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Crimer @ Jval Festival, 29.08.2019
Durch die Nacht with Crimer, who let me take pictures again during his concert at the legendary Jval Festival! His energy was flowing as always, and the crowd joined him for a happy dance party! Many thanks Crimer and Jval for your warm welcome as always!
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UPDATE: so ya boy CZ here is feelin a lot more like #FatThor than #SmartHulk lately. Rackin up a few loses in the last few months. Exactly zero hard feelings when I tell y’all that ...due to some miscommunications and standard life/tour things. I will not be gracing the American dates of the Get Up Kids tour with my sexy face. I only share it because I know some of you fine people had plans for hangs and presents and parades for me (if you didn’t.. just play along, a fragile man’s ego is at stake here..) I won’t be out with TGUK but the new album #Problems (on @polyvinylrecords) still RIPS and the shows and support bands will be something you should not miss. Please support the whole endeavor regardless of my level of involvement. I’ve loved @thegetupkids for 1,000 years, I will love them for 10,000 more. So please Still leave your FATTEST tip$ at the merch tables. (Tips as fat as the God Of Thunder) tip because It’s a hard gig, moreso when you’re jugglin more than one job. Me, I’m still tour/festival hunting (also still apartment/roommate hunting) So holla, if ya hear me! 💪 As always, I study at the feet of very posi Gurus like Ant Paterno, THE Jval, Mike Farr, and King Of The World D. Ferry, so I know the value of #PMA Which I will employ as I #RedesignRebuildReclaim #LoseTheBattleWinTheWar #WhateverItTakes #OtherInspriationalHashtags #IKnewIt https://www.instagram.com/p/BxQaR6Pgm61/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=16isczxfz6twb
#fatthor#smarthulk#problems#pma#redesignrebuildreclaim#losethebattlewinthewar#whateverittakes#otherinspriationalhashtags#iknewit
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Prise de vue, montage et rendu. Kassette au JVAL Festival.
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Interview: TOY (FR)
En août dernier, je suis allée dans un petit festival nommé Jval, au milieu des vignes à Begins. C’est là que j’ai rencontré les sympathiques TOY, environ trois ans après notre première interview à Montreux... et les avoir ensuite croisés au pif dans un pub à Londres (j’interviewais alors leurs amis de Telegram pour Sound of Britain). Lors de cette interview, je prends en quelque sorte de leurs nouvelles. Nous parlons du troisième album du groupe Clear Shot, du futur quatrième album, de la vie à Londres en tant qu’artiste et de ce qu’il faut pour y survivre, et bien plus encore.
Est-ce que vous vivez toujours à Hackney à Londres ?
Charlie Salvidge : Non, en fait je suis le seul qui vit toujours là-bas. Tous les autres ont déménagé dans le sud.
Tom Dougall : Ouais, le sud de Londres. C’était (ndlr : la fois où je les ai croisés au Haggerston à Hackney) il y a longtemps. Je pense qu’on vivait alors dans l’East End.
Charlie : On était là-bas (ndlr : le Haggerston) hier soir en fait !
Tom : Eh bien, nous y sommes tout le temps. Charlie vit encore dans l’est, beaucoup de nos amis y vivent encore. Donc nous sommes souvent dans ce quartier. Mais nous vivons dans le sud de Londres.
Charlie : C’est beaucoup moins cher de vivre dans le sud de Londres, voilà pourquoi. Un meilleur quartier serait tellement plus cher, c’est ridicule.
Est-ce que tout cela est dû aux businessmen de la City ?
Tom : Presque, oui. C’est une partie du problème.
Charlie : En quelque sorte. Je pense qu’autour de Dalston, Clapton et Shoreditch- tous ces quartiers deviennent un peu gentrifiés. Ce sont surtout de jeunes familles qui emménagent…
Tom : Tout le monde est « poussé » de plus en plus en dehors de la ville. Ce n’est pas bon.
Charlie : Cela arrive dans chaque grande ville.
Comment est votre vie à Londres ?
Charlie : Assez ennuyeuse, vraiment ! (rires)
Tom : J’imagine qu’une grande partie de notre vie, c’est les jobs. Je travaille beaucoup dans les pubs pour essayer de joindre les deux bouts. Mais tu sais, avec le groupe nous nous voyons le plus possible, pour écrire des chansons. Nous sommes toujours actifs, toujours en train d’écrire. Nous venons de commencer à écrire le 4ème album. Si tout va bien nous allons essayer de le sortir plus tard cette année. Nous allons juste devoir le finir dans les prochains mois.
Génial ! Au fait, est-ce que vous vivez en coloc ?
Charlie : Tom et Matt vivent ensemble, et nous nous retrouvons souvent chez eux. Quand on parle du loup… (ndlr : le reste du groupe entre dans la pièce, on se dit bonjour, etc.)
[…]
À quoi ressemble un jour normal dans vos vies ?
Charlie : C’est très différent pour nous tous en fait.
Dominic O’Dair : Cela ne varie pas trop. C’est juste- me lever, me laver les cheveux… me les peigner… (rires) Récemment nous avons enregistré de la musique à Londres, c’était vraiment fun. En ce moment nous travaillons à Londres.
Charlie : Oui, nous travaillons tous beaucoup, juste pour joindre les deux bouts.
Dominic : Londres est assez- C’est un endroit où tu dois… tu sais…
Ouais, c’est vraiment une ville chère.
Dominic : Ouais, c’est difficile.
Charlie : Ouais, et cela le devient de plus en plus aussi.
Je me demandais… Quand cette gentrification deviendra trop difficile à supporter, qu’est-ce que vous allez faire ?
Dominic : Haha ! Les gens déménagent de plus en plus loin du centre tu sais !
Charlie : Juste déménager, et vivre ailleurs.
Vous allez créer une ville entière habitée par des artistes ! (rires)
Charlie : Beaucoup de gens déménagent dans des villes comme Margate dans l’Essex, et Ramsgate, des endroits comme ça.
Maxim Barron : Ouais, c’est vrai. Cet endroit est devenu tellement étouffant pour quiconque voulant faire quelque chose de créatif ou intéressant. Tu sais, personne n’essaie d’encourager cela.
Tom : Il n’y a pas d’aides pour les gens qui souhaitent faire quelque chose d’artistique en ce moment.
C’est fou. Tous mes amis voient Londres comme cette ville très artistique-
Dominic : Je veux dire, elle l’est ! C’est un endroit incroyable.
Charlie : C’est juste que cet aspect se fait détruire lentement.
Max Oscarnold : Cela devient plus difficile, mais c’est toujours possible d’y vivre en tant qu’artiste.
Dominic : Malheureusement il n’y a plus d’endroits bon marché où vivre. À moins que – comme l’a dit Charlie – tu doives partir. Tandis qu’à l’époque il y avait à Londres des « poches » dans lesquelles tu pouvais te payer-
Charlie : Ouais, Notting Hill par exemple. C’était un endroit très bon marché dans les 60s et les 70s.
Tom : Avant, tu pouvais vivre dans des squats, et maintenant c’est totalement illégal. N’importe qui pouvait vivre de rien. Si tu aimais ce mode de vie.
Charlie : C’est un peu différent parce que je comprends qu’ici en Suisse vous avez beaucoup d’argent de la part du gouvernement. Le gouvernement met de l’argent dans les festivals. Cela n’arrive pas vraiment en Angleterre. Il n’y a pas vraiment de fonds pour les arts.
Tom : Cela devient de pire en pire.
Maxim : Ils coupent tout le temps les finances. C’est difficile, n’est-ce pas ?
Ouais. Aussi, d’après ce que j’ai entendu plus tôt, vous avez enregistré le 4ème album à Londres ?
Tom : Non, on a commencé.
Maxim : Nous avons commencé à enregistrer des choses là-bas. Mais nous aimons beaucoup enregistrer des choses en dehors de notre pays. Nous aimons l’idée de peut-être enregistrer et mixer à l’étranger.
Tom : Mais nous avons commencé à Greenwich, avec un ami à nous nommé Euan. Il joue dans un groupe appelé Younghusband. As-tu entendu parlé d’eux ? C’est vraiment un bon groupe.
Cela me dit quelque chose, mais je ne pense pas les avoir déjà écoutés ! Je manque de culture (rires). Je vais les écouter !
Maxim : C’est en quelque sorte une étable qui a été rénovée en un très bon studio. C’était amusant, c’est la première fois que nous avons travaillé sur des chansons en mixant et en enregistrant tout complètement nous-mêmes en gros- sans aide extérieure, ou producteur.
Charlie : Nous avons un ingénieur du son- nous mixons le disque nous-mêmes en fait. Juste avec ces premières chansons sur lesquelles nous avons travaillées, tous les cinq dans le studio… Chacun sur un fader, en train de mixer de nos propres mains ! C’est en fait une bonne manière de le faire. C’est vraiment intéressant et nouveau pour nous.
Maxim : Comme tu imaginerais la manière dont les gens l’ont toujours fait, ce qui est fun parce que nous avons toujours eu un gars qui avait plus de connaissances, ou du moins dont nous pensions qu’il avait plus de connaissances !
Charlie : Exactement. C’est rarement le cas.
Maxim : C’était tellement fun d’avoir les commandes, et cela sonne vraiment bien !
Je me réjouis de l’entendre ! Aussi, à propos du 3ème album- J’ai lu dans une interview que vous l’aviez enregistré en deux semaines, dans un studio où vous étiez toujours ensemble. Est-ce que c’est important pour vous d’être proches ?
Tom : Je pense que ça aide, définitivement. C’est la première fois que nous enregistrions un album en dormant dans le studio.
Charlie : Je veux dire, il y a moins de distractions-
Tom : Ouais, cela t’aide à te concentrer sur ce que tu fais. Tu n’as pas besoin de retourner à ta vie normale.
Max : Si tu rentrais chez toi, tu entrerais dans une autre réalité. De cette manière, tout le monde se concentre sur la même chose. Donc tu entres dans une zone mentale pour travailler. Même lorsque nous allions au lit, nous étions tous ensemble. Nous parlions de ce que nous allions faire le lendemain, nous étions mieux organisés.
Donc vous dormiez tous dans la même chambre.
Tom : Nous dormions dans le même lit !
Charlie : Nous dormions tous dans un petit pot ! (rires)
Tom : Cette partie-là était vraiment rigolote tu sais.
Est-ce que c’était ok d’être constamment ensemble, 24h/24 ?
Tom : Nous y sommes habitués parce que nous partons en tournée tout le temps, et nous sommes constamment les uns avec les autres. Nous avons tourné pendant des années, nous adorons cela. Mais j’imagine que nous sommes très chanceux de bien nous entendre. Beaucoup de groupes ne voudraient pas faire cela.
Est-ce que vous avez enregistré Clear Shot en live ?
Tout le monde : Ouais !
Super ! Et le nouveau ?
Tom : Ouais. Nous essayons toujours d’enregistrer en live autant que nous le pouvons.
Dominic : Nous aimons rajouter des choses, c’est amusant aussi. Mais nous voulons en premier capturer la performance. Et c’est super, car maintenant nous mixons aussi en live. C’est assez intéressant, d’enregistrer une performance en live et ensuite de la mixer.
Maxim : Ouais, ce que tu fais à ce moment-là sur la table de mix est aussi quelque chose de live. Ce que tu fais à ce moment, c’est ce que c’est. J’aime cela parce que c’est pratiquement la chance qui va décider.
Tom : Tu obtiens un mix vraiment différent à chaque fois. Une partie est laissée à la chance, relativement- tu obtiens d’heureux accidents de cette manière.
Ouais, c’est ce que j’allais dire ! Parfois c’est mieux en live, parce que peut-être que tu fais quelques erreurs, mais-
Tom : Mais cela devient de la passion !
Dominic : Les erreurs ne me dérangent pas-
Tom : Qu’est-ce qu’une erreur ?
Dominic : Ouais !
À propos de Clear Shot, j’ai trouvé que que les paroles avaient un ton différent de ce que vous aviez fait auparavant. Tom, est-ce que tu écris les paroles ?
Tom : Ouais, surtout pour cet album. Parfois nous collaborons un peu, mais je pense que pour celui-ci c’est pratiquement moi. Mais ouais, j’imagine que cela dépend tout simplement. Sans trop y réfléchir, cela dépend de ce qui se passe autour de toi à ce moment. Ça va toujours être différent… Il n’y a jamais d’effort conscient, en pensant « je vais écrire de cette manière ».
Est-ce que cela vient tout seul ?
Tom : Absolument, ouais.
Dominic : Je pense que nous voulions plus nous étendre que pour le dernier disque- je pense qu’il y a plus d’harmonies vocales aussi. Vocalement, c’était plus mélodique.
Tom : Ouais, je pense que c’est plus complexe mélodiquement. Nous voulons faire les choses différemment à chaque fois. Pas de manière forcée, mais dans ce qui nous semble naturel musicalement.
Dominic : Parfois c’est bien d’être mélodique, et parfois c’est bien d’être l’inverse.
Tom : Écrire des chansons de différentes manières, ou avoir des approches différentes avec des gens différents.
Oui, je me souviens que la dernière fois- je ne sais plus qui m’avait dit cela- vous m’aviez dit que vous étiez inspirés par des expériences réelles. Est-ce toujours le cas ?
Tom : Ouais, absolument. La plupart du temps, je pense.
Charlie : Oui, tu mets plus de toi-même, ce qui est plus sincère. Je pense que c’est plus facile d’écrire des paroles qui sont liées à quelque chose qui se passe dans ta tête.
C’est intéressant, parce que j’ai interviewé Stu de King Gizzard & The Lizard Wizard- est-ce que vous connaissez ?
Charlie : J’adore ces gars !
Moi aussi ! Eh bien, il m’a dit l’inverse- que parfois les paroles viennent de son imagination.
Dominic : Ouais, je pense que ce gars vit dans sa propre imagination !
Tom : Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise manière de faire ces choses, alors je pense que c’est à propos de ce qui est bon pour toi.
Je voulais aussi parler de ma chanson favorite sur l’album si cela ne vous dérange pas- The Clouds That Cover the Sun.
Tom : Eh bien, en fait c’est à propos de ma copine- qui est ma copine maintenant, mais qui ne l’était pas à l’époque. Mais c’est ainsi que vont les relations. Voilà en gros de quoi cela parle.
Maxim : Et la musique… (rires) Il y a le même mouvement avec différents accords, mais la progression est la même. Alors tu es en quelque sorte « valsé » et c’est comme remplir un disque, tu te sens « weew !». La chanson te fais te sentir un peu malade ! (rires)
Tom : Je pense que c’est l’une de mes chansons favorites de l’album. En ce qui concerne le résultat final, c’est peut-être ma préférée.
Maxim : Je crois que beaucoup de gens aiment cette chanson.
Je ne sais pas, lorsque je l’ai écoutée j’ai juste pensé que je l’aimais bien, mais je ne savais pas pourquoi exactement.
Tom : Je pense que c’est une bonne chose ! (rires)
Maxim : Toujours, j’aime une chanson lorsque je ne sais pas pourquoi je l’aime à ce point. Si je n’arrive pas à déterminer pourquoi j’aime quelque chose, c’est bon signe !
Tom : Je crois que si tu attires une atmosphère unique en elle-même, alors la chanson aura son propre truc- c’est assez difficile de voir ce qui influence quelque chose comme ça. Tu as l’impression d’entendre quelque chose de vraiment nouveau pour la première fois.
Enfin, si vous deviez enregistrer un album dans un endroit pas du tout réaliste, que choisiriez-vous entre la lune, l’enfer et le McDo ?
Charlie : La lune.
Maxim : La lune serait fantastique. L’enfer… pas tellement. Et le McDo… Nous l’avons déjà fait ! (rires)
Dominic : La question de la damnation éternelle serait… problématique. (rires) Eh bien… Je voudrais faire l’expérience de l’enfer pendant une courte période. J’apprécierais tout le reste bien plus longtemps.
Maxim : 20 minutes.
Tom : 20 secondes. (rires)
https://www.facebook.com/toy.band
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Interview : TOY (ENG)
Last August, I went to a small festival called Jval, located in a small village called Begnins in the middle of the vines. There I met the great guys from TOY- three years after our first interview in Montreux, and then a random encounter in a pub in London (I was interviewing their friends from Telegram for Sound of Britain). We catch up a bit and talk about the band’s life as musicians in a big and expensive city, their album Clear Shot, their upcoming 4th album, and much more.
Are you guys still living in Hackney in London ?
Charlie Salvidge: No, actually I’m the only one who still lives there. Everyone else has moved down in the south.
Tom Dougall: Yeah, South London. It (ndlr: that time I saw them at The Haggerston in Hackney) was a long time ago. I think maybe we did live in the East End then.
Charlie: We were there last night actually!
Tom: Well we’re there all the time. Charlie still lives there, a lot of our friends still live there. So we’re often in East London. But we live in South London.
Charlie: That’s a lot cheaper to stay in South London, that’s the reason why. More grand is ridiculously expensive.
Is that because of the business men in the City?
Tom: Pretty much. That’s part of it.
Charlie: Kind of. I think around Dalston, Clapton and Shoreditch- it’s all becoming a little bit gentrified. It’s kind of young families moving in…
Tom: Everyone is pushed out further and further. It’s not good.
Charlie: It happens in every big city.
What’s your life like then, when you’re not touring?
Charlie: Pretty dull, really! (laughs)
Tom: I guess quite a lot of it is about working. I do a lot of work shifts in pubs to try and keep the whole thing going. But you know, we still get together as much as we can, writing songs. We’re always active, always writing. We just started recording the fourth album. Hopefully we’re going to try and get that out later next year. We’re just gonna have to finish it in the next few months.
Awesome! By the way, do you guys live as flatmates together?
Charlie: Tom and Matt live together, and we quite often get together around there. Speak of the devil… (ndlr: the rest of the band comes in, we say hi, etc.).
[…]
What’s a regular day like in your lives?
Charlie: It’s quite different for all of us really.
Dominic O’Dair: It doesn’t really vary. It’s just- get up, wash my hair… comb… (laughs) Recently we’ve been recording music in London, which has been really fun. At the moment we work in London.
Charlie: Yeah, we all work quite a lot, just to make ends meet really.
Dominic: London is quite- it’s a place where we have to kind of… you know…
Yeah, it’s very expensive.
Dominic: It is yeah, it’s difficult.
Charlie: Yeah, it’s getting more so as well.
I was wondering… When this gentrification becomes too hard to bear, what are you guys going to do?
Dominic: Haha! People tend to keep moving further and further out you know!
Charlie: Just move out, and live somewhere else.
You’re going to create an entire city inhabited by artists! (laughs)
Charlie: A lot of people are moving to places like Margate in Essex, and Ramsgate, places like that.
Maxim Barron: Yeah, it’s true. This place got so stifling for anyone that wants to do anything creative or interesting. You know, no one’s actually working towards that.
Tom: There’s no support for people who want to do artistic things at the moment.
That’s crazy. All my friends see London as this very artistic city-
Dominic: I mean, it is! It is an incredible place.
Charlie: It’s just getting slowly squashed out.
Max Oscarnold: It’s getting more difficult, but it’s still possible to do it.
Dominic: Unfortunately there are no cheap places to live in anymore. Unless you literally - as Charlie said - have to leave. Whereas in times there would be pockets of London where you could afford-
Charlie: Yeah, Notting Hill for example. That used to be a really cheap place in the 60s and the 70s.
Tom: Before, you could live in squats, and now it’s completely illegal to live in squats. Anyone could live for nothing. If you were into that.
Charlie: It’s a bit different because I understand that here in Switzerland you’ve got lots of grands from the government. The government puts money into festivals. It doesn’t really happen in England. There’s no real funding for the arts.
Tom: It’s just getting worse and worse.
Maxim: They’re just slashing it all the time. It’s just tricky isn’t it?
Yeah. Also, from what I’ve heard, you guys have recorded the 4th album in London?
Tom: No, we started.
Maxim: We started recording things there. But we quite like to record stuff outside of our country. We like the idea of maybe doing some recording and/or mixing abroad.
Tom: But we’ve started recording in a studio in Greenwich, with a friend of ours called Euan, he plays in a band called Younghusband. Have you heard about them? They’re a really good band.
It rings a bell, but I don’t think I’ve heard them before! I’m not cultured enough (laughs). I’ll check them out!
Maxim: It’s in a kind of stable that has been re-made into a really great studio. It’s been fun, it’s the first time that we’ve worked on songs while mixing and recording everything completely ourselves basically- without any kind of outside help, or a producer.
Charlie: We do have a sound engineer- we’re mixing it ourselves basically. Just with these first few tracks that we’ve worked on, we’ve been the five of us there in the studio… on a fader each, hands-on mixing it! Which is actually a good way to do it. That’s really interesting and new for us.
Maxim: How you’d imagine people have always done it, which is fun because we’ve always had a guy who’s got more knowledge, or that we thought had more knowledge!
Charlie: Exactly. They rarely do.
Maxim: So it’s been fun to be completely hands on, and it’s sounding really great!
I’m looking forward to hearing it! Also, about Clear Shot- I read in an interview that you guys recorded it in two weeks, in a studio where you guys were always together. Is it important to you guys to be close to each other?
Tom: I think it does help, definitely. This is the first time where we’ve recorded where we were all staying at the studio.
Charlie: I mean, there’s few distractions-
Tom: Yeah, it helps to focus on what you’re doing. You don’t have to go back to your normal life.
Max: If you went home, you would get into another reality. This way everyone is focusing on the same thing. So you get in a mental zone to work. Even when we got to bed, we were all together. We would talk about things we would be doing the next day, we would be organizing better.
So you all slept in the same room.
Tom: We slept in the same bed!
Charlie: We all slept in one tiny little pot! (laughs)
Tom: It was really fun doing that bit of it you know.
Was it ok being together 24/7 constantly with each other?
Tom: We’re used to it because we’re going on tours and stuff all the time, and we’re constantly with each other. We’ve been doing it for years, we really like it. But I guess we’re really lucky that we get on well with each other. A lot of bands wouldn’t want to do that.
Also, did you record Clear Shot Live?
Everyone: Yeah!
Great! What about the new one?
Tom: Yeah. We always try to do it live as much as we can.
Dominic: We like to add things up, that’s fun as well. But we want first to capture the performance. And it’s cool with this, because now we’re doing the mixing live as well for the first time. This is quite an interesting thing, to take a live performance and then mix it live as well.
Maxim: Yeah, what you do at that point when you’re on the mixing desk is also a live thing. What you do at that moment is what it is, which I like because it’s left to chance basically.
Tom: You get a really different mix each time. Some of it is left up to chance slightly as well- you get happy accidents that way.
Yeah, that’s what I was gonna say! Sometimes live is best, because maybe you made a few mistakes, but-
Tom: But that turns out to passion!
Dominic: I don’t mind about mistakes-
Tom: What is a mistake?
Dominic: Yeah!
Regarding Clear Shot, I thought the lyrics had a different feel from what you guys did before. Tom, do you write the lyrics?
Tom: Yeah, especially for that one. Sometimes we collaborate a bit, but I think that one is pretty much me. But yeah, I guess it always just depends. Without really thinking too hard about it, at the time it depends what’s going on around you. It’s always gonna be different… There’s never a conscious effort, thinking “I’m gonna write it this way”.
Does it come on its own?
Tom: Definitely, yeah.
Dominic: I think we wanted to expand more than the last record- I think there’s more vocal harmonies as well. Vocally, it’s been more melodic.
Tom: Yeah, I think it’s more melodically complex. We always want to do things differently each time. Not in a forced sense, but in what feels musically natural.
Dominic: Sometimes it’s good to be melodic, and sometimes it’s good to be the opposite.
Tom: Writing songs in different ways, or to have different approaches with different people.
Yeah, I remember that last time- I don’t remember who told me that – you told me that you got inspired by real experiences. Do you still get inspired by that?
Tom: Yeah, definitely. Most of the time, I think.
Charlie: Yeah, you put more of yourself, which is more heartfelt. I think it’s easier to write lyrics that actually relate to something that goes in your mind.
It’s interesting, because I interviewed Stu from King Gizzard & The Lizard Wizard- do you guys know them?
Charlie: I love those guys!
Me too! Well he told me the opposite- that sometimes the lyrics were all from his imagination.
Dominic: Yeah, I think that guy lives in his own imagination!
Tom: There’s no right way of doing these things, so I think it’s about whether it’s good for you.
I wanted to talk about my favorite song from the album as well if you don’t mind- The Clouds that cover the Sun.
Tom: Well, it’s actually about my girl- who’s my girlfriend now, but wasn’t at the time. But it’s the relationship. That’s basically what it’s about.
Maxim: And the music… (laughs) It has the same movement in different chords, but the progression is the same. But it moves the key. So it kind of waltz you around and it feels like disc populating, it kind of makes you feel like “weew!”. It makes you feel a bit sick! (laughs)
Tom: I think that’s one of my favorite songs off the album. In the way it came out, that’s maybe my favorite.
Maxim: I think a lot of people like that one.
I don’t know, when I listened to it I just thought I liked it, but I couldn’t figure out why exactly.
Tom: I think that’s a good thing! (laughs)
Maxim: I always love a song when I can’t figure out why I really love it. If I can’t pin down why I like something, I think it’s a good sign!
Tom: I think if you attract an atmosphere that’s unique to itself, then it’s got its own thing- it’s quite hard to see what’s influencing something like that. It feels like you’re hearing something really new for the first time.
Finally, if you guys had to record an album in a very unrealistic place, what would you choose between the Moon, hell and McDonalds?
Charlie: The Moon.
Maxim: The Moon would be fantastic. Hell… Not so much. And McDonalds… We’ve already done McDonalds! (laughs)
Dominic: The matter of eternal damnation would be… tricky. (laughs) Well… I would like to experience hell for a short time. I’d appreciate everything a lot longer.
Maxim: Twenty minutes.
Tom: Twenty seconds. (laughs)
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