilleton les films tournés avec le Kinétographe). La Mutoscope, via l'invention de Le Prince, prétend prouver qu'Edison n'est pas l'inventeur de sa caméra, le Kinétographe. Lizzie (la veuve de Le Prince) et Adolphe y voient une opportunité de faire reconnaître les travaux du défunt, mais l'affaire se retournant contre la société américaine, reconnue coupable de contrefaçon, leurs espoirs sont déçus et abandonnés.
Louis Le Prince est officiellement déclaré mort en 1897. La photographie d'un noyé ressemblant à Le Prince, datant de 1890, a été découverte dans les archives de la police de Paris en 2003.
En 1902, deux ans après avoir témoigné à l'Equity 6928, son fils Adolphe Le Prince est retrouvé mort, tué d'une balle de revolver, alors qu'il chasse le canard sur Fire Island, près de New York.
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Actualité spectaculaire ! - Le Cercle des Illusionnistes
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DU 20/06/2017 AU 09/09/2017
La Pépinière Théâtre, 7 Rue Louis le Grand, 75002 Paris
Le cercle des illusionnistes, univers pétique et lumineux, fait son apparition sur scène avec la célèbre pièce du talentueux Alexis Michalik à la Pépinière Théâtre.
En 1984, alors que se déroule le championnat d'Europe des Nations, Décembre vole un sac dans le métro. Dans le sac, il trouve la photo d'Avril jolie. Il la rappelle, ils se rencontrent dans un café. Il va lui raconter l'histoire de Jean-Eugène Robert-Houdin, horloger, inventeur, magicien du XIXe siècle. Cette histoire les mènera tous deux sous le coffre de la BNP du boulevard des italiens, dans le théâtre disparu de Robert-Houdin, devant la roulotte d'un escamoteur, derrière les circuits du Turc mécanique, aux prémices du kinétographe, et à travers le cercle des illusionnistes.
Quel mystère se cache derrière la rencontre entre un petit voleur du métro de Paris, un cinéaste Georges Méliès, la figure délicate d’une jeune femme nommée Avril Jolie et tant d’autres personnages dont les destins s’entrecroisent au gré des caprices de la grande et de la petite histoire. Le cercle des illusionnistes fonctionne à la manière des automates du fameux horloger Robert-Houdin : peu à peu, les pièces s’assemblent sous les yeux du spectateur et donnent vie à une mécanique imparable, celle de la magie opératoire du théâtre dans un dialogue revigorant avec le 7e art.
Alexis Michalik est auteur et metteur en scène. En effet, il marque son deuxième succès retentissant après Le Porteur d’Histoire à la Comédie des Champs Elysées. Entre temps, il rafle deux Molières et permet à Jeanne Arènes d’empocher le Molière de la révélation féminine. Un triomphe qui englobe les cinq autres comédiens (Maud Baecker, Michel Derville, Arnaud Dupont, Vincent Joncquez et Mathieu Metral), tous au diapason. Le spectacle vous emportera dans cette machine à explorer le temps, machine diablement drôle et intelligente, à travers les âges et les espaces, dans un prodigieux voyage.
Avec le cercle des illusionnistes, découvrez de la magie théâtrale.
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L’invention du cinématographe
Ou comment des inventions aux noms aussi barbares que “Phénakistiscope”, “Zootrope”, “Praxinoscope“, “Zoopraxiscope”, “Kinétographe”, “Kinétoscope” ont fini par aboutir au “Cinématographe”.
1. Phénakistiscope, Zootrope et praxinoscope
En 1829, un physicien belge fixe le soleil pendant 25 secondes. Complètement bargeot le type ? Non. Enfin si, mais il avait une “bonne” raison : il souhaitait faire cette expérience pour approfondir ses recherches sur la persistance rétinienne.
La persistance rétinienne, c’est ce phénomène par lequel, après avoir vu une image, vous en gardez une vision furtive même après qu’elle ait disparu. De nombreuses illusions d’optique tirent d’ailleurs parti de cet effet.
Après cet exposition forcé, notre physicien perd la vue pendant quelques jours, puis devient définitivement aveugle des années plus tard.
Ce monsieur qui s’est sacrifié pour la science, c’est Joseph Plateau. Et il sent bien qu’il y a un coup à jouer avec cette histoire de persistance rétinienne.
Bingo ! Il invente en 1832 le phékanistiscope, un jouet composé d’un disque percé de fentes et sur lequel apparaissent un ensemble d’illustrations. En regardant à travers les fentes et combiné à un astucieux jeu de miroir, les images se succèdent suffisamment vite pour qu’on ait l’impression d’observer une unique scène en mouvement (persistance rétinienne : chaque image reste en tête suffisamment longtemps pour “faire le lien” avec la suivante, CQFD).
Le zootrope, inventé juste après en 1834 par William George Horner, fonctionne grosso modo sur le même principe, à part qu’il fait du tout en un : des images sont disposées à l’intérieur d’un tambour rotatif, que vous regardez à travers une fente.
Un peu plus tard, en 1876, Emile Reynaud à son tour perfectionne le dispositif en intégrant au zootrope un système de miroirs directement dans le tambour, ce qui donne plus de fluidité au mouvement : c’est le praxinoscope. A partir de là, il invente également le théâtre optique, qui lui permet dès 1888, avant les Frères Lumières, de projeter non pas un film, mais un dessin animé portant le nom de “pantomime lumineuse” (ceci par exemple, bluffant pas vrai ?).
2. Le Zoopraxiscope
Inventé par Eadweard Muybridge en 1879, il est considéré comme le 1er dispositif de visualisation de séquences animées.
Une petite anecdote d’abord. En 1872, Le gouverneur de Californie de l’époque Leland Stanford, lui demande de prouver la théorie de Étienne-Jules Marey (un autre monsieur important pour l’invention du cinématographe, mais je vous passe les détails) selon laquelle il existe un moment où le cheval au galop n’a aucun pied au sol. Le riche individu a parié 25 000$ sur l’affaire.
Muybridge met en place un système ingénieux d’appareils photos chacun relié à un fil placé sur la route du cheval au galop. Quand le cheval rompt un fil, l’appareil qui y est relié se déclenche automatiquement, ce qui permet de prendre des clichés très rapprochés pour décomposer le mouvement du cheval.
Ces clichés (ci-dessus), sont restés célèbres. Et, avec son zoopraxinoscope, Muybridge parvient même à leur redonner vie. Pour cela, les images sont transférées sur un disque de verre rotatif, qu’il active ensuite pour donner l’illusion du mouvement. Je ne suis pas parvenu à trouver plus de détails techniques sur la différence par rapport aux jouets précédents. Ce qui est certain, c’est qu’on joue sur le même principe de persistance rétinienne, mais en perfectionnant l’outil encore un peu plus.
(Au fait, il y a bien un moment où un cheval a les 4 pattes en l’air, c’est prouvé, merci M. Muybridge !)
3. Le Kinétographe et le kinétoscope
C’est Thomas Edison qui invente en 1888 ces deux dispositifs complémentaires en s’inspirant du zoopraxinoscope :
L’un, le kinétographe, permet d’enregistrer une scène.
L’autre, le kinétoscope, permet, à un spectateur unique, de la visualiser.
Mais alors, c’est Thomas Edison l’inventeur du cinéma, pas les frères Lumière ? Certains vous répondront que oui. Mais voilà, le dispositif d’Edison ne permet qu’à un spectateur unique de voir le film, et pas de le projeter. C’est la raison pour laquelle l’histoire a surtout retenu le nom des frères Lumière.
4. Le cinématographe
C’est cette invention des frères Auguste et Louis Lumière qui marque la véritable naissance du cinéma, en 1895.
C’est le premier dispositif permettant non seulement l’enregistrement et la projection d’une séquence vidéo.
Et c’est comme ça que, rivalisant d’inventivité et d’imagination et s’inspirant du travail de leurs aînés, le cinéma fut inventé. Le début d’une long et belle épopée !
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